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Les aventures de Martine

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Lue : 11733 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/12/2011

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Depuis qu’elle était rentrée de ce week-end en Ardèche, Martine n’arrivait pas à oublier la soirée passée en compagnie de Jacques, le meilleur ami de son mari, au cours de laquelle, il l’avait copieusement baisée, en compagnie d’un autre copain, Rachid.
Pour la première fois, et sans trop savoir comment cela était arrivé, elle s’était donnée à deux hommes en même temps, des amis de longue date, découvrant des sensations incomparables qui la faisaient frémir rien qu’en y pensant.
Oubliant ses préjugés, elle s’était abandonnée à leurs désirs, les laissant la prendre comme ils l’entendaient, acceptant la sodomie qu’elle avait toujours refusé à Pierre, son mari, et jusqu’à la double pénétration qui fut une véritable révélation.
Elle avait beaucoup aimé cette expérience, ses amants d’un soir, en pleine forme et tout à fait à la hauteur, l’ayant comblée comme rarement elle l’avait été.
En retour elle avait révélé des capacités tout à fait intéressantes, notamment buccale, entretenant la vigueur de ses amis, pour son plus grand bénéfice.
Elle, qui ne connaissait que le goût de son époux, avait élargi d’un coup ses connaissances en dégustant spontanément les nectars onctueux et odorants délivrés par Jacques et Rachid, et discerné leurs subtiles différences.
Cela avait finalement eu un effet bénéfique sur son couple car des barrières étaient tombées, l’amenant à se lâcher un peu plus pendant leurs rapports, à la grande satisfaction de Pierre.
Celui-ci ignorait tout bien sûr, car elle l’aimait et ne voulait pas gâcher leur couple pour une aventure qu’elle considérait comme sans lendemain.
Mais elle ignorait que des changements s’opéraient au plus profond de son être, bousculant l’ordre établi, la menant à une nouvelle façon d’appréhender la vie.

Depuis Rachid l’avait contacté discrètement à plusieurs reprises, insistant, pour l’inviter à dîner, en toute amitié avait-il promis.
Cette invitation, à laquelle Pierre n’était pas convié, sentait le souffre de toute évidence, mais cela ne lui déplaisait pas, le souvenir de son copain lui brûlant encore le ventre
Longtemps hésitante, par peur des conséquences, elle finit par accepter l’invitation quand elle apprit le déplacement pour plusieurs jours de son mari.
Elle connaissait Rachid depuis quelques années, appréciant son humour et sa gentillesse, mais lors de cette fameuse soirée elle avait découvert chez lui des qualités physiques qui l’émoustillaient bien davantage, et ce seul souvenir l’emportait sur ses appréhensions.

Elle sentait confusément qu’elle s’était en quelque sorte privée pendant toutes ces années, se consacrant entièrement à sa famille, considérant que c’était le devoir de chaque femme mariée.
Elle acceptait maintenant l’idée de s’accorder une fantaisie, du moment que cela ne mettait son couple en danger, et sur ce point, elle était parfaitement déterminée à ne pas laisser les sentiments s’installer.

Son mari parti, Martine, toute excitée à l’idée d’enfreindre à nouveau les « règles », se prépara pour la soirée, qu’elle espérait tendre et coquine, se réjouissant à l’avance de retrouver son vigoureux ami.
La chaleur encore présente en cette fin d’été l’amena à opter pour la robe de satin blanc, plutôt coquine, achetée récemment dans le but de faire une surprise à Pierre.
Assez courte, plissée sur les épaules comme une toge romaine, elle est largement échancrée sous les bras, idem pour le décolleté qui ne cache que le strict nécessaire pour cela reste une robe.
Elle la porte sans soutien-gorge, bien évidemment, le but étant de mettre en appétit son ami en lui permettant d’apercevoir par moment les courbes affolantes de sa poitrine.
D’habitude elle porte des tenues plus classiques et surtout passe-partout, mais ce soir elle a envie de plaire, voire même d’exciter son ami, et cette robe est faite pour ça.
Debout devant son miroir, elle est plutôt contente de l’effet obtenu, ressentant malgré tout un petit trouble à se montrer aussi aguichante.

Finalement c’est Rachid qui aura la primeur de cette robe éminemment sexy.

Pour compléter sa préparation elle a sorti ses escarpins, aux talons de huit centimètres, qui lui font des jambes de rêves, bien galbées, et un dos cambré.

Sa chevelure brune libre, avec la frange sur le devant, lui donne un petit air d’écolière sur une silhouette franchement sexy.
La trentaine épanouie, Martine se sent au mieux de sa forme, désormais bien consciente de l’attrait que ses formes généreuses exercent sur la gent masculine.

C’est l’esprit enjoué qu’elle se rend au domicile de Rachid.
Il habite un petit pavillon de l’autre côté de la ville qu’elle n’a aucune difficulté à trouver.

Celui-ci l’accueille avec un large sourire, visiblement heureux de la voir, et l’invite à entrer.

Une première surprise attend Martine dans le salon.
Un grand black, assez jeune, assis sur le canapé, se lève à son arrivée, et la salue avec un large sourire :
- Bonjour, je m’appelle Moktar !
- Enchanté, moi c’est Martine ! répond-elle, une pointe d’étonnement dans la voix.
- Moktar est venu passer le week-end, c’est le fils d’un ami.

Elle croyait passer la soirée en tête à tête avec Rachid et cela n’a pas l’air d’être le cas.
Devant son air interrogateur, il s’empresse de l’informer, pour la rassurer.

- Le dîner a lieu chez un copain antillais ! il nous attend dans une heure !
- tu ne me l’avais pas dit ! ou bien je n’ai pas compris ? interroge-t-elle.
- Je ne sais plus, mais ne t’inquiètes pas, c’est un super pote, et il cuisine très bien.

Martine a du mal à cacher sa déception, malgré les efforts de Moktar pour alimenter la conversation.
Elle sent le regard du jeune homme se poser sur elle avec une telle insistance, qu’elle regrette maintenant d’avoir fait le choix de cette robe.
Elle n’ose plus bouger, mais malgré cela elle sait bien qu’il se rince l’œil à loisir, lorgnant sur son décolleté somme toute provocant, tout comme Rachid qui s’est assis à côté d’elle en lui tendant un verre de punch.

- Tu es très belle ! lui dit-il en souriant. Cette robe te va bien !
- Merci, tu es gentil !

Le rhum qui coule dans sa gorge lui fit du bien et la réchauffe, et petit à petit elle se détend, se laissant aller dans les bras de Rachid qui la serre doucement contre lui.

- tu es très sexy, tu sais… ! lui souffle-t-il à l’oreille
- Oui, mais je ne pensais pas qu’il y aurait quelqu’un d’autre !
- Ne t’en fais pas… Moktar est un gentil garçon, il n’y aura pas de problème !
- Et chez ton ami marocain… ?
- Il sera seul, ne t’inquiète pas ! dit-il d’un ton rassurant.

En s’asseyant sa robe s’est remontée jusqu’à mi-cuisses découvrant ses jambes légèrement bronzées, et offre à Moktar, assis en face d’eux, une vue plongeante sur sa petite culotte de dentelle blanche.
Martine, qui ne s’est rendu compte de rien, se laisse embrasser par Rachid, répondant à son baiser avec une envie non feinte.
Elle a décidé d’ignorer la présence du grand black, et s’abandonne aux caresses de son ami qui a passé une main dans l’échancrure de la robe, retrouvant avec plaisir les seins fermes et volumineux dont il s’est tant régalé quelques semaines auparavant.

- tu as bien fait de ne pas mettre de soutien-gorge ! souffle-t-il à son oreille. J’adore ta poitrine tu sais, tu as vraiment de beaux nibards !

Il lui malaxe les seins longuement, les tétons sont maintenant gonflés de plaisir, et il les roule entre ses doigts à la faire tressaillir de douleur.
Ne voulant pas priver son ami Moktar du spectacle, il fait glisser l’épaulette gauche de la robe, dévoilant ainsi un mamelon superbe, bien galbé.
Martine hésite sur la conduite à tenir, entre protestation et acceptation, mais la convoitise qu’elle lit dans les yeux du jeune black l’excite, la poussant à laisser faire.
Rachid enfonce ses doigts dans la chair souple, tout enjoué de ce contact si excitant, s’assurant que Moktar voit bien ce qu’il fait.
Rapidement il baisse l’autre épaulette, et Martine se retrouve la poitrine à l’air, tandis que Moktar, qui s’est levé, se rapproche du couple.

Une main, puis deux, se posent sur ses seins pour les caresser, les pressent, lui tirent sur les tétons, les pincent en les tournant jusqu’à la faire crier de douleur et d’excitation
Les pointes gonflent de plus en plus, devenant très dures et d’une taille très conséquente.

Rachid l’embrasse fougueusement, l’empêchant ainsi de se plaindre, tandis que sa main droite descend vers la culotte de dentelle blanche, sous laquelle elle se faufile, pour venir caresser la petite toison de poils noirs, taillée assez court, puis atteint les lèvres finement ourlées.
Il les effleure doucement, goûtant leur douceur, repère le corps plus ferme du clitoris qu’il masse délicatement du bout des doigts, en appuyant à peine, juste de quoi faire vibrer son amie, ce qu’il réussit à faire presque instantanément.
Il a remarqué la dernière fois que son petit bouton est extrêmement sensible, et grossit rapidement dès qu’il est sollicité, et c’est bien ce qui ce passe.
Il peut maintenant le serrer entre deux doigts et le branler, comme Martine le fait avec sa queue.
Martine a ouvert sa braguette et s’est emparé de la bite de son ami, le branlant d’une façon assez sauvage qui le faisait couiner par moment, lui rendant ce qu’ils font subir à ses seins et à son clito.
Elle se régale de la dureté de ce membre qui gonfle dans sa main, pressée de le sentir en elle, impatiente de se faire pénétrer une nouvelle fois par son ami maghrébin.

Un délicieux duel se mit en place, chacun s’évertuant à branler son partenaire le mieux possible, dans une quête commune, le plaisir de l’un décuplant le plaisir de l’autre.

Rachid se rend compte qu’il a une trique d’enfer, comme rarement il a eu, sa bite ayant atteint une taille peu habituelle, avec un gland turgescent proche de l’éruption.
Son désir pour Martine grimpe à toute vitesse, mais il veut profiter le plus possible de ce moment si intense de plaisir.
Il abandonne le petit bouton nacré pour caresser à nouveau la vulve suintante, la pressant plus fortement, jusqu’à ce que ses doigts glissent naturellement entre les lèvres brunes, et la pénètrent.
Il explore fébrilement la cavité humide et tiède, allant et venant de plus en plus profondément, déterminé à faire jouir son amie.
Fouillée de fond en comble, Martine se tord de plaisir sur le canapé, poussant son bassin en avant pour mieux s’offrir à l’investigation de son amant.

- On ne devait pas aller manger Rachid ? demande-t-elle, avec un petit sourire.
- Si, si….Mais on a un peu de temps, non !
- Un peu de temps pour quoi faire ?..... pour me baiser ?
- Ah ça oui… ! répondit-il, et pas qu’un peu tu peux me croire. J’ai tellement aimé l’autre fois, que j’ai vraiment envie de recommencer. Et je crois que Moktar devrait te plaire… !
- Comment ça Moktar ? interroge-t-elle, un soupçon d’inquiétude dans la voix.
- Ne t’affole pas, c’est un bel étalon tu sais ! Je pensais que cela te ferait plaisir… !
- Tu aurais pu m’en parler avant, non ?
- Je sais, mais comme avec Jacques et moi cela t’avait plu.…
- Jacques est un ami, ce n’est pas pareil….

Moktar vient de se déshabiller, et la regarde en se caressant doucement le sexe.
Il est effectivement superbement bien membré avec une grosse verge, bien longue et veinée, couleur chocolat, comme Martine n’en a jamais vue.
Epaisse, légèrement arquée, elle est véritablement impressionnante, dressée tel un dard magnifique.
Elle le regarde s‘approcher, les yeux rivés sur la queue brune du jeune black, se demandant s’il existe beaucoup d’hommes doté d’un tel organe.

Sans plus de préliminaire Moktar lui écarte les cuisses et frotte son gland contre la vulve déjà bien préparée par Rachid, visiblement pressé de lui faire découvrir son engin.
Quand il la pénètre, elle ressent une vive douleur, pareille à une brulure, elle a l’impression qu’on lui déchire la vulve.
Puis le pieu glisse en elle, pressant formidablement ses chairs, s’enfonçant peu à peu totalement.
Jamais elle n’a connu la sensation d’un corps étranger si gros en elle.
C’est dur et doux à la fois, diffusant une chaleur bienfaitrice qui estompe assez vite la douleur, faisant place à cette volupté inédite d’être parfaitement remplie.
Le jeune homme reste un instant immobile, laissant sa partenaire s’adapter aux dimensions remarquables de sa verge, puis se retire très lentement, observant en souriant les réactions de Martine.
Il la pénètre à nouveau, s’enfonçant cette fois-ci d’un seul coup jusqu’au fond de son vagin.
Le va-et-vient qui s’ensuit, d’abord lent, provoque des ondes de jouissance incomparables, qui la font vibrer de tout son être.

- Qu’est-ce qu’elle est bonne ta chatte… ! la félicite Moktar. Je me sens à l’aise en toi ! Tu me sens bien ?
- Ouiii…. ! répond Martine dans un souffle, bouleversée par les sensations que lui procure son jeune partenaire.
- Tu aimes ma grosse queue. ? Parce que souvent les femmes ont peur de sa taille, tu sais !
- Oh non…. C’est bon Moktar ! j’aime te sentir bien gros, bien dur… !
- Je crois qu’elle aime bien les grosses queues tu sais !confirme Rachid en riant.
Je te l’avais dit. C’est une sacrée bonne baiseuse, bien meilleure que ce que son mari croit !
- Alors on va bien te baiser … !
- Ohhh…ouiii … vas-y Moktar….baises-moi bien… !

Le jeune black se déchaine, bourrant Martine comme elle le veut, vigoureusement, profondément, enfouissant son fabuleux engin au cœur de son intimité, lui défonçant la chatte maintenant totalement détrempée, tirant à sa partenaire des plaintes de plus en plus fortes.

- Ahhh…. Ouhhhhh… ! Ouiiii…. ! Ahhhh Moktar, c’est bon… !
- Tu aimes ça, hein…. Tu aimes que je te bourre… !
- Ouiiii… Moktar, oui….. ! Vas-y… ! Bourres-moi bien… !
- Il sait ou tu es ton mari ? la questionna Moktar
- Non, bien sûr…. Il est en déplacement pour son travail !
- Il doit être loin de se douter que tu te fais baiser par un black, hein ?
-
Martine ne répond pas, pensant à Pierre qui la croit à la maison, mais elle n’a pas de remord, concentré uniquement sur le plaisir qu’elle prend, sachant que quand elle retrouvera son mari, elle lui donnera tout son amour.

Rachid, pendant ce temps, se défoule sur l’opulente poitrine de son amie, malaxant sans vergogne la fabuleuse paire de seins, pressant les mamelons dont les pointes gonflées se dressent fièrement, gorgées de désir.
Il prend entre ses lèvres les tétons devenus énormes et les tirent, puis les relâche d’un coup sec, les mordille entre ses dents, les suce avec une voracité étonnante, pour le plus grand plaisir de leur propriétaire.
Il a toujours eu un faible pour les poitrines bien fournies, et cela faisait longtemps qu’il lorgnait sur celle de Martine, en vain, d’abord parce qu’elle est mariée, ensuite parce qu’elle ne semblait pas disposée à en faire profiter quelqu’un d’autre.
Elle s’ingéniait à la cacher sous des vêtements amples pour minimiser son volume, mais Rachid n’était pas dupe, et savait que son amie avait été bien pourvue par dame nature.

Lors d’une soirée chez eux, il était passé prés de leur chambre, et par la porte entrouverte, il avait surpris Martine en train de se déshabiller.
Elle venait d’ôter son soutien-gorge, libérant deux magnifiques joyaux, ronds et opulents, qui s’affaissaient légèrement sous leur poids.
Ne se savant pas observée elle était restée devant sa glace, caressant doucement ses seins bombés, jusqu’à faire saillir peu à peu ses tétons qui prirent un volume conséquent.
Silencieux, retenant sa respiration, Rachid s’était régalé de la vision très alléchante de son amie nue à quelques mètres de lui,
Depuis ce jour, et chaque fois qu’il était en sa présence, il ne pouvait s’empêcher de penser à cette paire de melons qui le faisait bander, envieux de son copain Pierre.

Le week-end en Ardèche avait changé la donne, il avait pu enfin en jouir, s’enivrer de cette fabuleuse paire de nibards, généreux et fermes comme il les aime, d’autant que son amie semble apprécier particulièrement qu’on les lui pétrisse avec force.

- Tu as de sacrés nichons, tu sais ! je les aime vraiment ! Pierre doit se régaler, hein ?

Pour toute réponse elle lui serre un peu plus son membre dans sa main et l’astique encore plus fort, le faisant gémir de bonheur tandis qu’il durcit encore.
Rachid se redresse et vient se placer au-dessus de la tête de Martine, pour lui présenter son imposante verge érigée sur laquelle elle se jette goulûment, refermant ses lèvres sur le gland turgescent qu’elle se met à sucer comme une affamée.


Elle retrouve enfin le contact de ce pieu magnifique, chaud et dur, qui lui a prodigué tant de jouissance il n’y a pas si longtemps.
Elle hume l’odeur un peu musquée, la douceur de ce gland brun et lisse qui sait si bien se faufiler en elle, glisser dans son intimité la plus secrète, pour enfin la posséder, l’emmener vers des sommets de plaisirs à lui en faire tourner la tête.
Malgré sa taille conséquente, elle s’efforce de l’avaler le plus possible, au risque de s’étouffer, tout heureuse de sentir les palpitations de la bite contre sa langue, signe d’une excitation grandissante.
Martine aime bien sucer son mari, qui lui a enseigné l’art de la fellation, mais sucer son ami maghrébin est autrement plus jouissif, car son sexe, robuste et volumineux, lui emplit si complètement la bouche qu’elle doit presque se décrocher les mâchoires pour l’avaler.
Il en émane une impression de puissance absolue qui impose en quelque sorte le respect, et l’avoir dans sa bouche c’est partager un peu de cette force, de ce pouvoir.

- Ohhh…. Ouiiii…. ! tu me fais du bien ! Ouhhh… !gémit Rachid, tendu, les dents serrées, luttant pour retarder le moment fatidique.
Elle suce comme une reine… ! dit-il au jeune black qui laboure Martine, dévastant sa chatte détrempée.

Le membre brun va et vient tel un marteau-pilon, s’enfonçant totalement dans le vagin dilaté, avant d’en ressortir magnifiquement bandé, couvert d’une mouille visqueuse qui le fait briller.
Rachid ne peut s’empêcher d’admirer ce fantastique mandrin qui ravage Martine depuis un bon moment, et sourit en pensant à son copain Pierre, qui doit être à cent lieues d’imaginer ce que sa femme vit à cet instant.
Il se demande si elle éprouvera encore du plaisir avec lui après avoir goûté à la queue de Moktar, et à la sienne bien entendu.
Sans connaître précisément les mensurations de Pierre, il est à peu prés sûr qu’il ne fait pas le poids question taille.
Reste le savoir-faire et l’amour, et là Pierre peut sauver la mise.
Martine, le souffle court, gémit de plus en plus fort, bouleversée, exultant de bonheur sous les coups de boutoir du jeune black qui lui défonce la chatte.
L’énergie du jeune homme envahit son ventre, faisant grimper sa jouissance jusqu’à des sommets rarement atteints, jouissance qu’elle ne peut exprimer que par des râles sonores, encombrée par la verge gonflée de Rachid qui lui déforme la bouche.

Son orgasme éclate sans prévenir, l’onde de choc la traverse de part en part et elle se met à trembler de tout son corps, les yeux révulsés, en proie à une jouissance exceptionnelle.
Moktar la pilonne toujours, de plus en plus rapidement, et elle a un deuxième orgasme qui la fait crier tandis qu’elle expulse la bite de Rachid de sa bouche.
Le membre dans son ventre semble atteindre une taille exceptionnelle, exerçant une pression formidable sur ses chairs.
Elle sent brutalement un flot bouillant envahir ses entrailles, se répandre partout dans son ventre comme un fleuve bienfaisant, tandis que la pression imposée par le pieu de chair diminue.
Moktar vient de jouir en lâchant un cri presque animal, heureux de l’honorer de son abondante semence qui fuse en jets saccadés, inondant le délicat écrin qui l’accueille.

- ca fait du bien, n’est-ce pas ? interroge Rachid, d’un ton légèrement goguenard à l’adresse de son jeune camarade.
- Ah ça oui… ! répond-il en reprenant son souffle. Qu’est-ce que c’est bon de la baiser !

Toujours soudé à sa partenaire il lui caresse le ventre, les hanches rebondies, puis à son tour jette son dévolu sur les mamelons gonflés qu’il enserre dans ses larmes mains, visiblement attiré lui aussi par leur calibre très conséquent.
Ses longs doigts caressent la peau soyeuse, jouant avec les tétons durcis qui se dressent au milieu d’une belle aréole brune.
Lui aussi est adepte des poitrines plantureuses, symbole de sensualité et de fécondité, ce qui est très important à ses yeux
Au contact des généreux mamelons, il sent son sexe retrouver de la vigueur, reprend ses va-et-vient, explorant à nouveau le fourreau si accueillant de cette chatte offerte qui épouse parfaitement son impressionnante virilité, la fouillant fiévreusement, tandis que Martine gémit doucement.

- Oui…. Tu es bonne… ! Rachid a raison ! Tu sais nous faire bander toi !
- Ouhhh…Ouhh….Moktar…… ! Oui…vas-y, oui… !
- Tiens ma belle….. tu me sens bien là ? Hein ?
- Ouiii… Ouiii… ! je te sens…tu me fais du bien… !

Elle retrouve dans son ventre la pression enivrante exercée par la volumineuse verge qui a déjà retrouvé toute sa vitalité, et qui la besogne de fond en comble, coulissant très facilement dans son vagin ruisselant de sperme.
Le gland frappe le fond de son vagin, à intervalles réguliers, lui donnant l’impression que la bite occupe tout son ventre quand Moktar s’enfonce en elle, et la sensation d’un grand vide quand il ressort.

- Ohhh…Moktar ! …c’est bon ! Tu es si gros… !
- Ah…. tu aimes ça, hein ?
- Oui…. Prends-moi bien… ! Vas-y au fond Moktar… !

En quelques minutes le jeune homme jouit pour la deuxième fois, inondant à nouveau Martine de son foutre crémeux.
Il se vide les couilles sous le regard amusé de Rachid qui attend patiemment son tour, en se branlant doucement, excité par le spectacle du gourdin noir qui dévaste son amie.

- Ce soir tu es vraiment gâtée Martine … ! s’exclama-t-il.

Moktar la libère, cédant la place à son copain qui demande à Martine de se lever et de lui tourner le dos, en prenant appui sur le dossier du canapé.
Il lui enlève sa robe, désormais inutile, et les deux hommes échangent un regard admiratif devant l’appétissante croupe offerte à leur regard, ronde, charnue, prête à être honorée.
De la vulve dilatée s’écoule un peu du foutre éjaculé par Moktar ce qui la rend encore plus désirable.
Rachid caresse la paire de fesses rebondies, appréciant le velouté de la peau, la fermeté de la chair, puis il les écarte afin de bien dégager l’accès à la chatte, et d’un mouvement de rein rapide, il pénètre son amie, s’enfonçant d’un seul coup jusqu’à la garde.
Martine accuse le coup en laissant échapper une petite plainte, puis cambre le dos, poussant son postérieur vers le haut, à la rencontre du pieu de chair dont le souvenir la tenaille.
Elle en retrouve la dureté et l’ardeur qui l’ont tant bouleversée, lui faisant découvrir de nouveaux horizons de jouissance.
Déjà bien préparée par la pénétration de Moktar, sa chatte s’humidifie un peu plus, permettant au vigoureux membre de glisser en elle avec beaucoup de facilité.

- Ohhh…Rachid…. ! c’est bon…. !
- Oui…Oui… ! C’est bon de te baiser Martine…. ! je me languissais de ta chatte tu sais…. !
- Rachid… ! ….enfin ! lâcha-t-elle, un soupçon de reproche dans la voix, mais malgré tout contente de l’attrait qu’elle exerce sur son ami.
- Dire qu’il aura fallu une plus de dix ans pour découvrir ces trésors cachés !
- J’espère que Pierre n’en saura jamais rien ! Je ne veux pas lui faire de la peine, tu sais !
- Ne t’inquiète pas…
- et surtout je ne veux pas briser notre amitié à tous.

Tout en lui parlant Rachid va et vient en elle, avec des mouvements amples et réguliers, investissant son intimité avec une vitalité sans faille.
Il a une pensée pour son copain Pierre à qui il ne veut pas causer de tort, mais il a si souvent fantasmé sur sa femme, que maintenant qu’elle s’offre, il ne se voit pas refuser une si belle opportunité.
Comme il l’a toujours pressenti, malgré sa réserve et son peu de goût pour s’exhiber tout au long de ces années, Martine se révèle finalement une amante formidable.
Elle avait réservé jusqu’alors ses charmes à son seul époux, mais cela semble révolu, pour son plus grand bonheur et qui sait, celui de ceux qui croiseront dorénavant sa route.
Galvanisé par ses pensées qui attisent son désir, il a saisi Martine par les hanches et la bourre de plus en plus fort, fier de sa virilité, l’enfournant profondément en râlant de plaisir.

- Ahhh… qu’est-ce que t’es bonne… ! j’ai envie de toi… !
- Oui… ! moi aussi…. !
- J’adore te prendre comme ça Martine… ! Tu aimes, dis ?
- Oh oui…. ! Tu es bien dur… ! Bourres-moi bien Rachid. ! je veux sentir ton sexe !

Fermant les yeux elle s’abandonne à son copain maghrébin, se délectant de l’énergie avec laquelle il la baise, sentant sa queue grossir en elle, proche de l’explosion.
Celle-ci ne tarde pas, et un flot de liquide bouillant inonde son vagin, tandis que Rachid crie son bonheur.
Elle aime sentir la jouissance de son partenaire couler en elle, cela déclenche souvent son propre orgasme, ce qui est le cas.
Une déferlante de jouissance la submerge, fulgurante, la traversant de part en part.
Son corps se met à trembler, ses yeux se révulsent, tandis que Rachid lui caresse les seins, en l’embrassant dans le cou, le membre toujours ancré en elle.

- Ahh… qu’est-ce que c’était bon ! dit-il.
- Oui…. Tu m’as fait du bien…. ! souffla-t-elle, épuisée par la dépense d’énergie.
J’aime vraiment comme tu me prends tu sais… !
- Je te baise mieux que ton mari ? demanda Rachid, un brin provocateur
- Cela n’a rien à voir enfin ! vous êtes différent c’est tout… !

Le calme revenu, ils se rhabillent car l’heure du dîner a sonné et ils doivent encore faire le trajet.

- Dis-moi Rachid, questionne Martine, tu as prévu quelque chose du même genre chez ton copain antillais ?
- Non, pas du tout ! ment-il en la regardant d’un air innocent dont elle n’est pas dupe.
Mais cela dépend de toi….
- Bon, on verra bien… ! dit-elle, s’étonnant elle-même de l’excitation qu’elle a senti poindre dans son ventre.
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Histoire de pierre david

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