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Margot

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Lue : 2864 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/10/2014

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Mon chéri est absent pour deux semaines. C'est dur de se trouver seule si longtemps.
J'ai ce qu'il faut à la maison.
Mon gode me sert, plusieurs fois par jour même. En pleine après-midi, je me déshabille, me couche suivant mon humeur soit dans la chambre, soit sur le divan. Je sais qu'un voisin curieux me guette. Je le fait souvent exprès devant la fenêtre ouverte. Je sais qu'il me guette, sacré voyeur : je ne suis pas pudique, alors au contraire ça m’excite toujours un peu, même s'il m'arrive de l'oublier.

Mais aujourd'hui est spécial, je dois recevoir une ancienne copine, une avec qui, des fois, nous nous faisions des choses agréables, Margot. J'espère qu'elle n'a pas oublié nos relations peu platoniques.
Aujourd'hui elle a du retard. Le train sans doute. Je vais l'attende tranquillement en me masturbant : un orgasme de plus ou de moins ne me gêne pas, ce sera pris d'avance.

Je ne porte qu'une vague robe de chambre, digne d'un ex bordel : je montre toute mes joyaux. Mes seins se tiennent bien en l'air, mon ventre est plat, mes fesses bien remplies, le pubis rasé selon les normes d'un ticket de métro : je me sens baisable, c'est ce que me dit mon époux.
Un coup de sonnette : Margot. Enfin.
Il me tardait qu'elle soit là, depuis le temps que je m’ennuie d'elle, de ses caresses, de sa bouche, de ses doigts agiles.
Je ne suis pas présentable, c'est exprès, Margot me retrouveras comme elle aimait.
Je me souviens de notre encontre, de notre première fois, avant :

C'était pendant notre dernière année en fac. Elle faisait notariat et moi une licence toute bête. L'hiver arrivait, j'étais gelée chez moi. Elle habitait juste un petit appartement en face de l'autre côté du couloir. Avant de coucher j'allais chez elle pour prendre le chaud. Elle avait un grand poêle en fonte, je me collais presque contre cet antédiluvien feu.

Nous bavardions comme des pies, ce que nous étions un peu à dire des choses sur les autre, sur les garçons : ils étaient idiots, menés par leur bite avant leur cervelle, ils ne pensaient qu'à la même chose. Comme si nous ne pensions pas comme eux, en nous cachant un peu.
Un soir de printemps elle ne pouvait pas me recevoir elle devait passer une nuit avec un gars, disait-elle, plein d'avenir.
Seule dans mon coin, je pensais à ce qu’elle devait faire, devait lui faire, bref, je m'excitais seule. Je résistai à mon envie de me satisfaire.

Le lendemain je lui demandais comment elle avait passé sa nuit : merveilleusement bien : elle entrait dans une foule de détails que je ressassais la journée entière. Le soir en me déshabillant pour la nuit, je repensais encore à ce qu'elle avait fait.
Je me masturbais comme jamais. Ma main caressait la chatte, le clitoris, le vagin, je la glissais vers l'anus (oui, je rêvais de me faire sodomiser). Encore plus tard je lui disais que je prenais mon plaisir seule.

Le soir même elle venait dans ma chambre. Assis sur le lit, elle me caressait lentement le seul bras hors du lit. Elle montait très haut, jusqu'à passer sa main sous le drap.
Mes tétons se durcissaient quand sa main commençait à me caresser doucement superficiellement.

Elle posait sa bouche sur la mienne : j'étais éperdue de bonheur. Nos langues jouaient longuement. Une main est venue sur moi, sous le drap. Elle allait bien en bas, jusqu’à ma chatte. C’était la première fois que j'avais qu'une main étrangère à cet endroit : je mouillais. Elle me calmait vite avec des doigts.
Je me souviens encore de cet espoir quand elle me caressait le seul endroit : le clitoris.

Elle était plus douce que moi, elle savait s’arrêter souvent, recommencer, s'arrêter pour finalement accélérer fond pour que j'ai orgasme. J’attendais encore urne décharge qu’elle m'a donné encore deux fois. Je me laissais faire, avec une main sur un de ses genoux. Après mon dernier orgasme, j'ai osé mettre la main plus haut ; Je cherchai son sexe.

Je prenais du plaisir à la fouiller profondément comme elle m'avait fait. J'allais la masturber quand elle m'a demandé de passer ma langue sur elle.
Je commençais par le visible son cou ; Ce n'est que bien plus tard que j'arrivais sur son pelage . Je retrouvais une odeur comme la mienne, familière. Je glissais le bout de ma langue dans sa fente. Quels soupirs, quelles joies je lui donnais. J'étais quand même étonne de sentir ses spasmes quand elle jouissait. J'étais fière d'avoir fait jouir une camarade.

Deux ou trois fois la semaine nous étions ensemble dans la chambre de l'une ou de l'autre. C''est elle qui par surprise m'a faite découvrir une bite en moi. J'aimais. J'aime toujours, et j'aime encore les filles.
Seul mon mari le sait. Il voudrait même que je fasse l'amour avec des filles devant lui. Pour qu'il se masturbe assure-t-il.
Mon œil il veut se farcir facilement mes amies.
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Histoire de fabrissa

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Commentaires du récit : Margot

Le 23/04/2022 - 10:25 par nat50
Très sensuel on s'y croirait Merci

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