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Mon Beau père et moi

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Lue : 67207 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 02/11/2010

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Mon Beau Père et moi

Je m’appelle Eric,j’ai 23 ans et je vais vous parler de mes relations avec mon beau père. Ma mère a divorcé de mon père alors que j’étais encore très jeune. Profondément marquée par cette rupture, elle est restée seule très longtemps. Pourtant, aux alentours de mes 16 ans, elle m’a présenté un homme qui allait s’installer chez nous et ainsi devenir mon beau père. Cet homme c’est Gilles. Il a aujourd’hui une petite 50 aine un léger bide et il a toujours été très sympa avec moi et même un peu plus depuis quelques temps !

Moi, je suis étudiant en informatique et je ne vis plus chez eux depuis un moment déjà. Je rentre à chaque vacances d’été dans leur maison de bord de mer.

J’étais arrivé depuis quelques jours, lorsqu’un matin nous descendîmes tous les 3 à la plage. Les idées encore un peu embrouillées de la soirée de la veille j’avais accepté de les accompagner histoire de me rafraîchir dans l’eau de mer. Gilles et Nicole, ma mère, s’installent côte à côte et moi à quelques distances d’eux. Allongé sur ma serviette, je recommençais à somnoler. Au bout d’un petit moment, j’entends ma mère se lever pour aller se baigner. C’est alors que Gilles s’approche de moi.
-Tu dors ? me demande t il ?
- Non, non.
- Fatigué de ta soirée ? trop d’alcool et de filles ?
- On va dire ça ! En fait, je suis homo depuis mon adolescence, mais je n’ai jamais fait mon coming out en famille, non pas qu’ils ne comprendraient pas, mais bon, l’occasion ne s’est jamais présentée.
-Tu t’amuses bien quand tu es loin de nous pour tes études, n’est ce pas ? tu as bien une petite amie là bas, non ? tu peux me le dire à moi, je saurai rester discret.
-Euh, non non pas du tout.
C’était la première fois que Gilles me posait ce genre de question. Je me demandais un peu où il voulait en venir. Quelques minutes plus tard il reprit :
- Tiens j’ai rencontré Cyril hier et il m’a parlé de toi.
Cyril était un vieux pote de Gilles d’à peu près son âge. Nous avions été amants l’été précédent. J’avais gardé un excellent souvenir de lui, même si je n’avais plus de ses nouvelles. Et que t’a t t-il dit ?
-Il m’a dit que tu étais un amant formidable, que personne ne l’avait baisé comme toi.
Je me redressai d’un coup tout à fait réveillé cette fois.
-Et ? Lui répondis je un peu sur la défensive.
-Tu sais Eric, ça fait longtemps que je te regarde et je te trouve vraiment très beau. En fait je suis très attiré par toi et je sais que tu es homo.
-Mais toi tu es hétéro non ???
-En fait, j’ai parfois besoin d’être dans les bras d’un homme, de me laisser aller à ses désirs et qu’il me prenne comme une femme.
-Et Maman, elle est au courant ?
-Non, rassure-toi, elle ne sait rien. Tu auras peut être du mal à le comprendre, mais je l’aime profondément, en fait, je lui fait encore mieux l’amour quand je me suis livré à un homme. N’aie pas d’inquiétude à son sujet, je prends toujours mes précautions.

J’étais totalement abasourdi par cette nouvelle.
Ma mère remonta du bain à point nommé. Elle prit sa serviette et s’installa entre nous.
-Je ne vous dérange pas tous les deux ? Vous aviez l’air en pleine discussion.
-Pas du tout Maman chérie, j’allais aller me baigner lui dis en l’embrassant .

Je me levai et me précipitai vers l’eau, histoire de reprendre un peu mes idées. Une fois mouillé, je nageai longuement pour faire le vide. En fait, je n’avais jamais regardé Gilles comme un amant potentiel, ne l’ayant jamais imaginé avec un homme. Mais à bien y regarder il correspondait tout à fait à mon style d’homme. J’aime les hommes plus âgés que moi avec des kilos en trop. J’aime leurs fesses charnues ainsi que leurs poignées d’amour.
Je sortis de l’eau, me séchai rapidement et remontai à la maison, laissant Gilles circonspect. Je me précipitai sous la douche et laissai l’eau couler un moment sur mon corps. Je caressai mon sexe épais et de belle taille en repensant à ce que m’avais dit Gilles.
Je fermais le robinet et sorti de la douche, et là surprise, je me retrouve nez à nez avec Gilles, qui était entré sans bruit. Il n’osa pas regarder ma queue mais je le vis rougir.
-Tu m’en veux de ce que je t’ai dis ?
-Non pas du tout. Mais qu’attends-tu de moi ?
-J’aimerai que nous soyons amants me dit il droit dans les yeux. Je sais que tu es actif et moi j’aime qu’un homme me prenne,me sentir femme dans ses bras. Cyril m’a dit que tu l’as fait jouir comme jamais, fais de même avec moi.
-Je ne sais pas et Maman tu y a pensé ? La dernière chose que je voulais faire au monde était de blesser ma mère, elle avait déjà bien assez souffert comme cela et je l’aimais trop pour lui faire du mal.
-Evidemment ! nous resterions discrets et elle n’en saurait rien et puis ça resterait en famille non ?
- C’est pas faux, vu comme ça ! Elle est où en ce moment Maman?
-Elle est restée à la plage, une de ses copines l’y a rejointe.
Quelque peu rassuré et sans lui laisser le temps d’en dire plus, je mis ma main sur son épaule en le forçant à s’agenouiller,
- Suce-moi lui dis-je. Je n’aurai jamais imaginé avoir une telle audace, mais ceci dit je n’aurais jamais non plus penser recevoir une telle proposition de mon beau père.
Un peu étonné, mais sans dire mot, il s’agenouilla devant ma bite en semi érection. Il me prit en bouche, je voyais dans son regard qu’il était soulagé. Il suçait bien, me pompant avec vigueur, sa langue jouant avec mon gland. Il cracha sur ma bite et me repris en bouche. Sa langue glissait habilement sur ma hampe
-Tu suces bien, on voit que tu aimes la bite.
Il me répondit oui d’un mouvement de tête et me pompa encore plus. Son va et vient m’excitait, mais je me retenais encore d’éjaculer. Il descendit sa langue sur mes couilles et les lécha avant de remonter vers mon sexe. D’une main, il commença à me malaxer les couilles doucement.
-t’es une vraie salope, avale moi. Je lui pris la tête et enfonçai ma bite au plus profond de sa gorge. Il aimait ça.
-allez, bouffe-la. Nous ne nous quittions pas du regard. Je le tenai par les cheveux, le forçant à m’avaler entièrement.
Je n’en pouvais plus de cette magnifique pipe qu’il me faisait. Je ressortis ma bite de sa bouche au moment où je commençai à éjaculer lui répandant mon sperme sur le visage. Lui bouche ouverte, avalait les gouttes qui lui tombaient dessus.
A peine fini, je le laissai là tout habillé, du foutre plein le visage et je regagnai ma chambre sans un mot. Je savais dans quel état d’excitation il devait être, mais je le voulais vraiment en chaleur pour notre prochain rendez-vous, et je pressentais que ceux-ci seraient nombreux durant le mois qu’il nous restait à vivre sous le même toit.

La journée se passa agréablement sans que nous ayons l’occasion de nous parler à nouveau en tête à tête. Malgré tout, nos regards se croisaient dès que nous le pouvions et exprimaient notre nouvelle complicité et notre désir.

Le soir, ma mère nous fit part de son intention d’aller rendre visite à une amie le lendemain toute la journée.
-Vous serez sages tous les deux, nous dit elle en riant. Ni l’un ni l’autre n’osa répondre.

Le lendemain matin, j’entendis la voiture de ma mère démarrer et rouler dans l’allée. Je dormais encore nu sous mon drap. J’aime dormir nu, je trouve ça excitant. J’entendis à peine la porte de la chambre s’ouvrir. Gilles s’assit au bord du lit, repoussa mon drap et commença à me caresser le dos.

-Je ne te réveille pas Eric j’espère ?
-Non. Tu es bien matinal Gilles lui dis-je avec un sourire amusé.
-Oui, j’ai passé toute la nuit à penser à toi, et je n’en pouvais plus d’attendre.
J’avais envie de le laisser encore un peu languir et je restais allongé sur le ventre, le laissant me caresser les fesses. Cependant cette position ne fut pas très longtemps tenable car ses caresses de plus en plus appuyées me faisaient bander.
Je me retournai, la bite bien droite.
-Déshabille toi et rejoins moi.
Il n’attendait que ça. Il était nu devant moi près du lit un peu gêné que je le regarde. En effet, je le détaillai, et pour la première fois le regardai avec désir. Il était un peu enrobé avec une bite pas très grande, mais des couilles de belle taille.
-Tourne toi lui demandais je. J’avais envie de voir son cul. J’adore le cul des mecs un peu fort car il y a de quoi les prendre.
-J’aime bien ton cul Gilles, en fait tu es vraiment mon type de mec ! On a perdu du temps tous les deux durant ces dernières années. Il va falloir rattraper le retard !
Il se retourna une main sur la fesse, l’air mutin.
-Je suis heureux de te plaire Eric, j’avais peur que tu me trouves trop vieux et pas très à ton goût.
-Viens approche toi du lit. Je lui pris la bite et commençai à le masturber pour la faire grandir un peu. L’effet fut rapide et je le pris rapidement en bouche. Je sentais le bas de son ventre qui retombait sur mon visage. Je l’astiquai à pleine bouche,il gémissait déjà de plaisir, laissant échapper des petits soupirs. Je lui caressais les couilles en remontant vers son entre jambe grassouillette.
-Prends moi Eric, j’ai envie d’être à toi comme une chienne en chaleur.
-C’est trop tôt mon tout beau, t’a pas encore assez envie.
Je lâchais son sexe car je ne voulais pas qu’il éjacule tout de suite.
-Viens là, à côté de moi, mets toi à quatre patte sur le lit.
Il s’exécuta tout de suite, me présentant son gros cul qu’il cambra au maximum. Je lui passais un doigt sur toute la longueur de la raie, partant du bas du dos jusqu’aux couilles ; je prenais mon temps, car je le voulais au summum de l’excitation. Finalement, je me plaçais sous lui pour un 69. J’avais à peine recommencer à le sucer, que n’en pouvant plus il me lâcha sa purée en pleine bouche ce qui me fit bander encore plus. Toujours dans la même position, de mon majeur je lui titillais la rondelle pour l’assouplir. Voulant me préserver pour son trou, je me retirais de sa bouche pour passer derrière lui. Je lui écartai les deux jambons qui lui servaient de fesses. J’adore mettre ma tête dans le cul des mecs et les travailler avec ma langue, c’est ce que je fis avec Gilles. Je lui léchai la rondelle pendant quelques minutes puis je l’entrouvris avec ma langue.
-Ah, gémissait il c’est bon. Prends mon gros cul maintenant.
Je ne voulais pas lui obéir tout de suite d’autant que je voyais que sa bite reprenait doucement vie.
Son anus se dilatait très vite sous l’effet de ma langue, je lui mis un doigt puis deux. En même temps que je le dilatai, j’en profitai pour lui masser la prostate.
-Oh oui, Eric encore, je suis ta salope, mon cul est à toi.
Devant de telles déclarations, n’en pouvant plus moi même, je me redressai et approchai mon gland bien luisant de son trou. Je m’avançais en lui facilement, tellement son désir était grand.

-Et ben, on peut dire que t’avais faim d’une bite dans ta chatte ma salope.
-ça fait si longtemps, en plus la tienne est épaisse, je la sens bien.
Pour bien la sentir, il devait en effet bien la sentir, car j’occupai pleinement son trou. Je le ramonai avec vigueur et ses petits gémissements presque féminins m’excitaient à chaque fois encore plus. Je le tenai par ses bourrelets dans un va et vient rapide.

Je le redressai contre moi, son dos appuyé contre mon ventre, le tenant par le cou. Quelques coups de bite encore et j’explosai en lui en plusieurs jets. Je restai encore un moment en lui, le temps de le masturber et qu’il jouisse à nouveau. Nous laissâmes échapper tous deux un grand soupir, puis nous nous allongeâmes l’un contre l’autre en nous embrassant longuement, chose que nous n’avions même pas pris le temps de faire auparavant tant nous étions pressés.
Il n’était pas encore 10h, la journée promettait d’être longue.
Nous nous endormîmes quelques minutes dans les bras l’un de l’autre, puis je lui proposai de descendre à la plage naturiste toute proche après le petit déjeuner.
-La plage naturiste, tu es sûr ? J’ai peur d’être vu, je connais du monde ici.
-Mais non, il est encore tôt le rassurai-je.
La collation vite mangée et nous voilà partis, main dans la main dans le sentier côtier De temps en temps, je lui mettais une main aux fesses ce qui le faisait se tortiller.
-Arrête de bouger du cul comme ça, tu me fais bander lui dis-je.
Nous étions tous les deux encore très excités.
-Mon Chéri, je ne suis pas certain que la plage naturiste ce soit une bonne idée me dit-il. J’ai peur d’avoir une super érection et que ça se voit.
-Et alors ? c’est pas un problème mon chat, regarde la plage est déserte.
Nous nous installâmes dans le renfoncement de deux rochers. L’endroit était idéal pour sa discrétion et bien connu des amoureux. Ni une ni deux, et nous voilà à poil.
-Tu viens te baigner Gilles ?
-J’arrive tout de suite mon bébé, mais je vais mettre un peu de crème solaire avant.
-Oh mais attends, je vais t’aider.
Je lui pris d’autorité le tube d’écran total des mains et commençais à le tartiner : les jambes, le dos, les épaules, je ne laissais pas un cm de peau sans caresse.
-Allez tourne toi, on fait devant maintenant.
Toujours debout, il se retourna, la main sur les parties.
-Je bande t’es content ?
-Assez, lui répondis je en riant. Je continuai mon massage : les épaules, les bras,le torse… Arrivé à son sexe, je me mis à genoux :
-Attends, c’est un endroit sensible, j’ai une crème spéciale, tire tes mains.
A peine sa bite à découvert et je la lui bouffai.
Il hésita entre crainte et excitation. Mais il perdit très vite tout contrôle et je l’astiquai de plus belle.
-Allez crache ma belle, j’avais senti les premières gouttes de sperme arriver dans ma bouche. Puis, je le poussai sans ménagement et lui plaquai les mains contre le rocher le plus proche en lui écartant les jambes.
-Oh non Eric pas ici, je t’en prie.
-Ta gueule, Tu m’as excité à mort, je vais te défoncer le cul.
Je le pénétrai sans ménagement, son trou enduit de crème. J’en profitai pour lui prendre les seins à pleines mains et les caresser en pinçant ses tétons.
-Ah non pas ça Eric, ça me rend complètement fou. De fait il commença à haleter et plus je lui travaillai les tétons plus il était excité. Il n’en pouvait plus de plaisir et se mit à bouger le cul en un va et vient sur mon sexe bandé. J’abandonnai son sein gauche pour le prendre par la taille et m’enfoncer plus vigoureusement en lui.
-Oh Eric, je suis ta salope, bourre moi. S’en était fini de ses réticences de l’arrivée, peu lui importait le monde autour de lui. Je l’astiquai encore plusieurs minutes jusqu’à éjaculer au plus profond de son trou dilaté.
Il se retourna et me prit dans ses bras. La tension sexuelle qui ne nous avait pas quittée jusqu’alors retomba. Nous allâmes nous plonger dans l’eau fraîche, puis nous allonger côté à côte sur le sable, détendus. Je laissais le soleil me sécher, la main de Gilles abandonnée sur mon ventre. C’était les vacances et mon beau père était devenu mon amant. L’été serait trop court pour assouvir notre désir.
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Histoire de Jean Philippe

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Commentaires du récit : Mon Beau père et moi

Le 04/04/2024 - 17:43 par bomaleenrut
Moi je me faisais enculer à 18 ans par mon beau père de 35, il me baisais devant ses potes du rugby, et souvent je les suçais ou bien il me faisaient tourner. A 19 ans c'est mon prof de gym qui a pris le relais. Je me faisais enculer dans la salle des profs seul avec lui. J'aime les hommes plus âgés dégueulasse et déterminés. Je suis un trou à tanquer
Le 19/02/2024 - 13:47 par charly78
sympa ces petites vacances....!

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