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Retour très hard

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Lue : 29315 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 24/03/2010

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Retour très hard : A lire tranquille, sous la couette de préférence, quelques accessoires ne seront pas de trop si l’émotion vous gagne !.
Le lundi suivant leur retour, ils se retrouveraient vers onze heures au bois de Vincennes, près du lac Daumesnil, Baby s’y rendrait à pied et Pierre l’enlèverait en voiture, pour où ? il ne sut le dire. Au téléphone ils avaient le souffle court et c’est presque sans voix qu’ils murmurèrent :
« - Pierre, promets moi de me faire jouir »
« - Tu peux en être certaine ma chérie, je suis heureux »
« - Moi aussi Pierre »
« - Tu te feras belle ? »
« - Tu ne seras pas déçu mon petit Pierre »
Fébriles, ils raccrochèrent.

Quand Baby monta dans la Mercédès en un furtif écartèlement de cuisses, Pierre eut le souffle coupé devant tant de beauté et d’érotisme ; il ne put démarrer de suite tant son émotion était grande, Baby le regardait en souriant, heureuse de l’effet qu’elle produisait. Elle était merveilleusement désirable dans sa tenue estivale, sa veste ouverte laissait voir son fin corsage, le tissus soyeux de sa jupe laissait dans le mystère les dessous cachés. Elle ne portait pas de soutien gorge dont elle n’avait nul besoins, ses seins pointaient arrogants sous le corsage, la jupe retroussée laissait voir le début de ses cuisses gainées de bas caramel très lumineux.

Elle s’était maquillée et parfumée avec soin, ses lèvres pulpeuses carminées aux contours bien dessinés, plus sombres ; son parfum envoûtant était entré avec elle et les enveloppait d’effluves suggestives. Pierre pensa comme se serait bon quand elle serait nue dans ses bras vêtue seulement de ce capiteux parfum.

Baby observait son amant, il semblait plus jeune, il avait maigri ou c’était ses vêtements qui le moulaient mieux, elle sourit en voyant les chaussures en croco à ses pieds, il était vêtu simplement d’un polo et d’un pantalon d’été de couleur claire.

Ce premier moment passé, ils se penchèrent l’un vers l’autre pour s’embrasser, la position n’étant guère favorable ce fut un petit bécot sur les lèvres, cela n’avait pas d’importance, ils savaient ce qu’ils allaient faire bientôt.
« - Où allons-nous ? Pierre »
« - Je pensais, aller si cela te plaît dans une petite maison d’un ami près de Fontainebleau, c’est très calme, dans la forêt au bord du Loing »
« - C’est un cabanon ? »
« - Non, tu verras c’est une vraie résidence secondaire »
« - J’ai beaucoup aimé ta petite maison au pied du Mont Ventoux »
« - Moi aussi, avec toi surtout .Veux tu que l’on s’arrête en route pour déjeuner ? »
« - Mon petit Pierre, j’ai hâte d’être enfin seule avec toi »
« - C’est bon, en route, moi aussi il me tarde, en fait je ne pense qu’à cela »

En fait de cabanon, la voiture s’engagea dans un vrai domaine en franchissant un portail en fer forgé que Pierre ouvrit à distance. La maison apparut aux détours de l’allée bordée d’azalées du Japon, ils stoppèrent devant le perron. La maison était vide mais tout montrait le minutieux entretien dont elle faisait l’objet. Malgré son aspect cossu, la maison était amicale, accueillante, familière. Ils montèrent les quelques marches les séparant de la porte d’entrée que Pierre ouvrit avec une clé très ouvragée, il devait être fébrile car il dut s’y prendre en plusieurs fois.

La porte se referma sur eux, cet instant qu’ils espéraient depuis longtemps. Ils se firent face et se jetèrent dans les bras l’un de l’autre, leurs bouches s’unirent avec violence, lèvres ouvertes, langues mêlées ; que c’était bon ces retrouvailles de leurs deux corps impatients, ils se pressaient l’un contre l’autre par tous les pores de leurs épidermes.

Pierre enlaçait Baby, une main en arrière dans son dos, sous la veste, l’autre prenant sa taille, leurs bassins pressés étaient animés d’une lente et ample houle. Baby serrait Pierre dans ses bras, un baiser dans le cou la fit frémir de la tête au pied, le pointu de la langue dans son oreille faillit la faire hurler de rire, et ces mains qui déjà la caressaient frôlant ses seins sur la fin corsage, palpant sa croupe.

Pierre devinait sa parure, imaginait le string laissant ses fesses libres sous la soie de la jupe, il fit l’inventaire des jarretelles et en parcouru le cours jusqu’aux boutons en caoutchouc en haut des bas. Baby se laissait porter par le désir, quelle douceur, quelle caresse délicate lui faisait subir cet amant si imprévisible, les boutons de son corsage cédaient un à un, une main s’insérant dans l’échancrure faisait naître le plaisir à la pointes de ses seins saisies à tour de rôle et titillées entre deux doigts.

Le plaisir doubla quand Pierre se pencha pour prendre un des seins dans sa bouche. Pierre s’était décalé sur le côté droit serrant la jambe de Baby dans l’étau de ses cuisses, abandonnant les seins il pouvait dans cette position palper les fesses et le petit ventre de Baby :
« - Ecarte un peu tes cuisses.... oui c’est bien.... tu sens mes mains sur toi...sur tes fesses nues sous ta jupe.....sur la bosse de ta chatte....Ahhh je sens tes lèvres sous ton string ....c’est bon de te retrouver ma chérie... attend je remonte ta jupe...doucement....ouiii »

Sans quitter leurs places, les mains de Pierre faisait remonter l’étoffe légère, par devant et par derrière, pour Baby c’était une caresse supplémentaire, ces mains qui s’agitaient sur son intimité, elle se rendait compte de la montée inexorable du tissus, elle sursauta de plaisir quand retroussée elle sentit une main entre ses fesses nues et l’autre sur sa parure entre ses cuisses.

Pour être plus libre de la caresser Pierre coinça la jupe relevée en se replaquant sur elle, derrière elle cette fois, Baby sentit son émoi, le gros cylindre de son sexe encastré entre les deux lobes divins de sa croupe, son pantalon gâchait un peu le contact mais par devant les deux mains s’insérèrent symétriquement entre les cuisses, les paumes à l’intérieur frôlant les petites dépressions de l’entrecuisses tandis que les deux pouces sur le string titillaient les grosses lèvres de la vulve.

Petit à petit le frôlement devint caresses, les caresses devinrent pelotage de plus en plus fort, presque violent jamais brutal. Baby appréciait cette rudesse bien dosée, elle sentait les va et viens de la verge raidie insérée entres ses fesses, le bonheur commençait à poindre au creux des reins quand une main franchit le rempart de son cache sexe l’autre remontant sur la poitrine entre les seins durcis :
« - Pierre ! je suis bien mais je n’en peux plus, c’est trop dur de jouir debout, j’ai les jambes qui flageolent, allons dans une chambre, veux tu ? »

« - oui ma chérie, pardon je voulais te faire jouir une première fois au seuil de la maison, mais tu as mille fois raison nous serons mieux dans la chambre, viens »

En marchant, la jupe repris sa place et les deux amants enlacés entrèrent dans une vaste chambre. Ils se virent debout entre le lit et une vaste armoire, une immense glace renvoyait leur image, dans un clair obscur ils se trouvèrent beaux, ils se faisaient face les yeux rivés sur le miroir, ils aimaient se voir, ce n’était pas la première fois qu’ils feraient l’amour en se regardant, le spectacle érotique de leurs corps enlacés avivait leurs sens, aiguisait leur appétit charnel.

C’est Pierre qui le premier ôta le corsage de Baby, sa jeune poitrine apparut opulente, ferme, les seins dressés, les mamelons durcis, Dieu qu’elle était belle, il ne put s’empêcher de se pencher vers eux pour les baiser, puis enlevant prestement son polo, il pressa sa poitrine sur la sienne, leurs lèvres s’unirent, laissant passer leur langue, puis tournant légèrement leur visage l’un par rapport à l’autre, leurs bouches s’ouvrirent pour un long, très long baiser mouillé.

Quand ils se désunirent Pierre avait réussi à dégrafer la jupe de Baby qui tomba à ses pieds. Quel harmonie ! quel bon goût dans le choix de la parure du même ton caramel que les bas, le porte jarretelles ajusté à la taille, le ventre bien dégagé en triangle et le string serré aux hanches masquant le sexe, les jarretelles reliaient le haut de la parure aux bas zébrant la chair nue des cuisses divines, Baby avait de longues jambes mises en valeur par les bas mordorés.

« - Tu es merveilleusement excitante ma chérie, je n’en crois pas mes yeux... tourne toi un peu....pffff.....que c’est beau...tes fesses...quels volumes....attends montre un peu .....cette couleur pain d’épice intégrale sans le moindre défaut dont rêve toutes les femmes qui pour l’obtenir doivent se contorsionner pour offrir toute leur anatomie au dard des rayons de soleil....

« - J’attends de toi que justement tu sois rayon...que tu me pénètres plus à fond encore...en doutais tu ? »

En parlant Baby tendit la main vers son amant, Pierre sentit ses doigts s’insérer dans la braguette de son pantalon et faire céder les boutons un à un, une brève reconnaissance permis à Baby de constater l’état d’excitation dans lequel elle l’avait mis, le baromètre de sa verge gonflée, au beau fixe, mais plié à l’étroit sous son slip . Pierre se tendit sous la caresse furtive de ces doigts fuselés, il gémit de plaisir quand la main coquine passant sous l’étoffe du slip saisit son sexe et le redressa, plaqué gros et ferme sur son ventre.

Baby le soulagea en baissant à la fois le slip et le pantalon, le phallus dénudé se mis en drapeau, pointé horizontalement légèrement arqué vers le haut. Pierre était nu dans ses chaussures qu’il quitta en hâte. Baby à ses côtés, les seins nus, ne portait que sa parure, il l’admira en la faisant tourner devant le miroir, il avait devant ses yeux éblouis Aphrodite faite femme, l’amour et la beauté personnifiés.

Cette beauté s’occupa de lui pour son plus grand plaisir, une main glissée entre ses fesses saisit ses couilles par l’arrière tandis que l’autre main par devant s’enroulait sur sa verge. Toutes deux se mirent en branle de concert. Baby était heureuse de voir l’effet de ses caresses sur le visage tourmenté de son amant dont elle tirait des sortes de feulements de plaisir. Il avançait son ventre par saccade pour se branler dans le doux étui de sa main. Le miroir renvoyait ce spectacle hallucinant de son énorme verge d’une longueur hors norme et d’un coup Baby se sentit inondée en imaginant les pénétrations profondes que ce sexe ferait dans son ventre entre les grosses lèvres de sa chatte.

Pierre s’agenouilla et après avoir déboutonné les jarretelles, il enleva méticuleusement les bas en les roulant, ses deux mains autours des cuisses puis des jambes, il prenait son temps pour ce qui n’était qu’une longue caresse et tandis qu’il baissait les fins Nylon sa bouche ouverte embrassait l’intérieur duveteux des cuisses.

Le porte-jarretelles enlevé libéra la taille gracile et la rondeur des hanches et du ventre, d’un geste entre ses cuisses il dégrafa le dernier rempart à sa nudité et Baby comme lui fut complètement nue. Le miroir les vit se rapprocher et s’enlacer, ils se retrouvaient avec leurs mains, en se frôlant, en mêlant leurs jambes, leurs cuisses, debout, ils se butinaient avec leurs bouches gourmandes.

A un moment Pierre s’écarta légèrement et prenant son sexe en main il l’enlisa entre les cuisses de sa maîtresse. Baby se serra sur ce membre qui allait et venait dans cet écrin soyeux, elle sentait les bourses presser sa chatte et comme Pierre lui prenait les seins avec sa bouche elle sentit monter des ondes de plaisir entre leurs pointes et l’entrée de sa vulve.

Ils tournaient pour se voir sous toutes les facettes, leurs fesses n’étant pas le moins joli des points de vue. Quand Baby discerna le gland violacé entres les lobes de ses fesses rondes, elle serra davantage son ventre contre son amant avant que n’éclate un orgasme si puissant qu’elle crut s’évanouir de plaisir.

Pierre la soutenait en lui caressant les seins, il avait sous les yeux le spectacle de ses fesses parfaitement rondes, sans la moindre trace de cellulite qui s’agitaient frénétiquement sur son membre. Par moment Baby ouvrait ses cuisses pour mieux se resserrer sur cette virilité qui la faisait jouir, ce sexe érecté, ce long braquemart noueux qu’elle faisait coulisser entre ses lèvres.

Qu’elle était belle dans sa jouissance, ses yeux lançaient des éclairs, sa bouche ouverte comme pour mordre laissait passer une longue plainte ponctuée de petits cris. Quand le plaisir était trop fort elle cachait son visage au creux de ses mâles épaules de brefs instants car elle aussi appréciait le spectacle de leurs corps nus derrière le tain de la glace.

Quand elle se dégagea, elle put observer ce sexe qui lui avait donné un immense plaisir sans même la pénétrer, fier, dressé, en appui sur ses couilles gonflées, il était très gros et surtout très long ce qui permettrait bien des fantaisies dans les joutes amoureuses, il semblait lui promettre d’autres plaisirs, plus intenses encore.

Reconnaissante elle le prit dans sa main et l’enveloppa de caresses furtives oh combien plus excitantes pour Pierre qu’une rude empoignade, il allait au devant de ces frôlements offrant aux doigts fuselés sa hampe durcie, son gland de velours et ses bourses masquées par son abondante pilosité brune et frisée.

Pierre s’échappa et s’assit sur le parquet, le dos au lit, face au miroir, les jambes allongées en partie sous l’armoire, il mit sa tête en arrière en appui au bord de la couche. Dans cette position il regardait le plafond, une fois dans cette position il ne bougea plus. Baby était interdite et ne savait que penser, que faire, ceci avant de comprendre l’invitation de ce visage offert à ses enfourchements.

Quel amant ce Pierre, quand elle ne jouissait pas, le désir la tenaillait, c’était toujours nouveau, toujours excitant. Elle s’avança vers lui après l’avoir enjambé, tout semblait prévu, son entrecuisse légèrement plus haute que ce visage qui l’attendait, elle s’approcha, fébrile, tremblante, curieuse, vers cette bouche pulpeuse et ces yeux rieurs qui la défiait. En baissant son regard, elle voyait maintenant la langue rose que Pierre s’agitait bouche ouverte, elle était longue, humide, agile.

Baby était attirée irrésistiblement et quand en s’avançant vers lui cette alléchante muqueuse disparut de son champs de vision elle sentit entre les lèvres de sa chatte une caresse d’une douceur infinie. Pour l’avoir vue à l’instant s’agiter elle imagina cette langue qui maintenant la pénétrait, le contact était si doux, si subtil qu’a peine la sentait elle aller et venir dans la boursouflure de son sexe, ce n’était pas possible, le plaisir de nouveau naissait entre ses cuisses, elle s’abandonnait quand Pierre lui demanda de se retourner :

« - Retourne toi ma chérie, se sera mieux, tu verras tout »

Se retourner, comment ? ah oui, face au miroir. Baby se recula, fit volte face et écartant ses jambes elle se recula petit à petit, ses fesses tournées vers le visage de ce Pierre si diaboliquement inventif.

Baby était maintenant à califourchon sur le visage, les jambes écartées de part et d’autres de Pierre, elle comprit mieux l’avantage de cette position quand se reculant encore un peu, la langue apparut dans le miroir entre les lèvres de sa chatte poilue. Baby poussa un cri de surprise et commença à onduler.

Elle était à hauteur idéale elle ne devait se baisser que très légèrement pour sentir le nez, la bouche au fond de la raie de ses fesses, elle sentait alors cette langue qui léchait délicatement ce que Baby dans les va-et-vient de sa croupe lui présentait. Par moment ce n’était qu’un frôlement de la pointe rose se centrant sur l’anus, puis la gourgandine cherchait à s’étaler sur ce petit trou si mignon, pour un anulingus que certains appellent feuille de rose tant cette caresse est douce .

Baby restait en cette position si excitante où son cul était lapé par cette langue si vive et qui cherchait à la pénétrer. Mais ce qu’elle préférait par dessus tout c’est de voir apparaître les papilles roses dans le miroir, Pierre insérant ses mains par dessous dans son entrecuisse écartait ses lèvres tout en lui caressant l’intérieur de ses cuisses.

Baby avait à la fois la vision et la sensation de cette hallucinante gâterie, elle devenait comme folle de désir, folle de plaisir et accentuait le contact en se baissant un peu plus, elle devait étouffer son amant bâillonné par ses fesses et ses cuisses, saisit de tremblements elle sentait son nez enlisé sur son cul, quand Pierre remonta ses mains pour empaumer par dessous ses seins durcis elle se mit à gémir :
« - Pierre ! mon chéri....ce n’est pas possible...je vais jouir à nouveau.. ouiii je suis bien...mais comment fais tu pour que je sois si excitée....ahhh cette langue qui me bouffe la chatte....je la vois dans la glace qui s’agite.....ohhfff.....ce nez dans mon cul.....mes bouts de seins tordus...ouiii Pierre....et toi...penses à toi... branle toi ta queue... fais la bien grosse....fais la bien raide ...oui serre bien ta bite.. je la vois... j’en ai envie....je la veux.....ahhh il me la faut...dans mon sexe...dans mon cul Pierre... je veux jouir plus encore.....ahhhh... ce n’est pas possible de tant jouir...et ça dure....prends moi maintenant...je t’en prie..... »

« - Moi aussi Baby.. je te veux....je t’aide à te relever....reste face au miroir.. je m’assois sur le lit....tu comprends.....vite recule....écarte toi bien....tu vois mon sexe dressé entre tes cuisses.....viens t’asseoir sur mes genoux....ouiii.. doucement... baisse toi....regarde... tu nous vois dans la glace....tu vois ma main qui tient mon sexe bien droit....Ahhh ...mon gland entre tes lévres....Baby je n’en peux plus....centre toi bien...oui....ouiiii.....ahhh ouiiiii....enfin...c’est bon...tu la vois dis...tu la sens qui coulisse en toi....tu étais prête...tu mouillais hein....ahh que je suis bien...remuons...tu vois ma queue qui entre et qui sort....je vois tes petites lèvres entre les grosses....et ta vulve qui s’arrondit sur moi...et toi mon amour...tu es bien ? »

Baby ne pouvait parler, elle était en plein orgasme, trop longtemps retenu il avait éclaté dés l’instant où se baissant elle avait senti le sexe raidi la pénétrer, sa jouissance était maintenant complète, profonde, décuplée par l’image érotique renvoyée par le tain du miroir. Par des mouvements antagonistes à ceux de son amant elle sentait et voyait le phallus luisant aller et venir en elle sous son clitoris érecté, il s’agitait dans la boursouflure rose de sa chatte entre l’astrakan déchiré par l’écartèlement de ses lèvres, à fond les bourses bien séparées dans leur sac de peau plissé et poilu venaient fouetter ses cuisses.

L’instant d’après la verge montrait toute sa longueur, le gland au bord des lèvres, avant de replonger à nouveau dans le méat entrouvert, la souplesse du lit favorisait ce branlage qui se faisait sans efforts, un léger bruit de ressorts venait rythmer les pénétrations. Les seins de Baby eux aussi dodelinaient en cadence prisonniers des mains de Pierre qui les pelotaient fermement, elle aimait ces caresses viriles qui ajoutaient à son plaisir, à un moment, passant sa tête sous ses bras, ouvrant grande sa bouche il aspira à tour de rôle les volumes bronzés de sa poitrine sa langue tournant autour des tétons bistres.

Cette fois-ci c’était trop, Baby à demi inconsciente s’écroula sur le côté cherchant une position plus confortable, dans un demi brouillard elle distingua le gros sexe bandé se désengager, Pierre se relever dans la travée face à elle, elle se sentit écartelée, saisie par les cuisses, des mains lui soulevant les fesses, l’instant d’après elle se sentit de nouveau pleine, malgré l’orgasme qui depuis longtemps la tenait hors de la réalité.

Elle discerna dans le miroir une paire de fesses serrées qui s’agitait sur elle pour son formidable plaisir et pour celui de Pierre, cela se voyait, il avait perdu son contrôle, sa réserve, son visage était marqué comme par la souffrance, son regard surtout brûlait le sien, d’un coup il se tendit en restant au plus profond de son ventre, elle sentit l’onde de bonheur enfler sa queue avant d’éclater en longues et puissantes giclées à l’entrée de son utérus comme elle aimait par-dessus tout.

Se sentir arrosée au fond de son ventre par ces jets puissants de foutre qui remontaient maintenant à chaque coup de boutoir entre sa chatte en feu et cette queue énorme qui la pistonnait. Et cela dura comme elle adorait et la, rendait folle , ivre de plaisir, complètement ouverte autour de ce membre qui allait et venant en elle de toute sa longueur et qui au fond d’elle comprimait la semence sur le col de son utérus grand ouvert. Plaisir indescriptible, orgasme infini qui irradiait tout son corps, sa tête, ses seins pétris, ses tétons raidis doigtés

Pierre se vautrait sur elle tordant son sexe dans sa vulve tandis qu’une longue plainte s’échappait de sa gorge le temps de sa jouissance, il resta ainsi en place tant que dura le plaisir de Baby qui se manifestait à ses yeux par des mouvements désordonnés de sa tête et de ses bras, par la pointe de ses seins érectés qu’elle tordait sous ses doigt et par les brusques avancées de son ventre emprisonnant sa verge. Lentement, très progressivement ces signes extérieurs du plaisir s’estompèrent, le regard de Baby redevint perçant et curieux et un sourire naquit sur ses lèvres, ils se désunirent et s’allongèrent normalement cette fois, côte à côte, face à face sur le lit.

Comme à chaque fois qu’elle venait de jouir, Baby avait besoin de se relaxer, de se détendre, de se reposer, il fallait qu’elle assimile ce trop plein de plaisir qui l’avait submergée. Elle appréciait le fait que Pierre ne la harcèle pas à nouveau immédiatement, d’ailleurs lui aussi avait l’air dans le rouge après ce qu’il avait donné. Simplement, face à face sur le lit ils se regardaient en se caressant tendrement yeux dans les yeux, rien d’érotique dans ces gestes, mais plutôt une sorte de maternage, une immense tendresse, quelque chose d’infiniment doux, un retour au calme progressif :

« - Pierre ?.....comment se fait il que je jouisse tant avec toi ? »
« - Parce que je t’aime...parce que tu m’aimes ! »
« - Oui c’est vrai mais il n’y a pas que cela...avec toi tout me semble nouveau.. jamais je n’ai autant désiré les caresses... les baisers...les étreintes.. quand je ne jouis pas le désir me tenaille de la pointe de mes seins au creux de mes reins... »

« - Moi aussi tu sais Baby, je suis formidablement bien...tu m’as redonné l’envie...tu as réveillé mon désir...si tu savais le plaisir que j’ai de te faire jouir, de voir le plaisir transfigurer ton visage.. d’entendre tes gémissements...de savoir que c’est moi qui déchaîne ton corps si jeune.. si beau.. si désirable.. cela me redonne une confiance en moi que j’avais perdue....je... »

« - c’est bien Pierre mais toi es ce que tu jouis. ?. ton plaisir est il aussi grand que le mien ? »

« - Tu as du le voir.. quand je viens en toi...quand je me répand au plus profond de toi.. c’est comme une traînée de feu...comme la lave d’un volcan qui naît de mon ventre et qui éclate au bout de mon sexe...c’est un plaisir extrême cette montée du sperme dans ma verge...c’est fulgurant aussi.. la jouissance se compte en secondes... mais le fait de pouvoir rester en toi...d’éclater en toi alors que toi aussi à cet instant tu éprouves un plaisir extrême ajoute à ma jouissance...tout mon corps est alors irradié de ce plaisir indescriptible, mon regard se trouble, je suis comme aveuglé par une lumière intense. »

« - tu n’es heureux que quelques secondes ? c’est peu.. moi c’est différent cela dure plus longtemps, il n’y as pas cette montée.. cette bouffée de plaisir que tu décrit...non moi le plaisir est dans tout mon corps avec des moments plus intenses.. mais avec toi Pierre.. avec tout ce que tu me fais le plaisir est si fort que je m’évanouirais si tu ne me serrais si bien dans tes bras, j’ai comme des étoiles dans les yeux, plus rien ne compte alors hormis l’orgasme qui me terrasse »

« - Ce qui compte plus que tout petite Baby, ce n’est pas le feu d’artifice final fugace mais inoubliable...c’est ce qui se passe avant quand nous sommes complices....quand nous nous caressons...quand nous prenons le temps de nous mettre nus...quand les charmes se dévoilent...quand la verge se raidie.. quand les seins se durcissent...quand.. »

« - Arrête Pierre moi aussi j’adore ces prémices de l’amour.. surtout avec toi.. ces jeux de glaces...ces situations insolites, comme ce cabanon où tu m’as conduite, m’excitent...m’affolent...tu vois nous parlons.. et bien le désir me reprend plus vite que d’ordinaire...je repense à tous les moments très forts que nous avons vécus ces derniers temps....regarde la pointe de mes seins dressés...Pierre j’ai envie que tu me prennes... de suite »

« - Je suis prêt....cela tiens du miracle...je suis raide...comment veux tu que je te prenne...veux tu être dessus...dessous...sur le côté...en levrette... »
« - non pas en levrette...j’ai déjà donné...je veux bien être dessus mais si possible j’aimerai nous voir »

« - C’est possible...attend je vais ouvrir un peu la porte de l’armoire à glace vers nous...là comme ça...parfait tu nous vois ? »
« - oui c’est bon...allonge toi bien...non...non...ne mouille pas ta queue .. j’aime bien quand elle ne glisse pas trop dans ma chatte, je la sens mieux dans mon ventre, elle me retrousse en sortant avant de m’enfoncer »

« - As tu remarqué ce miroir pivotant face à l’armoire de l’autre côté du lit, attends, je le règle, voilà comme cela, qu’en penses tu ? »
« - C’est chouette on voit tout, sans avoir à se retourner, dis donc ton copain doit être un sacré coquin ! »
« - Ce n’est pas lui, c’est sa femme »
« - Comment le sais- tu ? tu me trompes avec elle, allez ne mens pas sois franc »

« - Rassure toi, je le sais car c’est une lesbienne notoire, elle ne s’en cache pas d’ailleurs, son mari m’a dit qu’ils faisaient l’amour ici de temps à autre quand elle ne trouvait pas de copine »

Baby excitée au plus haut point s’allongea de tout son long sur Pierre, elle sentait rouler son sexe raidie sur son ventre, elle se monta par rapport à lui de manière à glisser le long cylindre entre ses cuisses serrées, elle écrasait ses seins sur la mâle poitrine en animant son ventre de lentes circonvolutions qui avaient pour effets de tordre la queue de son amant. L’idée que cette belle verge sèche allait fouir son ventre lui fit pousser un long gémissement, écartant ses cuisses elle décolla son bassin à l’aide de ses genoux sans rien perdre du spectacle du phallus maintenant dressé verticalement, puissant, décalotté et sec comme l’amadou.

Baby vit sa main dans son entrecuisses prendre le pieu pour le présenter entre ses fesses, elle centra sa vulve sur le gland qu’elle agita comme un pinceau entre ses lèvres, seul un léger mucus adoucissait le frôlement jouissif, la suite fut horriblement délicieuse, c’est Baby qui s’empala doucement sur le cierge dressé ; hallucinés ils virent s’ouvrir les grosses lèvres, se déchirer l’astrakan sombre dévoilant l’intérieur rose des petites lèvres et l’entrée écarlate de la vulve et puis ils assistèrent à l’emmanchement du gland.

Baby par des petits mouvements de son bassin et de sa croupe le faisait aller et venir, apparaître et disparaître dans sa déchirure. L’envie de Baby était si intense, son désir si exacerbé, le spectacle si jouissif qu’elle ne put tergiverser davantage et se laissant tomber en s’ouvrant de son mieux elle s’enlisa d’un coup de toute la longueur de l’organe de son amant. Ce fut comme une traînée de feu, de feu et de bonheur, l’orgasme éclata immédiatement, les va-et-vient de ce sexe qui la remplissait, le frottement rêche de cette verge lubrifiée par sa seule moiteur, le spectacle de cette queue qui l’éventrait en subissant les tortures, les torsions de sa croupe en folie, de ces couilles ballottées en tout sens frappant ses fesses écartelées, lui firent perdre tout contrôle, mais avant de sombrer elle se rendit compte que Pierre aussi prenait son plaisir, il haletait en se tordant sous elle, il la serrait dans ces bras lui caressant les seins, le dos, ses fesses, elle le vit porter sa main à sa bouche et peu après elle sentit un doigt mouillé lui caresser l’anus et faire pression sur lui, en douceur elle se sentit pénétrée, le doigt s’agitant à fond, la main empaumant ses fesses.

Ce fut alors un violent déchaînement des corps et des sens, les deux amants unis en un orgasme commun laissèrent de côté toute retenue, toute pudeur, tout respect humain, chacun prenant son plaisir et le redonnant à l’autre, les glaces leur renvoyaient les brusques avancées de leurs ventres, des écartèlements de cuisses, des croupes en furie, l’éclair luisant de la verge qui apparaissait quand il sortait largement lubrifiée par le sexe de Baby qui mouillait abondamment de plaisir ;

Ils étaient acteurs et spectateurs de leur ivresse et l’orgasme de Baby fut à son paroxysme quand elle sentit Pierre éclater en elle. Jouir ensemble c’est la récompense suprême des bons amants et tous les deux jouissaient comme jamais auparavant, leurs corps roulaient enchevêtrés , leurs bouches unies, leurs langues lovées l’une dans l’autre, leurs seins pressés. Cela dura une éternité et puis comme il se doit le plaisir s’en fut laissant les deux amants enlacés, fourbus et heureux. Baby apaisée et heureuse s’assoupit un instant lovée contre son cher amant.
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Quand Pierre ouvrit les yeux, Baby était allongé contre lui, à plat ventre sur le lit, elle dormait encore et il se redressa pour admirer ce corps qu’il aimait tant. Pour la première fois il eut le loisir de profiter de la vue de ses fesses et son regard s’attarda sur ces opulentes rondeurs jumelles.

Baby avait une adorable cambrure de ses reins qu’elle attribuait à ses origines, entre sa taille fine et ses cuisses longilignes ses fesses étaient mises en valeur par la position. C’étaient d’harmonieux raccordements de courbes, de volumes, de dépressions que Pierre ne se lassa pas d’admirer. Il avait toujours aimé ces rondeurs féminines mais là avec sa Baby il avait la perfection sous ses yeux. Les deux lobes sombres sans aucun défauts sans la moindre trace de cellulite s’ouvraient sur une vallée ouverte, profonde, toute en rondeurs, partant du dos parfait, puis resserrée en un canyon abrupt et secret avant de déboucher dans une sorte de petite caverne attirante en haut des cuisses, ouverte sur une autre raie entre les grosses lèvres nues bien formées d’une chatte fruit que Pierre affectionnait particulièrement. Il aimait les sexes charnus dénués de pilosité, ses grosses lèvres qui pouvaient s’offrir à sa bouche et à la pointe de sa langue, s’écarteler et se serrer autour de son sexe dressé et pointé entre elles..

Baby était étalée les bras en croix, le visage tourné sur le drap, masqué par ses cheveux de geai, défaits, épars sur ses épaules. Incroyablement l’envie repris naissance dans sa tête, dans ses reins pour émigrer dans sa verge qui reprit des formes. Il se pencha sur ce corps splendide et commença à le caresser doucement en commençant justement par ses fesses. Sa paume sur ces rotondités, les doigts serrés sur la chair nue entre les deux lobes. Il s’agenouilla à ses côtés pour être plus à l’aise et l’effleurer avec ses deux mains.

Il continua de la masser, ses épaules, son dos, ses fesses, ses cuisses mais pour pouvoir agir symétriquement, toujours à genoux, mais derrière Baby il s’installa entre ses jambes. Par des mouvements enveloppant de ses mains, il pétrissait ce corps de rêve de la nuque aux fesses où elles s’attardèrent en les écartelant découvrant au fond de cette vallée les secrets cachés d’un petit anus voisin de la grosse chatte sa voisine.

Tout cela avait mis Pierre dans un drôle d’état d’excitation, d’autant que Baby sortant de son sommeil commençait à se tortiller

« - Continue mon Pierre ! c’est bon ! çà fait du bien ! hummm, tu masses bien ! ouiii le dos….masse bien ma colonne….en bas surtout…les fesses aussi….c’est bon…pétrit les fort…..prends les par-dessous….mets une main entre mes cuisses…..oui….tu me donnes envie chéri….mais que fais tu ? »

«- Je m’allonge sur toi de tout mon long, mon ventre sur tes fesses…..ma poitrine dans ton dos…..Ma bouche dans ton cou…. »

« - oui embrasse moi le cou…la nuque….les oreilles….c’est bon…mordille moi les épaules…..continue de me caresser avec tes mains …serre ma taille….mes hanches aussi….tu sais ta main qui était entre mes cuisses me manque.. »

« - Attends. ! laisse moi faire….je me soulève un peu…..voilà c’est fait.. tu peux serrer les cuisses ! »

« - C’est ta verge que je sens ?remonte toi un peu… fais lui écraser ma chatte….oui….bouge un peu….ouiiiiiii… »

Ils étaient bien tout les deux. Soutenus par ses genoux et une de ses mains Pierre n’écrasait pas Baby de tout son poids, les deux corps s’effleuraient, la main libre de Pierre dans les cheveux de Baby sa bouche embrassant son cou et toujours des petits mouvements de son ventre pour faire aller et venir son sexe entre les grosses lèvres de la chatte serrée dans l’entre cuisses.

L’avantage d’une queue de bonne longueur comme celle de Pierre, c’est de lui permettre, malgré l’ampleur des fesses de bien s’enfoncer entre les cuisses bien au-delà de la chatte, ce qui permet au gland en agitant un peu les reins d’aller et venir dans la raie humide en titillant le clitoris à chaque passage. C’est ce qu’il s’efforça de faire longuement tout en continuant ses caresses pour le plus grand plaisir de Baby qui commença à gémir :

« continue mon chéri, je la sens bien…..enfonce toi bien….là ne bouge plus….si un peu…ouii…… ton gland est sur mon clito….tu le sens comme il est gonflé ?....oui …..c’est bon n’arrête pas!...plus vite….ahhhhh… »

Déjà baby prenait son pied, cela devint encore plus intense quand son gland s’immisça entre ses petites lèvres. La bite arquée de Pierre facilita l’introspection et après une petite résistance il sentit la vulve s’ouvrir et engamer le bout de son sexe. Il resta un moment dans cette position et suivit les conseils, que dis je, les ordres de son amante, maintenant bien réveillée et exigeante, ce qui n’était pas pour lui déplaire.

« bouge un peu chérie…. reste au bord….ah c’est bon….j’aime cette position…Je suis bien….Je sens ton gland qui frôle mon clito….ouiiii comme ça….continue….commence à t’enfoncer….agite tes fesses….plaques toi bien sur moi….remontes toi….oui…Ahhhh que c’est bon…tu baises bien tipierre…quelle queue….incroyable je suis pleine de toi….aller donnes toi à fond maintenant….lime ma chatte….oiiiiii…..plus vite…plus hardcore ….plus fort….défonce moi….je vais jouir…. »

« Attends, tourne toi un peu, oui….je peux te caresser les seins comme çà..ils sont durs chérie… »

« tu penses dans l’état où je suis….pince moi mes tétons….Je mets ma main entre mes cuisses…. »

« Masse toi bien ton clito et si tu peux caresse ma verge quand elle sort….ouiiii… et mes couilles aussi…. »

« aller mon Pierre on y va…. Ouiiiiii…pistonne moi…..Plus fort…écrase mes seins…..je t’attends pour jouir……ahhhhh c’est bon…..je n’en peux plus….Tu viens ?.....embrasse moi dans le cou…. je pars sans toi…..ouiiiiiii…oooohhh c’est bon…une bonne queue dans ma chatte…..Je te serre….reste au fond…..pousse…..enfin !....tu me rejoints….tu m’arroses….tu jouis toi aussi…oui ? elle t’excite hein ta chérie noire ! elle te fait bien jouir….tu l’as trouve à ton goût ?....ahhhhhhhh….pardonne moi….. je plonge….c’est trop fort….c’est trop bon …..Ouiiiiiiii.. »

Pierre avait bien joui lui aussi quand baby s’était serré sur lui, une jouissance fulgurante, des jets puissants de sperm au fond de sa chatte comme elle aimait. Il continuait de la servir car il savait faire durer sa jouissance, elle était insatiable il le savait et fit tout pour la contenter.

Il remit ses genoux entre ses jambes et tout en continuant de la servir, les mains sur ses hanches il l’aida à remonter son bassin. Sa queue plus à l’aise pour s’enfoncer davantage, sous des angles différents. Baby appréciait le voyage car elle ondulait des fesses en gémissant dans son monde, celui du plaisir suprême où plus rien d’autre ne compte que cette bite en elle, ces caresses sur son corps, sur ses seins, les baisers dans le cou et sur sa nuque.

Pierre avait trouvé la position d’équilibre, il était à genoux entre les cuisses écartées de sa Baby. Il la tenait par les hanches et l’attirait et la repoussait à l’amplitude de sa verge qui la perforait. Sous les yeux il avait le spectacle hallucinant de cette croupe somptueuse mise en valeur par la position avec sa taille creusée. Il avait les mains libres de caresser ce corps de rêve, d’écarter ses fesses divines pour voir sa queue aller et venir dans la boursouflure de sa chatte, de caresser ses hanches, de serrer sa taille et en se penchant de passer ses mains sur le ventre mou avant de prendre les seins pantelant à pleine paumes par-dessous, ses doigts sur leurs pointes.

Il cru à un moment qu’il allait jouir à nouveau mais il se retint laissant sa Baby tout au plaisir de l’orgasme où il avait su l’emmener…. C’est elle maintenant qui s’excitait sur lui en bougeant ses fesses d’avant en arrière, en ondulant, tordant cette queue plantée au plus profond de son ventre. Pierre admirait ce corps d’ébène, ses fesses ouvertes, il voyait le petit gouffre serré de son anus qui le fascinait comme l’œil d’un cyclope mais qu’il respecterait malgré son énorme envie de présenter son gland à cette porte si jouissive quand on sait l’amadouer.

Quand Pierre, entre ses doigts, fit rouler les pointes des seins de baby, son orgasme devint dévastateur, son corps se déchaîna animé de mouvements incontrôlés, elle s’ouvrait sur lui avant de broyer son sexe en elle, aucun mot articulé ne sortait de sa bouche, seuls des cris, des gémissements, des plaintes ponctuaient les pénétrations qui la rendaient folle de plaisir.

A un moment, elle s’écroula sur le côté entraînant Pierre toujours en elle, collé derrière elle. Il comprit qu’il devait continuer de la servir et il l’installa mieux, la tournant légèrement sur le dos, avec son bras droit il lui releva les cuisses jointes en soulevant ses fesses qu’il cala avec sa cuisse gauche passée par dessous, la chatte serrée, bien soulevée du lit à bonne hauteur pour continuer le pistonnage.

Baby se prêtait à cette manœuvre et la facilitait, les jambes en l’air maintenues par Pierre elle jouissait et quand il les écarta en tirant une cuisse vers lui elle se sentit ouverte, pénétrée au plus profond d’elle-même et poussa un long cri. Pierre en travers tourné vers ses fesses la prenait dans une position inhabituelle qui l’enchanta l’entraînant dans des sensations nouvelles le gland décalotté révélant des zones jouissives de sa vulve jusqu’alors ignorées, jamais elle n’avait été aussi bien, aussi pleine. La main gauche de Pierre pouvait dans cette position continuer de lui pétrir les seins qu’il serrait l’un contre l’autre, leurs bouts durcis proches titillés avec ses doigts.

Baby dans un autre monde eut la force d’exprimer
« Chérie ! viens dans mes bras, serre moi contre toi ! caresse moi ! baise moi encore ! Ouiiii ! reste en moi si tu peux….attend je te laisse faire…. »

Pierre comprenait ce qu’elle voulait, il le fit en douceur en l’écartant davantage, en passant sa tête puis son buste entre ses cuisses, il se redressa pour se mettre à genoux. Baby poussa un petit cri de désappointement quand sa verge sortit de sa chatte. Elle ne perdait rien pour attendre ce qui suivi, elle se sentit soulevée puis reposée sur un oreiller passé sous ces fesses, Pierre entre ses cuisses ouvertes, relevées, ses jambes repliées en appui sur le lit. Et d’un coup émergeant de son ventre elle vit le pieu dressé de Pierre, énorme, décalotté, bien centré sur elle en appui entres ses lèvres.

Elle vit son Pierre saisir son membre et le rabattre dans sa raie, elle sentit le gland de velours sur son clitoris puis disparaître de sa vue pour se présenter devant le méat entr’ouvert de son sexe. Pierre gardait sa queue entre ses doigts pour l’empêcher de se redresser sur son ventre tant sa tension était grande et Baby sentit le moment où il pu la laisser, centré qu’il était, sur l’entrée de sa vulve.

« Baise moi bien chéri !....enfonce toi doucement !....si tu savais comme cette position me plait !....fourre moi !.....ahhhh ouiiii !....c’est bon !.....penche toi en t’enfonçant !…..caresse moi les seins !.... tu es bien toi aussi ?.....embrasse moi dans le cou !.....prends ma bouche !....donne moi ta langue !.....ahhhhhh ouiiii c’est bon !.....bouge un peu !.....nonnnn ne sort pas !.... reste en moi !....continue comme ça !....enfonce toi bien à fond !.....embrasse mes seins !....ils sont tout gonflés !....suce moi les tétons !......ahhhh ouiiii c’est bon….c’est bonnnn !...Agite toi plus vite !.... soulève mes fesses !.... écartèle moi !.....ouiiiii à fond !...plus vite !......Je vais jouir !.......je résiste !.....C’est trop bon !....tu baises comme un dieu !... Je sens ta grosse bite !...rejoins moi mon Pierre !....jouissons ensemble !....parle moi !......Insulte moi !.....traite moi de salope !...siffle moi, je suis ta chienne !...tu as déchaîné ma raison !...Je suis le diable maintenant !.....il me faut de la bite !... ; viens….viens ! ….rejoins moi ! »

« Non baby tu es ma grosse chatte !.... Je vais te faire jouir comme tu aimes !....Ma baby je suis bien moi aussi….. tu es belle !....J’aime te baiser comme çà !....Je te vois….regarde moi….je veux voir ton visage quand je te fais jouir…je suis heureux….Tu sens ma queue dans ta chatte ?....je passe mes bras sous tes cuisses !…. Soulève tes fesses !....Je me penche sur toi !....sur tes seins !...embrasse moi !.....Je suis bien ma chérie !...je me branle !....Ahhhh c’est bon !.... »

« Oui je la sens elle est grosse ! elle est longue ! tu viens alors ? Oui ?,,,, oui….ouiiiii….bourre moi…..bien au fond….bouffe moi les seins…..ahhhhh c’est bon….je jouis….Toi aussi je le sens … tu m’inondes comme j’aime….Pistonne moi bien……Je sens ton foutre……ta queue est douce d’un coup dans ma chatte….Excuse moi Pierre…..Je décolle….je te laisse……je pars…..Ouiiiiii…..reste au fond…et bouge….ouiiiii….. »

Effectivement Baby était parti dans le monde du plaisir, le monde des orgies, ce monde centré sur ma verge qui la maintenait dans son orgasme. Le plaisir qui la tenait depuis de longues heures avait fait place au plaisir suprême celui où plus rien ne compte à part cette ivresse de tout son corps. Pierre heureux du bonheur qu’il lui apportait la vit se tordre sous lui, il vit son visage ravagé par le plaisir, il entendait sa respiration haletante. Baby se malaxait les seins d’une main l’autre entre ses cuisses doigtait son clitoris. Pierre trouvait du plaisir dans sa verge tendue qui entretenait le plaisir de son amante en vibrant au fond de son ventre et il la servit tout le temps qu’elle était loin de lui dans son monde .

Quand elle refit surface, il se dégagea et s’allongea sur elle dans ses bras. Elle prit tendrement son visage dans ses mains et le caressa. Baby était redevenu un ange. Elle lui parla en souriant :

« Tu sais mon Pierre, je t’avais prévenu, je peux résister, ne pas déclencher le plaisir, refuser la jouissance, ignorer l’orgasme, mais si on me fait atteindre mon point de non retour, par des situations insolites, par des caresses, par des paroles, des propositions érotiques chuchotées dans mon cou, des insultes même, alors en cet instant où ma volonté ne peux plus rien je me transforme, comme une bête, je deviens la pire des salopes, il me faut du sexe ;je deviens exigeante, dominatrice je suis insatiable, malheur à l’amant qui ne pourra assurer mes pulsions et me faire jouir jusqu’au moment où épuisée, juste avant de mourir de plaisir, je m’écroule et m’endorme. »

« J’ai vu ma Baby, tu n’as pas arrêté de jouir et j’étais heureux de provoquer ton plaisir »

« Oui tu as bien su avec ta queue bien grosse, bien longue, tu as jouis trois fois comme j’aime en m’aspergeant de ta semence bien au fond de mon ventre, …..aucun amant ne m’avait autant excitée que toi ( à part le fameux Jérôme….rires) »

« Tu as fais les comptes !! »

« Oui mon chéri et j’espère que tu vas jouir encore car après cet hors d’œuvre il va falloir me faire jouir encore, j’aime ce que tu me fais et j’en veux encore…. Baise moi…prends moi comme une chienne en chaleur….allez viens…j’en meurs d’envie…alleeeeeeer….ne me fais pas attendre….Je te veux encore…..ouiiiiii….encoooore »

Un hors d’œuvre cette débauche d’amour qu’ils venaient de vivre !!! Pierre d’un coup fut inquiet, il avait tout donné, avait laissé aller son imagination pour surprendre sa Baby, il l’avait fait jouir et rejouir dans toutes les positions ou presque. Lui aussi en cet instant avait atteint le point de non retour, oui mais lui c’était le point où il ne pouvait plus rien donner le point où sa verge encore grosse mais molle refuserait de se raidir, ses couilles étaient vides après avoir fait le maximum.

« Chérie je crois que je ne vais plus pouvoir te satisfaire…. »
« Ah bon ! pourquoi ? Je ne te plais plus ? »
« Si ma chérie mais ma sexualité a des limites, oui je te désire dans ma tête, mais mon corps dit non…..tu es déçue ? »
« oui…… mais je comprends…..dommage car j’ai encore envie…. »
« Si tu l’avais j‘aurais pu me servir du dernier gode que tu as acheté ? »
« Celui avec éjaculation ? ..si tu veux, cela ne vaut pas ta grosse bite mais c’est mieux que rien….prends le dans mon sac »
« Tu l’as ! »
« Je l’ai toujours avec moi ! »
« Quel membre !..... c’est le gros modèle !....mets toi à genoux….penche toi…les coudes sur l’oreiller…. »

Baby s’installa, Pierre à genoux de côté, les fesses de sa chérie sur sa droite. Il était déçu, déçu de lui c’est la première fois où après avoir bien fait l’amour il sentait le désir de sa compagne inassouvi. Il allait essayer de lui redonner du plaisir autrement.

Il avait passé sa main gauche sous elle en lui prenant les seins à pleine main, en les caressant, il les prenait à tour de rôle, ses doigts en corolles émigrant de son buste à leurs pointes. L’autre main caressait les fesses offertes, ouvertes par la position, paume en l’air elle s’avança entre les cuisses, les doigts, un, deux puis trois s’enlisant dans la chatte de Baby.

Tout en continuant de peloter les seins allongés par la pesanteur, il saisit le gode et commença à le faire aller et venir entre les fesses, l’ogive bien au fond de la raie s’attardant sur son cul et entre les grosses lèvres de la chatte. Quand il sentit par les gémissements que Baby était réceptive il mit en route les vibrations au mini et commença à s’enfoncer. Il n’eut aucun mal car Baby était ouverte et sa chatte lubrifiée pleine de leurs liqueurs.

Baby avait l’habitude de prendre du plaisir avec ce nouveau gode, elle ne regrettait pas son achat et quand seule elle lisait des histoires érotiques elle savait se faire jouir avec ce membre factice mais oh combien ! efficace. Le gode emmanché à fond, vibrations au maxi, elle retardait le plus longtemps possible le moment où elle presserait les couilles pour s’inonder la chatte du liquide antiseptique sirupeux et tiède. Alors plus rien ne comptait, les yeux fermés elle vidait les couilles pour bien ressentir au fond de son ventre les jets puissants la noyer dans le stupre.

Avec Pierre la sensation fut tout autre car c’est lui qui menait la danse, l’engin lui obéissait en dehors d’elle et elle était surprise par ses pénétrations, le rythme, leurs amplitudes, les angles d’introspection. Elle sentait le gland tourner dans sa vulve prise à revers. Pierre sortait souvent le gode qui se vautrait entre ses grosses lèvres pressant son clito, frôlant son anus avant de replonger doucement ou d’un coup comme un plantoir dans la terre meuble.

Baby sentait venir la jouissance et pour être mieux elle se rallongea sur le dos, les fesses rehaussées, cuisses écartées. Pierre la suivit allongé sur elle, les visages proches, les yeux dans les yeux. Ils étaient bien pour se caresser, pour s’embrasser sur les lèvres bouches entr’ouvertes, pour se serrer dans les bras. Une main de Pierre lutinant les seins de sa Baby durs et dressés tandis qu’avec l’autre il faisait danser le sexe de plastique le faisant aller et venir dans son ventre. Laissant sa main entre les cuisses ouvertes il fit comme s’il la baisait son ventre sur le sien et il commença à ramper sur elle d’avant en arrière le gode limant la chatte de baby comme si c’était sa verge qui la perforait au même rythme que l’agitation de ses fesses.

Baby commençait à s’agiter, à repartir vers le plaisir, finalement c’était très jouissif ce sexe rigide qui s’agitait dans sa chatte comme le ventre dur de Pierre qui pressait le sien, il restait bien à fond comme elle aimait, Pierre suivait son visage, guettant ses réactions, elle ne pouvait lui cacher l’émotion qui commençait à la submerger et quand elle ferma les yeux pour jouir il la combla de bonheur en pressant les couilles élastique en inondant son utérus

« Ahhhh Pierre si tu savais comme je jouis grâce à toi……branle moi bien….on dirait que tu me baises vraiment….Bouge bien tes fesses… je les sens….je les caresses….aller.. ;plus vite…..ahhhhh Ohhhh…. tu m’arroses encore…. Ne t’arrête pas mon chéri….fais moi jouir longtemps….tu sais comme je suis insatiable quand je suis partie…il me faut de la bite….ouiiiiiii…..c’est bien….bouge….bouge… bouge….nonnnn ne sort pas..reste au bord…..enfonce toi…..branle moi…..ouiiiii…… c’est bon….embrasse moi dans le cou….écrase tes seins sur les miens…..suce les….pince moi les tétons…..plus fort…faits moi mal…Tourne la queue….si tu savais la sensation qu’elle me fait…..fais la gicler encore……ouiiiiiiiii……ahhhhh.. merciiiii…..i Pieeeeeeerre.

Pierre continua de la servir, inlassablement, elle se tendit plusieurs fois en se tortillant sous lui, elle avait relevé ses cuisses et ceinturait sa taille pour le maintenir contre elle. Finalement il était bien lui aussi, son sexe, le vrai, s’agitant de concert avec le gode entre les cuisses de Baby.

Quand il lui sembla qu’elle refaisait surface il la libéra et s’allongea sur elle, leurs corps intimement et chastement mêlés, il la prit dans ses bras, son torse sur sa poitrine, leurs lèvres dans leur cou. Volontiers il se serait endormi près de ce corps aimé. Baby semblait bien elle aussi, elle se vautrait sur lui, se pelotonnant comme une chatte dans ses bras. Elle le regardait intensément et avec un petit sourire espiègle elle lui dit :

« Mon Pierre j’ai bien joui, tu as bien su jusqu’à présent me contenter, merci chéri ! Mais…. »
Pierre eu un moment de panique, non ! ce n’était pas possible….la suite lui prouva que si
« Mais, j’aimerais jouir encore, je suis bien avec toi, j’aime quand tu me baises, bien à fond, mon corps te réclame, ma chatte te veux, aller ! Prends moi encore mon chéri »

« Il y aurait un moyen, mais j’aurai honte de te le proposer…. »
« Si…..si…..raconte….tu m’intrigues…tu m’excites….je te permets tout pour que tu me fasses jouir encore….. »
« Ce n’aurait rien de désagréable pour toi….ni pour moi….au contraire….tu veux vraiment rejouir ?»
« Avec ce que tu viens de me dire, plus que jamais….comment faire ? allez ose ! »
« j’ai amené une pompe à vide, tu connais ? »
« Evidemment ! je surfe sur tous les sites de cul, alors j’ai tout lu »
« Qu’en penses-tu ? Tu n’es pas contre ? »
« Tout me va pour baiser avec toi…. »
« Toi qui aime les gros sexe, tu vas être servie ! »
« Hummmmm j’ai hâte de voir çà ! »

Pierre prit la pompe, comme baby le savait, c’était un long et gros tube transparent, fermé d’un côté, avec un tuyau souple relié à une poire en caoutchouc, il devait y avoir une soupape car en agissant sur la poire, le vide pouvait se faire dans le tube si on obturait le côté ouvert du tube. Le principe était simple : mettre le pénis dans le tube , l’obturer en l’appuyant sur son ventre, pomper, faire le vide autour de la verge de manière à faire affluer le sang

« J’ai honte ma baby ! »
« N’est pas honte je suis excitée comme jamais….tu crois que tu vas rebander ? »
« J’en suis sur, elle va devenir énorme et dure ! »« Vite allons y, je peux t’aider ? »
« Oui ma chérie, tu me déculpabilises…..enfile moi cet anneau….oui….au ras des couilles….bien,,,,regarde ! »

Devant Baby médusée, Pierre enfila sa verge , appliqua le tube sur son ventre au ras des couilles et pressa la poire, par petits coups et sous ses yeux le miracle se produisit. En moins de temps qu’il faut pour le dire, le sexe se mit à grossir, à s’allonger, à se raidir, le gland énorme décalotté en butée au fond du tube. Jamais Baby n’avait vu une queue si grosse, si longue, si raide, remplissant le tube. Et quant Pierre appuyant sur le bouton de la soupape pu sortir son sexe Baby poussa un cri. L’anneau bien serré maintenait l’érection de sa queue gorgée de sang, pointée vers le ciel.

Pierre était debout devant Baby, heureux ils se regardaient ; c’est Baby qui avança sa main sur lui, elle saisit le membre dressé entre ses doigts
« Elle est énorme chéri….elle est douce…tu sens ma main ? »

Oui il sentait sa main, ses doigts, sa verge avait une extrême sensibilité. Il ne put cacher l’effet qu’elle lui faisait et retenir un gémissement continu qui la transcenda, l’encouragea à poursuivre ses caresses passant de la verge aux couilles congestionnées. Pierre avançait son ventre pour se branler entre le bout des doigts. En bougeant, il sentait son gland émerger de son prépuce avant de se recouvrir du manteau de l’enfance. C’était un peu comme s’il baisait lui-même les deux doigts qui pinçaient sa verge.

Lui aussi caressa son amante, il prit ses seins d’une main tandis que l’autre passée dans ses cuisses s’enlisa paume en l’air dans sa vulve. Que c’était bon ses caresses, leurs deux corps unis par leurs mains câlines et inventives. Ils se tordaient montrant à l’autre ce qui lui faisait du bien.

« Pierre j’aimerais te sucer pour voir, pour sentir cette grosse queue dans ma bouche….tu veux ? »
Bien sur qu’il voulait et Baby se mit à genoux devant lui comme pour voir ce monstre de plus près. Elle eu du mal à le rabattre, horizontal vers sa bouche et comme elle aimait le faire pour scruter les réactions de ses amants elle planta ses yeux levés dans les siens durant toute la fellation.

Elle commença avec sa langue à enduire son gland de salive. Déjà Pierre se trémoussait sous cette caresse si délicate. Comme toutes les femmes qui aiment faire ce geste, Baby s’y prenait bien, elle semblait savoir ce qui fait plaisir et qui rends les amants si dépendants de cette caresse.

Ce sont ses amies qui lui avaient révélé le pouvoir de cette façon de faire sur leurs amants et bien qu’assez tiède au départ, elle avait osé ce geste avec Jérôme et l’avait rendu fou. Depuis elle adorait ce préliminaire et tant qu’il durait les yeux relevés vers ses amant elle scrutait dans leur regard la montée de leurs désirs à la mesure de leur verge gonflée dans sa bouche.

En ces moments Baby aimait voir ses amants et lire sur leur visage grimaçant le moment où n’en pouvant plus délaissant toute dignité ils s’abandonnaient dans sa bouche. Ce n’est pas qu’elle aimait leur jus qu’elle recrachait mais c’était sa manière de les dominer.

Après le gland sa langue s’occupa de la hampe pour l’enduire de sa liqueur nacrée, elle lécha les parties les prenant une par une dans sa bouche en les aspirant. Quand elle prit enfin le dard, ses lèvres arrondies sur cette queue hors norme, dans les yeux de Pierre elle pu mesurer son pouvoir, il râlait, l’encourageant à s’enfoncer. Elle commença par mettre le bout de sa verge bien au chaud dans la grotte humide sous sa langue où son gland fut choyé mais à l’étroit. Elle déglutit l’organe pour bien le voir en louchant sur lui avant d’ouvrir grand sa bouche. Elle en prit le plus possible, le gland au fond de sa gorge, avant de resserrer ses lèvres sur l’énorme hampe et faire virevolter sa langue dans sa bouche.

Pierre était bien, elle le lisait dans son regard perdu rivé sur le sien et quand elle commença à aller et venir sur lui en aspirant il se mit à gémir comme un enfant. Baby aimait observer le bien qu’elle faisait à ses amants quand elle les suçait. Depuis sa première pipe elle avait amélioré sa manière de faire et depuis elle s’appliquait à les dominer et pour ceux qu’elle appréciait leur rendre le plaisir qu’ils lui procuraient.

Elle s’aida de ses mains et tout en serrant la verge raidie à sa base au ras du ventre elle prit une couille dans chacune de ses menottes et les fit vibrer sans les serrer entre ses doigts mis en corolle. Baby triomphait, elle jubilait, Pierre était à sa merci, jamais son sexe n’avait été aussi gros, aussi long, aussi raide, elle l’astiquait bouche grande ouverte à la limite de l’asphyxie ; elle allait réussir à le faire jouir encore une fois……

Mais d’un coup elle perdit le contrôle de la situation, entraînée dans un tourbillon vertigineux, Pierre lui échappant l’avait relevée la serrant face à lui, contre lui .Comme un fétu de paille il la souleva dans ses bras une main sous ses cuisses au ras des fesses, l’autre dans son dos la maintenant horizontale. Baby était bien dans le nid de ses bras quand tout bascula, la chambre se mit à tourner, sa tête plongeant vers le sol, ses cuisses écartées hissées verticales.

Baby comprit la situation, ils se trouvaient maintenant l’un contre l’autre en position de 69 mais au lieu d’être couchés Pierre était debout, elle collée à lui la tête en bas, ses bras ballants ceinturant les fesses de son amant, ses cuisses écartées horizontales serrées sur sa tête, en appui sur ses épaules, ses fesses ouvertes offrant son entrecuisses devant le visage de Pierre.

Baby n’eut aucun mal à reprendre dans sa bouche le membre dressé de Pierre et comme finalement la position était scabreuse mais stable elle pu tout en absorbant l’énorme phallus offert caresser d’une main la partie de hampe qu’elle ne pouvait absorber tout en lui soupesant sa paire de couilles les faisant rouler entre ses doigts.

Pierre avait sous ses yeux le plus charmant tableau qu’il soit. Les fesses de sa Baby écartelées ouvertes sur son entre cuisses. Au premier plan sur le bas du ventre une fine fourrure rase, brune, bouclée, manifestement entretenue et parfumée, taillée en un joli triangle mais laissant en s’avançant un entre cuisses imberbe parfaitement épilé.

Pierre eu comme un vertige en voyant sous son nez les grosses lèvres nues de sa baby ouvertes sur une plaie rougeoyante, des petites lèvres mauves ne cachant rien de l’entrée rose de la vulve ouverte, plus loin l’anus bistre parfaitement dégagé comme offert dans une petite dépression au milieu des fesses divines.

Pierre fut pris d’une sorte d’ivresse et son visage plongea vers ces trésors. Bouche grande ouverte il prit les petites lèvres et le petit gland du clitoris entre ses lèvres tandis que sa langue raidie s’enfonçait profondément dans la vulve et pour y rester et s’agiter, prenant les fesses à pleines mains il les attira vers lui pour s’enfoncer davantage.

C’est alors qu’il ressenti lui aussi les bienfaits de la bouche de Baby sur son membre. Et il du se retenir pour ne pas éjaculer une fois encore dans sa bouche qu’il baisait en agitant ses fesses. Baby elle jouissait encore, cette langue, ces lèvres cette bouche l’affolait et quand elle aspira son clitoris ; chaque coup de langue, chaque succion était comme une décharge électrique partant de son bouton bandé gorgé de sang, sorti de son antre, éclair de plaisir ravageant son ventre, divergeant à la pointe de ses seins avant d’exploser dans sa tête.

Quand sans se concerter, pour parfaire leur jouissance, ils eurent l’idée en plus du reste de glisser un doigt mouillé dans leur anus ce fut le chaos ils eurent du mal à tenir la position, les cuisses de baby broyaient le visage de Pierre, la bouche pleine ils ne pouvaient crier leur plaisir. Elle eut la force de dire

« Je vais tomber mon Pierre, je jouis….c’est bon….baise moi avec ta grosse queue….ravage moi la chatte……ramone moi……si tu voyais ton gland….il est énorme…..J’ai moi aussi fait le vide dans ma bouche….il est tout rouge….allonge moi…..ouiiii…. tu es gentil….relève mes cuisses….aller viens mon chéri….présente ton gland….ouiiiiillllle….il est trop gros….que fais tu ?....tu te branles ?....non….tu mets quoi sur ton membre ?...de la vaseline…oui… mets en aussi une noisette à l’entrée de ma chatte….bien….on r’essaie ? ...doucement…..doucement…..oui….oui….ouiiiiii….elle rentre…..tu me remplis mon chou…..jamais je n’ai ressenti cette plénitude…..ouffffff….. bouge maintenant….Ahhhh que c’est bon !......elle est grosse !.....Ahhhhhhhh, essaie de venir toi aussi…..je veux que tu jouisses en moi mon chérie….attends je serre ma chatte sur ta grosse queue….tu me sens,…..tu es bien….ouiiiiii je le lis dans tes yeux….laisse toi aller…..Ouiiiii tu jouis……Pierrrrre…..je sens ton foutre qui m’asperge……bouge….bouge……aaahhhhhouuuuuiiiii….c’est bon….c’est bonnnnn…..pierrrree……..

Pierre était heureux, il se sentait puissant, debout entre les cuisses de sa Baby allongée en travers du lit, elle s’était cambrée, relevant son bassin pour bien se faire emmancher et d’une main elle complétait son plaisir en tripotant son clito. Lui avait pris les seins qu’il pétrissait vigoureusement, ses tétons entre ses pouces et index. Il la vit partir en orgasme qu’il fit durer en la servant implacablement. Dans un état second elle criait encore….encore.

Alors il la fit jouir dans toutes les positions. Mais à un moment il fut pris de doute et d’un coup il eut peur pour elle, peur que son insatiabilité ne l’entraîne trop loin, vers l’inconscience.

Alors il se retira et il s’allongea sur elle en la caressant chastement, en l’embrassant doucement en lui disant tout son amour pour elle et le respect qu’elle lui inspirait.

« Ma baby, je t’aime, tu es ma femme, la femme que j’ai toujours recherchée en vain avant de te connaître….nous sommes faits pareils ma chérie….nous allons jouir….jouir…..longtemps maintenant…tu veux ? »
« Oui éternellement mon amour…embrasses moi….. »

Elle le regarda en souriant, l’embrassa et recouvrant leurs deux corps nus avec la couette elle se lova contre lui, comme une chatte enfin repue au coin du feu.

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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Retour très hard

Le 27/03/2010 - 14:20 par Paradise Kiss
Bravo à toi Pierre Le Grand !!! Ton histoire était absoluement magnifique et tu écris vraiment très bien !! Ton histoire était vraiment très prenante et sache que elle m'as terriblement éxitée ... Merci d'avoir écris au moins une histoire qui raconte l'histoire d'un homme qui pense en premier au plaisir de son amante plutot qu'a lui en premier et je peux vous dire qu'on en trouve pas beaucoup des comme çà !!! Continuez comme çà ,vous etes parfait ...

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