Révélation de mon homosexualité 4

Enfin 15 jours de vacances, j’espère qu’on va en profiter pour ce faire du bien.
Un grand jour se profile surtout pour Jean, je rencontre Georges qui me donne une adresse pour que je mette au point une rencontre a plusieurs et qu’il puisse enfin enculer Jean, je me rends donc à l’adresse indiquée, un gars âgé me reçoit j’ai cru à une erreur, je lui dis que je venais de la part de Georges, il s’est empressé de me faire entrer. C’était une petite maison avec un étage au rez- de- chaussé une cuisine, un salon salle à manger, un WC et l’escalier pour parvenir à l’étage, en haut deux chambres la première de dimension normale avec un grand lit, la seconde beaucoup plus grande avec un grand lit plus un lit d’une place et demie, une très grande salle de bain suréquipée, une grande douche à l’italienne, une baignoire, deux lavabos, et un bidet Henri mon hôte m’a expliqué ce que c’était, je n’en avais jamais vu il a baissé son pantalon et son slip s’est accroupit dessus et m’a montré à quoi ça servait, bien sûr il a exhibé une belle queue assez longue mais pas très grosse environs 4 cms quand même. Il a laissé ses fringues par terre et m’a demandé si j’avais du temps devant moi car il avait envie de me faire un câlin, j’ai de suite traduis sa pensée il voulait m’enculer Georges lui avait surement parlé de mes envies. Il a commencé à me caresser tout en me conduisant vers la chambre, il m’a embrassé avec fougue tout en me caressant d’une main un téton et de l’autre mes fesses, je me suis déshabillé entièrement, il s’est assis au bord du lit les jambes écartées avec sa belle tige bien raide, je me suis mis à genoux et j’ai engloutis se sexe vigoureux, je l’ai sucé de plus en plus vite j’avais envie de boire son sperme, ça n’a pas tardé il m’a inondé la bouche de son foutre je l’ai gardé en bouche pour apprécier sa saveur et j’ai tout avalé comme d’habitude. Il m’a proposé de boire quelque chose mais j’ai refusé en lui disant que je préférais garder le gout délicieux de son jus.
J’ai continué à le caresser pendant qu’on mettait au point la prochaine rencontre et combien on serait, d’après Georges on serait sept, je me suis demandé qui était les deux autres. On a décidé que ce serait le jeudi suivant, pendant ce temps il avait repris des forces et recommençait à bien bander, j’ai pris sa queue dans la bouche pour activer son érection, je l’ai poussé doucement pour qu’il se retrouve sur le dos et après lui avoir enfilé une capote je me suis mis à cheval sur lui et doucement je me suis empalé sur sa bite en écartant les fesses au maximum pour sentir son membre au plus profond de mon cul, je montais et descendais pour bien faire coulisser ce beau mandrin dans mon fourreau et cela de plus en plus vite mais toujours sur toute sa longueur, j’ai senti a sa crispation sur mes poignets qu’il allait jouir, j’ai accéléré encore plus vite et il a jouis avec force, je suis resté sur lui jusqu’à ce qu’il débande, je me suis retiré, il ne bougeais plus les yeux fermés, un sourire aux lèvres, j’étais heureux de lui avoir donné du plaisir.
On est sortis de la chambre et je commençais à me laver sur le bidet quand j’ai cru avoir une illusion, j’avais à côté de moi un deuxième Henri mais celui-ci était habillé, en fait c’était Paul son jumeau, Henri est sorti de la douche et nous a présentés, Paul mon frère, Michel un très bon cul à baiser sans modération, flatté mais gêné je lui ai dit bonjour, j’étais à poil devant lui qui se caressait l’entre jambe, Henri lui a demandé de me montrer sa queue pour que je constate que même à ce niveau ils étés pareils, Paul s’est exécuté et en effet il avait la même bite que celle dont je venais de m’occuper et en plus il bandait, malgré que je sois pressé je n’ai pu m’empêcher de lui faire une gâterie et quand il a senti qu’il allait jouir il a voulu se dégager mais je lui ai enserré la taille pour garder ce bon sexe dans la bouche, il a jouis, j’ai gardé son sperme dans la bouche pour le déguster et je l’ai avalé.
J’ai pris congé en leur promettant de m’occuper de leurs queues à la prochaine rencontre, Henri m’a confirmé que Paul serait présent jeudi.
En chemin j’ai rencontré Jean et Marcel, je leur ai raconté ce qui venait de m’arriver, Jean a de suite compris que c’était où nous devions aller jeudi mais il ne dit rien devant Marcel, ce dernier commençait à nous faire comprendre que lui aussi aimerait tenter l’expérience de se faire enculer, on lui a parlé des grosses queues de nos amants et il nous a rétorqué que si nous deux on s’occupaient de son cul, dans un avenir proche il pourrait lui aussi accueillir des grosses bites.
Avec Jean on s’est regardé et je lui ai dit que ce n’est pas une partie de plaisir de prendre des queues dans le cul au début, après on s’y fait mais il faut vraiment le vouloir, il nous a dit c’est quand vous voulait, justement il n’y avait personne chez Jean et nous y somment allés, comme d’habitude Jean a fermé la porte d’entrée à clef et nous somment allé dans sa chambre, il a sorti le gel et des capotes et pendant que jean se faisait sucé j’ai commencé à préparer le cul de marcel au début avec un doigt et j’ai senti comme une résistance je lui en ai fait la remarque et il m’a répondu que c’était la surprise, j’ai donc continué en y ajoutant un deuxième doigt puis un troisième je rajoutais à chaque fois un peu de gel, il a commencé à dandiner du cul, j’ai fait un clin d’œil à Jean j’ai enfilé une capote que j’ai bien enduite de gel et j’ai présenté mon gland contre son anus, je l’ai prévenu que j’allais forcer son passage il a lâché la bite de Jean de peur de la mordre et c’est cramponné a lui, j’ai commencé à enfoncer ma bite tout doucement, il a eu un mouvement de recul ce qui a eu pour effet que la pénétration a été plus rapide que prévu, j’ai fini de m’enfoncer complètement et je suis resté immobile le temps qu’il se fasse a ce morceaux de chair qu’il avait dans le cul, j’ai commencé par de petits va et viens et comme il avait l’air de s’y faire j’ai continué plus vite et plus profond, il s’est mis à accompagner mes coups de bite, je n’ai pas pu me retenir d’avantage et j’ai jouis, Jean en a profité pour me remplacer et là Marcel a poussé un cri de douleur et s’est mis à pleurer, Jean a voulu se retirer mais Marcel a refusé il voulait aller au bout de son initiation. Jean a jouit, Marcel s’est mis sur le dos comme je le faisais souvent quand c’était lui qui m’enculait, j’ai mis ses jambes sur mes épaules et j’ai recommencé à l’enculer, il me regardait me disant que s’il avait su il aurait commencé bien plus tôt, j’ai éjaculé et jean a pris ma place et il lui a bourré le cul à grands coups de bite. L’heure avançait et les parents de Jean risquaient d’arriver, on s’est nettoyés sommairement et on s’est quittés, comme Marcel habitait pas loin de chez moi nous avons fait le chemin ensemble et là il m’a avoué qu’il avait eu très mal et quand même temps il avait ressenti une jouissance extrême, il m’a fait lui promettre que nous aurions d’autres rapports partagés, ce que nous avons fait assez souvent tous les deux et de temps en temps avec Jean.
J’ai bien pensé l’inviter à notre petite sauterie du jeudi mais c’était trop frais et il risquait de se faire exploser la rondelle par les autres participants bien mieux montés que Jean et moi, mais vu ce qu’on lui a mis pendant cinq jours j’en ai parlé à Georges qui m’a affirmé que si il ne pouvait pas prendre des bites plus grosses que la mienne et celle de Jean et bien on serait les seul a le baiser pendant qu’il sucerait les autres, j’aurais préféré servir de vide couilles tout l’après-midi mais bon je me suis engagé vis-à-vis de Marcel, donc marché conclu et a jeudi.