Soumission consentie 2

La semaine de travail a été longue, j’ai beaucoup pensé à cette soirée, ma tenue, les hôtes libertins, ce qui va se passer…
J’ai demandé à Dominique de choisir ma tenue, il m’a proposé un tailleur, décolleté et une jupe assez courte, un haut de dentelle noire transparente, des sous-vêtements et bas noirs et des escarpins assez hauts.
Samedi 18 heures je me maquille soigneusement, je suis passée chez le coiffeur et j’enfile la tenue prévue.
- « Tu es très belle » me dit Dominique, « je n’ai plus envie de te voir partir ».
- « C’est trop tard, tu m’accompagne au rendez-vous » ?
- « Bien sûr ».

20 heures, Dominique me laisse à l’endroit convenu et m’embrasse longuement,
- « Je t’attends avec impatience, ne me caches rien ».

Edouard est déjà là, il descend de sa voiture et m’ouvre la portière passager,
Il me complimente sur ma tenue et sur ma coiffure.
- « Vous allez faire sensation, je vous délie pour l’instant de votre soumission, je vous ferai un clin d’œil à chaque fois pour vous la rappeler ».
Nous mettons une bonne demi-heure pour arriver à destination, 17ème arrondissement, résidence chic, nous sonnons au premier étage.
- « Bonjour, je suis Jean, entrez faire connaissance ».

Je pénètre dans l’appartement le cœur serré, je pense à Dominique, comment va se dérouler la soirée ? Mais trop tard pour reculer.
Jean commence les présentations, le ton est donné immédiatement :
- « Voici Brigitte, dite Bibite, la femme de serge dit « Bande à bloc », Agrippine avec deux p, ma femme et moi-même, Jean, dit Bite en bois. Et vous chère amie, quel est votre prénom » ?
- « Solange »
- « Superbe, mais nous essayerons de vous trouver un surnom ».

L’apéritif commence nous discutons de choses et d’autres toujours autour du sexe, j’essaye de me mêler à la conversation :
- « Agrippine est votre véritable prénom » ?
- « Non bien sûr ! Mais c’est celui qui figure maintenant sur mes papiers d’identité et tout le monde m’appelle ainsi ».
- « N’est-ce-pas un peu lourd à porter ».
- « Oui et non, c’est une idée de Jean, à qui je ne refuse rien et inversement, je dirige une grosse agence d’assurance, je peux vous dire que tous les jeux de mots y sont passés. J’ai un très fidèle collègue qui me les raconte régulièrement je tiens un cahier ».
- « Par exemple » dit Edouard.
- « Des plus bêtes aux plus salaces, ou des à peu près : Agrippine de cheval, en bois, au cul, à jouir, dans le coin, ou encore prononcer mon prénom en séparant les deux mots ».

Le repas commence, bien arrosé, je redoute un peu la suite.
Elle ne se fait pas attendre :
« Nous allons faire un petit jeu » dit Serge « j’ai remarqué que notre nouvelle amie a une belle poitrine, nous allons faire un petit concours entre les trois dames, les deux perdantes auront une fessée et la gagnante un gage, mesdames dévoilez nous vos trésors s’il vous plait ».
Brigitte s’exécute immédiatement elle dégrafe sa chemise dévoilant deux petits seins pas très jolis. Agrippine enlève son tailleur, elle ne porte rien dessous, elle a deux superbes seins bien fermes pointant légèrement vers l’extérieur.
Je suis rouge pivoine, que faire, je regarde fixement Edouard qui s’amuse visiblement beaucoup de la situation et le clin d’œil redouté arrive.
- « Eh bien Solange qu’attendez-vous ? Mon cher Edouard votre amie est bien mal éduquée » !

Je suis coincée, tant pis, je me lève en prenant une grande respiration, je quitte mon tailleur.
- « Hou la vilaine elle a mis un soutif » !

J’enlève mon haut, mon soutien-gorge et je reste debout, l’air un peu godiche en attendant la suite ». Mes seins sont plus gros plus fermes que ceux d’Agrippine, les tétons sont placés assez haut je pense pouvoir éviter la fessée.
- « Bien, bien, très jolis nibards » dit Serge, « mais avant de passer au vote, des hommes bien-sur, il va falloir toucher pour être bien objectifs, n’est-ce pas ».Je continue de regarder Edouard fixement, il commence à caresser Brigitte puis Agrippine et moi, suivi de Jean et de Serge. Je reste debout, tendue en subissant un malaxage en règle et des torsions des tétons.
- « Bien passons au vote, Serge » :
- « Solange, Agrippine et Bibite ».
- « Pareil pour moi » disent Jean puis Serge.
- « Eh bien les jeux sont faits, Agrippine et Bibite vont recevoir une fessée, une vraie claque sur les fesse par chacun d’entre nous, nous verrons le gage de Solange plus tard. Mesdames vous pouvez remettre vos hauts, seulement la veste de tailleur pour vous Solange sans le soutif bien entendu. Pour les deux autres montrez-nous vos fesses que nous passions à la punition ».

Aussitôt dit aussitôt fait Agrippine et Bibite enlèvent leur jupes, elles ne portent pas de culotte ni de string. Jean commence en assénant une claque retentissante à sa femme puis à Bibite suivi de Serge et d’Edouard.
Les marques sont bien visibles mais aucune des deux n’a émis le moindre cri.
- « Passons au gage de Solange, ma chère vous nous avez dévoilé une si belle paire de nichons que je vous demande de finir la soirée torse nu pour que nous puissions les contempler à loisir, tout le monde est d’accord » ?

L’accord est unanime évidemment, je regarde à nouveau Edouard qui me fait le clin d’œil convenu. Je quitte donc ma veste de tailleur sous les applaudissements des convives. Je suis toujours aussi rouge.
- « Ma chère Solange merci, vous commencez à obéir immédiatement, mais vous serez quand même punie pour votre première hésitation. Nous devons maintenant vous trouver un surnom, je propose Beaux-nichons ». Cela ne parait pas soulever l’enthousiasme des autres, alors fusent Bololos, seins d’acier, boite à lolos, seins d’enfer, C’est ce dernier qualificatif qui recueille l’assentiment de tous, me voici donc Solange dite Seins-d’enfer.
- « Passons à la punition, à toi de choisir Serge puisque tu as trouvé son surnom ».
- « Seins-d’enfer vous allez vous déshabiller complètement, gardez vos bas et vos escarpins, vous tournerez fois autour de la table puis vous ferez une petite branlette à chacun d’entre nous, pour Edouard à qui nous devons votre présence vous lui ferez une fellation en gardant son sperme évidemment ».

Les trois hommes se lèvent et se mettent en rang, je n’ose même plus protester ni regarder Edouard de peur d’avoir une autre punition. Je me déshabille donc comme convenu, je fais le tour de la table et viens me positionner à genoux devant Jean. Il a ouvert sa braguette, je sors une queue longue en commençant un va et vient. L’érection ne se fait pas attendre il éjacule rapidement dans mes mains. Au tour de Serge qui ne résiste pas très longtemps sa queue est très grosse et turgescente. Je m’approche enfin d’Edouard qui est déjà en érection et je commence une fellation. Contrairement aux deux autres, cela dure quelques minutes jusqu’à l’explosion dans ma bouche. J’avale péniblement et je me relève toujours aussi rouge écarlate.
- « Bien Seins-d’enfer, vous pouvez passer dans la salle bains, mais ne vous rhabillez plus ».

A mon retour, je ne semble plus intéresser personne, je me rassois en écoutant leurs conversations salaces sans y prendre part.
-« Il est tard » dis Jean, « nous allons nous séparer, aurons-nous le plaisir de revoir Seins-d’enfer la prochaine fois » ? « Nous verrons », répondis Edouard.

Il me tend ma jupe et ma veste, j’ai compris que je rentrerai sans sous-vêtements.
Dans la voiture Edouard déboutonne ma veste et en me caressant, me demande ce que j’ai pensé de la soirée.
- « J’ai été très mal à l’aise même si vous m’avez fait boire un peu, je pensais pas devoir subir tout cela ».
- « Vous avez aimé » ?
- « Non, mais j’ai fini par prendre sur moi, cela est très nouveau, c’est la première fois que je me déshabille ainsi.
- « Vous m’accompagnerez la prochaine fois ? Je vous préviens cela sera surement beaucoup plus hard ».
- « Je ne sais pas encore, j’en parlerai avec mon mari ».
- « Nous irons cette fois-ci chez Serge et Brigitte, mais je reprends dès maintenant mon rôle de dominateur. Si vous venez vous devrez accepter tout ce qu’on vous demandera sans hésitation. Vous me direz avant mercredi si vous êtes d’accord ».
Fin de la deuxième partie.