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Rêverie nocturne

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Lue : 1024 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/08/2014

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Alexandra a 18 ans. Elle habite près de Paris avec ses parents et sa sœur. Nous nous sommes connus il y a deux ans via le réseau social Facebook car une personne de sa famille est atteinte de la même maladie que moi.

Au début, vu son jeune âge, je ne prêtais guère attention à elle plus que ça. Nous échangions principalement sur le thème de la maladie, des soucis engendrés, etc. Je lui prêtais réconfort et l’écoutais. Mais j’avais néanmoins remarqué qu’elle était différente des jeunes filles de son âge.

En effet, elle dégageait une telle maturité d’esprit dans ces écrits que s’en était déstabilisant, bluffant parfois. Elle manipulait aisément le français et décrivait subtilement son désarroi, son impuissance face à la maladie incurable de sa grand-mère.

Au fil du temps, elle confirmait mon jugement initial à son égard. Brillante à l’école et toujours à l’affût d’un jeu de mots habile, je me plaisais à discuter de tout et de rien avec elle.
Au fil des discussions, je découvris une autre facette de sa personnalité…
Alexandra, Alex pour les intimes, est une très belle jeune femme. Longs cheveux bruns bouclés, à faire pâlir certaines brésiliennes pures souches. De grands yeux foncés, une poitrine opulente et un visage d’ange. Elle plaît aux garçons.

Alex est curieuse et pose énormément de questions sur la… sexualité. Evidemment, j’ai dû attendre sa majorité et la temporiser par moment, fixer certaines limites afin de ne pas nous nuire. Mais elle n’est pas en reste pour autant lorsqu’il s’agit de jeux de mots salaces, elle est très subtile et fine dans ses allusions, maniant la métaphore avec une aisance déconcertante.

Les années passèrent, les écrits s’enchaînèrent et mes pensées envers elle se furent plus coquines. Qui plus est, elle est majeur à présent, je suis plus à l’aise, la conscience plus tranquille. On ne s’est jamais rencontrés mais une grande complicité s’est installée entre nous. On s’écrit tous les jours, on se raconte tout, une vraie amitié virtuelle s’est créé au fil du temps. Au point qu’une certaine jalousie s’est installée lorsque nous nous racontons nos vies intimes, nos rencontres.

Il m’arrive de lui raconter certains de mes rêves dans les moindres détails, elle adore ça. Comme par exemple, la fois où j’ai rêvé d’elle :

Nous sommes dans un divan, nous regardons un film dans une pièce exiguë et sombre. Nous sommes l’un à côté de l’autre, je ne me rappelle pas quel était le film ni même une seule image d’ailleurs. Je sais qu’à un moment elle s’est blottie contre moi, sans bouger, sans raison aucune, comme un diable sorti de sa boîte. Comme si le danger guettait.

Après de longues minutes, je senti sa main caresser mon bras, puis ma jambe. Elle faisait glisser sa paume de main délicatement sur l’intérieur de ma cuisse. Je sentis mon sexe se durcir progressivement et déformer mon pantalon en toile beige au fur et à mesure des caresses.

Alex et moi n’osions nous regarder, mais nous étions bien. On fixait toujours cette télévision, mais notre conscient était ailleurs. Sa main s’engage timidement vers mon membre en pleine ascension. Elle hésite, est à deux doigts de le toucher. Comme si elle attendait mon approbation. Je glissai ma main sur son dos et la caressa pour la rassurer, lui dire que l’envie était partagée. Quand ma main caressa une partie de sa peau dénudée dans le bas de son dos, je l’ai senti frémir, comme si un frisson lui avait parcouru le corps…

Elle reprit ses caresses, comme si j’avais donné mon aval par mon effleurement de peau. Ses caresses n’étaient plus hésitantes, mon membre reprit vigueur de plus belle. Tandis qu’elle me branlait par-dessus le pantalon, je passai mes mains dans sa belle chevelure pour lui dégager l’oreille et tenter d’accrocher son regard. A ma grande surprise, elle n’hésita pas à me fixer droit dans les yeux et enfourna goulûment sa langue dans ma bouche. Nos lèvres ne formèrent plus qu’un durant de longues minutes. L’excitation était à son comble.

Très vite nous nous enlevions nos hauts respectifs. Je dégrafai son soutien-gorge en moins de temps qu’il ne faut pour le dire afin de libérer sa plantureuse poitrine. Je palpai généreusement celle-ci pendant qu’Alex me léchait et suçait le lobe de l’oreille. Nous étions partis, ailleurs, loin des conversations virtuelles.

Nous nous sommes retrouvés nus comme des vers, moi assis, elle à califourchon sur moi dans ce divan. Je sentais sa chatte brûlante se frotter sur la hampe un peu voûtée de ma queue… C’était divin. Elle prit mes mains qu’elle posa sur ses seins devenus durs. Je ne puis m’empêcher de les embrasser tendrement, de jouer avec ma langue autour de ses tétons durcis. Quand je les suçais, elle poussait de petits gémissements qui m’excitais d’avantage.…

Je sentais qu’elle voulait que je la pénètre, mais je désirais également quelque chose… Quelque chose que j’aime par-dessus tout et elle le savait. Je l’a fit basculé, dos sur le divan, et m’aventura vers le bas de son ventre afin de m’occuper d’elle comme il se doit. Parfaitement épilée, ma langue glissa aisément vers son petit bouton rose. Je l’embrassai à pleine bouche à plusieurs reprises avant de le faire tournoyer avec ma langue. Alex aimait ça et le fit comprendre en gesticulant tout doucement du bassin, sa respiration était également plus perceptible.

Quelques instants plus tard, j’humectais mon index afin d’honorer sa si belle fente, j’y allai progressivement bien que la belle était déjà largement mouillée… sa mouille sentait bon, après quelques va-et-vient, je terminai en enfonçant au plus profond ma langue plusieurs fois, ce qui fit sursauter Alex d’une indescriptible jouissance…

Après quelques secondes de répit où je ne caressais que son ventre musclé, la belle reprit ses esprits et se redressa. « je vais m’occuper de toi à présent ! » me dit-elle, l’œil plein de vices.

Moi, toujours assis confortablement, elle s’agenouilla au sol et m’embrassa goulûment. Nos langues se chevauchèrent à nouveau, elle me branlait tout doucement, je reprenais vigueur progressivement. Sa bouche quitta la mienne pour se positionner directement sur mon gland gorgé de sang, je vis ses lèvres entourer sensuellement ce dernier pour finalement descendre délicatement tout le long de ma queue. Elle descendit bas, ce qui m’excitait encore plus. Elle remontait ses cheveux à chaque fois qu’ils retombaient afin que je puisse admirer ce somptueux spectacle. Après quelques va-et-vient torrides, je lui demandai de venir sur moi afin que nous puissions jouir ensemble.

Elle s’empala facilement sur moi et entama ses torsions de bassin, façon Shakira, pendant que je lui dévorais littéralement le cou et les seins. Avec mon pouce, je lui titillais le clitoris « oh oui vas-y continue comme ça avec ton doigt, fais-moi jouir encore », tandis qu’elle accentuait ses va-et-vient, je sentais que je ne pourrais plus retenir ma semence plus longtemps, j’étais au bord de l’extase, elle aussi, je l’a serrai contre moi, nos corps transpirant ne faisaient plus qu’un durant l’orgasme mutuel, je sentais mon sperme l’envahir à grands coups de jet…

Et je me réveillai, il était 3h45, comment se rendormir après pareil rêve.…
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Histoire de biboum

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