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Médecine de campagne

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Lue : 10880 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 14/12/2016

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J'ai 32 ans et je viens d'accepter un poste de médecin dans une zone rurale. J'ai bénéficié d'un coup de pouce du gouvernement et surtout de la proposition très intéressante d'un groupement de communes. Un logement de fonction, un cabinet et une voiture pour mes visites, le tout dans un petit village perdu dans un coin de l'Ardèche.

La plupart de mes camarades de promotion avait choisi des postes en ville mais cette expérience serait à n'en pas douter des plus enrichissantes pour moi.

Les premières semaines furent difficiles. Les patients nombreux étaient heureux d'avoir enfin un médecin et venaient plus pour me rencontrer que pour de réels problèmes de santé.

Le logement au dessus du cabinet était spacieux et équipé et je ne manquais de rien. Quelques hommes du village sachant que je vivais seule, essayèrent bien évidemment un rapprochement mais je déclinais pour le moment toute invitation.

Quelques semaines après mon arrivée, je fus appelé par une maman dont la fille de 20 ans se plaignait de douleur depuis deux jours. Je me rendis sur les lieux, une ferme à l'écart du village et fit la connaissance de Bénédicte, jolie brin de fille à la chevelure blonde frisée. Je tentais de savoir de quoi elle souffrait mais la présence de sa mère semblait la gêner. Je demandais donc à celle-ci de nous laisser et essayais alors d'en savoir plus.
Après de longues minutes à tourner autour du pot, elle m'avoua avoir eu des rapports avec un garçon et que depuis elle avait mal aux fesses. Je l’auscultais et découvris qu'elle possédait plusieurs micro-lésions au niveau de l'anus. Je tentais d'en savoir plus mais elle resta muette.
Je lui prescris une crème cicatrisante et la mis en garde contre les garçons. Je lui rappelais qu'elle ne devait pas accepter n'importe quoi et voulais surtout m'assurer qu'elle n'avait pas été forcée car ses lésions laissaient à penser le contraire. Elle me rassura tout de suite sur le fait que son amant avait été doux et qu'il ne l'avait obligé en rien.

Quelques jours plus tard, une femme d'une quarantaine d'années se présenta à moi avec les mêmes symptômes puis la semaine suivante ce fut la femme du maire qui me demanda de garder pour moi ces mêmes lésions...!!
Je fus très surprise de constater que ces trois femmes avaient semble-t-il eu le même type de rapport avec les mêmes conséquences et je me mis à penser qu'elles avaient peut être reçu ce traitement de la même personne.
Je tentais d'en savoir plus et revis Bénédicte qui me semblait la plus facile pour en savoir plus.
Elle m'avoua l'identité de son amant. Il s'agissait de Bruno, un homme d'une trentaine d'années, que j'avais croisé au café du village. Beau parleur et plutôt beau garçon, il travaillait dans une des fermes voisines du village. C'était un grand gaillard au visage marqué par les journées passées dehors, aux mains caleuses et à la voix rauque.
Je décidais de tirer cela au clair et le convoquais dès le lendemain à mon cabinet.
Très sûr de lui et heureux de l'aubaine de se retrouver seul avec moi, il se présenta à mon cabinet. Lorsque je libérais mon patient précédent, je le vis qui m'attendait dans la salle d'attente, en pleine conversation avec Evelyne ma secrétaire qui rigolait à ses blagues.
Je lui demandais d'entrer et proposais à Evelyne de rentrer chez elle, que je fermerais toute seule comme d'habitude lorsque je reçois mon dernier patient.

Bruno s'assit face à mon bureau et je sentis son regard sur moi tandis que je m'asseyais à mon tour.
- Bonjour Bruno, je me suis permise de vous convoquer afin de m'entretenir avec vous d'un petit problème.
- ah bon...?? rien de grave, j'espère,.. ce n'est pas à cause de mes examens??!!
- euh non... tout est normal de ce côté là... non, je voulais vous parler de la jeune Bénédicte... elle m'a avoué avoir eu des rapports avec vous...
- Béné?? bah oui et alors?
- Je ne veux pas me mêler de vos affaires mais voyez vous lorsque ça touche la santé de mes patients, je me dois d'en parler...
- Bénédicte a souffert après vos rapports de douleurs au niveau de... de son anus...
- ah bon?? je ne savais pas...
- ce qui m'embête c'est que j'ai deux autres patientes qui sont venues me voir avec les mêmes lésions et...
- ahhah... et vous vous demandez si je ne serais pas responsable!!!
- euh... c'est à dire que...
- si c'est de Monique et Nicole dont vous parlez, ça se pourrait bien...!!!
- ah... c'est donc vous également!!??
Devant mon air surpris, il ria aux éclats.
- bah oui... j'ai une vie sexuelle très épanouie!!!
- euh.. je vois cela mais, si je puis me permettre, il faudrait que vous soyez moins... comment dire... brutal avec les femmes. Les traces que vous laissez démontre des rapports plutôt... violents...
- violents??? jamais de la vie!!... je vais tout vous expliquer. Pour Bénédicte, elle veut absolument rester vierge jusqu'au mariage donc pas le choix, je suis obligé de passer par la petite porte. Monique, elle avait ses règles et pareil, je suis passé par derrière. Pour Nicole, elle a des fesses magnifiques et je n'ai pas pu résister...
- d'accord, mais je ne vous ai pas demandé tout ces détails... vos pratiques sexuels ne me regardent pas... et ce n'est pas pour ça qu'elles doivent rencontrer ensuite ces problèmes!!!
- ah oui... je vois... elles ne vous ont pas dit pour...
Il venait de faire un signe vers son entrejambe mais devant mon air interrogatif, il eut un petit rictus. Je le vis alors se lever et en un mouvement, il a baissé son pantalon et son slip. J'ai du faire une drôle de tête en découvrant avec stupéfaction son sexe. Je n'avais jamais vu pareil membre. Il était au repos mais devait facilement faire une vingtaine de centimètres, très large. De lourdes bourses souples pendaient en dessous. Je n'en croyais pas mes yeux et restais bouche-bée.
- euh rhabillez vous... je comprends..
Il se rassit avec un large sourire devant ma gêne.
- je comprends mais il va falloir à l'avenir être plus précautionneux. Vous ne pouvez pas continuer à prendre les femmes ainsi. Votre membre est bien trop... gros. Vous pourriez les déchirer...
- je sais mais c'est elles qui en redemandent... Bénédicte m'a encore appelé juste avant que je vienne vous voir...
- Je suis désolé je ne voulais pas m'immiscer dans votre vie privée, je vous demande simplement de prendre vos précautions pour les prochaines fois, essayer de trouver un lubrifiant plus efficace peut être...
- ok, je vais faire ça... je suis désolé de vous avoir gêné avec ça...
- non pas du tout... cela ne me gêne pas...
- ah bon... pourtant vous aviez l'air gênée tout à l'heure!!
- euh non,surprise surtout...
- et encore vous l'avez vu au repos!!!! dit il en riant.
- bon je vous remercie d'être passé, je m'excuse encore de vous avoir embêté avec ça...
L'image de son sexe revenait inlassablement devant mes yeux lorsque je le regardais et j'avais du mal à la chasser.
- pas de problème docteur... c'était un plaisir de vous revoir...
Il me tendit la main et me la serra, plongeant son regard dans le mien.
Je l'accompagnais à la porte et refermais derrière lui. Sitôt la porte fermée, je me plaquais contre elle, j'avais l'impression que mon coeur allait sortir de ma poitrine.
Ma culotte était humide et la vue de ce sexe hors norme m'avait complètement perturbé.

Quelques jours plus tard, ma secrétaire m'annonça que j'avais une visite chez le Bruno en question. Il s'était blessé la veille et souffrait ce matin.
Je me rendis à l'adresse indiquée. J'entrais et découvris l'homme allongé sur le canapé.
- Entrez docteur, je suis là!
- Bonjour Bruno... que vous arrive-t-il?
- je suis tombé hier de l'échelle et ce matin, je n'ai pas réussi à marcher. J'ai super mal à la cuisse gauche.
Il était en pantalon de survêtement.
- je vais vous ausculter mais il va falloir que je vous aide à baisser votre pantalon.
- pas de soucis... je vais essayer de me relever un peu, je vous laisse tirer dessus.
Il prit appui sur ses mains et souleva ses fesses du canapé, je tirais sur le bas du jogging et je découvris alors qu'il ne portait rien dessous. Son sexe, qui avait hanté mes nuits, depuis notre dernière entrevue m'apparut une nouvelle fois.

- je suis désolé... j'ai enfilé ce qui était le plus pratique pour moi... j'espère que ça ne vous dérange pas trop...??
- euh non... on va faire avec... lui dis-je avec un ton plein de reproches.

Je posais mes mains sur sa cuisse, à quelques centimètres de son phallus. Je tentais de ne pas poser mon regard dessus. Je massais un peu sa cuisse et senti qu'effectivement un tendon semblait gonfler. Je pris une pommade anti-inflammatoire que j'avais dans ma mallette et commençais à le masser consciencieusement. Mes mains effleuraient parfois le sexe endormi. J'en frissonnais à chaque fois. La contracture était profonde et je pris presque un malin plaisir à le faire souffrir lors de mon massage. Je me relevais enfin et m'essuyait les mains. Je constatais par la même que son sexe avait grossi et avait basculer sur son autre cuisse. L'engin était énorme... je n'en avais jamais vu de tel. Il devait faire presque 30 centimètres. Les veines se voyaient sur toute sa longueur.
Je détournais mon regard et m'occupait de lui préparer une ordonnance pour des anti-inflammatoires.
Je m'assis à la table de cuisine et le laissais se débrouiller avec son pantalon. Il me remercia, la douleur était moins tenace et il put même se relever. En boitant et en se tenant aux différents meubles, il me rejoint.

- Il faudra que vous restiez au repos deux ou trois jours et idéalement il faudrait que je repasse ce soir pour vous masser une nouvelle fois...
- pas de problème... je ne bouge pas!! dit-il en souriant

Après une bonne journée de consultation, comme prévu, je retournais chez Bruno. Il était vautré dans son canapé mais il s'était changé et c'était fait plutôt "beau". Il me salua tout sourire en me voyant. Sa jambe semblait le faire moins souffrir. Je l'invitais à retirer son pantalon et à s'allonger. Cette fois-ci il avait mis un caleçon et je me surpris à être presque déçue en le découvrant.
Je me lavais les mains et pris une noisette de crème. Je commençais à masser le haut de sa cuisse, descendant vers son genoux. Je sentais son regard sur moi et surtout sur mon décolleté. Avec la chaleur de début d'été, j'avais complètement oublié que j'avais déboutonné deux boutons de mon chemisier en montant tout à l'heure en voiture. D'où il se trouvait, il devait avoir une vue plongeante sur mes seins emprisonnés dans mon soutien-gorge.
Je fis mine de rien, et m'appliquais sur mon massage, allant chercher le point de contracture au plus profond.
Je sentais qu'il grimaçait mais gardait son regard plongé sur mes seins. Mon regard à moi se porta un instant sur la bosse volumineuse de son caleçon. Elle me semblait grossir encore. Je m'attardais alors sur le haut de sa cuisse, effleurant régulièrement lors de mes mouvements, cette bosse au travers du tissu. Je le sentis alors durcir et bouger légèrement. Mes mains remontaient tout en haut de la cuisse et étaient obligées de glisser sous le tissu du caleçon. Je sentais au bout des doigts de ma main gauche, le contact de ses poils pubiens.
La situation était excitante et ma culotte commençait à s'humidifier.

- voilà! je crois que ça va aller mieux maintenant lui dis-je en me relevant. Je sentais que je risquais de perdre le contrôle de la situation et un éclair de lucidité me traversa.
- effectivement, depuis ce matin ça va nettement mieux... la douleur est plus diffuse mais remonte un peu plus haut par contre...
- ah bon.. à quel niveau exactement?
- là... il me montrait le creux de l'aine...
Je me rassis sur le bord du canapé et posais mes mains sur cet endroit, à quelques millimètres de son sexe et de ses bourses. Sexe qui avait encore gonflé et déformait désormais le caleçon.
Mon coeur commençait de nouveau à s'emballer et dans un instant de folie, je lui demandais de retirer son sous-vêtement afin que je puisse le masser sans gêne.
Il ne se le fit pas dire deux fois et avec un large sourire découvrit son sexe à moitié en érection.
J'en frissonnais et posais mes mains sur sa cuisse. Je remontais vers l'aine et appuyais de façon professionnelle. Mes doigts étaient en contact avec la peau de ses bourses.Je les poussais légèrement pour aller plus profond entre ses cuisses. Son sexe était contre le dos de ma main et continuait de palpiter et de grossir.
Un silence gênant s'était installé, seul sa respiration se faisait entendre.

- je suis désolé... vous me faites de l'effet... me dit il en tentant de justifier l'érection quasi complète de son sexe...
- je prends ça comme un compliment... vous êtes un sacré phénomène lui dis-je, et dans tout les sens du terme...
J'osais alors prendre son sexe dans ma main. La colonne de chaire dure comme un roc palpita entre mes doigts. Je n'arrivais pas à en faire le tour.
- Hummm laissa-t-il échapper...
Je fis lentement coulisser ma main du bas vers le haut. Je n'en revenais pas de tenir un sexe pareil.
- elle est énorme lui dis-je en ne pouvant la quitter des yeux...
- hummm... continuez docteur...
Il continuait de me vouvoyer et j'étais très troublée par la situation. Je me mis à le branler lentement, découvrant le gland violacé de désir, énorme comme tout le reste de cette queue imposante.
Je le relâchais et partis vers la cuisine. Il fut surpris et resta bouche-bée. Je revins avec un mètre que j'avais vu sur la table.
- je dois en avoir le coeur net lui dis-je en positionnant le mètre à la base de sa verge.
Mon esprit cartésien avait besoin de mettre un chiffre sur ce spécimen... 28cm... ce type avait un sexe de 28cm... et de 16cm de circonférence!!! Un étalon... une bête de foire... !! Je n'en revenais pas! Rocco pouvait aller se rhabiller!!!
Il riait en me regardant presque paniquée devant une telle découverte. La verge était tendue, droite comme un I.
Je me penchais dessus et la prit dans ma bouche. Elle se fraya péniblement un passage. J'avais les lèvres déformées par le volume. Mes murmures de contentement étaient étouffés. Je mis pourtant toute ma science de la fellation à son service. Ses "ronronnements" me confirmaient qu'il appréciait la caresse.
- c'est bon ce que vous me faites... continuez...

Je m'essoufflais et commençais à avoir mal aux mâchoires...Je lâchais alors le sexe de l'homme et me redressais. Il me regarda faire et changea de position pour s'asseoir face à moi.
- et si vous me montriez ce que j'ai aperçu tout à l'heure...

Je fis glisser le zip de ma jupe qui glissa rapidement à mes pieds, je tirais ensuite sur mon collant. Je finis de déboutonner mon chemisier et me retrouvais alors en sous-vêtements devant mon patient.
Il me fit signe de m'approcher en me tendant la main. Son visage se retrouva bientôt à quelques centimètres de mon ventre. Je sentis ses mains prendre délicatement l'élastique de ma culotte et la faire descendre, découvrant sous un murmure d'approbation mon sexe intégralement épilé.
Il plongea alors sa tête dessus et embrassa fougueusement mes petites lèvres. Sa langue lécha purement et simplement mon sexe humide. Ses mains, agrippées à mes fesses les écartaient, décuplant encore mon excitation.
Il les remonta ensuite jusqu'à l'attache de mon soutien-gorge qui sauta rapidement. Mes seins jaillirent alors. La tête toujours plongé sur mon entrejambe, il me les malaxa virilement, agaçant les pointes qui durcirent au contact de ses doigts.
Sa langue experte, me faisait un bien fou. Il se recula enfin et me contempla un long moment.
- vous êtes magnifique...
Et il m'attira à lui. Je l'enjambais et mis mes jambes de part et d'autre des siennes. Sa bouche se posa sur le creux de mes seins. Il était très doux mais très viril en même temps... tout ce que j'aime!!
Je sentais entre mes jambes son sexe gonflé. Je me relevais un peu et le laissais se positionner à l'entrée de mon vagin. La pénétration fut lente et me procura des sensations incroyables. Rapidement il alla cogner au fond de moi. Un peu plus de la moitié était entré et il me dilatait complètement. Ma position me permit de prendre le contrôle des choses et je me mis à aller et venir sur ce sexe délicieux. D'abord doucement, je me mis à me déchaîner sur sur lui et eu rapidement un orgasme dévastateur. Il continua tandis que je m'écroulais sur lui de donner de petits coups de reins. La zone était tellement sensible que je me surpris à pousser des petits cris de plaisirs et de douleurs mélangés. Il me serra contre lui et me souleva de terre. Sa jambe devait moins le faire souffrir car il me porta jusqu'à la table de la cuisine. Il m'allongea dessus, cuisses largement écartées.
Le contact froid de la table m'électrisa mais rapidement une bouffée de chaleur me submergea lorsqu'il se remit à faire coulisser son sexe en moi. Il releva bien haut mes jambes et me besogna de la sorte pendant de longues minutes, m'arrachant un nouvel orgasme. Sa queue semblait infatigable !
Il continua ainsi pendant de longues minutes, je n'avais jamais pris autant de plaisir et je jouissais à répétition. Il finit par se retirer et continua des vas-et-viens contre mon sexe. Je redressais un peu le buste et vis son sexe gonflé se frotter contre moi. Le gland semblait prêt à exploser et c'est ce qui arriva quelques secondes plus tard. La première giclée alla s'écraser entre mes seins, puis plusieurs autres couvrirent mon ventre. Il jouit une quantité incroyable de sperme, sa queue n'arrêtait pas de cracher sa semence et il marmonnait en même temps...
- putain de salope... prends ça... nom de dieu, quel pied!!!
Je l'observais un sourire béat sur le visage. Quelle séance de baise!!! Ce mec, en plus d'être un spécimen hors norme, est un amant incroyable!!
Il secoua son sexe pour en faire tomber les dernières gouttes et se recula légèrement. Il repointa son sexe contre moi et je le sentis frotter le gland contre ma rosette.
Je lui fis signe que ce n'était même pas la peine d'y penser!!
- pas touche de ce côté là!!! quand je vois ce que tu as fait aux autres...!!!
- ok!! pas de soucis... on verra ça la prochaine fois!!!

Après un détour par la salle de bain, je quittais les lieux. Quelle folle j'avais été de me faire baiser ainsi par cet homme... le village est petit et ça risquait de se savoir rapidement. Je fis promettre à Bruno de n'en parler à personne. Il accepta à la seule condition que je revienne le voir régulièrement.

Depuis ce jour, nous sommes amants. Je sais que je ne suis pas la seule à bénéficier de ses faveurs mais je m'en moque, je le vois juste pour le plaisir que réclame désormais mon corps. Comme il l'avait prévu, j'ai eu droit à son sexe entre mes fesses mais après une longue préparation et un lubrifiant adapté... malgré tout, j'ai eu quelques difficultés à m'asseoir pendant deux ou trois jours!!!
La campagne réserve parfois de bonnes surprises!!!
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Histoire de LN78

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Commentaires du récit : Médecine de campagne

Le 14/01/2017 - 15:12 par Vieux Matou
J'ai beaucoup aimé, histoire très bandante, j'espère une suite. Merci
Le 21/12/2016 - 15:56 par Roleplayer
Un bon moment de lecture, récit très érotique.
Le 16/12/2016 - 19:06 par lasemelle
Dec. 16, 2016. Pour une aventure campagnarde, s'en est une et des plus piquante au sens large du terme. Magnifique et oh combien sensualle. On attend avec grand intérêt une suite. Mille mercis.

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