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Le dépanneur

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Lue : 6511 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/05/2017

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Je me suis mariée très jeune, à peine 20 ans avec Marc, un gentil garçon, fils d'amis de mes parents. Il m'a donné trois beaux enfants mais j'ai toujours eu le sentiment qu'il manquait quelque chose à ma vie... Je n'étais pas malheureuse mais un jour, alors que je rangeais des affaires dans le grenier, je suis tombé sur un carton rempli de revues pornographiques. Elles devaient appartenir à mon mari qui avait dû les ranger là pour ne pas que les enfants tombent dessus.
Très surprise par cette découverte, je refermais immédiatement le carton. L'éducation catholique que j'avais reçu m'avait tenu éloigné des choses du sexe et mon expérience se limitait à un devoir conjugal hebdomadaire devenu mensuel depuis la naissance de notre troisième enfant.
Je continuais mon rangement mais ce fut plus fort que moi et je rouvris le carton. Passé les magazines de papier glacé sur lesquels on trouvait de très jolies filles dénudées, je trouvais un UNION, petit magazine rempli d'histoires coquines. J'y jetais un oeil et lus la première histoire qui décrivait des scènes vraiment très osées.
Ce petit livre devint mon livre de chevet... tandis que mon mari regardait la télévision, je partais me coucher et lisais les histoires avec frénésie, découvrant un monde nouveau et inconnu.
A partir de ce jour, mon imaginaire se mit à fonctionner à plein régime et je tentais quelques approches vers mon mari afin de mettre en pratique ce que j'apprenais de mes lectures. Malheureusement, il n'était pas du tout réceptif et plus je demandais, plus il se fermait.

Femme au foyer depuis la naissance de notre second enfant, mes journées étaient rythmées par les allers et venues à l'école des enfants, la préparation des repas et les tâches ménagères. Mais l'après-midi, je consacrais au moins une heure à la lecture. Les nouvelles érotiques avaient pris la place des romans à l'eau de rose.

Un jour, j'étais confortablement installée dans un fauteuil du salon, plongée dans un numéro de Union que je découvrais, lorsque la sonnette retentit. Je sursautais, n'attendant personne. Je posais nonchalamment ma revue sur le coin de la table et partis ouvrir.
Je tombais nez à nez avec un technicien, appelé par mon mari pour un problème de télévision. C'était un grand type d'origine africaine. Il me fit un large sourire en voyant mon air surpris. Je le fis entrer. Comme d'habitude, mon mari avait omis de me prévenir de cette intervention.

Je lui indiquais le salon pour qu'il puisse accéder au téléviseur. Il passa à côté de la table basse et je le vis regarder le magazine que j'y avais posé. Je fus gênée et m'empressais de le faire disparaître.
Il s'agenouilla devant les fils et commença à vérifier ce qui devait l'être.
Je restais à l'écart et régulièrement il regardait dans ma direction. J'étais troublée et préférai le laisser travailler, allant vaquer à d'autres occupations dans la cuisine.

Après quelques minutes, il m'appela. Il devait vérifier la connectique dans le grenier. Il voulait que je lui indique le chemin. Je le précédais dans l'escalier et fus extrêmement troublée de le sentir derrière moi et de l'imaginer regarder mes jambes et mes fesses.

Il grimpa à l'échelle de meunier et après une dizaine de minutes, il redescendit.

Il avait chaud et avait quitté sa veste, dévoilant un tee-shirt blanc sur lequel j'apercevais des traces de transpiration. Je lui proposais un verre d'eau qu'il accepta volontiers. Je le retrouvais dans le salon et posais le verre sur la table tandis qu'il était à quatre pattes entrain de trifouiller les fils sous la télévision.

Je ne pus m'empêcher de regarder ses fesses et son boxer qui dépassait allègrement de son pantalon.

Je repensais à une histoire que j'avais lu d'une femme qui faisait l'amour avec le plombier de passage et cela s'ajouta à mon excitation.

Tandis qu'il continuait ses réglages, je m'assis dans le fauteuil à un pas de lui. Il tourna la tête et fut surpris de me voir aussi près. Je vis son regard glisser vers mes chevilles et remonter le long de mes jambes. Je tirais maladroitement sur ma jupe, essayant de couvrir mes genoux.

Il eut un petit sourire et replongea sur ses connectiques.

Il se releva. Il avait fini et le problème était réglé. Il remplit un bon d'intervention et me le fit signer. J'étais penché et même si je ne portais pas de décolleté plongeant, mon petit gilet bayait un peu et devait lui laisser deviner la naissance de mes seins.

Je le raccompagnais à la porte, presque déçue qu'il ne se soit rien passé...
Arrivé sur le pas de la porte, il se retourna et me salua en me tendant sa main. Je la pris et la serrais mais curieusement, je ne la lâchais pas. Cela sembla durer une éternité. Il me regarda droit dans les yeux. Mon coeur battait fort dans ma poitrine. Voyant que je ne lâchais pas sa main, il prit cela pour une invitation et rentra de nouveau dans la maison, se retrouvant à quelques centimètres de moi, sa main toujours dans la mienne.
Il poussa la porte du pied et laissa glisser sa besace au sol.
Il se colla à moi et m'enlaça. Je me laissais complètement aller. Sa bouche se posa sur la mienne et sa langue s'insinua entre mes lèvres. Je répondis comme je pouvais à son baiser fougueux. Ses mains glissèrent presque immédiatement vers mes fesses et il plaqua mon bassin au sien. Je sentis alors la bosse de son sexe. Elle me paraissait énorme au travers du pantalon et j'ondulais légèrement le bassin pour mieux la sentir.
Toujours enlacés, il m'entraîna doucement vers le salon. Je sentis le fauteuil derrière moi et il me poussa dessus. Je me laissais tomber dedans, le regardant face à moi, fier et imposant.
Il ne perdit pas de temps et dégrafa son pantalon. Je le vis alors extirper un sexe énorme, une colonne de chaire noire qui me fit peur. Ses dimensions étaient très loin de celles de mon mari, tant en longueur qu'en circonférence. Je restais les yeux écarquillés devant ce membre imposant.
Il fit glisser son pantalon et le jeta derrière lui. Il quitta également son tee-shirt, dévoilant un corps sculpté. Il s'approcha de moi, son sexe à hauteur de mon visage.

Je compris rapidement ce qu'il voulait. La fellation ne m'était pas inconnue, elle m'avait servi quand j'étais jeune pour conserver mon pucelage jusqu'au mariage, mais c'était la première fois que j'allais faire rentrer dans ma bouche un pareil spécimen. Je m'en approchais et le fis coulisser entre mes lèvres. Il peina à passer et je sentis le gland gonflé toucher ma langue.
Je m'appliquais, faisant de mon mieux et à en croire ses murmures de contentement, je me débrouillais plutôt bien.

Il se retira et s'agenouilla devant moi. Il déboutonna mon petit gilet et l'écarta, dévoilant mon soutien-gorge. Il me malaxa les seins au travers du tissu. Je passais mes mains dans mon dos et le dégrafais. Il tira dessus et découvrit mes seins lourds. Il en pinça les tétons et les embrassa. Il m'aida à me relever et je retirais de moi-même ma jupe et ma culotte.

J'étais désormais nue devant cet inconnu. Il m'enlaça de nouveau et m'embrassa. Je sentais contre mon ventre, son sexe dur. Il nous fit tourner et s'assis sur le fauteuil, m'attirant à lui. Je l'enjambais et sentis bien vite son sexe contre ma toison humide. Il guida son membre à l'entrée de mon sexe et je descendis lentement dessus.
J'ai ressenti alors une incroyable chaleur dans tout mon corps. Il me remplissait complètement. Il s'agrippa à mes fesses et se mit à me faire monter et descendre sur son pieu de chaire. Il m'embrassait les seins en même temps et je sentais des picotements montés au creux de mes reins.

Il me fit basculer sur le canapé à côté et se retrouva au dessus de moi. Il m'écarta bien les jambes et se mit à littéralement me pilonner, m'arrachant des cris de plaisir. Mon corps sembla ne plus m'appartenir et je sentis des chocs électriques en moi. A 35 ans, je venais pour la première fois de ma vie d'avoir un orgasme!!!
Quel bonheur!!! je suppliais mon amant de continuer à me faire du bien. Il ne se fit pas prier et continua à donner de grands coups de reins.

Il sortit soudain son sexe et se précipita vers ma bouche, je l'ouvris pour l'accueillir mais il se caressa énergiquement et son membre se mit à cracher des jets de sperme. J'en reçu plein le visage et quelques gouttes entrèrent dans ma bouche. Il enfourna alors son sexe et je manquais de m'étouffer. Je le suçais pour le nettoyer, sentant sa semence couler sur mes joues.

Il s'écroula alors à terre à côté de moi et mit quelques minutes à reprendre ses esprits.

Je m'essuyais le visage avec ma petite culotte tandis qu'il se rhabillait.

Il ne traîna pas mais juste avant de partir, il me donna sa carte avec son numéro de téléphone au cas où j'ai de nouveau besoin de ses services.

Je vous avoue que je l'ai appelé dès le lendemain. Il est venu en début d'après-midi et je l'ai accueilli entièrement nue. Il m'a baisé sur le tapis du salon et m'a de nouveau fait jouir.
Depuis ce jour, il est mon amant et nous nous voyons plusieurs fois par semaine. J'ai découvert le plaisir et je ne suis pas prête à faire une croix dessus!!!
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Histoire de LN78

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Commentaires du récit : Le dépanneur

Le 30/09/2021 - 10:41 par Franck 34480
Récit bien écrit et qui reflète du vécu.

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