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Martin

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Lue : 2884 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/03/2013

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Les vacances d’été viennent de débuter et mon déménagement vient tout juste de s’achever. J’ai quitté la ville principale du département pour une autre beaucoup plus petite dans laquelle réside ma mère. Cette grande bourgade est beaucoup plus paisible et moi qui adore le calme, autant dire que je suis servi. Certains mercredis du mois, je me rends sur la place du marché se trouvant à côté d’un château en ruine dont il ne reste plus qu’une tour encore debout. La plupart du temps, j’y suis rejoint par ma maman et ensemble, nous faisons nos petites emplettes.

Ensuite, comme pour conclure ce petit rituel, je l’invite à boire un café chez moi et lorsque les tasses se retrouvent vides, celle qui m’a mise au monde me quitte pour retourner chez elle. Bref, j’ai troqué certaines vieilles habitudes contre des nouvelles et sincèrement, ce petit changement ne me paraît pas désagréable, bien au contraire. Le soir, je me connecte sur le net et je me rends très souvent sur un forum sur lequel j’ai fait la connaissance de plusieurs personnes plutôt sympathiques. L’une d’entre elles est un jeune homme de vingt-trois ans répondant au joli prénom de Martin. Très vite, nous avons su nouer une relation amicale et l’échange de nos numéros de portable n’a pas beaucoup trainé.

Désormais, nous pouvons discuter librement et à maintes reprises et à force de parler ensemble de sexualités, nous nous sommes mis d’accord sur le fait de se rencontrer pour s’offrir de délicieux moments. Comme Martin était encore vierge de toute relation sexuelle avec un garçon, je tenais absolument à être le premier pour être sûr qu’il recevra une expérience digne de ce nom. Par l’intermédiaire d’une conversation sur nos téléphones portables, on se mit d’accord sur une date et c’est ce mercredi que j’allais enfin le recevoir chez moi. J’étais très impatient de le voir mais je nourrissais également une certaine crainte : allons-nous nous plaire suffisamment pour entretenir une amitié sexuelle ?

Je me pose cette question pendant plusieurs minutes et aussitôt, le calme fut de retour dans mon esprit. Le mercredi en question arrive très vite et c’est sur les coups de dix-huit heures que je traverse la ville à pied afin de me rendre à la gare. Je me poste sur le quai des arrivées et lorsque j’entends sonner le carillon du passage à niveau, mes inquiétudes concernant cette rencontre furent de retour à l’intérieur de ma tête. Tournant le visage sur ma gauche, je distingue une masse sombre arrivée au loin. Pas de doute, le train dans lequel se trouve mon ami s’approche de la gare et j’allais pouvoir mettre un visage sur cet inconnu.

Dès que le véhicule s’arrête à hauteur de la gare, de nombreuses portes s’ouvrent et quelques personnes descendent les escaliers. Vêtu d’un tee-shirt coloré et d’un pantalon marron, un garçon portant un sac sur son dos s’approche de moi tout en souriant.

« Jason ?
- Oui. J’imagine que tu es Martin ?
- Tout à fait. Enchanté de faire ta connaissance.
- Moi de même. »

On s’échange une poignée de main plutôt virile et on se déplace le long du quai avant d’en sortir par l’unique voie : celle du passage à niveau. On ne met pas longtemps pour le traverser et lorsqu’on se trouve sur l’un des trottoirs de la ville, on décide de discuter histoire de tuer le temps. Inquiet, je lui demande s’il ne regrette pas d’être venu et Martin me répond par la négation, ce qui me fait plaisir. Bien sûr, l’homme me retourne l’interrogation et je lui fournis la même réponse. Maintenant qu’il est à mes côtés, il était évident que les choses sérieuses allaient pouvoir débuter entre nous.

Une demi-heure plus tard, nous arrivons chez moi. Je propose à mon invité de poser son sac sur mon canapé et pendant ce temps, je me glisse derrière le comptoir de la cuisine afin de préparer deux tasses de café. Bon, il est vrai que cette boisson n’est pas très conseillée à cette heure mais si on devait rencontrer des difficultés pour s’endormir, j’espérais que Martin m’attirera vers lui pour user notre énergie en communion. Tandis que le café chauffe à l’intérieur du micro-onde, Martin se tient de l’autre côté du comptoir et me regarde. N’aimant pas être fixé de cette façon car je suis très vite mal à l’aise, je lui pose une question lorsque je le vois sourire.

« Tout va bien ?
- Oui. C’est juste que je trouve plutôt mignon. »

Et ce genre de compliment a le don de me gêner par la même occasion. Rapidement, je sens le rouge me monter aux joues et pour dissimuler mon mal-être, je me retourne pour faire face à l’appareil dans lequel chauffent toujours les deux tasses de café. Toutefois, je ne voulais pas que cette flatterie soit à sens unique et c’est sincèrement que je la lui retourne. Gentiment, Martin me remercie lorsque soudain, le micro-onde cesse de fonctionner tout en émettant ce petit bruit si caractéristique lorsque sa mission est accomplie. J’enfonce le bouton qui ouvre sa porte et je glisse mes mains à l’intérieur pour en sortir les deux tasses.

Je pose ces dernières sur le comptoir et me retourne une nouvelle fois pour fermer l’appareil. Nouvelle rotation sur mes chaussures, j’invite mon ami à boire sa tasse en lui recommandant de se montrer prudent car celle-ci est plutôt chaude. J’aurais été drôlement embêté si Martin se brûle chez moi alors qu’il est ici pour passer plusieurs jours de vacances. Ces dernières auraient mal commencé à mes yeux si une catastrophe se produisait dès les premières heures. A mon tour, j’attrape ma tasse et la porte à mes lèvres pour avaler plusieurs gorgées.

Malheureusement, on se montra très silencieux et je me devais de lancer une conversation pour débloquer cette situation. Comme un abruti, je lui demande si son voyage s’est bien passé et naturellement, il me répond oui. J’enchaîne en le questionnant sur le fait si c’était la première fois qu’il se rendait dans ma région et là encore, j’essuie une réponse positive sans que celle-ci soit davantage développée. J’ignore quoi faire pour dénouer tout ça car la timidité d’une première rencontre joue beaucoup dans ces moments-là. Même si je suis son hôte, je ne peux pas tout faire et il doit y mettre du sien également.

Lorsqu’il ressentira le besoin de me parler, Martin le fera probablement donc, laissons faire les choses tranquillement. Dès que je finis de boire mon café, je pose la tasse dans le fond de l’évier et attends que mon ami en fasse autant. Lorsque c’est fait, je l’invite à prendre son sac et à me rejoindre dans ma chambre. Quelques secondes plus tard, il me rejoint devant mon armoire que j’ouvre aussitôt et lui propose de ranger ses affaires sur les étagères libres, ce que l’homme accepte volontiers. Lorsque nous sortons de ma chambre, je lève les yeux vers la pendule du salon et me rends compte qu’il est déjà plus de dix-neuf heures.

« J’imagine que tu dois avoir faim avec le voyage que tu as faim non ?
- Oui.
- Dans ce cas, va regarder la télé et moi en attendant, je prépare la bouffe.
- Entendu mais si tu veux, je peux dresser la table histoire de t’avancer.
- Pas de problème. »

On se glisse derrière le comptoir de ma cuisine et je me place devant un placard que j’ouvre juste après. Ensuite, j’attrape deux assiettes que je tends à mon camarade qui me quitte aussitôt pour les mettre sur la table. Quelques secondes plus tard, il est de retour à mes côtés et cette fois, l’homme repart avec des couverts afin de parfaire sa petite mission. Pendant ce temps, je vais me placer devant mon frigo que j’ouvre sans perdre de minutes et regarde les rayons pour savoir ce que je vais nous préparer. Selon ce que je vois, une idée me traverse l’esprit et c’est tranquillement que je me mets au boulot.

Il est plus de vingt heures lorsque je pose les différents plats sur la table autour de laquelle nous prenons place. Tout en regardant la télévision, nous discutons un peu car Martin ne s’est pas privé pour me complimenter sur ma cuisine, ce qui me fait grandement plaisir. Pourtant, je n’ai pas préparé un menu compliqué et s’il a agi de cette façon, c’est probablement pour se montrer poli, rien de plus. Alors que nous dînons sans se presser, notre repas s’agrémente de nos réactions selon les reportages que diffuse le journal télévisé du soir. Même si ce n’est pas la conversation à laquelle je m’attendais, je dois avouer que de discuter ainsi me permet de le connaître un peu plus.

A la fin du repas, je retourne dans ma cuisine les bras chargés de nos assiettes et de nos couverts. Dès que la vaisselle égoutte sur le support prévu à cet effet, je fais chauffer une dernière casserole d’eau en vue de me préparer une infusion. Même si Martin est chez moi, je ne tiens pas pour autant à changer mes habitudes. Avant d’allumer ma gazinière, je pris soin de lui demander s’il voulait aussi une tasse et c’est gentiment qu’il me répondit par la négation. Dès que de la vapeur s’échappe de l’eau se trouvant dans la casserole, je ferme le gaz et verse le liquide dans une tasse.

Bien sûr, je n’ai pas oublié d’y mettre un sachet de verveine et c’est avec cette boisson dans mes mains que je retrouve Martin sur mon canapé. Assis à ses côtés, je regarde la télévision mais voilà que mon regard se promène sur son corps. Une chose est sûre, ce garçon est vraiment plaisant. Tout d’abord, il est plus grand que moi puisqu’il fait un mètre quatre-vingt alors que moi, je ne fais qu’un mètre soixante et onze. Je sais aussi qu’il a des abdominaux puisque je ne compte plus les photos qu’il m’a envoyées de lui où il se trouvait en sous-vêtements.

Désormais, j’espère qu’il aura assez de courage pour faire le premier pas afin que je m’occupe de lui car je n’aime pas prendre des initiatives. Je ne tiens pas à ce qu’il se sente obligé ou forcé à faire ce que je pense. S’il doit se passer quelque chose pendant ces vacances, je veux que cela vienne de lui car de cette façon, je serais convaincu de sa volonté. Les minutes passent et nous continuons à regarder la télévision lorsque je décide de prendre une bouche. J’en informe mon camarade avant de me lever du canapé et disparaître du salon pour me rendre dans ma chambre. Je retraverse la pièce dans laquelle se trouve mon invité afin de me glisser dans le couloir où se trouve ma salle de bains et très vite, je m’enferme dans cette dernière. Lorsque je me montre dans le salon, c’est habillé d’un peignoir noir et une fois avec Martin, je l’invite à prendre une douche à son tour. Ce dernier accepte de bon cœur mais avant de nous quitter, je lui fais part de mon envie de me coucher.

« Par contre, si tu veux rester un peu à regarder la télévision, il n’y a aucun problème.
- D’accord.
- Et avant de me coucher, je vais te mettre une couette sur le canapé en cas si tu préfères dormir dessus. »

Dès que Martin se trouve sous la douche, je dépose la couverture épaisse comme promis et retourne dans ma chambre afin de me glisser dans mon lit. Etant en caleçon et dans l’obscurité de la pièce, je tends mes oreilles au maximum pour suivre les mouvements de mon invité. De plus, je me demande s’il va rester sur le canapé pour la nuit ou si au contraire, il va me rejoindre pour faire ce pour quoi il est venue. En tout cas, s’il vient se glisser à mes côtés, je vais avoir du mal à rester sage et à ce moment, je n’aurais plus qu’une idée en tête : Sucer sa verge jusqu’à ce que celle-ci crache son foutre.

Plusieurs minutes défilent lorsque j’entends l’eau de la douche qui cesse de s’écouler du pommeau. Je devine que mon invité à terminer sa toilette et c’est excité que j’attends sa sortie de la salle de bains. Celle-ci se fait peu de temps après et voilà que j’entends les pas de Martin dans le salon. Maintenant, reste à savoir s’il va dormir sur le canapé ou s’il va venir me rejoindre et sincèrement, j’espère la seconde option. Lorsque je l’entends arriver à la hauteur de l’entrée de ma chambre, je sens déjà ma verge s’allonger à l’intérieur de mon caleçon. Très vite, Martin se glisse dans mon lit et une fois confortablement installé, le silence redevient maitre dans pièce. Comme pour lui tendre la perche, je change ma position pour me mettre sur mon flanc droit. Là, je suis tourné vers son côté mais je tente de garder mon bassin un peu plus en retrait car mon sexe tend à son maximum et je ne tiens pas à le gêner s’il devait se frotter contre lui. N’osant pas faire le premier pas, j’attends qu’il me tend la perche pour que je puisse m’occuper de lui et le voilà qu’il me pose une première question plutôt banale.

« Tu dors ?
- Non. Pourquoi cette question ?
- Parce que cela m’aurait fait chier de dormir dans ton lit si je n’avais pas eu droit à ma petite gâterie avant. »

Donc, Martin veut bien coucher avec moi et cette nouvelle joue énormément sur mon excitation. N’y pouvant plus, j’approche mon visage du sien et dépose un premier baiser sur ses lèvres. Volontaire, l’homme m’en fait un second, tout en veillant à glisser sa langue dans ma bouche. Rapidement, nos baisers se multiplient et peu de temps après, Martin est allongé sur moi afin qu’on puisse rendre ce moment bien plus agréable encore. Tendre comme je le suis, je ne résiste pas longtemps à l’appel des caresses et voilà que mes mains commencent à se promener sur son dos.

Par moment, Martin remue son bassin pour que nos sexes encore prisonniers de leur cellule de tissus puissent se frotter l’un contre l’autre avant de le faire sans couche de textile entre eux. De mes caresses, je tente de détendre mon amant car je n’oublie pas que cette expérience est la toute première pour lui. C’est alors que je promène l’extrémité de chacun de mes doigts sur ma peau et aussitôt, je sens les premiers frissons lui parcourir le corps. Visiblement, mon ami se détend tout doucement et ce détail me rassure, surtout lorsque l’on sait que je compte bien descendre mes caresses jusqu’à mon fessier. Pour ça, je lui poserai la question au bon moment et j’espère qu’il me répondra par le positif. Alors que nos baisers se poursuivre et que l’excitation en chacun de nous se fait de plus en plus intense, vient le moment où mes mains descendent le long de son dos. Désormais, elles caressent la zone sur laquelle se trouve l’élastique de son sous-vêtement et bien sûr, Martin se doute de la petite idée qui se promène dans ma tête à ce moment.

« Autorisation accordée. »

Et cette réponse ne pouvait pas me faire plus plaisir. Mes doigts se glissent alors sous le tissu de son sous-vêtement et frôlent délicatement ses fesses. Toutefois, son slip me gêne et je ne me prive pas pour lui dire.

« Tu peux retirer son sous-vêtement s’il te plaît car je n’arrive pas à te caresser comme je le voudrais ?
- Pas de soucis. »

Martin se glisse de son côté du lit et retire son slip qu’il fait tomber sur le sol de la chambre. Ensuite, il se repositionne sur moi et mes mains reprirent leur travail là où elles l’avaient laissé. Au bout d’un moment, mon invité quitte mes lèvres pour approcher les siennes de l’une de mes oreilles.

« Tu veux bien t’en occuper s’il te plaît ?
- Avec plaisir. »

Martin s’allonge une nouvelle fois à côté de moi et pendant ce temps, je me glisse sur mon matelas pour me retrouver à la hauteur de sa verge. J’empoigne doucement cette dernière et lui offre une petite masturbation avant de diriger son gland vers l’entrée de ma bouche. Une fois entre mes lèvres, je lui fais une fellation en espérant que celle-ci lui donnera envie de revenir à de nombreuses reprises pendant les jours à venir. La pipe que je lui fais semble se passer plutôt bien et lorsque j’enfonce son sexe jusqu’à sa moitié, Martin ne se retient pas pour gémir. Autant le dire, il n’y a pas meilleur indicateur de plaisir que d’entendre un homme s’exprimer ainsi lorsqu’il reçoit ce genre de cajoleries.

Soudain, sachant que l’envie de lui faire se fait de plus en plus forte mais surtout parce que je lui ai promis, me voilà en train d’user de ma gorge profonde. Dès que son chibre est intégralement dans ma bouche, je prends un malin plaisir à lui caresser les couilles pour lui offrir un maximum d’effet. Oubliant totalement où il se trouve, Martin se met à gémir de plus en plus fort et c’est lorsqu’il commence à se tordre de plaisir que je remonte ma mâchoire le long de sa verge.

« Je peux te sucer aussi ? » Me demande-t-il alors.

Naturellement, j’accepte sa requête et cette fois, c’est moi qui m’allonge à ses côtés mais dans le sens contraire. Juste après, la séance de fellation reprit intensément et Martin ne tarde pas à cracher sa semence que j’avale aussitôt. Pour me finir, je m’amuse à prendre place sur son bassin et me secoue le chibre dans le but de lui soulager les bourses à son tour. Après plusieurs caresses bien administrées, je sens mon sperme s’échapper de l’urètre et je me doute bien que le liquide se dépose sur le ventre de mon bel ami. Lorsque mes testicules sont vides, je me retire de mon compagnon pour qu’il puisse se lever du lit et se rendre dans la salle de bains afin qu’il puisse se nettoyer.

Une fois de retour à mes côtés, Martin vient se glisser dans mes bras pour s’endormir mais fort heureusement pour moi, mon camarade a exprimé le besoin de recommencer au cours de la nuit et bien plus qu’une seule fois. Durant son séjour chez moi, nous multiplions nos rapports intimes et nous n’hésitons plus à pousser nos jeux bien plus loin encore. Les derniers jours, j’étais autorisé à lui lécher l’anus tandis que lui pouvait s’aventurer dans le mien à l’aide de sa très longue verge. A la fin de ses vacances, j’étais un peu triste de le laisser repartir chez lui mais notre amitié s’était renforcée et c’est sur le quai de la gare que nous nous sommes fait la promesse de nous revoir très bientôt.
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