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Premiers émois, première fois 1

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Lue : 11095 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 28/05/2013

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Attendre de partir m’avait semblé une éternité… En effet, ma dernière colonie de vacances s’annonçait sous les meilleurs auspices. Je m’appelle Fabien et dans le Comité d’entreprise de mon père à l’époque, on avait accès de 10 à 18 ans à de superbes endroits… Bretagne, Côté d’azur et pour finir la dernière année, la Corse. Avec les amis que je m’étais fait au fur et à mesure des années, nous nous étions donné un dernier rendez-vous avant d’être atteint par la limite d’âge. Quand je pense que cela fait plus de dix ans… C’est là que j’ai connu pour la première fois une expérience sexuelle inoubliable.

Le voyage se passa agréablement, même si un peu long. Depuis le Nord de la France cela faisait du chemin ! A Marseille, une fois sur le ferry en direction de l’Ile de Beauté, nous commencions à sentir l’arrivée. Et nous ne fûmes pas déçus. Une fois Bastia dépassé, les paysages magiques de l’île Corsica, entre mer et montagne, se présentaient à nous. Un régal pour les yeux. Une fois arrivés au camping où se trouvait notre colonie, l’installation fut rapide dans nos tentes installées un peu à l’écart, où il y avait des emplacements communs pour plusieurs colonies. Moi, Nicolas mon ami de colo le plus proche, ainsi que d’autres colons, nous partîmes nous baigner directement. La plage à 200m, ça n’attend pas ! Nous étions très heureux d’être là mais le temps du voyage, nous avions eu le temps de nous confier notre déception au vu des filles présentes. En effet, nous retrouvions Elise, Magalie, Erica, des filles déjà présentes lors des colos précédentes, très sympathiques mais absolument pas attirantes pour nous. Les étés passés ensemble nous avaient donné plus une relation de camaraderie qu’autre chose.

Mais bon, nous n’allions pas désespérer et les premiers jours furent consacrés à fumer des clopes (hé oui, on est idiot à 17 ans et on ne résiste pas aux prix pratiqués en Corse) et à mater les filles sur la plage. Chaque après-midi nous voyions passer de superbes jeunes filles mais nous étions tous très timides et aucun de notre groupe d’amis n’avait le truc pour draguer. Une seule fois je voulu engager la conversation avec une fille qui semblait me sourire pendant que j’étais à l’eau. Avant de me rendre compte qu’elle se moquait de moi car j’avais oublié mes clopes dans la poche de mon short de bain ; les cigarettes flottaient autour de moi et je ne m’en étais pas rendu compte. Après avoir passé une après-midi à faire sécher les dites clopes, finalement, nous décidâmes donc de partir en expédition dans la montagne. En étant presque majeurs, nous avions une certaine liberté. Nous passâmes ainsi un super moment avec la monitrice qui nous avait accompagnés, Caroline. Une superbe brune d’un peu moins de 30 ans, qui avait trinqué avec nous après de superbes randonnées dans la montagne corse. Le dernier soir de l’expédition, après quelques bières, nous restâmes seuls au coin du feu. Elle était belle avec son short un poil trop court et son débardeur qui laissait voir un décolleté affriolant. A chaque fois qu’elle se baissait pour prendre une canette, je pouvais deviner son soutien-gorge en dentelle blanche et malgré moi, j’ai bandé toute la soirée. Amusée, peut être flatté de me voir la dévorer des yeux, elle installa une proximité complice avec moi, mais j’avais bien trop peur pour tenter quoi que ce soit.

Pour tout dire j’étais encore puceau à 17 ans, ma timidité m’empêchait de vraiment prendre les choses en main avec une fille et du coup, mes copines avaient été rares et ça n’avait jamais été très loin. Cet été là, je venais en fait de me faire plaquer par Vanessa, une de mes camarades de classe après 1 an passé ensemble. Elle me demandait du temps, je l’avais attendu, et finalement elle était partie avec un autre. La lose, quoi. Ce soir-là pourtant eut lieu un déclic. Je me confiai à Caroline qui m’expliqua qu’une femme attendait d’un homme au contraire de l’assurance et de l’initiative. Et elle finit par aller se coucher en me disant que plus jeune, un mec comme moi lui aurait énormément plu. Cette nuit-là je ne dormis pas beaucoup, pensant à Caroline, mais les tentes étant communes je ne pu me satisfaire… J’étais loin de me douter qu’une autre fille m’attendait et qu’à peine plus de 24h plus tard je ne serais plus vierge !

De retour au camping le lendemain matin, nous eûmes une surprise. De l’autre côté de la barrière qui délimitait notre zone, la colonie en face était occupée. C’étaient des jeunes filles et garçons de 17 à 18 ans, venus de Nice, mais contrairement à nous, la proportion de filles était bien plus élevée et nous restâmes bouche bée : toutes plus mignonnes les unes que les autres. Sur la plage cette après-midi là, les présentations allèrent bon train et pour une fois je ne restai pas en retrait. Au contraire je présentais mes amis, je blaguais et l’air de rien, j’eus très vite l’impression de dégager un certain charisme, une sensation inconnue jusque-là. Et je trouvai l’objet de ma convoitise : Charlotte. Elle venait d’avoir dix-huit ans deux jours auparavant, elle était brune, environ 1m60, ce qui était très bien, ne mesurant qu’1m70. Elle avait un corps magnifique, avec une peau mate et bronzée. Ses jambes étaient fines et galbées, ses seins se dressaient fièrement dans un petit bikini blanc du plus bel effet. Et surtout son visage était à croquer : de grands yeux noirs encadrés par un petit carré de cheveux frisés et légers. Elle avait le regard pétillant et un petit sourire en coin qui me conquit tout de suite. Ni une ni deux j’entrepris de lui parler en tête et à tête et tout se passa très vite comme dans un rêve. Nous rentrâmes au camping et nous installâmes dans un coin tranquille, derrière les sanitaires, pour fumer une clope et discuter. Elle riait à mes traits d’esprits et nous discutions à bâtons rompus.

A un moment, me voyant cramer de ma peau blanche, elle me proposa de me mettre de la crème. Sur le ventre, je profitai de l’instant, plus qu’un passage de crème c’était un massage, ses doigts longs et fins décrivaient des cercles parfaits sur mes épaules un peu chétives à l’époque et sentir ses mains descendre le long de mon dos me fit bander immédiatement. J’étais stressé lorsqu’elle me demanda de me retourner et puis je me dis : « allez tant pis, ose ». Et donc elle me passa de la crème sur le ventre et la poitrine alors que mon short de bain dessinait une bosse… Qu’elle remarqua avec un petit sourire coquin, sans rien dire de plus. Nous étions vraiment à l’écart et elle seule pouvait voir dans quel état elle me mettait. Je sentais une sensation chaude dans le bas ventre et une petite voix affolée dans ma tête me disait « Mais qu’est-ce qui se passe ? Cette fille magnifique serait-elle attirée par moi ». J’aurais pu me pincer discrètement pour vérifier que ce n’était pas un rêve, je l’aurais fait dix fois ! Au bout de quelques minutes, avec son accent chantant, elle me dit :
« A toi maintenant de travailler, à moi de profiter ! »

J’enduis délicatement mes mains de crème et me mit au travail sur Charlotte, installée sur le ventre, sur ma serviette que j’avais ramenée de la plage. Très vite, sous prétexte de ne pas faire de trace de bronzage, elle dénoua son haut de maillot. Je pouvais deviner le galbe de ses seins bien ronds, j’imagine maintenant un bon 90 B, mais à l’époque j’aurais bien été capable de le dire. Très concentré, j’essayai de la détendre au maximum en appuyant aux points les plus sensibles : cou, épaules, mais je ne pus m’empêcher de vite descendre vers ses fesses, sur lesquelles je m’étais mis à califourchon, cette fois avec un sexe au garde à vous. Heureusement, le slip intérieur de mon maillot de bain était serré et je ne faisais pas non plus un chapiteau avec ! Je me surprenais à oser tant de choses, mais à mon grand étonnement, Charlotte commença à remuer son cul pour se coller au plus près de mon membre. Je regardai rapidement autour de nous : personne à la ronde, une haie d’arbustes nous cachait de la voie secondaire de circulation du camping, qui se situait à quelques mètres.

Toujours en silence, je pris les choses en main c’est le cas de le dire. Je passai mes mains sous la couture de son shorty de bain et commençai à masser ses fesses rondes et musclés. Elle n’était pas en reste, elle avait accentuée ses mouvements de bassin. Incroyable, je connaissais cette fille depuis moins de 4 heures et nous étions allés aussi loin qu’avec presque toutes mes précédentes copines. Enhardi par sa réaction et sentant une excitation que je n’avais jamais ressenti avant monter en moi, je me surpris à nouveau. Je baissai un peu violemment le shorty et commençai à faire des allers retours avec mon sexe dans le haut de sa raie. Evidemment, encore puceau, la vue de cette jolie fille, les yeux fermés, avec mon sexe au milieu de ses fesses, allant et venant… Je fus immédiatement au bord de l’explosion, surtout que maintenant la situation dérapait totalement, à ma plus grande joie. Charlotte avait glissé la main vers sa chatte et se doigtait sans ménagement en soupirant. J’écarquillai les yeux et ne le croyait pas moi-même. Le shorty était un peu descendu, je ne voyais pas son sexe. Mais pendant que cette fille canon se caressait, moi je me branlais sans ménagement entre son cul, mon gland frôlant imperceptiblement son anus à chaque mouvement, descendant de ma part, montant pour elle. A ce moment, Charlotte lut en moi comme dans un livre ouvert. Ou plutôt mon visage et mon regard halluciné devait me trahir. Elle se releva un peu, me faisant arrêter mon manège et le sien puis me demanda sur un ton doux, pas du tout vexant :
« Tu es vierge non ?
-Heu… ben, oui… Désolé. » Un peu penaud, je dis la vérité, et je crois que mon honnêteté la toucha. « J’ai eu une copine longtemps, pendant 2 ans mais elle voulait du temps… Et finalement on s’est séparés. Je suis un peu trop sentimental je crois… Mais toi là, tu me donnes confiance et même si on se connait que depuis quelques heures, je sens qu’il se passe un truc.
-Ne sois pas désolé je vais t’apprendre. Vu qu’on n’a pas de préservatif, je vais déjà te détendre un peu. Relève-toi… »

Elle m’adressa un petit clin d’œil et je suivis son ordre. Elle se releva également, m’embrassa sauvagement et prit mes mains pour les mettre sur ses seins que je malaxai. Ils étaient fermes et durs, elle avait de petites aréoles très foncée. Parfaits. Puis elle s’agenouilla devant moi et là ce fut tout simplement le bonheur. Elle baissa mon short aux genoux et entreprit, toujours seins nus, de me sucer. Vanessa, mon ex, m’avait une fois (après avoir trop bu) proposé une fellation et j’avais trouvé ça moyen. Cela se limita surtout à des baisers timides et à un ou deux allers retours dans sa bouche, au contact de ses dents. Elle avait refusé d’en faire plus et je dus finir de me soulager seul aux toilettes. Alors autant dire que la pipe de Charlotte fut une révélation : elle commença par passer sa langue du bas en haut de ma bite, avec le regard rivé dans le mien. Et le pire (ou le mieux) c’est que ça ne ressemblait pas du tout aux pornos bas de gamme, elle faisait tout ça avec une certaine classe et en même temps une attitude très chaude. Ce mélange de grâce et de vulgarité était des plus excitants. Après avoir pris mes couilles délicatement dans sa main et les avoir léchées, elle enfourna ma queue d’un seul coup dans sa bouche sans crier gare. Je ne pus réprimer un râle guttural de plaisir. N’étant pas exceptionnellement membré elle enfonçait à chaque va et vient ma bite profondément, tout en la léchant à tout va de coups de langue énergiques, accélérant le rythme sans cesse avec sa main droite, qui la tenait fermement. Au bout d’une petite minute de ce traitement, je n’en pouvais plus et je sentis mon sperme monter et prêt à sortir. Elle choisit ce moment pour s’interrompre pour reprendre son souffle.
« Ça va, ça te plait ? Me dit-elle avec un large sourire.
Pfff, là je suis ailleurs, tu me rends fou… J’étais à deux doigts d’éjaculer dans ta bouche.
Ah et bien reprenons là où on a arrêté, lâche-toi Fabien, j’adore faire plaisir… »

Et à nouveau après un petit clin d’œil, elle reprit de plus belle. Cette fois en allant encore plus loin, ma bite était quasiment dans sa gorge. Au bout d’une trentaine de secondes, n’y pouvant plus, j’explosai en agrippant sa tête : en la prévenant que j’y étais elle redoubla d’efforts et mon sperme inonda d’abord sa bouche. Mais les giclées étaient telles que je dus sortir ma queue. Alors que coulait déjà sur son menton un filet de ma semence qu’elle avait rejeté, je plaquai ma bite sur sa joue pour expulser le restant en me branlant de ma main droite, la gauche la tenant fermement par les cheveux. Ma belle ferma les yeux et la bouche, et de nombreuses rasades partir dans tous les sens, sur sa joue, le front, les cheveux… Impressionnée je pense par cette quantité de foutre, Charlotte répéta plusieurs fois « oh putain, vas-y, oui lâche toi ». En tous cas c’est comme cela que je m’en souviens car pour tout dire, j’étais dans un état second, seul comptait le plaisir de décharger ce sperme accumulé. Je pensai furtivement à mon ex, à Caroline la monitrice et son décolleté et pour finir mon regard se posa sur les seins de Charlotte, où avait coulé une quantité non négligeable de sperme. Cette vision me donna un dernier spasme et je contemplai Charlotte qui avait le visage recouvert du liquide blanchâtre. Je m’étais effectivement lâché, mais j’appréhendai quelques secondes sa réaction, j’y étais allé fort en perdant un peu la notion de réalité et je l’avais souillée au milieu du camping, quelqu’un pouvait débarquer dans notre petit coin à n’importe quel moment.

Mais à ma grande surprise cette éjaculation faciale un peu autoritaire l’avait mise elle aussi dans un état second et elle s’appliqua immédiatement à me sucer à nouveau. Le contact de ses lèves sur ma queue encore chaude et dégoulinante fut exquis mais je l’empoignai vite, avec ses affaires pour l’amener aux sanitaires. Sans parler nous rentrâmes dans une cabine et entreprîmes de nous doucher. L’eau était glacée, ce qui nous fit un bien fou après cette aventure sous une chaleur torride. Mais cette pipe l’avait rendue sauvage. J’avais aussi une furieuse envie de la pénétrer, d’ailleurs mon membre avait repris à mon grand étonnement toute sa vigueur, mais nous n’avions aucun moyen de protection et m’être soulagé m’avait ramené à la réalité. Pourtant Charlotte me supplia presque :
« S’il te plaît fais-moi l’amour… Je veux te sentir.
-Non Charlotte, j’en crève d’envie mais on ne va pas faire n’importe quoi, tu prends la pilule au moins ?
-On s’en fout je te veux. Là, maintenant»

Elle joignait le geste à la parole en baissant son shorty qu’elle avait remonté pendant notre séance précédente, me faisant découvrir pour la première fois sa chatte, écartant le triangle parfait des poils. J’avais autre chose en tête : lui rendre le plaisir qu’elle m’avait donné. Je m’agenouillai sans dire un mot et fit un cunnilingus pour la première fois, chose que Vanessa m’avait toujours interdit de tenter. Au contraire, voir Charlotte rouler les yeux dès mes premiers coups de langue me donna un sentiment de bien-être incroyable. Avec le recul, ma découverte buccale du sexe féminin fut très maladroite sans doute, mais Charlotte me confia plus tard ne pas avoir été vraiment servi de ce côté-là par ses petits copains, qui l’avaient initié aux plaisirs à donner, pas forcément à recevoir. Dans tous les cas ma Charlotte, excitée comme elle était, ne tarda pas à jouir. Je sentis sa petite chatte se contracter lorsque je m’approchai du clito par le plus pur du hasard et elle poussa un cri sonore.

Heureusement le camping était quasi vide à cette heure. Une fois douchés, je pris l’initiative de l’embrasser longuement. Soudain confiant en moi, avec des idées plein la tête et la ferme intention de perdre ma virginité, je lui dis :
« Ce soir, minuit, la plage ».

Et je partis rejoindre mes amis.

La suite bientôt !
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Histoire de fabiz

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Commentaires du récit : Premiers émois, première fois 1

Le 26/07/2013 - 12:30 par alainalain
belle montée de l'érotisme cru, beau sens du réalisme et de la description.

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