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Un petit coup de guidon

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Lue : 2958 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/04/2016

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C'est par une belle journée de fin de printemps, où j'étais en train de repeindre les volets de ma maison que cette aventure m'a surpris.
Il devait être environ seize heures lorsque la fille de mes voisins est arrivée avec son beau Chapy bleu tout neuf. Comme c'est une fille très polie, elle me klaxonne, me fait un grand signe avec la main puis, vient se garer à côté de mon escabeau. Elle coupe le moteur, descend de sa monture, enlève son casque et le pose sur la selle. Je ne sais pas comment elle a fait. Mais en se retournant, elle se cogne contre le guidon. Et là :

Séverine.
Oh putain mon nichon... !
Moi.
Qu'est ce que tu as fais ?
Séverine.
Je me suis cogné le nichon et, ça me fait mal.
Moi.
Je peux faire quelque chose ?
Séverine.
Je sais pas... !
Moi.
Entre à la maison, je vais regarder, si tu veux !
Séverine.
D'accord.

Elle rentre son engin de malheur dans le garage, puis nous pénétrons à l'intérieur. Je la conduis à la salle de bains. Elle ôte son débardeur et son soutien gorge. Là, je commence à fantasmer. Cette petite jeune fille de seize ans, tout juste, offre à mon regard deux superbes ogives toutes blanches aux aréoles rosées avec des tétons tout mignon mignon.
Effectivement, sur le sein gauche, il y a une marque rouge, trace du coup qu'elle vient de prendre.

Et là :

Moi.
tu n'y es pas allée avec le dos de la cuillère !
Séverine.
Ben oui, ça fait mal... !
Moi.
je vais te réparer ça, tu vas voir... !
Séverine.
Merci Régis.

J'ouvre la pharmacie. Je prends un flacon d’arnica et un tampon de coton que j'imbibe. Puis, je commence à lui appliquer, tout doucement, sur la marque rouge. Et là :

Séverine.
Hou la la, c'est froid... !
Moi.
Attends, ça va se réchauffer après.

Après quelques secondes :

Séverine.
Là, ça commence à aller mieux.
Moi.
Tu vois, je te l'ai dit. Dans un moment, tu ne sentiras plus la douleur

je continue à lui tamponner avec l'arnica son sein. Je ne sais pas si c'est l'effet du froid, mais son téton s'est subitement redressé. Et forcément, moi, ça a commencé à me donner des idées. D'une main, je continue à lui soigner sa blessure, et de l'autre, je me mets à lui caresser son autre sein. Ma petite voisine, me laisse faire, et ne bronche pas. Du coup, ce qui devait arriver, arriva. Dans mon short, mon ami Popol prend soudainement une forme relativement volumineuse et, forme vers le devant une énorme protubérance.
Aussitôt, je vois Séverine baisser les yeux, et attraper mon manche. Puis elle me dit.

Mon cochon, c'est moi qui te fais bander comme ça ?
Moi.
Oui... !
Séverine.
Il va falloir que je te soigne aussi... !
Moi.
Et oui... ça, c'est une bonne idée. Mais pour ça, on va dans la chambre ?
Séverine.
Oui, si tu veux !

Nous quittons la salle bains pour ma chambre. Nous nous jetons sur le lit. Elle m'arrache mon short pour prendre mon jouet en main. Elle commence à me masturber. Puis dans la foulée, elle se penche au dessus du monstre, le prend en main et le fourre dans sa bouche pour une excellente fellation.
A mon tour, je lui retire son mini short puis son slip. S'offre à moi une superbe fente presque lisse, à peine un fin duvet de poils blonds. Je me jette dessus comme un mort de faim. J'écarte les lèvres de sa jolie moule, toute chaude, pour y faire plonger ma langue. Au bout de quelques minutes de mange foufoune, ma jolie voisine se met à se tordre dans tous les sens et à gémir de plaisir. Pour poursuivre notre chevauchée fantastique, je lui propose un 69. Et là, ça devient l'apothéose. Elle me suce, me branle avec entrain.moi, je lui dévore sa petite chatte, son clitoris et finis par lui lécher sa petite rondelle plissée, tout aussi rose que ses tétons et sa petite fente magique.

Après un gros quart d'heure de pratique, elle me demande d'une voix haletante :

Régis, fais moi l'amour maintenant. J'en peux plus. Tu me fais jouir comme une folle !
Moi.
D'accord ma chérie. Laisse moi mettre un petit capuchon !
Séverine.
Pourquoi un capuchon ? J'aime pas ça. Et puis, on se connaît bien, quand même... !
Moi.
Ça c'est vrai. On se connaît depuis longtemps même. Bon Ok. Mais, je cracherai pas dedans ta chouchoune.
Séverine.
Pourquoi ? C'est ça le meilleur. Tu peux cracher dedans, je prends la pilule. Ça risque rien.
Moi.
D'accord. Comme ça, les choses sont claires.

Du temps que nous discutons, le plat s'est un peu refroidi. Alors, nous retrouvons chacun notre activité. Elle me suce et me masturbe à nouveau. Moi, je recommence à lui lécher sa jolie fente rose. Deux minutes plus tard, nous sommes, à nouveau, opérationnels.
Séverine lâche ma banane rose toute raide, et vient s'y planter dessus pour faire un tour sur la balançoire, un peu en avant puis en arrière. Dans les deux sens, je trouve ça phénoménal. Mais, j'ai l'impression que ma jeune partenaire, elle aussi, apprécie beaucoup. Car, de soupir en halètement, elle se donne du plaisir. Elle jouit comme une petite cochonne.
Après la balançoire, nous enchaînons par la position des petites cuillères, puis par une levrette. Et là, c'est à nouveau un bouquet sublime. J'ai pas plus tôt planté ma banane dans sa petite chatte dégoulinante, que ma belle commence à se cambrer puis, à gémir de toutes ses forces. Heureusement que les fenêtres de la maison sont closes. Car, tout le quartier l'entendrait gémir.
Je lui tamponne sa moule avec insistance. Au plus je la culbute, plus elle gémit et finit même par crier.

Séverine.
Régis, vas y... éclate moi ma chatte.

Qu'est ce qu'on peut faire lorsque une jolie nana, comme elle, vous demande ça. Je m'exécute aussitôt. Je lui donne tout ce que je peux lui donner. Je lui tamponne sa chatte comme un forcené. Puis, histoire d'essayer de pimenter encore un peu plus la chose, je mouille un de mes doigt et, lui masse tout doucement sa rondelle plissée, jusqu'à la lui pénétrer. Là, je la sent encore une fois se cabrer puis pousser un petit cri.

Oh... mais, qu'est que tu me fais ?
Moi.
Ça te plaît ?
Séverine.
Heum, c'est pas mauvais !
Moi.
Je peux continuer ?
Séverine.
Oui... !

Tout en continuant de lui planter ma verge dans sa foufoune brûlante, je lui masturbe intensivement son petit trou. Elle jouit de toute ses forces. Et moi, j'ai de plus en plus envie de lui perforer sa rondelle plissée, jusqu'au moment où.

Moi.
Tu veux que je prenne ton petit bijou ?
Séverine.
Je sais pas... Ça fait pas mal ?
Moi.
Pas forcément !
Séverine.
Je veux bien essayer.

Alors, je lui prépare comme il faut son anus, pour que je ne lui fasse pas mal. Petit à petit, cette petite rondelle se dilate pour finir par s'ouvrir assez facilement. A ce moment là, je prends ma verge toujours aussi raide et, lui présente à l'entrée de son orifice. Après deux ou trois poussées infructueuses, mon joujou finit par pénétrer un petit peu. Puis petit à petit, millimètre après millimètre, il finit par se retrouver bien à l'intérieur. Et là :

Séverine.
Ouf, pour être grosse, elle est bien grosse, ta queue !
Moi.
Pourquoi, je te fais mal ?
Séverine.
Mal, non... Mais je la sent bien.
Moi.
Alors, je peux ou pas ?
Séverine.
Si. Tu peux. Vas y !

alors, puisque les choses sont claires, je mets en route mon marteau piqueur. Je vais et je viens dans l'étroitesse de son petit cul. Pour être étroit, il est très étroit. Mais je me régale tout autant qu'elle. Très vite, la jouissance revient en nous. Séverine se remet à gémir. D'autant que pour accentuer sa jouissance, elle se masturbe son clitoris et se plante les doigts dans sa chatte. Je lui éclate son trou du cul pendant un long moment. Quand tout à coup.

Moi.
J'ai envie d'éjaculer !
Séverine.
Attend encore un peu, s'il te plaît ?
Moi.
Je vais essayer. Mais, je te promets rien... !

Je reprends ma besogne pendant encore deux ou trois minutes. Mais là, je ne peux plus contenir plus longtemps mon envie. Et, dans un râle presque bestial, je lui expulse une grosse giclée de sperme à l'intérieur de son orifice anal. Puis :

Moi.
Excuses moi... j'ai pas pu aller plus loin !
Séverine.
Mais, tu n'as pas à t'excuser. C'était super comme ça. Tu m'as explosé le cul. Mais tu m'as fait jouir comme c'est pas possible. Je reviendrai te voir encore.
Moi.
Merci ma chérie. De toute façon, on n'est pas bien éloigné... (rires)
Séverine.
Ça. C'est sûr... on est pas bien l'un de l'autre. J'ai juste à traverser la rue. Bon, c'est pas tout. Mais, je vais te laisser et rentrer chez moi, avant que mes parents arrivent.
Moi.
D'accord. Tu veux prendre une douche ?
Séverine.
Non, je vais la prendre à la maison.

Alors, je lui donne de quoi essuyer ses fesses. Puis, elle s'habille, se recoiffe un peu. Me donne un baiser et me quitte, pour rentrer chez sa maman.
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