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Sandrine et la pâtisserie

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Lue : 1970 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/09/2015

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La boulangerie-pâtisserie de M. et Mme Duboulard était réputée dans la petite ville de S... pour l'excellence de ses produits. Depuis quelques semaines, la qualité de l'accueil, déjà très satisfaisante, avait été encore améliorée grâce à l’arrivée de la jeune Sandrine, étudiante en commerce qui était venue de Paris à S... pour faire un stage de vendeuse. Sandrine était donc une agréable et souriante jeune fille de 20 ans. De taille moyenne, elle était plutôt potelée mais sans excès. Ses charmantes petites rondeurs attiraient les regards de certains clients qu'elle servait à la caisse. D'ailleurs, le chiffre d'affaire de la maison Duboulard avait tendance à augmenter ces dernières semaines. Le bouche à oreille fonctionnait bien dans un petit bourg comme l'était S... et certains messieurs préféraient marcher un peu plus pour se rendre désormais chez Duboulard plutôt que chez le boulanger habituel de leur quartier. Quel plaisir que d'être accueilli par cette accorte demoiselle dont les longs cheveux bruns étaient attachés en queue de cheval et pendaient jusqu'à la taille. Et comment ne pas s'attarder sur ces deux magnifiques globes moulés dans un corsage au décolleté profond ? Un décolleté qui mettait en valeur ces trésors, les rendant aussi appétissants que les pâtisseries que proposait Sandrine.

Pendant ce temps, dans la partie de l'arrière-boutique qui servait d'atelier de pâtisserie, un homme préparait éclairs, religieuses, Paris-Brest, Saint-Honoré et autres tartelettes qui faisaient la réputation de la maison Duboulard. Cet homme grand, sec, le visage buriné et les cheveux gris taillés en brosse, se nommait Wliko (était-ce son nom de famille ? Son prénom ? Un surnom ? On n'en savait trop rien). Il avait dû quitter l'ex-Yougoslavie dans sa jeunesse et avait eu une vie aventureuse, souvent marquée par la misère. Il s'était retrouvé pâtissier presque par hasard et avait trouvé du travail dans la ville de S... La pâtisserie était devenue une passion pour lui et lui permettait d'oublier ce qu'il avait vécu. Les Duboulard étaient très satisfaits de son travail, regrettant juste un peu son caractère solitaire et taciturne.

Par un dimanche de printemps, Sandrine se leva vers 7 heures pour aller travailler. Le ciel était déjà bien bleu, la journée promettait d'être belle. Après avoir fait sa toilette et s'être parfumée, Sandrine s'observa attentivement dans le miroir de la salle de bain. Elle examina ses seins. Qu’ils étaient beaux ! Ronds, fermes, avec des tétons pointus dirigés vers le haut. Elle les caressa quelques instants et sentit des frissons la parcourir. Puis elle tourna le dos au miroir et tourna sa tête pour bien voir ses fesses. Quelles hanches généreuses ! Quel joli cul tout en rondeur, avec une peau parfaite et une absence de cellulite. Elle sourit satisfaite en se disant "je ne suis pas un top-model mais je suis quand même bien foutue !". Elle se serait bien masturbée en se regardant mais elle n’avait pas le temps. Ce n’est pas l’envie qui lui manquait après toutes ces semaines de solitude dans ce bled. Elle eut néanmoins l’intuition que cette journée allait être spéciale, sans trop savoir pourquoi. Elle se savait belle et avait envie de faire rayonner sa beauté. Au lieu des sous-vêtements habituels, elle mit un ensemble culotte et soutien-gorge de fine dentelle noire. Puis elle sortit du tiroir un porte-jaretelles et de très fins bas. Lorsqu’elle les enfila soigneusement, la caresse des bas sur ses jambes parfaitement épilées lui causa une agréable sensation. Puis elle les attacha au porte-jaretelles qu’elle avait mis auparavant. Elle ouvrit son placard pour en sortir une robe. C'était une robe en tissu satiné, à manches courtes. Elle était rose avec des rayures argentées. Sandrine se demanda pourquoi elle avait apporté cette robe qui lui donnait un côté innocent qu'elle ne cherchait pas vraiment. Peut-être avait-elle quelques préjugés sur la province et s'imaginait qu'avec une telle robe elle serait convenable et ferait une bonne impression si d’aventure elle était invitée à une soirée dans un château de la petite noblesse locale. Il résonnait peut-être en elle quelques souvenirs des romans de la comtesse de Ségur. L’aspect de cette robe faisait penser aux sucres d’orge qui étaient vendus dans un grand bocal en verre posé sur le comptoir de la boutique Duboulard. D’ailleurs, quand Sandrine se regarda dans le miroir du placard en se maquillant, elle pensa : "je ressemble à un bonbon... À croquer...". Elle enfila une paire de fins escarpins roses avec des petits nœuds à la pointe et noua ses cheveux avec un ruban rose. Puis elle mit son écharpe, son manteau, de jolis gants de cuir (car il faisait frisquet ce matin, malgré le ciel bleu) et quitta le studio meublé qu’elle louait. Sur le chemin vers son travail, le bruit de ses talons sur le bitume du trottoir lui semblait plaisant. Les rares passants mâles qu’elle croisait à cette heure un dimanche se retournaient sur son passage.

Elle entra dans la boutique et se dirigea vers la pièce qui servait de vestiaire pour y déposer son manteau et son écharpe. Sa patronne était là, en train de prendre un café.

- Bonjour Madame Duboulard !
- Bonjour Sandrine ! Oh, mais tu es ravissante aujourd'hui !
- Merci Madame.
- N’oublie pas que nous fermons exceptionnellement à 14 heures aujourd'hui. Avec Monsieur Duboulard nous devons partir voir une de mes cousines qui est malade et nous ne reviendrons que mardi. Il faudrait que tu restes avec Wliko pour ranger la boutique après notre départ.
- Bien Madame, pas de problème.

Elle enfila et noua autour de sa robe un grand tablier blanc bordé de dentelle. Puis elle alla arranger les vitrines en attendant les premiers clients. Pendant ce temps, Monsieur Duboulard s'activait au fournil tandis que Wliko préparait des gâteaux. La matinée se passa bien, avec l'habituel "coup de feu" de midi au moment de la sortie de la messe, quand les clients se pressaient pour acheter pain et pâtisseries. Sandrine n’eut pas de mal à supporter ce flux ininterrompu et resta serviable, efficace et souriante jusqu'à l'heure de la fermeture. Les Duboulard s’en allèrent et laissèrent Sandrine nettoyer la boutique tandis que Wliko rangeait son atelier. Elle eut rapidement fini, ôta son tablier, puis s’introduisit dans l’atelier de pâtisserie, sentant qu'un désir étrange l'attirait dans cette direction. Wliko était en train d'astiquer l’intérieur d’un four. Sandrine s'assit sur un plan de travail et croisa les jambes en relevant le bas de sa robe pour dévoiler un bout de son porte-jaretelles. Elle dénoua son ruban pour laisser flotter ses longs cheveux sur ses épaules. Puis, sans un mot, elle prit une cuillère de bois qui traînait dans le fond d'une casserole de chocolat praliné. Elle se mit à lécher cette cuillère avec ostentation, en fermant les yeux. Wliko s'était alors détourné de son four et, médusé, contemplait Sandrine. Il s'approcha, tel un zombie, de Sandrine qui continuait à lécher la cuillère avec langueur. Quand il fut à quelques centimètres d'elle, elle lui donna un petit coup de cuillère sur le bout du nez en riant. Wliko ne put se retenir. Il plaqua Sandrine sur le dos et frotta furieusement ses lèvres et sa langue sur son cou.

- Oh toi ! Toi ! Toi ! ...
- Oh, Monsieur Wliko ! Qu’est-ce qui vous prend ? Oh...

Wliko dégraffa violemment le haut de la robe de Sandrine, dégagea ses épaules, puis baissa son soutien-gorge pour faire jaillir, tels deux pains au lait géants et dorés sortis du four, ses splendides lolos aux mamelons gonflés. Il commença à les lécher, puis il s’arrêta brusquement et eut un mouvement de recul qui étonna Sandrine. Puis il dit :

- Attends un peu, petite garce... J'ai une idée, tu m'inspires...

Il prit la cuillère pour tartiner copieusement de chocolat praliné le sein gauche de Sandrine.

- Mais qu’est-ce que vous faites, Monsieur Wliko ?

Puis il alla chercher quelques fruits confits qu'il déposa sur la mamelle pralinée. Il se jeta alors dessus, dévorant le nappage en poussant des cris de bête. Sandrine ne put s'empêcher de rire.

- Ah ! Ah ! Mais vous êtes fou ! Ah ! Ah !

Au bout de quelques minutes, il se releva, le visage barbouillé. Il s'essuya sommairement puis dit à Sandrine :

- Je vais essayer une autre recette maintenant !

Il alla chercher dans un frigo un reste de crème patissière et une poche de crème chantilly tandis que Sandrine, toujours allongée sur le dos, racla le reste de chocolat praliné sur son sein avec son index et le porta à sa bouche. Wliko revint vers elle et tartina de crème
patissière le néné droit de Sandrine qui observait curieuse. Puis il dessina à la chantilly une spirale qui allait de l'extérieur de ce sein jusqu'à son téton dressé. Il entreprit ensuite de parcourir avec sa bouche cette spirale, se régalant de crème. Sandrine se mit à gémir :

- Oh que c’est bon, oui, continue...

Il était arrivé jusqu'au téton qu’il suça goulûment. Sa queue était à présent comme de l'acier. Haletant, il baissa son pantalon et son slip. Puis il releva le bas de la robe de Sandrine et s'agrippa à sa culotte, tira dessus d’un coup sec et la déchira. La vulve de Sandrine, rose et gonflée, apparut. Sa forme lui évoquait un macaron. Il prit à pleines mains les cuisses dodues de Sandrine, les écarta et tira Sandrine vers le bord du plan de travail. Il la pénétra profondément, et la lima avec de vigoureux mouvements du bassin. Sandrine gémissait, totalement abandonnée à Wliko qui faisait ses va-et-viens avec son sexe toujours aussi dur et semblait infatigable. L'orgasme vaginal fit crier Sandrine mais sembla n'avoir aucun effet sur Wliko qui continuait à limer comme une machine. Finalement, il déchargea alors que Sandrine se tortillait les yeux fermés et semblait à demi-consciente. Il se retira et s'écroula sur elle. Le visage tout près du sien, il lui dit :

- Coquine, tu m'as excité en léchant la cuillère. Je vais t'apprendre à être gourmande. Je vais te gaver de mes pâtisseries. Je vais te rendre encore plus ronde avec un bon gros cul. Je ferai de toi un énorme gâteau nappé de chocolat et je te mangerai entière !
- Oh, oh ! Mais tu es tout fou, toi ! Tu ne t’es pas déjà régalé de mes lolos ?

Wliko lui fourra dans la bouche la douille de crème chantilly et pressa sur la poche pour faire jaillir cette crème qui déborda des lèvres de Sandrine qui se mit à rire. Puis il se releva. Son sperme avait coulé le long du bas droit de Sandrine. Le constatant, il ne se gèna pas pour arracher ce bas du porte-jaretelles et finir de s'essuyer avec.

- Assez rit, dit-il, maintenant il faut ranger ce foutoir ! Allez, pousse-toi de là.

Il chassa Sandrine du plan de travail. Elle s'essuya, remit à peu près en place son soutien-gorge et sa robe, et alla s'asseoir dans un coin. Wliko lava et remit les ustensiles à leur place, nettoya le plan de travail et le sol. Pendant ce temps, Sandrine sur sa chaise le regardait avec des yeux de biche en minaudant et se tortillait en chantonnant. Puis elle se leva, s'approcha de Wliko et passa ses bras autour du cou en lui disant :

- Ô mon grand pâtissier chéri, fais de moi ton dessert préféré et croque moi encore ! Tu n'as pas envie de mon petit clitoris à la crème ?

Elle se mit sur la pointe des pieds et la tête en arrière pour l'embrasser sur la bouche.

- Ah, ça suffit, petite dinde ! Je dois rentrer chez moi maintenant...

Mais Wliko eut du mal à résister aux avances de cette voluptueuse petite nymphe qui souilée à la fois de chocolat praliné, de crème patissière, de crème chantilly, de sueur, de glaire et de foutre, l'excitait à nouveau. Il commença à serrer Sandrine contre elle. À ce moment-là, ils entendirent quelqu'un entrer dans la pièce et se retournèrent en sursaut pour voir Rapha ël, le fils des Duboulard. Il leur lança :

- Je passais à la boutique pour récupérer des affaires et j'ai entendu du bruit dans l'atelier de pâtisserie. Qu'est-ce que vous fabriquiez ? À voir vos vêtements, on dirait que vous ne vous êtes pas ennuyés. Pas vrai ?

Sandrine lui dit paniquée :

- Oh, je vous en supplie, ne dites rien à vos parents ! On n'a rien fait de mal, on a juste...
- Oui, oui, je vois. On a tendance à s'ennuyer en province quand on est une petite parisienne... Et lui, le loup solitaire des Balkans, ça devait faire longtemps qu’il n’avait pas tiré un coup.
- Écoutez Monsieur Raphaël, protesta Wliko. J’ai toujours fait honnêtement mon travail et...
- Ça va, ça va... Après tout on est dans une boulangerie-pâtisserie, pas dans un monastère, hein ? Je ne dirai rien, OK, mais en échange j'ai quand même un petit service à demander à la demoiselle. Tu sais que j'ai souvent reluqué ton cul quand tu étais à la caisse et que je passais derrière toi ? Je me le ferais bien, ton cul...

Après tout, Sandrine trouvait Raphaël plutôt beau gosse. Alors pourquoi pas ? Mais elle pensait aussi à la grosse queue de Wliko qui l’avait bien excitée. Elle eut une idée. Désignant une table roulante qui se trouvait dans l’atelier, elle dit :

- D’accord, mais je veux aussi avoir du plaisir dans ma bouche. Je vais me mettre sur la table roulante. Vous, Monsieur Raphaël, vous me sodomisez. Pendant ce temps, je te suce, Wliko. Ça marche ?

Les deux hommes furent étonnés, puis se regardèrent en riant d'un air complice.

- Ah, ah ! Le tourne-broche ! Au tourne-broche, la petite dinde !

Aussitôt dit, aussitôt fait. Après qu'ils eurent réglé la hauteur du plateau (et bloqué les roues) de la table roulante, Sandrine se retrouva dessus à quatre pattes, le bas de sa robe relevé. Elle se fit copieusement défoncer le fion par Raphaël, froc et slip sur les chevilles, qui saisissait ses fesses potelées à pleines mains. Wliko avait à nouveau baissé son pantalon et son slip et se faisait sucer par Sandrine tandis qu'il pelotait les généreux lolos qui pendouillaient. À la demande de Sandrine, il avait tartiné sa queue de chocolat praliné avant de la fourrer dans la bouche de la ribaude qui se régalait. Ils eurent un orgasme tous les trois en même temps, mais ce fut Sandrine qui ressenti le plus de plaisir et elle avala l'étrange mixture qui lui coulait dans la bouche.

Lorsqu’il se fut retiré, Raphaël essuya sa bite devenue flasque sur un pan de la robe de Sandrine, la souillant davantage. Sans y réfléchir, il alla chercher un pot de sucre glace et le lança sur Sandrine qui se mit à pousser des cris dans un nuage de poussière blanche. Puis Wliko prit un gros gâteau à la meringue et à la crème, un invendu de la jounée, et le plaqua sur le visage de Sandrine. Puis ce fut un gâteau au chocolat qui y passa...

- Ah, mais vous êtes fous ! Arrêtez !

Naturellement, elle s'amusait follement et elle n'avait au fond pas envie que ça s’arrête. Pourtant Raphaël mit fin au jeu.

- Bon, allez, ça suffit, je dois y aller. Faut nettoyer tout ça maintenant.

Wliko soupira :

- Et dire que j'avais tout nettoyé et que j'allais partir quand
vous êtes entré...

- Allez, je ne suis pas chien, je vous donne un coup de main. Je veux être sûr que tout soit en ordre. Eh Wliko, on s'est bien marré quand même ?

Après avoir tout rangé et nettoyé, ils se préparèrent à partir. Sandrine alla aux toilettes et se regarda dans le miroir. Sa robe et ses sous-vêtements étaient ruinés. Elle passa ses mains, ses bras et son visage sous le robinet du lavabo pour se laver sommairement. De toute façon, elle prendrait une douche chez elle.

Raphaël enfourcha sa moto et partit. Wliko proposa de raccompagner Sandrine dans sa vieille bagnole. Elle prit son manteau et son écharpe et les déposa sur la banquette arrière pour ne pas les salir. Pendant le trajet, ils ne dirent rien, mais Sandrine, fatiguée, posa sa tête sur l' épaule de Wliko qui conduisait. Quand ils arrivèrent au bas de l'immeuble de Sandrine, elle prit ses affaires et à peine fut-elle sortie de la voiture que Wliko lui dit :

- Ça va te sembler bizarre mais je veux te dire merci. Ça faisait des années que je rêvais de faire ce genre de truc. Quand on fait un métier comme le mien, on a parfois des drôles d'idées qui viennent.
- Moi aussi, ça m'a plu. Tu es beau, Wliko.

Il fut étonné de cette remarque.

- Bon, eh bien à mardi.
- À mardi.

Sandrine monta rapidement l'escalier de l’immeuble pour atteindre son studio, en priant pour ne croiser personne, compte-tenu de son aspect. Arrivée chez elle, elle jeta sa robe et ses dessous à la poubelle puis prit une longue et soigneuse douche. Elle en sortit propre comme un sou neuf. Le soir dans son lit, elle se caressa voluptueusement en pensant à cette journée qui avait été si spéciale.

Le mardi, tout se passa normalement à la boutique Duboulard. Wliko se montra poli mais froid avec Sandrine. On sentait une gêne entre eux. Sandrine lui souriait mais n'osait pas aller plus loin. Elle avait l'intuition qu'elle ne pourrait pas revivre ce qu'elle avait vécu avec lui. Dix jours plus tard, elle avait terminé son stage. Madame Duboulard lui dit :

- Nous avons été très contents de toi. Tu sais, notre fils Raphaël tient nos comptes et il pense que grâce à toi nos affaires marchent beaucoup mieux. Lui, Monsieur Duboulard et moi, on voudrait que tu restes travailler avec nous définitivement. On te donnera un bon salaire, on te paiera des allers-retours à Paris...
- Vous êtes gentille, mais je préfère partir. Ma famille me manque.
- Ah, brave petite, je te comprends. Allez, je te souhaite bien du bonheur.

Et elle embrassa Sandrine. Celle-ci alla ensuite voir Wliko qui était penché sur des bavarois qu'il était en train de préparer. Elle lui mit une main sur l'épaule et lui fit une bise sur la joue par derrière.

- Au revoir Wliko, tu es le roi des pâtissiers! Et d’autres choses...
— Au revoir bougresse !

Ils ne se revirent jamais. Quelques semaines plus tard, Sandrine reçut de Madame Duboulard une lettre dans laquelle elle l'informa que Wliko avait disparu du jour au lendemain. Elle et son mari étaient désespérés, ils s'étaient retrouvés sans pâtissier et avait dû faire appel en urgence à un intérimaire qui était loin d'avoir l'expérience de Wliko. C'était d'ailleurs une intérimaire, une jeune patissière débutante. Madame Duboulard termina sa lettre en indiquant que Sandrine serait toujours la bienvenue et qu’elle pouvait leur rendre visite quand elle le souhaitait.
Après avoir lu cette lettre, Sandrine resta songeuse : "hum, une pâtissière... Comment peut-elle être ? Je reviendrais bien à S... pour tenter une nouvelle expérience coquine..."
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Histoire de WalterK

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