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Les aventures de Martine 2

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Lue : 6533 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/01/2012

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La Genèse.

En ce début d’été Pierre et Martine sa femme ont prévu un week-end en Ardèche, pour descendre les gorges en compagnie d’un couple d’amis, Jacques et Nathalie.
Les deux hommes se connaissent depuis des lustres, ayant étudié ensemble dans le même établissement, et ils sont resté liés, ont fondé leur familles, et les enfants ayant grandi, ils leur arrivent de se retrouver pour des sorties entre adultes.

Au dernier moment, Pierre, cadre dans une grande entreprise de services, est sollicité par son employeur pour assurer une permanence lors du week-end ou précisément ils devaient partir.
L’organisation est en place, les réservations de canoë sont faites, il n’a pas le cœur à tout annuler et il insiste pour que son épouse y participe sans lui.
Celle-ci, après quelques hésitations, et très motivée par ce séjour en pleine nature qui la sortira de son quotidien, finit par se laisser convaincre.

Le rendez vous est fixé chez Jacques, très tôt le matin, et c’est avec le cœur guilleret que Martine rejoint le couple d’ami, pour un voyage de quelques heures en voiture.
La trentaine épanouie, petite brune aux formes généreuses, Martine est une femme discrète, une bonne mère de famille, dévouée à son mari.
Mariée depuis dix ans à Pierre elle lui a donné deux enfants auxquels elle consacre la majeure partie de son temps.
Ce week-end est pour elle une véritable bouffée d’oxygène.
En arrivant chez ses amis, elle apprend que Nathalie ne sera pas du voyage, partie chez sa mère, très âgée et qui ne va pas bien.
Jacques assure qu’elle n’a pas voulu qu’il annule le week-end, et l’a invité à en faire profiter un ami commun, Rachid, disponible et très heureux de ce voyage en Ardèche.
Martine le connaît depuis quelques année et apprécie son humour et sa gentillesse, mais c’est plus un copain qu’un ami.

Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, le trio prend la route de l’Ardèche ou ils ont prévu d’arriver en début d’après-midi.
Après un voyage sans histoire, ils rejoignent le prestataire qui les emmène au point de départ des gorges, en amont de la rivière, leur fournit des tentes et leur donne les derniers conseils.
La descente s’effectue en deux temps, avec une nuit sous tente à mi-parcours.

Et c’est dans la bonne humeur que le trio entame son périple, dans le cadre splendide de la rivière bordée de chaque côté par des falaises impressionnantes.
Jacques, à l’arrière du canoë, fait office de chef de bord, donnant les indications pour diriger l’embarcation qui progresse rapidement dans le courant.
L’eau fraiche qui éclabousse régulièrement les passagers, leur fait le plus grand bien car la chaleur de l’été, en ce début d’après-midi est accablante.
Martine située à l’avant du bateau est celle qui reçoit le plus d’eau chaque fois qu’une vague vient s’écraser sur la coque, provoquant bien sûr l’hilarité de ses deux copains.
Son tee-shirt, rapidement trempé, lui colle à la peau, révélant le relief de ses formes généreuses et l’absence de soutien-gorge.
Souhaitant être à l’aise pour cette activité, elle n’en a effectivement pas mis, et le contact de l’eau froide raidit ses tétons qui pointent sous le tissu.

Après deux heures de descente les trois amis décident de faire une pause et abordent une petite crique, dans un passage calme de la rivière.
Le soleil toujours haut dans le ciel leur fait le plus grand bien, et ils s’installent pour un goûter bien mérité.
La conversation va bon train, mais Jacques et Rachid n’ont d’yeux que pour la poitrine saillante révélée par le tee-shirt trempé de leur amie.
Ils peuvent en apprécier le volume plutôt conséquent, distinguer aisément les aréoles brunes, assez larges, et surtout les tétons dressés qui semblent les narguer.
Martine, qui a bien remarqué le phénomène, fait comme si de rien n’était, troublée par la convoitise qu’elle lit dans le regard des deux hommes.
C’est la première fois quelle se trouve en pareille situation, en l’absence de son mari, et qu’elle ressent un intérêt aussi appuyé pour sa personne.
Jacques sonne la fin de la pause et le trio repart pour la deuxième partie de l’étape, située à mi-parcours de la descente, une crique que leur a indiqué le loueur, et ou ils planteront la tente pour passer la nuit.
En fin d’après-midi, après avoir affronté dans la gaité, nombres de petits rapides, ils abordent à l’endroit indiqué, une plage de galets accessible par un bras de la rivière, un peu à l’écart et ombragée.
Les tentes sont rapidement montées, et tandis que les garçons s’affairent à préparer un feu de camp pour le repas, Martine en profite pour faire un brin de toilette et se changer.
Cette fois-ci elle met un soutien-gorge, soucieuse de ne pas en rajouter vis-à-vis de ses copains, et un pull à col roulé car la nuit pourrait être fraîche.
Le dîner est très détendu, chacun reprenant les péripéties de l’après-midi, et le vin que Jacques a apporté est très apprécié.
Martine qui ne boit pas beaucoup habituellement se laisse aller et ne refuse pas les verres que lui sert son ami.
Dans le calme de la nuit maintenant tombée, on entend seulement les éclats de rire du trio qui résonnent, couvrant le clapotis de l’eau et le crépitement des flammes.
- cela vous dit une partie de cartes ? Questionne Jacques
- Pourquoi pas ! répond Rachid. Que proposes-tu ?
- On pourrait faire un poker !
- Je ne sais pas jouer ! S’inquiète Martine
- On va t’apprendre, c’est très facile ! la rassure Jacques
- Qu’est-ce qu’on mise ?
- On peut miser nos vêtements !
- C'est-à-dire ?
- A chaque tour le perdant doit ôter un vêtement !
- C’est spécial ton jeu, dis donc !
- Oui mais c’est très marrant, tu verras ! dit Jacques avec un grand sourire.

L’esprit un peu embrumé par le vin, Martine hésite, mais devant les deux garçons qui ne semblent pas plus clairs qu’elle, elle accepte de relever le défi.

- d’accord, on va bien voir !

Les règles expliquées, la partie commence, et Martine comprend peu à peu que la chance et le bluff sont des données indispensables au jeu.
En quelques tours les vêtements tombent les uns après les autres, entrainant de grands fou-rire, et à l’exception de Jacques qui a conservé pantalon et chaussures, Rachid puis Martine se retrouvent vite en sous-vêtements.
Celle-ci, un peu gênée, tente de sauver la face en plaisantant et en riant bruyamment, mais elle sent bien ou va le regard de ses amis.
Les deux hommes peuvent apprécier à loisir que la silhouette plantureuse de leur amie n’est pas une illusion, comme le démontre son soutien-gorge de dentelle noire dont les larges bonnets peinent à contenir une poitrine très conséquente.
Le tour suivant est perdu par Martine, brusquement mal à l’aise.
Devant son hésitation, Jacques intervient :
- tu peux prendre un gage pour sauver un vêtement si tu veux !
- Et c’est quoi le gage ?
- Embrasser celui de nous deux qui sera tiré au sort !
- D’accord, je prends le gage! Dit-elle soulagée, consciente qu’elle recule peut-être pour mieux sauter.
Malgré tout, et c’est plus fort qu’elle, elle reste déterminée à continuer le jeu.

Le sort désigne Jacques qui la regarde s’approcher de lui en souriant, tout content de l’aubaine.
Elle pose ses lèvres sur les siennes, et avant qu’elle ait pu réagir, elle sent la langue de son ami envahir sa bouche et se nouer à la sienne, dans un long baiser enthousiaste.
Instinctivement sa langue répond à l’intrusion en se liant à celle de Jacques, tandis que son cœur se met à battre un peu plus vite.

- il s’agissait d’un vrai baiser, dit-il, comme pour s’excuser.

Martine se rassoit, un peu étourdie par ce qui vient de se passer, réalisant à peine qu’elle vient d’embrasser son ami sur la bouche, et que cela lui a été plutôt agréable.
Les parties suivantes les deux hommes perdent à tour de rôle et se délestent un peu plus de leurs effets, Rachid ne conservant que son slip, et Jacques ayant toujours caleçon et tee-shirt.
Puis c’est au tour de Martine de perdre à nouveau.

- si tu veux je te propose un autre gage ! s’exclame Jacques, un brin exalté, lorgnant déjà sur la généreuse poitrine en passe d’être dévoilée.
- Ce sera quoi cette fois ?
- Une fellation à celui que le sort désignera pendant une minute !
- Non mais ça ne va pas, s’indigne-t-elle faiblement. Je ne prends pas ce gage !
- Comme tu voudras ! lâche Jacques avec un clin d’œil en direction de Rachid.
- Tu peux arrêter le jeu, dit Rachid, venant à la rescousse de sa copine, nous ne t’en voudrons pas.
- Non, non… pas tout de suite ! J’ai encore ma chance… non ?

Et sous le nez des deux garçons qui la regardent dans un silence quasi religieux, Martine dégrafe son soutien-gorge, libérant une paire de seins magnifiques, volumineux et bien ronds, qui s’affaissent légèrement sous leur poids.
Ils sont ornés d’une large aréole brune d’où émergent deux gros tétons encore au repos.
Un ange passe, pendant que Jacques et Rachid, le souffle court, contemple le spectacle offert par leur amie, encore un peu enivrée par l’alcool, et qui ressent finalement moins de gêne que prévu, plutôt fière d’ailleurs de l’émotion qu’elle suscite.

En regardant discrètement du côté de Rachid, elle constate avec amusement que son slip s’est orné d’une bosse significative, assez impressionnante.

La partie reprend, au détriment de Rachid qui se retrouve intégralement nu, avec en prime une splendide érection qu’il ne cherche même pas à cacher.
Il parait assez fier de sa virilité, de taille très respectable, longue et épaisse, de couleur brune avec un gland rond et large.
Martine observe avec émoi l’imposant attribut dont la comparaison à celui de son mari n’est pas à l’avantage de ce dernier.
Pierre étant le seul homme avec lequel elle a eu des rapports, la vision d’un sexe autre que le sien n’est effectivement pas sans effet.
Une sensation bizarre s’empare d’elle, une chaleur qui gagne ses joues, puis son ventre, un sentiment auquel elle n’est pas habituée et contre lequel elle essaie de lutter.
Mais malgré sa volonté, Martine ne peut s’empêcher de jeter de temps en temps un regard furtif en direction du pénis toujours hérissé.


La partie se joue entre elle et Jacques maintenant, et son ami a plus de chance qu’elle.
Elle ne porte plus que sa petite culotte comme ultime rempart à sa totale nudité et elle ne sent pas prête à leur exposer son sexe, aussi copine soit-elle avec eux.

- je vais prendre le gage ! dit-elle à haute voix.
- C’est comme tu veux ! répond Jacques. Nous allons tirer au sort l’heureux bénéficiaire. Je te rappelle qu’il faut le garder une minute en bouche !
- J’ai bien compris ! répond-elle

Le sort désigne Rachid, mais celui-ci intervient.

- Attends Martine, ce n’est qu’un jeu, tu n’es pas obligée d’accepter tu sais
- Merci ! dit-elle, les yeux déjà penchés sur son bas-ventre. Mais je veux respecter les règles… !

Elle s’approche de son copain, dont le corps éclairé par les flammes vacillantes du feu de camp est animé de reflets orangés.
Un peu gauche elle s’agenouille devant lui, saisit le sexe tendu sur lequel elle referme ses lèvres.
C’est la première fois qu’elle prend un sexe dans sa bouche qui n’est pas celui de son mari, et c’est avec une réelle émotion qu’elle commence à sucer le gland congestionné, chaud et odorant.
Elle est surprise par la taille et la dureté du membre, et très vite elle sent le désir monter en elle, l’ envie de l’avaler goulûment, de le sentir palpiter contre sa langue.
D’ailleurs il semble avoir encore grossi dans sa bouche.
C’est la voix de Jacques qui la ramène à la réalité.

- la minute est écoulée, c’est bon tu as réussi ton gage ! dit-il

A regret elle libère Rachid qui l’aide à se relever en lui glissant un « merci » furtif, et regagne sa place prés du feu pour terminer la partie.
Jacques perd les deux parties suivantes et se retrouve à égalité avec Martine, et il ne peut plus cacher plus longtemps le gonflement qui déforme son slip, provoquant la jubilation de son amie.
- Eh bien Monsieur Jacques, seriez-vous excité par hasard ? je me demande bien par qui ?
- J’espère que cela n’est pas par moi ! rigole Rachid
- Non je ne crois pas en effet… ! dit-elle, cambrant le dos en riant, faisant saillir ses alléchants mamelons. Allez, c’est la dernière ligne droite. Voyons qui va l’emporter !

Les cartes sont distribuées une dernière fois, et malgré un coup de bluff, Martine doit s’avouer vaincue, Jacques ayant bénéficié de meilleures cartes.

- Bon, je vais garder ma culotte, dit-elle, en échange je te fais le même gage qu’à Rachid !
- D’accord ! répond Jacques. Cela me va
- Et comme tu es le vainqueur, tu auras droit à une surprise ! ajoute-t-elle avec un petit sourire.

Martine s’accroupit devant son ami, fait rouler son slip sur les cuisses, libérant une verge déjà bien gonflée.
Plutôt petit, un peu enveloppé, les jambes poilues, Jacques n’est pas un apollon certes, mais la nature l'a néanmoins bien doté.
Sans être très long, son pénis, épais et courbé, terminé par un gland effilé, est d’un diamètre conséquent.

Contemplant le sexe qui se dresse à quelques centimètres de son visage, Martine marque un temps d’arrêt, réalisant ce qui est en train de se passer.
Jacques est leur ami depuis des années, à elle et à son mari, elle est très copine avec Nathalie, ils se sont gardé mutuellement les enfants, et ce soir elle est agenouillée devant lui, presque nue, sur le point de lui administrer une gâterie dont seul Pierre, à ce jour, a été bénéficiaire.
Son regard croise celui de Jacques, qui, silencieux, lui sourit en caressant doucement ses cheveux
Les effets de l’alcool se sont presque dissipés, mais le sentiment de désir est toujours là, bien présent, et quand elle referme sa bouche sur le membre dressé, une bouffée de plaisir l’envahit tout entière.
Sa langue s’enroule autour du gland et le lèche avec l’enthousiasme que procure la nouveauté, s’imprégnant de l’odeur virile, qui s’en dégage, puis elle descend le long de la tige boursouflée, parcourue par de grosses veines gorgées de sang.

Oubliant ou elle est, Martine se met à sucer Jacques avec une avidité étonnante, assouvissant le besoin impérieux qui s’est emparé d’elle, au mépris des règles de fidélité qu’elle a toujours respectée.
Pierre, son mari, en cet instant ne fait plus partie de son univers, seul compte le plaisir de ce sexe gonflé dans sa bouche, et elle s’applique à le pomper le mieux possible, à la grande satisfaction de son propriétaire.
Ses lèvres serrées autour du membre repoussent la peau jusqu’à la base, puis remontent vers le gland qu’elle suce délicatement avant de l’aspirer, tandis que sa main gauche malaxent les bourses bien remplies.

- Ouhhh… Martine… Oui…oui !

Elle lève les yeux vers son ami pour apprécier les effets de son petit traitement qui parait très efficace, à en juger les râles feutrés qui s’échappent de ses lèvres entrouvertes.
Ils échangent un regard qui en dit long sur l’émotion ressentie à ce moment-là par l’un et l’autre, tous deux conscients de la limite qu’ils viennent de franchir ;
Même si ce n’est qu’un jeu au départ, un défi relevé par Martine, le plaisir ressenti est bien réel.

- Hummm…hummm Martine….. c’est bon… !
- Tu aimes… ?
- Oh oui…. Tu suces bien… !

La bite, qui a encore gonflé dans sa bouche, est maintenant bien dure, tout comme les testicules qu’elle presse dans sa main et elle la sent prés de l’explosion,
S’agrippant aux fesses de Jacques, elle avale son sexe au maximum, jusqu’à sentir le gland au fond de sa gorge, les mâchoires bloquées, retenant sa respiration.
Les palpitations de la verge se font plus fortes, et brusquement un flot chaud et visqueux lui envahit la gorge, la noyant totalement.
Jacques, la tête entre ses mains, la maintient contre son bas-ventre tandis qu’il éjacule longuement, jouissant d’un orgasme particulièrement fort.
Son sperme s’écoule lentement dans la bouche de Martine qui s’en délecte avant de l’avaler, le trouvant à son goût, suave et abondant.

- dis donc Martine… ! Qu’est-ce que c’était bon… !
- Tu as aimé…? Interroge-t-elle en léchant les traces de semence sur ses lèvres.
- Ah ça oui...j’ai aimé !
- C’était le cadeau au vainqueur ! mais cela reste entre nous… d’accord ? dit-elle en regardant les deux hommes qui acquiescent d’un signe de tête, encore sous le coup de la surprise.

Qui aurait cru que Martine, cette épouse modèle, serait capable d’une chose pareille ?

Elle ramasse ses affaires, salue ses compagnons et se dirige vers sa tente, l’esprit en ébullition, le goût du sperme dans la bouche.
Elle ne ressent aucun remord, plutôt l’excitation de la découverte, comme un enfant à qui on vient d’offrir un jouet inattendu.
Elle se dit qu’elle ne pourra jamais s’endormir dans cet état, aussi choisit-elle d’aller vers la rivière ou elle a repéré une petite plage avec du sable.
Pendant un long moment elle reste là, assise, à écouter le bruit de l’eau, appréciant le calme de la nuit qui peu à peu l’apaise.
Elle n’en revient toujours pas de ce dont elle a été capable avec son ami, regrettant presque d’avoir pris autant de plaisir.
Elle sait pourtant qu’elle aime un seul homme, son mari.

Un craquement de bois mort la sort de sa rêverie, et elle reconnaît la silhouette de Rachid qui a troqué son jean contre une sorte de djellaba.
Il s’approche et vient s’asseoir à ses côtés.

- Je n’arrive pas à dormir ! dit-il. Toi aussi ?
- Oui, c’est pareil… ! répond-elle La soirée a été riche en surprise, non ?
- C’est le moins qu’on puisse dire !
- Tu sais que je suis un peu jaloux… !
- Rachid….enfin… !
- J’ai cru pourtant que tu avais apprécié…. !
- C’est vrai… dit-elle, un soupçon de regret dans la voix
- Tu ne veux pas finir ce que tu as commencé…? Insiste Rachid

Martine, silencieuse, le regarde, ne pouvant nier que la sensation de son sexe imposant dans sa bouche quelques instants auparavant l’a beaucoup troublée.
Mais c’était un jeu.
Puis il y a eu Jacques, et là, sans savoir pourquoi, elle s’est lâché, prenant un réel plaisir à lui faire une fellation en règle, allant jusqu’à avaler sa semence.
Elle tente de lutter contre le sentiment de désir qui remonte en elle, le même qu’elle a eu tout à l’heure, mais elle ne peut détourner son regard du renflement qui grossit sous le tissu fin de la djellaba.
Lentement, comme hypnotisée par le mât en train de s’ériger, elle tend la main vers le bas-ventre de son copain.
Martine pose sa main sur la barre de chair qu’elle masse à travers le tissu, la sentant gonfler peu à peu, sous le regard amusé de Rachid qui s’est allongé sur le sable.
Instinctivement elle se tourne vers les tentes, mais tout est calme, et Jacques doit sûrement dormir.
Un peu hésitante, comme si elle redoutait les conséquences de ce qu’elle s’apprête à faire, elle remonte la djellaba, saisit à pleine main le membre brun qui se dresse devant elle, impressionnant par sa taille, et commence à le branler.

- Qu’est-ce qu’il est gros ! S’exclame-t-elle
- Tu aimes… ?
- Je ne suis pas habituée, tu sais… !
- Alors profites-en… ! Prends le dans ta bouche… j’adore ça !

Martine se penche sur lui, retrousse la peau pour décalotter complètement le gland rond et lisse sur lequel elle referme ses lèvres avec gourmandise, faisant tressaillir instantanément son compagnon.
Le contact du gland, doux et tiède, contre sa langue, est si voluptueux qu’il balaie d’un coup les réserves qu’elle pouvait encore avoir.
Martine n’a plus qu’une envie, celle d’avaler cette superbe verge, la sucer jusqu’à la moelle, lui tirer tout son savoureux nectar.
Prise de frénésie, elle la branle et la suce avec un appétit féroce, excitée par sa dureté et son volume hors du commun.

- Ohhh Putain… Martine… Ouhh …..oui… tu me fais du bien !

Elle se régale de la bite exceptionnelle de son ami, essayant de l’avaler presque complètement, jusqu’à s’étouffer, sa tête allant et venant sur le pieu de chair hérissé, à une cadence endiablée.
Sa main libre s’est emparée des bourses et malaxe les gros testicules qui roulent entre ses doigts.
C’est la première fois qu’elle tient des couilles aussi volumineuses dans sa main, et elle trouve ça très excitant.
Pendants de longues minutes Martine se délecte de la virilité gonflée à bloc, enivrée par son odeur prenante, la léchant de bas en haut comme un délicieux esquimau.

— Aahhh… ouhhhh… je sens que je viens, Martine, s’écrie Rachid, en lui pressant la tête contre son bas-ventre.

Son sexe disparaît presque complètement dans la bouche affamée, quand brusquement Martine sursaute.
Rachid, qui n’a pu résister plus longtemps au traitement, vient d’éjaculer.

— Aahhhh… c’est bon !… Ouhhh !… Martine… Putain….Ouiii !

Dans l’ombre protectrice de cette nuit ardéchoise, à mille lieues de son mari, Martine s’abreuve avec délectation de la semence tiède et épaisse qui jaillit de la verge plantée dans sa bouche.
Les jets de foutre inondent sa gorge et l’enivrent véritablement, lui faisant perdre toute notion de la réalité
La bouche emplie de sperme, elle continue de sucer Rachid, allant et venant sur la tige dégoulinante, le trop plein s’écoulant aux commissures des lèvres en longs filets crémeux.
Doucement, avec application, elle lèche le membre, le nettoyant de toute trace, et c’est à regret qu’elle se résous à libérer son trophée, encore étourdie par le plaisir qu’elle a pris et celui qu’elle a donné à son ami.

- Tu as aimé ? demande Rachid
- Ma foi oui ! répond-elle, c’était vraiment bon. Et toi… ?
- C’était trop fort… tu suces vraiment bien !
- Rachid…. ! A t’entendre on dirait que je suis une spécialiste !
- Non, mais tu te débrouilles réellement bien… je suis sincère !
- Bon, eh bien je te souhaite une bonne nuit…. Fais de beaux rêves…A demain
- Bonne nuit !

Martine regagne sa tente, le cœur encore en ébullition, étonnée d’avoir répondu aussi facilement aux attentes de son copain, presque honteuse du plaisir qu’elle a ressenti en prenant son sexe dans sa bouche, et surtout d’avoir presque joui en avalant sa semence.
Elle ne se rappelle pas avoir pris autant de plaisir depuis longtemps avec son mari dont elle aime pourtant bien sucer le membre.

Allongée elle reprend peu à peu ses esprits, se caresse le ventre, descends sur sa vulve qu’elle découvre trempée.
Elle effleure doucement son clitoris déjà bien gonflé et la moindre caresse lui déclenche des vagues de jouissance qui la parcourent instantanément.
Concentrée sur son copain elle ne s’était même pas rendue compte à quel point il l’avait excitée.
Elle se caresse doucement, essayant de se concentrer sur son mari, mais rien n’y fait, c’est bien les sexes de ses deux copains qui hantent son esprit, et en quelques minutes elle parvient à bel orgasme qui la secoue longuement.

A suivre….
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Histoire de pierre david

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