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Une nuit avec Guillaume 1

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Lue : 5761 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/02/2013

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Vingt-trois heures. Je viens tout juste de prendre ma douche et me voilà en train de déambuler dans le couloir de cet hôtel espagnol. Je suis actuellement en Espagne le cours d’un week-end et je m’y suis rendu grâce à des amis rencontrés sur un forum. Parmi eux, le jeune Guillaume. C’est un garçon que je trouve fortement adorable et avec qui j’aurais bien aimé m’amuser si l’occasion m’en était offerte. Nous avons pu échanger quelques mots dans la voiture sur le chemin de l’aller et visiblement, nous sommes partis sur une amitié vraiment sincère.

Dans un sens, cela me fait plaisir mais je préfère rester sur mes gardes. Me voilà devant la porte de ma chambre et je constate que celle-ci est légèrement entrouverte. Pourtant, en fouillant dans les méandres de ma mémoire, il me semblait bien l’avoir fermée avant de partir pour la salle de bains. J’entre dans la pièce pour savoir ce qui se passe, en espérant que rien ne m’a été dérobé. Si jamais on s’est servi dans mes affaires, je me ferais un plaisir de retrouver cette personne dans l’unique but de bien lui démonter la gueule.

Dès que je referme la porte derrière moi et cette fois, à clef, j’entre dans la chambre et aperçoit un garçon allongé sur mon lit. Cet être ne m’est pas inconnu puisqu’il s’agit de l’adorable Guillaume. Celui-ci ne porte qu’un tee-shirt immaculé et un boxer sur son corps et sa visite surprise m’étonne un peu. Prudent, j’avance jusqu’à mon matelas, le contourne pour m’installer sur la partie gauche. Là, je pose mes bracelets k-pop sur la table de chevet et me tourne vers lui pour connaître la raison de sa présence.

« Tu fais quoi ici ? Commençais-je.
- Je n’arrivais pas à trouver le sommeil et comme tu m’avais dit de venir te voir à chaque fois que j’avais un souci, ben me voilà.
- D’accord. »

Donc, mon jeune camarade n’arrive pas à dormir. Je connais très bien cet état puisque je suis un insomniaque à la base. Il est vrai que d’avoir un rythme de repos perturbé pendant plusieurs jours peut poser un véritable souci. On est davantage sensible à ce qui se passe autour de nous mais surtout, davantage sur les nerfs. Pour ma part, une caissière du supermarché se trouvant dans mon quartier en a très vite fait les frais et sincèrement, je ne regrette nullement ma réaction.

Même si Guillaume se tient à mes côtés, je ne sais vraiment pas quoi lui dire. J’espère qu’il aura une idée de conversation car avec moi, c’est plutôt mal barré. D’habitude, je me serais permis de l’amener sur un dialogue basé sur le sexe pour tenter de l’attirer vers moi mais bon, le faire dans un hôtel, grande première pour moi. Comme quoi, on peut toujours se lancer dans des expériences inédites, même à bientôt trente ans et que la vie, mine de rien, est un flot continu d’apprentissages dans tous les domaines. Toutefois, s’il doit se passer quelque chose de sexuel entre lui et moi, c’est à moi de me montrer professeur et non l’inverse.

De toute façon, je ne m’inquiète nullement me concernant. Je sais être un amant des plus doux et des plus prévenants. S’il m’offre la chance d’être son premier partenaire masculin, je ferais de mon mieux pour que cette expérience soit la plus agréable possible à ses yeux. Je serai à son écoute, je répondrai à toutes les questions qu’il se pose et enfin, j’irai le déguster comme je le souhaiterai. Pour l’heure, c’est surtout sa bouche, son sexe et son postérieur qui m’intéressent le plus et j’espère qu’il ne m’en interdira pas l’accès.

« J’espère que tu ne m’en veux pas d’être venu dans ta chambre pendant ton absence ?
- Non Guillaume, ne t’inquiète pas. »

Je retire mon peignoir bleu foncé que je portais depuis la sortie de la salle de bains et le laisse tomber sur le sol. Je ne suis pas un maniaque du rangement mais par contre, dans l’entretien des bordels monstres, je suis un expert en la matière. D’ailleurs, je retrouve mieux mes affaires dans une pièce mal rangée que dans une autre toute propre. Je suis bizarre, je le sais et pour le moment, je n’envisage pas de changer, surtout si c’est pour plaire aux autres. Tranquillement, je me glisse sous les couvertures du lit et me positionne afin de regarder mon bel ami.

Celui-ci semble admirer le plafond qui est de couleur crème et n’a pas l’air décidé à prononcer le moindre mot. Serait-il un grand timide finalement ? Dans un sens, je trouve cela plutôt craquant mais qu’il ne compte pas sur moi pour faire le premier pas. S’il veut qu’un truc se passe entre nous deux, j’espère qu’il n’aura aucune gêne pour me le demander car sinon, cette nuit se passera doucement. Toutefois, je sens qu’une ambiance particulière est en train de s’installer dans la chambre mais je ne sais comment la décrire.

Les minutes passent et aucun mot ne sort de la bouche de Guillaume. Je décide de lui forcer un peu la main.

« En clair, tu es venu faire ton insomniaque à côté de moi, c’est ça ?
- Non. Pourquoi tu dis ça ?
- Parce que tu ne parles pas, voilà pourquoi. En plus, tu n’as pas peur que je t’agresse en venant me voir dans cette tenue. » M’amusai-je à lui dire, espérant que cette phrase le titillera un peu ou du moins, suffira à le décoincer.

Comme ayant un doute sur les vêtements qu’il porte, Guillaume lève sa tête pour se regarder et ensuite, la repose sur son oreiller.

« Je ne vois pas ce qui cloche.
- Vraiment ?
- Ben non.
- Très bien, je vais te le dire dans ce cas. Comme tu le sais, je suis gay et toi, tu m’attires beaucoup. En plus, tu viens en tee-shirt et en boxer donc, inutile de te dire ce que j’ai envie de te faire là. »

Guillaume tourne alors son visage vers moi et c’est difficilement qu’il prononce ces quelques mots.

« Tu veux qu’on couche ensemble ?
- Si tu te sens prêt, oui. Par contre, je ne tiens pas à te forcer la main et si tu ne souhaites rien faire, cela ne me pose aucun problème. »

Et c’est vrai. Si Guillaume ne veut rien tenter avec moi, je comprendrai. Bref, je décide de lui tourner le dos et de trouver le sommeil, convaincu qu’il ne se fera rien mais voilà que sa voix se manifeste une nouvelle fois.

« J’ai envie de le faire avec toi. »

Du coup, je me retourne pour lui faire face et lui pose cette question pour être sûr de ce qu’il veut réellement.

« Aucun regret ?
- Non. Comme je te l’ai dit, tu es probablement le seul garçon qui me donne envie de le faire et comme tu es très tendre avec tes amants, je sais que tout se passera bien.
- D’accord. J’ai le droit de t’embrasser et de te caresser autant de fois que je le souhaite pour t’aider à te détendre ?
- Ouais.
- Cool dans ce cas. »

Tout doucement, je m’approche de lui et le regarde droit dans les yeux. Dans son regard, j’y vois de l’envie et ce détail me satisfait amplement. Désormais, il m’incombe de le satisfaire sexuellement et je ferais tout ce qui est en pouvoir pour que cette première fois soit un joli souvenir pour lui. A la limite, s’il voulait y revenir dans un futur proche comme éloigné, je ne pense pas que je lui refuserais. Toujours avec un rythme plutôt lent, je pose mes lèvres sur les siennes afin d’échanger un baiser des plus innocent.

Ce contact ne tarde pas trop, à peine une poignée de secondes mais pour le suivant, je laisse couler du temps. Au troisième, je risque ma langue et je suis heureux de sentir celle de Guillaume jouer avec la mienne. Là encore, je ne m’attarde pas beaucoup pour être sûr qu’il puisse profiter des saveurs de chaque pratique avant de l’embrasser langoureusement une seconde fois. Cette fois, cet échange se veut plus intense et je fais comprendre à mon amant, de quelques gestes bien placés, que je veux le sentir sur moi. Désormais, le voilà allongé sur moi, les draps ramenés au pied du lit.

Tandis que je poursuis mes baisers, mes mains se promènent sur son dos et le lui frôlent du bout des doigts. Je sens mon jeune partenaire trembler par moment, ce qui est normal puisque mes caresses ont le don de détendre. D’ailleurs, Guillaume ne se prive pas pour me le faire savoir.

« J’adore la façon dont tu me caresses.
- C’est vrai ?
- Oui Lou.
- Tant mieux alors et rassure-toi, elles peuvent s’appliquer sur d’autres parties du corps et je pense que tu sauras les apprécier tout autant.
- Je ne demande qu’à voir dans ce cas.
- Pas de souci. »

Mes mains quittent doucement le dos de mon bel ami pour se glisser sous le tissu de son sous-vêtement. Là, je continue de le caresser au niveau de ses fesses et au bas de son dos. Aucun refus de sa part, ce qui me fait plaisir et j’ai hâte de sentir de nouveaux frissons lui parcourir le corps. Ces derniers ne tardent pas. Nos langues jouent toujours ensemble et voilà que l’un de mes doigts parcourt le chemin qui se trouve au milieu de son postérieur. Comme ce geste est inédit pour lui, je ne suis pas surpris de son immobilisation soudaine.

J’ignore si c’est de la crainte qui habite ses pensées pour le moment mais je sais que tôt ou tard, il saura apprécier cette caresse à sa juste valeur. J’abandonne sa raie pour poursuivre mon attention sur ses fesses que je devine magnifiques. S’il m’offre l’occasion de lui faire un anulingus, ce que j’adore par-dessus tout, je sais que mes gestes auront leur utilité. Sa langue recommence à jouer avec la mienne, ce qui est un bon signe. De nouveau détendu, Guillaume n’hésite pas à se montrer généreux en baisers et je prends beaucoup de plaisir à avaler nos salives respectives.

J’adore ce garçon et il le sait. J’attends encore quelques secondes avant de risquer mon doigt autour et sur son anus pour la seconde fois de notre câlinerie. Cette fois, aucun arrêt de sa part mais des tremblements qui trahissent son état. Au troisième passage, il recule son fessier sans le vouloir, ce qui veut dire que le jeune homme est de plus en plus sensible à ce genre de caresse, ce qui me soulage par la même occasion. Je prodigue ces attentions un bon nombre de fois avant de me montrer audacieux. Comme pour le prévenir, je ressens le besoin de prononcer ces quelques mots.

« Tu sais que tu risquerais de fortement apprécier l’intromission de mon doigt dans cette zone alors que c’est ta toute première fois ?
- Non.
- Partant ?
- Vas-y.
- Entendu. »

Je prolonge la promenade de mon doigt encore un certain temps avant de lui enfoncer doucement. Comme je me suis gardé de le prévenir, Guillaume ôte ses lèvres des miennes et libère un râle profond. Plus mon doigt s’enfonce et plus mon partenaire prend du plaisir. Une fois à l’intérieur de lui dans son intégralité, le garçon baisse son visage vers le mien et me sourit.

« Pas mal du tout, me dit-il.
- Tu vois. »

Heureux, Guillaume m’embrasse encore tandis que j’imprime légèrement un mouvement de va-et-vient à mon index fouilleur. Notre amitié se fait plus intense et je sens sa verge s’allonger de plus en plus à l’intérieur de son sous-vêtement.

« On se déshabille ? Proposais-je.
- Ouais car ça commence à être pénible de ne pouvoir bander franchement. »

Et très vite, mon camarade glisse sur ma gauche afin de pouvoir se mettre nu. Bien sûr, j’en fais autant et une fois dans la même tenue que lui, il se rallonge sur moi en prenant soin de placer son sexe contre le mien. De temps en temps par l’intermédiaire de coups de reins bien placés, nos membres se frottent l’un contre l’autre, nous offrant une nouvelle vague de plaisirs réciproques. Par contre, l’envie d’explorer son corps d’une autre façon commence à me titiller furieusement et ce besoin se fait si fort que je ne me prive pas pour lui communiquer. Reste à savoir maintenant s’il est d’accord.

« Guillaume, je peux promener ma langue là où tu sais ? »

En guise de réponse, le joli garçon me quitte pour s’allonger à plat ventre sur le lit. Ayant son accord visiblement, je me glisse sur le matelas pour me positionner entre ses jambes. Là, je poursuis mes caresses en lui demandant d’écarter gentiment ses membres inférieurs, ce qu’il fait docilement. Etant moins gêné dans cette posture, je ne m’attarde pas davantage et voilà que mes lèvres se glissent entre ses fesses pour déposer un premier baiser sur son intimité. Celui-ci est bien reçu et je me décide de me montrer davantage gourmand en y passant la langue. Son cul sent bon le frais et j’aime explorer les terrains encore vierges.

Même si elle se montre étroite au tout début, l’élasticité de cette zone et si agréable que de se frayer un chemin l’est encore plus. Ma langue s’enfonce dans ses chairs et je me régale à lui dévorer l’arrière-train. De son côté, quelques gémissements se font audibles mais on dirait qu’il tente de se montrer discret. Aurait-il déjà honte de ce que nous sommes en train de faire alors que nous n’en sommes qu’aux préliminaires ? A moins que cela soit dans sa façon d’agir ?

Après tout, je le connais encore très peu même si je suis très curieux concernant sa personne. Mon bas ventre me démange et ma verge pointe à son maximum. Comme à chaque fois que je pratique un anulingus, mon excitation est très vite à son paroxysme et je vais devoir solliciter ses faveurs pour être satisfait à mon tour. Néanmoins, comme c’est sa partie, je ne tiens pas à lui imposer certaines pratiques, juste pour qu’il me fasse plaisir. Je tiens à ce qu’il me fasse aussi des demandes lorsque l’envie se fera sentir.

Alors que ma langue continue son exploration, je la ramène à l’intérieur de ma bouche pour lui poser sa question.

« Tu veux que je m’occupe un peu du devant aussi ?
- Ouais et je te souhaite bonne chance par avance. »

Et je sais de suite pourquoi il me dit ça. Même si j’ai eu l’honneur de la voir par le biais d’une photo, l’instant restera exceptionnel un bon moment dans un coin de ma tête. Tranquillement, Guillaume se retourne et une fois sur le dos, je fais face à son sexe. Le gratte-ciel comme j’aime bien la nommer. Elle est si belle. Je la prends rapidement dans une main et commence à la masturber tendrement.

Son gland est très vite décalotté et l’envie de lui sucer me fait déjà saliver. D’ailleurs, je décide de ne pas trop traîner. Je glisse l’extrémité de sa verge dans ma bouche et commence ma fellation. Par contre, j’en suis conscient, j’ai beau être une gorge profonde, cela m’étonnerait que j’arrive à l’enfoncer entièrement. Je veux bien tenter à plusieurs reprises mais je ne me nourris pas de faux espoirs. Pendant ce temps, je m’allonge dans l’autre sens près de lui afin de faire passer le message sans le prononcer.

Contrairement à lui, mon équipement est de taille plutôt standard et s’il voulait tenter une gorge profonde de son côté, il ne peinerait pas du tout. Par contre, c’est loin d’être mon cas concernant son alien. D’ailleurs, il lui manque plus que sa drôle de mâchoire acérée et il pourrait finir figurant dans le cinéma de science fiction. Si cela se trouve, Guillaume ignore qu’il passe à côté d’une belle occasion de se faire pas mal d’argent. Tant que ce beau jeune homme ne termine pas dans des films de cul, c’est tout ce que je demande.

Je pense que je pourrais me montrer jaloux mais bon, cela me prouve que je tiens à lui et que ses charmes ne me laissent guère indifférent. Au moment où je glisse sa verge de plus en plus profondément dans ma bouche, je sens ses mains jouer avec la mienne. Il me la caresse doucement puis la masturbe un peu plus franchement pour ensuite, la mettre dans sa bouche. Sentir sa langue sur mon gland m’emplit de joie et voilà que je me mets à gémir à mon tour. N’y pouvant plus et voulant savoir de quoi je suis réellement capable, je me prépare à jouer de ma gorge pour une première tentative.

Je sors alors son chibre, le regarde et me demande comment je vais m’y prendre. Par contre, je ne panique pas réellement et même si cet essai doit se solder par un échec, j’espère que celui-ci nous permettra de communiquer un peu, surtout sur le ton de la plaisanterie. Je souhaite aussi que cette expérience ne soit pas mauvaise pour lui car un sexe se trouvant intégralement dans une cavité buccale ou partiellement offre tout de même de sacrés frissons. Je ne tiens pas à lui gâcher ce plaisir, je dois tenter.

« Surtout Guillaume, ne fais pas de gestes brusques avec ta queue s’il te plait ?
- Pourquoi ?
- Je vais voir si je peux la mettre entière dans ma bouche.
- Tu es malade ?
- Je sais. Pour ça que je veux essayer. »

Je la masturbe quelques secondes et voilà que le gland disparait entre mes joues. Ensuite, je glisse mes lèvres le long de son membre en y allant doucement pour ne pas m’étouffer. Même si je peux m’enfiler des tiges de vingt-deux centimètres facilement, la sienne reste impressionnante et je n’ai pas envie qu’il m’arrive un pépin avec cette pratique…
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