Ma rédemption de 3 jours I

Cela faisait 3 mois que je n’étais plus avec ma copine. Je l’avais quittée sans lui donner de raisons après un an et demi de relation et après avoir appris qu’elle m’avait trompé avec un ami à moi.
Malheureusement, une fois la colère dépassée, il s'avéra que je ressentais encore la même chose pour elle, je décidai alors de l'appeler et quand elle répondit, d'une voix stressée, je lui dis :
-Salut, Victoria, c'est moi...

Il y eut un court silence et elle répondit :
-Ah oui salut, je t'avais pas reconnu.

Nous échangeâmes des banalités, avant que je l'entende dire :
-Dis donc tu aurais pas envie de repasser chez moi? Je me sens un peu seule, mes parents sont partis pendant 3 jours...

Elle avait dit çà d'une voix langoureuse, je ne me trompais pas, elle me proposais carrément du sexe pendant 3 jours ! Je ne pus refuser, même si cela m'étonnait, car je la connaissais un peu réservée de ce coté là, et on se mit d'accord sur le fait que je devais rester discret et faire attention en arrivant que ses voisins ne m'aperçoivent pas.

Je préparai un sac avec ce qu'il me fallait, pas grand-chose car il faisait très chaud chez elle et que l’on avait l'habitude de ne pas se rhabiller après avoir fait l'amour. Je pris quand même des préservatifs car, de ce coté-là, je ne savais plus où elle en était. Je partis ensuite. N'ayant pas de voiture, j’ai dû faire du stop et me faire déposer à une rue de chez elle.

Je m'approchai de sa maison et après un coup d'œil pour voir si quelqu'un m'observait, je suis rentré dans son allée. Quand j’ai voulu sonner à sa porte, j’ai aperçu un mot sur lequel était marqué : " Rentre torse nu et sans sonner, ouvre le premier tiroir de la commode à l'entrée". Ce message énigmatique m’a excité et je ne me posai plus du questions.

J’ai alors retiré mon t-shirt, je suis entré et j’ai ouvert le tiroir où se trouvait un masque noir servant à se bander les yeux. Il y avait encore un mot : "Mets-le et attends ; si tu le retires, tu n'auras plus qu'à repartir chez toi."

Je commençai a sentir mon sexe se gonfler, ce petit scénario m'amenant à m'exciter de plus en plus. Je mis le bandeau et attendis. Peut-être une minutes après, quand je commençais déjà à douter de la vraie raison de ma venue, j'entendis sa voix.

-Viens.

C'était sec, autoritaire, presque dur. J'avançai doucement presque à tâtons.

-Plus vite!

J'avançai toujours doucement, je sentis qu'elle prenait ma main et me tira droit devant ; je connaissais assez la maison pour savoir qu'on était dans son salon. Elle me fit monter sur une chaise.

-Lève les bras

Je ne compris pas, mais m'exécuta car j'étais de plus en plus excité. Je sentis quelque chose qui serra mes deux poignets séparément. Ensuite la chaise se déroba, sans doute elle qui l'avait enlevée, j'étais suspendu en l'air, j'avais un peu mal au bras mais rien de méchant.

-Qu'est-ce que tu fais?!

Je commençai à paniquer un peu.

-Tais-toi ! Je ne t'ai pas autorisé à parler. A partir de maintenant tu es à moi pour au moins 3 jours !

-Mais...?

C'est là que je regrettai cette parole, je venais de sentir une douleur cuisante sur la joue, elle venait de m'envoyer une baffe si forte que je ne lui en aurais même pas cru capable.

-J'ai dit, "Tais-toi!"

J'étais un peu sonné, et je sentis qu'elle ouvrait mon pantalon ; elle l'enleva.

-Mais dis donc, ça t'excite gros pervers!

En effet, vu la douleur que je ressentais a cause de l'enserrement de mon boxer, je devais avoir une sacré bosse.

Je sentis une douleur, cette fois-ci sur mon cul, et cette fois, ce n'était pas sa main ; çà avait claqué beaucoup trop fort, çà brûlait, elle retira mon boxer et caressa mes fesses avec ses ongles, ce qui augmenta encore la brûlure. Quand je sentis qu'elle s'écarta, j'essayai piteusement de frotter mes fesses avec mes pieds en espérant calmer la douleur.

- Arrête de gigoter, ça va être flou.

Je compris qu'elle était en train de me prendre en photo. Elle retira mon bandeau : elle était devant moi avec son appareil photo, elle ne portait qu’un top qui ne couvrait que sa lourde poitrine, dont les tétons pointaient, et une jupe très courte. Sa chevelure, qu'elle savait très belle, était comme d'habitude : de long cheveux blonds qui s'étendaient jusqu'en haut du dos. Elle avait beaucoup de succès.

- Arrête de me mater gros pervers, regarde plutôt ça.

Et elle me montra les photos qu'elle avait déjà prises, on me voyait mettre le bandeau moi-même, puis debout sur la chaise. Sur les dernières photos, j'étais nu avec des gros plans sur mes fesses déjà rouges et sur mon sexe tendu devant moi.

- Si tu ne m'obéis pas, je pense que tu sais où ces photos atterriront !" dit-elle avec un clin d'œil et un sourire malicieux.

Je le savais, oui, un fanatique de la série Gossip Girl avait créé un site Internet pour l'école et on y postait toutes les rumeurs et les photos embarrassantes. Ce site marchait du tonnerre mais si ces photos y apparaissaient, je serais grillé pour le reste de ma vie.

-Ne fais pas ça, s'il te plait!

Cette fois ce furent mes cuisses qui prirent un gros coup de ce qui s'avérait être une cravache, celle qu'elle devait utiliser pour l'équitation !

-Si t’as quelque chose à dire tu peux aboyer ou gémir en espérant que je t'accorde le droit à la parole, comme tous les chiens dans ton genre!

J'étais vraiment humilié et mes bras commençaient a se fatiguer. Je décidai d'entrer dans son jeu, le temps de me tirer de là. J'aboyai donc piteusement, en rougissant de honte, ce qui la fit sourire au plus haut point.

-Oui, petit chien? Tu peux parler, mais fait attention, sois respectueux !

-Mes bras me font souffrir, Victoria...Détache-moi...

Et hop, cette fois, c'étaient mes bras qui prirent un coup.

-J'ai dit avec respect, tu me vouvoies : déjà, tu m'appelles Maîtresse, et tu parles mieux que ça !

-Bien

-Bien qui?

-Bien Maîtresse..

Cette fois, elle sembla satisfaite. Elle monta sur une chaise et me détacha d'un coup ; je tombai par terre.

-Assis, chien!

Je me mis assis, comme un chien, je rougissais de plus en plus mais paradoxalement, mon excitation persistait. Elle m'attacha les poignets reliés par une petite chaîne de 10 cm et les chevilles de la même manière si bien que je ne pouvais plus marcher qu'a quatre pattes. Elle me mis un collier et une laisse et me tira jusqu'à sa chambre.

Elle m'attacha au pied de son lit et relia les chaînes de mes poignets et de mes chevilles par une autre chaîne dans mon dos.

J'étais immobilisé, elle me retourna sur le dos et commença a me masturber puis elle entoura mon sexe de ses lèvres brillantes. Je ne pouvais bouger, tant le plaisir était intense. Après quelques minutes déjà je sentais que j'allais venir, elle dût le sentir aussi car elle stoppa tout d'un coup. J’eus dû réprimer un son réprobateur, ma frustration était tellement forte que j'en avais presque mal.

Je la regardai d'un air interrogateur qui devait être pitoyable, lorsqu'elle me dit:

-Ahah, je sens que je vais aimer ces quelques jours avec toi. Tu as l'air déçu, ça doit être dur ! J'adore te regarder comme ça! Surtout que ce n'était qu'un petit avant-goût de ce qui va t'arriver...

Elle prit encore quelques photos puis s'en alla en éteignant la lumière.
Me laissant seul, j'avais froid, elle avait volontairement laissé la fenêtre ouverte. Je me demandai si je voulais qu'elle revienne pour me détacher où si j'avais peur de ce qui pourrait encore m'arriver, car, si je savais quelque chose d'elle, c'est qu'elle tenait ses promesses, après tout elle ne m'avait jamais promis qu'elle ne me tromperait pas...