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Les amantes

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Lue : 33910 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 27/07/2009

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Comme chaque fois que j’avais le bourdon j’étais venue voir mon amie Sophie. Plus âgée que moi, mariée depuis près de dix ans, Sophie savait dans ces moments là me réconforter, me redonner le goût de vivre, ses paroles étaient comme un baume pour mon cœur esseulé, comme une mère elle me serrait dans ses bras en m’embrassant tendrement. C’était ma confidente, je lui disais tout, le peu de plaisir de ma vie d’étudiante ; à dix huit ans à l’inverse de mes copines j’ignorais la compagnie des garçons et ce qu’ils pouvaient faire ensemble. Avec elle je me sentais bien et j’aimais me blottir près d’elle.

Ce jour là, mon chagrin était plus fort que de coutume et j’étais au bord des larmes, assises cote à cote sur le divan, Sophie à ma droite me maternait, elle me serrait comme à l’accoutumé en gestes enveloppants en me parlant à l’oreille et comme je n’arrivais pas à me détendre cela arriva .....

Cela commença comme un doux massage, des genoux d’abord, la main de Sophie s’attardant sur leurs douces rondeurs et puis mes cuisses, c’était doux, c’était chaud, je fermais les yeux, d’un geste imperceptible je fis comprendre à mon amie que cela me faisait du bien, les mouvements de sa main devinrent plus amples plus enveloppants, je m’ouvris à ses caresses quand la main remonta à l’intérieur de mes cuisses. Je ne compris les intentions de Sophie que lorsque sa main empauma ma chatte sur mon slip et resta plaquée sur lui en le pressant.

Ma surprise fut totale, Sophie m’observait guettant ma réaction, un drôle de sourire aux lèvres ; je la sentais émue, son souffle un peu court, son nez légèrement pincé, je ne savais que faire, cette caresse osée venant de mon amie ne pouvait être motivée que par l’amitié que nous nous portions ; jamais auparavant cela n’avait été jusque là.

Comme je ne disais rien, comme mon regard restait confiant la main s’anima sur ma chatte, sa paume me pressait, ses doigts malaxaient mes lèvres, j’écartais mes cuisses pour faciliter ce doux contact, nos regard se croisaient différents de l’habitude je lisais dans le sien une douce complicité, un plaisir aussi, une hésitation avant que bouleversée d’émotion je sente sa main passer sous le tissus de ma culotte directement sur ma chatte et y rester immobile. Interdite je regardais mon amie qui me souriait c’est au bout d’un instant que cette douce main commença à s’agiter doucement, sur mon fin duvet d’abord qui tapissait mon entrecuisses, un doigt subtil se fraya un passage entre mes lèvres et en parcouru le cours montant et descendant. Jamais aucune caresse ne m’avait fait cet effet, quand je me lavais il m’arrivait de me toucher ainsi mais jamais je n’avais ressenti ces élancements, cette envie de m’ouvrir, de me faire pénétrer.

Mais la caresse restait sage en surface, malgré tout je compris que deux doigts me titillaient le clitoris, une sorte de plaisir m’envahit et sans le vouloir je commençais à m’agiter en m’offrant.

« Tu devrais quitter ta culotte et t’avancer un peu, nous serions mieux ma chérie »

D’habitude Sophie m’appelais aussi chérie, mais aujourd’hui c’était autre chose, je me levais pour ôter mon slip et j’eus la surprise de voir que Sophie faisait de même, Je fus étonnée de voir qu’elle portait un string des plus fantaisie et sexy, alors que ma culotte était simple en coton, nous planquèrent nos caches sexe sous un coussin et nous reprirent nos places.

« Sonia aimes tu te caresser ? te faire jouir avec ta main ? tu ne t’est jamais masturbée ? personne ne te l’a fait encore ? tu n’es pas en avance pour ton âge, si tu savais comme c’est bon, non , tu n’a jamais pris du plaisir quand tu es seule, dans ta chambre ou devant une glace de la salle d’eau ? non jamais ? mais alors il faut que j’arrête, je n’ai pas le droit de te donner ce bonheur, ce serait mal, que vas tu penser de moi, pourquoi ai je fais aujourd’hui ce que je désirais faire depuis longtemps »

J’arrêtais Sophie dans ses remords et prenant sa main je la guidais de nouveau entre mes cuisses. Nous étions mieux assises au bord du divan, sa main pouvait me caresser plus largement et je sursautais quand un doigt effleura mon anus . L’araignée de sa main me massait plus franchement serrant mes lèvres l’une contre l’autre, les pinçant, les faisant se décaler l’une sur l’autre, un léger mucus facilitait leur glissement, c’était bon, c’était donc cela le plaisir, l’orgasme, la jouissance dont les autres parlaient tant ?

De sa main libre Sophie me pris la main et me guida sur elle, entre ses cuisses gainées de bas noir, j’étais perdue, ne sachant que faire, elle avait une vraie fourrure brune que je devinais soyeuse et soignée, partagée par une raie où mes doigts s’enlisèrent, j’eus la surprise de constater que sa grosse chatte était toute mouillée d’un liquide sirupeux comme du miel et ce premier contact provoqua un cataclysme, Sophie écartait ses cuisses et son ventre s’agitait sur ma main, son visage soudain tourmenté une plainte continu sortant de sa bouche ouverte.

Comme elle je lui caressais le clitoris qui grossit entre mes doigts, je tirais dessus comme pour l’allonger ce qui la fit crier, presque sans le faire exprès mes doigts s’enfoncèrent dans son vagin et je compris alors ce qu’était la jouissance féminine, prise au jeu et voyant le plaisir que je lui procurais je la branlais de toutes mes forces avec un puis deux puis trois doigts réunis gardant mon pouce sur son clito.

Plus je croyais lui faire mal, plus elle hurlait de plaisir, son visage déformé, sa bouche tordue, les yeux dans le vague, tout son corps était agité de mouvements incontrôlés et frénétiques, de soubresauts qui auraient pu me paraître grotesques si ce n’était moi qui les provoquait, durant ce temps elle m’avait délaissé la chatte mais me caressait les seins. Inspirée par ma réussite je repensais à la sensation que j’avais eu quand elle m’avait caressé l’anus et sans retirer les doigts pistonnant sa chatte en furie, j’ose à peine le dire, sans précaution mon petit doigt l’encula, je n’eus aucun mal à entrer dans son petit trou car bien lubrifié par les suintements de sa foune.

Ce fut la goutte d’eau qui fit déborder la coupe si j’ose dire, en se raidissant Sophie me serra dans ses bras et sa bouche ouverte prit la mienne, capta ma langue et l’enroula dans la sienne.

Combien de temps dura son orgasme, je ne saurais le dire, sa chatte s’était durcie autour de mes doigts, mais d’un coup elle s’affaissa en pleurant. Inquiète je me penchais sur elle , peut être lui avais je fait mal ? mais elle me rassura :

« Ah Sonia si tu savais comme tu m’as fait jouir, jamais on ne peut le faire avec tant de puissance seule, il faut les caresses surprenantes d’un ou d’une autre, coquine j’ai cru perdre la raison quand ton petit doigt ma sabré l’anus, tu n’as pas été choquée de me voir le jouet de tes caresses, de mes déhanchements, de mes cris ? »
« J’ai été très surprise du pouvoir de mes mains, jamais je n’aurai imaginé te donner tant de plaisir, c’était presque effrayant, tu étais dans un autre monde, jamais je n’ai ressenti cela, j’aimerai pourtant..... mais que fais tu ? ne te mets pas à genoux devant moi, enfin est ce possible ! ta tête entre mes cuisses ! ah Sophie tu veux m’embrasser ! que j’ouvre mes cuisses ! que je m’avance au bord du divan ! comme cela ? je suis toute retroussée ! ah non pas ça ! pas çà ! c’est défendu ! c’est mal ! il ne faut pas, faut pas, nonnnn, ouiiiiii »

Je me laissais faire alors, faisant confiance à mon amie, je ne pouvais voir ce qu’elle me faisait, son opulente chevelure cachant son visage entre mes cuisses, j’essayais de deviner ce qui me frôlait délicatement la chatte, lissant mon blond duvet, dégageant mes lèvres en écartant mes poils de part et d’autre.

Ce ne pouvait être que la pointe de sa langue, cette prise de conscience m’électrisa, c’était imperceptiblement doux, délicat, je devinais la rose muqueuse aller et venir sur chacune de mes grosses lèvres s’attardant sur le clitoris et plus bas pointant mon petit trou, et puis je sentis ses mains sur moi, ses doigts m’écartant délicatement laissant à la langue le loisir de me lécher plus franchement la raie, les petites lèvres et le méat de ma vulve, quelle science ! quelle délicatesse, je commençais à bouger le bassin pour mieux m’offrir à la caresse.

Et puis ses doigts me pénétrèrent tandis que la langue butinait mon clito et c’est alors que tout commença ! D’un coup je me sentis inondée, mouillée ,et ce n’était pas la salive de Sophie mais le même miel que j’avais senti entre les lèvres de sa chatte quand elle jouissait et puis une sensation inconnue se mit à poindre de mes cuisses, de mon ventre, de mes seins, dans ma tête surtout prenant la pas sur toutes les autres.

Je commençais à gémir aussi au rythme des branlées plus onctueuses depuis que je mouillais, combien de doigts me fouillaient ? je n’en avais nulle idée sauf celle de plénitude, avec sa bouche Sophie me suçait le clitoris que je devinais bandé et je ne sais ce que j’aimais le mieux dans ces caresses. A un moment je sentis que l’on caressait mon anus, qu’on l’enduisait de ma liqueur, qu’on le pressait et quand on le força je poussais un petit cri .

Que c’était bon, que j’étais bien, imitant Sophie moi aussi je me trémoussais animant mon bassin d’une forte houle, ainsi c’était cela l’orgasme, en mon for intérieur je pensais que mon amie avait un peu exagéré les signes de son plaisir s’ils ressemblaient au mien ; c’est alors que tout éclata, dans mon corps dans ma tête, une immense vague de plaisir me submergea, sensation jamais connue jusqu’à cet instant, des éclairs m’éblouissaient, au bord de l’évanouissement j’avais l’impression d’être précipitée dans un océan de plaisir, je sentis ma vulve s’ouvrir en durcissant, de mes seins le plaisir jaillissait de leurs pointes durcies, ma tête était vide, ma bouche tordue, j’écartais et refermais mes cuisses sur le visage de Sophie qui s’activait entretenant le plaisir qu’elle me donnait ; sans que je m’en rende compte et sans retirer sa bouche de ma chatte elle m’allongea et se mit en sens inverse, je ne compris la manœuvre que lorsque le compas de ses cuisses enfourcha mon visage et que son entrecuisses fut à portée de ma bouche ; alors ivre de plaisir je lui pris les fesses et je les écartais avant d’emboucher sa chatte. Sonia se remit immédiatement à jouir et comme deux furies enlacées sur la moquette où nous étions tombées nous nous engloutirent dans une jouissance extrême.

Nous étions maintenant assises de nouveau sur le divan, nous avions toutes les deux besoin de reprendre notre souffle et nous nous regardions en nous tenant la main. Ce n’est qu’au bout d’un instant que nous pûmes reparler évoquant les différences entre l’amour fait avec un homme ou une femme. Sophie m’en appris beaucoup, comme elle me demandait si j’avais déjà vu un sexe masculin et après avoir ri à la description du minuscule appendice de mon cousin germain vu il est vrai lorsque nous avions une dizaine d’année, après quelques hésitations elle sortit d’un écrin rangé dans un tiroir un objet qu’elle me présenta.

Je le pris en main et je n’en cru pas mes yeux quand Sophie m’affirma que c’était la réplique fidèle d’un phallus en pleine érection, tout y était, la hampe cylindrique de forme tourmentée, un gland énorme décalotté, le tout soutenu par deux bourses moles. Ce pénis était rigide sans être dur, le gland avait une douceur extrême. Ahurie j’entendis Sophie m’expliquer que cet objet était très utile pour les plaisirs solitaires où à l’usage de deux femmes qui désiraient se faire plaisir.

Elle m’indiqua qu’avant de se pénétrer avec ce dard il fallait bien le lubrifier et que le mieux c’était de l’enduire de salive avec sa langue et de la prendre dans sa bouche. Je ne perdais pas une miette de ses indications qui me déniaisaient ; Sophie m’affirma que les hommes adoraient se faire sucer, que cela faisait grossir et raidir plus encore leur membre et que finalement la femme y trouvait manière à s’exciter en pensant qu’après ce gland palpitant sous leur langue forcerait leur chatte humide.

Je ne compris pas tout de suite quand Sophie me présenta le gland entre mes lèvres, elle dut me montrer, m’expliquer, me guider, m’indiquer les endroits les plus sensibles comme le gland où la langue devait tourner , s’enrouler avant que la pointe ne vienne le lécher par dessous ; comment ouvrir ses lèvres pour absorber doucement la hampe le plus profondément possible à la limite de l’asphyxie, comment éviter que les dents ne blessent le membre à vif, enfin avec ma langue bien déployée, elle me fit enduire de salive la partie que je n’avait pu absorber en léchant les couilles au passage.

Au bout d’un instant le godemichet comme elle l’appelait fut brillant de ma salive translucide, Sophie le tenait par les parties et commença à en faire usage ; ce fut hallucinant, excitée je ne protestais pas quand elle me demanda de m’allonger en écartant mes cuisses, je fermais les yeux et j’essayais d’imaginer ce qui m’arrivait. Je sentis s’écarter mes grosses lèvres et un doux va et vient commença, je sentais le gland aller et venir de mon anus au clitoris, cela dura un long moment et je commençais à m’offrir me pressant sur lui, surtout quand il passait devant l’entrée de ma vulve, petit à petit avec un savoir faire diabolique il s’attardait en cet endroit se centrant légèrement en vibrant, je m’abandonnais de nouveau à Sophie qui visiblement trouvait du plaisir à m’initier .

Quand le gland commença à me pénétrer je me sentis toute faible avec ma chatte serrée autour du membre, je me mis à jouir, je sentais le gode entrer et sortir de ma chatte de plus en plus profond, de plus en plus vite, je m’ouvrais quand il me perforait et me serrait sur lui quand il sortait, l’orgasme éclata quand je sentis les couilles battre mon cul et pensant à cette énorme queue en moi je perdis le peu de retenue qu’il me restait ;

Sophie appliquée me branlait, ses yeux étaient fixes entre mes cuisses, je vis même qu’elle aussi se caressait et alors que je me croyais à l’acmé du plaisir, alors que je m’agitais en tout sens tordant le pieu dans ma vulve, une puis deux giclées de liquide tiède m’inondèrent à fond, mon regard se brouilla d’un coup et je perdis conscience tant mon plaisir était grand, le pieu me transperçait en chuintant c’est à peine si je sentais son frôlement à l’intérieur de mon vagin dilaté, un miel tiède sourdait entre mes lèvres et coulait dans la raie de mes fesses lubrifiant mon cul. Comme le plaisir diminuait légèrement j’entendis Sophie me demander si elle pouvait aller plus bas, je ne comprenais pas

« C’est bon aussi sais tu ? »

Sa voix tremblait d’émotion, elle haletait, et son nez se pinça au moment où je sentis mon anus pressé, non ce ne pouvait être cela, ce n’était pas possible, jamais je n’y aurais pensé, est ce que Sophie voulait faire avec mon cul se qu’elle avait fait avec ma chatte, pour quel plaisir, le sien ? le mien ? Je sentais le gland s’écraser contre mon œillet, Sophie appliquée maniait le gode comme un plantoir essayait d’amadouer mon cul.

Jusqu’à présent je lui avais fait confiance et je n’avais pas été déçue, j’attendais donc sans protester, Sophie s’obstinait, ce n’avait pas l’air commode, inconsciemment je sentis mon fondement s’amollir, je participait un peu en poussant comme si je voulais aller à la selle et d’un coup je me sentis m’ouvrir et le gland m’investir, loin d’être douloureux j’avais une impression de plénitude et ne fut nullement surprise quand du gland aux couilles le pitonnage recommença mais dans mon cul cette fois, il fallut que Sophie me titille le clito en même temps pour que je retrouve la qualité d’orgasme du baisage avec la différence que je me sentais pleine et serrée.

C’est alors qu’un bruit de clés, de porte qui s’ouvre se fit entendre nous affolant, nous n’eûmes que le temps de nous rajuster et de nous asseoir avant que le mari de Sophie fasse son entrée dans la pièce.

Surpris de nous trouver ainsi sur le divan, il s’arrêta devant nous perplexe :

« Que se passe t’il ? vous faites une drôle de tête toutes les deux »
« Rassure toi mon chéri nous allons très bien, n’est ce pas Sonia ? »
« J’avais le bourdon, mais Sophie a su me réconforter »
« Mieux que cela, Serge, je l’ai initié, figure toi que Sonia n’avait jamais joui »
« Jamais ? même en se masturbant ? »
« Non jamais »
« Et alors ? »
« Sophie m’a caressé, puis elle a guidé ma main entre ses cuisses et là j’ai pu voir ce qu’était la jouissance d’une femme, après cela a été une révélation pour moi, Sophie m’a fait jouir à mon tour, avec ses mains, ses doigts, sa bouche aussi, ses lèvres, sa langue sur ma petite chatte»
« J’ai pris ton godemichet aussi »
« Et bien vous avez du vous amuser, il y a longtemps que Sophie voulait caresser la chatte d’une femme »
« De Sonia seulement, de son vagin et de son petit trou »
« De son cul aussi ? avec le gode ? oui. Et bien Sonia te voilà grande maintenant. Et cela t’a plu ? »
« J’ai cru que j’allais m’évanouir de plaisir, Sophie sait y faire »
« Et encore, moi, c’est rien à côté de Serge ! »
« Que veux- tu dire Sophie ? »
« Tu te rappelles quand je t’ai fait sucer le phallus de plastique pour bien l’enduire de salive et que je t’ai fourré la chatte avec ? »
« Oh oui Sophie ! c’était bon »
« oui ? et bien ce n’est rien à côté de la sensation avec une vraie bite, bien grosse, bien dressée après une bonne pipe, bien lisse, bien chaude »
« Une pipe ? »
« Une pipe comment dire, souvent Sophie me caresse le pénis et le porte à sa bouche, elle m’excite avec sa langue pour le faire grossir et quand il est bien raide elle le prend dans sa bouche et en absorbe le plus possible, je sens sa langue qui tourne autour, si tu savais comme c’est agréable pour un homme d’être masturbé entre des lèvres charnues. Parfois Sophie aspire jusqu’à l’éjaculation que je ne peux retenir, à d’autres moments je me retire avant et je suis prêt à lui fourrer la chatte »
«, Sonia veux tu essayer ? tu hésites ? tu as peur ? Serge tu le veux toi aussi ? oui, j’en étais sure, approche mon chéri, allez Sonia fais lui une mise à l’air, tu verras comme il aime ça et comme il te fera aimer ça aussi »

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J’étais dans un tel état d’excitation que j’obtempérais à cette nouvelle expérience que l’on me proposait, inconsciemment je voulais en ce jour faire le tour de ce que j’aurai du déjà connaître, timidement je tendis la main vers le ventre de Serge, debout devant nous, entre mes doigts je sentis la bosse mole de sa bite et je commençais à la palper, la triturer, à l’inspecter, à la deviner sous l’étoffe du pantalon.

Je fis glisser la fermeture éclair et fit sauter le dernier barrage en rabattant la ceinture de son slip sous ses couilles. Triste spectacle que ce petit membre pendant tristement collé aux bourses, rien à voir avec le gode épanoui qui m’avait tant fait jouir . Je me tournais inquiète vers Sophie qui souriait et mimait la conduite que je devais avoir en agitant sa langue entre ses lèvres.

Serge s’approcha de moi et j’entrepris de lui lécher le bout de sa verge par petites lippées avec la pointe de ma langue. J’allais alors de surprise en surprise. Surprise de voir à quelle rapidité la verge grossissait sous ma langue, elle grossissait à vue d’œil ainsi que ses couilles, le gland émergea de sa gangue de peau que j’aidais à se retrousser avec ma langue. Et puis le membre commençât à se dresser, à pointer vers moi.

Serge se mit à gémir quand sa queue, plus grosse maintenant que le gode se dressa grosse et ferme la hampe arquée vers le haut, inconsciemment j’étais fière de l’effet que je produisais, je louchais sur l’arrière de cette queue énorme et je commençais à la lécher avec ma langue bien mouillée de salive des couilles au gland en épousant la grosse veine bleutée toute renflée.

Serge se tordait en gémissant sous la caresse et en avançant son ventre, je m’aperçus que Sophie entreprenait de déculotter son mari, une fois nu en dessous de la ceinture je fus plus à mon aise pour le lécher et enduire sa queue de salive. Mais Sophie pris délicatement la hampe érectée plaquée sur le ventre dur de serge et la rabaissa à l’horizontale

« Prends là dans ta bouche ma chérie, ouvre un peu tes lèvres, tu vas voir comme il aime, oui comme ça, c’est bien, continue en tournant ta langue autour du gland, oui, prends en plus, oui aller, va et viens sur elle pour la faire jouir, écarte un peu tes cuisses, je vais préparer ta chatte à le recevoir, tu sens mes doigts, tu mouilles drôlement comme une petite salope... »

Serge ne se retenait plus il criait presque, je ne le contrôlais plus, il était dans un autre monde il me prit la tête et s’enfonçât profondément, il était comme fou, me forçant à absorber plus que je ne l’aurais fait, j’en avais plein la bouche mes lèvres déformées par l’énorme cylindre qui me pistonnait jusqu’à la glotte, lui aussi se mit à me parler

« Serre bien tes lèvres sur moi, elle est grosse hein, tu ignorais le plaisir que tu pouvais donner, ahh c’est bon, tu est plus profonde que Sophie, tu en prends plus, ne recule pas, pardonne moi mais je vais jouir, serre moi les couilles, oui comme ça, aspire, oui,oui,ouiiiiii, ouiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiii »

Au moment de sa jouissance je sentis des jets puissants, à chacun de ses cris une giclée d’un liquide chaud et sirupeux m’inondait la bouche, lubrifiant sa verge qui s’agitait frénétiquement entre mes lèvres, son goût n’était pas désagréable mais une grande partie coulait de mes lèvres entre mes seins

« Serge ! pense à la petite maintenant, retire toi, oui, bigre elle t’excite salaud, quelle queue, allez viens, attends je la tiens, tourne toi bien Sonia, oui la tête vers moi, non à genoux, les fesses en l’air, attend Serge je lui retrousse sa jupe, tu vois son beau cul, oui elle n’a plus sa culotte, attends j’écarte ses fesses, prends là, en levrette, approche salaud ça m’excite de te voir, quelle bite allez enfonce toi...... »

C’est moi alors qui devînt folle, Serge me remplissait la chatte, il me tenait par la taille et m’attirait brutalement sur lui, son ventre dur fouettant mes fesses. Je sentais son gland en butée au fond de mon vagin et pour la première fois je sentis mon utérus s’ouvrir et se faire pénétrer. A un moment lors d’un recul sa queue s’échappa en glissant entre mes fesses, sans le vouloir je poussais un petit cri de déception, la chatte vide baillant d’impatience, est ce Serge ou Sophie qui remit la grosse queue en place ?

A partir de ce moment ma chatte se mit à froufrouter à chaque avancée, c’était fantastique, Sophie excitée me prit mes lèvres plantant sa langue dans ma bouche. C’est alors qu’a nouveau, mais encore plus fort qu’avec Sophie je me mis à jouir, je me trémoussais en hurlant à chaque coup de boutoir, Sophie complice de son mari me pelotait les seins et quand elle sentit faiblir mon orgasme je sentis sa main fourrailler entre mes fesses et saisissant la queue frémissante en moi elle l’obligeât à sortir pour se planter plus haut toujours entres mes fesses, dans mon cul. Plus que moi c’est alors Serge qui prit son plaisir et je sentis qu’il se soulageait dans mon cul.
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Les amantes

Le 14/09/2009 - 04:33 par Pierre le Grand
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Le 30/07/2009 - 12:57 par jean
ce serait une belle histoire sans l'arrivée du mari,qui rompt le rythme et nuit à la crédibilité...dommage!Enfin,ça n'as heureusement pas l'heur de vouloir etre vrai!

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