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Profite de la nuit présente

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Lue : 2213 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/10/2016

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J’étais heureuse de l’avoir rencontré. La soirée à laquelle j’assistais tirait en longueur et je m’y ennuyais ferme. Il faut dire qu’il y a longtemps que ce genre de soirée me laissait de marbre, mais bon, je préférais encore y passer quelques heures que de rester seule à la maison. Un samedi soir seule à toujours quelque chose de morose et je n’en avais vraiment pas envie aujourd’hui. L’endroit où je me trouvais n’était pourtant pas désagréable et il y avait des nombreuses têtes connues. Il faut dire que dans un village, tout le monde connait un peu tout le monde. Ce ne manque pas de charme, d’ailleurs. Ou pas. Les rumeurs partent aussi vite que des boulets de canon et les cancans sont plutôt nombreux.

En tant que femme célibataire, il y en avait plusieurs qui me concernaient, mais tout cela ne me touchait pas. J’aime ce village, j’y ai grandi et c’est ainsi. Je connais les règles.

Je bavardais avec quelques connaissances quand je l’ai vu. Ça faisait une éternité que je n’avais plus eu de ses nouvelles. Nous avions connu les mêmes bancs d’écoles en primaire et sans être voisins, nous n’habitions pas si loin l’un de l’autre. Nous n’avions guère de soucis et si nous nous fréquentions, c’était en tout bonne compagnie. Malgré l’adolescence, rien ne s’est jamais passé entre nous. C’était un constat. En le regardant ce jour-là, c’était presque devenu un regret.

Le voir arriver me fit sourire et je suis allée à sa rencontre. Etant assez grande, il m’aperçut rapidement et me rendit le sourire. Après une embrassade franche, on se retrouve au bar où rapidement, d’autres amis de notre génération nous rejoignent. La soirée prit son envol et ce fut, finalement, un bon moment.
Les règlements communaux étant malheureusement assez stricts, à 2 heures du matin, les portes de la salle se fermèrent. Chacun regagna son domicile. Sauf nous deux. La nuit était douce et se prêtait à la balade. J’étais un peu grisée par la bière qui avait coulé abondamment. Pour sa part, cela ne semblait pas l’avoir entamé car il restait imperturbable, quoique son regard semblait briller un peu.

Nous avons discuté une bonne heure. Enfin je crois. Je n’ai pas regardé ma montre. C’était agréable, demain était congé et de toute façon, personne ne m’attendait à la maison. Arrivé la journée chez ses parents, lui non plus ne semblait pas pressé. Et au fur et à mesure de la discussion, je compris entre les lignes que le divorce dont il tentait de se remettre laissait toujours des traces évidentes, comme c’est souvent le cas lorsque des enfants sont au cœur des enjeux. De mon côté, je me livrais un peu sur ma vie, qui, pour l’instant, n’avait rien d’exceptionnel puisqu’elle oscillait entre un célibat teinté d’une éphémère rencontre par- ci par-là qui me permettait de vérifier si je gardais tout de même une certaine attractivité, et un boulot prenant, qui, il faut le dire, me passionnait et me permettait de gagner fort confortablement ma vie.

Arrivés à ma voiture, je me proposais de le reconduire. Ce n’était pas un grand détour pour moi et ça me permettrait de prolonger un peu le moment, sa présence étant tout-de même fort attachante. Il a accepté de bonne grâce et cela me réjouit. Pourtant, devant chez lui, alors qu’il s’apprêtait à déposer une bise fort sage sur ma joue en ayant déjà une main sur l’ouverture de la portière, j’ai remis la première et redémarré.
Mon départ fut un peu brusque, je dois l’avouer et m’en suis immédiatement excusé. Dans ma tête, ce que je faisais à ce moment était proche d’un enlèvement. Mais il ne semblait pas plus surpris que ça. En tout cas, il ne le montrait pas. Ceci dit, j’ai été directe et je lui ai proposé un dernier verre à la maison, 5 kilomètres plus loin.
Dans ma tête, c’était une tornade. J'imaginais mille et un scénarii, allant du plantage total et d’une honte qui me poursuivrait toute la vie à la nuit la plus torride. Je ne devais rien à personne et mes derniers scrupules s’envolèrent en même temps que sa main se posa sur ma cuisse.
Ce contact m’électrisa. J’ai jeté un coup d’œil dans sa direction et il souriait toujours. Ses doigts me caressaient doucement le dessus de la cuisse et cette sensation me plaisait plutôt. Je tentais de rester concentrée sur la route mais j’ai levé un peu le pied, histoire de faire durer. Et plus ma vitesse horaire décroissait et plus sa main se faisait exploratrice, montant le long de ma jambe. J’adorais ça. C’était terriblement excitant et je ne fis rien pour boquer cette transhumance.
En entrant dans le village où j’habitais, je ne roulais pas à plus de quarante kilomètre heure. C’était une vitesse maximale au vu de la situation. Sa main était maintenant sur la couture de mon pantalon, entre mes deux jambes, et la chaleur qui montait de mon bas-ventre ne laissait que peu de doute sur l’importance de l’envie qui m’emportait. Il était temps qu’on arrive à destination.
Dans l’allée de la maison, j’ai coupé le contact et la voiture fut plongée dans l’obscurité. Personne ne bougeait. Seuls ses doigts s’activaient en petits massages circulaires qui faisaient monter la pression rapidement. Pour la première fois, j’émis un soupir de contentement et j’écartai un peu les jambes pour lui donner plus d’espace de jeu.
Il a décroché sa ceinture de sécurité et s’est penché vers moi. Il a déposé ses lèvres sur les miennes et nos langues se sont mélangées. D’une main assez experte que je soupçonnais d’ailleurs d’avoir fait le manège plus d’une fois, il fit tourner la molette de mon siège et le dossier est descendu doucement. Toujours en m’embrassant, ses doigts s’affairèrent autour de ma ceinture et le bouton de mon pantalon n’offrit qu’une résistance toute relative. La fermeture éclair se dit que la première ligne de défense ayant cédé, elle ne voyait pas pourquoi elle risquerait un mauvais sort et elle s’ouvrit sans difficulté. Ainsi affalée, ses doigts entreprenants n’ont eu aucune peine à se frayer un chemin sous le tissu de ma culotte. Toutefois, le terrain de manœuvre n’était pas aisé et je sentais que sa main se mouvait avec difficulté. J’ai alors soulevé mon bassin. Mon amant du soir comprenait vite et mon charmant ensemble pantalon-culotte se retrouva rapidement à hauteur de mes genoux.
Il était 3 heures du matin bien passées. J’étais couchée sur mon siège conducteur, le sexe à l’air, largement offert aux caresses plus qu’invasives de mon voisin. La buée envahissait les carreaux et les pâles lueurs des réverbères donnaient à l’atmosphère un côté secret tout-à-fait délicieux.

Son index s’enfonça en moi et je me cabrai d’aise. J’ai crié, je crois. Mes soupirs prenaient de l’ampleur au même rythme que la moiteur de mon sexe. Ses doigts s’agitaient et de petits clapotis se faisaient entendre. Agilement, il alternait les caresses autour de mon clitoris et les pénétrations digitales. Je m’embrasais et je sentais la vague monter inexorablement. Elle arrivait de fort loin, régulière, en un long bourdonnement qui emplissait ma tête. Il s'appliquait. Ses doigts glissaient le long de ma fente. Mes lèvres étaient gorgées de sang et d'une sensibilité exacerbée. Il sollicitait mon vagin avec dextérité. Il s'enfonçait en moi et c'était délicieux. Puis en ressortait pour titiller mon clitoris. Il l'effleurait, il tournait autour, il le pressait. Dieu que s'était bon. Je ne sais pas combien de temps a duré ce manège. Mais, je ne retenais plus mes cris puis, enfin, deux doigts appliquant une dernière pression sur mon clitoris déclenchèrent le raz de marée. J’étais submergée et j’ai laissé échapper un long râle de plaisir qui s’est prolongé le temps d’une jouissance qui semblait ne pas finir. Mes jambes se refermaient sur sa main comme pour soutenir l'instant et mon bassin allait chercher ses doigts pour les enfoncer encore le plus loin possible. Mon sexe se contractait en spasmes chaotiques. La tension de l'orgasme aidant, j'avais décollé mes fesses du siège. J'étais une corde tendue autour d'un plaisir intense, plaisir qu'il entretenait savamment en faisant glisser ses doigts dans ma fente détrempée.
Il fallut bien redescendre. Lorsque je repris un peu mes esprits, il me regardait fixement, avec un sourire rayonnant. En reprenant mon souffle, je pris sa tête entre les mains et l’embrassait fougueusement.
Il semblait aimer l’odeur entêtante qui se dégageait d ses doigts. De mon côté, j’étais tout à mon atterrissage. Un peu gênée, je remis en place mes vêtements tout en constatant que le siège de la voiture présentait une auréole explicite. La voilà baptisée. Par un réflexe bizarre, je mis ma main sur ma chatte. Ce geste inutile me confirma simplement, si besoin en était, que mon excitation avait été grande. Mon liquide intime couvrait tout mon entre-jambe jusqu'au Mont-de-Venus. Ma culotte était trempée et le contact froid du tissu avec ma peau encore brulante a été un peu désagréable.
Les vitres étaient parsemées de gouttelettes d’humidité. En ouvrant la porte, un air frais s’engouffra dans l’habitacle venant renouveler l’atmosphère moite dans laquelle semblait encore résonner mes gémissements. Nous sommes sortis sans un mot et nous sommes dirigés vers la porte. La lampe extérieure s’allumait automatiquement. Un coup d’œil à ma montre : 04h15.

Entrés à la maison, je ne savais pas trop quoi penser. Ma libido courrait la campagne en criant à tue-tête : encore, encore. Mais je devais rester zen. Il fallait que je contrôle la situation. Je lui offris donc un verre vu qu’initialement, c’est pour cela qu’on était là.
Il ne faisait aucun commentaire sur l’épisode de la voiture. Sa conversation était douce et courtoise. Il prenait des nouvelles m’écoutant avec attention. Nous avons visité ma demeure dont, je dois le dire, je suis assez fière et que j’ai aménagé selon mes goûts. Elle me plait bien. Lui de toute évidence, n’était pas pressé et malgré l’heure avancée, il n’était pas prêt à partir.
Comme je me dirigeais vers le buffet pour lui servir un second verre, je sentis son souffle dans mon cou. Il était arrivé à pas de loup, sans autre avertissement. Ses mains se sont refermées sur ma taille et ses lèvres ont commencé à m’embrasser à la base des épaules. J’ai interrompu mon activité et de délicieux frissons me parcourraient le dos pendant que ses mains se frayaient un passage sous mon chemisier pour aller finalement se refermer sur mes seins. Il a alors commencé un long et voluptueux massage qui, conjugué aux bisous dans le cou, commençait déjà à me faire fondre.
En expert, sans que ses lèvres ne quittent ma peau, il a entamé le déboutonnage de mon chemisier. Ses mains étaient agiles, et le vêtement s’est rapidement ouvert, laissant apparaître mon soutien-gorge. Il n’avait rien de particulièrement affriolant mais il mettait bien en valeur ma poitrine. Celle-ci avait toujours fait son petit effet sur tous les hommes qui ont croisé ma route. Ils avaient un galbe et une tenue dont j’étais assez fière sans pour autant que je fasse quoi que ce soit de particulier pour les obtenir et les maintenir.
Mon chemisier parti rejoindre le dossier d’une chaise et il ne fallut pas 2 minutes pour que mon soutien-gorge en fasse de même. La dextérité avec laquelle il a fait sauter l’attache laisse entrevoir une certaine routine, et la pointe de jalousie que cette réflexion avait engendrée s’évapora immédiatement, alors que ses mains reprenaient le massage délicieux qu’elles avaient momentanément interrompu. Mes mamelons s’étaient durcis et pointaient allégrement entre ses doigts. L’excitation montait, le mouvement des mains se faisant plus insistant, et marquant même un début d’empressement. Ce n’était pas pour me déplaire. Je me laissais aller aux douces sensations que me procuraient ses caresses. Mon envie montait et je percevais clairement sur mes fesses que la sienne n'était pas en reste.
Mes seins ont toujours été une zone érogène d’importance et la séance actuelle ne faisait que le confirmer : je soupirais d’aise pendant qu’il me mordillait le lobe de l’oreille. Je fis rouler mon bassin contre le sien. Il bandait ferme et cela ne fit qu'ajouter à mon désir. Mon sexe mouillait à nouveau abondamment mais ma culotte n'était plus à ce détail près.
Assez brusquement, j’ai mis fin à l’exercice. Je me suis retournée et l’ai embrassé à pleine bouche. Mes mains lui caressaient le dos puis se sont accrochées à ses fesses. Elles étaient fermes. J’écrasais mes seins contre son torse, ma langue fouillant sa bouche avec ardeur. Il m’attira encore plus contre lui et là, je n’ai pas voulu l’ignorer pus longtemps. Si mon excitation à moi n’avait pour corollaire qu’une humidification vestimentaire, la sienne avait plus de relief. Avec mon bassin, je pu ainsi mesurer son envie et elle était visiblement assez grande.
Avec la main droite, je pris la liberté audacieuse de caresser son entre-jambe. J’imaginais tout ce matériel trop à l’étroit dans le jean et je me mis moi aussi à faire montre de l’agilité de mes mains. J’ai rivé mes yeux dans les siens, bien concentrée sur les mouvements qui me permirent avec un certain brio, je l’affirme, à dégager la ceinture, à ouvrir le bouton du pantalon et à descendre la fermeture éclair. Il sourit, je fis de même.
D’un geste franc ne souffrant aucune discussion, j’ai fait descendre les vêtements qui glissèrent naturellement sur ses chevilles. Ma main droite se referma sur son sexe. Ma main gauche prit quant à elle soin de ses testicules, en les massant doucement. J’ai commencé à le masturber, délicatement, lentement. Mes yeux tentaient de lire ses pensées. Il ferma les siens et entrouvrit la bouche. Il était à moi.
Avec mon pouce, je sentis son gland s’humidifier et je fus prise d’une irrépressible envie de prendre ce sexe tendu dans ma bouche. Je n’avais jamais fait de cette pratique une marque de fabrique, mais bon, il m’était arrivé de réaliser la chose, pour la plus grande satisfaction de mes amants du moment, d’ailleurs.
Sans lâcher le vigoureux membre, je me mis à genoux. Du bout de la langue, je dessinai le contour du gland qui virait à la couleur pourpre. Une goutte de liquide perlait du méat et je la léchai. Après avoir un peu joué à cet étage, je fis glisser mes lèvres autour de ce sexe turgescent et je coulissai doucement. J’étais en mode descente, allant le chercher de plus en plus loin, sentant le sexe cogner le fonds de ma gorge. Ses mains se sont cachées dans les cheveux. Les miennes s’agrippaient à ses fesses durcies. Il commençait à exprimer son contentement et je continuai. Avec le bout de la langue, je léchai toute la hampe, depuis la base jusqu’au gland. De temps en temps, je lui jetai un regard mais il gardait les yeux fermé. J’ai alterné quelques temps les phases « tout en bouche » avec les phases « exploration minutieuse avec le bout de la langue ». Et cela semblait lui convenir. Je le sentais se raidir au niveau des jambes. Il approchait du climax et me le faisait savoir.
Ce n’est pas que je n’aimais pas ça. Des hommes avaient déjà joui dans ma bouche. Ce n’était pas particulièrement gouteux, on est bien d'accord, mais bon, cela faisait partie des jeux érotiques et je le faisais sans déplaisir, d'autant que j'avais déjà pratiqué la chose dans des endroits quelque peu incongrus où il aurait été malvenu de laisser le bénéficiaire de mes soins buccaux se répandre soit sur mes vêtements, soit sur mon visage, ou encore sur le sol. En général, donc, j'avalai consciencieusement. Mais là, j’en ai décidé autrement.
Sentant l’échéance proche, j’ai retiré ce sexe de ma bouche. Je me suis redressée contre lui et l’ai glissé entre mes seins. Avec mes mains, j’ai compressé ces derniers afin qu’ils enserrent le bâton brulant, puis j’ai commencé un long et lent mouvement de va et vient, du haut vers le bas, accompagné de légers mouvements circulaires et mammaires. Je regardais ainsi son gland disparaitre entre mes seins puis resurgir au rythme de mes allées et venues. Je me demandais quelles pouvaient être ses sensations. Je n’avais jamais fait cela ainsi et j'ignorais donc s'il appréciait la manœuvre. La réponse fut rapide.
Il eut un râle, ses mains se crispèrent dans mes cheveux et il se libéra. A grands jets saccadés, le sperme se répandit sur moi, sur mes seins, sur mon cou jusqu’à mon menton. Il jouissait à perdre haleine et je ne pus m’empêcher d’être étonnée par la quantité de liquide qu’il expulsait. La semence blanchâtre couvrait mon torse, en haut de mes seins et coulait en longues trainées chaudes. Un ruisseau séminal se glissa entre mes seins, coulant jusqu'au gland rougeau qui semblait vouloir rester bien au chaud là où il se trouvait. Mon amant se détendait et souriait de plaisir. Quelques gouttes de sperme suintaient encore du sexe qui se ramollissait. Je les attrapai avec le bout de la langue, pour me rappeler du goût que ca pouvait avoir.
Il fit un pas en arrière, me laissant à genoux. De mon côté, de manière fort enfantine, je me mis à tracer des chemins avec mes doigts sur mes seins. Puis, j’ai étalé le tout avec mes mains, faisant reluire ma peau. J’avais déjà vu cela dans certains films cochons et je le fis par curiosité. C’était ludique et cela m'amusa.

Puis je me suis relevée. Je l’ai embrassé, en évitant d’étaler sur son t-shirt le liquide dont mes seins étaient maculés. J’ai été prendre une douche qui s’imposait. Il me fallait rafraîchir tant le haut que le bas. Il était 04h50. Quand je suis revenue, en peignoir, nue en-dessous car bon, il fallait bien arrêter de jouer, j’ai retrouvé mon amant dans la chambre. En caleçon, allongé sur le lit, il feuilletait un magazine. Il y en a toujours qui trainent au pied du lit. Le fait qu’il soit en caleçon me réjouit. Il passerait donc ce qui restait de la nuit avec moi. Fête.
A peine entrée dans la chambre, il saute sur ses pieds. Il s’approche de moi, souriant et plutôt guilleret. Faut dire qu’il avait de quoi, mon cochon. Au son de la musique qu’il avait lancé, il m’invita à faire un pas de danse. Ce qui nous fit bien rire. Je le regardais intensément. Il m'a fait jouir, je l'ai fait jouir. C'était parfait jusqu'à présent mais j'en voulais plus. Il ne me laissa pas le temps de penser pus loin. Il prit l’initiative, sans prévenir, alors que nous étions encore en train de tourner dans la chambre.
Il défit le nœud de mon peignoir qui s’ouvrit immédiatement. D’un geste mesurée, il le fit glisser par terre et je me trouvai nue devant lui. Content de la vue, il m’embrassa tout en me conduisant au pied du lit où, d’une poussette toute amicale, il me fit tomber. J’étais étalée, les cheveux encore humide en bataille et je le regardais avec envie. Je me doutais bien qu’il n’allait pas en rester là mais j’attendais la suite assez passivement, assez émoustillée par la situation. J’avais une furieuse envie de sexe, le mien affichant par ailleurs, encore et déjà, un degré d’humidité proche de la saturation..
Il me prit cependant un peu de court. Alors qu’il s’agenouillait devant le lit, il écarta franchement mes jambes jointes. Puis ses mains saisirent ma taille et il me fit glisser vers lui. Et sans hésiter, il mit sa tête entre mes cuisses. Sa langue entama alors une sarabande. Voltigeant entre mes lèvres gonflées de désir, mon clitoris dressé et mon vagin trempé, il eut tôt fait de me mettre en transe. J’avais, il faut le dire, la chatte en feu.
Je saisis sa tête que je pressai aussi fort que possible. Je sentais cette langue virevoltante et infatigable. Elle titillait mon clitoris avec virtuosité et je ne retenais plus mes cris et mes soupirs. J'ai écarté les jambes autant que j'ai pu. J'aimais l'idée que l'accès à mon antre soit total, direct, évident. J'ai passé mes mains derrière mes genoux pour tirer mes jambes vers moi. J'ai ainsi relevé mon bassin. Ses mains se sont jointes à la fête. Ses doigts glissaient entre mes lèvres inondées avant de s'enfoncer en moi, encore et encore. Chaque instant qui passait m rapprochait du déferlement final. Je criais mon bonheur. J’allais jouir, c’était inéluctable. La vague revenait à toute allure. Pendant que sa langue tournait autour de mon bouton d’amour, il plaçât un doigt sur ma rosette jusque là inutilisée et les introduisit. La pénétration anale fut douce et profonde. Ce fut le déclic. Je me laissais aller et j’explosai en gémissant. Mon orgasme fut violent, complet. J’ai inondé son visage de ma cyprine toute chaude. Un geyser incontrôlable, délicieux. Divin.

Mes pensées se bousculaient. L’éjaculation féminine reste un grand mystère. J’avais, lors de certaines séances masturbatoires intenses, déjà été surprise par l’importance des fluides que mon corps pouvait produire. Mais c’était la première fois que j’éjaculai avec une telle intensité. C’était une sensation grandiose. Je restai nue sur le lit, haletante, pantelante, pendant qu’à son tour, il allait se débarbouiller dans la salle de bain. Je me mis sur le ventre pour attraper le réveil sur la table basse. 05h25 et j’étais encore sur un nuage et, toujours couchée sur le vente, je me sentis partir dans les bras de Morphée. Pour la seconde fois, il me prit par surprise. Dans tous les sens du terme.
Je sentis d'abord le lit remuer à son arrivée. Puis je vis ses mains à plat à côté des mes hanches, puis je sentis son sexe se présenter devant le mien, puis il me pénétra par derrière. Sans brusquerie, sans violence. Simplement. Il était là, couché sur moi, derrière moi et en moi. Il ne bougeait pas et je sentais sa respiration dans mes cheveux. Il était en moi et c’était voluptueux.
D’un coup de rein, je me mis sur les genoux, me retrouvant à 4 pattes devant lui. Il adapta sa position facilement. La pénétration était pleine et profonde. Je sentais les parois de mon vagin se refermer autour de son sexe et c’était si bon. Il entama ses va et vient lentement, puissamment, mais très délicatement.
Certaines femmes jugent cette position humiliante, abaissante, voire machiste. Moi pas. C’est celle qui m’apporte le plus de sensations, celle ou la pénétration va le plus loin. Je me sens remplie et c’est du bonheur. J’adore et je ne manquais pas de l’encourager, plus fort, plus loin. En appui sur mes avant-bras, je regardais sous moi. Mes seins balançaient au rythme de ses coups de rein et au loin, ses jambes entre les miennes. Ses bourses valdinguaient et cette vision croquignolesque me fit sourire.
Petit à petit, il montait en rythme. Sa respiration s’accéléra et il émit des grognements assez explicites. Je l’accompagnais avec force de soupirs et petits cris, et quelques paroles encourageantes, voire même un peu crues. Je me faisais baiser. D’aucunes diraient sans doute que je me faisais sauter, mais peu importe les termes, c’était infiniment délicieux. Il allait et venait contre mes fesses et j'aimais ce sentiment d'être dominée. Mon vagin accueillait son sexe comme s'il n'avait jamais connu que lui. J’eus une pense fugace en me remémorant la nouveauté de la pénétration anale tout à l'heure et je me dis qu'il me faudra essayer cela un jour. Mais pas maintenant. J'étais à mon affaire, qui allait bon train.
Il jouit le premier. Son dernier coup de bassin fut plus brusque. Il se cala profondément en moi et je sentis distinctement le sperme venir frapper mes parois vaginales. Ses doigts se plantèrent dans mes hanches. Il grogna, se retira avant de revenir encore plus violemment. J’eus droit à une seconde giclée. Il se vidait en moi et j'aimais ça. Puis, déchargé de la pression, il reprit ses mouvements plus doucement. Et c’est à ce moment que la vague m’a submergée. J’ai joui à mon tour. De manière moins violente que la dernière fois, mais d’une manière tout aussi savoureuse. C’était chaud, et j’ai joui longuement en râlant. Et, enfin, je me suis laissée tomber sur le lit, épuisée. Ses mains me caressèrent le dos, les fesses, les hanches, le cou, les cheveux. Le sexe, fait comme cela, valait n'importe quelle drogue forte.
Il est venu s’allonger prêt de moi. Il passait sa main dans mes cheveux et je le regardais avec tendresse. Je ne savais pas si notre aventure pouvait aller beaucoup plus loin. Je n’avais d’ailleurs aucune envie de me poser la question. Je profitais de l’instant présent et il était parfait.
Il était 05h45. Mon sexe laissait s’échapper quelques gouttes de liquide, savant mélange de nos deux productions. Nous étions assouvis. Il mit sa main dans mon dos et nous nous sommes endormis.

Le soleil chauffait mon visage quand je tentai d'émerger. Je n’eus pas le courage d'ouvrir les yeux tout de suite. J'étais couchée sur le dos et je percevais les mouvements de mon compagnon de la nuit à côté de moi. Il déposa un baiser sur mon front. Je souris. Il se mit sur son avant bras puis bascula sur moi. Il força à peine l'espace entre mes cuisses. Son sexe entra en moi sans attendre. Mes jambes se refermèrent sur lui. J'ouvris les yeux enfin. La journée s'annonçait belle.
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Histoire de Keskidi

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