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Nouvelle expérience

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Lue : 10292 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/01/2016

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Je m’appelle Estelle, j’ai 42ans, mariée depuis 12 ans et maman de trois enfants. Mon mari Jacques et moi possédons une agence immobilière en ville. Il y a quelques mois, Jacques a eu un accident en bricolant à la maison. Tombé d’une échelle en taillant un arbre, il s’est retrouvé avec le bassin fracturé. Bilan 3 mois d’incapacité de travail et au moins 2 mois alité à la maison. Entre mon travail et les enfants, je dus faire appel à une aide à domicile. Jacques avait besoin d’être aidé, il était plâtré du nombril jusqu’au genou et il lui était impossible de bouger.

De mon côté, l’agence ne pouvait pas tourner sans moi et ce ne sont pas nos deux jeunes employés qui pouvaient me remplacer. Ainsi, l’aide à domicile arrivait chaque jour à 7h30 et ne repartait le soir qu’après mon retour. Elle gérait la toilette, les repas de mon mari et s’occupait des enfants le soir.

L’activité économique n’étant pas au beau fixe, je me devais de mettre les bouchées doubles au quotidien. Au bout de quelques semaines, je commençais à me sentir frustrée sur le plan sexuel. Le sexe est pour moi souvent une échappatoire au stress et le fait que mon mari ne puisse plus et que mon emploi du temps soit surchargé, bref tout cela devenait pesant. Mais je suis une femme fidèle et jamais l’idée de tromper mon mari ne m’avait traversé l’esprit…

Ne jamais dire jamais…

Un matin, alors que j’étais à l’agence, un homme poussa la porte et me salua. Je mis un court instant à le reconnaître. Il s’agissait de Vincent, un ami de Jacques. La soixantaine triomphante, il s’était séparé de sa femme l’an passé et profitait pleinement de la vie depuis. Ses affaires étaient florissantes et il cherchait à investir dans l’immobilier. Il ne se voyait pas le faire par l’intermédiaire de quelqu’un d’autre.

Nous ne l’avions pas vu depuis quelques temps et je lui appris pour Jacques et il en fut désolé. Le soir même il passa à la maison pour le saluer et voir l’étendue des dégâts. Il resta dîner avec les enfants et moi et nous discutâmes rapidement de ses envies immobilières. Il avait vendu une partie de ses affaires et voulait investir dans un appartement sur Paris mais surtout il recherchait un pied à terre à l’étranger, au soleil. Je luis demandais de me laisser une 15aine de jours pour faire le tour de mes contacts et lui trouver quelque chose.
10 jours plus tard, je repris contact avec lui. J’avais trouvé 3 biens intéressants sur Paris et 4 autres biens exceptionnels dans des destinations de rêve. Vincent passa à l’agence. Il s’installa dans mon bureau et je lui présentais les biens sur une tablette. Il les regarda avec intérêt et mon posa quelques questions sur l’un d’eux. Je m’approchais de lui et tandis que je me penchais pour regarder l’écran avec lui, je surpris son regard plongeant dans mon décolleté. Je ne changeais pas de position et continuais mon argumentaire mais j’étais troublée et bafouillais un peu mes mots. Vincent se rendit compte de mon trouble. Il m’aida à reprendre le contrôle et me demanda s’il était possible d’aller les visiter rapidement. Je lui proposais le lendemain. Rendez-vous fut pris et il passa me prendre.

Après la visite des deux premiers, il n’avait pas eu vraiment de coup de cœur et c’est sur le troisième au pied du Sacré Cœur qu’il décida de faire une offre. Il me proposa qu’on aille manger un morceau dans le quartier avant de repartir. J’en profitais pour joindre mon collègue agent immobilier chargé de la vente du bien. Il me rappela au cours du repas pour m’indiquer que les propriétaires étaient ok sur l’offre et proposa de passer l’après-midi à l’agence pour signer. C’était une affaire rondement menée et Vincent était ravi de mon efficacité. Plusieurs fois au cours des visites et maintenant pendant le repas, j’avais remarqué les regards de Vincent sur mes courbes. Je ne savais pas si je me faisais des idées et continuais comme si de rien était mais j’avoue que j’avais mis un soin particulier dans le choix de ma tenue ce matin. J’avais mis des vêtements chics mais également sexys. Escarpins noirs, bas et jupe arrivant au dessus du genou et en haut veste cintrée sous laquelle je portais un col roulé noir très près du corps. En ce mois de janvier, les températures fraiches ne m’avaient pas laissé beaucoup de choix sur ma tenue mais ce pull mettait bien en valeur ma jolie poitrine et le contraste entre le noir et mes cheveux blonds me donnaient une classe folle.
En tout cas, mes charmes ne laissaient pas Vincent indifférent ni même le serveur qui m’avait regardé pendant tout le repas !!

Après un passage à l’agence et la signature du compromis de vente, je remontais dans la voiture au côté de Vincent et le laissait me raccompagner. En m’asseyant ma jupe était remontée un peu et tandis que je m’enfonçais au fond du confortable siège en cuir de la BMW de Vincent, le tissu découvrait légèrement la couture haute de mes bas. J’essayais de tirer un peu sur le bas de ma jupe mais rien n’y fit. Vincent s’en était rendu compte et régulièrement il jetait un œil sur mes jambes. J’étais un peu gênée mais également très troublée. Un silence pesant s’était installé dans la voiture. Vincent rompit le silence en me demandant comment allait Jacques. Je lui expliquais les complications et les difficultés au quotidien. Cela faisait près de deux mois qu’il n’avait pas bougé de son lit et les médecins n’étaient pas très optimistes, lui prescrivant encore un mois de plâtre, sa hanche ayant du mal à cicatriser.

Vincent ajouta que ça ne devait pas être évident pour nous et que personnellement le plus dur pour lui serait l’abstinence forcée. Il me demanda alors si de mon côté cette abstinence n’était pas trop difficile à gérer… je lui confirmais que ce n’était pas évident mais qu’il fallait faire avec… Il posa alors sa main sur ma cuisse. Une douce chaleur m’envahit immédiatement.

- Si tu as besoin de quoi que ce soit, les amis sont aussi là pour ça ! ajouta-t-il.

Je lui retirais sa main et le remerciais. Vincent enchaîna sur un autre sujet mettant fin au malaise. Il avait regardé les annonces des autres biens que je lui avais sélectionnés. Il trouvait celui de la Malaisie très correct et pensait aller le visiter. Je lui proposais de me donner ses dates afin que je prenne rendez-vous avec l’agence sur place. Il me demanda si je pourrais l’accompagner afin de lui donner mon avis. Il paierait bien sûr tous les frais. Je ne savais pas trop, avec les enfants et Jacques, je ne me voyais pas trop m’absenter. Vincent insista et me dit que c’était l’affaire de 3 jours.

J’en discutais le soir même à la maison. L’aide à domicile ne voyait pas d’objections à venir s’installer à la maison durant mon absence et Jacques m’encouragea à y aller, que c’était une super expérience et qu’avec Vincent, je ne risquais rien…

J’acceptais donc la proposition de Vincent et dès le lendemain, il me confirma la réservation des billets d’avion. Il n’avait pas pu trouver un retour sous trois jours et nous devrions donc y passer un jour de plus que prévu.

Le lundi suivant, il passa me récupérer à la maison et on embarque trois heures plus tard pour Kuala Lumpur. Après un vol tranquille suivi de 2 heures de route, on arriva enfin au pied de la villa sélectionnée. Elle se trouvait dans un cadre superbe, à proximité d’un golf. Elle avait tout le confort moderne, une vaste piscine, une salle de cinéma et un grand parc. L’agent sur place devait s’absenter pour aller signer une autre vente et nous laissa tranquillement découvrir la maison. 200m² dans un cadre luxuriant pour à peine 300 000 euros avec le personnel et l’accès au golf voisin, c’était une super affaire. Vincent me demanda mon avis et je ne pus qu’être enthousiaste. On visita le rez-de-chaussée, très bien agencé et très spacieux puis on monta à l’étage. Vincent était derrière moi et je sentais son regard posé sur mes jambes et mes fesses. A l’étage, il y avait 4 chambres spacieuses et deux grandes salles de bain. Vincent me suivait mais j’avais le sentiment qu’il s’attardait davantage sur moi que sur les chambres. Il faut dire qu’avec ma jupe serrée et mon chemisier blanc, j’étais très classe et sexy. On regagna le salon pour débriefer et attendre l’agent immobilier. Je m’asseyais dans le grand fauteuil en bambou. Vincent s’installa en face de moi et tandis que je croisais les jambes, je vis son regard plongé sur celles-ci. Cela me troubla et je savais que de l’endroit où il se trouvait, il devait voir le haut de mes bas et peut être plus. J’étais excitée par la situation mais n’osais faire plus.

La même gêne s’installa de nouveau entre nous, je sentais qu’il me désirait mais que son amitié pour Jacques l’empêchait de bouger. De mon côté, je commençais à vraiment avoir envie de lui mais mes valeurs et l’amour de mon mari me bloquaient.

L’agent revenu, le côté professionnel reprit ses droits et une heure après nous retournions à l’hôtel. Vincent avait réservé deux chambres voisines donnant sur la piscine de l’hôtel. Nous avions désormais deux jours à tuer dans cet endroit paradisiaque. J’avais eu la bonne idée de prendre mon maillot de bain et je proposais à Vincent de me retrouver au bord de la piscine.

J’y descendis seule car il avait ses mails à traiter. Je m’installais sur un transat avec un bon cocktail et pris gentiment le soleil. J’aperçu alors Vincent au deuxième étage de l’hôtel, au balcon entrain de m’observer. Je luis fis un signe de la main et il me rejoint quelques instants plus tard. Il posa son peignoir et plongea dans l’eau. Après quelques brasses, il se posa à mes côtés. J’étais plongé dans un bouquin. Il s’assit à côté de moi et je sentis immédiatement son regard se poser sur ma poitrine.

- Je ne t’avais jamais vu en maillot… t’es vraiment magnifique !! me lança-t-il.
- Merci dis-je en rougissant légèrement
- Jacques doit avoir du mal à son contenir sous son plâtre quand il te voit nue !!??

A ces mots, je ne pus m’empêcher de rire. On enchaina en buvant quelques cocktails et en parlant de tout et de rien. J’étais tout de même très troublée et désormais Vincent ne se gênait plus pour me mâter carrément. J’étais flattée par son regard et le mien s’aventura parfois sur son corps et sur son entrejambe. J’y découvris une bosse relativement volumineuse sous le short de bain. Je me dis que je lui faisais de l’effet… Vincent n’est pas à proprement parlé un bel homme, quelques kilos en trop mais il a du charme et sa compagnie est très agréable.

L’heure du dîner approchait et il me proposa de nous y préparer. Je remontais dans ma chambre et quelques instants plus tard, on frappa à ma porte. Un garçon d’étage m’apportait une grande housse de la part de Vincent. Je l’ouvris et y découvris une très belle robe noire. Vincent y avait glissé un mot sur lequel il me remerciait pour ma présence.

Je me préparais et après une bonne douche, j’enfilais la jolie robe. Elle était parfaitement à ma taille mais je me rendis rapidement compte que le dos nu et le décolleté n’étaient pas compatibles avec les soutiens-gorges que j’avais emmenés. Après une courte réflexion, j’optais pour l’option sans soutien-gorge…

A l’heure convenue, j’enfilais mais escarpins et descendit au restaurant où devait déjà m’attendre Vincent. Dans le hall de l’hôtel, les têtes se tournèrent sur mon passage. La robe me moulait parfaitement et le décolleté plongeant laissait voir une bonne partie de mes seins. Vincent me vit arriver avec un regard plein d’envie. Il m’aida à m’assoir et me félicita pour ma beauté. Je le remerciai à mon tour pour son cadeau.

- Tu serais à moi, tu en aurais tous les jours des cadeaux comme ça !

Je ne répondis pas à ce commentaire.

Le dîner fut délicieux, arrosé tout au long de champagne. A la fin de celui-ci, Vincent me proposa d’aller boire un dernier verre au bar mais la tête me tournait et j’avais déjà assez bu. Il me prit par la taille et m’aida à rejoindre l’ascenseur. Dans celui-ci, la tête me tournait et je pris appuis sur son épaule. Sa main glissait sur ma hanche, flattant ma croupe. Une douce chaleur m’envahissait. Arrivée devant la porte de ma chambre, il m’aida à l’ouvrir. Je m’écroulais sur mon lit, les bras en croix. Je sentis ses mains me retirer une chaussure puis l’autre. Elles remontèrent ensuite le long de mes jambes, je les écartais machinalement. Je sentais la robe remontée en même temps et découvrir le haut de mes cuisses. Un souffle chaud se posa alors sur le tissu de mon string. Je relevais légèrement la tête et vis la chevelure grise de Vincent plongée sur mon sexe. Il retira le dernier rempart cachant mon intimité et sa langue se glissa entre mes lèvres. En quelques mouvements, il me donna mon premier orgasme.
Il me retira ensuite ma robe et se jeta sur mes seins. Ils les avaient tellement observés que je pouvais le laisser faire quelques instants. Il remonta encore et m’embrassa à pleine bouche, je répondis à son baiser et nos langues s’enroulèrent. Maladroitement, je cherchais la boucle de sa ceinture. Je sentais son sexe gonflé dans son pantalon. Je l’extirpais tant bien que mal et fus surprise de la taille de son engin. Son sexe ne semblait pas beaucoup plus long que celui de mon mari (déjà bien équipé !) mais beaucoup plus large, mes mains ne pouvaient en faire le tour… !!!

Il se redressa et se débarrassa de ses vêtements. Je vis alors ce sexe énorme s’approcher de moi.

- J’espère qu’elle ne t’effraie pas trop, me dit-il en souriant.

Je penchais la tête et me retrouvais rapidement à quelques centimètres du gland énorme. Vincent m’encouragea et plaqua sa main derrière ma tête. J’ouvrais ma bouche et pris le gland du bout des lèvres. Son diamètre incroyable rendait la chose difficile et il fallut que limite je me décroche les mâchoires pour engloutir son sexe. Je m’appliquais sur ce morceau de choix sous les murmures d’approbations de son propriétaire.

Il me releva alors et collée contre son corps, nous nous embrassâmes de nouveau à pleine bouche. Il me passait sa main dans les cheveux, me tirant la tête en arrière. Ses baisers couraient sur mon cou, glissaient sur mes seins lourds. Ils les tenaient à pleine main, les malaxant, les triturant, faisant durcir leurs pointes.
Il m’entraîna vers la terrasse. Il faisait nuit dehors et les jeux de lumière étaient magnifiques tout autour de la piscine en contrebas. Vincent était derrière moi et continuait de m’embrasser dans le cou. Je sentais son sexe dur contre mes fesses. Je me cambrais davantage pour mieux le sentir. Je croisais les bras et pris appuis sur la rambarde. Vincent me prit par les hanches, ses mains glissèrent ensuite sur mes fesses qu’il écarta sans ménagement. Je sentis alors son sexe gonflé à l’entrée de ma grotte humide. Le gland força doucement l’entrée de ma vulve et le pieu de chaire s’enfonça lentement, m’écartant comme jamais. Une fois au fond, c’est moi qui me mis à bouger les fesses. Vincent m’agrippa par les hanches et commença des vas-et-viens puissants et profonds, m’arrachant des râles de plaisirs.

Je me mordais les lèvres pour ne pas faire trop de bruit et éviter d’ameuter tout l’hôtel mais j’avais beaucoup de mal à me contrôler tellement le plaisir me submergeait. Vincent était incroyablement endurant et ses mouvements me procurèrent un nouvel orgasme d’une incroyable intensité. Je sentis mes jambes flagellées sous la puissance de celui-ci. Vincent se retira et m’emmena sur le lit.
En missionnaire classique, il me pénétra de nouveau avec tendresse, faisant varier son rythme et me fixant droit dans les yeux. Il me faisait incroyablement bien l’amour et je sentais un nouvel orgasme monté du creux de mes reins. Je l’encourageais à continuer, à conserver ce rythme, le prévenant d’un nouvel orgasme. Je le sentais en même temps grossir encore dans mon ventre. Je jouis de nouveau et dans le même instant je sentis ses jets de foutre m’inonder. Sa queue n’en finissait pas de cracher et je sentais le liquide chaud s’échapper de mon orifice, coulant le long de mes cuisses. Vincent s’écroula à côté de moi. Je me blottis contre lui et m’endormais rapidement.

Je dormis presque 12 heures. Vincent me réveilla vers midi avec un petit déjeuner que venait de nous livrer le garçon d’étage. Il était déjà habillé et s’installa à côté de moi tandis que je dévorais les toasts. J’étais entièrement nue et Vincent en profita pour déposer un baiser sur mon épaule. Sa main s’aventura sur mon ventre et se frayant un chemin entre ce dernier et le plateau, il glissa deux doigts sur ma fente qui s’humidifia immédiatement. Je repoussais le petit-déjeuner et écartais davantage les cuisses. Vincent me caressa avec des doigts experts. Il joua avec mon clitoris puis me pénétra avec deux puis trois doigts. Je laissais ma tête tombée en arrière et me concentrais sur le feu qui démarrait dans mon ventre. Je jouis soudainement sous ses doigts à ma plus grande surprise et à son grand contentement !
Il m’embrassa de nouveau tandis que j’essayais de retrouver mes esprits.

Nous avions rendez-vous pour la signature à 14 h et je devais me préparer. J’allais rapidement sous la douche. J’évacuais le sperme de mon amant qui coulait de mon sexe. Vincent était venu dans l’entrebâillement de la porte et me regardait. Il me tendit une serviette et m’aida à me sécher. Je me sentais bien dans ses bras et sous ses mains.

J’allais m’habiller et tendis que j’enfilais une culotte, il me fit signe non du doigt.
- N’en mets pas, je préfère avoir accès à ta chatte quand je le veux me dit-il devant mon air surpris.

Ce brusque ton autoritaire et l’utilisation de mots crus me surprirent mais je m’exécutais, intimidée et excitée. Vincent me retira également le soutien-gorge que j’avais préparé. J’enfilais donc mes vêtements, me retrouvant nue dessous.

Après le rendez-vous avec l’agent, celui-ci nous indiqua à la demande de Vincent un endroit sympa à visiter. Il s’agissait d’un temple à quelques kilomètres de là et très proche d’une magnifique plage de sable blanc.

Après une 30aine de minutes de taxi au cours desquelles Vincent me caressa discrètement sous ma jupe, nous arrivâmes à l’endroit effectivement magnifique. La visite rapidement expédiée, nous partîmes nous promener sur la plage. Quelques touristes étaient également là en balade. Vincent me tenait contre lui. On croisa un couple d’allemands que j’avais vu la veille à l’hôtel au restaurant. Ils nous saluèrent et on les retrouva un peu plus tard à un bar de plage.

Vincent les invita à notre table. Ralph et Monica étaient en vacances ici depuis 10 jours et repartaient en fin de semaine. Ralph parlait très bien le français contrairement à sa femme. Nous prîmes le même taxi pour rentrer à l’hôtel et malgré leur présence, Vincent avait glissé sa main sous ma jupe. Il m’excita énormément mais j’essayais de tenir ma discussion avec Ralph qui était à l’avant du véhicule. Monica observait le paysage et ne semblait pas voir le manège de mon voisin.
De retour à l’hôtel, Vincent leur proposa de nous retrouver pour dîner. Je remontais dans ma chambre pour me changer. Vincent me rejoint quelques instants plus tard avec une nouvelle tenue pour la soirée. Il me prit des mains le string que je m’apprêtais à enfiler.

- Quand tu es en ma présence, les sous-vêtements te sont interdits me dit il toujours aussi autoritairement.

Je me rendis compte que son côté dominant m’excitait au plus haut point. Ses « ordres » me faisaient frémir et éveillaient des choses nouvelles en moi.

Il me tendit un bustier noir lacé sur le devant et une jolie jupe blanche très moulante et fendue sur l’arrière. Il m’aida à mettre le bustier et à le noué. Mes seins étaient comprimés à l’intérieur et semblaient prêt à jaillir au moindre mouvement.

Quelques minutes plus tard, on descendit au restaurant. Encore une fois, je ne passai pas inaperçu. Ralph se leva en me voyant et nous prîmes place autour de la table. Monica et Ralph étaient très sympathiques et malgré la barrière de la langue, je réussis à « discuter » avec la jolie allemande.

Vincent et Ralph discutaient de leur côté mais je voyais régulièrement le regard de l’allemand plonger dans mon décolleté. A la fin du repas, Vincent proposa un dernier verre au bar. Monica était vraiment fatiguée et préférait reporter ça à demain. Ralph semblait déçu alors elle lui proposa de rester et de la rejoindre plus tard. Je me retrouvais alors entouré des deux hommes au bar de l’hôtel. Deux nouveaux cocktails me mirent la tête à l’envers. Vincent me proposa d’aller nous coucher. Dans l’ascenseur, il m’embrassa sous les yeux de Ralph qui montait à l’étage suivant. Il me pelota sans gêne devant notre ami.

- Tu veux en profiter un peu Ralph ? lança soudain Vincent

L’allemand ne se le fit pas dire deux fois et se colla à moi. Coincée entre les deux hommes, je sentis ses mains m’agripper les seins et les malaxer.

La porte de l’ascenseur s’ouvrit et je suivais Vincent jusqu’à ma chambre. Il me poussa à l’intérieur suivi immédiatement de Ralph. En quelques instants, les mains de l’allemand me déshabillèrent sous le regard satisfait de Vincent.

Il s’approcha de moi.

- Je veux te voir te faire sauter par notre ami, tu vas le sucer pour commencer et ensuite tu te mettras à quatre pattes !

Je m’exécutais et me mis à genoux devant l’homme. Il ouvrit son pantalon et extirpa une queue de belle taille. Je la pris tout de suite en bouche et m’appliquais sur ma fellation. Ralph murmurait des mots en allemand. Après quelques minutes de ce traitement, je le lâchais et m’installais sur bord du lit, croupe en l’air, tête plongée dans les draps. Je saisis mes fesses et les écartais largement sous le regard excité des deux hommes. Ralph ne resta pas longtemps inactif et je sentis bientôt son sexe pénétrer le mien. Il se déchaîna en moi, il voulait prendre son pied le plus vite possible. Je sentais mon orgasme monté mais il sortit avant que je l’atteigne… à ma grande déception. Je sentis alors son liquide chaud se répandre sur mes fesses et mon dos. Je restais en position, un peu frustrée. Ralph me remercia et quitta rapidement la pièce.

Vincent s’approcha alors de moi et ma tapota gentiment les fesses. Sans autres préliminaires, il me pénétra d’un coup sec, m’arrachant un cri de plaisir et douleur mélangés. Il voulait me baiser comme la salope que j’étais devenu grâce à lui. Ses mouvements étaient puissants, intenses. Il me glissa son index dans mon petit trou en même temps qu’il me besognait. C’était nouveau pour moi et j’avais toujours refusé ce type de caresse à mon mari mais là j’y trouvais un certain plaisir.

Je sentis alors quelque chose de froid glisser le long de mon sillon puis un second doigt me pénétra très facilement. Le lubrifiant faisait son effet. Je compris que Vincent voulait s’offrir mon cul.

- Je vois que Jacques ne t’a jamais pris par là… je vais t’enculer ma belle et tu vas en redemander !!

Je fis non de la tête mais déjà je sentais son gland presser mon œillet. Il forçait mais mon corps refusait l’intromission, son sexe était trop large. Il s’énerva un peu.

- Ton heure viendra, il faudra que je sois patient…

Il s’allongea à côté de moi et m’ordonna de venir le pomper. Je me jetais sur sa queue et le suçais avec plaisir, puis il me fit signe de venir sur lui, dos à lui. Je pris appuis sur ses jambes et sentis son sexe m’écarter une nouvelle fois. Je sentais ses mains puissantes m’écarter les fesses. J’eus un orgasme violent qui me traversa tout le corps. Vincent me saisit par les cheveux et je me retrouvais allonger sur lui, jambes écartées. Il releva un peu ses jambes et commença à donner de grands coups de reins au plus profond de mon corps. Je sautais comme une cavalière sur sa monture.

- Rahh, je vais exploser… prends moi dans ta bouche salope !!

Je me retirais rapidement et me jetais sur sa queue gonflée au maximum. A peine mes lèvres ont touché son gland que la bête s’est mise à cracher, m’aspergeant le visage. J’ouvrais la bouche et l’avalais. D’autres jets s’écrasèrent sur mon palais. J’avalais tout, chose également nouvelle pour moi.

Vincent n’en avait pas fini avec moi… il m’ordonna de me remettre à quatre pattes. Je sentis de nouveau le lubrifiant couler sur mon petit trou. Il remit un doigt, puis deux puis trois et commença à me dilater l’anus. Je sentis alors un contact froid sur ce dernier. Je tournais la tête et vis Vincent qui tenait la bouteille de champagne vide. Il était entrain de la glisser dans mes fesses. Sitôt le goulot passé, la bouteille commença à glisser dans mes entrailles. Je sentais mon petit trou s’ouvrir comme une fleur. Il commença alors des vas et viens lents. Le contact n’était pas très agréable mais la sensation ne me déplaisait pas.

Il la retira enfin et je sentis alors son gland presser de nouveau. Il ne bandait pas complètement et son gland passa le premier rempart. Je sentis son sexe se remettre à gonfler et lentement s’enfoncer en moi. Il rentra complètement et une fois tout au fond de moi s’immobilisa. La sensation était incroyable. Il commença alors de lents vas et viens.

- Je te l’avais dis que tu l’aurais dans ton gros cul de salope… depuis le temps que j’en rêvais !
- Quel cul, ah quel cul…

Et sur ce il se mit à me pénétrer avec force pendant de longues minutes. Il se retira complètement puis replongea au fond de moi. Il finit par me demander de me retourner, me releva bien haut les jambes et m’encula de nouveau. Je le regardais me dominer et prendre son plaisir. J’avais les fesses en feu. Il se retira enfin et se branla au dessus de moi. Sa semence épaisse s’écrasa sur mon ventre et mes seins.

La fin de ce court séjour fut à la hauteur du reste. Vincent me baisa par tous les trous et dans toutes les situations. Dans l’avion de retour, il m’obligea même à le sucer alors que nous aurions pu être surpris.

De retour à la maison, j’ai tenté de reprendre une vie normale mais je suis resté e la maîtresse de Vincent et lui mon maître. Je lui obéis et je me fais régulièrement baiser par lui ou par ses amis dans des soirées arrangées.
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Histoire de LN78

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Commentaires du récit : Nouvelle expérience

Le 17/10/2023 - 13:16 par Bigben0308
Mmmmh bonne petite soumise

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