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Mon premier amant

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Lue : 7866 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/12/2015

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Cette histoire, est celle que j'aurais dû raconter en premier, avant les autres, c'est ma première dans ma vie de femme mariée de bonne heure, il faut savoir que je suis, ce qu'on appelle une jouisseuse, je suis très sensible et je m'enflamme très vite, dés que je suis un peu excitée, et que j'ai des besoins sexuels plus fréquents que certaines, à cette époque, je ne savais pas tout ça.

J'étais une petite bonne femme, on me disait belle, je ne parle pas des dragueurs, mais de tout le monde n'y ayant pas d'intérêt à me le dire, 1.60 m, 45 kg, 85 B, et ce, jusqu'à la trentaine ou avec la même taille, je suis passé à 50 kg et au 95 D, cela sur deux années, dans mes récits, je ne parle jamais de mes enfants, cela est très privé et les moments coquins se passaient lorsqu'ils étaient soit chez une copine de square, soit chez les grands-parents où ils allaient souvent.

Avec mon premier mari, on arrivait de province, il avait trouvé un boulot mieux rémunéré, et on s'était installé en région parisienne, au bout de deux ans, suite à un accident de travail, il a passé une dizaine de jours à l'hôpital, c'était dans les débuts, la première semaine, l'anxiété m'avait coupé toute envie, je ne ressentais rien au niveau sexuel, lui, la douleur l'avait aussi endormi, mais au bout de quatre jours, en allant le voir, il me dit, tu ne vas pas me laisser camper, (son sexe bandé faisait faire au drap comme une tente), je l'ai purgé à la main les trois jours suivant.

Puis comme il allait de mieux en mieux, heureusement, il m'a demandé une fellation, je lui ai fait pendant qu'il me tripotait aussi, en sortant de l'hôpital, si lui, il était purgé, moi, ce n'était pas le cas, je rejoins le métro, et sur la ferronnerie, une chienne était attachée, pendant que son maître, probablement, devait être dans un commerce, un chien était en train de s'affairer sur la chienne, cela a accentué mon excitation.

Je ne me suis bien sur pas attardée pour voir cela, mais ça m'avait fortement émoustillée, dans le métro, tenant la barre centrale, serré, mais pas collé, je voyais par le reflet dans la vitre, que le type à côté me détaillait, il devait faire ma taille avec 20 kg et 20 ans de plus, un ouvrier surement, les cheveux encore humide par la douche, qu'il a dû prendre avant de quitter, le genre de type ou en temps normal, même dans une Jaguar, s'il me demande où je veux aller, je préfère prendre le métro.

Je me fais un film dans ma tête, ou il me tripote, cela n'atténue pas le feu en moi, la rame s'arrête à la station, certains descendent, beaucoup montent, à l'époque, j'étais beaucoup plus timide, mais comme l'alcool, l'excitation nous fait faire des choses, qu'on serait incapable de faire en état normal, je profite du flux pour me mettre presque face au type, ma tête, face à son épaule.

Un petit sourire furtif quand je suis arrivé sur lui, puis un regard fixe devant moi ensuite, en redémarrant, sa main touche ma hanche, qu'est-ce que j'ai aimé, il la laisse, puis est-ce moi qui était impatiente ou le temps me paraissait trop long, je me risque la honte de le regarder, en lui faisant un sourire, c'était presque l'hiver, j'avais une jupe plissée arrivant au-dessus des genoux, un pull large, et un imper, que j'avais ouvert, quand je suis rentée dans le métro.

Encouragée, sa main monte par centimètre, guettant la moindre réaction négative pour arrêter, comme je ne dis rien, il arrive sur mes seins qu'il tripote, le pull n'étant pas serré, sa main redescend, et il la passe sous le pull, ses mains sont à même ma peau, me faisant durcir les tétons, je mouille, la rame s'arrête, on s'est desserrés, il me lâche, ça remonte dans la rame, je me remets pareil, et là, il me gâte, avec ses doigts, il remonte ma jupe, et met sa main entre mes cuisses, je jouis presque instantanément, je ne peux pas jouir pleinement, la peur de perdre le contrôle et la honte me fait me pousser.
Je me suis poussée à peine, il a compris que je ne voulais plus, mais je me suis sentie mal à l'aise, je me suis remise, il a voulu recommencer, j'ai fait comprendre que non, il a essayé les seins et je l'ai laissé faire, réactivant une excitation, à une correspondance, quand ceux qui sortent sont descendus et que ceux qui montent, s'apprêtent à monter, il me dit, j'ai ma voiture à … (une station plus loin, moi, j'en ai encore quatre).

Je fais signe non, il y a moins de monde, il ne fait pas la tête, il me regarde, ses yeux ressemblent à ceux des chiens battus, il descend à la suivante, il me fait un signe de la tête avec sourire qui signifie bonne soirée, il descend en jetant une fois dehors un dernier coup d'œil, et puis je ne sais pas ce qui m'a pris, je suis descendu avant la fermeture des portes pour m'excuser d'avoir abusé.

Il me dit, j'ai ma voiture à mi-chemin entre ici et la prochaine station, je dis oui, du fait que dehors, il fait plus sombre, et comme il regarde la tête que j'ai, j'ai honte de ce qu'il y lit, une fois dehors, il me fait plein de compliments, je m'excuse de m'être servi de lui, on discute, il veut me payer un café, je dis non, on continue de marcher et à sa voiture, sans monter, on discute un peu, il ne fait pas chaud, il me dit, monter, regardez, je vous donne mes clefs, je ne démarrerais pas sans que vous le décidiez.

Il me donne les clefs dans les mains, il monte et m'ouvre de mon côté, le frais et le petit crachin qui commence à tomber me font monter, une fois à l'intérieur, je me demande ce que je fais là, je sais simplement que je n'ai pas envie de partir, on discute, il s'excuse à son tour d'avoir abusé de la situation, je dis que c'est moi qui l'ai presque forcé, il me dit, qu'il aurait dû voir que j'avais fait cela sur un coup de tête, peut être une dispute avec votre fiancé dit-il.

Je lui dis que non, que je revenais de l'hôpital que mon mari y est depuis plus d'une semaine, rien de grave, un accident, qu'il va bientôt sortir, je ne sais pas s'il a fait une analyse de tout ce qui s'est passé et ce que j'ai dit, vous me rassurez dit-il, en tout cas, j'ai été très heureux d'être là au bon moment pour être celui qui vous a fait frissonner, et je n'ai qu'un regret, lequel, que je lui demande.

Parlant à voix basse, il me dit, J'ai touché vos seins, votre intimité, mais je n'ai pas eu le plaisir de toucher vos jambes, et j'ai vu qu'elles étaient très jolies, je lui dis, qu'il aurait fallu qu'il s'accroupisse, mais que niveau discrétion et serrés comme on était, ce n'était pas aisé, m'auriez vous laisser faire sinon, si mes bras avaient fait cinquante centimètres de plus, je lui dis, oui bien sûr, s'il avait été plus long.

Il me dit, et là, ou personne nous voit et que je n'ai pas besoin de me baisser, je lui dis "non", "aller, vous me disiez vouloir vous excusez, c'est un bon moyen", en réalité, sans peut être m'en rendre compte, je n'attendais que ça, qu'il recommence, dans le métro, c'était un inconnu qui a profité d'un moment furtif, maintenant, c'est devenu quelqu'un de sympathique et respectueux, et là, nous sommes dans un endroit sombre, il ne voit pas mon regard.

Je lui dis, bon, pour m'excuser, je croise ma jambe droite sur mon genou gauche, il me caresse de la cheville aux genoux, il me dit, attendez, il recule son siège à fond en arrière, me demandant de faire pareil, j'essaie, mais je n'y arrive pas, il me dit, ne bougez pas, remettez vos jambes droites, il passe sa main entre mes jambes et tire sur une manette en me demandant de donner un coup de fesse en avant pour décoincer, ceci fait, le siège recule à fond, en me déséquilibrant un peu.

Restez comme ça, je peux caresser les deux ainsi, déséquilibré, j'ai serré mes genoux, il me caresse les jambes et me dit toujours à voix basse, tout à l'heure quand j'ai posé ma main sur vos seins, je les ai caressés, pétris, je voyais que cela vous plaisait, ensuite, j'ai mis ma main, cette main qui vous caresse en ce moment, coupant court, il me demande, je peux caresser vos genoux, je n'ai rien dit, et il le fait, je le laisse faire.
Il me caresse les genoux, débordant un peu sur les cuisses, sans user de sa force, je sens sa main qui essaie d'aller entre mes genoux, j'en ai tellement envie, qu'au bout de quatre ou cinq tentatives pour m'écarter, je desserre l'étreinte de mes cuisses, sa main remonte un peu et complètement foutue, je laisse libre le passage.

Il m'électrise quand il me touche le sexe, retire la dit-il, parlant de ma culotte, m'aidant à la défaire, puis il la garde, et me dit vient, on va derrière, je monte la première, il avance les sièges de devant, et dans son coffre, prend des pare-soleil, qui se fixe par des ventouses sur les vitres des côtés et un autre en accordéon qu'il met derrière, il appuie sur les tirettes fermant les portes, et retourne entre mes cuisses.

Je m'abandonne complètement, il me bascule un peu, puis à genoux par terre, il me remonte ma jupe pour me sucer, je lui facilite la tache, je jouis encore, dans sa bouche cette fois, j'en demande encore et il m'en donne, il continue de me sucer, je souffle comme si j'avais couru un cent mètres, je sens son doigt gros et court, qui se glisse dessous et après avoir été enduit de mouille, s'insérer dans mon anus, je pars pour un nouvel orgasme.

Ensuite, remontant mon pull, il m'embrasse le ventre et les seins, je lui donne accès à tout, je suis rassasiée, pas lui, il défait son pantalon et la sort de son slip, son sexe est comme le reste, gros et court, je dirais en comparaison avec les godes que j'avais et mesurais, 5 x 12, le branler ne m'a pas demandé beaucoup de travail, il y a longtemps qu'une main féminine, ne l'a pas touché, après cela, il m'a ramené à une station qui n'était pas la mienne, j'ai marché jusqu'à la suivante et pris un bus.

Mon premier mari, à part le foot et le bistrot, le sexe, c'était pour l'hygiène, il n'y avait pas beaucoup de variantes, j'étais jeune, notre vie à repris, peut être deux mois après, une copine de square se fait opérer, j'étais habillée en pantalon et avec deux pulls ainsi qu'un manteau, il faisait froid, en rentrant, je repensais à ce que j'avais fait dans le métro, sauf que je n'étais pas en manque comme la dernière fois.

Mais à la station où il était descendu, je descends aussi, et je marche en regardant si je revois sa voiture, par curiosité, me demandant comment j'avais pu faire cela, il me disait qu'il la garait dans cette rue, à cent mètres prés et de ce côté, je la reconnais sans peine, et il avait laissé le pare-soleil sur la plage arrière, j'avais un quart d'heure d'avance par rapport à la dernière fois, j'hésite entre continuer ma route et reprendre le métro plus loin, ou l'attendre, juste pour le voir de loin, ou encore revenir sur mes pas pour faire celle qui le rencontre à nouveau par hasard.

Je reviens sur mes pas, pour le hasard, je repasserais, je tombe nez à nez avec lui et yeux dans les yeux, on se dit bonjour, en regardant autour de moi et demandant si je suis seule, je lui dis bêtement que je sors de chez des amis qui habitent pas loin, pas dupe, il me dit, venez, on va à ma voiture, je le suis, en discutant, je repense à la dernière fois, l'envie me gagne, je monte devant.

Mais à la station où il était descendu, je descends aussi, et je marche en regardant si je revois sa voiture, par curiosité, me demandant comment j'avais pu faire cela, il me disait qu'il la garait dans cette rue, à cent mètres prés et de ce côté, je la reconnais sans peine, et il avait laissé le pare-soleil sur la plage arrière, j'avais un quart d'heure d'avance par rapport à la dernière fois, j'hésite entre continuer ma route et reprendre le métro plus loin, ou l'attendre, juste pour le voir de loin, ou encore revenir sur mes pas pour faire celle qui le rencontre à nouveau par hasard.

Ce n'est pas l'amant dont je rêve, mais, déjà, je n'ai pas envie d'en avoir plein, un seul, ça me donne bonne conscience, et celui-ci, s'il n'a pas le physique, il est gentil et m'inspire confiance, on repasse derrière, il défait mon pantalon et le baisse ; puis me suce divinement, mon mari, me suçait trente secondes comme si c'était une corvée et me baisait, lui, il suce jusqu'à l'orgasme.

Il m'a sucé comme la dernière fois, deux orgasmes avec sa bouche et une branlette pour lui, il m'a donné son téléphone où je l'ai inscrit en deux fois, afin que ça ne ressemble pas à un numéro, il m'a ramené pour que je gagne du temps, m'arrêtant deux stations de bus avant, ou j'ai fait celle rentrant dans une cité, une fois éloigné, j'ai fini en bus.
Je me disais, mais qu'est-ce qui m'a pris, en rentrant, mon mari rouspète qu'il a dû manger du jambon et fromage, et aussi, plusieurs Ricard et bières, il se couche et s'endort aussitôt, avant son accident, nous étions déjà dans une routine, à part le foot et les copains de bistrot, je servais de bonne, faible, il se laissait entraîner à la boisson et il m'échappait.

Je me disais, mais qu'est-ce qui m'a pris, en rentrant, mon mari rouspète qu'il a dû manger du jambon et fromage, et aussi, plusieurs Ricard et bières, il se couche et s'endort aussitôt, avant son accident, nous étions déjà dans une routine, à part le foot et les copains de bistrot, je servais de bonne, faible, il se laissait entraîner à la boisson et il m'échappait.

Je me disais, mais qu'est-ce qui m'a pris, en rentrant, mon mari rouspète qu'il a dû manger du jambon et fromage, et aussi, plusieurs Ricard et bières, il se couche et s'endort aussitôt, avant son accident, nous étions déjà dans une routine, à part le foot et les copains de bistrot, je servais de bonne, faible, il se laissait entraîner à la boisson et il m'échappait.

Sexuellement, sans être complètement délaissée, de journellement au début du mariage, on était à quatre fois la semaine avant son accident, tous les deux jours après, et tous les trois jours en moyenne à ce moment-là, le gode, c'est bien, mais je le répète encore une fois, c'est un complément, un objet de dépannage, on ne peut pas s'en passer, mais on ne peut pas que s'en contenter.

Il faut dire aussi, que de le voir rentrer les yeux brillants, ça ne m'encourageait pas à m'entretenir, je n'allais au coiffeur qu'a noël ou aux mariages, anniversaires, baptême ou autre, mes tenues étaient le jogging, quand celui avec qui on vit, ne nous regarde plus, c'est le cercle vicieux, on se néglige et il nous regarde encore moins.

Ses copains d'avant, me regardaient pourtant au début, ils me regardaient de trop, ce qui fait qu'il ne me sortait plus, ses nouveaux copains, des poivrots, eux n'étaient que dans le foot et la bière, ma tenue pour rester à la maison, ne leur donnait aucune idée, ce qui arrangeait mon mari et moi aussi.

Comme je devais sortir, je m'habille, je n'avais pas grand-chose, mais j'avais une jupe courte, des bas, un chemisier à bouton, je me coiffe un peu, et je mets mon imper pour ne pas qu'il voit ce que je porte, malgré tout, mes cheveux coiffés, un peu de maquillage des yeux, quand je suis sortie, il est venu se frotter à moi, en me disant que je me fais belle pour ma copine, heureusement que ses copains devaient arriver d'une minute a l'autre, sinon, j'aurais été mal.

Je n'avais aucune envie de baiser avec lui, par contre, rejoindre mon amant, cela m'émoustillait déjà, je prétexte que de partir avant que ses ploucs n'arrivent, il me répond, oui, tu as raison, va voir l'autre conne, l'autre conne, c'était l'amie prétexte du ciné, qui empêche son mari de regarder le foot quand elle est là, c'est elle, qui choisit les programmes.

Après manger, je partais au cinéma en disant que je regarderais surement deux films, et prétextant que la copine a eu des places à réduction, je suis partie, il ne m'a même pas écoutée, je téléphone d'une cabine, à mon amant du métro, qui arrive ensuite devant l'immeuble où il m'avait laissé.

On devait aller au cinéma, on passe devant les affiches des films, pour voir ce qu'il y a, rien ne me tente, mais je note les titres et lis le résumé de l'histoire, mon amant est prêt à regarder n'importe quel navet, et voyant que je ne suis pas emballé, il me propose sans y croire, une cassette chez lui, je dis non, et au bout de cinq minutes, devant son sourire qui ne change pas, voyant qu'il cherche à me satisfaire, me faire plaisir, je lui dis, ton magnétoscope, ça tient toujours.

Arrivé chez lui, bien sûr, maniaque comme je suis, je fais une drôle de tête qu'il ne voit pas, mais je reconnais que pour un homme, cela reste raisonnable, c'est un ouvrier et il est seul, la surprise passée, je retire mon imper, il fait "wouaaa", ce qui me fait plaisir, car à l'époque, les compliments, c'était très rares.

Il me demande si ça ne me dérange pas que la télé soit dans la chambre, disant qu'il ne cherchera pas à faire ce que je ne veux pas, je lui dis que je lui fais confiance, il change ses draps, il avait quelques films que je vois, il m'en sort en vitesse, en cachant les autres, je dis, non, c'est ceux-là que je veux, bien évidemment, des films pornos, j'en choisi un au hasard, je l'aide à faire le lit.

Le choix du film lui fait savoir ce qui va arriver, il en profite, il me tripote, m'embrase dans le cou, passe sa main dessous, je le stoppe, il s'arrête aussitôt en demandant pardon, mais que je suis trop jolie, je lui dis, pas de précipitation, j'ai la permission de minuit, je me déshabille entièrement devant lui, une fois nue, je lui demande d'éteindre la lumière, mon amant n'est pas un top-modèle, j'ai craint un blocage de ma part.

Nous nous sommes mis dans le lit, nu, le film a commencé, qu'est-ce que ça peut être idiot comme genre de film, aucune histoire, juste des belles-filles et des beaux gars bien montés, d'être là dans le lit d'un homme de ma volonté, je me sentais salope, mais par rapport à celles du film, je suis une sainte, je lui dis, "tu peux me toucher, tout ce qui est dans ton lit est à toi, tu peux en user à ta guise".
Il savait que je n'embrassais jamais sur la bouche, cela avait été dit la première fois, ses caresses me font frémir, elle me donne la chair de poule, chose que mon mari n'arrive plus à me donner, il me dit, "tu as froid", je réponds, "idiot", autant un film porno, ne me fait naitre aucune excitation, mais en regardant en même temps que je suis très excitée, cela accentue l'envie, je lui dis, tu ne regarde pas, il me dit avoir aussi bien dans son lit, je ne peux hélas pas lui retourner le compliment en voyant le type à l'écran, ça serait se foutre de lui.

Par contre, il est aussi bon, car en descendant, sachant ou est mon talon d'Achille, sa langue et sa bouche me donne un plaisir que je n'ai eu jusqu'alors, qu'avec lui, le plaisir est tellement intense, et je suis à mon troisième jour de privation, je jouis aussitôt dans sa bouche, quelle honte me dis-je, que va-t-il penser, que je suis une grosse salope ou qu'il est très bon, la vérité, c'est qu'il y a les deux.

Contrairement aux jeunes de mon âge connu avant le mariage, qui pensait que le temps de coup de bite, c'est le plaisir maxi, et baise avec un chrono pour savoir quand baiser, lui, il travaille à l'oreille, mes gémissements lui indique où il en est, ce qu'il faut faire, il ne travaille pas avec le kamasoutra comme bible, mais à l'ancienne, il me dira quelque temps après, "je suis petit, gros et avec un physique désavantageux, avec une fille comme toi, pour la garder, il faut que je sois le meilleur sinon, être très bon".

Il avait oublié gentil et respectueux, ne citant que la vérité qu'on ne peut pas contredire, seul le gros était exagéré, par contre le bon, dans ma liste de ceux déjà essayés, oui, il était le meilleur incontestablement, et pour l'heure, sa taille, son poids, son physique, tout ça ne comptait pas, il me mit son doigt dans le cul tout en me suçant, il me connaissait par cœur maintenant, je jouis encore une fois, après cela, on se remet à regarder le film, timidement, il me dit être passé dans une pharmacie.

Je lui répète que tout ce qui est dans son lit, lui appartient et qu'il peut faire tout ce qu'il veut, sauf embrasser sur la bouche et sans protection, après m'avoir caressé à nouveau, il se place en missionnaire et me baise, la position du missionnaire n'est pas vraiment une nouveauté, mais pour lui, oui, il me refait jouir de cette façon.

Malgré mes demandes qu'il jouisse, il se retire, on regarde le film et comme la fille se fait sodomiser, il me demande de façon détournée, si j'acceptais aussi ce genre de chose, je suis tellement bien, que je le prends dans mes bras et lui dis, qu'avec lui, j'ai envie de tout, je lui tourne le dos, il s'approche, me baise encore pour mouiller et me sodomise en étant sur le côté, s'agrippant à mes seins, il a joui avant que j'en aie le temps, mais j'y ai pris beaucoup de plaisir.

Il a éteint le magnétoscope, on a discuté une bonne heure, c'est là que quand je lui ai dit que j'avais joui plus qu'avec mon mari, qu'il m'a dit que pour moi, c'est un coureur de cent mètres, alors que mon mari est un coureur de marathon, exemple que j'utilise beaucoup avec les couples amis en difficulté, celles ou ceux qui se plaignent d'un manque de fougue du partenaire.

Après la discute, ses caresses qu'il n'avait pas arrêtées, deviennent plus intenses, et je recommence à repartir sur le chemin du plaisir, il rallume la télé juste pour avoir un petit éclairage, il me demande de me mettre en levrette et me lèche la rondelle, il m'a redonné un autre orgasme, lui, il n'a pas été suffisamment dur pour enfiler la capote, cela l'a vexé, mais je l'ai réconforté en le masturbant

Le lit était complètement défait, j'ai voulu l'aider, mais il m'a dit qu'il allait les garder longtemps ses draps, pour mon odeur, je suis rentré, il m'a laissé à une demi-station de la maison, les poivrots étaient partis, mon mari ronflait, pour mon plus grand plaisir, il ne m'a pas vu rentrer dans le lit, il m'a baisé au réveil, je n'ai pas grimpé au rideau, j'ai passé la matinée à ranger pendant qu'il est parti les rejoindre au bistro.

Ne voulant pas sortir trop souvent pour ne pas éveiller de soupçon, et aussi le fait que mon amant, même si je l'apprécie, ne m'attire pas physiquement, pour que j'en ai envie, il faut que je sois en manque, pendant plus d'un an environ, je le voyais entre tous les mois ou tous les deux mois, soit chez lui soit à la voiture, un jour, je rencontre une ancienne copine d'enfance, qui sortait d'un mauvais mariage, je la revoie chez elle et comme des fois mon mari découchait, j'accepte de rester la nuit avec elle, nous avons profité de notre bisexualité, (ceci me fera apprendre une autre histoire).

J'ai invité cette copine à la maison, qui n'a pas été très bien reçue par lui, ça tombait bien, ça me permettait d'aller la voir, sans qu'il vienne et aussi d'excuse pour voir mon amant, à la maison, je me négligeais de plus en plus, sauf pour elle et pour lui
Peut-être trois mois après, mon mari part deux jours en déplacement, partant de très bonne heure le matin, j'appelle mon amant, pour qu'on se rejoigne chez lui, il m'indique mettre la clef à un certain endroit au cas où il serait en retard, et au lieu de prendre la voiture et le métro, il ira travailler en voiture.

Je fais mon ménage et vers dix heures, je me dis, tient, je vais lui faire plaisir, lui faire du ménage, j'ai rangé, nettoyé, fait le lit, lavé du linge, j'avais acheté une jupe sexy en cachette de mon mari, j'ai été là-bas en pantalon, pour le ménage, et avant qu'il arrive, je m'étais habillé, bien évidemment, je n'ai rien jeté, ni fouillé.

Cela lui a fait plaisir, il m'a demandé qu'il pouvait me toucher, je lui ai dit, "mais tu n'as rien à demander, quand on est en privé, tu fais ce que tu as envie, sitôt dit, sitôt fait, il m'a culbuté sur son canapé, ne s'occupant que de mon plaisir, me parcourant de sa langue, me donnant deux orgasmes sans rien en retour, il a été chercher une pizza, on a mangé, on s'est promené un peu dehors.

Je fais mon ménage et vers dix heures, je me dis, tient, je vais lui faire plaisir, lui faire du ménage, j'ai rangé, nettoyé, fait le lit, lavé du linge, j'avais acheté une jupe sexy en cachette de mon mari, j'ai été là-bas en pantalon, pour le ménage, et avant qu'il arrive, je m'étais habillé, bien évidemment, je n'ai rien jeté, ni fouillé.

Par ses caresses, il me transforme en boule de plaisir, ou je m'abandonne complètement et impudiquement, il me redonne un orgasme avec sa bouche, il me baise, je jouis de sa bite dont je regrette les quelques centimètres manquant, je sais qu'il a envie de me sodomiser, mais il n'ose pas, je le lui dis, "encule-moi, encule-moi comme une salope", tu veux dit-il, je lui répète à nouveau et il m'encule de façon directe et me lime jusqu'à jouir.

Après cela, il me demande à quelle heure qu'il doit me ramener, je lui demande si je peux dormir là, il a bien évidemment dit oui, dans la nuit, on a re baisés, et le matin de bonne heure, il m'a redonné un orgasme avec sa bouche, je n'ai pus que le masturber, il était vidé et ne bandait pas suffisamment, il m'a re déposé à quelques dizaines de mètres de la maison ensuite, ma confiance lui était acquise.

Après cela, il me demande à quelle heure qu'il doit me ramener, je lui demande si je peux dormir là, il a bien évidemment dit oui, dans la nuit, on a re baisés, et le matin de bonne heure, il m'a redonné un orgasme avec sa bouche, je n'ai pu que le masturber, il était vidé et ne bandait pas suffisamment, il m'a re déposé à quelques dizaines de mètres de la maison ensuite, ma confiance lui était acquise.

Après avoir dit qu'il n'y avait personne ici, il me pousse sur le canapé, et me tripote partout, je fais celle qui ne veut pas, mais en rigolant, il me viole, (ne pas confondre avec une ordure qui fait pareil avec une femme qui dit non en hurlant de terreur et de dégoût), connaissant ma faiblesse, il a tôt fait de me maîtriser et de me mettre à sa merci.

Mon amant, au fil des parties sexe, est devenu plus confiant en lui, du timide qui me demandait s'il peut ceci ou peut cela, maintenant, il se sert, il prend, à cette époque, j'étais femme au foyer, dépendant de l'argent que me donnait mon mari pour faire tourner la maison, et de plus en plus, l'argent qui restait après l'ardoise payée au bistrot, devenait rare.

Certains de ceux qui me connaissent très bien au niveau coquineries, disent que si j'aime être soumise, obligée, poussée, utilisée, dans tout ce qui est sexuel, ça venait du fait que dans la vie, je commandais, à cette époque, j'avais déjà cette préférence, et je ne commandais rien du tout.

(ne pas confondre avec une ordure qui fait pareil avec une femme qui dit non en hurlant de terreur et de dégoût)

Mais cette fois-là, est ce l'envie ou l'esprit de vengeance, je l'ai sucé et il a joui dans ma bouche, je lui avais dit aussi que maintenant, je reprends la pilule (mensonge de complaisance pour ne pas vexer), après avoir joui, il ne s'endort pas, il continue de m'embrasser partout, quand je suis à nouveau excité, il me baise avec le gode, comme j'ai une voix très sensuelle, c'est ce que tout le monde me dit, il me gode et vient m'écouter gémir, cela est humiliant, mais tellement excitant, je gueule comme une truie à son oreille.

Si aujourd'hui, une femme dit qu'elle n'a pas de gode, on se dit que c'est une menteuse ou une anormale, à l'époque, on s'en cachait hors couple, c'était le jouet des salopes, il me mate un peu, puis il me le prend en me le mettant dans l'anus, et me bouffant la chatte, j'ai joui en gueulant, à cette époque, le sida n'étais pas encore connu, si je ne l'avais pas encore sucé, ni accepter qu'il sperme en moi, c'était par dégoût, le sperme d'un autre que mon mari, beurk.

Mais cette fois-là, est ce l'envie ou l'esprit de vengeance, je l'ai sucé et il a joui dans ma bouche, je lui avais dit aussi que maintenant, je reprends la pilule (mensonge de complaisance pour ne pas vexer), après avoir joui, il ne s'endort pas, il continue de m'embrasser partout, quand je suis à nouveau excité, il me baise avec le gode, comme j'ai une voix très sensuelle, c'est ce que tout le monde me dit, il me gode et vient m'écouter gémir, cela est humiliant, mais tellement excitant, je gueule comme une truie à son oreille.
J'ai eu huit orgasmes depuis son arrivé et son départ le matin, j'étais lessivée, le soir, mon mari arrive, j'avais remis le lit en état, j'étais en jogging, j'avais tout fait pour ne pas lui donner envie, il mange et en se couchant, me dit, "je suis crevé, le voyage m'a cassé", en même temps, il se justifie en racontant des bobards, et tant mieux, sexuellement, j'étais usée, il m'a baisé le lendemain, j'ai dû mimer pour ne pas éveiller ses soupçons.

Nous étions devenu un couple de meubles, je ne faisais plus rien pour me rendre désirable, bien au contraire, sauf de me frapper, il m'a fait plein de vacherie de lâche, de poivrot que je ne veux pas raconter, tous les mois, je voyais mon amant, soit chez lui, soit à la maison, quand mon mari faisait des déplacements, mon amant était chez moi, je mettais une chaise pour coincer la poignée, au cas où il rentrerait, je lui aurais dit que j'ai peur toute seule.

Nous étions devenu un couple de meubles, je ne faisais plus rien pour me rendre désirable, bien au contraire, sauf de me frapper, il m'a fait plein de vacherie de lâche, de poivrot que je ne veux pas raconter, tous les mois, je voyais mon amant, soit chez lui, soit à la maison, quand mon mari faisait des déplacements, mon amant était chez moi, je mettais une chaise pour coincer la poignée, au cas où il rentrerait, je lui aurais dit que j'ai peur toute seule.

À chaque rencontre, il montait crescendo dans son comportement vulgaire et macho, en arrivant, c'était des "suce moi salope, des t'aimes ça petite pute, amène ton cul morue,, que je t'encule", en partant, il me demandait s'il n'avait pas été trop….., je lui disais, aucun risque, si on n'avait pas eu le temps de baiser au levé, il partait après une pipe, connaissant mes difficultés financière, il me faisait des cadeaux, des affaires, je disais à mon mari, que c'est ce que ma copine ne mettait plus, content de ne pas en acheter et con pour s'apercevoir que niveau taille, elle était plus forte que moi.

Cela a duré plus de quatre ans, on sortait même le samedi des fois, et un après-midi, en se promenant au lac, un couple sur une barque se dispute de façon peut tendre, l'homme fout le camp, la femme bien ennuyée, cela faisait plusieurs fois que je lui avais dit qu'il devrait se trouver une femme, j'ai vu là, une occasion pour lui, le sale type ne pouvait pas être son mari.

La femme peu douée, partait à la dérive, il a marché dans l'eau, jusqu'à la ceinture pour ne pas qu'elle s'éloigne de trop, la femme n'était pas une beauté, mais elle devait avoir son âge et avait l'air sympa, il ne voulait pas me "quitter", mais je lui ai dit que s'il loupait cette occase, il ne me reverrait plus, est-ce cela qui l'a encouragé, je ne sais pas, mais ils se sont mis ensemble quelque temps après.

Avec mon mari, j'ai voulu faire des efforts, m'habillant sexy, rien n'y faisait, il rentrait les yeux brillants, me baisant que deux fois la semaine, comme mes tenues ne lui faisait pas d'effet, elle en faisait à ceux dans la rue que je croisais, tous les mois, j'allais attendre à la voiture mon amant, qui me faisait jouir avec sa bouche et ou je ne lui faisais rien, pour qu'il ait du jus le soir.

Et puis il arriva ce qui arriva, si mon mari était trop embrumé pour me voir, un autre m'a remarqué, il m'a vu, il m'a eu, amant régulier pendant longtemps, c'est devenu mon mari, le seul, l'unique, le vrai, je n'ai revu qu'une seule fois mon premier amant à sa voiture, pour lui dire adieu, c'était la semaine après avoir fait l'amour avec celui qui allait devenir mon deuxième et dernier mari et à qui j'avais tout dit.

Mon second mari, c'est lui qui m'a fait passer de belle femme, à très belle femme, pas du jour au lendemain, mais petit à petit, en me forçant à prendre soin de moi, il m'a rendu autonome, m'a comblée sexuellement, m'a fait connaitre le libertinage et plein de jeux, et il m'a fait devenir celle que j'ai été et suis encore, me permettant d'avoir ce qui m'est arrivé et que je raconte ou ai racontée ici.

Quand certains, comble sexuellement leur femme, afin qu'elle n'ait pas envie d'aller ailleurs, lui lorsqu'il avait décidé de libertiner, un vendredi soir ou samedi soir, les dernières 48 heures, il me laissait en manque, me baisait vite fait sans que j'ai du plaisir, ou je lui faisais une douceur ce qui fait que me tripotant en allant au rendez-vous, dés que le type me touchait, je m'enflammais aussitôt, et ces soirs-là, je rattrapais le manque.

Mon histoire dans le métro, lui a aussi donné des idées, entre des pulls amples, sans soutien-gorge, et jupe très courte et plissée sous un imper sans-culotte, il m'avait confectionné la tenue spéciale métro, mes premières expériences, étaient sous sa surveillance, j'étais bien tombé avec mon amant, mais comment allait être les autres, c'était l'inconnu, en fait, les cinq fois ou mon mari m'avait accompagné et ou il y avait eu contact, ça s'est très bien passé, après, j'y allais seule à l'occasion de shopping

Le taux de réussite, était d'un sur trois à un sur quatre, cela devait être pris comme un bonus et non comme une certitude, des fois, c'était à l'aller, des fois au retour, il y avait beaucoup de petits tripotages excitants et très peu de hard, sur la quantité, je n'ai eu que deux types que j'ai retrouvés dans la rame plusieurs mois après, peut être raconterais-je cela un jour.

Ne croyez pas qu'avec mon second mari, je lui disais aller voir une copine et que je rejoignais un amant, si le respect, ça se mérite, ridiculiser son mari, ca se mérite aussi, quand j'allais rejoindre quelqu'un, j'allais rejoindre qui je luis indiquais, et jamais quelqu'un d'autre, pour quoi cacher ce qu'il m'autoriserait, quand je ne le lui disais pas, c'est parce qu'il m'avait dit que je pouvais avec tel homme, sans que j'ai besoin de l'informer.
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Histoire de annizette

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