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Moules frites et petites pépées 2

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Lue : 14399 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/02/2009

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Moules, frites et petites pépées 2/2

C’est ainsi que je me retrouvais dans une chambre d’hôtel avec deux femmes magnifiques attirées l’une vers l’autre, deux grandes femmes l’une brune et expérimentée Sonia, l’autre Julie aux cheveux ambrés très émue avant sa première expérience lesbienne désirée mais refoulée depuis trop longtemps. Je suis hétérosexuel mais j’avoue être troublé au plus haut point par le spectacle de deux femmes qui s’offrent, qui se donnent pour s’engloutir ensemble dans le plaisir des sens. Là dans la pénombre de cette chambre, sous la lumière rasante des spots lumineux j’allais être le témoin, actif je l’espérais, de ces deux femmes qui se désiraient. Ce qui suivit allât bien au-delà de mes attentes et restera gravé à tout jamais dans ma mémoire.

Au début c’est Sonia qui mena le bal

« Est ce que je te plais, Julie ? tu sais moi aussi, comme toi j’ai désiré rencontrer des femmes, mais moi j’ai assouvi cette envie, cela a été merveilleux à la première rencontre, ma première amante a réussi à me faire jouir comme jamais auparavant, elle m’a initié au plaisir lesbien, elle m’a livré ses secrets et à mon tour je l’ai faite jouir, lui ai donné le plus fort des orgasmes, maintenant j’ai de l’expérience, c’est fou ce que deux femmes peuvent s’envoyer en l’air jouir quand elles s’aiment, quand elles se désirent, quand elles mettent de côté tous leurs tabous, quand elles aiment plus donner que recevoir. Tu me plais Julie, tu es belle, tu es excitante, je veux te rendre ce que l’on m’a donné, laisse toi faire ma chérie, viens, oh oui viens »

Sonia s’était approchée de Julie dont le visage indiquait son envie ; tout en lui parlant de ce qu’elle avait envie de faire, elle passa une main sous la jupe et commença à lui presser le sexe. Julie fermait les yeux, elle entrait un peu dans son fantasme qu’elle était douce cette main qui s’agitait sur elle serrant ses grosses lèvres par dessus sa culotte et l’autre main dégrafant son corsage et captant ses seins ; les paroles érotiques de Sonia la transportait dans le monde du plaisir puis leurs bouches s’unirent à nouveau et leurs langues se mêlèrent. C’est la première fois qu’une femme l’embrassait ainsi.


Julie commençait à geindre, elle jouait le jeu, s’offrant entièrement sans pudeur à la caresse de son amante dont la main était maintenant passée sous le slip et parcourait la raie de sa chatte ; après avoir d’un doigt mouillé caressé l’anus elle remontait vers le clitoris qu’elle frôlait de deux doigts le faisant se raidir. Le doux va et viens dans sa vulve humide conjugué avec le titillement de la pointe de ses seins érectés plongeait Julie dans un plaisir jamais ressenti ; les yeux fermés elle se disait, enfin j’y suis, ce que j’ai toujours désiré est arrivé, elle s’offrait à la plus douce des caresses femelles, elle s’abandonnait à cette main de femme si belle, si expérimentée qui savait, elle s’en rendait compte, trouver les endroits sensibles, y restant le temps qu’il faut, les pressant doucement ou fermement, son sexe mais aussi son ventre, ses fesses, ses reins, les plis qui séparent sa chatte de ses cuisses et puis ses seins embouchés par des lèvres voraces et la langue qui en affolait les pointes bistres .

Debout, dans les bras l’une de l’autre sans cesser de se caresser, elles commencèrent à se dévêtir, les corsages s’ouvraient dévoilant les jeunes poitrines, des seins fermes et dressés par le désir qui commençait à poindre comme leurs tétons érectés. Les jupes se retroussèrent avant de s’envoler et rejetées au loin. Quasi nues elles s’enlaçaient, se frôlaient, s’ouvraient aux caresses, chacune cherchant à surprendre l’autre. Les ventres se pressaient en ondulant. Parfois l’une passait derrière l’autre pour se vautrer sur les fesses de son amante. Les petites culottes enfin disparurent laissant aux mains, aux doigts aux cuisses la liberté de s’enliser dans les intimités après s’être perdus dans les rondeurs offertes.

Ce que je regarde en premier chez une femme après son minois ce sont ses fesses ; je les aime parfaites, bien rondes, ouvertes sur des fonds mystérieux, le gracieux raccordement de leurs courbes avec les cuisses, le ventre et les hanches et là dans la pénombre c’était ce que j’avais vu de mieux. La lumière rasante mettait en valeur le fin duvet qui ornait ces merveilleux volumes qui s’agitaient gracieusement. Moi aussi j’ai des fesses superbes, d’un autre genre, viriles, fermes et je sais que les femmes en raffolent. J’entrepris donc moi aussi de me dénuder pour me faire admirer à la dérobée par mes deux beautés.


Julie n’était plus qu’un déhanchement, son souffle était court, sans qu’elle s’en fut rendu compte Sonia la fit se ployer en serrant sa taille et confiante, déjà perdue elle se laissa tomber en arrière sans crainte de se faire mal. Elle se retrouva couchée en travers du lit, les jambes pendantes avec Sonia toujours caressante entre ses cuisses écartelées. Julie poussa un petit cri quand une douce chaleur mouillée envahit son sexe ouvert. Julie cherchait la nature des sensations qu’elle ressentait, quand elle comprit que c’était la bouche de Sonia qui embrassait sa chatte elle eut comme une convulsion cherchant à se vautrer de plaisir, elle sentait la langue de son amante aller et venir sur elle, soit par le pointu, soit au contraire largement étalée entre ses lèvres, et puis des mains, des doigts se mirent de la fête écartant les lèvres, pinçant le clitoris, enfin la pénétration d’un doigt puis de plusieurs s’enfonçant en elle dans son vagin et s’agitant en la pistonnant, c’était comme un sexe d’homme, mais avec une langue en plus qui agaçait sa vulve, avec un pouce qui faisait vibrer son clitoris qui bandait maintenant et ce doigt, petit, gentil, mouillé qui pris son anus en douceur puis petit à petit devint impérieux branlant son cul s’enfonçant profondément quand les autres sortaient de sa chatte.

C’était trop, Julie ne put résister à l’énorme jouissance qui d’un coup lui fit perdre la raison, son corps n’était que plaisir de la pointe de ses seins aux profondeurs de son sexe et de son cul. Sans s’en rendre compte lors d’un gémissement de plaisir elle sentit dans sa bouche une rondeur, une tiédeur, et un goût acre, c’était moi qui m’était agenouillé à califourchon sur son visage et abaissant ma garde baisait sa bouche, les yeux fous je m’accordais à la cadence des doigts qui la perforaient. Julie dans son orgasme était heureuse de me donner elle aussi du plaisir, elle caressait mes couilles qui ballottaient sur son nez et serrait à la base mon membre qui peu à peu s’enfonçait dans sa bouche.

« Mets toi en position de levrette, chérie, nous serons mieux, oui lâche Georges, tu vas le retrouver, oui comme ça, tends bien ta croupe, remonte la bien, attends je me prépare derrière toi, reprends la bitte de Georges, allez, fais le jouir, arrondit tes lèvres sur son gland, tu sais il aime se faire sucer,-- allez prends en plus, et toi Georges au lieu de me reluquer aide moi ! »

Sonia me mit dans les mains une chose informe qu’à prime abord j’eue du mal à identifier mais quand je réalisais mon cœur se mit à battre la chamade. Il s’agissait d’un godemichet spécial, très spécial composé de deux sexes masculins opposés reliés par une seule mais grosse paire de couilles. Ces verges très réalistes, grosses et longues le gland décalotté ; elles étaient souples, plastiques. On aurait dit des vraies tant leur couleur était naturelle. Cela me fit un drôle d’effet de les avoir en main.

« Aide-moi à m’harnacher, Georges ! » me dit Sonia discrètement dans le creux de l’oreille « transforme moi en bouc ! »

J’abandonnais un instant la bouche de Julie et debout passant derrière Sonia de ma main libre passée devant entre ses cuisses ouvertes je reconnus le chemin. Sa chatte était prête lubrifiée à souhait. Je ne pus résister à mon envie et me plaquais sur elle, mon sexe vertical entre ses fesses. A cet instant prenant le gode par les couilles je le présentais, gland en avant.et le centrais sur sa vulve. Avec délicatesse j’accomplis ce qu’elle attendait de moi et bientôt j’emmanchais le gode à fond les parties en butée sur son ventre plat. Quelques petits aller et retour pour que tout soit bien en place. J’étais en transe devant le spectacle de cette femme adorable équipée comme un homme.

« Merci Georges reprends ta place et regarde nous ! » Ce que je fis

A genoux de nouveau sur le lit, je remis mon sexe en bonne place dans la bouche accueillante de Julie et regardais dans un état second Sonia s’insérer entre les jambes de Julie. Je remarquais qu’elle avait arqué sa verge factice et l’avait enduite d’un gel translucide ; de plus de fines lanières élastiques passées dans sa raie des fesses et agrafées dans son dos maintenaient le gode bien en place, bien dressé dans l’axe de son corps. Je vis le moment où le gland de Sonia se centra entre les lèvres offertes après s’être inséré entre les fesses ouvertes. Sonia prenant Julie par les hanches commença à onduler en restant au bord mais aux réactions de Julie je compris que petit à petit elle s’enfonçait

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L’attente avait été un peu longue mais de nouveau Julie se sentit pénétrée, elle était mieux ainsi, avec les hommes qu’elle avait fréquenté elle aimait cette position de levrette, la pénétration était plus profonde. Pour l’instant c’était différent ce ne pouvait être un ou deux doigts qui arrondissaient sa chatte de la sorte, jamais un sexe d’homme, même les mieux pourvus ne l’avait écartelé ainsi. Tout en continuant de sucer le sexe de Georges elle passa une main entre ses cuisses pour tâter cette virilité qui délicieusement la perforait, elle cru s’évanouir en sentant une grosse paire de couilles surmontée d’un énorme sexe, un moment elle ne comprit pas ce qu’il lui arrivait, elle se retourna pour voir qui la pénétrait ainsi si intensément, un quatrième partenaire s’était il joint à eux, mais non c’était Sonia qui la maintenait aux hanches et qui l’enfilait.

L’instant de surprise passé elle se laissa mener et se concentra sur les sensations nouvelles qui l’envahissaient. Elle sentait ce membre glisser onctueusement malgré son énormité dans sa chatte. Quelle chance pour cette première expérience de faire l’amour avec cette délicate et expérimentée Sonia. Elle sentait un doux va et viens entre ses fesses, elle en appréciait chaque instant, quand le gland sorti la forçait à nouveau écartant sa vulve jusqu’au moment où à fond dans son ventre elle sentait celui de Sonia claquer sur ses fesses. Et puis ses mains qui caressaient son corps, son dos, ses épaules avant de peloter ses seins. Georges merveilleux Georges qui l’avait entraînée dans cette folle aventure profitait lui aussi agenouillé face à elle son sexe dans sa bouche elle le récompensa en s’appliquant, à l’absorber à chaque coup de boutoir et par dessous à lui caresser les valseuses.

Le plaisir l’envahi et l’orgasme la submergea, avec des étoiles plein les yeux, Sonia la fit jouir plusieurs fois et c’était de plus en plus fort Elle devait faire un immense effort pour ne pas s’écrouler

« Serre ma queue dans ta chatte ! » C’était un ordre bref de Sonia et le miracle se produisit chacune maintenant trouvant son plaisir. Quand la verge était serrée dans la chatte de Julie Sonia pouvait se branler sur son membre, les attaches souples le permettaientlie, cela changea radicalement la situation car chacune maintenant pouvait jouir et faire jouir sa partenaire. Elles eurent vite saisi la manœuvre et Georges put les voir sr pâmer de concert et leurs corps s’animer de mouvements incontrôlés qui auraient pu paraître grotesques s’ils n’étaient pas aussi beaux si excitant pour Georges témoin de cette ivresse collective.

A un moment Sonia sembla se retirer et Julie poussa un petit cri de surprise tout en mordant le sexe de Georges qui s’agitait dans sa bouche. Puis tout redevint normal si l’on peut dire puisque c’est dans l’anus de Julie que le membre lubrifié allait et venait maintenant. Sonia devait bien s’y prendre puisque de nouveau la croupe de Julie s’anima d’esthétiques circonvolutions et qu’une plainte continue se fit entendre. La main de Julie passée entre ses cuisses rejoignit celle de Sonia qui branlait la chatte libérée Julie se contenta en massant à plein doigts son clitoris

Dans cette configuration comme dans la précédente chacune trouva la jouissance et à plusieurs reprises et de concert. Georges se demandant si ce n’était pas le moment de se laisser aller dans cette bouche qui le suçait voracement.

Cela ne fut car d’un coup les deux pépées s’écroulèrent ivres de plaisir. Lui restait en place comme un ballot à genoux sur le lit. Un spectacle hallucinant le sidéra. Julie excitée malgré tout ce qui venait de lui arriver prenant le godemichet double en main entreprit de s’harnacher à son tour elle prit en compte sa partie vous devinez où et Sonia intriguée et manifestement amusée passant les sangles entre ses cuisses les agrafa dans le dos. Julie se redressa alors triomphante le sexe dressé et cria presque

« Georges je veux te baiser à mon tour, j’en ai une envie folle ! C’est de ta faute tes fesses sont trop attirantes, je veux ton petit cul tu vas voir comme c’est bon ; veux tu me faire ce cadeau ? »

Georges sidéré vit venir vers lui cette beauté androgyne, elle était belle, les yeux fiévreux, malgré ses attributs masculins elle restait femme, merveilleusement. Georges n’aurait cédé dans d’autres conditions ; se faire sodomiser par une femme était acceptable, d’ailleurs il n’était pas vierge de ce côté-là, comme beaucoup lors de masturbations solitaires il avait branlé son cul avec divers objets adéquates et avait pu jouir plus complètement. Simplement regardant Julie il lui dit :

« Oui ! Viens ma beauté, assouvit ton fantasme et fais moi jouir ! »

Sonia voulu aussi profiter et Georges toujours à croupetons fut tiré vers le bord de la couche les jambes écartées dans la rivière du lit. Qui des deux femmes lui passa la main entre les cuisses pour empaumer ses couilles d’abord puis son sexe ? Qui lui écarta les fesses après les avoir caressées longuement ? Qui lui enduisit l’anus d’un gel lubrifiant ? Quels doigts enfin amadouèrent son cul en le massant, en tournant autours avant de s’enliser en douceur ? Par contre ce ne pouvait être que Julie qui se centra sur lui entre ses fesses. Elle le tenait par les hanches et Georges pouvait entendre le souffle court de celle qui allait le défoncer. Mais avant il entendit ses ordres :

« Sonia allonge toi sous lui…, non en sens inverse…… relève un peu la tête…… attends je mets le coussin, tu comprends, oui suce sa queue comme cela, lèche lui les couilles aussi, ouiii ! et toi Georges penche toi bien, bouffe lui la chatte, relève lui les cuisses, coince les sous tes bras, bravo, empaumes ses fesses, écarte les, aller je veux voir ta langue, lèche lui le cul aussi, ah c’est beau, c’est bon, jamais je n’aurai cru cela possible, je m’approche Georges, je vais t’enculer Georges, attend je graisse ton cul, tu sens mon gland sur ton œillet bistre, ouvre toi, ouvre les portes de l’enfer Georges ! Je me centre, je te presse, je m’insère, je t’ouvre, ah ! Je m’enfonce. Si tu voyais Georges mon gland te forcer, il entre facilement, tu n’as pas mal ? Non apparemment, tu t’ouvre je le sens, mon gland a disparu, le plus gros est en toi, tu sens je bouge en m’enfonçant, je me branle, je t’encule Georges, je suis à fond, bouge toi aussi, serre mon zob que je me branle moi aussi ouiiii ! Sonia suce bien les couilles de Georges, oui ! Passe une main entre mes cuisses, prends moi les fesses, caresse moi la raie, ahhhhhh ouiiiii, mets un doigt dans mon cul maintenant, ah c’est bon, j’en peux plus je vais jouir, venez avec moi ahhhhahhh ouiiiiii----- »

Les trois amants enlacés se vautraient l’un dans l’autre, donnant et recevant du plaisir, ils jouirent ensemble puissamment en grognant, jamais Georges n’avait ressenti ce bonheur total, il n’avait pas eu le temps de s’inquiéter de l’effraction de son cul tant Julie avait su l’amadouer, le préparer à recevoir le gros sexe factice. Jamais il n’avait ressenti cette sensation, ce plaisir provoqué indépendamment de sa volonté, chaque emmanchement le surprenait par son rythme, sa profondeur, agrippé à la taille par cette Julie appliquée il était ballotté au gré du désir de cette amante magnifique attiré vers son ventre armé et puis son sexe dans cette bouche vorace prolongeait l’effraction de son cul tandis que sa bouche foyait les lèvres écartelées de la grosse chatte de Sonia.

Par moment Julie sortait le membre et avant que l’anus ne se referme elle replongeait en lui après avoir par de petits titillements fait aller et venir le gros gland décalotté à l’entrée de son œillet, cela le fit haleter de plaisir d’autant que dans le même temps Sonia tout en continuant de l’absorber commença à lui caresser les couilles. Tout ce qui, pratiqué par un partenaire mâle, aurait été comme un supplice prenait avec ses amantes attentionnées une autre allure, Julie sodomite et Sonia pipeuse firent monter son plaisir vers un phénoménal orgasme ; Sonia sentit dans sa bouche frémir la grosse verge et quand le sperme monta des profondeurs elle ne fit rien pour ne pas le recevoir dans sa gorge, son goût âcre et iodé s’étala sur sa langue et un filet de liquide nacré orna la commissure de ses lèvres.

En plein orgasme Georges serra la queue qui le perforait par l’arrière ce qui permit à Julie de se branler à toute force sur le godemichet encastré en lui, elle s’empalait sur lui à grands coups de ses hanches et en ondulant de la croupe, elle criait son plaisir qui inondait son corps de la pointe de ses seins au plus profond de sa chatte, jouir en prenant son amant quel plaisir ignoré jusqu’alors.


D’un coup sous l’impulsion de Georges les trois corps se désaccouplèrent, il les mit côte à côte en position de levrette en travers du lit et c’est lui maintenant qui les servit, Sonia dans sa chatte et comme celle de Julie était occupée il prit son cul. Passant de l’une à l’autre il ne voulut en léser aucune. Il les fit jouir à plusieurs reprises tant l’excitation des deux femmes était grande. Georges avait le sexe sec mais dur et dressé et il les contentât jusqu’au moment où épuisées à leur tour elles s’écroulèrent et s’endormirent. Georges les rejoignit dans les bras de Morphée et de ses amantes les mains sur leurs fesses.
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Histoire de Pierre le Grand

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