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Mina

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Lue : 5257 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 01/01/2015

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Mina est allongée sur moi, elle me chevauche son genou gauche plié sur le lit entre mes jambes ouvertes, elle bouge, s’excite, sa chatte sur la chair nue de ma cuisse gauche entre la lisière de mon bas et mon porte jarretelles.

Voilà près de deux heures que nous nous caressons, que nous nous faisons jouir par des gestes tendres ou fougueux, des baisers sans fin et là Mina prend l’initiative, son buste penché sur moi, son ventre contre le mien, ses mains sur mes seins elle s’agite en faisant aller son bassin, ses fesses en tous sens.

Je suis étalée de tout mon long, sur le dos, je suis offerte, les cuisses ouvertes, Mina est complètement nue, moi j’ai gardé ma parure, mon string a disparu, arraché ; en lambeaux dans nos folles joutes amoureuses. J’ai plié ma jambe droite en la relevant, en l’écartant le plus possible pour qu’elle soit plus à son aise de ramper sur moi, pour qu’elle se centre mieux, je sens les grandes lèvres de son sexe qui vont et viennent, qui s’ouvrent et se ferment, glissent, dans le pli douillet entre le haut de ma cuisse et mon ventre.

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Mais avant de continuer il faut que je vous raconte comment tout cela est arrivé ; je le ferais si vous le voulez au présent tant je me souviens de tout, du moindre détail de cette aventure avec Mina, je vais l’écrire pour vous et pour moi. Ce faisant, je vais jouir c’est certain en me transportant ce jour là, en le revivant avec vous qui me lisez, de ce début d’histoire que je vais remettre à la fin, pour vous, dans le bon ordre.
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Je m’appelle Christelle, je vais vers mes quarante ans, je suis lesbienne, j’aime les femmes. Je n’envisage plus de coucher, de vivre avec les hommes, ils m’ont trop déçue. Je n’envisage pas non plus de vivre avec une seule compagne, non, j’aime laisser la vie, mes rencontres décider pour moi et quand une femme me plait, que je la désire je fais tout pour la convaincre de m’aimer, pour jouir avec elle pour des plaisirs sans lendemain souvent, mais si forts.

Mina doit venir me voir chez moi, elle a soit disant un conseil à me demander. C’est une belle et jeune femme que je connais depuis peu, nous nous sommes liées d’amitié en bavardant souvent ensemble à l’heure du déjeuner, elle me fait envie, je vais tout faire pour la séduire, je suis toute fébrile à cette idée.

Je ne vais pas l’accueillir sur le pas de ma porte, je vais mimer un malaise passager et je m’installe assise sur mon lit au milieu de mes coussins, j’ai laissé la porte d’entrée entr’ouverte et quand elle se présentera je l’inviterai à me rejoindre dans ma chambre.

Elle est dans l’entrée, je l’interpelle :
« Mina ! Je suis là venez

Elle est là devant moi, elle me fait un petit baiser sur mes lèvres comme chaque jour, inquiète, son beau visage de brune m’interroge ; qu’elle est belle, son gilet échancré, sa petite jupette d’été ajustée à sa taille par un élastique laisse deviner son corps, ses petits seins, ses jambes, je tremble de désir
« Vous êtes souffrante Christelle ? Je vais vous laisser, pardon, j’ignorais
« Ce n’est rien Mina, un petit coup de fatigue, je suis heureuse que vous soyez là au contraire, restez, je vous en prie, venez vous assoir près de moi, nous serons mieux pour parler.

Que va-t-elle faire ? Partir ? Me laisser me reposer ? Tout se joue là, si elle part je n’aurais pas l’occasion d’essayer de la séduire. Elle reste, en souriant, comme amusée elle quitte ses escarpins, grimpe sur le lit de mon côté, passe à genoux au-dessus des jambes et s’installe assise à mon côté, proche de moi, à ma droite. J’ai eu le temps de voir l’écartèlement de ses cuisses nues. Nous nous regardons en tournant la tête l’une vers l’autre, nos visages proches.
« Vous vouliez me parler Mina ?
« Oui Christelle, j’ai besoin de vous, de vos conseils, de votre présence surtout, je suis si seule

Nous nous regardons, les yeux dans les yeux, je veux qu’elle lise dans les miens l’intérêt que je lui porte, j’essaie de cacher le désir qu’elle m’inspire..
« Merci Mina de votre confiance, vous pouvez tout me dire, vous confiez à moi, je suis là si vous en avez besoin.

Je suis émue au possible, notre entrevue démarre sous les meilleurs auspices et pour montrer l’attention que je lui porte je lui prends la main, sa main droite dans ma main gauche pour qu’elle se tourne un peu vers moi, pour que nous nous fassions face.

Elle m’explique sa solitude dans notre ville où elle vient d’arriver de sa province natale, l’absence d’amis…..je la laisse parler en la regardant intensément, je plonge mes grands yeux verts dans les siens et surtout je ne cesse de caresser sa main, de la presser tendrement ; je sais le pouvoir sensuel de deux mains qui s’étreignent, des doigts qui se frôlent, je sais aussi que je ne dois pas brusquer les choses. Je l’écoute, j’ai ce pouvoir, Je lui parle aussi, lui dit que mes amis seront les siens, que je serai toujours là pour elle ; elle me sourit, elle m’avoue qu’elle a aussi du mal dans son nouveau travail, elle a l’air désespérée.

Alors je tente un pas de plus vers elle en glissant mon bras droit dans son dos, pour l’attirer vers moi je le caresse doucement, ma main frôle sa taille tandis qu’elle me parle. Je suis excitée au possible, j’ai l’impression que j’avance, que mes gestes amicaux d’approche ne la laissent pas insensible. Je l’encourage, lui dit que demain tout ira mieux
« Moi aussi vous savez Mina, j’étais comme vous quand je suis arrivée ici et maintenant tout va bien

En lui parlant j’avance mon visage près du sien ma main droite frôle ses cheveux, je lui parle doucement, des mots presque inaudibles
« Vous voulez devenir une amie, mon amie ?


Nous sommes joue contre joue, nos fronts se touchent, ma bouche est presque dans son cou, je défaille tant j’ai envie d’elle, je sonde son regard, je la force à me regarder, mes deux mains sur son visage, dans son cou, sur sa nuque ; dans un souffle je lui murmure
« Vous le voulez Mina !

J’éloigne mon visage du sien pour la regarder, pour guetter sa réponse, elle ne dit mot mais son regard me brûle, cherche à deviner mes intentions, je suis suspendue à ses lèvres, elles me disent ce que j’attendais
« Oui Christelle, je serais si heureuse
Un large sourire éclaire mon visage et je la serre dans mes bras, tendrement, elle est là, blottie contre moi comme une enfant.

Alors de nouveau mes mains sont sur son visage, en arrière dans ses cheveux, sur sa joue, dans son cou, j’avance ma bouche vers la sienne et je l’embrasse ; nous nous embrassons presque chastement mais sa bouche ne se dérobe pas. Il ne faut pas que j’aille trop vite, je me recule nous nous regardons, son regard a changé, il semble m’avoir devinée, nos visages se sont à nouveau rejoints je lui murmure que j’ai aimé l’embrasser, qu’elle est belle.
« Vous avez aimé vous aussi, Mina ?

Elle me dit oui et nous nous embrassons pour la deuxième fois, puis un troisième entre deux regards éperdus de tendresse. C’est Mina qui m’offre sa bouche et cette fois nos bouches ne se quittent plus et nos baisers deviennent des baisers d’amants, Mina embrasse bien, c’est elle qui avance ses lèvres, qui ouvre sa bouche, elle se donne à fond, m’offre sa langue.

Alors je lui fais le grand jeu, je sais le pouvoir érotique des baisers, je voudrais aller plus loin avec elle, la faire mienne, la faire jouir et jouir à mon tour, jouir ensemble. En l’embrassant je la caresse, ses épaules, ses bras, son visage, je la serre contre moi, mon bras autour de son cou, une main dans son dos, l’autre dans ses cheveux, j’incline mon visage bouche grande ouverte pour qu’elle aspire bien ma langue : au début c’est comme un jeu, des baisers émaillés de rires et de caresses.

Mina participe ; assises côte à côte nous sommes dans les bras l’une de l’autre en nous caressant. Je n’en peux plus, il faut que je l’allonge, c’est indispensable pour aller plus loin, comment va-t-elle réagir ? Elle à l’air d’aimer nos baisers, mais sera-t-elle d’accord pour suivre le chemin où je veux la mener, vers les plaisirs lesbiens si doux, si forts ?

Tout en l’embrassant je la ploie sous moi, l’incline et l’allonge sur les coussins du lit. Mais Mina tel un ressort se redresse. Le rêve est-il en train de se terminer ? Je ne peux me faire à cette idée, je sais que Mina est bien, troublée, il faut que j’insiste, que je force notre destin, et je pèse sur elle pour l’allonger à nouveau, en travers du lit. Elle ne se redresse pas cette fois.

Je suis allongée à ses côtés sur sa gauche, collée, penchée sur elle, Mina me laisse faire, laisse ma bouche manger la sienne je lui offre ma langue sortie grande, elle la suce, l’aspire, je lui souris, je prends un air amusé, naturel mais je n’en mène pas large.

Mina est sérieuse, elle me regarde intensément elle doit se demander qui je suis, ce que je veux ; alors pour bien lui faire comprendre je risque le geste qui explique tout mais qui va peut-être tout gâcher, mais je n’en peux plus je veux savoir, j’ai une envie folle de ce joli minois, de ce charmant corps de jeune femme allongé tout chaud contre moi qui semble offert à mon désir ; ma main gauche d’un geste rapide mais précis caresse sa taille, descend sur sa hanche, passe sur son ventre, sous sa jupe retroussée et caresse ses cuisses nues entr’ouvertes.

Caresse subliminale mais qui veut tout dire. Penchée sur elle J’ai relevé mes cheveux qui tombent sur son visage et Mina me les maintient comme pour bien me voir, deviner mes pensées, alors en me tournant un peu au-dessus d’elle je glisse ma cuisse gauche entre les siennes et sans tergiverser je la remonte, la cale pour presser sa chatte sur sa culotte avec le dessus de ma cuisse.

L’espace d’un instant nos visages se séparent, nous nous regardons intensément, j’ai un petit sourire comme si nous étions en train de jouer, comme si ce geste n’avait pas d’importance.
« Vous aimez Mina, Vous êtes bien avec moi


Elle ne dit rien, me sourit, elle est bien cela se voit, elle doit sentir ma cuisse en haut, entre les siennes qui fait son œuvre en massant doucement sa minette, elle parle dans mon cou, à voix basse
« Oui je suis bien Christelle……continue…….oui, caresse moi, j’attends ce moment depuis que je te connais

Elle veut bien, elle m’a tutoyée, je me rends compte qu’elle avait envisagé cette situation elle aussi, comme moi ; alors ma tête semble éclater, oui je vais la caresser à lui faire perdre toute résistance si besoin, à l’entraîner là où j’ai envie d’aller, là où elle ne se doute pas, là où elle ne voudra peut être pas me suivre.

Nos bouches ne se quittent plus, nos baisers sont de plus en plus intimes, profonds, ils sont comme le fil rouge de nos caresses, toujours présents. Mina aime et se donne à fond et moi j’entretiens cette sorte de contre feu pour lui faire oublier les caresses de ma cuisse plaquée sur sa chatte, seuls mon bas et sa culotte les séparent. Je bouge à peine, Mina se rend t’elle compte que cette caresse est de nature différente des gestes tendres qui lui ont plus jusqu’alors, cette caresse destinée à faire naître son plaisir.

Mina est lovée dans mes bras, elle noie son visage, sa bouche dans mon cou, indifférente semble t’il à mes basses œuvres entre ses cuisses. Alors je m’installe mieux sur elle, la tourne un peu vers moi, je m’encastre plus intimement, ma cuisse gauche bien enfoncée entre les siennes, mon ventre voisin du sien. Nos jupes se sont retroussées, nos cuisses découvertes. Mon buste est sur le sien nous sommes dans les bras l’une de l’autre, Mina m’étreint elle aussi, sur son visage je ne sens aucune révolte ; nous nous embrassons comme des folles, je lui souris, je ris pour masquer mon émotion.

J’essaie de mieux m’installer sur Mina, cela n’est guère commode, je l’escalade, nous roulons un peu l’une sur l’autre et à un moment par inadvertance, elle m’échappe toute retroussée. Je suis de nouveau allongée à ses côtés et presque sans que je le veuille ma main gauche s’égare entre ses cuisses relevées, ouvertes et caresse sa culotte sur son sexe. Ô, juste deux petits allers-retours, un petit pincement de sa vulve, quoi ! Une caresse d’une seconde, presque rien et ce presque rien me dévoile, démasque le désir fou que Mina m’inspire. Est-ce le geste de trop ? Ai-je été trop vite ? Une bonne surprise cependant car ma main est humide ? Alors je veux savoir.

«Tu mouilles Mina …….tu es bien ?
« Oui Christelle je suis bien, depuis le début, oui je mouille
« J’ai envie de toi tu sais, de te caresser, de te faire jouir, je n’osais pas te le dire ma chérie
« J’ai envie moi aussi

Une bouffée de tendresse m’envahit d’un coup comme les bulles d’un champagne trop agité, nous étions complices, nous le savons maintenant nous allons pouvoir nous donner à fond l’une à l’autre, sans interdits. Je ris heureuse, elle rit aussi ; nous nous faisons mille baisers, mille étreintes, je baise sa bouche à petits coups de langue, je lèche son visage, aspire sa lèvre inférieure, je lui tire la langue qu’elle saisit, aspire. Mina m’embrasse dans le cou, mordille mes oreilles, nos mains s’égarent déjà.

Mina d’un coup se dégage et c’est elle qui vient sur moi, à genoux, face à moi, je suis allongée sur le dos, elle se penche, ses jambes entre mes cuisses, son ventre contre le mien elle est toute excitée, elle se débarrasse de son gilet ; je découvre son soutien-gorge qui maintient sa belle petite poitrine plus appétissante qu’il n’y paraissait puis elle revient se plaquer sur moi. Je lui caresse ses hanches, ses fesses en glissant ma main sous sa jupette et toujours en suivant le fil rouge de nos baisers mon corsage s’ouvre lui aussi. Mina me caresse les seins qui débordent de mon soutien-gorge en m’embrassant dans le cou, et moi je caresse la peau nue de son buste, de ses bras, de ses épaules.

J’ai envie de la mettre nue et je fais glisser sa jupette sur ses jambes et je l’en débarrasse dans un éclatement de ses cuisses; je me lève debout dans la travée et Mina m’aide à descendre ma jupe qui tombe sur la moquette. Nous n’avons plus sur nous que nos soutiens gorge, nos culottes, et moi ma parure : string et porte jarretelles fauves sustentant mes bas noirs. Mina me regarde extasiée, la peau blanche, sans défauts de mes fesses et de mes cuisses zébrées devant et derrière par mes jarretelles sombres ; elle reste un moment en suspens, en gémissant elle me tend les bras, m’invite, je suis bouleversée.
« Viens Christelle aimons nous…viens


Alors oui je m’allonge sur elle et tout a changé, nous sommes peau contre peau, nos épidermes s’épousent, nous échangeons notre chaleur. Je me suis avancé en rampant vers la tête du lit, et je remonte vers elle, mon ventre entre ses cuisses ouvertes et nos deux visages se rejoignent, nos lèvres se retrouvent ; je caresse ses seins qui débordent de la dentelle, je les embrasse, j’embrasse sa bouche et quand bien encastrée entre ses cuisses je bouge mon ventre, mes fesses Mina éclate de rire. Je passe mes bras en arrière pour guider ses jambes, les relever dans mon dos, sur mes fesses pour bonifier notre étreinte, pour l’attirer plus encore contre moi..

Je dénude ses jolis seins bien ronds et elle fait de même avec les miens, elle a de jolis mamelons au centre d’aréoles juvéniles, brunes, ils sont dressés et sensibles car lorsque je les prends dans ma bouche Mina se tortille sous moi en gémissant de plus en plus fort. Je m’attarde sur ces merveilles avant de me relever à genoux entre ses jambes, je les relève, les dresse, écartées, verticales, une jambe dans chaque main, ses pieds à hauteur de ma bouche. Je les embrasse ; les lèche par dessous, suce les orteils, j’aspire les plus gros jusqu’à leur racine comme des petits sexes. Mina est prise d’un rire inextinguible et je dois arrêter mon chatouillis jouissif qui semble la rendre folle.

Je redresse Mina qui se retrouve face à moi, assise sur mes cuisses, nos bustes sont nus, ils s’épousent, nos seins mêlés et nos caresses, nos baisers reprennent sans fin, nous gémissons toutes les deux, nos bouches bâillonnées ; l’intensité de nos gémissements, nous guident, nous excitent, encouragent des étreintes plus folles. Nous caressons nos poitrines, titillons nos tétons.

Le corps de Mina fleure bon, son parfum participe à l’envoutement qui me saisit, s’ajoute à mon désir ; cette senteur d’essence de patchouli dont je raffole mêlée à celle naturelle de son corps, de sa sueur qui nait entre ses jolis seins, m’excitent au plus haut point. Sa bouche est fraîche de celle qu’on a plaisir à embrasser.

Nous sommes heureuses toutes les deux dans nos étreintes, mon désir est presque intolérable, je suis inondée moi aussi, je mouille, il me faut plus, il me faut tenter d’aller plus loin dans l’excitation dans l’ivresse qui me saisit. J’ai une envie presque bestiale de ce jeune corps qui s’offre à moi.

Je ploie Mina en arrière et pèse sur elle pour l’allonger, je suis à genoux entre ses jambes ouvertes, je les relève et passant mes mains sous ses fesses je saisis sa petite culotte et en moins de temps qu’il faut pour le dire je l’en débarrasse en la faisant glisser sur ses cuisses relevées. Mina s’esclaffe de rire, le moment se prête au jeu, aux rires ; d’une pichenette j’envoie balader ce mince rempart de dentelle.

Mina est allongée complètement nue devant moi et je n’en reviens pas de tant de beauté, de fraîcheur, ce corps de jeune femme longiligne sans défauts, avec des rondeurs attirantes. Elle voit mon regard qui l’enveloppe, elle me sourit, nous sommes sur la même longueur d’onde toutes les deux en cet instant, en attente d’aller plus loin de passer du plaisir à la jouissance. Mina a un joli petit sexe bien fait, des grandes lèvres ouvertes et humides, un mont de Vénus lisse, bombé, complètement épilé, assez charnu, avec un tatouage du côté droit au bord de l’aine, un scorpion agressif, son signe sans doute.

Je deviens folle, je suis en sueur, je me courbe sur elle a nouveau, juste pour l’embrasser et sentir son corps nu glisser sous le mien mais je me recule progressivement, mon visage, ma bouche dans son cou descend sur ses seins où elle s’attarde, sur son petit ventre, je suis à genoux, penchée sur elle, je relève ses cuisses que je maintiens écartées avec mes mains. Je suis excitée au possible et avant de plonger, de prendre sa chatte à pleine bouche comme j’en ai envie je sens le plaisir me foudroyer, je m’inonde, mes seins me brulent, se dressent se gonfle à m’en faire mal.

Mina a poussé un cri, son bassin ondule, elle me crie son assentiment. Pour être plus à mon aise je me recule encore et me mets à genoux sur la moquette, mon ventre plaqué sur le bord du lit, j’attire Mina vers moi et là tout à mon aise, je suis idéalement placée pour lui sucer la chatte, mon visage entre ses cuisses. Je peux même m’exciter sur le bord du lit en pressant mon ventre, ma chatte sur l’arête du matelas.

Je commence par de petites léchouilles, langue déployée sur ses grandes lèvres. Mina se cabre, se débat, mais je la maintiens fermement, elle gémit, crie, éclate de rire, sa tête s’agite en tout sens, elle la relève pour me voir, pour ne voir que mon front et mes yeux, mes grands yeux verts perdus, qui la fixe, qui mesure le plaisir que je lui donne, alors elle s’abandonne, sa tête sur le lit quelques instants avant de me regarder à nouveau comme fascinée par mon regard; mon nez lui a déjà plongé vers ses trésors, il accompagne ma bouche , ma langue entre ses cuisses quand je vais visiter son anus un peu plus bas au ras du lit.

Je sais qu’il ne faut pas négliger ce petit gouffre et je m’y attarde longuement, ma langue déployée tourne autour de lui, au fond de la raie profonde des fesses, recense tous ses sucs, ce goût un peu âcre que n’arrive pas chasser les toilettes les plus intimes. Ce parfum aussi, à nul autre pareil qui m’enivre. Je prends le temps de le regarder entre deux caresses ; Mina n’a pas un anus de brune, il est tout rose, bien clos, régulier, lisse, au centre de petits plis qui rayonnent comme un soleil….mon rêve !.

Mes mains, mes doigts participent à la fête, l’une , la gauche maintient sa cuisse droite bien ouverte tout en la caressant par-dessous au ras de sa fesse, quand à mes doigts de l’autre main ils pèsent sur le pubis de Mina, le remonte pour bien ouvrir son sexe, ses grandes lèvres et faire sortir sa vulve et son clitoris. Les petites lèvres de Mina ressortent toutes gonflées, inondées, rouges de plaisir, je sens son clito bandé sous son capuchon et je n’ai de cesse maintenant de les saisir, les faire rouler entre mes lèvres, les aspirer, les mâchouiller, les laper à petits coups de langue.

Le corps de Mina est saisi de soubresauts, elle s’allonge, se redresse, par moment dans un long cri, ses bras écartés fouettent le lit, ses cuisses s’agitent en l’air, tendues, en ruades incontrôlées pour offrir, mieux encore, sa chatte à ma bouche, à mon visage qui se vautre entre ses cuisses. Sa jouissance je le vois va et vient au fil de mes caresses, par moment elle est dans un autre monde ; en plein orgasme elle hurle sa jouissance, son joli petit corps cambré sous moi ; à d’autre elle est saisie d’un rire hystérique avant de reprendre ses cris pour des orgasmes de plus en plus longs de plus en plus fréquents, de plus en plus forts.

Mes caresses, parlons-en, deviennent de plus en plus subtiles de plus en plus envahissantes, intrusives, la pointe de ma langue fouille sa vulve, lèche son clitoris dont le petit gland apparaît maintenant, j’en fait le tour, le cherche par-dessous, dans son antre, je titille, fouille, je l’enveloppe mais Je dois modérer cette caresse tant la réaction de Mina est explosive ce sont je m’en rends compte comme des décharges électriques, des électro chocs qui dans un cri la font se cambrer, se tendre , c’est trop fort et j’arrête. L’entrée de son vagin s’ouvre grand et pulse, il est inondé d’une mouille filante abondante.

Il m’attire, je l’ouvre entre deux doigts, je l’écartèle ; il s’offre au fond d’une déchirure rose, luisante, soyeuse, il m’appelle, alors je plonge, je baise son vagin avec ma langue, je l’enfonce complètement bouche grande ouverte et je la fais aller et venir comme le ferait un petit sexe.

Mina jouit en continu maintenant je la regarde, elle est belle, elle hoquette quand le plaisir la submerge, elle halète, le souffle court au rythme des pénétrations de ma langue, moi je suis dans un état second, je fais varier mes caresses, mes mains sur son ventre remontent sur ses seins dressés que je triture, je caresse l’intérieur de la chair douce de ses cuisses ; avec mes doigts j’écarte les grandes lèvres de son sexe pour mieux fouiller sa vulve, son vagin ; c’est tout mon visage inondé de sa mouille, mon nez, mon front, mes joues qui s’agitent, glissent entre ses fesses, dans son intimité grande ouverte qu’elle m’offre .

La jouissance de Mina est à son maximum, puissante, elle ne rit plus, elle hurle sans retenue, elle a mis ses mains derrière ma tête, dans mes cheveux pour me retenir, m’attirer sur elle, pour que j’aille plus profond en elle
« Oui Christelle, oui…… .ouiiiiii……. ouiiiiiiii… .je jouis… .ahhhhhh …. c’est booooon…… baise moi…… bouffe ma chatte… c’est ce que je voulais….ouiiiiiii…n’arrête pas
Je lui crie
« Tu sens bien ma langue…..Mina
« Ahhhhh oui je la sens bien, elle est bien dure…elle glisse bien … tu es le diable ….Aahhhhouiiiicébonnn

Je suis heureuse, presque effrayée par la puissance de la jouissance que je lui donne ; Mina est dans un autre monde, tout son corps est tétanisé, son visage est crispé, sa bouche tordue, ses yeux révulsés un long moment, le temps où elle jouit, avant de retrouver leur beauté, sa douceur, quand l’orgasme s’apaise avant de reprendre de plus en plus fort.

Alors je suis bouleversé de tendresse, j’ai envie de la reprendre dans mes bras, je me redresse et je m’avance, m’allonge de nouveau sur elle, mes cuisses entre les siennes, nos visages se rejoignent, nos bouches se retrouvent, mes seins écrasés sur sa poitrine, mon ventre contre le sien, ma chatte débordant de ma culotte écartée a remplacé mon visage entre ses cuisses et je m’agite en faisant onduler mon bassin.

Je suis bien moi aussi en cette position de missionnaire, je sens monter mon plaisir, nous sommes chatte contre chatte, nues, et il n’y a pas plus jouissive caresse, nos vulves qui s’épousent, glissent, ondulent, l’une contre l’autre de plus en plus frénétiquement en écrasant nos clitoris. Mina me regarde, ses yeux inondées de larmes, comme je l’aime à cet instant, comme elle est belle ainsi, apaisée, en attente. Elle voit monter mon plaisir, le sien revient, se conjugue avec le mien, je le vois de mes yeux embués de tendresse et d’un coup, c’est comme une explosion, une bouffée de plaisir qui nous submerge comme les flammes d’un incendie qui s’embrase brusquement après avoir couvé longuement.

Nous sommes libérées brusquement de toute normalité, transcendées par l’émotion, le plaisir ; nous perdons pieds toutes les deux, nous plongeons ensemble dans un abîme de jouissance. Il inonde tout mon être, mon sexe comme le sien ruisselle, mes seins sont durs, mes tétons agacent les siens, nos bouches, nos dents, nos ongles, mordent, griffent nos corps en sueur, nos gémissements deviennent des cris, nos odeurs se révèlent, se marient, nous enivrent, nos corps deviennent durs, notre orgasme est là ; il dure ; incroyablement il se renforce, il irradie de nos chattes en folie dans tout notre corps, dans nos têtes, dans nos seins, c’est une vraie baise, animale où douceur et violence se mêlent. Nous n’en finissons pas de nous faire jouir et pourtant nous nous apaisons, la violence de nos sens fait place à la douceur, nos corps s’apaisent, se détendent, prêts à d’autres joutes amoureuses.

Mais je veux lui faire ressentir d’autres sensations, je me dégage, m’allonge sur le dos et je la dirige
« Mina! Viens sur moi …tu veux……face à moi…..oui a genoux…. écarte toi bien… avance vers moi…… encore un peu…

Durant sa venue vers moi et qu’à genoux, penchée sur moi elle s’avance je glisse une main entre ses seins pointus, allongées par la pesanteur avant de s’insérer, paume en l’air sous l’arc de ses cuisses pour lui caresser la chatte, elle est inondée et je me réjouis du plaisir que je lui donne et qui se traduit par cette mouille abondante, translucide, filante qui inonde son sexe et ces cuisses, les marques de son plaisir que je vais boire avec délice. Mina arrête d’avancer un instant pour profiter de mes doigts sur sa vulve sortie de ses grandes lèvres lubrifiées que je fais glisser l’une contre l’autre. Mais je l’invite à venir au-dessus de moi pour des caresses que je sais plus jouissives encore.

« Oui, Mina, ta chatte au-dessus de mon visage, de ma bouche…… descends un peu en pliant tes genoux…tu vois……excites toi sur moi…comme tu veux…tu vas voir comme c’est bon
« Je le sais, merci ma chérie
Elle m’a dit chérie, je suis folle,
« Tu sens ma langue qui frôle tes petites lèvres.…….. tu la sens ? tu sens mes lèvres ; ma bouche…mon nez ?
« Oui je les sens…c’est bon
Elle est sur moi
« Excite-toi Mina…. Fais-toi jouir, ton plaisir sera le mien

Je la laisse faire, son corps ondule, quand elle se soulève elle laisse ma langue, ma bouche mon visage lui donner du plaisir, mais la plupart du temps elle m’écrase, va et viens sur moi à m’en faire perdre le souffle, je pense à son plaisir qu’elle prend sur moi et je suis heureuse. Je tends mes bras, les relève, je caresse son beau corps de jeune femme, tout en rondeurs, tout chaud, tout lisse, sur son ventre, ses cuisses, dans son dos, par devant où mes mains empaument ses deux seins, je pince ses tétons entre pouce et index.

Toutes ces caresses que nous conjuguons font jouir Mina, et quand en hurlant de nouveau elle s’excite sur moi au bord de l’étouffement, ses yeux chavirés regardant le ciel, quand elle plonge dans le monde du stupre je suis la plus heureuse des lesbiennes et ne pense plus qu’à son plaisir, j’ai dans ma bouche et je l’aime le goût légèrement salé de sa mouille qui ruisselle ; j’ai toute la fragrance de son sexe parfumé, de son anus poivré.

Mais le désir que j’ai d’elle me reprend, j’ai envie de l’étreindre à nouveau, je me relève et je m’agenouille derrière elle, je l’enlace, mon torse, mes seins, glissent sur son dos, notre peau est perlée de sueur odorante. Je reprends sa bouche qu’elle m’offre en tournant sa tête en arrière, je l’embrasse dans le cou, je suis déchainée, les sens à fleur de peau, mon désir redevient animal. Mina passe un bras en arrière pour m’attirer contre elle ; ma main droite empoigne son sein droit tandis que ma main gauche passée devant son ventre, entre ses cuisses a empaumé sa chatte à pleine main, tous mes doigts déployés entre ses lèvres.


Cela devient de la furie, c’est la première longue caresse de ma main, de mes doigts qui s’agitent sur sa chatte et cela dépasse tout ce qui a précédé car la moindre caresse la fait jouir maintenant. Mina crie et inonde ma main, j’attaque son sexe par devant et par derrière mon autre main passée entre ses fesses. Mina passe son bras droit en arrière entre mes cuisses et pour mieux caresser ma chatte elle arrache mon string qui rend l’âme et pendouille.

Mina se retrouve penchée en levrette sur le lit, je suis à genoux derrière elle et je me courbe, me penche entre ses jambes ouvertes, je vois pour la première fois ses fesses somptueuses, qu’elles sont belles, bien rondes, ouvertes, profondes. Je m’incline davantage, m’avance sous l’arcade de ses cuisses ; mon visage tourné vers le haut, vers son sexe. Je le vois grand ouvert, sa vulve dilatée, ses petites lèvres bien sorties semblent m’inviter, alors je les prends entre mes lèvres, je les aspire, les lèche, les mâchonne, pour Mina qui se pâme en gémissant.

Je me dégage et m’installe, perchée, à cheval au-dessus d’elle, mes mains passées de part et d’autre sous son ventre, l’une remplace mon visage entre ses cuisses, sur son sexe ; l’autre sur ses seins qui dodelinent ; c’est folie ! J’ai envie de la prendre en levrette comme le ferait un jeune cerf pour sa biche, un animal en rut, c’est ce que je suis en cet instant, juste pour avoir le plaisir, mes mains agrippées sur ses hanches, de m’exciter, ma chatte entre ses fesses qui dégoulinent de sueur et de foutre.

Le calme revient doucement, Mina me regarde tendrement ; elle mesure mon désir, l’envie que j’ai d’elle, le besoin que j’ai de jouir à mon tour, elle me parle doucement
« Allonge toi Christelle…oui assis toi…laisse-moi faire…tu veux ?

Alors oui je la vois qui se penche entre mes cuisses ouvertes, elle écarte ce qui reste de mon string pour bien dégager mon sexe et je ne peux m’empêcher de gémir quand je sens sa bouche sur moi , sa langue qui lape ma vulve, s’attarde sur mon clito, qui cherche l’entrée de mon vagin. Je m’inonde d’un coup. Je lui dis le plaisir qu’elle me donne, je le lui montre par mes gémissements, elle voit ma bouche grande ouverte qui halète, cherche son oxygène, mes yeux révulsés dans les étoiles, mon bassin qui ondule pour mieux s’offrir.

Elle a passé ses mains sous mes fesses pour me soulever, pour bien me dégager, pour lui permettre de me lécher elle aussi mon anus, pour faire ce que je n’ai pas encore osé, enfoncer son petit doigt dans mon fondement tout en continuant de me bouffer la chatte. Elle me fait hurler, me tordre et d’un coup l’orgasme me surprend comme une vague qui submerge tout sur son passage, plaisir, orgasme fulgurant jamais ressenti à ce point. Je hurle, abandonnant toute retenue, toute pudeur, mon corps tendu par le plaisir, comme un arc. Je m’ouvre en calant un pied dans le dos de Mina pour que sa langue s’enlise bien à fond en moi, je la sens qui s’agite et je l’avoue je perds pied un instant engloutie dans le plaisir que Mina sait me donner.

Mina reviens contre moi, nous sommes encastrées l’une contre l’autre, nos ventres, nos cuisses se cherchent et se frôlent ; nos baisers nous font retrouver le calme, je me redresse, assise face à Mina à genoux entre mes cuisses, nous nous regardons, satisfaites. J’ai encore envie d’elle, de la faire jouir, de voir son visage tourmenté par le plaisir que je vais lui donner, de l’exciter une fois encore, je porte mes doigts à ma bouche pour les enduire de ma salive et je glisse ma main, paume relevée, mes doigts libres en avant sous la chatte de Mina.

Je la caresse, la pénètre cette fois avec un puis plusieurs de mes doigts, sa minette est ouverte encore toute gonflée, je la regarde, nous nous regardons, je vois son plaisir renaître ; Mina gémit, son corps s’anime, ondule, j’approche mon visage, ma bouche et tout en continuant de branler son sexe j’embrasse un de ses seins, je pince un téton entre mes lèvres avant que bouche grande ouverte je l’aspire.

Pour que nous soyons mieux, j’allonge Mina sur le dos et je m’étends sur elle ma peau contre la sienne, mes seins écrasés sur les siens, ma bouche sur son visage que j’embrasse ; ma main, mes doigts dans sa chatte, les premières phalanges pliées du côté de son ventre jusqu’à ce que cette caresse plus intrusive la fasse jouir violemment, pour que son joli petit corps arqué, dur soit saisi de spasmes.

Je porte de nouveau mes doigts à ma bouche, à la sienne aussi, proche, je les lui fais sucer pour lui faire sentir l’odeur de sa chatte, pour joindre sa salive à la mienne, à sa mouille. Dans un autre monde Mina les suce avant que de nouveau je les présente dans son vagin inondé. Je lui caresse les seins, elle pétrit les miens. C’est mon pouce maintenant qui la branle, et qui lime sa chatte, les quatre autres de mes doigts dans la raie de ses fesses, le plus long qui tourne autour de son petit gouffre.

Mina d’un coup veut me rendre mes caresses elle me retourne et viens sur moi

Mina est allongée, elle me chevauche son genou gauche plié sur le lit entre mes jambes ouvertes, elle bouge, s’excite, sa chatte sur la chair nue de ma cuisse gauche entre la lisière de mon bas et mon porte jarretelles.

Voilà près de deux heures que nous nous caressons, que nous nous faisons jouir par nos caresses, des baisers sans fin et là Mina prend l’initiative, son buste penché sur moi, son ventre contre le mien, ses mains sur mes seins elle s’agite en faisant aller son bassin, ses fesses en tous sens.

Je suis étalée de tout mon long, sur le dos, je suis offerte, les cuisses ouvertes, Mina est complètement nue, moi j’ai gardé ma parure, mon string à disparu, arraché ; en lambeaux dans nos joutes amoureuses. J’ai plié ma jambe droite en la relevant, en l’écartant le plus possible pour qu’elle soit plus à son aise de ramper sur moi, pour qu’elle se centre mieux, je sens les grandes lèvres de son sexe qui vont et viennent, qui s’ouvrent et se ferment dans le pli douillet entre le haut de ma cuisse et mon ventre.

Je regarde son visage et je vois son trouble, son plaisir qui renait, je l’attire vers moi, elle est dans mes bras et nous nous embrassons. Depuis le début ce sont nos baisers qui nous ont permis de nous découvrir, de la décider à s’abandonner à mes caresses, à me les rendre, d’entretenir notre désir, à jouir sans cesse de découverte en découverte.

Nos langues se mêlent, je sors ma langue qu’elle aspire, je mordille sa lèvre inférieure et la magie recommence, les mouvements de Mina s’accélèrent, je sens sa petite chatte s’affoler bien dans l’axe de ma cuisse. Je l’attire vers moi plus encore, pour que nous ne fassions plus qu’une ; Je caresse son dos, ses fesses, sa peau est douce, je prends en main un de ses petits seins dressés en titillant sa pointe. Mina recommence à se faire jouir en agitant ses fesses d’avant en arrière de plus en plus vite de plus en plus fort, elle gémit, elle est comme un jeune chien qui s’excite sur sa baudruche et cela m’enchante qu’elle prenne son plaisir ainsi sur moi, sur ma cuisse.

Je suis troublé au plus haut point quand son orgasme explose. J’ai envie de jouir moi aussi et sans le moindre mot, en la guidant un peu elle comprend ce que je veux et sa jambe droite rejoint sa sœur entre mes cuisses que j’ouvre le plus largement possible.

Elle est bien centrée sur moi maintenant, son ventre sur le mien, je relève mon bassin pour que sa petite chatte trempée de sa mouille épouse la mienne grande ouverte, Mina me sourit, elle a compris qu’elle allait pouvoir par ses reptations mêler ma jouissance à la sienne, ses mouvements deviennent frénétiques nos grandes lèvres, nos vulves, nos clitoris se frôlent, s’écrasent, s’agacent.

Je lui caresse le dos et les fesses, les presse en passant mes bras sous mes cuisses relevées pliées, écartelées pour mieux sentir sa petite chatte, Mina se redresse de temps à autre pour me regarder, elle guette mon plaisir, le lit dans mes yeux, dans ma bouche ouverte, haletante qui cherche de l’air. Ravie, confortée elle replonge alors en se lovant dans mes bras et son bassin s’agite en avancées et reculs fulgurants, en des circonvolutions qui me laissent pantoise de plaisir. Elle caresse mes beaux seins, titille leurs pointes érectées, je fais de même avec les siens.

Nos corps rebondissent sur le lit qui se met en résonnance avec nos soubresauts jouissifs qui nous plaquent l’une sur l’autre. Mina m’embrasse dans le cou avant de reprendre ma bouche, moi j’ai passé une main dans ses cheveux pour attirer son visage sur le mien pour qu’elle puisse saisir ma langue que je lui offre

Alors nous perdons la réalité des choses dans un formidable orgasme, nous jouissons de concert toutes les deux, je jouis comme jamais avant Mina, j’ai des étoiles plein les yeux qui m’aveuglent, mes cris étouffés par ses baisers, je pleure ; elle pleure, je m’inonde d’un coup nos chattes glissent onctueusement l’une sur l’autre, l’une dans l’autre. Nos corps soudés enlacés nous oscillons, roulons sans jamais nous disjoindre. Tout mon corps comme le sien sans doute n’est que plaisir et nous savons le faire durer par des caresses nouvelles improvisées selon les positions mouvantes et imprévisibles de nos deux corps. Ma poitrine s’est dressée, durcie sous la main de Mina qui empaume, qui griffe à pleine main le sein à sa portée.

Et puis comme l’ouragan qui peu à peu s’éloigne au loin, notre jouissance fait place au seul plaisir d’être enlacées, nos ventres se calment, les rudes avancées deviennent de douces caresses, nos baisers nous unissent encore bien après le plaisir. Nous laissons nos mains épouser nos corps, nos visages. Nous nous regardons les yeux dans les yeux, extasiées, presque incrédules de voir à quel point nous en sommes arrivées, à ce plaisir que nous avons su nous donner.
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Histoire de Pierre le Grand

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