Nadia la Chitana

Elle était là, campée sur ses jambes galbées, perchée sur ses hauts talons. Nadia était magnifique, bandante et affreusement provocante dans sa lingerie sexy à en faire bander un impuissant. Les cuisses légèrement écartées, elle attendait son baiseur attitré comme elle aimait bien à l’appeler. Pour tromper son attente et satisfaire son impatience, elle se caressait les seins qu’elle avait proéminents et se frottait le minou, d’un geste léger et expert.

Une rangée impressionnante de sextoys était alignée au pied du lit et les godes attendaient le moment où ils feraient leur office. La pièce était intime, mais sans ostentation. Le décor appelait discrètement au sexe.
Elle lui avait dit, à son Dany de boy friend, de venir le rejoindre dans cette chambre d’hôtel qu’elle connaissait bien pour y avoir sévit un bon nombre de fois. C’était toujours la même, comme par fétichisme, de peur que ça ne fonctionne pas aussi bien ailleurs.

À présent, elle s’était accroupie sur le lit, offrant sa croupe au vide. Elle léchait un godemiché comme si elle tenait le beau sexe de son mec en bouche. Les joues gonflées, elle pompait désespérément et rien ne venait envahir sa bouche et sa gorge. Elle se l’enfonçait toujours un peu plus dans la gorge, dans l’espoir que ça lui ferait plus d’effets. Mais en vain ! Elle fantasmait comme une folle sur ce qui allait se passer et sa petite chatte suintait de plus en plus. À tel point qu’elle était obligée de s’éponger avec ses doigts et comme il ne fallait que rien ne se perde, elle léchait goulûment ses doigts emplis de cyprine.

Elle regarda la pendule et c’est à ce moment que Dany frappa imperceptiblement à la porte. Elle lui dit d’entrer en chuchotant, la porte était enclenchée à moitié. Pendant qu’elle pivotait lentement, elle reprit sa posture de départ, en ayant soin de se faire le regard le plus désirable possible.
Dany savait ce qui l’attendait. Ça n’était pas le premier rendez-vous du genre avec elle et ça n’était sans doute pas le dernier. Il avait donc bien eu le temps de fantasmer sur ce qui allait se passer et il était déjà passablement excité.

Elle lui intima de suite l’ordre de ne pas dépasser la chaise qu’elle avait disposée à quelques dizaines de centimètres de l’endroit où elle exposait à sa vue ses charmes déjà largement offerts. Il sentit alors ses jambes qui tremblaient et son sexe se réveiller.
Il se déshabilla pendant qu’elle faisait sortir ses seins des bonnets du soutien gorge rouge bordé de noir. Elle pinça délicatement ses tétons, ce qui eut pour effet de les raidir aussitôt et de pointer en direction de son amant qui ne demandait que ça. À présent qu’il était nu comme un ver, elle lui fit signe d’approcher et se tourna de façon à ce qu’il ait son joli cul au ras de ses yeux.

Il ne la touchait pas et se contentait de fixer son petit trou qui vibrait par le désir. Elle se masturbait lentement et commençait à soupirer, tout en contrôlant savamment ses émotions. Ses doigts pénétraient toujours un peu plus son sexe bien gonflé et rasé de près. Il ne perdait rien de ces agissements et sa queue se raidissait de plus en plus.

Elle savait qu’à ce moment précis, il commençait à perdre le contrôle. Le souffle qu’elle sentait arriver sur sa fente lui indiquait qu’il commençait à être pas mal à point. C’est alors qu’elle souleva un peu plus ses fesses, ce qui eut pour effet d’ouvrir toute grande sa chatte dégoulinante de son jus. Cette odeur le rendait fou. Il se branlait lentement et soupirait comme pour demander l’autorisation d’y toucher. Elle le comprit et prise de pitié, elle lui colla ses grosses lèvres sur la bouche. Un flot de cyprine inonda la bouche de son partenaire et sa langue se mis en route, avec tout le savoir qu’il avait accumulé, au fil de ses aventures.

Mais il savait combien elle aimait s’arrêter au bord du plaisir pour mieux en jouir ensuite. Il interrompit ce cunnilingus savant et aussitôt elle s’empara du premier gode venu et se le fourra sauvagement dans son vagin trempé. Il ne se découragea pas et, tout en l’aidant à le faire coulisser, il lui lécha la rondelle en lui enfournant deux doigts, histoire de l’échauffer un peu plus.

La belle salope n’arrêtait pas de trémousser son cul et un flot continu de son jus intime venait inonder son vagin qui prenait des allures démesurées. Elle se fendait encore plus pour accentuer la pénétration et comme Dany avait trouvé le point G, elle se laissa aller à une première jouissance qui fut ponctuée de petits cris aigus.
Forte de ce premier résultat, elle ôta le godemichet de sa belle fente plus que lubrifiée et se tourna vers lui, jambes écartes, allongée sur le lit. Il plongea ses doigts dans cette chatte qui ne demandait que ça et lui frotta intensément le clitoris. Il savait qu’elle ne résistait jamais à ça et elle recommença à partir. C’est alors qu’il arrêta net et présenta sa queue à l’entrée de sa caverne à plaisir. Elle était tendue de toutes ses forces et se rapprocha de sa verge désormais bien raide, le méat du gland parcouru par une traînée liquide qui en disait long sur le degré d’excitation de Dany.

Il effleura les grandes lèvres et petit à petit son gland humide trouva sa place à l’entrée du vagin qui l’aspirait inexorablement. Il avait chaud et commençait à la traiter de belle petite salope ce qui décupla l’activité de Nadia qui aimait bien jouer ce rôle. Elle se fit mettre bien profond et lui demanda de s’immobiliser, afin qu’elle puisse profiter du contact de sa verge sur le fond de son vagin. Il fit des petits cercles avec son pubis et finalement s’immobilisa. Elle haletait et lui demandait de masser ses seins qui allaient exploser. Dany ne se fit pas prier et empoigna ses obus et se mit au travail.

Au bout d’un moment, la sentant de plus en plus tendue, il pinça ses deux tétons très fort et elle cria en le suppliant de continuer. Le plaisir commençait à les envahir tous les deux et il accéléra le mouvement de va et vient. Encore une fois, arrivé au bord du plaisir, il s’arrêta et sortit sa verge du sexe dégoulinant de sa compagne. Elle en pleurait de rage et se retourna, à quatre pattes, le cul largement offert. C’est alors qu’il l’encula sans précaution aucune et qu’il lui colla un gode vibrant dans la chatte qui ne cessait de s’ouvrir. Elle bougeait son cul de façon à accompagner l’enculade qui se faisait de plus en plus brutale. Il lui claquait le cul et elle actionnait fébrilement l’énorme gode, espérant atteindre la jouissance.

C’était sans compter sur la résistance de son mec qui la déconna d’un coup d’un seul, enleva le godemichet de sa chatte brûlante et s’enfourna comme un fou dans sa compagne. Il n’arrêtèrent plus leur partie de baise et décidèrent d’un commun accord de jouir dans cette position, en levrette. Il aimait qu’elle s’offre ainsi à lui et en général jouissait très bien comme cela.
Le pubis heurtait les grandes lèvres de la belle de plus en plus vite et de plus en plus fort. Un bruit flasque ponctuait le mouvement qui ne cessait de s’accélérer. Il sentait le jus couler le long de sa pine et soudain, dans un coup de rein monstrueux, il la transperça tout en inondant sa chatte généreuse de son sperme abondant. Elle criait son plaisir et ne le lâchait plus. Il transpirait et suffoquait entre deux spasmes de plaisir très intense. Il jouit ainsi plusieurs fois, avant de s’effondrer sur elle, tout en restant planté dans cette chatte chaude et hospitalière.
Ils restèrent ainsi quelques minutes et une fois le souffle retrouvé, il se séparèrent. Aussitôt, elle l’allongea sur le lit, en lui retenant ses deux poignets et, sans crier gare, empoigna le manche le porta à sa bouche et lentement entreprit de le refaire bander.

Sa langue entourait avec expertise le gland turgescent et petit à petit elle fit monter la sève tout en assurant une solide bandaison. Il avait les yeux fermés, s’était complètement détendu et s’abandonnait à ces caresses buccales. Le résultat ne se fit pas attendre, un long jet s’engouffra jusque dans le fond de sa gorge et elle le pompa jusqu’à la dernière goutte. C’était comme ça qu’elle le remerciait toujours de lui avoir donné autant de plaisir.
Ils s’endormirent et ne firent surface qu’au petit matin.