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Mercédès au château 3

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Lue : 9160 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/05/2009

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Résumé des deux précédents chapitres :

Hubert baise Mercédès dans sa voiture après l’avoir pelotée dans la foule d’un champ de course. Ils se revoient le lendemain dans sa garçonnière pour faire l’amour plus confortablement. Mercédès partie survient Gertrude sa mère en furie. En fait Mercédès se prénomme Agnès et c’est une comtesse. Hubert fait succomber Gertrude en mal d’amour et la baise comme une boniche par tous les trous. Honteuse mais ravie Gertrude s’enfuie.


Le château était en effervescence car l’invitation de la Marquise du Blandon approchait. La Comtesse Gertrude de Rouetz était heureuse et flattée d’être conviée à une des réceptions fameuses de la Marquise et du Marquis. C’était la première fois depuis de longues années où ils allaient pouvoir côtoyer les puissants. Pourquoi ce brusque attrait de la Marquise pour la moyenne noblesse dont elle faisait parti. Est-ce la curiosité après l’alibi qu’elle avait gentiment fourni à la Comtesse pour cette folle nuit passée avec Hubert. Ah ! Hubert, malgré les quinze jours passés depuis leur nuit d’amour elle ne pensait qu’à cela, tous les pores de son épiderme, toutes ses muqueuses gardaient le souvenir de cet homme plus jeune qu’elle, de son énorme sexe qui avait su combler ses fantasmes les plus cachés. Ce corps d’athlète, ses fesses, ses cuisses musclées, son torse mais aussi son visage, son regard sérieux durant l’amour quand il la pistonnait par l’avant ou par derrière, son rictus enfin quand elle avait su le faire jouir dans sa bouche et quand dans le vestibule en partant elle avait serré sa chatte autour de son pénis.

Et puis il y avait l’objet, ce cadeau d’Hubert, ce sexe factice à l’image de son érection. Elle avait caché ce godmiché mais désormais chaque soir elle le prenait dans sa chatte en se couchant et se faisait jouir avec lui, elle le suçait en le prenant par les testicules, puis le plus souvent devant la bergère elle le présentait entre ses cuisses pour jouir du spectacle de ce phallus décalotté qu’elle faisait aller et venir entre les lèvres de sa chatte avant de se l’emmancher jusqu’aux couilles dans sa vulve ou dans son cul. Tiendrait-elle ainsi ? Réussirait- elle à ne pas aller le retrouver dans ce palais du plaisir où elle avait tant joui.

Depuis ce jour, le Baron n’avait pu la soumettre à ses fantaisies, pauvre Baron au sexe triste, éjaculateur précoce. Il avait prit un peu de poids. Elle l’avait surprit peu après vers les cuisines et l’office tournant autours des femmes de chambre.

Pour la comtesse cette fête était l’occasion de faire connaître Agnès, le but étant de la marier à un noble de bonne race ayant le plus de biens au soleil, l’aîné de préférence et beau si possible, la dernière condition étant accessoire. C’est pour cela qu’elle l’avait préparée physiquement et moralement à cette réception. Elle n’avait fait aucune allusion à ce qu’elle savait de son aventure avec Hubert mais sans relâche elle lui demanda de faire tout pour attirer l’attention de plusieurs partis possible, n’en décourageant aucun, ne s’offrant à personne. Agnès semblait avoir compris.

Dans sa chambre Agnès pensait à Hubert, aux deux fois où ils s’étaient vus et aimés comme deux fous comme deux bêtes. Durant plusieurs jours elle avait eu très mal au derrière et avait fait croire à une blessure de selle. Maintenant cela allait beaucoup mieux et elle aurait tout donné pour filer chez son amant pour se faire fourrer la chatte et l’anus. Par la pensée, de sa bouche, elle faisait un collier à l’énorme sexe. Comme elle paraissaient pâles les aventures qu’elle avait eu auparavant, Hubert était un vrai mâle, devant lui la femelle qu’elle était ne demandait qu’à s’offrir, qu’à s’ouvrir, pas de honte, aucun geste, aucune position défendue, aucun interdit. Plus âgé plus expérimenté qu’elle il avait su la hisser au sommet du plaisir charnel, elle avait joui comme jamais. Mais pourquoi fallait t’il s’allier à un noble alors qu’avec lui ce serait le rêve, c’était un manant et alors !

Elle avait sentit son attirance pour elle, il faudrait peu de chose, elle le sentait pour qu’ils unissent leurs vies. Bientôt ce serait la réception chez la Marquise du Blandon, elle en connaissait le but, trouver un mari, quel qu’il soit pourvu qu’il soit digne de sa lignée. Heureusement il y aurait le souvenir des deux rencontres avec ce merveilleux amant. Elle ne pouvait fuir sa condition pour le rejoindre d’ailleurs la recevrait il ? Pourquoi elle plutôt qu’une autre, toutes les femelles devaient être à ses genoux. Une chose l’intriguait d’ailleurs, elle avait remarqué que les bas noirs ainsi que les portes jarretelles étaient revenu dans le tiroir de sa mère, elle n’avait pas retrouvé le slip rouge à pois noirs. Elle ne trouvait aucune explication à ce retour ; sa mère l’avait elle suivie ? Avait-elle rencontré Hubert, lui avait-il rendu ses dessous coquins ? Ce dernier avait il profité de la situation pour la faire chanter ? Pour la baiser ? Etait ce possible ? Enfin peu importait maintenant, dans deux jours sa vie allait obliquer sans retour, elle allait se marier, avec qui ? Peu importait ; il faudrait faire des enfants jusqu’à faire un garçon pour perpétuer la lignée ; après elle serait plus libre ; alors si elle pouvait le retrouver ?

La fête s’annonçait bien, l’immense salle de réception du Marquis et de la Marquise du Blandon s’emplissait du Gotha national ; ce n’était pas une réunion régionale, la noblesse présente venait de tout le territoire et la comtesse de Rouetz, la Comtesse d’Uzus et la Baron côtoyaient plus de haute noblesse que des nobles de leur rang. Ils étaient flattés par les « Cette chère Comtesse..... » des « Mais c’est la petite Agnès, Dieu qu’elle est belle.... » Tout cela dit d’un air compassé. Chaque arrivant était présenté à haute voix par le majordome, il y avait des Marquis et Marquises, des Ducs, des Comtes et des Comtesses, la Marquise avait même dit qu’il y aurait un Prince de sang mais que l’on ne s’inquiète pas il était très simple et très gentil quoiqu’un peu bizarre. La fête allait commencer, le Prince devait ouvrir le bal, il ne saurait tarder. Le majordome hurla « Monsieur le Prince de Cotignac ! » Un murmure gourmand se fit dans la salle puis le silence s’installa, l’assistance se rangeant en deux rangs pour guider le Prince jusqu’aux hôtes qui se tenaient sur l’estrade près de l’orchestre.

Le prince parût, la foule applaudit, il s’avançait entre les deux haies d’honneur. Les comtesses de Rouetz et D’Uzus s’étaient approchées, Agnès malgré sa peine était curieuse de voir un Prince de haut rang. De loin il paraissait jeune, bien de sa personne, au fur à mesure qu’il approchait, serrant des mains elle devinait sa prestance, son élégance ; c’était donc lui ce fameux Prince de Cotignac auréolé de gloire, célibataire mais avec une réputation d’homme à femmes, riche de tout ce que ses ancêtres avait su accumuler, intelligent, habile il était directeur et propriétaire d’une des plus grande société d’agro-alimentaire, sportif, champion automobile, il avait tous les dons le fameux Prince de Cotignac... Hubert de Cotignac.... De Cotignac Hubert..... De Cotignac.... Hubert..... Hubert.... Hubert ! Il approchait, il était là ! A deux pas maintenant, Dieu ! C’était impossible ! Elle se trompait ! Ses jambes ne la portaient plus ! Infernale soirée, le Prince c’était Hubert ! Hubert le manant, Hubert le pékin et son gros sexe qui l’avait prise par tous les côtés la prenant pour une petite pute rencontrée par hasard ! Une petite pute qui s’était laissée peloter les fesses et qui avait cédé au premier assaut. Quelle honte ! Agnès fit un pas en arrière pour se cacher, trop tard il était là devant elle souriant avec la Marquise qui la présenta « Agnès, la Comtesse Agnès d’Uzus ! »

Il la regarda droit dans les yeux et il passa rapidement. Agnès cru défaillir elle dût s’appuyer sur sa mère dont elle remarqua l’extrême pâleur. Agnès n’eut guère le temps de réfléchir, les musiciens en place accordaient une dernière fois leurs instruments, la première danse allait commencer, le Prince s’avança dans les rangs pour choisir celle avec qui il ouvrirait le bal, il passa devant Agnès, qui allait être l’heureuse élue ? il se retourna, regarda Agnès et lui prenant la main qu’il baisa lui dit « Voulez vous ouvrir le bal avec moi chère Agnès ? » Heureusement il l’enlaça car elle serait tombée ; le majordome hurla « Le bal est ouvert par le Prince Hubert de Cotignac et la comtesse Agnès d’Uzus ! » Ce fut alors un brouhaha où se mêlaient la joie, l’allégresse, le dépit, la surprise des convives. La chasse à la dot commençât, les célibataires se précipitant vers les donzelles en attente.

Agnès était bien, inconsciente maintenant, elle se laissait aller dans les bras de son amant, il valsait à merveille, cela lui sembla normal il était le meilleur partout. Elle était saisie d’un léger vertige tout tournait autour d’elle seul le regard d’Hubert était immobile, aucune ironie aucun dédain, un regard presque doux, amical, familier. Elle pensait à leurs deux rencontres, lui avait joué son rôle de séducteur, d’homme à femmes, elle, n’avait pas su garder son rang et pourtant elle ne regrettait rien, heureuse de s’être donnée à cet amant expérimenté, peu importe ce qu’il pensait d’elle maintenant.
« Mercédès ! » dit-il simplement « Mercédès....Agnès ! »
« Hubert ! Hubert de Cotignac » Murmura t’elle
« Quelle douce histoire que la nôtre ! » souffla t’il
Elle allait répondre mais la musique cessa et ils se séparèrent. Elle se retrouva seule dans la foule des danseurs qui regagnait leurs places autours des petites tables le long des murs au nom de chaque convive. Quelle douce histoire, c’est ainsi qu’il parlait de leur aventure, elle se terminait ; il ne lui resterait que le souvenir, inoubliable souvenir.


Les tables regorgeaient de boissons et de mets délicats sans cesse renouvelés par une armée d’hommes et de filles de salle. L’attention avait été attirée sur Agnès, elle était harcelée par une meute de prétendants qui l’invitaient à chaque danse, elle acceptait elle refusait prétextant la fatigue, dansait elle ? Elle n’était plus là
La soirée allait se terminer quand la Marquise et le Prince qui allaient de table en table s’installèrent à la leur et contrairement à ce qu’ils avaient fait aux autres tables ils prirent un siège et s’assirent. Hubert parla :
« Chère Comtesse de Rouetz, cher Baron j’ai l’honneur de vous demander la main de votre fille Agnès Comtesse d’Uzus, je veux s’il vous plaît une réponse sur les champs, ici même, veuillez excuser ma hâte »
La Comtesse interloquée, le Baron cramoisi restèrent bouches bées
« C’est que.... c’est que.....c’est à notre fille de répondre sa décision sera la nôtre... »
Le Prince se tourna vers Agnès, la regarda intensément, elle était toute pâle, frémissante, sans hésiter elle prît la main du Prince et répondit
« Ce sera un grand honneur pour moi et pour ma famille, j’accepte avec joie Hu....... Heu Prince ! »

L’événement fut annoncé à grand bruit, Quinze jours après Hubert et Agnés étaient mariés et amoureux comme deux tourtereaux. Un an après l’héritier des Cotignac venait au monde il fut prénommé comme il est d’usage Hubert.


Depuis le mariage de sa fille la Comtesse Gertrude de Rouetz était devenu nymphomane, aujourd’hui comme chaque soir elle s’isola dans sa chambre pour se consacrer à un rite désormais journalier ; elle fit pivoter le tiroir secret prit le gros écrin et précautionneusement sortit le gode, énorme phallus à l’image de celui de son gendre Hubert. Elle le porta à sa bouche et lécha l’énorme gland décalotté puis elle s’allongea sur son lit et après avoir disposé les miroirs pivotants aux endroits habituels elle se retroussa, pivota légèrement pour s’offrir le spectacle de ce sexe adoré s’immisçant dans son entrecuisses largement ouvert.

Elle adorait cet instant où prenant le gode par les parties elle l’enfilait par l’entrejambes de son slip pour se caresser longuement la vulve déjà humide. Les yeux exorbités elle suivait les mouvements désordonnés du sexe sous la fine lingerie et gémissait quand le gland se pressait sur son ventre avant de s’enliser entre les grosses lèvres poilues de son sexe ou de pistonner les bords froncés de son anus. Elle retarderait le plus longtemps possible la pénétration jouissive ou alors fermant les yeux elle absorberait la verge longue et souple de son amant d’un jour.

Par la puissance de la pensée c’est lui qui la baisait. En jouissant comme une pute elle était avec Hubert qui la possédait implacablement, elle voyait son buste légèrement velu, son ventre plat et musclé, ses fesses serrées. Depuis plus d’un an, chaque soir elle jouissait ainsi, c’était son fantasme, son secret, nul ne se doutait de cette perversion qui comme une drogue la tenaillait. Elle avait délaissé le Baron qui se débrouillait ailleurs sans doute, peu importait. Jamais elle n’avait laissé voir à son gendre cet éternel regret.

Gertrude sentait venir le moment où elle plongerait dans le néant de la jouissance quand un bruit la fit sursauter, elle n’eut que le temps de rabattre sa robe sur elle quand apparut Gloria la jeune bonne asiatique qui était passée de la maison d’Hubert à la sienne. C’était une femme de chambre parfaite, elle s’approcha du lit intriguée

« Madame la Comtesse ne va pas bien, vous êtes toute pâle, ne bouger pas je vais vous soigner »

« Tu es gentille Gloria je suis simplement un peu fatiguée »

« Comme madame a l’air triste ! » dit l’asiate

Elle était compatissante prête à tout pour soulager sa maîtresse

« Assieds toi près de moi Gloria et donne moi la main, tu es mignonne de prendre soins de moi »

La comtesse lui pressait la main, troublée par cette présence inopportune à un moment où elle aurait déjà dû hurler de jouissance. Masqué sous sa robe le sexe lui remplissait la vulve et elle ne pouvait s’empêcher de se serrer sur lui

« Madame a de la fièvre, je vous vois frissonner, il faut prendre votre température»

Gloria ouvrit le tiroir de la table de nuit pour y prendre un thermomètre et avant que la Comtesse esquisse le moindre geste elle retroussa sa robe et là surprise, fascinée par le spectacle le thermomètre s’échappa de ses mains

« Ohhh pardon madame, pardon ! je ne voulais pas... je... »

« Mignonne ! ne tremble pas, je te pardonne tu es tellement gentille avec moi. Mais je suis saisie d’un mal qui me ronge, le mal d’amour, je dois me contenter seule pour survivre.... mais si tu le veux tu peux m’aider peut être ? oui.... soigne moi.... caresse moi.....fais moi jouir... voilà plus d’un an que je me contente seule avec ce sexe postiche....sois gentille......oui c’est bien....c’est bon ! Tu es douce, tu es belle, tu es sexy....Ohhh oui !....caresse moi encore... prends les couilles, n’est pas peur, sors les, tu vois la verge ! branle moi bien avec...Ohhh c’est bon..... merci... »


« Ah madame je suis heureuse de vous faire du bien, si vous le permettez je sais pouvoir vous faire bien jouir, on apprend cela dans mon pays »

« Je l’avais entendu dire sans trop y croire, merci ma petite, je serai moins seule, mais que fais tu ? tu te déshabilles ? »

« Oui, Gertrude, nous serons mieux ! »

« Tu es belle Gloria, viens près de moi ! allonge toi »

« Laissez moi faire, je vais vous déshabiller »

La comtesse fut bientôt nue, même son slip fut enlevé par l’adorable et serviable Gloria. Elle le fit avec un art et une douceur consommée. Gloria manipulait la comtesse en la frôlant, en la caressant. Quand Gertrude se contorsionnait sous une caresse, un frôlement de main de la servante un vêtement glissait. Pour retirer la culotte se fut un chef d’œuvre de douceur, de caresses furtives et enveloppantes, de glissements de tissus sur la peau nue.

Durant toute l’opération Gloria laissa le sexe planté dans la chatte de la comtesse mais en lui faisant subir de faibles ébranlements, le postiche coulissant en shuntant dans la vulve écartelée. Lorsque l’Asiate eu fini de mettre à nue sa maîtresse elle ne s’occupa alors que de la faire jouir et elle montra une telle adresse, une telle connaissance du corps et des zones érogènes de la femme que Gertrude ne fut plus qu’un spasme, ses seins, son ventre, sa taille, sa croupe magnifique furent honorés à tour de rôle par la bouche, les mains, les cuisses de Gloria.

A un moment enlacées leurs bouches s’unirent, leurs langues s’emmêlèrent en un long baiser durant lequel Gloria affola Gertrude en caressant ses seins en écrasant les siens sur eux et en s’agitant faisant en sorte que les tétins érectés se frôlent. L’asiate était magnifique avec une poitrine bien ferme, des tétons bien durs qui agacèrent les pointes de la comtesse. En même temps Gloria poursuivait les longues pénétrations de l’objet jouissif dans la chatte dilatée de Gertrude qui se pâmait en haletant de plaisir, surprise par cette nouvelle manière de se faire du bien avec une femme attentionnée.

Surprise en effet quand la jeune femme l’enfourcha mais en sens inverse, la tête entre ses cuisses, deux mains écartant ses fesses pour dégager sa raie. Elle sentit le godemichet sortir de son vagin, remplacé par une langue alerte planté dans le trou béant de sa chatte. Que c’était bien fait, que c’était bon cette langue qui s’agitait en elle. Et puis son anus aussi fut investi par des doigts sans doute au moins deux qui la pistonnait de concert avec la langue.

Toute à son plaisir elle ne vit pas de suite ce qui s’offrait à sa vue, la croupe ambrée de l’asiate qui dodelinaient au dessus d’elle, deux fesses écartelées s’ouvrant sur une raie ornée d’un beau petit cul et d’une chatte ouverte comme un fruit mur, une chatte absolument imberbe qui laissait tout voir au milieu des grosses lèvres du clitoris au méat de la vulve. Un frisson saisit Gertrude, l’esprit maléfique de Lesbos l’anima et c’est goulûment qu’à son tour ouvrant grande sa bouche et pointant sa langue elle la plongea dans la chatte offerte de Gloria qui se mit à jouir. Une jouissance discrète à son image mais à sa façon de bouger, de s’offrir, de faire aller et venir sa raie sur son visage, d’écraser sa vulve sur sa bouche, Gertrude comprit qu’elle lui donnait du plaisir.

Elle eut soudain de nouvelles idées pour séduire l’asiate et l’amener à une jouissance moins retenue, saisissant le godemichet par les couilles elle le présenta entre les grosses lèvres offertes et enlisa le gland dans la vulve. Gertrude était fascinée par le spectacle de cette chatte imberbe arrondie sur l’ogive qu’elle faisait vibrer à l’entrée du méat, ce fut autre chose quand elle emmancha le dard à fond et le fit aller et venir entre les fesses écartelées. Elle voyait réapparaître le gland décalotté à l’entrée dilatée du vagin avant de le replonger jusqu’aux couilles. Cette fois Gloria perdu son contrôle, quel bonheur pour la comtesse de l’entendre jouir bruyamment, de voir son petit cul s’agiter en tout sens, son corps se tendre dans un cri, de se tordre quand son autre main lui tordit les seins durs comme de la pierre.

« Ahhhhh maîtresse vous me faîte jouir, oui ouiiii ouiiiii c’est bon, continuez ouii plus fort ! plus vite ! ouiiiiiii ahhhhhhhhh ! »

Que c’était bon de donner du plaisir, elle avait su en donner à Hubert et maintenant grâce à l’image de sa virilité elle faisait jouir la petite Gloria si gentille, si lisse, si douce. Elle venait de lui procurer un orgasme dévastateur elle aussi était bien avec cette langue qui agaçait sa chatte et son anus. Sa vue se dégagea, Gloria se relevait, debout, le sexe en place entre ses fesses, Gertrude la vit sortir l’engin et à l’aide d’une lanière passée par une ouverture ménagée dans les parties se l’ajuster sur elle en passant le lien autour de sa taille avec un brin entre ses fesses. La comtesse ne compris la nouvelle situation que lorsque guidée à genoux au bord du lit, fesses en l’air, elle sentit les mains de Gloria prendre sa taille et l’attirer vers elle, vers ce sexe dressé qui l’éventra d’un coup et s’ébranla pour la baiser, elle se sentait pleine, elle entendait le claquement du ventre de Gloria sur ses fesses, enfin quelque chose de plus substantiel qu’une langue, qu’un doigt fourrant sa chatte. L’asiate la baisait en pelotant sa poitrine, elle sentit venir l’orgasme et s’y laissa plonger avec délice, une pluie d’étoiles l’aveugla et elle hurla son plaisir.

Quand elle refit surface elle n’eut qu’un petit regret vite refoulé quand elle sentit avec bonheur que le postiche relevé par Gloria perforait maintenant son cul, son cul, puits sans fond par où elle jouissait le plus et de nouveau elle replongea dans le plaisir. A bout de force les deux femelles en rut s’écroulèrent l’une sur l’autre sur la couche et sans transition s’endormirent.

Quand la comtesse se réveilla elle était seule dans son lit, manifestement Gloria l’avait remise en état et quand elle sonna l’asiate vint prendre de ses nouvelles comme si rien n’était :

« Le petit déjeuner comme à l’habitude madame ? »

« Oui mon petit, comme d’habitude ! » répondit la comtesse d’une voix mouillée
« Enfin presque comme d’habitude, tu sais que tu as été mignonne avec moi hier soir, j’étais trop seule, ta jeunesse, ta douceur m’ont réconfortée ; mais ton expérience aussi, je ne t’aurais jamais crue capable de tant d’érotisme, tu m’as fait jouir comme une pute !..... »

« C’est ce que j’aurais été madame la comtesse ! »

« Appelle- moi Gertrude »

« Oui je l’aurais été si le père de monsieur Hubert ne m’avait pris à son service, il m’a ramené du Siam pour faire l’éducation de son fils.... »

« L’éducation? Quelle éducation ? »

« L’éducation sexuelle, nous sommes réputées pour cela dans notre pays, très jeunes nos parents nous apprennent l’art des caresses, des baisers, la connaissance des zones érogènes, tout cela sans penser à mal mais pour être une bonne épouse. En fait de mari j’ai tout appris à Hubert, c’est moi qui l’ai dépucelé, choyé, sucé, je l’ai fait bander longuement, des nuits entières de caresses, de fellations pour développer son sexe.... et sauf votre respect mad... non Gertrude je l’ai reconnu dans l’énorme godemichet que vous vous emmanchiez dans votre chatte hier au soir.... Hubert m’a très vite dépassée, il est doué pour tout ; de temps en temps pour justifier ma présence aux yeux de son père il m’honorait et me donnait du bonheur. Depuis son mariage il me laisse, c’est normal, je suis heureuse de servir la famille, hier soir je me suis rendue utile en vous donnant du plaisir.... »

« Oui tu m’as bien consolée, j’ai bien joui, mais toi ? »

« Moi ! on m’a également appris à faire l’amour avec une femme et je dois dire que j’y trouve un énorme plaisir surtout quand comme toi elles ont une grosse chatte jouissive »

« Tu es belle petite, j’ai eu et j’ai envie de ton corps, de tes seins, de tes fesses rondes, de ton ventre plat, de tes cuisses et de ta chatte imberbe... »

« Imberbe ? »

« Oui sans poils pour cacher ta belle mangue fendue et ton cul entre tes cuisses »

« Gertrude tu serais belle toi aussi sans poils, tu verrais comme on jouit mieux, comme le contact avec la peau du partenaire est plus doux, plus intime »

« Mais arrête de m’exciter tu me fais mouiller, tu as vu ma toison, j’en prends le plus grand soin, je l’entretiens et quand le miroir me renvoie l’image d’une grosse bitte dans ma chatte poilue, je défaille.... »

« Si tu voulais je te raserais ? je sais le faire en douceur, tu pourrais comparer »

« Me raser ? tu me tentes »

« D’autant que si cela ne te plaît pas, ce dont je doute, au bout de quelques mois elle repoussera plus belle et plus frisée que maintenant »

Le silence de la comtesse valait consentement et Gloria s’éloigna vers la salle d’eau pour revenir très vite avec le matériel de rasage d’avant guerre : blaireau, de savon à barbe en bâton, rasoir à deux lames ainsi qu’une espèce de petite écuelle emplie d’eau tiède. Gertrude assise sur le lit la regarda faire intriguée et troublée. A l’aide du blaireau, avec l’eau et le savon, Gloria fit naître dans l’écuelle un nuage de mousse odorante

« Je vais commencer, installe toi, les fesses au bord du lit, relève les jambes, écarte bien tes cuisses, oui c’est bien ! allonge toi, n’est pas peur »

Gertrude était offerte, les pieds en appui sur la couche ; son pubis était orné d’une toison abondante et frisée manifestement entretenue ; on devinait sa raie masquée par les poils bouclés qui tapissaient ses grosses lèvres et descendaient au fond de la raie de son cul. Elle sentit d’abord une légère vibration avec une sensation de fraîcheur entre ses cuisses, Gloria avec une petite tondeuse électrique avait entrepris un premier débroussaillage, c’était plutôt agréable. Curieux l’engin s’immisçait de partout, de ses grosses lèvres à l’intérieur de ses fesses.

Ce fut rapide mais dés les premières caresses du blaireau moussu elle sentit qu’elle allait jouir. Pour bien humidifier les poils et pour attendrir la peau de sa chatte, Gloria l’affola longuement avec les longues soies savonneuses, elle s’acharna sur le clitoris le titillant en tous sens, agaçant le petit capuchon gorgé de sang. Gertrude sursauta quand elle sentit les poils ébouriffés aller et venir dans son entrecuisses et entre ses fesses pour remonter entre les lèvres de son sexe jusqu’à son ventre. Elle s’offrait à la tiède caresse et poussa un petit cri quand le bâton de savon la pénétra à l’entrée de sa vulve. Puis le rasage commença, subtil, méthodique, implacable, Gertrude ressentait un très léger feu, fugace ; tout y passa, les grosses lèvres, l’aine, le pubis, le début de la raie des fesses.

De temps à autre les longs poils du blaireau la regarnissaient de mousse pour des travaux de finition, elle était alors palpée délicatement par la main de l’asiate pour bien tendre les parties charnues de sa chatte et faciliter le passage du rasoir. Guidée par Gloria, Gertrude se mit à genoux en travers du lit, cuisses écartées, croupe offerte, les fesses bien dégagée et elle sentit le feu du rasoir dans la raie de son cul jusqu’à l’anus. C’est dans cette position qu’une main passée par l’arrière, entre ses fesses enduit la partie rasée d’une crème adoucissante.

« Voilà ! c’est fait. Voyons voir ! Ah quelle chatte, tu as la plus belle moule qu’il m’a été donnée de voir, tu vas bien jouir, tu vas être bien ! »

Et avant que la comtesse légèrement inquiète n’ait le temps de se regarder Gloria l’allongea sur le dos en travers du lit, cuisses écartées et plaqua sa bouche grande ouverte sur sa chatte mise à nue. C’était différent, plus subtil cette langue léchant ses lèvres, elle virevoltait entre ses cuisses et dans la raie des fesses, s’insérait dans tous les plis débarrassés de leur toison. Une pointe sur son anus l’électrisa. Gloria la laissa un instant pour s’allonger à ses côtés, mais en sens inverse ; insidieusement elle s’inséra en elle, les deux compas de leurs jambes et de leurs cuisses s’encastrant délicatement.

Gertrude compris le manège de l’asiate et favorisa la position par de légers mouvements de reptations. Leurs cuisses furent bientôt mêlées, les deux chattes se faisant face, puis se frôlèrent légèrement. Le contact fut exquis pour Gertrude qui n’eut de cesse de venir s’écraser la vulve sur celle de sa partenaire, les lèvres perpendiculaires, pour un massage mutuel. En ondulant et en s’écartant davantage, les deux sexes mêlés, les lèvres frémissantes, humides d’un délicieux mucus qui commençait à sourdre, les deux femelles se firent plaisir, un plaisir grandissant qui leur arrachait des petits cris de jouissance. En cette position leurs mains étaient idéalement placées à portée de la croupe et des seins de leur amante ; elles se caressaient mutuellement, Gertrude introduisit même un doigt dans l’anus de Gloria qui laissant de côté sa réserve orientale fit savoir qu’elle jouissait comme une fille par des

« Ouiii ohhhh oui .....plus vite.....à fond....à fond....ahhhhh....ouiiii »

A cet instant Gertrude se sentit lesbienne ; jamais contact plus doux, jamais caresse ne l’avait fait autant jouir si profondément que cette chatte nue sur son sexe imberbe. Elles bandaient toutes les deux, leurs clitos se frôlaient, leurs lèvres s’écartelaient ou s’écrasaient l’une sur l’autre. En se tortillant et en se tournant elles réussirent l’exploit d’aligner leurs chattes face à face, raie contre raie et de se branler ainsi. Gloria réussit même en se courbant d’enlacer la comtesse et de l’embrasser voracement.
Lorsqu’elles se désunirent elles étaient radieuses et tendres, repues, comblées, heureuses de s’allonger côte à côte unies par toutes les pores de leur épiderme, leurs bouches et leurs langues.

Gloria fut la première a se lever et disparut en ondulant divinement de la croupe. Gertrude se retrouva étrangement seule, exténuée par cette jouissance sèche, ce plaisir clitoridien sans pénétration ; elle eu une grande avancée de son ventre comme pour quêter l’introspection d’un sexe. Elle ne pu résister au besoin impérieux de saisir le godemichet sous l’oreiller et se plaçant de la façon habituelle face au miroir de la bergère de se le présenter entre ses cuisses écartées. Gertrude poussa un grand cri, elle ne reconnut pas son entrecuisses, son sexe sans un poil s’offrait à son regard ; rien ne masquait désormais le bâillement de son conin orné d’un clito gaillard ; de sa chatte à l’anus c’était maintenant un canyon stérile.

Folle elle plaça l’ogive du gland en bonne position, puis en hurlant elle s’éventra en se pistonnant le vagin. Elle retrouva sa jouissance, son plaisir de femelle servie par ce qu’il lui fallait : un sexe d’homme, l’homme auquel elle rêvait et qui chaque jour, chaque nuit la faisait jouir par le présent qu’il lui avait offert une nuit d’orgie des sens. Nuit unique, gravée à jamais dans sa mémoire. Ah non elle n’était pas lesbienne, c’est des hommes que venait, que viendrait, que devait venir son bonheur, sa jouissance, ses orgasmes ; il fallait qu’elle sorte de son isolement, de sa réserve, qu’elle se montre, qu’elle aguiche des mâles après avoir deviné leurs atouts ; elle saurait le faire , il le fallait, elle en avait besoin sinon elle deviendrait folle.


A deux couloirs de là, dans l’aile nord du château Agnès et Hubert étaient dans leur chambre. En entrant à l’improviste vous auriez été des plus surpris. Hubert servait consciencieusement sa femme en position de levrette. Ils éprouvaient toujours l’un pour l’autre l’attirance sexuelle qui les avait réunis dans l’anonymat d’une foule lors d’une course de bolides. L’amoureuse comtesse avait attiré dans son aura le prince de l’amour. Depuis lors il ne se passait pas un jour sans séance d’amour fou. Hubert écartant les fesses pulpeuses de son épouse regardait fasciné son énorme dard planté dans l’anus de sa partenaire. Son sexe s’était encore développé durant cette année d’orgie et il avait du enduire sa verge de vaseline pour sodomiser son épouse. Agnès aimait cette position, ses seins ballottaient avec la houle de ses hanches, les circonvolutions de son ventre, l’écartèlement de ses fesses et le pilonnage du ventre musculeux d’Hubert qui à fond fouettait son cul. Elle jouissait sans aucune retenue sans pudeur, elle criait des phrases sans formes en l’honneur du gros zob poilu qui lui défonçait le trou le moins lisse de son anatomie.

Hubert savait la faire jouir en sortant presque complètement sa bitte du cloaque en furie ne laissant emmanché que le bout de son gland puis en la fourrant brusquement à fond forçant le deuxième sphincter du colon scatologique. A plusieurs reprises, forcée dans ses défenses naturelles Agnès en jouissant comme une fille de salle avait du déféquer. Maintenant elle prenait ses précautions avant de faire l’amour car si sur le coup cette maladresse agissait prodigieusement sur leurs sens exacerbés les contingences matérielles étaient moins affriolantes. Ils appelaient alors Gloria qui réparait les dégâts, nettoyant le lit, torchant madame et la parfumant, rinçant sous la douchette le sexe du prince et le séchant doucement.

Hubert n’avait rien caché à sa femme de ses amours avec l’asiate ou avec ses nombreuses conquêtes. Intelligemment elle lui laissait une grande liberté, son arme étant d’être l’amoureuse la plus ardente, la plus généreuse, la plus inventive, la plus vicieuse parfois. Ils leur arrivaient même de faire l’amour en présence de la jolie et mignonne Gloria. L’expérience de l’asiate n’avait pas de limite pour transcender leur amour, en se mettant au service de chacun des membres du couple. Comme après chaque séance d’amour Agnès caressait l’énorme phallus de son époux, elle l’allongeait en le tournant, essayant de ramener la peau sur le gland décalotté ; Hubert aimait cette caresse dont il connaissait le dénouement inexorable et merveilleux ; Agnès se mettait à genoux et gobait dans sa bouche exquise et pulpeuse une bonne moitié de son pénis tandis qu’elle palpait ses bourses l’une après l’autre, les soupesant avant de les serrer dans sa main.

Elle savait faire monter des profondeurs l’orgasme de son mari comme une montée de lave qu’il ne pouvait endiguer, il se répandait alors ivre de plaisir entre les lèvres de son épouse. Hubert les yeux dans le vague venait d’éjaculer quand Gloria entra dans la chambre

« N’est pas peur ! entre petite ! tu nous connais ! »

« approche » dit Agnès « Déshabille toi »

Le corps splendide de l’asiate apparût dans toute sa nudité, elle souriait, elle aimait se mêler aux débats amoureux du couple, elle mettait tout son art à leur service les guidant dans des chemins connus d’elle seule où ils jouissaient tous les deux aux limites de l’irréel.
C’est Agnès qui mena le bal

« Mets toi à quatre pattes sur le lit petite, oui.... écarte bien tes cuisses...lève tes fesses....elle une belle chatte, tu ne trouve pas Hubert...une sacré chatte sans poils....elle ne t’attire pas chéri ? Allez avoue qu’elle te fait envie....approche... oui plus près...attends que je te guide »

Hubert était tout ému, fasciné en effet par la vulve offerte de Gloria, il l’avait toujours fourrée avec un plaisir immense. Mais quelle fièvre animait son épouse, prenant sa verge en main elle l’attirait vers le méat entrouvert. Jamais il n’avait fait l’amour avec une autre en présence de sa femme. Cette situation l’excitait au plus haut point et cela se vit à la qualité de son érection

« Tu rebandes dur mon cher Hubert, nous allons bien nous amuser tous les trois »

En parlant elle avait laissé son mari debout entre les cuisses de l’asiate, le sexe bandé entre ses fesses. Rapidement la princesse fit le tour du lit et s’allongeant sur le dos en travers elle s’immisça entre les bras de Gloria puis en ondulant elle s’enfonça passant sous le ventre pour enfin placer sa tête dans l’arc des cuisses écartées. Chemin faisant elle avait réussi à glisser sous ses hanches et sous sa tête deux coussins rondelets, le premier comprimant ses fesses en ouvrant son bassin offrait sa vulve au regard de Gloria tandis que le deuxième en rehaussant sa tête la plaça en haut de ses cuisses sa bouche frôlant la chatte imberbe de la petite partenaire.

Hubert était ahuri par l’audace de sa femme qui mettait en concurrence deux paires de lèvres l’une verticale et blême s’ouvrant sur vulve rose l’autre horizontale pulpeuse et rouge carmin ouverte sur une langue s’agitant entre deux rangée de perles. Il n’eut pas à choisir, Agnès tout en lui caressant les couilles lui prit le sexe par la hampe l’attirant vers les deux cloaques. Dans sa bouche d’abord en absorbant son gland ; puis par de légers mouvement de tête alternant avec de légères tractions sur son membre elle en prit une bonne partie tandis qu’avec sa langue agile et enveloppante elle enduisait sa hampe de salive translucide.

La suite fut horriblement délicieuse, Agnès relevant son sexe lubrifié le présenta entre les lèvres de la chatte de la mignonne Gloria qui les fesses écartelées était prête à l’absorber ; mais il ne put s’emmancher brutalement comme il aimait le faire d’habitude, une volonté impérieuse et inexorable le retenait, celle de son épouse, l’anneau de ses doigts qui le guidait , faisant aller et venir son gland au bord des lèvres qu’il devinait cachées sous les fesses rebondies, serrées entre les cuisses entrouvertes. Les grosses lèvres écartelées par l’ogive de son sexe dévoilaient les petites lèvres, le capuchon du clitoris qui pointait révélant l’entrée du vagin mauve et plissé. La langue ne restait pas inactive et titillait sans peine sa hampe, ses couilles avant de plonger dans la raie fendue par l énorme verge.
Si Hubert n’avait pas eut l’art consommé de la retenue il aurait dés cet instant jouissif éclaté libérant son foutre. Il lui fut de plus en plus dur de résister car Agnès lui laissa un peu de liberté et il put se centrer à l’entrée de la vulve et s’enliser autant que le permettait le collier formé par les doigts de son épouse. Gloria commença également à se trémousser, elle poussait des petits cris d’impatience de plus en plus stridents au fur et à mesure que l’étreinte remontait comme un doux carcan le long de la verge du prince lui permettant de fourrer plus profondément le chatte de l’asiate et d’aller et venir en elle.

« Bouffe moi la chatte.......suce moi ! »

Cet ordre impératif fit comprendre le rôle que la comtesse intimait à Gloria pour elle aussi entrer dans la ronde érotique. Le sexe offert d’Agnès était à une bouche de son visage, elle se pencha et emboucha le gros sexe boursouflé de sa maîtresse et y plongea profondément sa langue. Les mouvements des trois partenaires devinrent chaotiques chacun cependant agissant pour son plaisir et celui des deux autres. Hubert enfin libre pu baiser à fond offrant ainsi ses couilles au nez et à la bouche de sa femme. Agnès s’épuisait à relever sa tête pour mieux sucer à tour de rôle la chatte de Gloria ou la hampe et les couilles de son mari fut plus à son aise quand Hubert lui prenant ses deux nattes de ses blonds cheveux lui plaqua le visage à bonne hauteur.

Elle appréciât alors pleinement la langue de l’asiate plantée elle et pour la remercier passant une main entre les quatre cuisses emmêlées d’un doigt en vrille elle encula son petit cul. A cet instant si une tierce personne avait pu voir la scène il aurait vu jouir deux femmes et un homme enchevêtrer les uns sur les autres et se donnant mutuellement du plaisir. Hubert pistonnait Gloria les yeux dans le vague en ahanant et en débitant des phrases incompréhensibles. Agnès eut la lucidité de happer sa verge lors d’un recul la sortant de son cloaque et la tordant la présenta à l’entrée du petit gouffre de l’anus entrouvert par ses doigts.

Hubert était tellement excité que sans son tact et sa douceur habituelle il viola le petit cul d’une avancée brutale arrachant un cri de douleur de Gloria qui mordit la vulve d’Agnès. En deux simples aller et retour dans le trou mignon il éjacula avec une telle force que le sperme sous pression dégoulina sortant de l’anus inondant la vulve puis le visage de la comtesse plaqué sous les deux sexes. Dans un grand cri d’orgasme le trio s’écroula sur le lit finissant de jouir emmêlés les uns dans les autres.
C’est Agnès qui se releva en premier

« Et bien nous avons bien jouis aujourd’hui encore ! »

Hubert reconnaissant l’embrassa fougueusement sur la bouche

« Tu es la meilleure des amantes, chérie ! » lui dit il simplement.

Toujours dans le plus simple appareil ils devisaient maintenant sans pudeur

« C’est madame la comtesse Gertrude qui m’inquiète pour le moment » dit Gloria et devant le regard étonné du couple elle relatât ce qui se passait depuis quelques jours.

« Tu n’aurais jamais du lui donner ce gode » susurra Agnès « Avec lui elle s’envoie en l’air trop souvent. En effet elle n’est plus la même, elle ne nous parle plus, elle se renferme sur elle. Avec père elle n’a jamais eu vraiment du plaisir. C’est toi qui lui a fait découvrir l’orgasme. A l’époque nous n’étions pas encore très liés comme maintenant ; pour toi c’était une aventure de plus mais pour elle, te connaissant tu as du lui en faire voir de toutes les couleurs et maintenant seule elle ne peut que fantasmer et procéder à des expédients comme ton sexe factice. Je vais te parler franchement Hubert, tu es fautif, tu devrais payer, réparer ! »

« Payer ? réparer ? mais comment ? »

« En l’honorant de temps en temps »

« Je n’ose comprendre ce que tu me proposes, tu m’offres la possibilité de baiser ta mère ? »

« Tu as bien compris »

« Mais chérie tu me suffis amplement maintenant à part quelques incartades que tu me permets pour me retrouver plus amoureux ensuite. Tu sais bien que je ne cours plus »

« Je le sais mon amour mais j’aime ma mère, je ne veux pas qu’elle devienne nymphomane, je ne suis pas jalouse d’elle »

Hubert était éberlué de la proposition. Ce n’était pas l’envie qui lui avait manqué de baiser la Comtesse mère, elle était magnifique mais Agnès le possédait, le contentait pleinement. Il avait au fond de lui le souvenir de la seule bouche qui avait su gober son sexe entièrement, des fesses épanouies hospitalières, il ne faudrait pas trop le tenter

« Ne pourriez- vous pas trouver une autre solution » murmura Gloria

« Quoi donc ? »

« Trouver au château un mâle qui pourrait sans nous faire du tort contenter Madame ! »

« Au château ? mais qui ? »

« Il faudrait trouver un nigaud qui n’est pas l’idée ensuite de nous faire chanter »

« Oui mais un nigaud qui soit monté honorablement et qui sache un tant soit peu faire l’amour, après toi Hubert ça ne va pas être facile de trouver ! »

« Qui ? julien ? »

« Trop vieux ! »

« Blaise ? »

« Trop malin ! »

« Sandy ? »

« Mais chéri ! il est noir »

« Et alors ! d’abord il est mulâtre ! »

« Il y aurait bien Rémy ! l’aide jardinier » dit Gloria

« C’est un môme ! »

« Un môme de 19 ans, un mètre quatre vingt, soixante dix kilos ! »

« Mais est il bien monté ? »

« Ce que j’en sais ? »

« Je pourrais peut être faire un essai, nous jugerions ensemble ! » minauda l’asiate.

Ce fut entendu et le piège organisé. Rémy devait vérifier les éclairages de toutes les pièces du château, ce serait facile de le coincer !
Rémy venait de finir la vérification de la chambre de Gloria, il ignorait qu’il était observé en permanence par ses patrons qui le guettaient au travers d’un miroir sans tain. Cette Gloria ne se gênait vraiment pas, tout le temps de sa vérification elle était restée en tenue légère, sa robe de chambre vaporeuse ne cachait rien de ses deux seins qui pointaient ni de ses cuisses déliées, seul un petit slip cachait l’essentiel. Elle finissait de se maquiller enduisant ses lèvres d’un rouge incarnat.

« Alors mon petit Rémy ! comment me trouves tu ? »

Rémy faillit défaillir quand la beauté se plaqua littéralement sur lui
« Tu es grand dit donc ! Allons ne tremble pas comme une feuille, comme un môme.....tu es beau !.....tu me plais beaucoup !....le sais tu ? »

Rémy transpirait à grosses gouttes, il senti une main qui s’insérait dans sa braguette, il fut agrippé par les couilles avant d’être saisi délicieusement par la hampe de sa verge. En quelques branlées il bandait comme un jeune cerf.

« Tu es bien monté Rémy, un vrai homme ! »

Un homme ! oui bien sûr, les filles de la cuisine le savaient bien, c’étaient elles qui l’avaient dépucelé, elles aimaient se faire fourrer entre deux portes, se faire culbuter cuisses en l’air, écartées au bord des lits. Il fallait faire vite car ils auraient put être surpris et renvoyés. Aujourd’hui cette Gloria, toujours fourrée avec les patrons s’offrait à son tour. Rémy poussa un oh de surprise en sentant son pantalon descendre avec son slip. Bigre comment cela allait il finir !

« Laisse moi te sucer la queue mon Rémy.....hummmm c’est bon, elle est grosse.. et longue pour ton âge....Je crois que tu as déjà baisé une fille !.....ne mens pas...tu rougis.....dieu quelle bite ! »

Rémy ne pu résister longtemps, il fallait cette fois encore faire vite pour profiter de cette occasion magnifique, il releva Gloria, la pris dans ses bras en la soulevant ses mains sous les fesses et la porta jusqu’au lit, là il la bascula faisant éclater sa robe de chambre ; habilement il lui écarta les cuisses, s’inséra à l’intérieur du compas offert, il releva ses jambes pour les caler sur ses épaules et avant que Gloria n’est eut le temps de réagir il tira son slip par l’arrière découvrant ses fesses et l’entrecuisses ; un instant après il était en elle la pistonnant en énormes allers et retours de la longueur de son sexe. Pour l’encourager Gloria se pâmait en gueulant

« Ah je jouis, tu me baises ! salaud ! Ahhh tu es gros, je te sens bien ! oui.. ouiiii......ah ouiiiiiii ! ! plus vite ! plus fort ! »

Encouragé Rémy lui pétrissait les seins, il prit Gloria sous les fesses pour s’encastrer davantage tout en la soulevant ; il ne résista plus guère et sans soucis des conséquences il éclata en elle. Ce fut un grand spasme, un long cri durant la montée inexorable du foutre des profondeurs de son être à l’extrémité de son gland. Enorme jouissance, mais trop brève, amour non contrôlé, éjaculation rapide. Rémy se désengagea et courut remettre son pantalon ; avant que Gloria ai pu dire quoi que ce soit il était parti avec son matériel.

Heureux le Rémy, il jubilait, c’était un coq recherché par les poules. Cette poule de luxe, cette Gloria il lui avait fait voir ce dont il était capable, il l’avait bien baisée ! Dieu qu’elle était belle, il l’avait fait hurler avec sa grosse queue. Il regrettait d’être parti comme un voleur car maintenant qu’il revoyait la scène il aurait pu l’enculer comme la vieille Marie lui avait montré en le guidant dans son cul usé. Il avait vu le petit cul serré de l’asiate sous sa chatte comme il aurait été bien serré dedans. Tant pis pour lui ! Il y aurait peu être une suite ! si la belle l’avait apprécié.

Hubert et Agnès se concertaient avec Gloria qui raconta

« Il est bien rustre ce Rémy, bien monté, mais il éjacule un peu vite ; bien drivé il pourrait bien faire mais pour l’instant il baise comme un manche ! Si cela devait durer je pourrais le prendre en main »

Nous allons voir convinrent t’ils et par un autre miroir ils guettèrent l’arrivée de l’aide jardinier dans la chambre maternelle.
Depuis qu’il était entré dans sa chambre Gertrude observait à la dérobée le jeune Rémy qu’elle connaissait depuis sa naissance. Qu’il avait changé cet enfant, enfant ? c’était un homme maintenant, un homme ! Elle venait de décider de se montrer, d’agir, de forcer sa chance pour sortir de l’enfer où elle s’était plongée. Elle avait besoin d’un mâle, d’un vrai, d’une bonne queue bien chaude. Avec Rémy elle ne risquait pas grand chose à essayer. Après tout pour lui se serait agréable au delà de la surprise : baiser la comtesse il ne pouvait l’imaginer. Oserait elle ? c’était une occasion unique, il fallait la saisir, ils étaient seuls dans sa chambre, aller, ah oui. Elle se leva et s’approcha du jeune homme qui était debout sur une chaise vérifiant longuement l’énorme lustre de la chambre.

« Mon petit Rémy ! tu travailles bien. N’as tu pas peur de tomber, fais bien attention »

« Merci madame j’ai l’habitude »

Gertrude lui prit les jambes, le contact des jeunes cuisses l’électrisa

« Je te tiens c’est plus prudent »

Rémy compris rapidement que la Comtesse tant aimée, tant respectée était une femme comme les autres, comme les filles de cuisine, comme cette Gloria qu’il venait de baiser. Mais qu’avait il donc pour les exciter de la sorte. Le doute devint réalité, tout à son ouvrage tête et bras tournés vers le lustre il se sentit palpé, caressé, happé, investi ; de nouveau sa braguette fut forcée, son slip descendu, sa verge saisie, sortie et gobée par une bouche pulpeuse et gourmande. Debout près de lui la bouche de la comtesse était à bonne hauteur, la queue de Rémy fut branlée entre les lèvres pulpeuses serrées sur sa hampe, à chaque avancée elle en prenait un peu plus pour finalement la prendre entièrement jusqu’aux couilles, c’était bon surtout quand une langue agile s’enroulait autour de son gland.

Jamais il n’avait été aussi gros aussi raide, la comtesse le suçait en gémissant elle semblait avoir du plaisir elle aussi. Quand tout en le suçant elle lui chatouilla les couilles il cru qu’il allait exploser, il fallait faire vite ; décidément le scénario ne variait guère, tout à l’heure Gloria, maintenant la comtesse, toutes des putes, toutes des filles qui voulaient profiter de lui, de sa beauté, de sa jeunesse, de sa queue, les salopes elles allaient voir. Même causes, mêmes effets, la comtesse se retrouva écartelée au bord de la couche mais son harnachement était plus complexe que celui de l’asiate, bas, jarretelles, culotte résistaient à sa hâte de la possession, il arracha le mince rempart à sa convoitise, le slip se déchira et il s’installa entre les cuisses ouvertes mais cette fois il s’emmancha directement mais dans l’orifice mauve et plissé sous la chatte.

Son désir était au paroxysme sa queue bien raide bien serrée dans l’étroit conduit de l’anus, il se retira pour mieux replonger dans le cul dilaté maintenant et sans pouvoir se retenir il explosa dans un cri de bête en rut ; voilà madame est servie, heureux de lui, il se dégagea, se rajusta , pris son matériel et comme avec Gloria disparut laissant la comtesse se démêler du désordre dans lequel il l’avait mise. Oui il était bien un coq, un tombeur de femmes. Il allait descendre le grand escalier pour rejoindre son cabanon quand il rencontra Agnès, elle le regardait intensément, comment ? elle aussi, fort de son charme il s’arrêta devant elle et hardiment lui mis sa main au cul, le temps pour lui de sentir l’opulence de ses fesses sous les fins tissus de sa robe il reçut la plus formidable paire de gifles de sa vie.

« Dehors jeune dévergondé, retourne immédiatement travailler au jardin, nous allons statuer sur ton sort, attends toi au pire des châtiments ! Que l’on ne te retrouve plus jamais au château ! voyou !»

Rémy revenait à la réalité, qu’allait il devenir ? Il pleurait chaudement en regagnant la hutte qui lui servait de débarras. Il s’allongeât sur le sol et pleurât, pleurât et s’endormit.

Dans sa chambre, Gertrude était en pleine crise, elle se roulait de dépit sur son lit, qu’elle sotte elle avait été de penser que ce Rémy, cet adolescent, allait la payer de son audace et la faire jouir comme elle espérait depuis plus d’un an. Il n’avait pensé qu’à lui, qu’à son plaisir, il semblait heureux, content de lui, pauvre ignorant qu’il était de ce qu’attend une femme qui s’offre. La comtesse avait sortit de son écrin l’énorme postiche mais n’avait pas eut l’énergie de se le fourrer dans la chatte. Il gisait tristement au bord du lit. Elle n’entendit point l’entrée d’Hubert dans sa chambre, ce dernier obstrua l’ouverture du miroir sans tain, il voulait faire son devoir sans être vu, il ne voulait pas montrer l’émoi qui l’étreignait plus que de raison depuis que son épouse l’avait prié d’honorer sa mère pour la sauver de l’enfer où elle s’enfonçait.

Il voyait Gertrude de dos, elle serrait et desserrait convulsivement ses cuisses, elle était magnifique, Hubert était fasciné par cette croupe épanouie. A la hâte, sans bruit il se dénuda complètement et s’approcha du lit, il écarta le godemichet et il se positionna à sa place. Son désir était grand et il bandait dur, sa grosse queue raidie et son énorme paire de baloches. Gertrude se calmait, elle jeta un bras en arrière, elle cherchait son seul moyen de jouir, de se faire jouir, sa main toucha le sexe adoré et elle l’empoigna rudement. Aussitôt elle le lâcha en hurlant, elle se retourna brusquement, comprit la situation et se blottit le plus loin possible d’Hubert, recroquevillée à l’autre bout du lit. Elle dit :

« Hubert, toi ? »

« Oui Gertrude ! je suis là pour toi ! »

« Mais Agnès ? »

« Elle le sait ! elle le veux.....il le faut ! »

« Non....non....nonnnn ! »

« Si !.... je vais te baiser, je vais te faire jouir à te faire hurler de plaisir... »

« Mais pourquoi ? »

« Parce que tu en as besoin....et aussi parce que j’en ai une envie folle depuis plus d’un an ! »

« Toi aussi ? Moi je ne vis plus depuis l’instant où j’ai quitté ta garçonnière ! Ta présence ici dans ma chambre est comme un rêve, il va s’évanouir sans doute, ce n’est pas possible !»

Pendant qu’elle se confiait à lui, Hubert s’allongea près d’elle et la prit dans ces bras, elle tremblait de tous ces membres.

« Tu ne rêves pas, je suis là près de toi, donne moi ta main ! prends ma queue ! tu la connais ! oui...ouiiiii caresse moi bien, pendant que je te déshabille ! »

Hubert ne lui laissa que son slip qui faisait semblant de cacher ses fesses divines, puis il lui baisa la bouche, la bouche et le cou, il lui mordilla l’épaule avant d’insérer sa langue dans le creux de l’oreille. Déjà Gertrude se tortillait en gémissant, elle s’offrait. Hubert lui lécha les seins en insistant sur les pointes érectées. Ne voulant pas la faire trop languir il s’installa entre ses cuisses, la souleva pour glisser un coussin sous ses fesses et sans prendre le soin de retirer sa culotte, en l’écartant simplement il ploya sa verge vers la vulve imberbe et pointa son gland à l’entrée du méat ; il n’eut aucun mal à la pénétrer, il s’allongea sur elle lui pelotant les seins en baisant sa bouche.

Gertrude se sentit envahie d’une marée de bonheur, fini pour elle les branlées frénétiques avec le gode, le pistonnage lent et onctueux de la pine d’Hubert la remplissaient de joie, l’orgasme monta rapide, impétueux, total, comme une grande houle, elle gémit au comble de la jouissance. L’infatigable pine la fit jouir trois ou quatre fois, de plus en plus fort, de plus en plus longtemps. Elle se sentit retournée comme une crêpe, docile elle se laissait faire, obéissantes aux mains qui la guidaient.

Elle se retrouva en levrette au bord de la couche la croupe l’air avec Hubert debout derrière elle. Il lui écarta les fesses et la danse satanique de sa queue reprit inexorable, ses seins ballottaient en cadence sous les assauts furieux, à fond le ventre du mâle claquait sur ses fesses. Les mains sur ses hanches Hubert sortait sa queue avant de replonger dans la fournaise de sa chatte, plongée accompagnée du froufroutement d’air expulsé, bruit incongru qui les excitaient tous les deux plus encore. Gertrude ne cessait de jouir jusqu’au moment où la danse s’arrêta abandonnant la chatte écartelée, Il arriva alors ce qu’elle espérait, ce qu’elle attendait, elle sentit le gland se centrer sur son petit cul et se trouva pleine, Gertrude retrouva le plaisir de la sodomie ; la jouissance changea de nature, plus profonde, plus intense.

En plus de cette queue qui la servait, ses seins furent caressés, sa chatte investie par des doigts mutins qui s’enfonçaient dans sa vulve quand la pine sortait de son anus. Quel amant ! La cadence s’accéléra et Gertrude bien calée entre le lit et le ventre de son amant, bien tenue à deux mains à sa taille ne put participer qu’en agitant sa croupe et en feulant de plaisir, d’un coup, le derrière plein, un orgasme la submergea, une volée d’étoiles l’aveugla et elle perdit conscience de l’espace et du temps. Quand elle refit surface elle était allongée sur le dos et elle vit Hubert debout devant elle. En souriant elle lui dit :

« Mes enfants vous êtes gentils tous les deux »

Hubert la regardait fixement, les yeux fiévreux, il semblait hésiter, d’une voix rauque il lui commanda presque durement

« Gertrude ! suce moi ! »

Ainsi Hubert quémandait le bonheur, Hubert le fort, le bandeur demandait la bouche, la gorge profonde, la langue de celle qu’il avait fait jouir des heures durant

« Ah oui mon Hubert, cent fois si tu veux ! je veux te rendre le plaisir que tu m’as donné, te rendre heureux, te faire jouir, te faire connaître à ton tour l’ivresse du plaisir que tu m’as donné. Allonge toi près de moi et laisse moi faire. Oui ! dieu quel calibre ! »

La conversation prit fin car elle emboucha l’énorme phallus. Hubert ferma les yeux, il y a plus d’un an qu’il pensait à cet instant, à cette caresse buccale de Gertrude, la seule qui l’avait fait jouir comme une bête, la seule qui avait pu l’absorber entièrement jusqu’aux couilles. Le morceau était dur à avaler, mais tel un serpent qui ingurgite sa proie, Gertrude mis toute son ardeur, sa science, son anatomie au service de son amant. Les lèvres bien enroulées en forme de O sur l’énorme cylindre, elle le gobait de plus en plus complètement, arriverait t’elle à l’absorber à fond, le gland dans sa gorge à deux doigts de l’étouffement. Elle y parvint avec la volonté qu’elle avait de faire plaisir.

Hubert regardait ahuri son sexe se faire dévorer par cette merveilleuse bouche déformée par l’ampleur de sa verge et quand il fut complètement en elle il explosa en hurlant de bonheur, il éjacula si puissamment qu’il inonda l’arrière gorge de Gertrude. Son foutre dans sa bouche dégoulinait entre les lèvres serrées, il y eu d’autres soubresauts de son ventre pour aller et venir de toute la longueur de sa queue dans cette bouche attirante, il sentait une langue enveloppante lui nettoyer sa queue et c’est paradoxalement le gland entre les lèvres qu’il rejouit une fois encore. Gertrude le suçait encore mais à moitié maintenant, en même temps elle lui caressait les couilles, ses énormes baloches toutes congestionnées. Elle déglutit la verge quand elle sentit qu’elle s’amollissait.

« Gertrude ! nous avons décidé Agnès et moi de ne plus te laisser seule ; chaque semaine je viendrais ainsi te rejoindre pour te faire jouir tout ton soul, par tous les trous de ton corps, le temps que tu voudras. Nous voulons retrouver la Gertrude d’avant, la maîtresse des lieux fière et équilibrée d’il y a un an....compris ? »

« Je ne peux dire non, j’ai tant besoin d’amour, j’ai besoin de toi, je t’aime Hubert ! »

Ils s’embrassèrent longuement soudés par tous les pores de leurs corps. Ils s’arrachèrent l’un de l’autre. Hubert se rhabilla et sortit de la chambre.


Et notre Baron dans tout cela ? que devenait il ? Gertrude s’était lassé de lui assez rapidement après leur mariage ; c’était un éjaculateur précoce, il ne pouvait résister au feu de son épouse et dés l’introspection il éclatait en elle en une jouissance infinie, irrépressible, malheureusement fulgurante ; après, malgré tous ses efforts il s’amollissait, l’envie surtout disparaissait, quel gâchis, d’autant qu’il devinait en sa femme une amante ardente. Au début elle avait fait des efforts, s’harnachant de dessous excitant, piètre résultat, il lui était même arrivé de jouir avant la possession. Depuis ils s’étaient éloignés l’un de l’autre, faisant chambre à part ; il la soupçonnait de prendre son plaisir solitaire, il l’imaginait se pistonnant la chatte avec des objets les plus divers.

Et puis il y avait l’asiate, une drôle de souris celle là, toute à la dévotion de son Hubert ; une fois il avait essayé de la frôler, découragé par le geste impatient et courroucé de la femme de compagnie. Et Hubert, il l’enviait, surhomme, sûr de lui, il connaissait sa réputation de bandeur, la noblesse du coin planquait leur femme quand il l’invitait ; il lui semblait même que depuis un moment il tournait autour de Gertrude. Enfin peu importait maintenant, lui se consolait par des amours ancillaires, cela convenait à sa nature, aux us et coutumes de ses quartiers de noblesse.

Pour un mot gentil, pour un petit cadeau, les soubrettes, les cuisinières du château se prêtaient à ses ardeurs ; c’était toujours rapide, de peur de se faire remarquer ; dans une soupente, une buanderie, une cave, dans les toilettes même, il les prenait à la hâte retroussant les cotillons, écartant les culottes ; la position de levrette était la plus aisée, tel un cerf, il les emmanchait par derrière et se répandait en elles en grimaçant de plaisir. Les anciennes s’étaient prises d’amitié pour lui et considéraient de leur devoir de le bien servir, une sorte d’honneur qu’il leurs donnait. Quelques unes le suçait pour un petit billet supplémentaire.
Le Baron chassait également en ville, incognito pour des échanges plus longs, il avait appris petit à petit à se contenir, pour cela il abusait de caresses, il avait découvert le pouvoir érogène de ses mains de ses doigts, l’agressivité de sa bouche, de sa langue ; il avait développé au plus haut point l’art de parler en faisant l’amour. Certaines femmes très réceptives mouillaient à l’entendre parler de leur chatte ; Il leur apprenait à se regarder faire l’amour dans une clarté diffuse, face à d’énormes armoires à glaces. Il pouvait dire maintenant que les femmes qui l’avaient connu gardaient un souvenir de leurs longues, de leurs très longues nuits de caresses.
Il était en ce moment sur un coup…………
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Mercédès au château 3


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