Mon amant, mon beau-père 3

On habite une maison à deux étages et un sous-sol composé de plusieurs pièces. C'est un dimanche, tout le monde est à la maison. Mon mari Dominique regarde la tv, Jean-Pierre mon beau père est au sous-sol pour bricoler, ma mère Jacqueline m'aide à préparer le repas pendant que les enfants jouent dehors. Ma mère me demande d'aller chercher quelques patates en bas. Je descends, j'arrive dans la petite pièce où on stocke les patates, j'en ramasse quelques-unes.

Lorsque j'allais remonter, j'aperçois mon beau père et là nos regards se croisent; on se sourit, il s'approche de moi et m'embrasse longuement. Je sens ses mains baladeuses sur tout mon corps, je lui dis que ce n'est pas raisonnable, qu'on pourrait se faire surprendre mais il ne m'écoute pas et il me saisit les hanches et d'un geste brusque, il me soulève et me pose sur le congélateur !!!! Je n'ai pas le temps de le repousser que déjà il son pantalon est en bas. Son membre brandissant a la main, il écarte ma petite culotte et m'empale d'un coup comme un sauvage; je me mords la main pour ne pas crier et avec l'autre main je me tiens comme je peux à l'appareil pour ne pas glisser. Il entre et sort brutalement de ma petite chatte, on pouvait voir les enfants et même être surpris par eux car je les voyais passer devant la petite fenêtre de la cave. Entre leurs cris et le silence de la cave on entendait le clapotis de ma petite chatte qui se faisait remplir par le membre de chaire de mon beau père, ses couilles claquant sur mon anus. Il me besognait à grands coups de bite...

Bref, j'étais aux anges malgré le risque qu'on prenait et en même temps, ça m'excitait encore davantage...

D'un coup, on entendit la porte du haut de l'escalier qui mène à la cave s'ouvrir... on s'arrêta net. J'allais m'apprêter à me relever quand ma mère s'écria :
-Cathy qu’est-ce que tu fais ? Montes des carottes aussi puis la porte se referma, ouf on venait d'échapper belle, on venait de se payer la peur de notre vie !!! Au lieu de se réajuster et de remonter avec mes carottes.

JP m'empala de plus belle, je relève mes cuisses afin de lui favoriser une pénétration maximale. Je sentais sa grosse verge au fond de moi, je gémissais, j'en pouvais plus; même avec ma main devant la bouche, j'avais du mal à me retenir de crier!!! Quand JP me vit comme ça, il activa le mouvement, ses coups de butoirs devenaient de plus en plus forts et très vite je ne résistai pas longtemps à ce traitement. Tous mes muscles se mirent à trembler, mes cuisses retombèrent, JP s'arrêta aussi de bouger son sexe au fond de moi, puis il fit quelques allées et retours avec son membre qui était plus dur et il aspergea mon vagin de son liquide reproducteur

Il se coucha sur moi et on s'embrassa sans se soucier d'être vu car plus rien n'existait autour de nous. Pendant que sa queue sortait de mon orifice qui expulsait le trop plein de sperme en le crachant fortement, jp se recula pour m'aider à descendre du congélateur. Une fois sur le plancher des vaches, je m'accroupis devant lui pour le débarrasser du surplus de sperme qui était resté sur sa verge. A ce moment-là, la porte du haut se rouvrit et encore une fois ma mère s'écria
-mais qu'est-ce que tu fais Cathy , j’attends moi.

Pendant que j'avais encore sa bite dans ma bouche, JP lui répondit
-elle arrive, on discute, 2mn !!!!

La porte se referma et je finis de déguster à grand coups de langue, sa queue qui était devenue un peu mollasse pendant que je sentais le trop plein de sperme couler dans ma culotte

Un petit bisou, je réajuste mes vêtements et je remonte toute souriante avec mes patates et mes carottes que j'épluche avec ma mère que je regarde en pensant que ce que j'ai dans le ventre, elle ne l'aura pas elle, mais également avec un drôle de sentiment, celui d'avoir cocufiée ma mère et mon mari en même temps....

A suivre.