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Steve

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Lue : 17766 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 07/07/2014

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Steve ou la réalisation d’un fantasme.
« Ouvre-toi un peu plus……tes jambes……ouvre bien tes cuisses…..oui comme çà…c’est bien….tu sens ma main …tu la sens ?
Il me dit cela dans un souffle, en me tutoyant, son visage proche du mien

Oui je la sens. Pourquoi lui avoir obéi ? Pourquoi suis-je ouvert, jambes écartées comme il me le demande ? Il n’est plus temps de me poser la question, il est trop tard, j’aurais dû couper court à sa manœuvre depuis le début, dès que j’ai réalisé que c’était sa main qui me palpait. Je ne l’ai pas fait, j’ai laissé faire, j’ai tellement rêvé de me faire caresser ainsi, ni vu ni connu dans l’anonymat d’une foule. Combien de fois en me caressant, j’ai mimé cet instant où je m’imaginais que ma main était celle d’un autre, d’un homme. On a tous en soi une part d’homosexualité et là je n’ai pas su dire non, je ne le regrette pas, je suis bien, il le sait, il a compris que je le laisserai faire et depuis que je lui ai obéi, sa main passée entre mes cuisses me caresse le sexe plus franchement, sans retenue maintenant et il s’y prend bien, ma bandaison, mon visage impassible doivent l’encourager.

Tout a commencé dans le train qui chaque matin nous emmène à Paris . Il est particulièrement bondé aujourd’hui car c’est encore jour de grève et il n’y a qu’un train sur deux ?

Nous sommes tous debout serrés les uns contre les autres et cela va être ainsi une heure durant. Ce doit être la sacoche de mon voisin que je sens entre nous ; il doit la tenir à bout de bras, je suis plaqué sur elle et ce n’est pas désagréable, je sens sa douce rondeur s’agiter au gré du roulis de la rame au bon endroit entre mon ventre et mes cuisses. Malgré l’épaisseur de mon pardessus c’est comme une caresse et je ne fais rien pour me dégager d’elle au contraire.

Ne pouvant esquisser le moindre geste, je ne pense à rien et à mille choses à la fois, je rêvasse quand mon ventre perçoit une sorte de changement, la soi-disant sacoche d’un coup me paraît, comment dire, concave, enveloppante, mouvante ; c’est plutôt mieux car justement elle presse mon sexe, le frôle, sans le coller, passant d’un côté à l’autre de mes cuisses en une sorte de lent va-et-vient, un balancement irrégulier sans commune mesure avec les oscillations de la rame à chaque virage.

D’un coup, je sens comme une sorte de léger pincement au travers de la double épaisseur de mon pardessus. Puis un autre aussi léger, aussi furtif, cela n’a plus rien à voir avec ce que j’ai ressenti jusqu’alors. L’attaque se fait alors plus franche car oui c’est une attaque ; une sorte d’essai pour tester ma réaction, il n’y a plus de doute je sens nettement une main grande ouverte me palper le sexe mais cette fois d’une manière brève certes mais sans équivoque. Je regarde mon voisin qui me fait face, je suis sûr que cette main c’est la sienne, sa main droite collée sur moi. Il a bon genre, un peu plus âgé que moi, la quarantaine, il sent bon.

J’aurais dû, je l’ai dit, m’éloigner de lui, mais finalement je laisse faire, je verrai bien où cela nous mène. Une occasion aussi franche que celle-là je ne l’ai jamais eu et il aurait été stupide de la laisser passer ; cela ressemble tellement à mon fantasme.

Il y va franchement maintenant que je me suis ouvert à sa demande et je le laisse me caresser, je sens nettement sa main qui m’a empoigné tout le paquet, il est informe pour le moment, très volumineux à cause des nombreuses couches de tissus qui le protègent encore et pourtant il se contente de le ballotter, quatre doigts par dessous et le pouce faisant pince au-dessus de mon sexe, c’est bon, j’évite de le regarder, mais lui sait que je ne ferai rien pour me dégager et il s’applique, il a l’air de savoir ce qui fait du bien.

Insidieusement sa main passe sous le premier rabat de mon pardessus et la caresse devient plus efficace, plus subtile ; mon voisin doit maintenant sentir mon sexe qui se dresse, moi je sens nettement ses doigts qui me palpent les roubignoles par-dessous en les agitant convulsivement, ils s’unissent pour commencer à me branler. Déjà mon plaisir est là et sans vraiment le vouloir j’avance mon ventre, j’ondule discrètement pour qu’aucune zone de mon entre cuisses ne soit orpheline de ses caresses.

Presque rien ne gêne maintenant qu’il a franchi le rempart de mon pardessus, je sens ses doigts sur mon pantalon, sa main à l’abri des regards, je bande comme il n’est pas possible, je le sens qui fourgonne sous le manteau, c’est le cas de le dire.….non….nooommm……. ce n’est pas possible, ma ceinture qui se libère, un œillet qui s’ouvre, le zip de la fermeture éclair qui descend, mon pantalon qui s’ouvre et d’un coup les caresses reprennent mais cela n’a plus rien à voir avec celles du début car sa main est sur moi et seul mon boxer l’isole de mon sexe raidi plaqué sur mon ventre. Il a fait cela le temps de le dire avec une adresse diabolique, il ne doit pas être à son coup d’essai ; dois je m’en plaindre ?

J’aime me caresser ainsi, quand je suis seul, ma main, mes doigts qui glissent sur la soie qui recouvre mon sexe, le moule ; ces caresses indirectes m’affolent mais là c’est la main d’un autre et cela est tellement plus agréable, plus jouissif, ses initiatives me surprennent, elle me palpe, me frôle, m’enveloppe, soupèse, agite mes testicules, branle ma verge. Comme j’ai bien fait de me laisser faire. Je sens qu’elle tire sur mon slip qui descend légèrement libérant ma verge dressée qui s’incline, mon service trois pièces comme on dit est libre maintenant sous l’étoffe détendue et la main peut l’agripper franchement et en faire ce qu’elle veut.

Il y a quelques minutes j’étais dans mes pensées plutôt moroses et à l’instant on me branle, on me caresse sans vergogne, c’est fou comme les situations peuvent évoluer rapidement ; je jette un regard à la dérobée sur mon voisin que me fait face, pratiquement collé à moi et il a l’air bien lui aussi, comme moi il est excité et cela se voit, je remarque les mouvements de son bras qu’il a calé à l’abri, à l’insu de tous entre nos ventres et d’un coup je me retiens de ne pas crier car d’un geste il a rabattu mon boxer en le calant, l’élastique sous mes couilles et pour la première fois c’est sa main nue qui me caresse à cru directement sur ma verge et sous mes parties.

Il sait y faire le bougre, son adresse est incroyable, car si il continu il va arriver à me faire jouir, ma verge décalottée n’a jamais été si grosse, si raide. Ses caresses sont douces maintenant, il a tout son temps semble t’il, il est arrivé à ses fins et je le laisse faire. Rien à voir avec mes caresses quand je me branle, c’est infiniment plus fort, plus doux, plus ample, plus enveloppant. Mes testicules sont agitées très fort et pourtant je n’éprouve que du plaisir, il n’a pas l’air pressé de me faire jouir mais il faudrait peu de chose pour que j’explose entre ses doigts

« Donne ta main !
C’est un ordre, c’est sa main gauche qui prend ma main droite et elle la guide, je laisse aller et d’un coup j’ai comme un choc car sous ses vêtements ouverts qui se referment à mon passage je sens sa queue nue elle aussi, dressée, offerte, bandée et il s’arrange pour que mes doigts s’enroulent sur son pénis. Je frémis de tout mon corps car son sexe est chaud, légèrement plus gros que le mien, enfin c’est ce qui me semble comme çà, au toucher, plus long, plus épais, son gland décalotté.

Dans le compartiment bondé, coincés l’un contre l’autre dans une encoignure, nous sommes seuls au monde à nous faire jouir à l’insu de tous. Pour moi c’est une première, jamais encore je n’ai eu un sexe d’homme entre mes doigts et pourtant cela me plait, je le sens qui palpite, je rends les caresses, je pétris ses baloches, les fait rouler une après l’autre entre mes doigts, je prends sa verge à pleine main et je fais coulisser son prépuce pour recouvrir et dépuceler son gland. Comme moi son corps vibre ; il s’agite, ondule discrètement

« Fais-moi jouir. Il est temps…. me dit il le souffle court
Alors je le branle très fort, et lui me frôle, sa main volette sur mon sexe, mes testicules et c’est plus fort que tout, je vais jouir, le point de non-retour est atteint, nous nous regardons maintenant, je sens son émoi, il voit le mien ; comment peut-on jouir sans crier, sans s’agiter ? Et pourtant rien ne parait sur son visage, un petit rictus, sans plus, quand il inonde ma main, mes doigts, moi aussi j’explose, jamais je n’ai ressenti une telle jouissance, nous nous efforçons de la faire durer et de la cacher. Il était temps car le train entre en gare, nous avons juste le temps de nous réajuster. Nous sommes les derniers à descendre sur le quai il se tourne vers moi et me dit :

« Tu n’as pas une heure ou deux à m’accorder ?
Il me laisse le temps de la réflexion, il semble vouloir pousser plus avant ce que nous venons de faire. La raison me pousse à dire non car je ne suis pas homosexuel et pourtant l’occasion m’est offerte de réaliser enfin un fantasme qui me taraude depuis l’enfance. Cet homme avec qui je viens de jouir ne me déplait pas, il a l’air doux, il semble expérimenté. C’est la première fois que cette perspective s’offre à moi, vais-je la laisser passer. Après tout nous n’irons pas plus loin que je ne le voudrais.

Il faut dire que je ne suis pas vierge de l’anus, j’ai déjà joui par le cul avec mes nombreuses expériences en solitaire, j’ai plusieurs godes chez moi, acquis au fil des ans, de plus en plus gros, de plus en plus réalistes et depuis un moment conseillé par une amie j’ai acheté un Anéros, sorte de gode aux formes tortueuses qui bien lubrifiées reste pourtant bien en place dans mon anus sans sortir, mais que je peux le faire jouer doucement dans mon rectum par de petites contractions. Son extrémité, saillante, arrondie caresse alors ma prostate et au bout d’un moment, sans crier gare, j’arrive à me faire jouir ainsi plusieurs fois de suite, jouissances extrêmes mais sans éjaculation. Comme un Plug on peut le garder en soi la journée sans que personne ne s’en doute et une sensation nouvelle nait à chacun de nos pas. Mais là ce qui semble m’être proposé c’est une bonne sodomie avec une vraie bite bien raide, bien chaude, j’hésite !

« Pour aller où ?
« A l’hôtel
« Pour quoi faire ?
« Pour se faire jouir….
« Comment ?
« Par le cul…….ce serait la première fois pour toi ?
« Oui
« Moi non, j’aime jouir et faire jouir, je sais que tu en brûles d’envie
« C’est vrai mais j’ai un peu peur
« Allez viens tu vas voir comme c’est bon et, comme on se sent bien après…... essaie au moins une fois, je ne vais pas te violer….profite de mon expérience, tu as bien jouis tout à l’heure.
« Oui et toi ?
« Moi aussi, très fort……Alors tu me suis ?

Je le suis, mon cœur bat la chamade, à proximité de la gare les hôtels ne manquent pas. Nous nous arrêtons devant l’un deux mais avant d’entrer il me dit :

« Tu as ce qu’il faut ?
« ……… ?
« Il faut passer à la pharmacie…viens

En entrant dans l’officine, je suis un peu gêné car en fait de préparateur il n’y a qu’une jeune femme de couleur. Je laisse parler mon compagnon :

« Il nous faudrait du lubrifiant
« Pas de problème …...c’est pour l’anus ?
« Oui

Je ne sais où me foutre et elle doit se rendre compte de mon embarras, cela a l’air de l’amuser, elle continue et insiste :

« Du lubrifiant à l’eau ? Ou au silicone ? Du bien fluide ou de l’épais ? En principe il faut des deux

Connaisseuse aussi, mais de quoi se mêle elle ? Je la regarde en douce, elle est magnifique, elle ne doit pas avoir grand-chose comme dessous sous sa blouse blanche très décolletée qui montre la commissure de ses seins et quand elle se retourne je suis extasié par l’ampleur de ses fesses mouvantes que l’on devine ouvertes sous le frêle rempart de sa blouse ultra courte. Je pense que j’aurai du plaisir à la baiser !

« D'accord alors un tube de chaque, le fluide à l’eau et l’épais au silicone
« Bien….. parfumé ou non ?
« Inutile, comestible seulement

Elle ne peut retenir un léger sourire en me déshabillant d’un regard amusé, elle doit m’imaginer en train de le sucer avant qu’il prenne mon cul
« Vous voulez des préservatifs ?

Manifestement elle se régale et elle mesure mon embarras, partant mon inexpérience, elle semble me considérer comme allant à l’abattoir

« Quelle taille ?
« Grande taille pour moi dit mon tentateur
« Et pour vous ?
Minaude t’elle en se tournant vers moi……Je ne peux sortir un son
« Normal pour lui
Ce n’est guère flatteur pour moi
« Parfumés ? Nous avons banane fraise, cerise, chocolat
« Tu aimes mieux quoi ?

Interrogé, piteusement je réponds : Banane, sans me rendre compte du ridicule de ma réponse
« Bien voilà, deux tubes de lubrifiant, deux boites de préservatifs, les grands tailles arôme banane, ce sera 56 euros soixante-cinq

Elle se fout de moi avec son arôme banane pour les seuls gros préservatifs, elle suggère franchement que c’est moi qui vais sucer mon partenaire.
« Avance la monnaie

On me demande de payer et je sors un billet de 100 euros, j’en ai toujours un sur moi
« A cette heure je n’ai pas assez d’encours dans ma caisse, vous n’avez pas de la monnaie ?
« Je n’en ai pas
« Si vous avez l’occasion de passer dans la journée j’aurais l’appoint

En disant cela son regard me transperce, amusée de mon embarras elle me sourit. Il était temps de sortir car je ne sais plus que faire, que dire.
« Si je ne suis pas dans la boutique, demandez Sonia, je ne suis jamais bien loin, vous c’est comment ?
« Moi ?........Pierre
« Amusez-vous bien minaude t’elle

A l’hôtel ce fut une autre musique la donzelle à l’accueil venait de remplacer la gardienne de nuit et elle ne semble pas encore bien réveillée. Manifestement elle connait mon acolyte.
« Salut Steve çà fait un moment que l’on ne s’était vus,

Elle me lorgne en douce,
« Vous venez vous reposer un peu ? Vous voulez quelle chambre ? Une chambre double ? Ou un grand lit
« Comme tu veux Martine, deux lots jumeaux feront l’affaire, qu’en penses-tu Pierre ?

Je ne dis mot. C’est la première fois qu’il m’appelle par mon prénom
« Bon je vous donne la cinq au premier tu sais Steve celle avec la grande armoire à glace.

Il connait !…… combien en a-t-il amené ainsi, comme moi, ici de bon matin ? J’ai envie de fuir, mais la torture prend fin , nous allons monter vers un monde que j’ignore et qu’il me tente de connaître.
« Steve tu oublies les serviettes !

Nous sommes enfin dans la chambre et je ne suis pas plus rassuré, seule la volonté de tenter cette expérience me soutient. La chambre est correcte, deux lits pas très larges au milieu de la pièce, séparés par un petit passage qu’on peut aborder de la tête ou aux pieds et la fameuse armoire à glace sur le côté.

Steve commence à se dévêtir et je fais de même, nos effets jetés à la hâte dans un angle de la chambre ; nous sommes en boxer et c’est Steve qui le premier se met nu, il est bien foutu mais ce n’est pas ce qui m’intéresse le plus, peu importe qu’il me plaise, quoique, mais en plus oui il me plait, me rassure, c’est son expérience uniquement qui m’a fait l’accepter et qui compte avant tout pour ce fantasme qui va devenir réalité.

Sa verge a perdu de sa vigueur, comme la mienne d’ailleurs, elle est imposante, elle n’est pas lisse, de grosses veines apparentes lui donnent un aspect torturé, le gland encapuchonné. Il a des couilles superbes, je peux les voir bien indépendantes masquées sous sa verge qui pendouille. Un détail me frappe elle est un peu recourbée au bout, tordue vers l’avant.

Steve s’approche vers moi en souriant, je le sens ému, il veut m’étreindre, me serrer dans ses bras et je le laisse faire, nous sommes collés l’un contre l’autre, nos ventres, nos seins, peau contre peau et je sens ses deux mains dans mon dos me pétrir les fesses. Jamais je n’ai eu cette sensation cela ne ressemble à rien d’autre. Ma respiration d’un coup s’est accélérée et en ondulant ventre contre ventre, sexe contre sexe je sens que nous commençons à bander.

Steve veut m’embrasser mais il voit que je n’y tiens pas. C’est sa queue qui m’attire, ce qu’elle va me faire et que j’attends fébrilement depuis si longtemps. Bizarrement je pense, les prostituées n’embrasse pas… en suis-je une ? Pourquoi j’emploie ce féminin ? Je suis troublé ne sachant plus trop qui je suis, où je me trouve, ce que je fais. Pourtant Je suis là, nu de mon plein gré dans les bras d’un homme qui ne me déplait pas et qui va me donner ce que j’ai envie depuis longtemps…....pour voir….. pour découvrir cette sensation que je n’ose nommer ; me faire sodomiser….aller soyons crus, me faire enculer par une belle bitte d’homme, j’ai osé le dire ! Je sais que plus rien maintenant n’empêchera plus ce geste suprême. Quand le vin est tiré il faut le boire…..et j’ai soif, soif de savoir enfin.

Steve se recule un peu, nous nous faisons face. Avec le bout des doigts d’une main il me pince le bout de mes seins, l’un après l’autre ; ils se durcissent d’un coup, bien formés ; c’est comme une décharge électrique qui me cloue sur place, je suis comme pétrifié et quand il avance l’autre main entre mes cuisses et paume en l’air et qu’il me palpe les couilles, par-dessous je ne peux retenir un gémissement, un ouiiiiii d’approbation.

Je fais de même avec les siennes, elles sont assez grosses, bien formées, ovoïdes, libres, indépendantes, pendantes au fond de son scrotum de peau fripée. Je les caresses ensemble puis l’une après l’autre, comme lui fait avec les miennes je les fais rouler entre mes doigts, je les soupèse, je les agite. Son sexe comme le mien, regrossit, s’allonge, se dresse en se décalottant. Je mets le bout de mes doigts sur la peau de ses bourses entre ses testicules et la base de son sexe par-dessous, que je cale avec mon pouce et quand j’agite ma main c’est tout, l’ensemble de son appareil génital qui s’ébranle, ballotte en tous sens et cela à l’air de plaire à Steve.

Lui a enfoncé sa main entre mes cuisses au-delà de mes parties, de mon périnée et ses doigts dans la raie de mes fesses cherchent mon anus ; le plus long le trouve et me le masse en tournant autour. J’ai envie de jouir, mon sexe n’a jamais été aussi tendu, et quand je vois les fesses de Steve je pense au moment où moi aussi je les pénètrerai……. Je suis un peu gêné par les caresses que nous nous faisons, c’était une chose de se caresser comme nous l’avons fait, habillés, dans le train à l’insu de tous et ce que nous pratiquons en ce moment, nus tous les deux, yeux dans les yeux, nos sexes et nos fesses à l’air

« Il faut que je te prépare ?
« Oui il le faut, fais comme tu as l’habitude, je suis bien

Je suis complètement sous son influence, confiant en son expérience, nous nous sommes séparés et je vois sa bandaison ; assurément je lui fais de l’effet moi aussi, sa verge est dressée, décalottée, très fortement arquée au bout, son pénis plaqué sur son ventre musclé, les couilles pendantes bien dégagées. Je bande dur moi aussi .

« Tu as une belle queue Pierre, elle me fait envie
Je pense à la sienne, qui est plaisante elle aussi, je la vois raidie qui dodeline en tous sens, oscille tel un mât de charge ; je n’ai pas peur qu’elle me défonce car je sais par des expériences faites en solitaire, je vous l’ai déjà dit qu’il pourra me pénétrer. Mais au lieu des godes rigides et froids de plus en plus gros dont je me sers je me doute bien que sa belle queue toute raide, toute chaude va avoir d’autres effets sur moi, en moi……... Il faut que je sache

« Pierre ! Installe-toi à cheval entre les deux lits..Oui un genou sur chaque……penche toi en avant, soutiens toi avec tes coudes…tu es bien ?
« Oui

En disant cela ses mains m’accompagnent, me guident, m’aident à m’installer en me prenant par la taille, par les fesses, c’est lui qui m’écarte bien les cuisses, je le laisse faire, je tremble comme une feuille…....le contact de ses mains enveloppantes sur mon corps nu me trouble au possible, elles sont douces et chaudes.

«Il faut que tu sois à ton aise…….Relève bien tes fesses, cambre toi bien
Je sens Steve derrière moi, il est à genoux, son visage, ses mains, bien à hauteur de mes fesses écartelées. Il me les ouvre davantage et il se met à les agiter, doucement, longuement en les ouvrant, les refermant. Je sens l’effet que cela fait sur mon anus, c’est agréable de le sentir s’offrir, s’ouvrir un peu ; mon sexe aussi se balance d’avant en arrière comme un pendule souple entre mes cuisses. Il a une manière à lui de m’agiter les fesses tout en les caressant par dessous avec ses deux mains enveloppantes, ses deux pouces tournés du côté de ma raie, je sens comme des ondes agréables qui se succèdent dans mes muscles fessiers détendus qui vont de mes cuisses jusqu’au bas de mon dos.

C’est une autre sensation quand je sens son visage se plaquer sur moi, s’insérer entre mes fesses en me caressant la raie avec son nez, ses joues, son menton, sa bouche qui petit à petit m’inonde de salive. Son visage glisse maintenant sur moi et c’est agréable ce visage anguleux qui passe et repasse et s’attarde au passage sur mon petit cratère.

Je ne peux m’empêcher de sursauter quand c’est au tour de sa seule langue en pointe de me lécher l’anus, cette caresse est surprenante, jamais ressentie, elle fait le tour de mon petit gouffre, dans les petits plis qui rayonnent tout autour.

« Détends toi bien…laisse toi bien aller…ouvre-toi
La raie de mes fesses, mon anus, mon périnée, mes couilles sont inondées de sa salive. Tout en me léchant le cul une de ses mains passée par derrière sous mes cuisses m’a saisi les bourses, ma verge pour les caresser, les agiter doucement. Jamais je n’ai eu cette sensation, cette excitation qui d’un coup nait violente dans mon ventre.

Sa langue, son nez glissent à nouveau sur ma peau lubrifiée, au fond de mes fesses, j’ai déjà envie de jouir mais Steve sait s’arrêter avant le point de rupture. Le bout de sa langue ne s’occupe plus maintenant que de mon cul, en pointe, rigide elle cherche à entrer ; elle s’agite comme une folle :

« Pousse, ouvre toi, tu sens ma langue ?
« Oui je la sens bien
« Tu aimes ?
«Oui, j’adore, continue

La pointe est en moi, dure, elle glisse bien, essaye de se faufiler, c’est comme un petit sexe. Je sens les muscles annulaires qui défendent l’entrée de mon anus se détendre, s’ouvrir un peu ; sa langue entre, chaque terrain gagné est acquis pour elle et je sens sa pression, le charnu de cette langue qui s’enlise lui aussi à la suite, petit à petit, mon anus s’ouvre, c’est bon, je fais tout pour m’ouvrir davantage et cela arrive d’un coup, j’ai la langue de Steve enfoncée complètement en moi .

Je la sens s’agiter, faire sa place, je suis maintenant complètement ouvert et au bout d’un moment je sens qu’elle m’encule, entre et sort librement, se faufile. Quelle sensation nouvelle une fois encore, cette langue qui va-et vient facilement, qui glisse en moi. Le moment le plus jouissif c’est le moment où sortie de mon écrin elle force de nouveau le passage, aisément, sans trop de mal je l’avoue. Ces douces pénétrations dans mon cul inondé de salive me font gémir au rythme des va-et-vient de cette muqueuse dans mon fondement.

Steve doit être heureux de cette possession si complète car par moment je devine qu’il prend du recul pour voir sans doute mon anus dilaté et il replonge en moi de plus en plus vite, de plus en plus profond pour ce plaisir intense, partagé.

Au bout d’un long moment, Il se retire. Tout en restant souple mon anus commence à se refermer. Je vois Steve ouvrir le tube de gel épais, spécial anus parait-il et avec un doigt il entreprend de bien me graisser la raie de mes fesses, et tout autour de l’anus puis il prend l’équivalent d’une grosse noisette sur le bout de son index qu’il enfourne dans mon puits. Le doigt entre tout seul et je le sens aller et venir en moi

« J’en remets
Me dit-il dans un souffle et je comprends qu’il est très ému, il doit penser au moment tout proche où c’est son sexe qu’il va introduire dans ma rosette. Un doigt, deux surement, trois peut être me visitent de toutes leurs longueurs et je sens que je m’ouvre, il les fait aller et venir en moi avant de se relever.

Il ne m’a pas abandonné pour autant car je le sens contre moi, debout, son ventre sur mes fesses, le cylindre de son sexe encastré vertical entre elles, au fond, dans ma raie et je comprends pourquoi il l’a graissée abondamment. Avec ses mains sur mes hanches il me referme sur lui sur sa verge qui s’anime maintenant, qui se branle de toute sa longueur comme dans une chatte. Steve se met à geindre, c’est comme un doux feulement au début, des mots sans suite. Je suis un peu étranger à son plaisir qui va crescendo pour lui car la cadence augmente, les mots deviennent des cris, les ronronnements des rugissements. Manifestement il veut, il va jouir entre mes fesses empoignées durement ; il ne se contrôle plus, quand son sexe tordu remonte je sens son gland qui croche sur mon anus, s’enlise un peu avant de poursuivre sa remontée et d’émerger dans la commissure de mes fesses.

D’un coup il se retire, manifestement il a réussi à ne pas jouir entre mes fesses, il halète et il me murmure :

« A toi de me préparer Pierre , je n’en peux plus
Il a fait le tour des lits, passant entre leur tête, il est debout devant moi, face à moi sa verge horizontale à hauteur de mon visage .

« Suce-moi !
Sa voix chevrote d’émotion. Je connais le plaisir d’une bonne fellation il faut que je m’applique. Je suis mal installé pour bien le sucer, pour lui faire ce que j’aime que l’on me fasse.

« Reste debout
C’est moi qui me mets à genoux devant lui, dans la travée et sans attendre en m’aidant de ma main passée sous ses couilles, je le prends dans ma bouche. Je sais ce qu’il faut faire, il faut que je l’aspire, il faut que je le pompe. Chez moi avec mon sexe dans ma pompe à zizi quand je fais le vide dans le tube avec la poire en caoutchouc c’est un plaisir de voir mon sexe prendre ses dimensions grosseur et longueur maximum, je ne parle pas de la tension qui me saisit alors et quand je le sors tout raide, rougi, gorgé de sang j’ai une énorme envie de baiser.
Alors, le vide je le fais avec ma bouche, dans ma bouche, en plusieurs fois pour reprendre ma respiration. Je sais ce qu’il doit ressentir

« Que fais tu Pierre ? Je n’ai jamais été aussi gros ; aussi raide, mon gland est tout rouge
« Ton sexe est gorgé de sang
« Tiens enfile mon préservatif

Je prends grand soin de faire ce geste, comme une caresse nouvelle , j’enfile l’anneau de latex juste sur son gland que je reprends dans ma bouche et petit à petit je le déroule en m’aidant de mes lèvres en l’enfonçant au plus profond de ma gorge et là tout en gardant dans ma bouche la partie de son sexe protégée, en agitant ma langue comme une folle tout autour de son membre, je finis de dérouler le préservatif avec mes doigts jusqu’au ras de ses couilles que je n’ai cessé de palper , de soupeser durant toute l’opération.

Ces couilles parlons-en, je les vois toutes les deux bien séparées, blotties dans leur besace de peau fripée, sous sa queue dressée, emmaillotée ; elles pendent comme deux œufs, elles m’attirent et sans que je m’en sois rendu compte, presque sans le vouloir, comme une évidence, je les prends une après l’autre dans ma bouche ; je les suce, les aspire, les fais rouler dans ma bouche avec ma langue. Steve est surprit de cette initiative, excité d’un coup, il devient comme fou et cela me déchaine, il se branle et hurle quand avec un de mes doigts je lui caresse son anus. D’un geste brusque il se retire, manifestement il ne veut pas jouir encore.

« Non….nooonnnn arrête Pierre, enduit moi bien de lubrifiant à l’eau
Je le fais tout en le branlant moi aussi, en caressant ses couilles luisantes de ma salive, en les agitant
« Remets toi en position…comme tout à l'heure…..oui…..écarte toi le plus possible.

Steve est de nouveau derrière moi, c’est le moment je le sens, je l’attends, où mon fantasme va se réaliser, me faire enculer par un mec et ce mec c’est Steve qui me tient aux fesses, il les écarte, il approche son ventre pour caler le gros cylindre de son sexe au fond de la raie de mes fesses qui se referment sur lui. Il recommence ce qui lui avait tant plu tout à l’heure quand son sexe était nu entre mes fesses. Il bouge de bas en haut en pliant ses jambes ; je sens sa verge prisonnière aller et venir dans l’écrin serré entre mes fesses et de son ventre plaqué sur elles.

Steve se branle sur moi , je bouge mon bassin moi aussi pour mieux le sentir ; il me maintient contre lui en m’attirant par mes hanches, c’est à peine si je sens son sexe aller et venir tant la caresse est douce, je sens bien son gland tracer la route dans ma raie lubrifiée, je devine le moment où en remontant il émerge dans mon dos, Steve s’y complait tout son corps tendu, ses couilles en butée sous mes fesses caressent les miennes qui se balancent, il ondule sur moi avant de redescendre, son sexe toujours vertical entre mes fesses.

Quelle est cette sorte de fraicheur entre mes fesses qui s’inondent d’un coup ? En tournant la tête je vois Steve, la main levée, une des deux fioles en main, il fait couler de haut un jet continu de lubrifiant liquide dans la commissure de mes fesses et je sens ce ruisselet qui dégouline délicieusement comme une caresse au fond du canyon escarpé de mes rondeurs jumelles, il ruisselle, prend son temps, descend, s’attarde insidieusement sur mon anus, en fait le tour avant de se noyer dans le marais de mes couilles. Cela change tout…..

Le rythme s’accélère, l’ampleur des va et vient aussi, mes fesses vibrent sous les assauts furieux de Steve qui semble perdre pied, le souffle court il ahane à chaque coup de boutoir, à chaque claquement de ses couilles sous mes fesses. Je suis un peu le témoin de son plaisir ; finalement j’aime cette sensation, ce genre de caresse, j’attends la suite.

D’un coup Steve s’écarte de moi libérant son sexe qu’il saisit d’une main et qu’il ploie pour faire aller son gland comme les poils d’un pinceau entre mes fesses. Il conjugue les mouvements de son ventre avec l’action de sa main et je le sens passer sur mon anus où il s’attarde avant de le faire plonger entre mes cuisses sous mes fesses pour se vautrer sur mes couilles.

Mon anus est toujours souple, je sens son gland se centrer sur lui, y rester cette fois et se presser sur ma rondelle. Serait-ce le moment ? je suis ému au possible.

« Tu t’ouvres Pierre, mon gland commence à entrer, tu n’as pas mai ?
« Ça brûle un peu
« Attends je remets encore du lubrifiant avec mes doigts…voilà…je recommence.

Je sens nettement que son gland est planté en moi, au bord, Steve m’écarte bien les fesses le plus possible en commençant à s’enfoncer doucement, précautionneusement, délicatement ; il s’applique pour que ce moment soit agréable pour moi et je lui en sais gré. Une sensation jamais ressentie me remplit. Steve se met à gémir il est bien et mon anus commence à s’ajuster sur son Zob. A mon grand étonnement je comprends qu’il est entièrement en moi quand son ventre épouse mes fesses, je me sens plein de lui, cela s’est fait tout seul. Steve reste en place, il ondule ses hanches pour bien me posséder, pour conforter cette position jouissive, faire sa place..

Le lubrifiant épais doit fondre dans mon anus, il coule, nous inonde. Steve commence à me pistonner en de longs et lents va-et-vient, son sexe coulisse onctueusement en moi et faute de plaisir je n’éprouve aucune gêne. C’est mon fantasme qui se réalise, s’efface à jamais en devenant réalité. Je me sens plein de son sexe et c’est encore pour moi une sensation de plénitude jamais ressentie.

C’est un vrai homo, lui, Steve, et il profite bien de moi ; un coup d’œil vers l’armoire que j’avais oubliée me renvoie son image, tout son corps nu en pleine orgasme, il s’agite, il est beau, debout derrière moi, son ventre sur mes fesses comme un pantin désarticulé, il s’est agrippé à moi et m’attire vers lui, me repousse pour mieux me reprendre. Il sort complètement par moment son sexe qui luit dans le miroir comme un bâton de feu. Son ventre claque mes fesses qui s’ouvrent sur ses couilles qui me fouettent en battant la chamade. Il se régale lui à me sodomiser et je comprends pourquoi il a tant insisté pour me demander de le suivre. Il profite à plein de moi.

D’un coup il se mit à jouir en vociférant
« Dis-tu la sens ma grosse bite, tu la sens qui te remplit le cul…hein salope

Je le laisse dire, il est ailleurs le visage révulsé il regarde le plafond, tendu comme un arc. Il ahane sur moi de plus en plus fort, de plus en plus vite.

« Ahhhhh je vais jouir dans ton beau petit cul de gouine…serre toi sur ma queue…glisse ta main et palpe moi les couilles…..oui…ouuuuiii … ahhhhhhh je jouis dans ton cul de pute….. c’est bon…. c’est bbbooooonnnnnn

Il vient de jouir, son visage crispé par le plaisir. Il s’est penché sur moi sa poitrine sur mon dos, il récupère, le souffle court, ses mains passées sous moi me caressent l’une les seins et l’autre mon sexe qu’il agite ; en pétrissant mes couilles, il est toujours planté en moi jusqu’à la garde ; le miroir me renvoie l’image de ses fesses mouvantes qui ondulent.


La pensée de son sexe tordu à son bout me donna une idée, je me dégage et le m’étends sur le dos en travers du lit

« Steve mets un autre préservatif…oui….graisse le bien…avec de l’épais…oui ……approche…reste debout….écarte mes cuisses…relève les …cale les sur tes épaules…présente ton gland dans mon cul…oui……enfonce toi …doucement……juste quelques centimètres….ne bouge plus….laisse moi faire ……ne dit rien

Steve a l’air étonné, son sexe est en moi, enfoncé dans mon anus que de cinq ou six centimètres ; dans cette position son gland tordu est cette fois du côté de ma prostate, il me suffit d’être patient, de bien le positionner. Interdit Steve ne dit mot. Je sens bien son gland quand je le fais bouger, aller et venir d’un petit centimètre dans le canal anal de mon rectum. J’espère ressentir de nouveau ce plaisir prostatique qui déclenche des orgasmes surprenants, répétitifs, sans éjaculation, sans perte de l’envie qui d’habitude s’évanouit après l’orgasme.

C’est l’occasion ou jamais il faut que je fasse le tour de tous mes fantasmes, les graver dans mon esprit les garder à jamais pour me les remémorer. Steve a bien profité de moi, il me faut moi aussi profiter de lui, du bout de sa queue courbée, de son gland tordu qui bouge en moi. De temps en temps je lui demande de sortir pour avoir la plaisir de la pénétration et il se remet en place.

Je ferme les yeux pour m’isoler mentalement, pour guetter la moindre de mes sensations, assez rapidement ma patience trouve sa récompense. Cela commence par le suintement d’une perle de liquide translucide au bout de mon gland, je sais que cela indique que la prostate se réveille, je ressens maintenant comme une douce décharge électrique dans tout mon ventre, suivie d’autres de plus en plus fortes, je sens pulser mon anus sans que j’y sois pour quelque chose et puis d’un coup un orgasme me submerge, d’une intensité d’une force jamais ressentie, d’une violence inouïe, presque douloureuse, effrayante même, étrangement sans éjaculation , mon sexe est gros mais sans plus. Le plaisir ne vient pas de lui mais de mon ventre, il dure plus longtemps qu’un orgasme ordinaire, il irradie tout mon corps, je jouis par le cul, par mon ventre.

Steve, cet homo patenté a l’air surprit de la violence de mon plaisir qui émane de tout mon corps. Je lui dis de ne rien faire d’autre que de rester en moi, de ne bouger qu’un peu, très peu, ce qu’il fait, je sens nettement la caresse de la corolle de son gland sur ma prostate dont je découvre la présence pour la première fois et quand un deuxième orgasme me saisit plus fort encore, plus durable que le premier, il semble incrédule. Il découvre avec moi ce qu’il faut faire pour me déclencher des orgasmes à répétition, de plus en plus violents, de plus en plus longs, de plus en plus jouissifs.

Incroyablement j’en suis à mon cinquième, il ne s’arrête pas comme les autres, il dure, je suis incroyablement bien je me surprends à vociférer des mots sans suite, et cela m’aide à jouir davantage ; je crie à Stève de ne plus bouger et c’est moi qui bouge, qui vient à la rencontre de son sexe, de ses couilles, je m’empale complètement sur sa queue l’espace d’un instant pour me sentir plein de lui en de brusques avancées de mon ventre mais je reviens à cette position que je sais reconnaître maintenant et qui me fait tant jouir, sa queue mi enfoncée dans mon anus la corolle de son gland en bonne place. Au bout de ce long moment de jouissance ininterrompue je dois dire à Steve de se retirer pour m’éviter de mourir de plaisir et de fatigue.

« Si je m’attendais
Furent ses premiers mots, dommage, je vais être obligé de partir
« Ah non laisse-moi quelques minutes encore, j’en ai pas fini, je veux baiser ton cul, t’enculer toi aussi comme tu l’as fait avec moi aller installe toi.

A moi d’être directif, c’est plus fort que moi, Incroyablement j’ai envie de son anus, c’est le fait de l’orgasme prostatique qui fait jouir sans éjaculation et qui met en réserve ce besoin de baiser normalement après. Je sens mon sexe qui recommence à bander, il n’a jamais été si tendu, il en est arqué, rougi, gorgé de sang. J’enfile un préservatif et cette caresse renforce incroyablement ma bandaison.

Alors comme il avait fait avec moi, je lui lèche le cul, lui mets ma langue au plus profond de son anus, je lui enfile une grosse noix de gel avec mes doigts, je m’avance, debout entre ses jambes écartées, mon gland à la hauteur de ses fesses ouvertes, de son anus que je découvre, le premier que je vais sodomiser, et c’est un anus d’homme, celui de ce Steve que je ne connais que depuis quelques heures. Je n’ai pas besoin de mes mains pour me guider, pour me centrer sur lui, mon gland glisse au fond de la raie de ses fesses lubrifiées et se centre tout seul dans son anus au fond de la petite dépression qui le cerne, qui l’entoure, d’une petite avancée de mon ventre il est en lui à moitié enfoncé.

Je tremble comme une feuille, je vois tout, je domine tout, mon gland qui s’enfonce doucement dans cet anus qui s’ouvre, qui cède, il est entré complètement et je le fais aller et venir en m’enfonçant chaque fois davantage, c’est plus serré que je le pensais, plus serré qu’une chatte et c’est bon. Quand je me retire je vois son fondement qui se retrousse et je deviens comme fou.

Quand mon sexe est enfoncé de moitié je ne vois plus rien, il ne me reste que la sensation de cette pénétration. Stève bouge un peu en ondulant du bassin mais je veux être maître de ce moment et je l’immobilise en le prenant, mes mains sur ses hanches. Petit à petit je continue de m’avancer, de m’enfoncer par à coup dans son anus, sans effort car mon sexe glisse bien en lui, j’ai mon ventre sur ses fesses, je les écartèle avec mes mains pour entrer plus profond encore.

« Tu es bien Stève ?
« Oui, c’est bon, branle toi dans mon cul……..oui…….plus fort……plus vite…..ahhhh c’est bon…une bonne bite dans le cul……Claque moi les fesses avec ton ventre…….oui bien à fond…….avec tes mains aussi, gifle mes fesses…oui…ouiiiii

Je le fesse comme il me demande et chaque gifle le fait sursauter, se serrer davantage sur moi, comme c’est bon cette étreinte puissante de son anus sur ma queue raidie
« Sors ton sexe et reprends moi…j’aime quand ton gland force mon cul….oui…comme çà

Il m’apprend la sodomie , me dit ce qu’il aime, alors oui j’entre et sort mon sexe de son cul , sortir est facile, rentrer est plus délicat et pourtant cela se fait tout seul, sans l’aide de mes mains, mon gland en glissant dans la raie des fesses ointes trouve son chemin, de plus en plus facilement car son anus est ouvert maintenant et il le reste entre deux pénétrations au point qu’il se met à chanter dans un bruit d’air expulsé quand je rentre et cette sorte de musique, cette sensation nous déchainent lui et moi. A chaque fois que de sors je vois mon gland encapuchonné dans son prépuce et quand je rendre j’ai la double sensation, la douceur de son anus et le dépucelage de mon gland, cela fait beaucoup de plaisir/

« Branle-moi la queue
Je le fais, je conjugue les mouvements de ma main sur son sexe, sur ses couilles avec ceux de ma bite dans son cul. Je suis devenu fou moi aussi je sens le besoin de crier de l’insulter, cela je le sais maintenant ajoute à mon plaisir et au sien.

« Prends-moi les couilles toi aussi !
Il le fait en passant sa main entre ses cuisses et il me saisit

« Steve !... tu sens ma grosse queue dans ton cul…tu en avais envie hein ma salope…tu y pensais dans le train quand tu la prises dans ta main
« Oui, j’avais envie….baise moi encore…..fais-moi jouir……branle moi plus fort, plus vite…..oui….ouiiiiiii…….aaahhhhouiiiicébon
Stève viens de jouir dans ma main et pour moi il n’y a plus lieu d’attendre je suis sous pression depuis le début, je me laisse aller.

« Serre bien ton cul sur moi, plus fort……oui……ouiiiiii
Je vais jouir ; j’ai en mémoire tous les épilogues des vidéos pornos dont je fais grand usage. Alors avant de jouir je me retire brusquement, j’arrache mon préservatif et bitte à la main en me masturbant violemment au-dessus des fesses de Steve j’explose en longs jets nacrés une quantité incroyable de mon foutre, les premières giclées arrosent son dos et les dernières, les meilleures, viennent se perdre dans le marais de ses fesses.
Chaque giclée nacrée de mon sperme me tire un cri, jamais je crois je n’ai eu un tel plaisir de jouir.

Nous sommes épuisés tous les deux et il nous faut un long moment avant de refaire surface ; sans penser à rien, j’étale mon plaisir sur ses fesses en mouvements enveloppants et lui les trémousse sur moi, il ondule comme une chatte en chaleur sur mon ventre sur mon sexe mollissant.


Steve se lève, c’est à peine s’il ose me regarder. Il semble pressé, il s’habille en vitesse me disant qu’il va payer la chambre en partant et il me glisse sa carte
« On se revoit ?
Il est parti
Je suis seul et je vais partir moi aussi. Je suis tout drôle, ne sait que penser, ainsi c’est fait, j’ai franchi le pas, j’ai osé ; comme me l’a prédit Steve je me sens bien, mon anus s’est refermé doucement, il se sent libre, ramoné, alésé. Je viens de réaliser un de mes fantasmes. Je crois que j’en resterai là, enfin, je crois, c’était si bon cette première expérience, un souvenir gravé à jamais dans toute ma chair.

Il faut que j’aille récupérer ma monnaie à la pharmacie, cela me coûte car ce matin je n’avais pas le beau rôle, mais là je me sens gaillard, décomplexé et incroyablement avec une forte envie de baiser.
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Steve

Le 06/01/2016 - 17:31 par eloquentjoker
Hummm quel récit excitant. Il m'a fait bander et jouir

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