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Mon déménagement

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Lue : 6410 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 09/10/2013

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Aujourd'hui je déménage, ayant le permis je vais chercher le camion moi-même.

Il est 7h30.
Je mesure 1m70 environ, 21 ans, je suis au volant de ma punto, je vais à Rent Car place de la Victoire à Tourcoing.
Je vis à Tourcoing, je suis brune cheveux mi-longs yeux bleus et j'ai des formes bien réparties.
Stationnée sur leur parking ma voiture ne gêne personne.
Vêtue d'un jogging, oui c'est pas très féminin, mais je déménage donc tenue adaptée, je rentre dans le magasin.

-Bonjour mademoiselle que puis-je faire pour vous?.
-J'ai réservée un camion de 12m3 pour la journée.
-Oui c'est bon je l'ai, jusqu'à 20h la location.
-C'est grave si je suis un peu en retard?
-Ce sera fermé, soit ce soir ou demain mais vous aurez des frais supplémentaires.
-Et si c'est dans la nuit?
-La nuit on est fermé et on a un personnel de sécurité.
-Le chèque de caution, une pièce d'identité
et votre permis svp.
-Oui, et là je m'aperçois que j'ai mes papiers mais pas mon chéquier.
-Le chèque est obligatoire? J'ai oublié mon chéquier chez moi.
-Allez-le chercher le camion attendra.

Il est seul dans son magasin, blond, clair des yeux, assez petit, jeune visiblement.
-Je vous laisse mes papiers et je peux le prendre mes déménageurs vont arrivés je fais comment?.
-Pas possible j'ai pas de chèque de caution le camion bouge pas.
-Bon ok, j'ai pas trop le temps de discuter désolé mais il me faut ce camion maintenant, si je vous laisse mes papiers originaux carte d'identité et mon permis c'est bon?
-Il me faut une caution je suis désolé mais c'est les règles.
-Imaginons que je vous donne mon corps et que je vous laisse mes papiers ça va?
Je vois qu'une autre cliente arrive.
Je ne lui laisse pas de temps de répondre et passe de son côté du comptoir.
Il travaille debout je me met à genou, sous le bureau, et pendant qu'il renseigne cette dame je le caresse à travers son jean, sa bite grossi une première fois.
-Ok, c'est dans ma voiture je vous ramène ça.
Elle part à sa voiture, j'en profite je déboutonne son jean, passe sous le caleçon et en sors son sexe à demi-mou.
-Mais qu'est-ce-que vous faites? Arrêtez tout de suite!!Pas de bruit la cliente revient.
- J'aimerai savoir si je peux prendre un véhicule pour plusieurs jours?.
-Oui, y'a un questionnaire à remplir pour cela question d'assurance.
Il rougit, dès que je commence à le sucer.
Son sexe grossi une deuxième fois et se durci encore.
-Ça va pas? Vous avez pas l'air bien?
-Si, si tout va pour le mieux.
Je le suce de plus en plus vite.
Je parviens à mettre sa queue entière dans ma bouche, je la ressors et reprend ma fellation en le branlant en même temps avec une main.
-Voilà j'ai remplis il vous faut autre chose?.
-Euh, bon c'est bon je vais me vider, pardon vider le camion et on vous appelle.
-Ok bonne journée.
-Bonne journée à vous bon courage, lui réponds-t-il en me giclant sur la langue au même moment.
Je le regarde tire la langue et avale son foutre.
-Vous êtes une malade, prenez-le camion et faites y attention.

Je me relève, l'embrasse, prend les clefs du camion et rentre chez moi.
Un peu compliqué à manœuvrer mais je m'en suis bien sorti.

C'est à dix heures que mes six déménageurs arrivent.
Je leur ouvre, fais les présentations d'usage et leur demande de pas traîner car j'ai beaucoup de bricoles et que je ne déménage pas tout près.
Les cartons sont déjà fait, ils chargent d'abord les gros éléments et moi je vaque à mes occupations.
Le frigo part, la télé, le canapé, mon lit, mon appart se vide vite.

Il est midi je propose d'aller chercher à manger.
Ils continuent à démonter mes gros meubles pendant que je pars chercher leur repas.
Je reviens avec pas mal de frites des sauces différentes et des kebabs.
Je les laisse manger et ne prêtant pas attention à eux vais prendre ma douche.
Je les entend rire, s'esclaffer.

A ma grande surprise, ils ont continué à charger le camion.
Tellement charger qu'ils ont pris la tenue que j'avais prévue de mettre, je sors entourée de ma serviette
-Excusez-moi, ramenez-moi mes habits svp?.
Pas de réponse.
J'ouvre discrètement la porte de la salle de bain et les vois tous la bite à l'air en train de se masturber.
-Ah ok!
N'ayant pas trop le choix je sors et me dirige sans les regarder vers mes vêtements.
A peine, ai-je relevé la tête que tous ses verges excitées me font face, entourée par six bites, et n'ayant pas de solution de refus, j'obtempère et en suce une, puis une autre, tous y passe, mes mains se remplissent chacune d'une bite.

L'un d'entre eux me porte et me place allongée sur le dos sur la table à manger.
Deux autres ramènent la nourriture et physiquement je deviens la table.
Des frites se perdent dans mon corps, de la sauce se répand un peu partout sur moi, de la bicky dans les cheveux, du ketchup sur les seins, de la barbecue sur le visage, ils me donnent à manger à leur manière.
Mes jambes se font écartées, certaines fricadelles passent dans ma chatte avant de finir dans ma bouche.
Ma cyprine leur sert de sauce.
Je ne distingue plus grand chose avec tout ça, je vois un sandwich à proximité je croque dedans.
-Ahahhahhaiiiuueeee connasse ça fait mal, elle m'a mordue la queue.
Des frites, de la salade, des sauces, du sperme, du coca, j'ai peu de répit entre deux éjaculations pour me nettoyer que déjà les premiers éjaculateurs reviennent à l'action.
Je suce des verges à la sauce samouraï, une plantée dans du pain, une qui vient de se plonger dans le coca m'envoie sur la langue du sperme-coca.
Je me fais relever par un mec qui s'allonge sur le bord de la table sur le dos les jambes pendantes dans le vide
Je m'accroupie sur sa bite au bord de la table, je sens les autres passaient tours à tours dans mon petit trou, penchée en avant je perçois toutes ses bites qui se vident une par une dans mon arrière.
Les mecs s'allongent tous sur le dos un à la fois ça tourne en moi.

Certaines me pénètrent enduites de ketchup, de mayonnaise, de bicky.
Par contre samouraï, je l'ai sentie passée ça irrite les muqueuses.
Après s'être tous vidaient en moi plusieurs fois dans chacun de mes trous, je nettoie tout mon petit monde et demande qu'ils reprennent le boulot.
Après cette heure de baise intensive ils continuent mon déménagement.

Je retourne prendre une douche, je me refais un shampoing car après tout ça, risque d'avoir de bons noeuds.
Je sors dix minutes après, je ressors de la salle de bain sans me cacher, enfile la seule tenue qui n'a pas fini dans un carton fermé.
Une vieille minijupe en jean qui me serre un peu, accompagné d'un top multicolore, sans sous-vêtements je vais pas les faire rouvrir les cartons en plus je suis plus sûre du bon carton.
Je rejoins mes déménageurs ils attaquent mon plus grand meuble, une armoire super lourde et bien grande.

Il est 16h j'avance bien dans mon livre.
Eux passent et repassent sans cesse en me reluquant tous.
Je fais semblant de ne pas les voir et poursuis mon chef d'œuvre.
C'est à 17h que s'annonce le grand départ vers ma nouvelle demeure à dix minutes en voiture.
Seulement le camion est bourré à craquer plus de place.
Un déménageur décide de conduire le camion, les autres ont une voiture cinq places, et ayant laissée ma voiture à la société de location je me retrouve piétonne.
C'est donc juste avec ma minijupe en jean, mon top multicolore, mes chaussures et mon sac à main que je me dirige vers l'arrêt de bus le plus proche

A chaque coup de vent les badauds peuvent se rincer l'oeil sur mon intimité, c'est une vieille minijupe un peu trop courte.
Je marche les jambes serrées pour contenir au maximum ma jupe.
Ça va aller je dois pas faire une grande distance.

Personne à l'arrêt de bus. Je m'assois et patiente.
Le bus arrive.
-Bonjour juste un ticket svp.
-Ça fera un euro cinquante.
-Ok merci.
-De rien bonne journée mademoiselle.
Le bus est bien rempli, à 17h, y a les lycéens, les étudiants pas mal de monde.

Je trouve une place assise face à deux jeunes.
Je m'assied et poursuis ma lecture, quand j'entends.
-Psss, psss, regarde Christophe matte elle a pas de culotte on voit sa foune.
Discrètement je jette un œil à mon fan, lui fais un clin d'oeil et replonge dans mon livre et écartant un peu plus les jambes.
-Elle m'a fait un clin d'oeil et à écarter encore, matte cette salope.
-Arrêtes tes conneries Steeve.

Premier arrêt les gens près de nous à gauche quitte le bus, plus personne tout près.
A notre place, face à face à quatre, avec un siège vide je vois une bosse sous le jogging Adidas de Steeve.
Je range mon livre.
-Bougez pas les mecs sinon on va nous voir.
-Ok, mais tu veux faire quoi toi, ici t'es malade?
-Ta gueule et profite.
Je me met à genou devant eux, personne ne peut me voir, je les caresse à travers leur pantalon.
Leur bite gonfle directe.
Il me reste une dizaine d'arrêt, les déménageurs doivent m'attendre.
Christophe passe une main sous mon top et m'attrape un sein.
-T bonne toi, salope.
-T'aimerai bien me goûter?Tu as quel âge?
-16ans.
-Et toi tu as quel âge?
-18 ans me réponds Steeve, rouge de honte par la situation.
-On peut faire un deal si vous voulez je dois descendre dans dix arrêts, vous êtes puceau?
Steeve non et Christophe oui.
-Ok, ce que je vous propose vous pouvez me prendre mais après je vous suce.
-Ça va pour moi. Dit Steeve.
Je me lève, il libère discrètement son sexe et je m'enfonce sur sa tige jusqu'à être assise sur ses genoux et le laisse faire.
Les nouveaux passagers à notre gauche remarque que je bouge très souvent du haut vers le bas sans pouvoir voir la scène.
J'attrape la bite à Christophe et joue avec dans ma main droite.

Encore six arrêts, Steeve s'agrandit en moi, je reconnais le symptôme et quitte ses genoux pour me mettre à terre.
Face à lui, sa main attrape ma tête et me dirige vers sa bite.
Les deux filles à notre gauche voient à présent toute la scène.
Elles regardent stupéfaites, mais restent discrètes.
C'est dans une forte expiration qu'il se vide dans ma bouche.
Christophe est béat, il ne s'est plus comment réagir et se fige totalement.
Dès les dernières gouttes aspirées je branle Christophe en restant entre ses jambes, le voyant perdu et m'apercevant que j'ai des fans je lève mon top et fini de le masturber entre mon 90c.
-Grouille-toi je descends dans deux arrêts.
Une des jeunes filles me filme avec son Smartphone je ne me démonte pas et à la vue d'éventuels d'autres fans j'accélère le va et vient de mes seins.
-Dépêches-toi je sors au prochain arrêt.
Christophe tellement étonné de la situation ne m'entends même plus.
J'accélère encore mes seins autour de sa queue, je tire la langue pour le lécher entre chaque va et viens.
C'est au dernier virage juste avant mon arrêt qu'il se décharge sur ma poitrine.
Les filles crient, je ne prends pas le temps de me nettoyer, me lève, recouvre mes seins de mon top en hâte et quitte le bus en courrant.

Dans ma future rue, c'est les seins pleins de foutre et collés à mon top que je retrouve mes déménageurs.
Il est 17h30.
-Désolé pour l'attente.
Je leur ouvre le portail, ils déchargent le camion et s'organise en chaîne humaine pour vider le plus vite possible.
Très rapidement ils commencent la reconstruction de mes meubles pendant que moi je répartis mes cartons dans les pièces concernées.
J'ouvre le premier carton et tombe tout juste sur mes hauts, je place un miroir à la va vite et en profite pour me refaire une beauté.
Je retire mon top collé à mes seins, et l'échange contre un chemisier très décolleté noir avec des pressions.
Ils finissent de remonter les meubles que je suis en train de découvrir mon jardin, mon grand chez moi.
Ma terrasse, ma cabane au fond du jardin.
Je termine par le garage, et la cuisine américaine de 30m2.

A 19h30, ils ont tout terminés et me retrouve dans le salon.
-Merci beaucoup, voilà comme je vous l'ai promis 300€, chacun pour votre efficacité et votre performance.
-Mais de rien, merci beaucoup et on voudrait savoir?.
-Oui.
-*Vous baisez souvent comme ça avec des inconnus?.
-Comment vous croyez qu'à 21ans je peux m'acheter une immense bâtisse comme celle-ci? Grâce à mon corps
Mais je l'ai voulu et puis c'est un rythme de vie très fatiguant.
-Je veux bien le croire et vous comptez arrêtez quand?
-Quand j'aurai fini mes études comme ça je peux bien débuter la vie active avec pas mal d'argent d'avance.
-C'est possible de vous baiser encore avant de partir? On l'a bien mérité vous croyez pas les gars.
Tous affirment.
-D'accord, mais par contre je demande une chose.
Si l'un de vous, n'importe lequel me jouis dans la chatte je récupère ses 300€.
-Ok, ça marche
Très vite je suis encerclée par ses six mâles en rut qui n'attendent que cela.
Mon chemisier à pression vole à travers la pièce.
Des mains me pincent les tétons, me malaxent les seins, une langue se fraie un chemin et me léche les seins, remonte pour m'embrasser, puis redescend sur l'autre sein, pour finir sa course sous ma jupe, mes jambes s'écartent et je sens cette langue qui prépare mon clitoris.
Ces coups de langues, provoquent l'arrivée de la cyprine sur le visage de mon cunnilingeur.
Totalement indifférent aux coulées de mouilles il poursuit, pendant que les autres bites prennent part au jeu près de ma bouche.
On se retrouve tous sur mon canapé.
Mon cunnilingus se transforme en anulingus, car ma chatte se fait investir par le premier sexe.
Il écarte ma rondelle y fourre sa langue, écarte encore y rentre deux doigts plus sa langue.
Avec l'aide du premier mec dans mon vagin, ils me soulèvent et me reposent sur le premier pour poursuivre sa pénétration.
Mon lécheur prend du recul, sa langue quitte mon cul, il passe derrière moi, soulève un peu mes fesses et dans un violent coups de reins m'encule.
Je crie de douleur pendant ses prochains coups de hanche, mes cris se changent en gémissements.
-Oui, prenez-moi j'aime ça.
-Toi, au lieu de regarder vient que je te suce.
Je gère les six verges en même temps, l'une me sodomise, une autre me prend par devant, j'en suce une, j'en branle deux une dans chaque main et la dernière se vide sur moi, et on alterne.
La tête en arrière, sur l'accoudoir, je ne vois pas qui me prend, et ayant pratiquement la tête à l'envers les éjaculations faciales finissent leur course dans mes cheveux.
Un moment je suçais une bite et en masturbais une dans chaque main quand les trois dans un jet commun se sont étalées sur mon visage.

Une demi-heure, après des triples pénétrations non-stop, j'ai encore poussé un cri de douleur.
Sans me prévenir deux mecs m'ont prise le cul en même temps.
Une fois que tous m'ont giclé deux à trois fois dans mon anus et ma bouche, je les regroupe tous autour de moi, et les suce tous alternativement jusqu'à ce que tous, dans un bouquet final se répandent sur mon visage et ma poitrine.

Remerciés et rincer, dans tous les sens du terme. Ils me quittent, couverte de foutre et repartent.
Seul, Romuald reste avec moi, pour ramener le camion.
-Vite il est déjà 21h40.
Je me change pour ramener le camion, j'enfile, après m'être délecté de tout ce jus de corps d'hommes, juste une longue robe fine.
Je chausse des talons, prend juste mon portefeuille et prend place à côté de Romu à l'avant du camion.

C'est qu'à 22h que l'on arrive à Rent Car à Tourcoing à la victoire il fait plus grand monde dehors.
Les grilles sont fermées, je me présente à l'interphone.
Un maître-chien vient au portail:
-Faut revenir demain.
-Je peux pas rentrer chez moi sans ma voiture.
-Prenez-le camion.
-Non j'aurai un supplément, aller ça vous coûte quoi à vous?
-Rien mais si ils l'apprennent je perds mon boulot moi.
-Aller svp donnez-moi juste ma voiture et je vous laisse tranquille.
Romuald attend dans le camion.
-Je peux pas je suis désolé j'ai une éthique madame, vous vous n'avez rien pour moi.
-Et si je vous paie?
Aller je vous file 100 euros et vous me rendez ma voiture?
-A ce prix-là, vous pouvez attendre demain?
-Non les dépassements c'est très chers.
-De toute façon je peux pas prendre d'argent.
-Ok, bon si je vous donne autre chose on peut s'arranger?
-Je comprend rien bonne soirée madame à demain.
-Laissez-moi entrer et je vous donne mon corps.
-Vous êtes folle, je peux laisser entrer personne y'a des caméras et je vais me faire virer.
-Ok, vient approche-toi.
Sans répondre le gardien s'approche de la grille.
A travers les barreaux de la grille, j'entrouvre la fermeture éclair du treillis, y fourre ma main, et le branle.
Il ne bouge plus, son chien me montre les crocs.
Sur la voie publique mais pratiquement collée au portail, je m'abaisse et commence à le sucer.
Son chien grogne encore.
Il fait presque nuit noir. Romuald sort du camion et vient nous rejoindre.
-Eh mais vous êtes complètement maboule.
-Attendez-là et regardez que personnes arrivent, je le finis et après vous pourrez partir.
-Je vais attendre à rien faire il commence à faire froid le soir.
-Bon, ok lui dis-je.
Je remonte ma robe sur mon dos offrant mon intimité à toute la ville, et lui lance.
-Prend-moi pendant que je le suce et fais le gai en même temps.
Je reprends ma sucette en bouche quand après avoir regardé aux alentours Romuald s'immisce une nouvelle fois en moi.
Je les laisse me baiser bien dix minutes.
Je relâche la pression sur ce phallus trempé de bave.
-Attendez-moi je reviens.

Le gardien a coupé les caméras et nous à laisser entrer j'ai récupéré ma voiture et suis rentrée dans ma nouvelle demeure.
L'agent de sécurité a rien risqué, il s'est couvert et à gagner une bonne pipe extrême.
Romuald, je l'ai déposé à sa voiture, avant de partir il a voulu que je le suce une dernière fois.
J'ai accepté, on a fait dans son espace, dans un coin touffus de végétation à Halluin.
La banquette arrière était couverte de planche, il s'est mis juste devant je le suçais, pendant que je me caressai le clito.
Je l'ai laissé littéralement me pilonner la bouche, alors que très lentement son levier de vitesse disparaissait entre mes fesses.
Il a jouit sur toute ma langue, au même moment que j'ai poussé un rare orgasme anal.

Je suis rentré chez moi, ai pris une bonne dernière douche avant de m'écrouler sur mon lit entouré de carton.
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Histoire de Julie592

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Commentaires du récit : Mon déménagement

Le 24/03/2023 - 18:42 par Al09
Je peux te déménager quand tu voudras ;)
Le 17/03/2014 - 23:42 par Martin_34
une vraie nympho, j'adore ;-)

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