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Mes couacs (coups ratés)

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Lue : 2014 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 05/06/2017

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Mes couacs (moments coquins ratés)

Il ne faut pas croire, au lu de mes histoires, que tout n'a été que réussites sexuelles, que tout c'est bien passé, et à tous les coups, dans les recherches d'hommes pour trio ou couples échangistes, ou encore de situations dues au hasard.

Il m'est arrivé de tomber sur des malades, ou sans mon mari, cela aurait très mal fini pour moi, il ne faut pas croire que ça n'arrive qu'aux autres, ils existent, ils sont là, et rien ne les différencie.

J'ai eu des crado ou je suis repartie illico, j'ai eu des "lapins" aussi, quand certains mettent une photo de mannequin et qu'ils sont plus prédestinés à trouver un emploi dans le train fantôme, forcement, ils ne viennent pas au rendez-vous.

J'ai eu aussi ceux qui s'étaient purgés avant de venir, à leur dire, et qui au moment voulu, le chargeur était vide, j'ai eu des Lucky Luke, à peine je mettais ma main sur le canon, qu'on me tirait dessus.

J'ai eu des rabatteurs, qui cherchaient des femmes pour partouzer chez des riches, vu les sommes qu'ils proposaient et qu'ils montraient parfois, pour me rassurer, mon mari pouvait même m'accompagner, j'ai eu des photographes, des bidons et des pros, c'est le matériel qui me renseignait, une fois l'un d'eux était venu avec un instamatique, probablement péché dans la sciure dans une foire.

Pendant toutes ces années de libertinage, j'ai eu de tout, des ânes, des bourrins, des dingues, des cons, des gens normaux, des instruits, des intelligents, des pauvres, des petits riches, et bien évidemment, des cons menteurs, qui représentent hélas, le plus grand nombre.

Le genre marié, s'annonçant célibataire, avec une trace blanche au doigt, là ou le soleil n'a pas pu brunir, ou ceux qui ne pouvaient pas recevoir le soir, ni même le WE, les excuses étaient autant variées qu'idiotes, j'avais un principe, je ne voulais pas d'hommes mariés, ni de femmes mariées non plus, sauf pour un duo elle et moi.

Enfin, tout ça pour faire un petit rappel, pour dire qu'avec mon mari, nous sommes libertins, et que si l'un, a une occasion sans pouvoir prévenir l'autre avant, ce n'est pas grave, on se le dira quand on se verra le soir, la seule restriction pour moi, c'est de ne pas m'isoler avec quelqu'un d'inconnu, à juste titre, la raison est évoquée plus haut.

Concernant quelques aventures, qui ne se sont pas du tout passées comme d'autres qui elles sont allées très loin au niveau coquineries, j'en ai eu aussi quelque une qui ont avorté, avortées même dans l'œuf pour certaines.

En voici raconté ci-dessous.


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Un après-midi, je devais attendre mon mari qui me prend aux gobelins (paris), une avenue pleine de salle de cinéma, j'avais 2 heures à perdre, car le shopping, ce n'est pas forcement acheter à tout prix, quand rien ne plaît, quand on n'a pas envie d'essayer, on est vite lassée, à l'époque pas de portable pour prévenir, un rendez-vous à un endroit, on devait s'y tenir.

Il ne faisait pas très chaud et attendre dans un bistro, hors de question, je décide donc de rentrer dans une salle de cinéma, c'était un film pseudo érotique, le seul film de cette avenue qui me semblait acceptable, entre film de guerre, de bagarre ou fantastique, le choix était limité, je rentre donc, je prends une place.

Il n'y avait pas foule, je m'installe et peut être 5 mn après que le film ait commencé, un jeune, la vingtaine, s'assoit à côté de moi, il n'y avait même pas 10 % d'occupation de la salle, et lui ne trouve que celle à côté de moi.

Il ne me parle pas en s'asseyant, il se passe au moins dix minutes avant que son genou touche le mien, je me pousse sans brusquerie, et encore un temps assez long se passe avant qu'il mette son coude sur l'accoudoir, pour toucher le mien.

Je tourne la tête et le regarde à la rare lueur clair de l'écran, et je vois qu'il a le visage complètement congestionné, à croire qu'il vient de faire un casse et qu'on l'attend à la sortie.

Si l'histoire du film est nulle, certaines scènes sont bien tournées, et le contexte me fait naitre une légère excitation, j’ai le coude du jeune homme qui fait contact depuis un bon moment, je me dis, pourquoi pas, je remets ma jambe vers lui, juste à l'effleurer à peine.

Il se passe une bonne minute avant qu’il recommence à me faire du genou, cette fois-ci, je le laisse faire, il attend encore plus qu'il ne faut, pour enfin mettre sa main sur mon genou, j'ai une jupe plissée qui arrive au-dessus des genoux.

Sa main est sur mon genou et aussi sur ma jupe, comme il ne se décide pas à la remonter, avec ma main opposée à lui, je tire sur ma jupe, la tirant de dessus sa main, après cela, j'ai le contact de sa main chaude sur ma cuisse, l'effet est instantané.

J’écarte les cuisses pour l'inviter à s'enhardir avec ma bénédiction, sa main remonte de quelques centimètres, l'excitation est à son comble, j'attends avec impatience le moment magique, celui ou je m'abandonnerais sans condition à lui.

Quand sa respiration devient plus forte, je le regarde discrètement, il me retire sa main, se presse le sexe, et soudain sans me regarder, reprenant son souffle, il se lève et s'en va, il avait tout mis dans son pantalon, me laissant en plan, l'envie sexuelle a été remplacée par une envie de rire.


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J’ai eu également une autre anecdote sur un film non-érotique, soit disant comique, ou à plus de la moitié du film, un type a commencé à me tripoter la cuisse après m'avoir fait du genou, et ou je n'avais pas encore décidé de le laisser faire.

J'avais mis ma main, pour ne pas qu'il remonte la sienne, peut être pour faire celle qui ne dit pas oui tout de suite, mais en insistant un peu, je finis par céder, il commence à remonter sa main.

À ce moment-là, un type arrive à cote de lui, ils se connaissaient très bien, le nouveau venu était loin d'imaginer ce qui se passait, il lui a tenu la bavette tout le reste du film, ils ont été boire un coup ensemble en sortant.


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J’ai eu à deux reprises, un type, pas le même soir, qui eux, se sont assis à coté et m'ont directement mis la main sur ma cuisse, le scandale a suivit, j'ai rouspété et il s'est fait mettre dehors par l'ouvreuse qui le menaçait d'appeler la police, s'il ne partait pas tout de suite.

Le second lui, sans hésitation a voulu me toucher les seins, il a évité ma gifle et n’a pas demandé son reste, il a changé de place en allant plus loin dans la rangée de siège.

J’ai eu aussi des types qui ont mis leur genou contre le mien, et rien de plus.

Il m'est arrivé aussi des fois où j'ai regardé un film sans être touchée.


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En ballade au bois de Vincennes, l'été, il arrivait que j'étais sur un banc en train de lire, un type s'asseyait dans l'herbe, à 3 ou 4 mètres devant moi, l'air de rien, les bancs étaient tous prit, ils y en avaient beaucoup qui étaient assis dans l'herbe.

Sa présence était normale, sauf que je me suis aperçu qu'il me matait, cela était dans la discrétion, je ne faisais rien pour l'en dissuader, bien au contraire, je jouais de mes changements de positions de jambes pour montrer davantage.

Cela ne dura pas bien longtemps, une vieille dame avec un petit chien, vient me voir en se plaçant devant moi et le regard du type, en me disant de faire attention, un vicieux était en train de regarder sous ma robe, disant cela tout haut et en le montrant presque du doigt, le type a fait celui non concerné, s'est levé et est parti.


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Dans un magasin de sport, au rayon plongée, j'essaie une combinaison, rideau tiré, mais sans plus, un type dans la même allée, face à la cabine, il regarde des lunettes de plongée, enfin, c'est ce qu'il veut faire croire, à moins qu'elle soit pour son fils, il est très discret, il fait celui qui est à fond dans ces lunettes, il les scrute méticuleusement.

Seulement, je vois bien que la seule paire qui l'intéresse, c'est celle qui est dans mon soutien-gorge, ses coups d'œil furtif ne me sont pas indifférents, il a compris que je l'avais repéré, et comme je ne disais rien, il ne se cachait plus que des éventuels clients qui pouvaient arriver.

Je vais pour me dévêtir complètement, en faisant quand même celle qui ne se doute de rien, quand je l’entends dire, "oui, j'arrive", puis il est parti, je l'ai revu au sous-sol, à sa voiture, il était avec bobonne qui n'avait pas l'air commode, tout en faisant bien 20 kg de plus que lui, qui déjà était bien enveloppé, le temps de passer derrière eux, il ne m'a pas vu, son rejeton a dû prendre trois claques derrière la tête, et lui s'est fait traiter d'imbécile et de bon à rien en même temps, les cas sociaux de la France très très profonde.


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À la plage, mon mari déteste mettre de la crème, je pense que si une jeunette le lui demandait, il se forcerait, mais à moi, comme aux femmes des copains, il déteste ça, quand d'autres se dévouent, ça ne lui pose aucun souci, bien au contraire, il va se baigner pour ne pas déranger, si certains ont pu laisser libre cours à leur mains baladeuses avec notre bénédiction non déclarée, Il y en a eu qui me l'ont fait avec des pincettes, en s'excusant quand ils frôlaient la bretelle de mon maillot, ne faisant que le dos, alors que je demandais d'en mettre partout.

Il y a eu une fois, un type qui a coté de nous à la plage, mon mari se baignait, le type à coté tout seul, je lui demande s'il peut me crémer, il dit oui, il se met la crème sur sa main et d'un coup, je le vois qu'il se l'étale sur lui, j'allais lui dire qu'il est gonflé, mais quand j'ai vu sa femme qui lui demandait ce qu'il faisait, j’ai compris qu'elle ne devait pas arriver aussi tôt, elle m'a regardée de travers, jusqu'à temps que mon mari arrive mouillé de sa baignade, elle devait penser que j'étais seule et que je le dévergondais.


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J'ai également eu des moments insolites (région parisienne), il faut savoir que si je n'ai aucun sens d'orientation, je suis très physionomiste ainsi que très observatrice, j'aurais sans problème pu être flic, huissier ou contrôleur des impôts, ma conscience m'en a empêcher.


Je rentre d'un rendez-vous chez un client, et n'ayant pas envie de me remettre au boulot en rentrant à la boite, je rentre à pied, il faisait beau pour un mois de mars, un cycliste dont j'entends le bruit de la roue libre, qui signifie qu'il ne pédale plus, donc il ralentit, instinctivement, je me serre plus vers ma droite, croyant que je suis dans son passage, alors qu'il y avait de la place à gauche.


Quand je sens une main sur mes fesses, avant de penser à un vicelard, je me dis que le type me tombe dessus, je cambre mon dos pour ne pas que le vélo m'esquinte les jambes, sa main ne m'a pas empoigné brutalement les fesses, mais les a caressées délicatement, cela ne dure pas et je le vois repartir sur son cycle.


Je comprends aussitôt ce qui s'est passé, je lui dis, "il ne faut pas vous gêner", il se retourne et me dit, "désolé, j'ai juste voulu voir si je ne rêvais pas", je lui montre ma main en disant, "vous me l'auriez dit, je vous le démontrais de façon plus cinglante", vous avez raison mademoiselle, excusez-moi répond-il.


Pas de témoin, le type de la quarantaine comme moi, pas laid, souriant, très poli, je me dis qu'il est inutile de faire scandale, ni même d'essayer de le rattraper pour le frapper, avec mes chaussures, je risque plus une chute qu'autre chose.

Quant à une main aux fesses, tant qu'elle n'a pas de signification humiliante, ça ne m'a jamais tué, je sourie de la situation, ça me fera quelque chose de marrant à raconter à mon mari ce soir, comme prévu, je rentre à la boite pour repartir aussitôt.


Quelques mois plus tard, cette anecdote oubliée, un samedi, par une collègue, je suis convié à un événement, ou il y a un passage à l'église, par politesse, j'y assiste, ne connaissant personne, je reste auprès d'elle, quand tout d'un coup, je reconnais le curé.


C'est mon cycliste coquin, je le dévisage afin de chercher un détail, qui me montrera que ce n'est pas lui, sa voix me confirme que c'est bien lui, et lui aussi m'a reconnu, par notre comportement du regard, nous confirmons l'un à l'autre, que nous sommes celui qu'on pense, si moi, je sourie amusée, lui, il vit un très grand moment de solitude, son visage souriant a fait place à une tête d'enterrement contraire aux circonstances.


Les premières secondes lui semblent des heures, mais voyant que je ne dis mot, il poursuit son office, cherchant probablement ce qu'il va me dire, quand je serais devant lui plus tard, il me regarde par moment, je sourie toujours.

Quand tout est fini, j'attends que tous l'aient salué, il accélère ses ouailles, quand enfin, je me présente devant lui, avant que je place un mot, il s'excuse platement, je lui dis, ne craignez rien, pour tout le monde, je n'ai rien vu, rien entendu, donc je ne dirais rien non plus, mais entre nous, je me souviens de tout.


Vous rêvez souvent à vélo, dis-je, ce à quoi il répond, "hein, quoi, je, non, je, c'est la première fois, je ne sais pas ce qui m'a pris, je", je lui dis", zen, respirez, je ne suis pas là pour vous faire des reproches, et encore moins scandale, vous ne m'avez pas violé, vous m'avez en quelque sorte fait un compliment".

Il veut dire quelque chose, mais je le coupe en disant, "ne craignez rien, personne n'en saura rien, mais comprenez que je suis étonnée, la chose mes arrivées plus d'une fois, mais jamais de façon si délicate et surtout par……, vous m'avez compris".


Il va pour dire quelque chose, mais je fais, "chut, ne dites rien, mais si vous voulez refaire du vélo, vous avez une dizaine de minutes pour me le faire savoir, avant qu'on parte, après ça sera fini, je ne reviendrais plus par ici.

Il a voulu parler à nouveau, mais comme je me suis éloignée, ne voulant pas avoir un comportement inhabituel, il est rentré dans son église, j'ai attendu plus de quinze minutes, mais il n'est pas venu.

Avec le recul, je me dis que pour un curé, tripoter furtivement une femme dans la rue, quand on est un parfait inconnu, ce n'est pas la même chose, que quand on représente quelque chose, et qu'on sait ou nous trouver.


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Dans une cafétéria, située en mezzanine dans une grande surface, avant que je ne travaille, suivant ou était le chantier de mon mari, j'allais le rejoindre pour qu'on déjeune ensemble, la cafétéria était toute vitrée, du sol au plafond, les tables au bord étaient visibles des clients dans le magasin, qui se trouvaient dessous.


Étant toujours en minijupe, mon mari me dit, "ne regarde pas tout de suite, tu as un admirateur", en effet un type de la trentaine, passait du rayon casseroles au rayon ampoules et y retournait ensuite, mon mari grand joueur et me connaissant bien, me dit, remonte ta jupe, je fais cela sans que ça se voie des clients présents dans la salle, ni de ce type.


À la fin de notre repas, le type se rinçait l'œil depuis peu, quand d'un rayon plus loin, 3 jeunes cons arrivent pas loin de lui et tout haut disent, "hé les mecs, regardez la meuf là-haut, ho putain le j'ton", comme on avait fini de manger, nous nous levons et allons ranger nos plateaux.


Mon mari repart travailler et j'en profite pour aller chercher un cadeau pour noël au fils d'un ami, passant devant la lingerie, je m'y arrête et en regardant les modèles, je remarque mon voyeur qui fait celui qui regarde un manteau dans l'allée à côté, très discret, mais je ne suis pas dupe, je le surprends du regard et lui souri.


Je prends un soutif et un string, puis je vais dans une cabine, la vendeuse qui contrôle l'accès, note ce que j'emmène, et je rentre dans une des cabines, celle donnant coté des manteaux, il a l'occasion de me voir les seins, et les fesses ensuite, je me rhabille et en remettant ma veste, j'entends des cris.


Je sors et je vois mon voyeur se faire alpaguer par un surveillant, celui-ci dit à la vendeuse qu'il l'a surpris à mater les cabines, je me dis zut, puis une idée me vient, je dis tout haut en m'adressant à mon voyeur, le tutoyant, "alors, qu'est-ce que tu foutais, ça fait une demi-heure que je t'attends".


La vendeuse me demande, "vous le connaissez", je dis, "c'est mon mari, qu'est-ce qui se passe", le surveillant le relâche en s'excusant, je montre les articles à la vendeuse et je pars avec le type, une fois éloignés, le type me remercie en balbutient, et je lui dis, que c'est rien, et que je le laisse, j'ai des achats à faire.


On va chacun de son côté, moi, je vais chercher mon cadeau, et en sortant, je vois mon voyeur qui m'attendait, je me dis, "zut, il va me coller maintenant", il se dirige vers moi, il a un petit sac du magasin à la main, lui aussi a fait ses emplettes, ne pouvant l'ignorer, quand il arrive à ma hauteur, je vais pour lui dire qu'il faut me laisser maintenant, mais je n’en ai pas le temps, il me tend son sac en disant, "c'est pour vous".


Je regarde et dedans, un string et soutif, de même couleur que ceux essayés, mais dans une qualité très supérieure, je lui dis que je ne peux pas accepter, il me répond qu'il le faut, car lui, il n'a personne à qui l'offrir et que ça m'ira mieux à moi qu'a lui.


Il me dit qu'il est retourné voir la vendeuse, disant qu'il regardait pour savoir la taille, que c'était pour un cadeau, c'est la vendeuse qui lui a donné les dimensions de ce qu'il fallait, il me dit, "Mme, vous êtes magnifique, autant de prés que de loin".

Gênée, je regarde encore et quand je veux le remercier et dire qu'il ne fallait pas, je ne le vois plus, je l'aperçois plus loin, je veux le rattraper, mais dans la foule, je perds sa trace, je l'ai cherché un peu, mais je ne l'ai pas retrouvé.

Quel dommage, il serait resté, j'aurais pu, soit lui offrir un café, soit un soir, avec mon mari, lui montrer comment ça m'allait, et qui sait, peut-être même, me les mettre sur moi, mon mari m'a dit que j'étais tombé sur un gentleman.

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En vacances, on avait loué une petite "villa", on sympathise dés le premier jour avec un voisin, pour la raison que mon mari lui dépanne sa voiture, le vendredi, catastrophe pour lui, une importante fuite d'eau sous sa baignoire et celui-ci marie sa fille le lendemain, la plomberie très mal étudiée, il lui faut fermer l'eau au compteur.


Il ne trouve personne pour venir avant lundi, voire mardi, mon mari providence lui propose de réparer, en voyant ou se trouve la fuite, il voit un travail de gougnafier sous la baignoire, n'ayant pas son matériel, étant en vacances, le voisin achète un chalumeau butane et une baguette argent pour réparer provisoirement.


Le soir, il a de la famille éloignée qui vient dormir à la maison, mon mari répare la fuite, sans aucune garantie que ça dure plusieurs mois, ce voisin, content, nous propose sa grande piscine, (la nôtre était plus une pataugeoire).


Autant mon mari, peut être plus con qu'un con, autant, il peut être plus gentil, avec quelqu'un qui est gentil, nous avons 3 chambres, donc 2 de libres que nous lui proposons, il nous avait parle de matelas pneumatique qu'il allait mettre dans sa salle.

Comme je m'y attendais, je connais mon mari, il n'aime pas laisser un sale boulot derrière lui, il dit au voisin qu'on tutoie maintenant, "lundi, tu vas chercher 3 ou 4 mètres de tuyau cuivre, des raccords, une autre baguette argent et j'te fais un vrai boulot de plombard.


On rentre chez nous, et avec sa femme, ils viennent nous voir le quart d'heure suivant, nous proposant de venir au mariage, ils s'étaient concertés avec sa femme, nous refusons, ils insistent, nous disons ok, le soir, la famille arrive et nous sommes invités aussi a dîner pour connaitre au moins les invités, gens sympathique.


Nous nous retrouvons donc à un mariage de plus de 60 convives où nous ne connaissons personne, le midi, on déjeune encore avec eux ainsi que d'autres invités, l'après-midi, cérémonie, vins d'honneur et le soir le repas, après le repas, la fête, et c'est là que tout commence.


Lors de danse, la magie de la fête, de la bonne humeur ainsi que l'alcool aidant, même si c'est raisonnable, mon mari qui a les mains baladeuses, autant que la langue bien pendue, s'aperçoit que sa partenaire, de 22 ans environ croit-il, n'y est pas insensible, mon mari a le double, de mon côté, je ne suis pas en reste non plus.


Il faut dire que nous sommes des inconnus dans ce mariage, lundi, on ne se verra plus, cela aidant, on me tripote discrètement aussi, et plus particulièrement l'un d'entre eux, un célibataire, ce qui est vrai, mais mensongé par omission, pas d'alliance, certes, la fin de cette histoire donnera la raison.


Connaissant bien mon mari, celle qui danse avec lui, à sa façon de faire et au visage souriant de la jeune fille, je me dis que celle-là, elle risque de passer à la casserole, de mon côté, je me demande si cela ne va pas m'arriver non plus, le type sans être apollon, n'est pas laid non plus, et ce que je sens de dur, laisse entrevoir un bon moment.


À la fin de la musique, un autre m'entreprend, entretenant l'excitation, je ne vois plus mon mari, ni sur la piste, ni dans la salle, je me dis, ça y est, la poulette doit être déplumée, prête à être embrochée, musique suivante, celui d'avant me reprend.


N'étant pas en bois, je décide d'accélérer le processus, mon mari n'aura plus de jus pour moi, autant me prémunir maintenant, je lui dis, votre état de santé a empirée, de ce que je sens sur ma cuisse.


Se sachant découvert et voyant ma complaisance, il me fait bien savoir que j'ai raison, nous dansons encore une danse, un autre prend la suivante, il revient me reprendre, nous dansons encore et avant la fin de la danse, il me dit, il fait chaud, vous n'avez pas envie de prendre l'air.


En effet, j'ai chaud, je doute que si je le suis, je vais être plus fraiche, mais sa proposition me paraissant malhonnête, je le suis sans hésiter, il y a des bancs, un petit parc, des endroits sombres, plus loin, des toilettes publics, petits tripotages plus appuyés là ou il faut dans les endroits sombres, et là ou c'est éclairé, nous redevenons des promeneurs.


Endroit sombre à nouveau, tripotage, doigté encore, à chaque fois ça dure plus longtemps du fait que nous nous éloignons, le bougre me chauffe à blanc, de cette façon, il sait que je serais prête à consommer plus tard.


Je me laisse guider, je ne connais pas ce parc, lui peut être que si, l'impatience me gagne, je devrais dire nous gagne, je suis gonflée à bloc, les mains baladeuses de tous en dansant, celles de mon accompagnateur actuel, tout cela a mis de l'huile sur le feu.


Entre la salle et la rue, il y a comme une petite mare et une fontaine, un chemin gravillonné tout autour, l'espèce de parc est presque carré, le chemin gravillonné est rond, des arbres tout autour et entre ce chemin et la mare, à part là ou il y a la sortie, quelques lampadaires éclairent de la salle jusqu'à cette sortie, et trois fois moins de lampadaires de l'autre côté de la marre, là ou nous nous trouvons.


Nous entrons dans la partie obscure du parc, nous commençons à quitter le chemin gravillonné, quand une voix féminine retentit, "Paul, c'est toi, qu'est-ce que tu fais là", et mon futur partenaire de dire, "Pauline, ou étais-tu, ça fait 10 minutes que je te cherche.


Comprenant que je me suis fait baiser au sens figuré du terme, je réponds, "ha voilà, voyez, elle n'était pas perdue votre petite femme", tout penaud, il l'a rejoint, me laissant comme une conne, il voulait l'entraîner vers la salle, mais elle reste et nous demande si on n'a pas vu leur fille.


La description physique qu'elle fait, la couleur de sa robe, j'ai aussitôt un doute, de qui il s'agit, mais quand elle nous indique, qu'elle l'a vu avec quelqu'un dont la description m'ôte tout doute, je me dis qu'heureusement nous sommes dans la pénombre, ma tête m'aurait trahi.


Il se trouvait que mon célibataire, s'il n'était marié, il était en couple avec cette femme, et qu'ensemble, ils aient une fille, majeure depuis peu, et qui en ce moment même, se faisait butiner, sur le coup, j'ai eu peur, heureusement que la femme m'a dit, "vous comprenez, elle est majeure maintenant, mais c'est quand même notre bébé".


En moi-même, je me dis que mon mari doit être ailleurs que dans ce petit parc, j'ai su plus tard, comme souvent, qu'il avait crocheté proprement une vieille voiture, sans alarme, pour tirer la jeune fille à l'arrière, avec ce couple, nous sommes rentrés, la femme était inquiète, je ne pouvais pas lui dire, qu'elle n'avait pas à s'en faire, qu'elle était en de bonne-main.


Lui par moment, me jetait des coups d'œil, se sentant à juste titre, con comme la lune, mon excitation, tel un soufflé qu'on sort du four, était retombé, ce que je venais d'apprendre en moins de dix minutes, m'a complètement cassé, je laisse les deux concubins ensembles, prétextant quelqu'un à voir.


J'emprunte un téléphone et j'appelle mon mari, nous avons un code, je le fais sonner deux fois et je raccroche pour rappeler quelques secondes après, de cette façon, il sait que c'est moi, et il sait que je n'appelle pas sans raison.


Je lui dis "les clients cherchent le petit colis, que tu étais en train de livrer le client, tu le connaît, c'est celui ou tu m'as vu avec, alors ne revient pas à la boite avec, et on ne se connaît pas.


Voilà, avec ça, il sait tout, ça ne lui a pas coupé l'envie, il est arrivé longtemps après, avec à son bras, une dame âgée, faisant celui qui était avec elle, je ne sais pas si cela a rassuré les parents de la jeune fille, mais au moins, je n'avais pas à subir leur regard gêné, la fille en a fait de même avec une copine.


Nous avons passé la soirée à danser, jamais proche l'un de l'autre, mon mari a pu se dégourdir, et moi, j'ai fait abstinence.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Mes couacs (coups ratés)

Le 07/07/2021 - 16:46 par sizaxe
Excellente idée, que de raconter des "ratés" ! La preuve qu'Annizette a un vécu certain, est observatrice et pratique l'autodérision, ce qui est assez rare, surtout quand il est question de sexe.

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