Réconfort féminin

Coucou tous le monde, voilà mon grand retour, j’espère que tout ce temps n’a pas altéré mon écriture. Surtout que je ne me suis pas arrêté de voir quelques copines de temps en temps…

L’histoire qui suit m’est arrivée juste après mon oral d’anglais pour les exams de fin d’année. Il s’avère que dès que l’on me parle dans cette langue je perds tout mes moyens. Je suis rentrée directement en bus et vu la tête des gens qui m’ont regardé je crois que je n’étais pas jolie à voir. Au passage de la porte de mon appartement, mes doutes ont emportés sur mes sentiments, j’étais en larmes. Je n’ai pas réussi à me calmer pendant plusieurs minutes. Une fois ressaisi, j’ai pris mon téléphone afin d’appeler Jennie, une amie qui est passée juste avant moi. Au son de sa voix, je me suis de nouveau effondrée. Après une conversation sanglotante à essayer de me rassurer elle m’a lancé un « j’arrive tout de suite, je ne peux pas te laisser comme ça ».

A peine le temps de préparer un thé, que la sonnette se faisait déjà entendre. C’est elle, j’ai honte de mon état alors je me cache derrière mes longs cheveux.
- Ma puce…allez viens dans mes bras, ça va aller.

Sa voix si douce avec tant de compassion m’a envoûté. J’ai alors plongé mon visage contre son cou et l’ai enlacé. Je sangloté toujours en m’excusant qu’elle est à me voir comme cela. Elle caressa mes cheveux en me chuchotant à l’oreille qu’elle était la pour ça. Ses petits « chut » doucement soufflé dans le creux de mon oreille me réchauffèrent le cœur et maintes parties sensibles de mon corps. Je me calme puis elle saisi mon visage. Ses mains étaient douces, son parfum atteignait mon petit nez tout rouge et m’embrassa sur le front.
- Excuse-moi, je ne t’ai même pas fait rentrer.
- Ce n’est pas grave ma belle, j’ai tout mon temps pour toi.
- T’es géniale, allez viens j’ai fait du thé.

Jennie est une fille sexy et magnifique même si elle dit le contraire, en fait elle complexe avec ses fesses qui sont un peu ronde pour sa taille, moi je trouve ça mimi. Surtout lorsque je regarde ses yeux fabuleux marron sous sa chevelure noir.

On a déjà couché ensemble si vous êtes sage, je vous raconterai ça ;-). Cela fait déjà deux mois mais elle n’a pas voulu recommencé dû à son complexe. Aujourd’hui, elle a mis un pantalon très large qui laisse tout de même apparaître la taille du bas de son dos, elle avait également un débardeur qui montre son manque de sous-vêtement. Elle a du enlever son chemisier après l’épreuve.

Nous sommes assises sur le canapé, nous sommes très proche l’une de l’autre, ce qui me permet de me blottir dans ses bras quand l’envie me reprend, je mis sens si bien. Depuis qu’elle est arrivée, je me sens beaucoup mieux, à tel point que j’ai mis mes jambes recroquevillé (dû à ma jupe mi-longue mise pour l’occasion) sur ses genoux. J’ai replongé mon nez sur son cou pendant qu’elle me faisait un massage de crâne, sa peau se réchauffait sensiblement, je sentais mon entrejambe également s’échauffer c’est alors que j’ai resserrais mon étreint contre elle pour essayer de sentir ses petits seins pointant contre moi.

Elle masse maintenant avec son autre main le creux de mes reins. Je l’embrasse dans le cou laissant ma langue glissé sur sa peau sucré, elle frissonne et respire l’odeur de mes cheveux, je continue en remontant vers l’oreille pendant ce temps je glisse ma main dans son dos sous son débardeur. Elle respire de plus en plus fort. Elle a envie de moi et je n’ai plus qu’une idée, lui empoignée ses fesses tendres. Sans plus attendre je lâche alors son lobe d’oreille pour appuyer mes lèvres contre les siennes, nous gémirent à ce contact onctueux. Maintenant à califourchon sur elle, elle caresse alternativement mes seins, mes reins et mon petit cul, ma jupe étant relevée sur mes hanches. Elle a maintenant accès à mon petit string à poids. Nos lèvres ne se lasse de cet étreins et à chaque fois qu’elles se décollent, nos langues s’emmêlent comme pour nous attacher l’une à l’autre. Nous ne faisions qu’une c’est incroyable comme sensation, j’ai l’impression de voler. Elle enlève mon chemisier et se jette sur ma poitrine gonflé d’envie. Elle caresse ma petite chatte au dessus de mon string en passant quelque fois en dessous.
- Mange-moi !! mord-les moi. Elle enlève alors sans un mot mon soutiens gorge et me lèche les tétons, me les mords …, les yeux fermés je ne sens plus qu’elle … je suis au paradis. Je lui enlève ensuite l’intégralité de ses vêtement puis je lui dis de se rasseoir, je veux la dominer alors l’embrasse de la tête jusqu’au pied puis en remontant par l’intérieur de son entre jambe jusqu'à son magnifique clito. Ses pieds sur mon dos je malaxe ses fesses tant attendues, en profitant de malaxer son petit trou de temps en temps. Elle presse pendant de ce temps un de ses seins et appui ma tête contre son vagin brûlant, elle regarde dans le miroir pour voir mon string passer au milieu de ma raie. Je le sais alors pour l’exciter un peu plus je me caresse mon petit anneau doré.
- Oh oui ma chérie, mais moi un doigt.

Je lui aspire son sexe et approchant doucement, je lui en enfile un en elle, elle cria et son dos se cambra, ses mains se crispent sur ses seins pinçant ses tétons, j’allai de plus en plus vite, je la sentais venir en force. Son cul remuait et j’avais envie de profiter de sa position. J’y posai parfois le bout de ma langue, je le sentais se contracter comme pour m’aspirer. J’ai l’habitude de ça vu que j’adore me mettre des doigts à cet endroit avant de jouir pendant mes plaisirs solo. L’ayant bien préparé avec quelques caresses, je lui enfile deux doigts d’un coup. Ils s’enfonçaient doucement de plus en plus loin, son corps se raidi.
- Oh oui vas y encore plus profond.

Mes doigts bougés en elle pendant que je léchai sa chatte dégoulinante de plaisir. Ouao, elle est dans un état…incroyable.
- Je…oh oui…vas y… ohOooo……..

Un crie silencieux sorti de sa bouche, c’est yeux était dans le vague, ça c’est ce que l’on appel une petite mort. Quand à moi j’avais le clito en feu je le sentais jusque dans le ventre. Je veux qu’elle prenne mon cul. Pour se faire j’ai mis mes genoux sur le canapé, les mains sur le dossier. Derrière moi elle peut apprécier de ma cambrure et de mes fesses pointant devant sa langue. Elle se caresse encore je l’entends soupirer d’envie, sans plus attendre elle plongea sa langue de mon vagin pleurant d’impatience.
- N’attend pas vas y à fond, je veux jouir

A ses mots, elle fit entrer un doigt dans mon petit four d’or et en quelques secondes je me suis sentis partir dans l’orgasme. Ce pied d’enfer fut cours mais intense je vous l’assure. Pour finir elle s’est allongé dans le canapé moi devant elle je pouvais caresser sa fesse droite et l’intérieur bouillant de sa jambe lorsqu’elle le désirait. Tandis qu’elle m’embrassait tout doux la joue droite et l’oreille. Je la regardais me masser les seins et me caresser ma petite chatte encore sensible, dans le miroir.
- Merci, ça va beaucoup mieux, merci pour tous.
- Quand tu veux, avec grand plaisir…

Nous sommes resté la un long moment en s’embrassant de temps en temps.