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Les fesses de Lola

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Lue : 21664 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/11/2011

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Les fesses de Lola ; la cambrure de Lola : Où des retrouvailles miraculeuses : J’ai reçu cette histoire de celle que j’estime par-dessus tout malgré l’éloignement qui nous sépare à nouveau. Je l’appelle Lola mais son pseudo est autre et vous le connaissez si vous êtes de fidèles lecteurs de nos aventures.

Je ne veux rien changer à ce texte qui lui appartient. Je vous le livre tant il m’a ému par l’émotion qu’il dégage et sa désespérance. Je ne peux garder pour moi seul ce moment d’érotisme écrit au féminin. J’espère que Lola recommencera à nous écrire de belles histoires comme avant et je la remercie de m’avoir mêlé à cette fiction, comme quoi, je l’espère, elle pense encore un peu à moi. Je l’attends patiemment.


A la fin je vous proposerai le même texte, enrichi si j’ose dire, par mes commentaires inspirés au fil de ma première lecture et écrits entre parenthèses (….).

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Il était tard, d’ailleurs il faisait nuit… Je finissais de regretter d’être sortie si tard… Enfin il faisait chaud mais on n’y voyait presque pas… Je ne saurais dire ce qui m’était passé par la tête mais j’avais besoin de prendre l’air après la journée merdique que j’avais passée… J’aurais aimé me défouler mais je ne vois pas très bien contre qui j’aurais pu pester car je vis seule… Il y a bien un autre moyen mais il faut être deux… Il y a bien des jeux solitaires mais encore faudrait t’il être dans l’ambiance et ce n’était pas mon cas… Si je voulais me changer les idées de cette façon, il me faudrait de l’aide !


Enfin me voilà dehors, marchant tout en me plaignant à moi-même et m’apprêtant à tourner dans ma rue alors qu’une voiture s’arrête à ma hauteur… J’entends la vitre se baisser mais je n’ose me retourner de peur de tomber sur un psychopathe ou un truc du genre… Je feins n’avoir rien remarqué et maintiens ma trajectoire : je n’étais plus très loin de mon immeuble…J’entends alors une voix... Celle-ci m’est familière alors je me retourne et reconnaît immédiatement la personne à qui elle appartient…


« Pierre ??? Eh bien, je ne m’attendais pas à te croiser ici à pareille heure… Comment vas-tu ?

- Très bien ! Pour tout te dire j’ai passé la soirée chez des amis et comme nous n’avons pas vu l’heure passer… Mais toi, que fais-tu dehors à cette heure-ci ? Tu sais qu’il est presque une heure du matin ?
-
- Je prends l’air, je marche sans but précis… J’étais sur le chemin du retour…
-
- Oh… bien… Je suis content de t’avoir revue…. Cela me fait plaisir !
-
- A moi aussi… »


Pierre et moi étions mal à l’aise… Il était bien évident que nous ne nous attendions pas à nous rencontrer en de pareilles circonstances mais il y avait autre chose… Quelques mois auparavant, Pierre et moi avions entretenu une relation très passionnée mais pour des raisons floues nous avions dû y mettre un terme… Peut-être que nous n’étions pas prêts… Enfin je ne sais plus très bien… Pour ma part, mon malaise venait du fait qu’il m’attirait toujours autant… Il avait toujours su me combler, tant mentalement que physiquement… Alors j’ai soudain eu envie de l’inviter à boire un café… Le problème étant de savoir s’il allait accepter ou pas, car en cet instant précis, un refus m’aurait simplement achevée ! Mais il avait l’air d’attendre quelque chose car malgré le fait que nous étions en train de nous dire au revoir, sa voiture de démarrait toujours pas…, alors j’ai tenté le coup :


« Euh, tu sais, je suis presque à la maison et je ne comptais pas me coucher tout de suite... Donc… Euh… Peut-être qu’un café te tenterait ?

- Je ne voudrais surtout pas m’imposer mais cette proposition est alléchante, surtout que je crois me souvenir que tu fais d’excellents cappuccinos…
-
- Super ! Allons-y alors… »


J’étais très contente qu’il accepte ma proposition… Aussi longtemps que je me souvienne, il avait toujours été d’excellente compagnie…Alors que nous montions les escaliers pour atteindre le premier étage, le fait qu’il soit sur mes talons fit remonter les souvenirs du voyage que nous avions fait à Cannes… C’est comme ça que tout avait commencé, en montant un escalier pour rejoindre la chambre que nous avions prise pour la nuit… Après cet escalier, nous avions fait l’amour pour la première fois… NON !!! Je ne dois pas penser à ça car ce n’est pas la raison pour laquelle je l’ai invité… Enfin pas consciemment en tout cas…


Alors que les cappuccinos étaient servis, nous bavardions et riions de bon cœur ??? Que ce bien-être m’avait manqué… J’étais si bien en sa compagnie… J’avais oublié ce sentiment et je me rendais compte à quel point le fait d’être constamment en colère ou triste pouvait être fatiguant…


Il y eut alors un regard très gênant… Nos yeux s’étaient croisés et avaient du mal à se défaire l’un de l’autre… Il s’approcha alors de moi pour m’arracher un baiser… Mon corps fut totalement électrisé et réagit instinctivement, lui rendant le baiser qu’il venait de me donner… Mes mains passaient et repassaient dans ses cheveux alors que les siennes se mouvaient dans mon dos… Je ne voulais pas que cela s’arrête…


« Cela m’avait trop manqué… Tu m’avais trop manqué… Quand je t’ai vu marcher dans la rue, je croyais rêver…

- Ne me laisse plus alors…
-
- Je ne te laisserais plus… et tu sais quoi ?
-
- Non, dis-moi…
-
- J’ai envie de toi… »


Il m’avait susurré cette dernière phrase au creux de l’oreille… J’ai dû fermer les yeux pour contenir le gémissement qui voulait à tout prix sortir de ma bouche… J’en mouillais d’excitation mais je ne lui répondis pas… Et je ne sais d’ailleurs pas pourquoi… J’avais envie de lui arracher ses vêtements poussée par mes instincts primaires contre lesquels je luttais de toutes mes forces… Nous nous sommes alors séparés à contre cœur d’ailleurs… Mais il était toujours aussi proche de moi car je sentais encore son souffle saccadé et chaud sur ma peau… Je voulais replonger vers ses magnifiques lèvres mais il ne fallait pas… Pas tout de suite, pas comme ça ! Nous allions reproduire les mêmes erreurs… Il fallait absolument calmer le jeu…


« Je vais débarrasser la table et faire la vaisselle…

- Je peux t’accompagner ? T’aider ?
-
- Non ça ira… Je n’en ai pas pour longtemps mais merci quand même… »

-
J’avais les idées complètement brouillées… Je devais m’isoler pour réfléchir un peu à ce qui allait probablement se passer… Quelles en seraient les conséquences si je me laisser trop aller ? Regretterais-je ? Impossible ! Serais-je capable de lui résister ? Peu probable…


Perdue dans mes pensées, je me rendis compte que cela faisait déjà la troisième fois que je lavais la même tasse… Je mis un coup d’accélérateur quand je sentis un souffle dans ma nuque, puis des mains sur mes hanches…

« J’en avais marre d’attendre… J’ai toujours très envie de toi… Pas toi ?

- Si, mais…
-
- Tu veux que j’arrête ?
-
- Non n’arrête pas… N’arrête jamais… »


Mon choix était fait… Le simple fait d’imaginer l’éventualité qu’il s’arrête écrasa le peu de volonté que j’avais au départ, car sentir son corps contre le mien et son souffle dans mon cou m’emporta dans un tourbillon de désir… La seule chose qui résonnait à présent dans mon esprit était « Je te veux ! »… Alors je fermais les yeux et me laissait aller lorsque ses mains se mirent à parcourir mon corps… Ma respiration se saccada lorsqu’il se mit à m’embrasser dans le cou… Et je gémis doucement lorsque je sentis la bosse dans son pantalon qui se frottait contre mes fesses…


Je ne l’ai peut-être pas précisé mais nous étions en plein mois d’août et il faisait chaud… Je portais une petite robe grise à bretelles fines dans un tissu très léger… Celle-ci s’arrêtait mi-cuisse… Pierre, lui, portait un pantalon en lin blanc accompagné de sa chemise ce qui le rendait très élégant comme toujours… Enfin, autant vous dire qu’il n’y avait pas grosse épaisseur de tissu entre nous deux ! Donc, même à travers nos vêtements respectifs, nous ressentions les caresses comme si elles avaient été faites à même la peau…


Pierre me connaissait par cœur, il savait tout de mes désirs… Ce qui me faisait particulièrement mouiller ou ce qui me faisait gémir… Il savait y faire ! Alors qu’il jouait de sa main gauche avec mes tétons… Je sentis sa main droite descendre jusqu'à mes cuisses… La deuxième vint l’y rejoindre… Ayant l’intérieur des cuisses très sensibles j’eus du mal à rester concentrée… Il remontait lentement ma robe jusqu'à ma taille et avait ainsi tout le loisir de m’admirer… Ses mains étaient si douces ! Elles me promettaient d’intenses moments…


Il caressa mes fesses alors que je me cambrais au maximum… Il avait l’air très excité par le petit string rouge que je portais…De mon côté j’avais peur de me transformer en fontaine… Le pire était de sentir les soubresauts de son sexe entre mes fesses… Il devenait de plus en plus dur…


Je voulais me retourner afin de me retrouver face à lui mais il avait l’air d’apprécier le fait que je lui sois entièrement soumise… Je devais juste être patiente car mon tour viendrait… En attendait je voulais mieux le sentir… Alors je m’appuyais sur lui et remuait les fesses du mieux que je pouvais afin de l’exciter davantage… Peut-être qu’il craquerait et me prendrait là maintenant, sur place… Non ! je le connaissais trop bien… Il savait se maîtriser mieux que personne… Ce n’était pas si facile de le faire craquer…Peut-être que si je lui demandais gentiment…


« Humm… Oh, Pierre…

- Tu es toujours aussi belle ma chérie…
-
- Et toi tu sais toujours t’y prendre… Je mouille tellement… J’ai envie que tu me prennes de suite, là dans la cuisine…
-
- Je vois que ta patience ne s’est pas améliorée…
-
- A qui la faute ? Tu me donnes trop envie… Et là crois-moi tu serais bien, planté en moi car je mouille bien… Cela glisserait tout seul… Tu n’en as pas envie… ?
-
- Oh que si ! Mais laisse-moi te torturer encore un peu… »


Je le sentis dans mon dos qui se déshabillait… J’allais enfin être comblée par son énorme queue car croyez-moi, Pierre a été gâté par la nature aussi bien en terme de longueur que de largeur… Il retira mon string avec précaution… et revint se coller derrière moi… Je sentais son chibre chaud qui bouillonnait de plaisir… et je le voulais en moi… Il l’abaissa pour pouvoir la faire glisser entre mes deux cuisses…


Il avait tout le loisir de caresser ma chatte, de se frotter à elle, de s’enduire de ma mouille… Je le voulais !! Cela devenait insoutenable, alors il exauça mon vœu… Là, debout devant l’évier dans la cuisine… il centra sa queue sur mes lèvres et poussant tout doucement… Je me sentais écartée… C’était si bon… si jouissif !


Il me pénétra d’environs cinq centimètres Mais pas plus… faisant des aller-retour afin de bien me tenir m’écarter… Je voulais qu’il accélère et qu’il s’enfonce bien profondément en moi car je ne suis pas patiente, surtout quand je suis excitée… Ce petit jeu dura quinze bonnes minutes… Autant vous dire que je n’en pouvais plus ! J’étais sur le point d’exploser… Je voulais que l’on jouisse ensemble… Je ne sais pas ce que ressentait Pierre à ce moment… Avait-il comme moi, du mal à se retenir ? Ou était-il prêt à me torturer toute la nuit ? Je verrais bien… Nous avions déjà fait l’amour plus d’une fois dans la même nuit… Pierre était vigoureux, très vigoureux même !

« Viens, retourne-toi… Assieds-toi sur le plan de travail… »

Je m’exécutais alors sans mot dire… Il m’écarta les cuisses et me pénétra de nouveau tout en m’embrassant…Je pus mettre mes bras autour de son cou et l’embrasser autant que je voulais pendant qu’il me faisait l’amour car par chance le plan de travail était pile à la bonne hauteur… Pierre n’avait pas besoin de plier de plier les genoux ou encore de se tenir sur la pointe des pieds… C’était juste parfait… Nous nous regardions dans les yeux… Cela rendait l’acte encore plus délicieux… Mais il s’en tenait au cinq centimètres de pénétration… Quelle torture !


« Pierre, je te veux bien profondément…

- Quelle gourmande ! Nous avons le temps pour ça tu sais ? Car je n’en ai pas encore fini avec toi…
-
- Justement… Viens, jouis avec moi ! Enfonce-toi, accélère,…Je veux entendre le bruit sourd provoqué par le choc de nos deux corps comme lorsque tu me prenais comme un forcené… Te souviens-tu ? »


Je l’avais touché… Il se souvenait parfaitement et je lui avais donné envie de recommencer… Allait-il seulement le faire ?

« Alors tu es sûr de toi ?

- Oui c’est ce que je veux ! Ne sois pas si tendre… Nous aurons tout le temps pour ça plus tard… L’heure est à la jouissance… Défoule-toi… Laisse sortir la bête qui est en toi… Déchaîne-toi !
-
- Tu sais bien ce qui finit par arriver lorsque la bête se réveille… Mais tant pis pour toi… Tu l’auras voulu… »


J’esquissai un sourire… Il avait enfin cédé… Mais ce sourire fit place à une grimace qui me déforma la bouche lorsque j’émis un cri de plaisir… Il s’était enfoncé en moi d’un coup sec, jusqu’à la garde ! Rien que ce coup, m’assomma… Une telle quantité de plaisir dans un moment si bref ! J’avais envie de l’insulter à cause de la surprise mais c’était tellement bon… La suite fut cataclysmique… Je ne reconnais presque plus le Pierre si doux avec qui j’avais pris un cappuccino… Je l’entendais ahaner pendant qu’il me besognait comme un animal… De mon côté je ne pouvais me retenir de hurler tant le plaisir était intense… J’avais l’impression que mon cœur allait s’arrêter de battre… Pourtant je l’encourageais à aller plus vite, plus fort, encore et encore… Je me sentais au bord du précipice, je m’en approchais dangereusement...


« Pierre… Pierre… je… Je vais jouiiiiir !

- Hum… Oui… vas-y jouis… Je viens aussi… »


Nos cris se mêlèrent l’un à l’autre lorsque je me sentis violemment jetée dans ce précipice nommé jouissance… Je tombais encore et encore dans ce puits qui n’avait pas l’air d’avoir de fond au fur et à mesure des giclées de sperme que je sentais au fond de moi… La tempête se calmait peu à peu… Et Pierre se retira doucement… Mais je n’osais bouger de peur que le sol se dérobe sous mes pieds… Pierre me prit alors dans ses bras… Qu’allait-il se passer maintenant ?


« Pierre ?

- Oui ?
-
- Reste avec moi... Passe le week-end avec moi… J’ai encore besoin de toi…
-
- Je vais essayer de m’arranger… J’avais déjà prévu des choses mais je vais essayer…
-
- Merci… »


Je ne pouvais toujours pas bouger tant mes jambes flageolaient alors Pierre me porta jusque dans ma chambre et il m’allongea sur le lit… Je l’invitais à me rejoindre mais il avait l’air hésitant… Oh non ! Regrettait-il déjà ? je n’aurais pas dû ! Je savais que cela finirait comme ça… Je sentais les larmes me monter aux yeux… Puis il me regarda l’air triste…

« Est-ce que ça va ?

- Quelle question ! Je ne pourrais aller mieux…
-
- Ne mens pas ! As-tu mal quelque part ?
-
- Mais non ! Qu’est ce qui te prend ? Je n’ai mal nulle part… Au contraire tu m’as fait beaucoup de bien…
-
- Jure-moi que tout va bien…
-
- Je te le jure… »


Son visage se détendit et il vint alors s’installer à mes côtés…


« Je croyais t’avoir blessé… J’y suis allé un peu fort et vu l’état dans lequel tu es…


- Mon corps réagit bizarrement je l’avoue… Mais je te promets que tout va bien ! C’était si bon, si intense !!! J’ai hâte de recommencer ! Mais… enfin on peut y aller doucement… J’aime quand tu es doux aussi tu sais… Je me suis laissé emporter… J’étais en manque, pleine de colère et de tristesse… Cela m’a permis de me défouler ! Alors je t’ai un peu provoqué… Je ne le ferai plus… pardonne-moi…

-
- J’ai vraiment eu peur de t’avoir du mal… et si ça arrivait je m’en voudrais énormément…
-
- Pourquoi as-tu si peur de me faire mal ? Ce n’est jamais arrivé pourtant… Je sais que tu as été gâté par la nature mais de là à me blesser…
-
- On ne sait jamais… Je me suis senti… incontrôlable ! enfin tu vas bien et c’est l’essentiel ! Alors concentrons-nous sur ce week-end ? Que voudrais-tu que l’on fasse ?
-
- Je ne sais pas… Que peut-on-faire ?
-
- Absolument tout ! Tout ce que tu désires…

-
- Alors quelque chose qui nous permettrait de nous détendre … Il fait chaud alors quelque chose de rafraîchissant… Mais sans trop de bruit… Un truc calme… On pourrait d’ailleurs tout simplement rester ici, chez moi… A moins que tu aies une autre idée ?
-
- ………………………………..

- (Des idées ! avec toi c’est facile d’en avoir, ma Lola, tu es si désirable, si ardente ; tu es belle et quand tu jouis ton visage, ton corps rayonne. Tu parles de calme, de sérénité, j’ai toujours en mémoire la nuit que nous avons passée à Cannes quand j’ai du te prendre dans mes bras, pour te réchauffer, pour te réconforter. J’étais heureux de le faire sans abuser de toi, de ce moment de faiblesse. Tu vois chérie je pourrais encore passer une nuit comme celle là à te tenir simplement dans mes bras.)
-


Manifestement, Pierre avait des idées

(« Rassure toi ma Baby, je suis heureux de rester cette nuit prés de toi, depuis notre séparation j’en ai tellement rêvé et quand je t’ai vue errer dans la rue cette nuit, j’ai eu envie de te protéger et un espoir fou m’a envahi, celui de faire vibrer ton corps, ton corps qui m’excite tant »)


« C’est vrai, tu me désires encore ? »

« Je suis fou de toi ma chérie!



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Comme promis, le même texte, exactement, mais complété par mes réactions écrites au fil de la première lecture, et mises entre parenthèses…(…) On peut y voir monter mon excitation quand je réalise ce que Lola attends de moi et quand dans le récit elle s’abandonne en jouissant, j’ai jouis moi aussi, puissance de l’imagination, pour de vrai. Depuis je ne me lasse pas de relire ce moment de bravoure


Les fesses de Lola
Il était tard, d’ailleurs il faisait nuit… Je finissais de regretter d’être sortie si tard… Enfin il faisait chaud mais on n’y voyait presque pas… Je ne saurais dire ce qui m’était passé par la tête mais j’avais besoin de prendre l’air après la journée merdique que j’avais passée… J’aurais aimé me défouler mais je ne vois pas très bien contre qui j’aurais pu pester car je vis seule…


(Il faut vraiment être désespéré pour sortir ainsi, la nuit, au milieu de tous les dangers. J’espère que tu ne fais pas cette imprudence. Si tu as le blues pense à moi ; maigre consolation me diras-tu, mais dans ces cas là je saurais te serrer dans mes bras, t’embrasser te caresser chastement, comme tu aimais ; par la pensée, malheureusement pour moi.)


Il y a bien un autre moyen mais il faut être deux…
(toi et moi par exemple)


……Il y a bien des jeux solitaires…..
(avec tes mains, tes doigts comme tu me l’as décrit dans le jardin secret de ton lit, sous la couette)


….mais encore faudrait-il être dans l’ambiance et ce n’était pas mon cas… Si je voulais me changer les idées de cette façon, il me faudrait de l’aide !
(As-tu pensé à l’expédient d’un bon sextoy, le rabbit me semble assez efficace, sur le net j’en ai vu un autre, très petit, discret, qui comporte deux crochets flexibles qui se serrent comme des pinces sur le capuchon du clitoris et sur les petites lèvres très sensibles de la chatte en vibrant)


Enfin me voilà dehors, marchant tout en me plaignant à moi-même et m’apprêtant à tourner dans ma rue alors qu’une voiture s’arrête à ma hauteur… J’entends la vitre se baisser mais je n’ose me retourner de peur de tomber sur un psychopathe ou un truc du genre…
(Cela existe malheureusement)


Je feins de n’avoir rien remarqué et maintiens ma trajectoire : je n’étais plus très loin de mon immeuble…J’entends alors une voix... Celle-ci m’est familière alors je me retourne et reconnaît immédiatement la personne à qui elle appartient…


« Pierre ??? Eh bien, je ne m’attendais pas à te croiser ici à pareille heure… Comment vas-tu ?
(pas mal et toi…..lamatelas !. …..je plaisante !
Tu vois nous sommes faits l’un pour l’autre, toi , fraîche émoulue des études tu dois savoir quelle est la probabilité d’une telle rencontre. 100% dans notre monde, celui des fantasmes, dans le réel 0% sauf si nous le voulions,)


- Très bien ! Pour tout te dire j’ai passé la soirée chez des amis et comme nous n’avons pas vu l’heure passer… Mais toi, que fais-tu dehors à cette heure-ci ? Tu sais qu’il est presque une heure du matin ?

-
- Je prends l’air, je marche sans but précis… J’étais sur le chemin du retour…
-
- Oh… bien… Je suis content de t’avoir revue…. Cela me fait plaisir !
-
- A moi aussi… »

- (Tu vois je ne te gronde même pas, j’aurais du car j’ai été trop malheureux de ta si longue absence)


Pierre et moi étions mal à l’aise… Il était bien évident que nous
ne nous attendions pas à nous rencontrer en de pareilles circonstances mais il y avait, autre chose… Quelques mois auparavant, Pierre et moi avions entretenu une relation très passionnée…..
(Je m’en souviens c’était bon)


…..mais pour des raisons floues nous avions dû y mettre un terme…
( pas de mon fait car je t’adore)


Peut-être que nous n’étions pas prêts…
(moi si )


Enfin je ne sais plus très bien…
(tu vois ! )


Pour ma part, mon malaise venait du fait qu’il m’attirait toujours autant…
(je suis heureux de te plaire encore ,ma beauté noire que je désire moi aussi)


Il avait toujours su me combler, tant mentalement que physiquement…
(tu te rappelles comme nous avons jouis ensemble tous les deux, par exemple dans ce petit cabanon perdu dans un paradis au pied du ventoux)


Alors j’ai soudain eu envie de l’inviter à boire un café…
(le café du pauvre ? comme cela se dit injustement car le plaisir ne choisit pas la condition des amants)


. Le problème étant de savoir s’il allait accepter ou pas, car en cet instant précis, un refus m’aurait simplement achevée !
(Tu me connais pourtant, comment refuser ce geste amical moi qui irait au bout du monde pour toi !)


Mais il avait l’air d’attendre quelque chose car malgré le fait que nous étions en train de se dire au revoir, sa voiture de démarrait toujours pas…,
( je tremble, j’attends, je n’ose espérer que tu m’invites)


alors j’ai tenté le coup :

« Euh, tu sais, je suis presque à la maison et je ne comptais pas me coucher tout de suite... Donc… Euh… Peut-être qu’un café te tenterait ?
(Ce qui me tente, c’est toi)


- Je ne voudrais surtout pas m’imposer mais cette proposition est alléchante, surtout que je crois me souvenir que tu fais d’excellents cappuccinos…
- (tu baises bien aussi, j’aime quand je te fais jouir)
-
- Super ! Allons-y alors… »


J’étais très contente qu’il accepte ma proposition… Aussi longtemps que je me souvienne, il avait toujours été d’excellente compagnie…Alors que nous montions les escaliers pour atteindre le premier étage, le fait qu’il soit sur mes talons fit remonter les souvenirs du voyage que nous avions fait à Cannes…
(Un des bons moments d’une relation, j’espère plus qu’un café, je vois tes jambes, je regarde tes fesses qui ondulent, la cambrure de tes reins, je bande déjà)


C’est comme ça que tout avait commencé, en montant un escalier pour rejoindre la chambre que nous avions prise pour la nuit…
(Dans les Alpes du sud enneigées)


Après cet escalier, nous avions fait l’amour pour la première fois… NON !!! ……
(Siiiiiiii penses y au contraire car si tu le veux nous allons recommencer)


…..Je ne dois pas penser à ça car ce n’est pas la raison pour laquelle je l’ai invité… Enfin pas consciemment en tout cas…
(C’est juste pour se revoir ? c’est déjà bien, mais baiser c’est mieux, avoue que tu y penses)


Alors que les cappuccinos étaient servis, nous bavardions et riions de bon cœur ??? Que ce bien-être m’avait manqué… J’étais si bien en sa compagnie… (Moi aussi, tu sais que je t’aime, que je te respecte, on pourrait être bien encore si tu le voulais)


J’avais oublié ce sentiment et je me rendais compte à quel point le fait d’être constamment en colère ou triste pouvait être fatiguant…
(La vie est comme cela à présent, il faut réagir, le bonheur n’est jamais bien loin si on le cherche)


Il y eut alors un regard très gênant… Nos yeux s’étaient croisés et avaient du mal à se défaire l’un de l’autre…
(Je te sonde, j’essaie de lire en toi, je te devine, il faut que j’agisse)


Il s’approcha alors de moi pour m’arracher un baiser… Mon corps fut totalement électrisé et réagit instinctivement, lui rendant le baiser qu’il venait de me donner… (Que c’est bon de sentir à nouveau ta langue enlacée dans la mienne, de sentir ton parfum qui m’enivre, de goûter à ta bouche aux saveurs de miel)


Mes mains passaient et repassaient dans ses cheveux alors que les siennes se mouvaient dans mon dos…
(Je ne rêve pas, je lis du désir dans tes yeux)


Je ne voulais pas que cela s’arrête…
(Ne crains rien, tout dépend de toi ma chérie)


« Cela m’avait trop manqué… Tu m’avais trop manqué… Quand je t’ai vu marcher dans la rue, je croyais rêver…
(Le rêve n’est pas le bon mot, c’est un miracle, dieu merci !)


- Ne me laisse plus alors
-
- Je ne te laisserais plus… et tu sais quoi ?
-
- Non, dis-moi…
-
- J’ai envie de toi… »


Il m’avait susurré cette dernière phrase au creux de l’oreille… J’ai dû fermer les yeux pour contenir le gémissement qui voulait à tout prix sortir de ma bouche…
(Je te comprends, c’est le moment où notre corps se gorge d’adrénaline


…….J’en mouillais d’excitation …..
(moi je bandais depuis un long moment)


…..mais je ne lui répondis pas… Et je ne sais d’ailleurs pas pourquoi… J’avais envie de lui arracher ses vêtements poussée par mes instincts primaires contre lesquels je luttais de toutes mes forces…
(La bête se réveille, je t’aime quand tu deviens comme çà , je sais que rien ne pourra te rassasier en dehors de puissantes pénétrations)


Nous nous sommes alors séparés à contre cœur d’ailleurs… Mais il était toujours aussi proche de moi car je sentais encore son souffle saccadé et chaud sur ma peau…
(Je cherche à te rendre folle, je comprends ta réserve mais je sais que tu ne vas pas pouvoir résister à ta pulsion, à ton envie irrépressible de jouir)


Je voulais replonger vers ses magnifiques lèvres mais il ne fallait pas…
(tu cherches de mauvais motifs, tu sais au fond de toi que nous allons nous aimer comme des fous)


Pas tout de suite, pas comme ça !
(pourtant si !)


Nous allions reproduire les mêmes erreurs…
(Celles d’être bien ensemble ?)


Il fallait absolument calmer le jeu…
(Tu sais bien que ce n’est plus possible, sens-tu tes cuisses qui s’inondent)

« Je vais débarrasser la table et faire la vaisselle…

- Je peux t’accompagner ? T’aider ?

- (Je m’inquiète un peu, aurais tu cette force de renoncer à jouir avec celui, moi, que tu désires si fort)
-
- Non ça ira… Je n’en ai pas pour longtemps mais merci quand même… »

-
J’avais les idées complètement brouillées… Je devais m’isoler pour réfléchir un peu à ce qui allait probablement se passer…
(Tu vois tu y penses)


Quelles en seraient les conséquences si je me laisse trop aller ?
( du plaisir comme jamais )


Regretterais-je ?
(Je te promets que non)


Impossible ! Serais-je capable de lui résister ? Peu probable…
(Tu sais depuis le début ce qui va arriver pour notre plus grand plaisir)


Perdue dans mes pensées, je me rendis compte que cela faisait déjà la troisième fois que je lavais la même tasse…
(tu es perdue)


Je mis un coup d’accélérateur quand je sentis un souffle dans ma nuque, puis des mains sur mes hanches…
(A moi de forcer le destin, je sais ce que tu aimes et ce qui te fera céder à tes interrogations négatives)


« J’en avais marre d’attendre… J’ai toujours très envie de toi… Pas toi ?

- Si, mais…
-
- Tu veux que j’arrête ?
-
- Non n’arrête pas… N’arrête jamais… »
- (C’est décidé , je t’affirme que tu le savais depuis le début)


…..mon choix était fait… Le simple fait d’imaginer l’éventualité qu’il s’arrête ……
(Si tu avais su mon désir tu n’aurais pas ce soucis)


….écrasa le peu de volonté que j’avais au départ, car sentir son corps contre le mien et son souffle dans mon cou m’emporta dans un tourbillon de désir…
(Je te retrouve enfin, j’en suis sur maintenant, je vais tout faire pour te donner du plaisir)


La seule chose qui résonnait à présent dans mon esprit était « Je te veux ! »… Alors je fermais les yeux et me laissait aller lorsque ses mains se mirent à parcourir mon corps…
(J’aime te caresser, tu es si belle, si réactive )


Ma respiration se saccada lorsqu’il se mit à m’embrasser dans le cou…
(J’ai réservé le creux de tes oreilles pour la suite quand nous serons chauds tous les deux)


Et je gémis doucement lorsque je sentis la bosse dans son pantalon qui se frottait contre mes fesses…
(J’adore tes fesses tu le sais, j’aimerais que tu me les montre pour de vrai ou en photo mais pour le moment la description que tu m’en as faite me suffit, cette cambrure parfaite propre à ta race, à tes ancêtres)


Je ne l’ai peut-être pas précisé mais nous étions en plein mois d’août et il faisait chaud… Je portais une petite robe grise à bretelles fines dans un tissu très léger… Celle-ci s’arrêtait mi-cuisse… Pierre, lui, portait un pantalon en lin blanc accompagné de sa chemise ce qui le rendait très élégant comme toujours… Enfin, autant vous dire qu’il n’y avait pas grosses épaisseurs de tissu entre nous deux ! Donc, même à travers nos vêtements respectifs, nous ressentions les caresses comme si elles avaient été faites à même la peau…
(J’adore ces caresses indirectes au travers des étoffes, ma verge a un sens du toucher hors normes)


Pierre me connaissait par cœur, il savait tout de mes désirs… Ce qui me faisait particulièrement mouiller ou ce qui me faisait gémir… Il savait y faire !
(C’est chouette car justement ce qui te fait mouiller et gémir c’est ce qui me fait bander et me tendre. Je sens mon sexe entre tes fesses et j’essaie d’aller au plus profond de ce vallon enchanteur autant que nos vêtements pourtant légers le permettent. Je m’y trouve bien et je me vautre sur toi par de petits mouvements de mon bassin de haut en bas)


Alors qu’il jouait de sa main gauche avec mes tétons… Je sentis sa main droite descendre jusqu'à mes cuisses… La deuxième vint l’y rejoindre…
(L’attaque générale commence, j’adore quand je sens tes seins gonfler, tes tétons se raidir sous mes caresses, je mesure ainsi ton plaisir qui arrive et cela m’encourage. J’aime quand tu gémis, quand tu te tortilles sous moi.)


Ayant l’intérieur des cuisses très sensibles j’eus du mal à rester concentrée…
(Qu’elles sont douces tes cuisses sous ta robe légère, qu’il est troublant le moment où ma main retrouve ta chair nue et qu’elle remonte doucement caressant l’une, caressant l’autre dans l’arc de plus en plus étroit qui les sépare au fur et à mesure de sa remontée vers ton fruit, vers le dernier rempart de tes lèvres intimes, de ta source.)


Il remontait lentement ma robe jusqu'à ma taille et avait ainsi tout le loisir de m’admirer…
(C’est plus commode ainsi, et tes hanches sont si épanouies)


Ses mains étaient si douces ! Elle me promettait d’intenses moments… Il caressa mes fesses alors que je me cambrais au maximum…
(J’adore les fesses comme les tiennes, bien rondes, ouvertes, une main par devant qui rejoint celle passée derrière entre tes fesses avec mes doigts qui serrent tes lèvres intimes tapies sous ton string et qui virevoltent autours de ton mignon petit trou plissé)


Il avait l’air très excité par le petit string rouge que je portais…
(Oui excité au possible depuis le début, mais encore plus maintenant que je m’approche de ton intimité, je sens que tu mouilles, que tu es bien)


De mon côté j’avais peur de me transformer en fontaine… Le pire était de sentir les soubresauts de son sexe entre mes fesses… Il devenait de plus en plus dur…
(Tu penses j’y suis si bien)


Je voulais me retourner afin de me retrouver face à lui mais il avait l’air d’apprécier le fait que je lui sois entièrement soumise… Je devais juste être patiente car mon tour viendrait… En attendant je voulais mieux le sentir… Alors je m’appuyais sur lui et remuait les fesses du mieux que je pouvais afin de l’exciter davantage…
( Si tu savais comme cela me fait du bien je pourrais jouir si je te laissais faire, mais il faut que je réagisse, ce serais du gâchis)


…….Peut-être qu’il craquerait et me prendrait là maintenant, sur place… Non ! je te connaissais trop bien… Il savait se maîtriser mieux que personne… Ce n’était pas si facile de le faire craquer…Peut-être que si je lui demandais gentiment…
(Je ne fais pas cela pour te torturer, je sais que tu seras heureuse dans quelques instants)


« Humm… Oh, Pierre…

- Tu es toujours aussi belle ma chérie…(plus belle encore que dans mon souvenir)
-
- Et toi tu sais toujours t’y prendre… Je mouille tellement… J’ai envie que tu me prennes de suite, là dans la cuisine…
- (C’est une bonne idée, où ? sur la table ? assise sur le buffet ? où sur le lave vaisselle ?)

-
- Je vois que ta patience ne s’est pas améliorée…
-
- A qui la faute ? Tu me donnes trop envie… Et là crois-moi tu serais bien, planté en moi car je mouille bien… Cela glisserait tout seul… Tu n’en as pas envie… ?
- (Tu sais bien que si, j’aime quand ta chatte pleine de ta mouille est bien ouverte, toutes les pores de ma hampe sont en alerte, tu es profonde et tu me reçois complètement)

-
- Oh que si ! Mais laisse-moi te torturer encore un peu… »
-
- Non pas cela, mon impatience n’a d’égale que la tienne


Je le sentis dans mon dos qui se déshabillait…
(Tu vois, je me prépare pour toi, je sais que tu aimes mon torse, mon ventre nus contre toi glissant sur ta peau perlée de sueur)


J’allais enfin être comblée par son énorme queue car croyez-moi, Pierre a été gâté par la nature aussi bien en terme de longueur que de largeur…
(Il s’est encore développé depuis rassure toi sans devenir une infirmité, ce qu’il faut, comme tu as toujours aimé)


Il retira mon string avec précaution…
(J’aime ce moment où on découvre les trésors dont on rêve, j’adore faire glisser ce petit rempart de soie sur tes cuisses qui se lèvent une après l’autre pour le passer sur chaque pied. Devant ces écartèlements érotiques Il me vient alors des envies de m’agenouiller et de glisser mon visage ; ma langue, sur l’anus proche et entre tes lèvres intimes)


…. et revint se coller derrière moi…
(moment béni entre tous, quand nos chairs s’épousent enfin sans entraves)


Je sentais son chibre chaud qui bouillonnait de plaisir… et je le voulais en moi…
(Il est tellement raide que j’ai du mal à le décoller de mon ventre )


Il l’abaissa pour pouvoir la faire glisser entre mes deux cuisses…
(tu dois sentir la pression de mon gland relevé dans ta raie tant je suis tendu)


Il avait tout le loisir de caresser ma chatte, de se frotter à elle, de s’enduire de ma mouille… Je le voulais !!
(Oui je commence à bouger, ça glisse bien en effet, attends j’écarte bien tes fesses, mets ta main par devant entre tes cuisses et capte mon gland au passage, tu le sens ? )


Cela devenait insoutenable, alors il exauça mon vœu… Là, debout devant l’évier dans la cuisine… il centra sa queue sur mes lèvres et poussant tout doucement… Je me sentais écartée… C’était si bon… si jouissif !
(Oui en me reculant bien, et en avançant mon gland ravage ta raie, il passe sur ton petit anus mignon et il s’engouffre entre tes grosses lèvres, doucement, doucement, il s’attarde en écartant tes petites lèvres si sensibles, je le sais maintenant et il écrase ton clitoris et là je laisse mon gland agir car je sens que cela te fais du bien)


Il me pénétra d’environs 5 cm… Mais pas plus… faisant des aller-retour afin de bien me tenir, de bien m’écarter…
(Je suis en toi enfin, pas assez enfoncé à ton gré mais ne sens tu pas mon gland énorme en toi, quand je me retire je le sors de ta vulve mais pas complètement car quand je m’enfonce à nouveau je t’écartèle la chatte et ce doit être jouissif, dis le moi ma chérie)


Je voulais qu’il accélère et qu’il s’enfonce bien profondément en moi car je ne suis pas patiente, surtout quand je suis excitée… Ce petit jeu dura 15 bonnes minutes… Autant vous dire que je n’en pouvais plus ! J’étais sur le point d’exploser… Je voulais que l’on jouisse ensemble… Je ne sais pas ce que ressentait Pierre à ce moment…
(Si j’avais su ton attente si fébrile je t’aurais sabrée d’un coup comme je sais que tu aimes, désormais je ne jouerais plus avec cela,)


Avait-il comme moi, du mal à se retenir ? Ou était-il prêt à me torturer toute la nuit ? Je verrais bien… Nous avions déjà fait l’amour plus d’une fois dans la même nuit… Pierre était vigoureux, très vigoureux même !
(tu as pourtant une fois connue mes limites, il est vrai une nuit où nous n’avions pas cessé de jouir dans le « Retour très hard »)


« Viens, retourne-toi… Assieds-toi sur le plan de travail… »

(La fantaisie commence)

Je m’exécutais alors sans mot dire… Il m’écarta les cuisses et me pénétra de nouveau tout en m’embrassant…Je pus mettre mes bras autour de son cou et l’embrasser autant que je voulais pendant qu’il me faisait l’amour car par chance le plan de travail était pile à la bonne hauteur…
(Cela c’est parfait, combien de fois le plaisir est gâché si la chatte est trop haute et surtout trop basse. Comme çà avec la longueur de ma verge je peux tout voir, si tu savais comme c’est jouissif de tout voir , ce gland, cette hampe qui entre et sort de ton ventre aimé)


Pierre n’avait pas besoin de plier de plier les genoux ou encore de se tenir sur la pointe des pieds… C’était juste parfait… Nous nous regardions dans les yeux… Cela rendait l’acte encore plus délicieux… Mais il s’en tenait au 5 cm de pénétration… Quelle torture !

(J’exagère, ce n’est pas bien)

« Pierre, je te veux bien profondément…

- Quelle gourmande ! Nous avons le temps pour ça tu sais ? Car je n’en ai pas encore fini avec toi…
- (je deviens macho, cela ne me ressemble pas)

-
- Justement… Viens, jouis avec moi ! Enfonce-toi, accélère,…Je veux entendre le bruit sourd provoqué par le choc de nos deux corps lorsque tu me prenais comme un forcené… Te souviens-tu ? »
- ( oui c’est comme cela qu’il faut faire)


Je l’avais touché… Il se souvenait parfaitement et je lui avais donné envie de recommencer… Allait-il seulement le faire ?
(je devrais)


« Alors tu es sûr de toi ?

- Oui c’est ce que je veux ! Ne sois pas si tendre… Nous aurons tout le temps pour ça plus tard… L’heure est à la jouissance… Défoule-toi… Laisse sortir la bête qui est en toi… Déchaîne-toi !
- (surtout pour le premier coup de la soirée, il ne faut pas tergiverser, la nature a ses besoins, il sera toujours temps après de s’amuser en route)

-
- Tu sais bien ce qui finit par arriver lorsque la bête se réveille… Mais tant pis pour toi… Tu l’auras voulu… »
- (Il semble que j’ai oublié ta vraie nature, ce que tu aimes par-dessus tout, de bonnes pénétrations bien profondes, rapides, presque brutales qui se terminent par de bonnes giclées de foutre et tout cela en te triturant les seins, un doigts sur ton clitoris…..alors qu’est ce que j’attends ?)


J’esquissai un sourire… Il avait enfin cédé… Mais ce sourire fit place à une grimace qui me déforma la bouche lorsque j’émis un cri de plaisir… Il s’était enfoncé en moi d’un coup sec, jusqu’à la garde ! Rien que ce coup, m’assomma… Une telle quantité de plaisir dans un moment si bref ! J’avais envie de l’insulter à cause de la surprise mais c’était tellement bon… La suite fût cataclysmique… Je ne reconnais presque plus le Pierre si doux avec qui j’avais pris un cappuccino… Je l’entendais ahaner pendant qu’il me besognait comme un animal… De mon côté je ne pouvais me retenir de hurler tant le plaisir était intense…

(Finalement on a bien fait d’attendre, car ta jouissance est immense et mon plaisir égal au tien) entre parenthèse depuis un moment je ne tape que d’une seule main sur le clavier, la main droite, la gauche caresse ma verge, tendue à l’extrême, sortie avec mes couilles de ma braguette grande ouverte ; il ne faudrait pas grand-chose pour que j’explose, que c’est bon….j’attends la suite du récit…….


J’avais l’impression que mon cœur allait s’arrêter de battre… Pourtant je l’encourageais à aller plus vite, plus fort, encore et encore… Je me sentais au bord du précipice, je m’en approchais dangereusement...
(Je te reconnais bien , cette exigence qui ne supporte pas la médiocrité, heureusement que je suis comme je suis, armé pour contenter la bête sauvage que tu deviens quand tu es partie)


« Pierre… Pierre… je… Je vais Jouirrrrrrr !

(Je le vois bien, je le sens) moi aussi , ma main s’accélère sur ma hampe, je me masturbe, je décalotte mon gland comme un fou, je me tends sur ma chaise, j’ai abandonné le clavier, les yeux dans le vague sur l’écran tout en me branlant, je me tripote les couilles, j’imagine ton visage ,je te vois, écartelée sur moi, tes cuisses ouvertes, ma main serrée sur ma hampe, puissance du fantasme, c’est ta chatte. C’est le moment je n’en peux plus…… ;Ahhhhhhhh…….ouiiiiiicébon


- Hum… Oui… vas-y jouis… Je viens aussi… »
- (Tu sens comme je t’inonde ? tu sens les jets puissants de foutre au fond de toi , comme tu aimes, tu le sens qui te ramone la vulve et qui dégouline entre tes cuisses, qui ruisselle dans la raie de tes fesses, je suis merveilleusement bien en toi….tu t’abandonnes toi aussi….nous ne faisons qu’un engloutis dans un océan de plaisir…..) oui j’ai tout inondé de mes jets de liqueur nacrée, mon pantalon , mon bureau, mon clavier, je ne regrette rien……


Nos cris se mêlèrent l’un à l’autre lorsque je me sentis violemment jeté dans ce précipice nommé jouissance… Je tombais encore et encore dans ce puits qui n’avait pas l’air d’avoir de fond au fur et à mesure des giclées de sperme que je sentais au fond de moi…

(Finalement nous sommes bien assortis tous les deux, ce plaisir immense que nous savons nous donner, cet orgasme en commun, au même instant, quel chef d’œuvre) puisses tu, toi aussi, ma Lola jouir en nous relisant comme tu le faisais dans ton studio d’étudiante quand tu étais seule, sous la couette, ton iPAD en main, ton regard brulant mes phrases, tes doigts sur les pointes de tes seins érectées et sur ton clito bandé attendant en le retardant le plus possible comme je viens de le faire à l’instant le moment de jouir avant de plonger dans un lourd sommeil peuplé de nous, de nos étreintes…..)


La tempête se calmait peu à peu… Et Pierre se retira doucement… Mais je n’osais bouger de peur que le sol se dérobe sous mes pieds… Pierre me prit alors dans ses bras… Qu’allait-il se passer maintenant ?


« Pierre ?

- Oui ?
-
- Reste avec moi... Passe le week-end avec moi… J’ai encore besoin de toi…
-
- Je vais essayer de m’arranger… J’avais déjà prévu des choses mais je vais essayer…

- (Rien n’aurait pu m’empêcher de rester avec toi ma chérie, après cette absence si douloureuse pour moi, chaque seconde avec toi c’est le paradis….)
-
- Merci… »

- (Non, non c’est moi)


Je ne pouvais toujours pas bouger tant mes jambes flageolaient alors Pierre me porta jusque dans ma chambre et il m’allongea sur le lit…
(C’est normal après tant de plaisir)


Je l’invitais à me rejoindre mais il avait l’air hésitant… Oh non ! Regrettait-il déjà ? je n’aurais pas dû ! Je savais que cela finirait comme ça… Je sentais les larmes me monter aux yeux… Puis il me regarda l’air triste…

(Que se passe t’il ma chérie ?…..pourquoi ces larmes ? Tu as besoin de reprendre confiance en toi, quelque chose a du arriver pour te faire perdre de ta superbe, car tu mérites d’être aimée, choyée, câlinée et moi personnellement je te devrais tout si nous faisions l’amour pour de vrai, tu es une gentille femme, sensible, aimante, tu es un morceau de roi pourquoi cette désespérance ?


« Est-ce que ça va ?

- Quelle question ! Je ne pourrais aller mieux…
-
- Ne mens pas ! As-tu mal quelque part ?
-
- Mais non ! Qu’est ce qui te prend ? Je n’ai mal nulle part… Au contraire tu m’as fait beaucoup de bien…
-
- Jure-moi que tout va bien…
-
- Je te le jure… »

Son visage se détendit et il vint alors s’installer à mes côtés…

« Je croyais t’avoir blessé… J’y suis allé un peu fort et vu l’état dans lequel tu es…


- Mon corps réagit bizarrement je l’avoue… Mais je te promets que tout va bien ! C’était si bon, si intense !!! J’ai hâte de recommencer ! Mais… enfin on peut y aller doucement… J’aime quand tu es doux aussi tu sais… Je me suis laissé emporter… J’étais en manque, pleine de colère et de tristesse… Cela m’a permis de me défouler ! Alors je t’ai un peu provoqué… Je ne le ferai plus… pardonne-moi…
-
- J’ai vraiment eu peur de t’avoir du mal… et si ça arrivait je m’en voudrais énormément…
-
- Pourquoi as-tu si peur de me faire mal ? Ce n’est jamais arrivé pourtant… Je sais que tu as été gâtée par la nature mais de là a me blesser…
-
- On ne sait jamais… Je me suis senti… incontrôlable ! enfin tu vas bien et c’est l’essentiel ! Alors concentrons-nous sur ce week-end ? Que voudrais-tu que l’on fasse ?
-
- Je ne sais pas… Que peut-on-faire ?
-
- Absolument tout ! Tout ce que tu désires…
-
- Alors quelque chose qui nous permettrait de nous détendre … Il fait chaud alors quelque chose de rafraîchissant… Mais sans trop de bruit… Un truc calme… On pourrait d’ailleurs tout simplement rester ici, chez moi… A moins que tu aies une autre idée ?

-
- Manifestement, Pierre avait des idées

-
- « Rassure toi ma Baby, je suis heureux de rester cette nuit prés de toi, depuis notre séparation j’en ai tellement rêvé et quand je t’ai vue errer dans la rue cette nuit, j’ai eu envie de te protéger et un espoir fou m’a envahi, celui de faire vibrer ton corps, ton corps qui m’excite tant »
-
- « C’est vrai, tu me désires encore ? »
-
- « Je suis fou de toi ma chérie!


- ( J’ai alors senti ton immense besoin de tendresse, je me suis allongé près de toi, nous nous sommes regardés tendrement, intensément, blottis chastement l’un contre l’autre, nos corps nus heureux de se frôler, de s’épouser. Heureux j’ai vu tes yeux se fermer et comme il y a longtemps j’ai veillé sur toi la nuit entière. De quoi demain sera fait ? nous verrons……….
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Histoire de Pierre le Grand

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