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Retrouvailles

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Lue : 1100 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/07/2014

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Bénédicte est une amie que je connais depuis le lycée. A l'époque nous formions une petite bande avec quelques amis et nous ne nous quittions jamais. Nous avons eu une aventure ensemble quelques temps à l'époque, mais trop jeunes alors, la vie nous avait séparés et tous deux nous avions fait notre vie de notre côté sans toutefois nous perdre complètement de vue.

Depuis, nous nous croisions de temps en temps chez des amis communs et chacune de nos rencontres étaient un peu particulière, nous avions beau être mariés, nous ressentions une attirance l'un envers l'autre, sans bien sûr jamais passer à l'acte. Ce jour-là nous étions invités chez nos amis pour un barbecue, c'était une belle journée d'été et Bénédicte était là vêtue d'une jolie petite robe. Nous étions 5 couples, avec les enfants, l'ambiance était excellente et malgré la présence de nos maris et femme respectifs, Bénédicte et moi n'arrêtions d'échanger des regards sans que personne bien sûr ne puisse s'en apercevoir. Nous avons pris le repas au milieu de la pelouse sous un grand chêne et vers 17h00, notre hôte nous a proposé d'aller nous baigner dans un lac près de chez eux. L'idée de voir Bénédicte en maillot de bain m’était plutôt agréable, mais je ne sais encore pour quelle raison, je n'avais pas très envie d'aller au bord de ce lac. Tout le monde était partant, les enfants pillaient d'impatience et j'étais le seul à ne pas manifester d'enthousiasme. Tout le monde insistait pour que je vienne et Bénédicte était venue très naturellement s'asseoir sur mes genoux en me prenant dans ses bras pour me demander de les accompagner. Je n'ai pu résister et ai dit oui. Elle est restée sur mes genoux tandis que presque tout le monde était parti pour chercher des maillots de bains et serviettes que nous prévoyions toujours en venant chez eux car très fréquemment nous finissions tous dans la piscine.
Je suis contente que tu viennes.
Et moi je suis très content de t'avoir revue, ça faisait longtemps.

Nous avons discutés quelques instants alors qu'elle était sur me genoux et je n'ai pu retenir une petite érection en la sentant contre moi. Les enfants étaient revenus déjà, piaffant d'impatience. Bénédicte se leva mais en se levant, elle glissa sa main sur mon entre jambe en se pencha vers moi.
Toujours la forme à ce que je vois..

Je me suis levé moi aussi et une fois tout le monde réuni et les affaire prêtes, nous sommes partis à pieds en direction du lac. Celui-ci était situé à une dizaine de minutes à pied de chez eux, derrière un petit bois. Nous avons suivi le sentier au milieu des bois et sommes arrivés au bord d'un petit lac désert. Le paysage était magnifique, une eau claire bordée d'arbres. A peine arrivés les enfants étaient déjà dans l'eau tandis que nous nous installions sur le bord. Bénédicte ayant oublié son maillot de bain, elle était repartie le chercher à la maison. Quelques minutes plus tard, ma femme s’est rendu compte qu'elle avait oublié ses lunettes de soleil. Nous avons appelé Bénédicte à travers les bois mais elle ne nous a pas entendus. Ma femme c'est tournée vers moi en me demandant si je voulais aller chercher ses lunettes. J'ai bien protesté quelque peu mais je me suis vite rendu compte que c'était pour moi l'occasion d'être seul avec Bénédicte.
Ok j'y vais, bon je nous ramène à boire par le même occasion.

Je suis parti à mon tour au travers du bois en direction de la maison. J'ai pressé un peu le pas pour tenter de rattraper Bénédicte mais je ne l'ai croisée qu'à la sortie du bois alors qu'elle était sur le chemin du retour. Je lui ai expliqué que j'allais à la maison. Elle a proposé de m'accompagner mais je lui ai dit que je m'en sortirais très bien tout seul et qu'elle pouvait rejoindre les autres. Elle n'a pas insisté pour m'accompagner et je suis parti seul et déçu vers la maison. J'ai pris les lunettes de ma femme, deux bouteilles de vin et quelques verres et suis repartis vers le lac. Quand je suis arrivé à la lisière du bois, Bénédicte m'attendait.

J'avais peur de refaire le chemin toute seule, j'aurais pu me perdre.
Alors je t'accompagne, à deux, le risque est moindre

Tout dépend de quel risque on parle, tout a l'heure j'ai senti un risque de tension assez fort entre nous. Je ne voudrais pas être la cause d'une telle tension sans tenter d'y remédier d'une façon ou d'une autre..

En effet je sens la tension renaître à nouveau. Tu penses à la même chose que moi ?
Oui..
Nous sommes mariés.
Ils sont loin..
Nous nous sommes tournés l'un vers l'autre et avons laissé tomber nos affaires avant de nous jeter l'un contre l'autre. Nous nous sommes embrassés fougueusement. Sans attendre, j'ai senti la main de Bénédicte venir se poser entre mes cuisses déboutonnant mon bermuda pour sortir mon sexe.
J'ai envie de toi tout de suite !

Elle s’est retournée se collant contre moi. J'ai glissé ma main sur ses hanches pour relever sa robe, glissant ma main entre ses cuisses. Elle avait enlevé sa culotte et mes doigts se sont posés sur son entrecuisses ruisselante de désir.
Prends moi là..

Elle s’est avancée un peu pour prendre appui sur un arbre. Je me suis glissé derrière elle, relevant sa jupe et glissant mon sexe entre ses cuisses. D'une simple poussée nos deux corps n'en formèrent plus qu'un, pénétrant ses chairs humides. Elle a gémi de plaisir, creusant les reins davantage pour s'offrir. A peine avais-je entamé mon vas et viens entre ses cuisses que déjà elle jouissais..
Ah oui je viens, je viens... J'en avais tellement envie oui je jouis.. Je jouis...
Sans attendre elle s’est agenouillée devant moi, entourant ma masculinité de ses lèvres gourmandes.
Viens dans ma bouche

Je me suis laissé faire, regardant mon sexe s'enfoncer entre ses lèvres, elle me fixait du regard comme si elle m'implorait de jouir.. Je ne pus me retenir très longtemps et libérais mon plaisir dans sa bouche qu'elle s'empressait d'engloutir, m'aspirant encore comme pour ne pas en perdre une goute.. Elle a joué quelques instants encore de sa langue sur mon sexe avant de se relever et de m'embrasser.

J'ai adoré, essaie de trainer un peu sur le chemin du retour..
Elle a enfilé sa culotte et nous nous sommes empressés de reprendre le chemin afin de ne pas éveiller les soupçons chez les autres.

Nous avons retrouvés les autres et avons passé la fin d'après-midi au bord du lac. Alors que tout le monde s'apprêtait à partir, j'ai proposé une dernière baignade. La réponse a été unanime :
Non, nous nous sommes séchés..

J'ai plongé à l'eau sans rien dire et quelques secondes plus tard, seule Bénédicte m'avait rejoint dans le lac. Les autres prêts à partir nous ont demandés de sortir et après quelques minutes ont proposé que nous les rejoignions en chemin.. Nous étions arrivés à nos fins, rester tous les deux, cependant pour ne pas éveiller les soupçons, nous sommes sortis de l'eau au moment où ils partaient. Nous avons trainés un peu faisant mine de nous sécher en laissant les autres s'éloigner. J'ai enfilé ma chemise et Bénédicte a noué sa serviette autour d'elle.

Marchons un peu au cas où l'un d'entre fasse demi-tour et vienne nous rejoindre.
Nous nous sommes engagés sur le chemin côte à côte, suffisamment loin du groupe pour qu'ils ne nous voient pas mais pas trop loin non plus pour ne pas éveiller les soupçons. Alors que nous marchions cote à cote j'ai posé ma main dans le creux des reins de Bénédicte et doucement, j'ai glissé ma main sur ses fesses.
Glisse ta main sous mon maillot de bain !

Je ne me suis pas fait prier et j'ai faufilé ma main entre son maillot de bain et ses petites fesses, redécouvrant ses courbes soyeuses. Tout en marchant je me suis mis à lui caresser les fesses tout en baissant doucement ma main en me dirigeant vers ce puits d'amour qui m'avait accueilli quelques heures plus tôt. Mes doigts n'eurent pas besoin de jouer longtemps tant elle était excitée et tout naturellement mon majeur c'est enfoncé en elle comme aspiré par le désir. Tout en marchant j'ai joué de mes doigts comme d'un instrument pour faire vibrer la corde sensible. Croyant entendre un bruit devant nous, j'ai immédiatement retiré ma main, prenant l'air tout à fait innocent. Fausse alerte.. Ma main a repris le chemin savoureux de son corps, depuis le creux des reins tout en descendant et poussant cette fois la curiosité entre ses deux magnifiques parties charnues. Je pousse un peu plus en avant la découverte guidé par cette ligne naturelle qui me mènera au calice. Mes doigts retrouvent l'humidité qu'il me presse de fouiller. Son souffle saccadé m'invite à persister mais notre marche ne rend pas la chose aisée. A chaque pas mes doigts sont naturellement rejetés en arrière venant maintenant volontairement caresser cet autre orifice que d'autres qualifieront de vice.
J'aime ça.

Mon doigt c'est fait plus entreprenant, tournoyant, massant, caressant pour finir pénétrant tout doucement, s'enfonçant. Jamais je n'avais vécu quelque chose d'aussi excitant.. L'adultère, la peur d'être surpris, ce comportement indécent. Mon doigt glissait, s'enfonçait, j'avais terriblement envie d'elle, de la faire jouir, lui donner du plaisir la voir s'abandonner. J'ai commencé à faire aller et venir mon doigt entre ses délicieuses petites fesses. La démarche de Bénédicte devenait plus saccadée.
Tu veux que l'on s'arrête derrière cet arbre ?
Tu peux me prendre au milieu du chemin si tu veux..

Nous avons poursuivi jusqu'à un gros arbre au bord du chemin ou Bénédicte a pris appui. Placé derrière elle je poursuivais mes caresse de mes doigts sur son anus.
Viens prends moi !

Elle a écarté son maillot de bain de ses doigts pendant que je sortais mon sexe tendu. Je me suis placé derrière elle et ai frotté mon gland contre sa fente humide
Non viens derrière !

J'ai écarté ses fesses de mes mains et ai posé l'extrémité de mon sexe tendu sur le trou de mon désir. Doucement j'ai poussé sur mon gland, sans forcer pour ne pas lui faire mal. La résistance me semblait trop forte mais elle m'invita à poursuivre.
Vas-y encore, plus fort, j'aime quand c'est dur comme ça..

Poussant un peu plus sur mon gland, son anus c'est ouvert devant moi laissant tout mon sexe s'enfoncer entre ses fesses. La sensation était délicieuse, son anus enserrait mon sexe pendant que je m'enfonçais entre ses chairs brûlantes. J'ai posé mes mais sur ses hanches et ai commencé à aller et venir en elle tandis qu'elle se caressait le clitoris de ses doigts. La sensation était si forte pour moi que je ne pu me retenir très longtemps.
Je vais jouir
Vas y viens en moi, jouis en moi.

Quelques coups de reins plus tard je lâchais ma semence en de longs jets brûlants au plus profond d'elle...
Reste en moi, ne sors pas..

Elle a agité plus fort ses doigts sur son clitoris et quelques instants plus tard elle jouissait à son tour. J'ai senti les spasmes de son corps, son anus qui se resserrait autour de mon sexe avant de me libérer de ce délicieux fourreau. Très vite, nous nous sommes rajustés et avons repris notre chemin, en accélérant le pas. Notre étreinte n'avait dû durer que 2 à 3 minutes et nous sommes arrivés à la maison quelques instants après les autres.

Depuis ce jour, le numéro de portable de Bénédicte s'est transformé en Marie Portable (le nom de mon assistante) sur mon téléphone et nous nous voyons régulièrement mais toujours en cachette..
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Histoire de ericlille

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