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Vengeance heureuse d'un cocu 10

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Lue : 984 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/07/2015

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Revenons au mois d'après la bagarre, ce fut Annie qui fut la première à revenir chez l'effleureur, j'étais prêt, j'étais arrivé avant, afin de ne pas les croiser accidentellement, quand la lumière s'allume, je me dis ca y est, c'était l'effleureur qui préparait le matériel, la planche allant sur le billard, je vois des barres mais horizontalement suspendu, mais pas la barre verticale, il remonte, j'attends plus de 20 minutes, puis je vois Annie arriver, elle se déshabille, l'effleureur surement blasé s'occupe du matériel, moi je mate, elle reste nue

Allez putain, met ton cul la dessus, elle s'y met, lui bande les yeux, il lui attache les chevilles sur la barre coté escalier, les mains sur l'autre barre, elle a les mains et pieds en l'air, tout le dos touche le billard, et les fesses sur le bord, il attache ses genoux, écartés au maxi et fixé sur chaque pied du billard, après, je ne comprend pas ce qu'il installe, je l'ai su après, deux blocs en bois de chaque côté d'elle, avec deux tubes de cuivre passant au-dessus de ses seins, il lui met des pinces aux seins ensuite accroché à la barre ou ses mains son liées, il pose un appareil électrique a cote d'un bloc en bois, le branche sur une rallonge

Une fois immobilisée, il sort un martinet et lui fouette les cuisses, le ventre, le dessous et dessus des seins, le sexe, les coups ne sont pas fort au début, il lui fouette ensuite le sexe de plus en plus fort, elle cri de douleur, je vois son visage de coté, car je n'ai pas de camera coté escalier, Annie gémit de douleur, pousse des hou, ho, aille, hou, mais il tape de plus en plus, a mesure, elle geint de moins en moins, elle tourne sa tête a droite, a gauche ensuite, elle tente de deviner quand arrivent les coups de martinet, je me dis, comment peut on frapper ce sexe qu'on aurait plutôt envie de couvrir de baiser, de douceur

il lui retire le bandeau, attendant et regardant les coups qu'on lui met, elle commence a gémir mais de plaisir cette fois, elle attend le martinet lui cingler le sexe puis les plus vite et les encore s'enchaine de plus en plus, elle se soulève le dos pour aller au devant de la cuisante caresse, ses seins sont sur les tubes, voyant cela, l'effleureur va bricoler l'appareil, en faite c'est un appareil de clôture électrique pour les animaux, de nos jours, il existe la même chose pour le BDSM, mais plus spécialisé

Celui de l'effleureur a été modifié pour donner une décharge moins forte, plus acceptable et proportionné à la personne, l'origine de la panne, un mauvais contact apparemment, ceci réparé, les coups re pleuve sur le sexe d'Annie, l'excitation étant retombé, il a dû recommencer, cela est revenu plus vite

Elle recommence à gémir de plaisir jusqu'au moment ou n'y tenant plus, elle se soulève le dos pour s'avancer a la caresse, et touche le cuivre, elle crie de douleur et se remet sur le dos, les coups continuent et elle alterne entre supporter la torture de l'excitation inassouvie ou la décharge électrique, après plusieurs coups de jus, elle hurle pour être baisée

Il lui dit des "ta gueule salope", des "tais toi sale pute", des "ferme la morue", puis ensuite, il l'a fait languir avec des "tu veux que je te bite sac à foutre", "tu veux être baisé morue", "demande le mieux que ca pouffiasse", et là, l'Annie que je connais, celle que l'on peut sortir dans n'importe quel endroit snob ou rien que le mot zut est presque de la vulgarité, cette Annie aux airs de bourgeoise BCBG, je l'entend dire, "oui baise la pute que je suis, je t'appartiens, fais-moi tout ce que tu veux, mais bite moi, défonce-moi la chatte ou le cul, mais pénètre-moi"

Demande mieux dit il, en continuant de la fouetter, elle redemande de la même manière avec des mots cru la rabaissant, s'humiliant, oui, je suis un sac à foutre, une pute de chantier, une suceuse de queue, il lui dit, tient, je vais t'enculer salope, elle dit oui, oui encule moi, oui oui, il lui enfonce un gode dans le cul, elle jouis aussitôt en gémissant très violemment, comme Marie, un orgasme super violent à se casser les cordes vocales

Au moment de jouir, il lui en met un autre dans la chatte, sans le bouger, c'est elle qui fait le mouvement salvateur des va et viens sur le gode, prenant souvent des coups de jus d'avoir trop bougée, pendant qu'Annie s'humiliait en demandant d'être enculée, j'ai éjaculé, je comprenais le plaisir de l'effleureur

Après qu'Annie ait repris son souffle, il lui met un masque et des oreillettes du walkman, je devine sa femme qui descend aussitôt, elle est cette fois en porte jarretelle, bas noir sans soutif, bien sûr, par rapport a Marie ou Annie, il n'y a pas photo, mais cela la met en valeur, elle suce, fouille, doigte, puis prend le gode ensuite et rend Annie complètement folle de plaisir avec, elle lui donne deux orgasmes qui lui font prendre d'autres décharges

Ensuite, elle se met en position pour sucer Annie et se faire prendre en levrette debout, le même mode opératoire qu'avec Marie, elle jouit, lui non, elle remonte ensuite, il la détache, Annie se met le cul sur le bord du billard, et il l'a baise comme ça, empalée sur sa bite, il s'éloigne du billard, Annie a les jambes derrière son dos, il donne des secousses, Annie a un autre orgasme, moins violent, mais elle jouis quand même, il l'embrasse comme je le faisais, c'est vrai qu'elle ne donne pas ses lèvres comme elle m'avait dit

Après cela, en appuis sur le billard, il la sodomise, elle n'a pas pu jouir assez rapidement, l'effleureur est venu avant elle, elle a dit "no non pas maintenant en continuant a donner du dos pour profiter des dernières secondes de raideur, restant ainsi moins de 30 secondes, elle s'est essuyée ensuite, elle avait du monde a dîner et est partie aussitôt

J'ai encore attendu comme l'effleureur rangeait, sa femme est venu l'aider, elle s'était rhabillée, je suis parti à ce moment là, avec Marie, j'avais retrouvé un peu d'assurance, et le goût du sexe, mais quand je l'entendais jouir, ce n'était pas comme je l'avais entendu au billard

Le samedi, ça faisait plus d'un mois que l'on a pas été ensemble vraiment et ce samedi là, ou je devais faire un billard comme toujours, ça faisait une bonne semaine que je me resservais de ma main, j'ai été longtemps au téléphone, un bisou a Marie et suis parti en retard, je me dépêche et oublie mes clefs, je m'en aperçois a la voiture, je reviens a la maison ou Marie en principe devait faire le ménage et repassage, a ses dires

Je la revois qu'elle part en courant, quel con de ne pas avoir mes clefs de voiture, je pense comme à chaque fois, a un autre amant, mais arrivé a sa voiture, elle prend un sac dans le coffre et part a pied, intrigué, je la suis, elle rentre dans une salle, j'attends un peu, je rentre, je regarde ce qui s'y pratique, danse, fitness sont les grosses affiches visibles, je me dis, pourquoi elle fait de la danse en cachette, elle me l'aurait dit, je n'aurais pas refusé, mes yeux se portent sur une affiche pub plus petite, cours de danse érotique, je repense à Annie autour de la barre sur le billard

Il ne me déplaît pas qu'elle suive ces cours, mais je sais qu'elle le fait pour l'effleureur et non pour moi, comme il a dû le faire faire à Annie en son temps (elle me le confirme), la jalousie prend le dessus, les questions me submergent, je ne peux même pas en parler a Annie, ça serait dénoncer Marie avec l'effleureur, je me dis que le jeu de soumission ne se cantonne pas qu'au billard, je me documente et apprend quelques détails, comme par exemple avoir un Plug en certaines occasions, je me demande si Marie et Annie en avait un en elle quand nous sortions, (Annie ne veut pas me le dire)

Ma fréquence sodo avec elle, était de 2 ou 3 par semaine environ, alors, est ce le fait de savoir cela qui me conditionne, je me disais que je ne force plus trop pour la sodomiser, ce n'est pas le peu de séance billard, ni moi qui lui dilatons l'anus, je rentre à la maison et fouille partout, je fais l'inventaire de nos jouets, je ne vois rien d'anormal, je connais ceux-là

Je regarde surtout les Plug, il y en a 4 dont 3 semblables, mais de tailles différente et un autre, qui doit faire 6 cm de diamètre au plus gros, on avait acheté ça pour le fun et non pour utilisation, Marie mettait le 2deuxieme en taille lors de nos sorties à l'extérieur, il arrivait aussi qu'elle mette le 3, mais uniquement a la maison pendant nos rapports quand elle était excité

Comme je savais l'heure que cela se terminait, prenant ses clefs de voiture, je la suivais au retour, elle remit comme je le pensais son sac dans son coffre, bien camouflé, j'attends qu'elle rentre dans l'immeuble et je retourne à sa voiture pour fouiller, je vois en effet des affaires de danse, et pas des très sexy, short, sg de danse qui tient bien les seins, en fouillant plus tard dans ses comptes, je n'ai jamais vu de dépense la dessus, Annie m'apprend maintenant que l'effleureur payait ce qu'il demandait, afin justement, pour ne pas être découvert

Je rentre à la maison la demi-heure suivante, étonnée de me voir, elle sortait de la douche, je lui dis ne pas avoir été au billard, j'avais d'ailleurs prévenu qu'on ne m'attende pas, prétextant un client, j'étais tellement content que Marie ne me trompe pas comme je l'avais cru, je suis tout sourire, je ne lui demande pas pourquoi elle se douche a cette heure là, c'est elle qui se justifie, disant en terme plus approprié avec d'autre mot, qu'elle a eu une indisposition, ça va mieux dis-je, soulagée dit-elle

Je change de sujet, en parlant d'autre chose, je vais au bureau ensuite, puisque j'ai justifié de mon coté un client, elle s'habille puis va au salon, allume la télé et s'installe (se repose de la danse) sans bruit, je file dans la chambre et je vois que les Plug sont là, après une demi-heure, je vais au salon et lui dis, un billard ce soir te tente, elle répond, toi, tu as envie qu'il m'excite pour en profiter après, je dis oui, elle me dit que cela ne lui déplait pas, si c'est ce que je souhaite, elle commence a dire, mais tu n'a pas peur que...

Je dis stop, je ne veux rien savoir, tu fais ce que tu veux, imagine qu'au billard, c'est comme un rêve, une fois réveillé, il ne c'est rien passé, j'ai peur que tu me le reproche après, j'ai dit, non, puisque je suis celui qui te le demande en l'embrassant, je lui dis encore "en plus, après le billard, je te trouve encore plus chaude et excitante", je téléphone a l'effleureur pour un cours de billard a Marie, qui dit ok, au moment de partir, après manger, quand marie a déjà enfiler ses chaussures à talon, je lui dis que j'ai oublié de mettre une ceinture, je me déchausse et vais dans la chambre, et je découvre qu'il manque le Plug taille 3

Cette fois-ci, plus aucun doute, elle lui est soumise, cela n'est pas pour me déplaire, l'effleureur avait dit, la soumission dans un couple, ça ne fonctionne pas, je n'étais même pas jaloux de ça, Marie tout comme Annie étaient toujours élégantes en toute circonstance, sauf Marie après mon cocufiage, quand elle allait au travail, mais par la suite, j'avais levée cette interdiction vestimentaire, Annie avait son mari qui aimait que sa femme soit regardée, même tripotée

Intérieurement, j'étais comme lui, j'avais une très belle femme, j'aimais qu'elle attire les hommes, j'aimais qu'elle soit tripotée en douce, mais uniquement en ma présence, j'avais peur qu'elle ne succombe encore a un beau parleur, ou ne se maitrise plus face à une excitation, comme je l'avais entendu se confesser a l'effleureur, moi, j'avais la version douce, mais je ne lui en voulais pas pour ça, elle avait voulu ménager ma peine, c'est tout a son honneur, je ne la vois pas me dire, "je suis une grosse salope, dés qu'un type me force un peu, je suis excitée et je me laisse faire", Annie est comme cela aussi

Le soir chez l'effleureur, dans ma poche, j'avais préparé un sac plastique avec une burette en disant a sa femme lorsque ils étaient descendus au billard, "je te laisse, moi, j'en profite pour faire mon vélo, en semaine, je n'ai pas le temps", en disant cela, j'avais remarqué sans faire attention ses mots, "je ......, tu ne......, tu va réparer ton vélo alors", je dis oui le graisser, en disant cela, je lui dis qu'elle a ce temps de dispo, elle savait que je savais qu'elle allait mater a l'écran, on etait complice tout les deux, elle connaissait le but de mes repas d'affaires ainsi que ce qui s'y passait des fois

Elle m'aimait bien, je n'étais pas emmerdant avec quand elle servait, d'ailleurs, je n'avais pas à me plaindre, elle était parfaite, elle connaissait la maison, elle ne venait qu'a un signe de ma main qu'elle seule voyait et comprenait, je ne la prenais pas pour une bonniche et la payais grassement, je reviendrais plus tard sur ses paroles, à ce moment-là, je n'avais pas porté attention, je pensais qu'elle était gênée que je sache ce qu'elle allait faire

Quand j'allume mon ordi, il y a le rituel comme à chaque fois quand je suis là, ils ont la queue de billard à la main, tire 4 coups et il commence à se frotter, là, la première chose qu'il fait, c'est de la pencher sur le billard, et de contrôler si elle a bien le Plug, elle lui tend fièrement le cul pour qu'il le voie, et il lui dit, c'est bien, il lui retire, disant, je contrôle si tu le portes souvent, elle dit oui et pour s'en assurer, il dit en la sodomisant, ça m'a l'air d'être vrai et la danse ça va, il la lime très doucement, elle répond en donnant des coups de bassin, "oui, mais le prof est comme toi, il a les mains baladeuses sous couvert de me montrer comment me positionner"

C'est rien dit il, laisse toi faire en ayant l'air de ne pas vouloir, mais attention, n'accepte aucun rendez-vous chez lui après les cours, sinon il fait quoi, Marie répond, ben quand je suis à quatre pattes, mais dos tourné vers le sol, la barre entre les cuisses, ou l'on doit simuler un frottement dessus, lui, il m'attrape les genoux et les tire, ce qui fait que la barre me masturbe, le coquin dit il

Elle dit, il m'attrape les hanches pour me les faire rouler plus, m'attrape les cuisses pour monter ma jambe plus haute, il me dit en me pelotant la cuisse, vous sentez votre muscle, c'est lui qu'il faut faire travailler, l'effleureur tout en limant, demande s'il fait cela a toute, elle répond oui, mais 10 secondes a certaine, 2 minutes a d'autres et plus de 10 minutes a moi, l'effleureur dit, tu ressens quoi, elle répond, a ton avis et surtout quand il me frotte à la barre, elle demande, "tu ne crois pas que ça serait mieux que je le dise a Henri"

Il dit non, quand le moment sera venu, tu lui feras la surprise, elle répond, la dernière fois où j'ai voulu lui faire une surprise, cela ne c'est pas passé comme je voulais, je n'ai pas envie de me refaire avoir et lui refaire du mal, avec toi, c'est uniquement parce qu'il le veut bien, mais je n'ai pas envie de me retrouver dans le lit de ce type, en plus, c'est ce qu'il cherche, je ne suis pas dupe, il m'a proposé des cours particuliers en me disant que je suis plus douée que d'autres

L'effleureur demande si c'est chez lui les cours, elle dit non dans la même salle qui est libre le jeudi de 17 à 18 heures, a sa demande, elle indique la configuration de l'endroit, la salle est fermée par une seule porte avec un carreau à hauteur de la tête, il faut passer par le couloir pour les vestiaires hommes ou femmes, cette salle n'a pas d'arrière-salle, l'autre salle sert au fitness, mais il n'y a que ceux qui viennent seuls s'entraîner ou s'échauffer

En fait marie n'a pas visité autant que moi, il y a 3 salles, mais cela n'a pas d'importance, il y a un couloir qui part de l'entrée jusqu'aux vestiaires, à gauche les hommes, a droite les femmes, avant les vestiaires hommes il y a une salle, en face il y a la salle ou est marie et avant a cote de cette salle, il y a une autre salle et en face coté homme, les bureaux et un débarras pour les accessoires

L'effleureur lui dit, alors accepte les cours particulier, si c'est en salle, s'il est trop entreprenant, tu l'éjecte, si tu veux, je peux venir à cette heure-là, je jetterais un œil, au pire si on me demande ce que je fais là, je dirais que je t'attend, il se frotte, je ne bouge pas, s'il te viole, j'interviens gentiment, le jeudi suivant, j'ai quitté plus tôt pour les suivre, mais je me suis cassé le nez, il n'a pas eu le temps de se préparer sans doute

Le samedi, je retourne la voir danser, sachant ce qu'elle avait dit, je vois en effet le manège avec la barre, fermant son poing, je le vois aussi qui la soulève à l'entre-jambe pour aller sur la barre, il lui touche la cuisse, je pense qu'il a dû prendre ces libertés petit à petit, afin de faire croire que c'est la routine

Je vois aussi qu'il fait pareil a d'autre, mais pas a toutes, le jeudi suivant je les vois arriver à la salle l'effleureur et Marie, ils ressortent une heure après, la salle est prise ensuite, dans la rue, ils sont copains, ils ne se comportent pas en amant, la bise quand ils se quittent est chaste, cela me réconforte, comme il l'avait dit, le jeu commence au billard, pas avant ni après, elle ne met pas le Plug pour la danse

Il a sa voiture, il lui propose de la raccompagner, mais elle dit non, pour si peu ça ne vaut pas le détour, elle passe par sa voiture, pose le sac et rentre, moi, je marche a pied, je me promène pour tuer le temps, afin de rentrer régulièrement aux mêmes horaires, 2 jours après, le samedi, j'y retourne, même scénario, ni plus ni moins, on me demande si je cherche quelqu'un

Je dis non, que j'attends ma femme, comme j'ai trouvé une place pour me garer, (faisant sous-entendre qu'il vaut mieux attendre que de partir et revenir sans certitude de se garer rapidement), deux autres jeudis et samedi passent de la même façon, afin de ne pas faire tache, je m'étais acheté un survêtement, un déguisement de danseur, avec une serviette autour du cou, faisant celui qui allait a la douche

Cela a été une très bonne idée, car le jeudi d'après, l'effleureur n'était pas là, je me rappelle qu'il avait dit qu'au début, il serait la, surement qu'après suivant comment se passait les cours, il n'a pas jugé utile de venir ou alors seulement vers la fin, après 20 mn d'attente, je me risque à rentrer, avec mon sac de sport, je me change et "déguisé" je vais mater par le carreau de la porte, ou le cours se fait, a priori rien qui attire l'attention, sauf que sachant ce qu'elle a dit, en regardant bien, il tripote belle et bien

Rien de comparable avec le samedi devant les autres, il se frotte le sexe, elle reste un peu puis bouge pour se dégager, au lieu de lui dire comme le samedi, de faire ressortir sa poitrine, là, il lui fait ressortir lui-même, je suis fier d'elle, elle se laisse faire un petit peu, puis elle se dégage en douceur, il alterne entre les mouvements, après un geste déplacé qu'elle a fui, il lui fait faire une figure libre et recommence ensuite une autre osée

Par moment, il lui fait faire une révision de ce qu'il lui a appris, elle danse librement devant lui, en trois semaines, par rapport a la première fois où je l'ai regardé, sans être parfait, on voit le changement, les mouvements sont beaux et bien appris, il manque juste de souplesse pour le moment, je l'entends parler, mais pas suffisamment pour être compréhensible, j'imagine qu'il lui dit ce qui ne va pas, il l'a fait se frotter à la barre avec une jambe en l'air qu'il tire du pied, sur les nombreuses fois ou il lui a fait faire cela, il n'y a qu'une fois qu'elle était visage vers la porte, sa bouche ouverte en disait long

Ce prof était vicelard, mais compétant, il ne forçait pas trop Marie, il se disait qu'a force, elle finirait par craquer probablement, quand ils sont sortis, elle a été au vestiaire se changer et lui a la douche en se disant à samedi, je m'étais caché dans une douche à côté et suis sorti quand il a fait couler l'eau, en marchant vite, je l'ai rattrapée, elle était seule, je suis rentré comme tous les soirs, les samedis, je n'y allais plus beaucoup, mais le jeudi si, tout se passait pareillement, mais de la voir m'excitait toujours autant, la seule chose qui avait changé, c'est le Plug

Au début, elle le mettait pour aller chez l'effleureur, et a la maison jusqu'au moment de se mettre devant la télé, un midi où je suis rentré, comme toujours, je regarde si les Plug sont là et il manquait celui-ci, le jeudi, je contrôle en venant avant qu'elle ne quitte, elle quitte à 17 h, 17h20 a la maison, douche et a 17 h 40, elle repart, je contrôle les Plug, et je vois qu'elle l'a remis a sa place, je fouille le linge sale et en plus, du string de la journée à peine humide, je vois sa tenue de danse

Je ne fouille jamais le linge sale, à force d'habitude, elle devenait moins attentive et prenait moins de précautions, nos rapports dans le couple étaient normaux, amoureux, tendres, et elle était loin d'être délaissée, on s'entendait très bien, elle mettait le Plug en tout temps maintenant, ne voulant pas changer mes habitudes, je ne la sodomisais pas plus, je ne trouvais pas de changement significatif

Le mercredi d'après, la veille, je lui dis que demain, je rentrerais 1/2 heure plus tôt, car je prends et ramène un client à la gare, que son train est a 18h05, avec 20 minutes pour revenir, à 18h30, je devrais être là, je la préviens juste pour qu'elle se dise, que je ne risque pas un jour, d'être la quant elle rentre de la danse, ce jeudi danse, elle se fait tripoter comme à chaque fois, je la suis de loin, j'attend cinq minutes, puis je rentre

Elle ne m'a pas entendu, je me cache au salon, je l'entends sortir en se pressant et allez à la chambre s'habiller, en chaussette, je vais à la salle de bains, je vois le string qu'elle avait au sport, il est tout trempé, plus que celui de la journée, je ne tarde pas, je retourne à la porte avec mon attaché-case et quand j'entends la porte de la chambre s'ouvrir, je fais celui qui arrive

Elle me dit ", c'est toi", je réponds "tu attendais quelqu'un d'autre", idiot, dit, elle en venant m'embrasser, je vais prendre ma douche et en ressortant, je la soulage de ce qu'elle a endurée a la danse, elle s'envole aussitôt, afin qu'elle ne se demande pas ce que je vais penser de cet orgasme rapide, je prends les devants en disant, ça t'excite aussi de briser la routine, elle attrape ma perche au vol, disant que de se sentir désirée ainsi, c'est excitant

Au boulot, je n'étais pas soumis à des horaires, mais à un travail, mais depuis mon changement d'affectation, mon boulot n'était plus prioritaire et je ne faisais que contrôler celui des autres ou donner un avis, je n'avais pas de compte a rendre, a part bien sur, les contrats signés, on a eu des repas avec mon directeur, cela se passait façon soft, Marie était habille sexy, mais pas du tout allumeuse

Elle avait appris à répondre aux questions, elle citait parfois des phrases apprissent lors des derniers repas, sa culture générale s'enrichissait, il y avait minorité de client lourdaud comme trop intello, la plupart étaient à notre niveau

En moi-même, je me posais des questions, est-ce que d'aller danser, sans me le dire, était me tromper, je me disais non, elle est libre de faire de la danse, ou tout autre activité, et de m'en faire la surprise

Est-ce que le faire pour un autre que moi, ou sur sa demande, c'est me tromper, je me disais non, pas forcement, elle peut le faire sur un conseil pour pouvoir me plaire, de plus j'avais dit qu'avec lui, elle a quartier libre, là, c'est en dehors du billard, mais c'est très soft aussi ?

Est-ce que mettre un Plug à la demande d'un autre, c'est me tromper, la réponse est non, puisqu'elle a quartier libre encore avec lui et a ma demande ?

Je me reproche juste de ne pas lui avoir demandé moi-même, est-ce que se laisser tripotée par un autre s'est trompée, la réponse est encore non, puisqu'elle sait que je le lui demande en mode hard au ciné puis avec l'effleureur ainsi que des fois avec des clients en mode plus soft, (à ce moment-là, il n'y avait pas encore eu le client qui y a eu droit)

Un autre jeudi, à la danse, je matais, j'entends la porte d'entrée, je reconnais l'effleureur, le couloir étant plus sombre, et le temps qu'il ouvre la deuxième porte, j'avais le dos tourné avec la serviette sur les épaules et me dirigeant aux douches quand il est rentré, je me planque et surveille

Il était venu voir comment ça allait, en matant par le carreau, c'était la fin, je le vois qu'il ressort et une minute après, Marie et le prof arrivent, j'attends d'entendre la porte des douches des femmes pour sortir, elle sort, je les suis, tout se passe comme la dernière fois, je les suis de très loin, car l'effleureur a l'œil, ils se quittent à sa voiture, s'embrasse sur la joue

J'évite les repas d'affaires le jeudi soir, cette fois-là, un client a voulu être invité le midi même, et je lui demande, "vous ne préférez pas le vendredi midi, comme cela, je demande à ma femme de nous accompagner", "votre femme dit il", je dis, "oui, ça nous permet de sortir ensemble et c'est plus détendu", de façon bizarre, il dit, "on peut, peut être se voir chez vous alors", je dis, "oui, mais que le vendredi soir"

L'air bizarre encore, il dit, "ha, pas aujourd'hui, que demain soir", je lui répète, " oui, pour avoir le temps de faire le dîner", ha bien sûr le dîner dit-il, d'accord a demain soir chez vous, a quelle adresse, je lui donne et il me dit a demain 20 heures chez vous, je dis a demain et on se quitte, je me dis qu'il n'a pas l'air commode ce septuagénaire, après la danse pour elle, et matage pour moi, je met Marie au courant du repas pour demain en disant, que c'est un client chiant autant qu'important

Le soir même, vers 19h30, on frappe à la porte, je pense a un voisin ou copain, les gens extérieurs sonnent a l'interphone, Marie va ouvrir, elle lui demande a deux reprises ce qu'il veut, il dit, "bonsoir, votre mari est t' il là", elle dit tout fort, "chéri c'est pour toi", je me lève et vois le client, je dis, étonné, "mais c'est demain monsieur ..... ", il dit, "oui je sais", je le fais rentrer, je propose un apéro, il regarde autour de lui, il me dit, "c'est votre femme", je dis, " oui, j'ai cette chance depuis plus de 12 ans", son air a changé, il l'a complimente en disant, "madame vous êtes aussi belle que charmante"

Je le sens gêné, mal à l'aise, indécis sur ce qu'il doit dire ou faire, je propose un apéritif, ne sachant que dire, voulant repartir, j'insiste, il finit par dire oui et me demande s'il peut utiliser mon téléphone discrètement, je l'emmène au bureau, après lui avoir demandé ce qu'il veut boire, en revenant, ce n'est plus le même, il s'excuse d'avoir débarqué comme cela, on discute boulot, il est étonné de mes réponses pointues, me disant que je suis un bon commercial, je rectifie en disant que je suis ingénieur et qu'a la boite, ils pensent qu'afine pour mieux repondre de façon plus précise au client, un professionnel technique est préférable a un ...., c'est lui qui sort le mot baratineur

Il parle à Marie ensuite, la félicite sur la tenue de la maison, Marie est aux anges, 3/4 d'heure après on sonne à nouveau, mais en bas, il dit que c'est pour lui, Marie l'emmène à l'interphone où il dit l'étage et la porte, quand on sonne à la porte, il dit à Marie, cette fois, c'est pour vous, un livreur avec un méga bouquet, il se lève, donne un bon pourboire au livreur d'avoir respecté les temps, et dit à Marie en lui baisant la main, Madame avec toutes mes excuses d'avoir débarqué chez vous comme un malpropre

Il est l'arroseur arrosé dit-il, il dit me devoir des explications, bien souvent certaines Sté, on recourt à des Escorte pour endormir le client, on signe et on couche, là, j'ai cru pareil, qu'on m'avait pris pour un imbécile, et je m'en excuse, votre appartement sent le couple légitime, les photos, votre aisance dans les lieux et vous madame qui n'avez rien a envier a ces filles citées

Mon client charme littéralement ma femme devant moi, compliments à tout-va, baise main a répétition et il nous dit, je me dois de vous inviter ce soir, par correction déjà, le client étant roi, on accepte, Marie n'avait encore rien fait qui ne se garde pas au frigo, je dis d'accord, elle va s'habiller, mettant une robe assez sexy, mais correcte comme a chaque fois, elle s'excuse du temps passé à nous faire attendre et il répond, l'attente est largement récompensée, j'y vais à mon tour

A mon retour, il était en train de lui tenir le bras avec la main, disant qu'on va prendre un taxi, ça évitera d'avoir à chercher une place, j'appelle du bureau, dans le taxi, il me dit, montez devant, laissez moi profiter de votre charmante épouse, il lui a tenue la main tout le trajet en lui demandant ce qu'elle faisait, moi, j'étais là sans utilité

À table en s'excusant auprès de Marie de devoir parler boulot, il pose des questions, soumet ses exigences et après 20 bonnes minutes, il dit, voilà, c'est entendu, faites votre proposition de contrat dés demain, même si je regrette de n'avoir pas à revenir dîner chez vous, comme on me donne les clients indécis

Je me dis qu'il faut battre le fer quand il est chaud, et lui, il a plusieurs projets, comme nous n'avons jamais plusieurs contrats en une seule fois, je lui dis que s'il veut, demain, je peux préparer un contrat pour un projet, s'il y a des corrections à faire, j'ai une imprimante pour refaire les modifs éventuelles

Ce type est un nouveau client qu'on m'a dit qu'il pouvait devenir important, s'il met déjà un pied chez nous, peut être y mettra t'il l'autre aussi, pendant le repas, si j'avais été aux toilettes aux entrées et serais revenu qu'au dessert, il ne s'en serait pas aperçu, Marie adore être courtisée, me connaissant, elle se laisse aller, surtout la avec un septuagénaire

Quand il a été au WC a son tour, elle me dit que dans le taxi, il lui a mis sa main sur le genou, mais de façon paternel, comme on ferait a un enfant, il tenait sa main aussi tout cela en discutant avec elle, Marie me demande ce qu'elle fait au retour en taxi, sa robe est fendue a droite et en venant, il était a sa gauche, je lui dis, " monte a gauche", elle comprend le message

Quand il revient, il lui touche une épaule en demandant si la cuisine lui plaît, on bavarde, quand il veut resservir Marie, elle dit qu'elle abuse, faisant celle qui a déjà trop bu, on est en taxi dit il, Marie répond, oui, c'est vrai et tend son verre, elle en reboit deux autres jusqu'à la fin du repas, Marie parle plus, de façon moins réservée, elle fait celle qui a quelques vapeurs et qui se lâche, s'autorisant des mots plus osées, moins strict, retirant un troisiéme bouton a son décolleté, je l'excuse auprès du client, en disant que d'habitude, elle ne boit qu'un seul verre

Laissez-la s'amuser, je préfère voir quelqu'un sourire que triste, je dis, " le client est roi", et je tends mon verre aussi, le repas fini, il règle et fait appeler un taxi, il demande si ça ne nous dérange pas de faire un détour par la tour Eiffel (ça rallonge), je dis qu'on aurait dû prendre notre voiture, car à cette heure ..., il dit, ne vous en faites pas, on monte dans le taxi, avant qu'il ne fasse quoi que se soit, Marie monte de l'autre coté, cote chauffeur et lui derrière moi, il raconte ses périples sur le parcours, puis on finis par arriver a la maison

Il dit à marie, qu'il a passé une très bonne soirée et lui dit, on se fait la bise, il l'embrasse en lui tenant la taille d'une main puis un bras de l'autre, une fois a la maison, Marie me dit qu'il n'a pas trainé, sa main sur sa cuisse pendant que Marie se faisait de l'air, devinant qu'il avait le bout des doigts sur la fente (de sa robe), il a fait glisser le tissu en profitant des secousses de la voiture, Marie était au fond du siège, faisant celle fatiguée, sa main est remontée lentement à mi-cuisse, puis elle l'a arrêté avec sa main, il continuait a parler des lieux historiques, se dégageant les cheveux du visage avec la main qui retenait celle du client

Il profite pour remonter plus, elle l'arrête à nouveau puis recommence quelques minutes plus tard, sa main a lui posé sur la sienne, entre la main du client et le string il n'y a pas beaucoup de place, elle serre les cuisses, arrivée au début de notre rue, elle les desserres en faisant celle qui a chaud et il lui touche son string, elle les resserre aussitôt sur sa main, comme on est arrivée, elle fait celle qui se ressaisie, il règle le taxi et on se quitte, on a fait l'amour ensuite, elle était très excitée, je l'ai félicité pour la soirée, Marie est devenue experte dans la manière de laisser croire qu'on peut la forcer un peu pour la tripoter

Le lendemain matin, je pars de bonne heure et ne mange pas le midi, a 17 heures, tout était ficelé, mon chef m'a dit, si on a ce projet-là, on aura les autres par la suite, on va voir le directeur, pour quelques consignes sur ce qu'on peut négocier ou pas, j'en profite pour dire que le client a un peu les mains baladeuses, plaisantant au début en disant qu'au moins, il a bon goût, il me demande comment cela, je dis juste qu'il tient sa main quand il lui parle, qu'il lui a mis la main sur l'épaule a table pour lui demander si le repas allait, racontant comment il est arrivé à l'improviste, etc. etc.,

Il dit, si ce n'est que cela, encore ça peut aller, qu'en pense votre femme dit il, je répond qu'elle ne crie pas au viol non plus, mais qu'elle ne voudrait pas qu'il y ai d'ambiguïté, il me demande si cela me gêne, je répond que tant qu'il ne me tient pas la mienne de main, il dit, bon s'il faut qu'il tienne la main de votre femme pour signer de l'autre, pour ce désagrément, votre épouse aura une prime doublée, vous savez l'importance de ces contrats a venir, je répond oui, mais je tenais a vous signaler ces détails

Le lendemain, en arrivant a la maison, la femme de l'effleureur était aux fourneaux avec Marie, l'apéro, la table, tout était prêt, les deux femmes aiment cuisiner, Marie a fait de gros progrès dans ce domaine, les crédits sont généreux pour les repas d'affaires, les produits sont de qualités, elles m'interdisent la cuisine, je vais à la douche puis je laisse la place à Marie qui y va a son tour, avec la femme de l'effleureur, on discute librement sans détour de la soirée, elle sait le déroulement et l'enjeu, elle dit, le pauvre veinard, il va se régaler les yeux, et un peu les mains pour se la mettre sous le bras ensuite

En la regardant, je la revois en sous-vêtement au billard, elle continue en disant comme son mari, qu'il va se la mettre sous le bras, je réponds que cela m'étonnerait, je sais faire la différence entre Marie baisée et Marie tripotée, je lui demande de ne pas le dire même a l'effleureur, ça pourrait le gêner ou casser le coté excitant, elle me dit penser pareil et me promet de ne pas le dire

À 19h45, il arrive avec un méga bouquet et trois bouteilles de champagne, j'ouvre, je présente la cuisinière qui prend les fleurs, il lui dit de mettre le champagne aux frais, je dis que pour servir, cela permet a ma femme de rester assise, il dit, c'est parfait, qu'on a entièrement raison, je lui dis aussi qu'on attend toujours la même, il répond que plus elles sont belles et plus elles se font désirer, je le fais asseoir sur le canapé, Marie arrive en minijupe plissée et corsage décolleté non pas vertical mais horizontal, laissant voir le dessus de sa poitrine et ses épaules

Il se lève pour l'embrasser et la complimenter, la cuisinière amène le bouquet, je vais chercher le contrat au bureau, laissant comme prévu Marie avec lui et s'excuser de son attitude d'hier soir, disant qu'elle n'est pas habituée a boire de l'alcool, qu'elle a eu un coup de chaud, l'air de dehors lui a fait du bien, mais dans le taxi, elle ne se rappelle plus de rien après la tour Eiffel, j'espère que je n'ai pas dit de bêtise dit elle, il lui dit," non, j'avoue que c'est moi qui n'ai fait que parler"

Marie fait "je m'excuse, je ne me rappelle plus", lui tenant la main, il dit, "ce n'est pas grave, j'ai passé en votre compagnie une agréable soirée", je reviens avec le contrat, il dit, "on regardera cela tout à l'heure", il prend un whisky, moi un vin cuit, Marie dit "je préfère une coupe, ça ne me rend pas malade", il répond, " vous avez raison, j'en ai amené du bon, demandez a votre cuisinière de l'apporter", je dis, " j'y vais", tout est prés, la cuisinière a déjà transvidé le champomi (sans alcool) dans une de ses bouteilles

Marie boit 3 coupes à l'apéro, pour le repas, je propose un Gevrey chambertin au client qu'il préfère au champagne, Marie vide la bouteille a table et bois une autre coupe de vrai champagne, pendant le repas, il n'a fait que lui tenir la main a chaque fois qu'il entamait une anecdote, une fois du pied, mais peut être par inadvertance, après le dessert, on passe au salon, la cuisinière nous amène les café et thé puis demande si on a plus besoin d'elle, il la complimente pour le service, et dit, oui, on va vous laissez rejoindre votre famille, je lui dis, oui, c'est bon, vous pouvez rentrer chez vous

Marie est droite dans le canapé, jouant encore a celle embrumée, je prends le contrat et prétexte d'une faute de frappe que je peux corriger, j'ouvre mon bureau et le ferme en restant dans le couloir, je ne vois que le derrière du canapé, le haut de la tête de Marie dépasse, lui, il est plus grand et est assis sur le bord, 1/4 tourné vers elle, je le devine à son coude qu'il touche ses seins, Marie fait celle qui le repousse un peu en somnolant, il insiste un peu plus, elle ne réagit pas

Je reviens après avoir ouverte et fermé la porte de mon bureau, je lui lis le contrat et a la moitié, je prétexte encore une erreur, je secoue un peu Marie en disant "Marie" l'air de dire qu'on a du monde, il me dit "laisser, ce n'est pas grave", je refais pareil, dés le bruit de porte, il recommence, a la fin, je dis, "voilà, il ne vous reste plus qu'a signer, après je vais aller faire des photocopies et ça sera bon"

Une fois au lit, elle m'a raconté ce que je ne voyais pas, la première fois, il lui a bien mis la main aux seins, sur le dessus, puis l'autre sur la cuisse où il a remonté sa jupe, elle lui a repoussé sa main qui était sur sa cuisse en disant non, mais il a rentré l'autre dans le corsage, elle a mis sa main par-dessus la sienne, mais sans la lui enlever, ça n'empêchait pas qu'il continue à lui pincer un téton, l'air endormie, elle résistait a peine, sa main a commencé a remonter sa jupe et je suis arrivé a ce moment là

À mon deuxième tour au bureau, il a complètement remonté sa jupe, dévoilant ses cuisses et porte jarretelle, il a remis sa main dans son corsage, elle a juste remis sa main sur la sienne, son autre main sur sa cuisse, elle a aussi posée sa main sur la sienne en faisant un "non" presque inaudible, il a remonté encore sa main et lui a touché le string, elle a eu un petit gémissement en serrant les cuisses

À mon retour, en entendant la porte, il a retiré ses mains, remis sa jupe en place, je suis arrivé, j'ai poursuivi la lecture, il a dit que ça paraissait correct, que de toute façon, s'il y avait un souci annexe, qu'on en rediscuterait, il a regardé le prix indiqué et le descriptif, puis a signé après avoir paraphé en disant, ce contrat est un essai, sa qualité dépendra de notre future collaboration, je lui ai dit que c'est ce que je souhaitais

Je retourne au bureau pour photocopier, en passant, je secoue Marie en disant, tiens-toi bien quand même, je m'excuse auprès du client, l'air vapée, elle me dit, "Henri" en m'attrapant le bras, je dis oui en la repoussant et je vais à mon bureau après avoir fait le bruit, il lui relève la jupe directe, met sa main dans le corsage, Marie ne dit rien, il met sa main entre les cuisses, elle tressaille en serrant les cuisses et dit, "Henri, non", en tournant la tête a l'opposé de lui et mettant sa main dépassant du canapé (signe que je ne dois pas venir encore)

Elle redit "Henri, non" en écartant les cuisses cette fois, il la frotte a travers le string, elle apprécie en marmonnant mon nom, elle a plaisir en baissant la main, je claque la porte, il la remet bien, puis j'arrive avec un double préparé déjà a l'avance, je n'ai pas vu de bosse à son pantalon, le visage un peu rouge, c'est tout

Je dis, en la regardant, elle apprécie votre champagne, tant mieux dit il, mais je ne vais pas vous embêtez plus, j'ai beaucoup apprécié le cadre familial bien plus conviviale qu'au restaurant, brandissant le contrat dans la main, je dis que pour moi, ce fut un plaisir, je vais tout faire pour avoir les autres contrats en boostant mon équipe pour que vous ne voyiez que par nous

Il dit attention, si c'est le cas, j'abuserai pour revenir ici, je dis, abusez, cela m'arrange, je me tourne vers Marie et lui dis que ça l'arrange elle aussi, je n'ai pas la honte qu'on la voit comme ça, il dit, que c'est une bonne vivante, qu'elle a raison et qu'il est content de sa soirée, il me demande de lui faire ses compliments pour la soirée qu'il a passé et le repas où il s'est régalé du début jusqu'à la fin

Après son départ, Marie m'a sauté dessus, il m'a mis le feu, a toi d'éteindre dit-elle, le pompier que j'étais, flambait aussi, j'ai fait jouir Marie avec ma langue puis l'ai baisée et sodomisé, il me semblait bien que c'était moins serré, mais peut être aussi dû au fait que je savais qu'elle avait le Plug constamment en elle maintenant

Elle l'avait au marché, même toute la journée et aussi le dimanche et au boulot aussi puisque je ne le voyais plus, sauf le soir où elle attrapait un gode, je le voyais dans le tiroir, le lendemain de cette soirée vers 11 h, mon chef m'appelle, je le taquine en disant qu'il va réfléchir, tant pis dit-il, je dis, mais non, lundi, on a du boulot, le directeur l'avait appelé pour ça

Mon travail avait changé, je ne faisais plus de recherche ni d'étude, on ne peut pas travailler par bribe, c'est un travail prenant, je conseillais, je donnais un avis, je renseignais, je faisais passer des modifs au client et c'était tout, j'étais libre de mes journées, j'avais eu les félicitations pour ce nouveau client

Ils avaient mis dessus un ingénieur très compétant, je surveillais l'avancée des travaux fréquemment, je n'étais le supérieur de personne, mais c'était a moi qu'on demandait quand le chef était absent, j'allais à des repas d'affaires avec lui parfois, sans Marie, elle avait eu sa prime en plus, une prime très raisonnable

Les semaines suivantes, pas d'Annie au billard, mais elle a dîné à la maison, j'ai eu droit à ses seins, ses jambes et fesses, mais a travers le tissu maintenant ainsi que de lui faire des bisous, cachée de Marie bien sûr, je suis allé deux fois au billard pour Marie, la femme de l'effleureur me semblait de plus en plus étrange, moi, je la regardais différemment depuis que je l'avais vue en lingerie, mais elle, on aurait dit qu'elle me draguait

Même si le mot dragué n'est pas approprié, je disais qu'il fallait que j'entretienne mon vélo, les jeudis, j'allais toujours mater à la danse, rien ne changeait, il ne cherchait pas a aller plus loin, Marie se dégageait a chaque fois qu'elle voyait qu'il dépassait la ligne jaune, l'effleureur est revenu la contrôler à ces cours, j'ai fait pareil que la première fois, me cacher aux douches

Les vacances avaient passés vite, nous ne sommes partis que tous les deux, a part deux petits extra-cinémas sur les cinq fois où l'on y a été, il n'y a rien eu d'autre d'extraconjugale, mais nous ne cherchions pas spécialement non plus, nous nous retrouvions plutôt, Marie était amoureuse, ça me faisait chaud au cœur, avant Lucien, c'est moi qui étais le plus amoureux des deux, maintenant, c'est elle, la nuit, elle me serre dans ses bras et m'embrasse le dos ou la nuque, moi, je l'aime aussi, mais pas autant qu'avant Lucien

J'ai beau me faire violence, mais rien n'y fait, même si je sais qu'elle a compris le mal qu'elle m'a fait, même si je reconnais les torts partagés, même si je me dis, que physiquement, je suis chanceux de l'avoir, je l'aime, je ne lui ferais pas de mal, je ne lui rabâcherais pas du Lucien sans arrêt, je vais encore ramener cela aux mathématiques, mais si sur 20, avant Lucien, je donnais 20/20 à Marie et a Annie, Marie a 17/20 maintenant, je donnerais 16/20 à Lucette et Helene et 3/20 aux filles de passage enfin pour certaines

Je suis tendre avec Marie, je ne lui fais plus de mal comme au début, je la respecte, je ne la fais plus souffrir, je pense à son plaisir, la chose qui a changé, c'est qu'elle n'a plus de cadeaux a noël, ni a son anniversaire, noël est la période du début de mon cocufiage et son anniversaire la période où je l'ai su, les seuls cadeaux, si on peut dire que ça en est, c'est de la lingerie sexy, mais cela est autant pour moi, ensuite, c'est un nouveau fer à repasser ou sèche cheveux, modèle haut de gamme a prix usine, jamais de fleurs ni de bijoux

Elle comprend pourquoi, par contre, je lui dis plus souvent qu'elle est belle, sexy, bandante, je suis plus câlin avec, la routine de notre couple, telle une gangrène nous avait éloignés sans qu'on s'en rende compte, j'en discute souvent avec elle, lui disant que si elle sentait une envie d'aller voir ailleurs, qu'elle me le dise, elle me parle de l'effleureur, je la rassure en lui redisant qu'avec lui, elle a quartier libre, qu'avec lui, elle fasse comme dans ses rêves, ce qu'elle a envie, elle veut me dire, oui, mais s'il....... , je lui dit, ne dit rien, c'est ton jardin secret, tu dois ne le garder que pour toi, jamais je ne te ferais de reproche pour ce qui se passera avec lui

En septembre, on part en WE, Marie n'a plus de cours particulier de danse, ne le sachant pas, je me rends là-bas, en fait, une autre avait prit sa place, j'y vais un samedi et je me rends compte qu'il est moins attentif à elle et plus à celle de jeudi, le prof n'a plus la salle de libre lui avait-il dit, j'ai perdu trois jeudis à y aller, avant de m'apercevoir que Marie n'a plus de cours particulier, je l'avais emmené au billard un soir, moi dans le local, sa femme aussi, elle m'a proposé d'un sourire narquois de venir mater me disant qu'après tout, c'est ma femme

j'avais encore dit que mon vélo était en manque de d'entretien, ils me croyaient parce que quand je les savais au marché le samedi ou alors l'effleureur en rentrant, je faisais celui qui ramène le vélo ou qui partais, au billard, même rituel encore, contrôle de Plug, caresses, baise et ou sodo, octobre rien du tout, même pas de repas d'affaires soft, pas de WE, pas de billard, même soft, il faut dire que coucou était malade, même pas d'Annie non plus, j'avais envie de renouveler la jouissance prés d'elle, je ne voulais pas la gonfler et elle, ne voulais pas montrer être demandeuse

Novembre a été mieux, repas d'affaires soft avec Marie, Annie a la maison seule et nous chez elle avec son mari, on a fait des sorties sans bagarre, j'étais toujours derrière avec les femmes, un vendredi, je téléphone pour un billard pour Marie, et après le repas, j'ai eu envie d'elle, elle me dit de décommander, mais je n'aime pas cela, je me retiens donc, Marie descend au billard, je la voyais contente, elle allait s'offrir, avec moi, elle prend, avec lui, elle se donne, je dis à sa femme, "je vais au vélo", mais elle me dit, tu ne veux vraiment pas venir voir ta femme

Elle insiste tellement que je finis par accepter pour lui faire plaisir, me disant que de toute façon, je verrais comme d'habitude, on regarde à deux, je bande bien sur, elle le voit et dit ça te fait de l'effet, je dis, " nous les mecs, on ne peut rien cacher", elle dit, "nous s'est pareil, on mouille", je dis, "ça se voit moins", elle dit, "notre envie est pareille", elle m'avait laissé la chaise et était derrière moi a me tenir le cou, je bandais et je ne pouvais pas me branler, elle me dit, "tu dois souffrir la dedans"

Je dis, "un peu", et là, elle me dit, "bon, je me lance, je te dis quelque chose, mais tu dois me jurer de ne jamais le répéter a qui que se soit", je lui dis qu'elle a ma parole, et contre toute attente, elle me dit qu'elle a envie de me branler, je fais celui outré un peu disant si je m'attendais à ça, elle dit, je ne te demande pas de me faire l'amour, entre moi et Marie, il y a un océan, mais juste te faire cela, ça fait des années qu'elle n'a pas touché un autre sexe, ne sachant pas quoi dire pour ne pas vexer

Je cherche mes mots, mais elle me touche la bosse, bien sûr bandé comme j'étais, j'ai un mouvement de satisfaction, du à la caresse, alors me dit, elle en me frottant, disant, tu regardes ta femme et moi, je m'occupe de ça, excité, je ne dis rien, elle défait ma ceinture et mes boutons, je l'aide a sortir du boxer, elle me branle lentement, ça me soulage, elle dit, tu regrettes, je dis non, continue, j'ai un œil à l'écran et un autre sur elle, elle n'est pas bandante, mais elle sait y faire, elle me demande, si j'aime, si ça me plaît, si ça m'excite, je dis des "oui"

Comme je suis censé voir pour la première fois ce qui se passe au billard, je fais celui qui découvre et dis, il va la sodomiser, elle regarde et puis me suce, je me laisse faire, de plus, elle s'y prend très bien, je vois Marie se faire défoncer et quand je les vois jouir ensemble, je dis, "ça y est, ils jouissent, et moi aussi, attention", je veux me retirer, mais elle ne lâche pas, moi par contre je lâche tout dans sa bouche et comme elle avale, je me vide bien, une fois bien nettoyé, elle ferme l'ordi, je vais sur le canapé, elle va à la salle de bains se nettoyer la bouche et revient

Elle me demande si ça m'a plu et si on pourra recommencer, je lui dis, j'espère et que si elle met de la lingerie, qu'on pourra si elle veut, faire comme à la télé (l'ordi), elle n'a pas répondu, ils sont remontés puis après 10 minutes de discute, nous sommes rentrés, j'ai pu baiser Marie plus longuement pour son plus grand bonheur

La semaine suivante, nous avons eu deux repas d'affaires, un soft, et le gros client qui avait envoyé son cahier des charges a mon intention, j'ai travaillé dessus avec un collègue, mais c'est lui qui a fait le plus gros du boulot, je me dis en moi-même que le poisson a mordu, il avait donné son accord sur le contrat et je lui annonce pour vendredi midi, mais il dit préférer le soir dans la semaine et de façon conviviale chez nous

Deux jours avant, on a un colis qu'on va chercher a un dépôt, chez un commerçant, deux cartons de champagne, sans mot, sans rien, mais à la marque, on se doute, le vendredi arrive, Marie a mise une jupe plissée a nouveau, mais avec un pull a peine décolleté, elle me dit apprécier ce client et je devine qu'elle aurait envie de plus avec, je lui dis, " un peu plus, ok"

Même rituel a l'apéro, Marie boit trois coupes de champomi, la cuisinière avait consigne de passer avec l'apéritif, Marie dit, non, une coupe ça va, mais il lui dit, "mais non, amusez-vous, quand le produit est bon, il n'y a pas de risque et vous ne conduisez pas", par contre lui n'en a pas repris, a table Marie vide la bouteille en mangeant, puis un verre de champagne au dessert où j'étais aux toilettes et ou elle a dit "non, j'arrête ce ne serait pas raisonnable" et lui, de dire, mais non profitez en, Marie a dit, "en vitesse alors", en faisant celle qui prend le verre sans que je la vois faire

La cuisinière amène les café et thé, puis demande si elle peut y aller, je dis oui, on discute en buvant, je lui lis le contrat, Marie se met dans le fond du canapé, je lis tout et presque à la fin, une phrase est mal tournée, je lui demande de m'excuser pour la réimprimer, je fais le même manège avec la porte, je n'ai rien vu à ce moment-là, mais elle m'a raconté dés son départ, il lui a mis sa main sur la cuisse, elle a fait nonnnn, mais sans le repousser, il a mis sa main sur ses seins a travers le pull, je reviens, et je finis de lire le contrat

Je dis voilà, si cela vous convient, si vous voulez signer, après j'irais chercher votre double dans ma voiture, je l'ai oublié, voilà si vous voulez le relire, il dit non, paraphe et signe, je dis, "Marie, je vais à la voiture, j'ai trouvé une place à perpette, je ne prend pas mes clefs, tu m'ouvrira, et occupe toi de notre hôte, si ce n'est pas trop te demander", Marie a un sursaut de réveil, elle dit, "vous voulez un autre café", il répond, "non merci", moi, je sors en clanchant la porte, elle se met a faire celle qui a chaud et re somnole dans le canapé

Il met sa main sur son genou et remonte doucement, elle sort un léger "arrêtez " les yeux à moitié ouvert, il lui dit, reposez-vous, suivant le déroulement des choses, Marie agit comme on a prévu, en disant arrêtez, elle s'est mise plus allongée dans le canapé, il malaxe ses seins a travers le pull puis comprenant qu'il peut passer en dessous, il passe sa main et les a directement sur sa peau

Elle gémit un "non" en lui tenant le bras puis le relâchant aussitôt pour le lever sur le canapé, offrant sa poitrine a la caresse, sa main sur sa cuisse ne reste pas inactive, il frôle son string au départ puis plus appuyé ensuite, Marie met sa main sur ses cheveux, signe qu'elle est foutue, il lui caresse la chatte, elle dit non en laissant ses cuisses écartées

Il se met à genou, rapproche ses cuisses et lui retire le string, il le sent et le met dans sa poche, Marie sait que je suis resté, si je ne sonne pas, c'est qu'elle peut, si elle le veut aussi, laissé faire, elle se débat des jambes, sans violence, il la force un peu pour qu'elle écarte plus, elle a un gémissement assez fort dés qu'il pose ses lèvres sur son sexe, elle fait celle qui se réveille, et dit, "non, mais vous, vous n'êtes pas, vous êtes, non arrêtez non, non, non" en disant cela, elle lui tient la tête pour qu'il continue

Puis en me regardant le pouce en l'air et en lui disant "vous êtes, non, il ne faut pas non, non, oui, encore, continuez, oui, c'est bon", excitée, elle jouit aussitôt, j'attendais qu'il commence a vouloir la baiser, mais non, il continuait de la sucer en lui donnant un autre orgasme, après cela, il lui met les doigts puis remontant son pull tout en la doigtant

Il lui embrasse les seins, elle lui serre la tête sur sa poitrine et lui lance des "oui encore plus vite comme ça, encore oui", elle s'envole dans son troisième orgasme, moi, je bande, j'ai chaud, car j'ai mis un manteau, une fois son orgasme terminé, reprenant ses esprits, elle dit "mais qu'est-ce qu'on a fait", elle joue la femme qui ne sait pas ce qu'il lui a pris

Il lui dit, "ne vous inquiétez pas, personne n'en saura rien, ça sera notre secret", elle continue à faire celle qui sort d'une torpeur, moi, je sors et sonne a la porte, Marie lui dit d'aller ouvrir, puis elle va a la salle de bains, je dis que je ne retrouvais plus ma voiture, j'ai été une rue trop loin, je montre le double, il paraphe et signe, Marie est revenue s'asseoir, je dis que je vais chercher la feuille que j'avais corrigée

Il lui dit qu'il a passé une agréable soirée, elle fait chut, en faisant qu'elle honte, il la rassure, en disant, non, vous étiez merveilleuse, et personne n'en saura rien, nous sommes appelés à nous revoir dit-il, en faisant le baise main, je reviens, il finit de parapher et signe, ensuite, il prend congé en nous faisant des compliments et embrassant Marie, nous sommes content, j'ai le contrat signé, Marie a eu son plaisir, nous sommes excités et comme la fois d'avant, nous nous sommes jetés l'un sur l'autre

Il n'y a toujours pas eu de billard avec Annie, une fois, je me suis fait avoir, la femme de l'effleureur avait dit être absent un jeudi, j'y ai été pour rien, ils étaient vraiment absent, ce dernier mois de l'année, on n'a eu pas mal de repas d'affaires avec Marie, rien d'excitant, ils mataient ses jambes et décolleté, rien de plus, j'ai eu le client qui était venu a la maison, il n'a rien sous-entendu, je craignais du fait qu'il ne savait pas que j'avais mis le haut-parleur pour que mon collègue écoute ses indications

Il devait s'en douter, car il a donné du dialogue professionnel, petit à petit, il m'a remercié pour mon accueil, comme on rentrait hors technique, j'ai coupé le HP en le lui disant, il m'a demandé s'il pouvait me renvoyer une caisse de champagne pour nous remercier ma femme et moi de notre accueil, je lui rappelle qu'il l'a déjà envoyé et que ma femme a déjà fait une ponction dedans s'il s'en souvient, elle est adorable dit-il, c'est une poupée, en moi-même, je me dis" oui poupée gonflable"

Je sens qu'il s'ennuie, il a envie de parler, c'est un client, mais il n'est pas emmerdant comme je l'avais jugé au début, je l'écoute, on parle de tout et de rien, il demande si on a des enfants, je dis non, il est dans le même cas, que des neveux dit il, qui attendent l'héritage, ils ne viennent que quand ils ont des soucis d'argent, je dis, ainsi va la vie, se disant qu'il abuse, il me souhaite une bonne journée, je lui dis que je suis sur son premier contrat

En allant au vélo, sa femme me dit qu'ils ne sont pas la vendredi, je prévois donc en me disant que j'espère que ce n'est pas des vraies courses, espérant Annie, je me force, j'arrive en retard à cause d'un accident, j'allume et je vois Annie danser, mais a un moment donné en regardant mieux, c'était Marie qui était là et dansait, elle avait fait des progrès

Elle allumait l'effleureur, elle dansait pour lui, comme a chaque fois, attaché les yeux bandé, un walkman, je savais la suite, sa femme arrivait, elle était en lingerie sexy, après quelques caresses, elle faisait jouir Marie qui gueulait de plaisir

Du moins l'amenait aux portes du plaisir, mais sans les ouvrir, c'est une bonne suceuse, Marie doit avoir une excitation intense, une fois bien abreuvée a sa source, elle décide de laisser partir Marie qui hurle de bonheur, elle lui donne deux orgasmes, dans la foulée, elle caresse son corps puis l'effleureur vient ensuite la baiser pendant qu'elle la suce, je les devine jouir à leur grimace et la contraction de leur corps, elle continue avec Marie, prend un gode et lui vibre le clito, plusieurs fois Marie s'envole, mais elle ne lui donne pas la délivrance, l'effleureur prend le relai pendant qu'elle remonte

Marie gueule pour qu'on la baise, il la détache complètement et elle va se mettre en position, penchée sur le billard jambes écartées, attendant la pénétration, mais il pend un martinet, disant, tu as joui sans que je l'autorise, pardon Mr, il lui donne 10 coups de martinet sur le dos, elle demandait plus fort, mais il ne l'a pas fait

Il sort un Plug, le même en apparence que le gros que l'on a, il met de la crème puis l'enfonce, Marie se mord le bras, il lui donne un autre gode souple pour mordre dedans, elle hurle quand il rentre et se bloque sur la partie étroite, le maintenant en place, il lui dit maintenant, tu vas me sucer, ton mari te baisera ce soir, il s'allonge sur le billard et la fouette et la traite pendant qu'elle le suce, je suis étonné, elle recrache son sperme dans un papier éponge

Il lui dit de se rhabiller, mais de garder le plug pour rentrer, il complimente sa danse, Marie dit qu'en principe les cours particulier vont reprendre en janvier, tu avais raison, il a essayé avec une autre et ça n'a pas marché non plus, il m'a dit qu'il a pu redemander la salle, il dit, tu es contente, tu a fait comment, elle dit, je n'ai pas fait grand-chose, je lui ai juste laissée entendre un petit gémissement

Quand il m'a mis le sexe sur la barre, il a continué plus fort à me frotter, j'ai laissé faire et a la fin, il m'a demandé si ça m'intéressait de reprendre les cours le jeudi, j'ai fait oui en souriant, ce saligaud va encore m'inonder, mais ça va, il n'est pas trop insistant, j'ai facile à me dégager

Marie est sortie, j'ai attendu et suis sorti quand il rangeait le billard avec sa femme, je lui ai laissé du temps avant de rentrer comme tous les soirs, taquins, je dis, un billard ce soir, elle dit oui, mais je sens bien qu'elle n'a pas envie, je dis non, pas ce soir, je n'ai pas envie d'un ciné non plus, alors on passe la soirée ensemble, couchés de bonne heure

Noël étant une fête de famille, je mentais aux amis en disant que nous étions déjà invités, ou qu'on avait du monde, l'effleureur n'avait pas d'enfant, mais des neveux et nièces et ils étaient invités, ceux qui n'avaient pas d'enfant, l'étaient dans leur famille, nos parents respectifs allaient chez des neveux aussi, nous étions seuls, Marie avait par moment le cafard de ne pas être mère, j'eut une idée, je savais qui elle appréciait, je lui dis, "si on invitait le client", Marie me souriait, on se comprenaient, nous étions complice, elle fit humm, je dis, j'appellerais lundi

Marie ne m'en avait pas parlé, mais je me doutais qu'elle appréciait ce client, lui, il en était amoureux et elle, il y avait un très bon feeling entre eux, il était comme elle aime, entreprenant et galant, cultivé, attentionné envers elle, il avait de l'humour, moi-même, je m'entendais bien avec, en disant cela à Marie, elle m'avoua avoir envie de lui, sentir ses mains comme la dernière fois, je lui dis, tu vois, tu me demandes et je vais faire le nécessaire

Le WE passe et le lundi au bureau, je profite d'être seul pour l'appeler, je lui demande ce qu'il fait a Noël, il plaisante en disant qu'il le passe avec Drucker devant la boite a connerie, je lui demande si cela l'intéressait de se joindre a nous, il dit non, je ne peux pas accepter, en plaisantant, je lui demande si la cuisine est mauvaise, si nous sommes de mauvaise compagnie, ma femme est laide, je vous promets de ne rien vous faire signer

Après les arguments contre, je lui dis, je ne peux pas vous forcer, il me fait promettre que ça ne nous dérangera pas, je lui dis, voulez-vous que je dise à ma femme de vous appeler pour qu'elle vous passe un savon, pour une fois qu'elle apprécie un client, je voulais lui en faire la surprise, je lui dis que comme en chine, plus il y a de fous et moins il y a de riz

Il pose une condition, avec mon accord, offrir une bague à Marie, j'ai un pincement et dis, non pas de bague surtout, un collier alors, je refuse encore pour le prix que cela coûte, il me dit que non, ne craignez rien, je ne vais pas lui offrir une rivière de diamants, même si elle vaut bien plus, afin qu'il ne se dise pas que c'est Marie qui l'a demandé, je lui dis qu'elle ne sait rien, il dit ha non, je ne veux pas m'imposer

Je lui répète qu'en principe, quand ma femme n'aime pas quelqu'un, elle me le dit, et le sachant, je m'arrange pour qu'elle n'ait plus affaire à lui, je lui dis qu'il n'est pas dans mes principes d'inviter des clients, la plupart ne pensent qu'a profiter gratuitement des repas d'affaires, alors que vous nous avez invité au resto et offert du champagne

Il répond que la fraîcheur et compagnie de ma femme a largement remboursé cela, je réponds a vous de voir, c'était sans arrière-pensée commerciale, finalement, il accepte, amenant le champagne, je dis ok, mais rien d'autre, et pas de cadeaux, un bouquet au moins dit il, je réponds, bon, ça encore, ça peut aller, alors venez pour 20 heures

Il me téléphone la veille, en me demandant si je peux lui trouver une chambre, pas trop loin, je me dis qu'en effet, trouver cela a la dernière minute, on a 2 chambres inutilisées, je lui dirais que j'ai trouvé un hôtel a deux pas d'ici, je le rappelle en fin de journée pour lui annoncer, avec Marie, on prend notre journée, on fait les courses le matin, et elle prépare en fin d'après-midi

Le soir arrive, elle a tout préparé, tout est prêt, habillée tout de noir, elle a mis une jupe comme un short avec une veste en voile noir qui descend jusqu' à mi-jambes, un décolleté large visible par transparence du voile de la veste, en somme, c'est un déshabillé pour sortir, on sonne à la porte, j'indique descendre en ouvrant la porte extérieure, je demande ou se trouve sa voiture pour décharger

Il y a 2 cartons de champagne, sa valise, ainsi qu'un bouquet conséquent et un petit sac plastic, je lui dis de prendre sa valise, car on pourrait lui voler, on monte en mettant tout dans l'ascenseur, le bouquet prend de la place, arrivée a l'étage, je descends les cartons, sa valise, il tient le bouquet, je rentre dans la cuisine en disant, c'est un livreur, du champagne de ton admirateur

Elle lance, pour le rassurer qu'elle ne lui en veut pas d'avoir abusé lors de sa dernière visite, " il est vraiment gentil cet homme-là", je rangeais les cartons, il se montre dans la cuisine avec le bouquet en disant, " devant pareille beauté, on ne peut qu'être gentil"

Marie s'excuse en disant qu'elle ne voulait pas dire cela, ou plutôt si, mais, elle s'embrouille dans son explication (volontairement), bon, vous m'avez compris, elle dit en s'adressant a moi, "tu aurais dû me le dire, j'aurais mis autre chose", il dit "et j'aurais loupé cela, ha non alors", le client avait compris que je n'étais pas jaloux, une fois assis, il parlait tout en prenant Marie par le genou ou la main

Les huîtres étaient déjà ouvertes, mais je fais celui qui va les ouvrir, la laissant seule avec, elle lui dit, qu'elle a de vagues souvenir de sa dernière visite, il répond, "oui, j'ai été comblée et vous aussi", elle lui dit, "comment, que c'est il passé", il dit, " j'ai passé ma main comme ça", elle retient sa main et regardant vers la cuisine, elle dit, de façon gênée, "c'est tout", il dit non, "je l'ai remonté comme ça", elle le retient encore en regardant vers la cuisine

La voyant faire, je me dis qu'on a bien changés tous les deux depuis deux ans, je suis devenu commercial, bon commercial même, car je ramène des contrats, même sans l'aide de Marie, grâce à ma parfaite connaissance du métier et des besoins du client, au boulot, je fais partie du cercle des décideurs, on me consulte, on me respecte, les collègues féminins me sourient de façon sensuelle pour la plupart, si je cherchais une maîtresse a la boite, j'aurais le choix, mais les putes ne m'intéresse pas

Quant à Marie, elle a pris de l'assurance, elle est plus cultivée, elle manie ses atouts en connaissance de cause, elle sait qu'elle plaît et s'en sert, là, je la vois à l'œuvre, succomber en laissant croire qu'elle est victime du vilain, qui a abusé d'elle dans un moment de faiblesse, et lui laisse penser que s'il insiste, elle succombera à nouveau de façon honteuse pour son silence, pour ne pas que son mari le sache

Il continue de lui parler en disant, "ensuite, j'ai remonté encore ma main", elle dit, "et je vous ai giflé", il dit non, Marie a une expression de gène, elle demande quoi alors, il lui dit, "si je vous promets de ne plus remonter ma main après que je la remette là ou j'ai été sur votre cuisse", elle dit non, il insiste deux fois en disant qu'elle ne le saura jamais, mais il insiste à nouveau en remontant sa main doucement sans faire contact

Marie dit, je vous préviens, si vous allez trop loin…., il arrête et pose sa main sur sa peau au dessus des DIM UP , elle tressaille, et serre plus ses cuisses en empêchant sa main de remonter plus, elle dit a voix très basse, " et c'est tout", il dit "pour moi oui", comment ça dit-elle, en regardant a chaque fois vers la cuisine

Lui aussi, il regarde ou plutôt il écoute, je fais des bruits d'huître sur un plat inox, il lui dit, "ensuite vous vous êtes libérée", elle fait "non je......, ont", il lui coupe la parole en disant, "vous ressentez quoi en cet instant précis", elle refait, je....... Puis se lève pour me rejoindre à la cuisine, je lui dis que j'ai fini, elle me sourit en douce

Marie, cette fois-ci n'a prit qu'une coupe de champagne, disant qu'elle veut rester lucide pour noël, on passe a table et aux entrées, il dit, "attendez avant de commencer, je vais abuser de mon privilège de l'âge, mettez vos serviettes devant les yeux, ne trichez pas", on s'exécute, je me dis qu'il a dû passer outre ma demande, il va dans le couloir, j'entends du bruit de sac plastic, retirez les serviettes dit-il en s'asseyant

Devant moi, un carton que je devine être des bouteilles au nombre de trois, pommard, château margot et une autre du même genre, Marie ne voit que le mien pour son encombrement et découvre le sien ensuite, j'ai peur de savoir ce que c'est, elle le déballe, je suis soulagé, ce n'est pas une bague, mais un superbe collier, je n'y connais rien, mais le nom du joaillier suffit, elle est très émue, heureuse, contente, surprise, je ne veux pas gâcher sa joie en disant qu'on avait dit que le champagne suffisait

Je laisse Marie savourer cet instant, il se lève en me disant, "vous me permettez", il prend le collier et le met à Marie, je suis content de la voir comme cela et gêné, il se rassoit, je lui fais avec le doigt le signe que c'est pas ce qu'on avait dit, il dit, "mon cadeau ne vous plaît pas", je dis, "on n'avait dit pas de cadeaux, que le champagne et le bouquet suffisait, il n'est pas encore minuit pour les cadeaux, ensuite, on a rien prévu pour vous, on se sent mal", il répond, "mon cadeau, ça fait une heure que j'en profite et je peux vous dire que par rapport aux babioles que je vous ai offert, le votre a bien plus de valeur"

Je lui dis, "vous savez un repas même de noël, ça ne dépasse pas le champagne que vous avez amené", il répond qu'a son âge, il a dépassé le stade mathématique, disant, "au lieu d'être devant la télé à me morfondre, ou dans un restaurant, ou seul un autre vieillard comme moi, viendra m'adresser la parole, je passe noël comme en famille, avec un couple sympathique, dont la femme magnifique a en ce moment pour mon plus grand bonheur, les yeux qui par l'émotion dont je suis le responsable, brillent encore plus que mon modeste cadeau

En effet Henri, il se rattrape en excusez moi, Mr Henri, je lui dis qu'il peut nous appeler par nos prénoms, il poursuit, excusez-moi d'être venu les mains vides, et vous Mme Marie, non excusez moi Marie, je vous promets de faire part de mon mécontentement à ce bijoutier qui m'avait dit que ce collier allait vous mettre en valeur, je vois bien que c'est vous qui le faites briller, il n'est que l'écrin et vous êtes le bijou inestimable

Je lui dis sans réfléchir, "mettez-vous à ma place", il répond qu'il donnerait bien tout ce qu'il possède pour y être a ma place et pas que pour ma jeunesse, Marie se maquille très peu et s'essuyant les yeux avec sa serviette, elle voit son mascara qui a débordé, disant qu'elle doit être affreuse, elle va dans la salle de bains se refaire les yeux, il dit, "il y a 99 % des femmes de la planète qui aimerait être aussi affreuse"

Je lui redis qu'il n'aurait pas du, il me répond que cela lui a fait plus plaisir qu'a nous et qu'il comprend notre gène, mais qu'a son âge, faire plaisir était son seul plaisir, Marie tardant à venir, je lui dis que je vais voir ou elle en est, elle s'admirait avec le collier, elle me demande ce qu'elle doit faire, je lui dis que lui rendre serait le vexer et qu'il l'a fait de bon cœur, qu'on l'a émue aussi en l'invitant, elle allait venir, mais je lui dis, attend, je vais lui dire que tu hésites à le garder

Elle m'embrasse, je lui retire le collier, comprenant ce que je veux dire, je lui dis en revenant m'asseoir, "elle hésite à le garder disant que c'est trop", il dit non, " il ne faut pas", je lui dis, "vous savez argumenter, aller la convaincre, moi, elle ne m'écoutera pas", je dis encore, " allez-y, je préfère rester là sinon elle va savoir que c'est moi qui vous l'ai demandé", vous croyez dit-il, je dis, "oui, elle vous écoutera vous"

Il y va, elle m'a raconté ce qui suit une fois seuls, il toque à la porte entrouverte et rentre sans attendre, elle est devant la glace, se tourne dés qu'il rentre, il repousse la porte, la salle de bains n'étant pas très grande, elle dit qu'elle est désolée et lui tend le collier, il dit, "non regardez comme il vous va", elle se tourne vers la glace, il arrive derrière et lui remet le collier en disant, " regardez comme il semble fait pour vous"

Il dénude sa nuque, et un peu ses épaules, faisant remonter sa veste voilée dentelle, avec le collier, il frôle ses pointes de seins, Marie regarde le collier et lui, il la regarde, elle a eu un léger sursaut, en remontant ses mains, il frôle ses épaules puis sa nuque pour le crocher, ensuite, il lui met ses mains sur les épaules en repoussant encore sa veste, elle a un nouveau sursaut qu'il découvre aussi, elle dit non arrêter, mais sans bouger

Il embrasse sa nuque sur le côté, elle dit, non arrêtez, il ne faut pas, disant cela, elle bascule sa tête sur le côté, tout en lui embrassant la nuque, ses mains passent par-dessus ses bras et descendent doucement sur ses seins, non arrêtez murmure-t-elle sans l'arrêter, il lui dit "vous en mourrez d'envie", elle dit non en se débattant à peine, quand il prend ses seins à pleines mains, elle presse les siennes sur ses mains pour lui enlever, mais sans forcer, en disant toujours non, arrêtez, il ne faut pas

Marie fait celle déstabilisée, sa main tient la sienne, mais il a compris qu'elle ne me dira jamais rien, il caresse un sein, son autre main caresse ses fesses a travers le fin tissus, elle lui attrape la main en disant non, arrêtez, mais elle ondule légèrement du fessier, écartant légèrement ses jambes, il passe par-dessous la longue veste et quand il atteint le string qu'il découvre trempée, elle a un petit gémissement, se reprenant, elle dit qu'il faut revenir a table

J'étais à la cuisine, elle me rejoint, je retourne a table et je lui demande, vous avez réussi, il dit oui, je pense, elle revient, il me dit, j'ai réussi à faire entendre a Marie que le prix de ce présent n'a aucune importance, n'ayant pas d'héritier, les 3/4 du prix de ce collier irait a l'état, en moi-même, je me dis qu'il est très fort, il justifie ainsi le temps passé en donnant une raison a Marie d'accepter sans remords

Il est vrai que comme argument, il est valable, sans cadeau, je lui avais permis quelques privilèges avec Marie, le cadeau est un plus et non un paiement, elle est très réceptive aux cadeaux désintéressés, avec le prix de ce collier, il aurait pu avoir une professionnelle de luxe tout aussi belle qu'elle, en ayant tout d'elle, mais lui, il voulait une belle femme a qui donner du plaisir, tous les plaisirs

La soirée se passe très bien, quand la conversation dérape sur le boulot, c'est en dehors de ce qui nous concerne, Marie l'apprécie aussi, en dehors du petit jeu, le collier, il n'était pas obligé, les autres contrats à venir suffisaient pour avoir un moyen de pression sur moi, sur nous, il m'avoua plus tard, qu'il a eu le coup de foudre pour Marie, je m'en doutais un peu, il disait qu'il ferait tout pour la rendre heureuse et que son bonheur passait par moi

Qu'il ne fallait pas voir en lui un concurrent, mais une aide a son bonheur, que j'étais un veinard et que je devais m'en douter, quand il me disait cela, je me disais qu'en effet, il aidait plus qu'il ne fallait pour la rendre heureuse, et veinard, je le savais déjà, mon seul nuage s'appelait Lucien, il était passé, mais existait, au dessert, Marie s'excuse du gâteau qui n'était pas très présentable, mais elle l'avait fait pour une amie, lui, répondant, qu'il était délicieux et que le goût est plus important que son esthétique

Le repas fini, on passe au salon, je dis à Marie qu'elle a déjà fait la cuisine, que je pouvais faire le café, assis sur le canapé, il a voulu lui caressé ses seins, elle l'a à peine empêché, il lui dit qu'il meurt d'envie de lui embrasser le cou, mais que ça ne serait pas raisonnable, il pose sa main a mi-cuisse, elle serre les genoux en regardant vers la cuisine, ne pouvant pas mettre deux heures pour du café, j'arrive a ce moment là, j'étais encore dans la cuisine quand j'ai dit , voilà, ça vient, afin de prévenir, on a discuté sur le canapé comme a table

Il avait la main sur le genou de Marie ou le bras, ou des fois, lui tenant la main, mais il était comme cela même avec moi, me tenant le bras ou le poignet, mais pas la main ni les genoux, après plus d'une heure sur le canapé, je me lève et dis, ce n'est pas parce qu'on est des croulants qu'il faut se laisser crouler, je lui demande de m'aider à déplacer le canapé, les fauteuils et la table basse, tout est mis vers la porte-fenêtre, la table ou l'on avait mangé est poussé aussi contre le mur

Je sors une boule a facette, qui date de je ne sais quand, je me souviens d'elle parce que j'avais fouillé la maison à l'époque adultère de Marie, a la recherche d'indices, de preuves, de tout ce qui me ferait voir clair, je positionne cette boule sur le buffet, avec la corniche, elle n'envoie ses petits points d'éclairages qu'au plafond, je sors mes CD, et les passes sur ma chaîne HIFI, j'allume la boule, puis j'éteins la lumière

Il y a un bouton de réglage luminosité sur le socle de la boule a facette, je la règle juste pour se diriger dans la pièce, disant, " il y a moins de monde qu'en boite, mais on s'y croirait presque", comme prévu, on ne devine que nos têtes, il dit, " moins bruyant aussi", on danse tous les trois, puis arrive les slows, je prends le premier en disant, " je fais valoir mon privilège d'époux", il me dit que j'ai entièrement raison

Je danse avec elle, elle sourit quand elle lui tourne le dos, et je fais pareil quand c'est moi, je la tripote quand on est caché, lui est sur le canapé, éclairé par la rue, on voit l'ombre de sa tête y dépasser, le slow terminé, elle me donne sa veste voile, un autre slow débute, je lui dis, ça vous dérange si je vous la laisse quelques slows, je vais chercher une bouteille avec des verres, répondant qu'être dérangé de cette façon, qu'il ne faut pas le ménager, vous me gâtez là

Je vais en cuisine, j'allume, ils sont cachés, par le mur mitoyen cuisine/salle, je sors un plateau, un seau a glace, trois verres, pendant ce temps, dés que je suis hors de vue, il embrasse la main de Marie, puis elle met les siennes sur ses épaules

Il se penche et embrasse son épaule dénudée, elle incline légèrement la tête pour lui faciliter l'accès en lui murmurant, "non, arrêté", il continue et elle lui murmure, " pas de suçon surtout", n'ayez crainte qu'il répond, il veut remonter dans son cou, mais elle dit, non, tout ce qui est au-dessus du collier est réservé pour mon mari

Ironiquement, il dit, et ce qui se trouve dessous, elle ne répond pas, il caresse son sein, elle se tortille un peu pour se dégager, et murmure un "non", il continue quand même, elle gémit, puis elle le laisse faire, elle dit "un peu de discrétion quand même", il lui dit que quand la cuisine sera éteinte, qu'on ne verra que le dessus de leur tête et pas ses mains, Marie ne dit rien, elle apprécie sa caresse

Même en trainant, il y a un moment ou il faut y aller, j'ai attendu la fin du deuxième slow, je leur dis, une coupe de champagne, on boit à la lumière de la cuisine, il mate Marie en jupe très courte, sans sa veste, il me dit, "il est bon votre champagne", je dis oui, "je connais quelqu'un qui me le ramène"

On écoute le slow puis quand il est fini, je remet le morceau et je dis, "c'est mon tour", je danse puis en passant a coté, j'éteint la lumière de la cuisine en disant, "ambiance boite de nuit", je fais un slow ou je la caresse aussi, elle me fait les gestes qu'il lui a fait

À la fin du slow, je lui laisse Marie, il ne peut plus se baisser pour l'embrasser, mais il tente de la tripoter, elle se dégage juste pour faire celle qui ne veut pas, sachant qu'on voit l'ombre des crânes, il tripote et malaxe ses seins, elle fait non, mais elle l'agrippe plus fort sur les bras, a travers le tissu

Il caresse son sexe avec sa main, Marie se débat a peine disant "nonnnnn", mais elle frémit en l'attirant à elle, elle sursaute, au deuxième slow, il me dit, je prend aussi le tour suivant, j'ai entendu mais je dis "comment", en mettant ma main en parabole le long de mon oreille

Il me le redemande en parlant plus fort et je dis oui oui allez y, ceci afin de montrer qu'ils peuvent communiquer sans que j'entende, il reprend son tripotage, elle lui dit, je vous laisse toucher mes seins si vous ne tentez rien d'autre, il dit oui, a une condition, vous venez danser sans soutien-gorge aux prochains slows avec moi, elle répond "mais ça ne va pas", pour me faire plaisir lui dit-il, le slow fini, je propose une petite coupe, on ne prend à peine que des demi-coupes a chaque fois

Après avoir bu, je danse un autre slow avec Marie, mais en éteignant la boule, disant, c'est plus intime comme ça, je la tripote, l'embrasse, je la fais mouiller, au slow suivant elle dit vouloir allez au WC, elle allume la lumière du couloir, je discute avec lui, quand elle va revenir, je lui dis tout bas, si vous voulez y aller, moi la danse ce n'est pas mon truc, mais elle, elle aime ça, alors si ça ne vous dérange pas, il répond, c'est gênant, pas du tout dis-je, la voilà allez y, elle éteint le couloir

Il demande s'il rebranche la boule, je réponds, si vous voulez oui, mais moi, ça commençait à me faire mal aux yeux, et puis là pas besoin de regarder les autres danseurs, il n'y en a pas

Je remets le slow au début, il contrôle si elle a son soutif, le passage WC lui a laissé penser qu'elle l'avait enlevé, dans le noir, ils ne dansent plus, tournés vers moi pour voir si je ne lève pas pour allumer

Il est derrière elle, l'enserrant et mettant ses deux mains dans son corsage, elle se laisse faire, il tient ses deux seins nus, Marie gémit, elle lui presse ses mains pour appuyer plus, il tourne ses mains autour d'elle, lui baisse son vêtement au bras, ses seins sont sortis

Pour se remettre, elle n'aura qu'a lever les bras, il se place devant elle, il caresse un sein, puis suce l'autre, elle lui tient la tête pour qu'il continue, il embrasse l'un, puis l'autre, elle sent sa main entre ses jambes en dessous des genoux, elle les serre, il donne deux secousses pour lui faire comprendre qu'elle doit écarter, elle lui murmure non à plusieurs reprises, insistant encore, excitée, elle desserre son étreinte, sa main monte à nouveau, Marie à ce moment là a perdu le contrôle

Quand elle sent la main sur son sexe, elle lui serre sa tête sur ses seins, il la caresse, elle fait des "oui encore", le slow se termine, il me dit dans le silence que ça lui rappelle sa jeunesse, je dis "ha, vous voyez" le slow suivant commence

Elle le laisse la masturber, elle est complètement a sa merci, j'avais baissé un peu le son crescendo, sans entendre ce qu'ils se disaient, j'entendais Marie gémir, elle le serrait à l'étouffer, je l'ai entendu jouir deux fois, elle m'a dit ensuite que ce qui l'excitait, c'était le contexte, la situation

On s'est remis a boire, on a fini la bouteille, discuté un peu, mais dans la lumière, il dit qu'il va nous laisser tranquille et y aller, de lui indiquer ou se trouve l'hôtel, je dis à Marie de le conduire, découvrant une des chambres, il dit qu'il ne peut pas accepter, je dis, tu vois Marie, ton repas ne devait pas être bon, il ne veut pas rester, d'attaquer Marie, il se met aussitôt sur sa défense, la complimentant sur tout

Elle lui apporte des chaussons, et lui dit, c'est soit vous dormez là, soit je vous rends le collier, il se sentait gêné, mais accepta en disant, "j'accepte, mais vous me le paierez", Marie répond, j'en tremble déjà, elle lui montre a la cuisine, les tasses, le café, ce qu'il faut pour demain matin s'il se réveille avant nous, on a tous été prendre une douche, une fois au lit, Marie était brûlante de désir, super excitée, une vraie bombe, me racontant tout

Avec la peur que je me sente mal, elle m'avoua honteusement avoir joui fortement, bien plus que dans les cinémas, ne pas avoir pu se retenir, je lui dis que le but est qu'elle ait un maximum de plaisir, elle me dit qu'il ne lui a pas fait sentir son sexe, je me dis qu'il n'a pas osé, je l'ai fait jouir deux fois aussi, cela n'a pas été difficile, puis on s'est endormi, au réveil, on a câliné, Marie était très amoureuse, elle m'embrassait partout, me serrait dans ses bras

On l'entend se lever, puis aller a la cuisine, je dis a Marie d'aller le retrouver en nuisette voile, elle s'habille et revient aussitôt disant qu'il est parti, je lui dis d'aller dans sa chambre, mais sa valise est là, il a été prendre l'air surement

Ont se douchent, s'habillent, il avait pris mes clefs de maison, il revient avec croissants et pains au chocolat, Marie avait remis ses vêtements de la veille, sans la veste, il la regarde et me dit, ce n'est pas une épouse que vous avez, mais une merveille, je lui dis que je le sais et Marie vient me câliner

Il a voulu nous inviter le midi, mais j'ai dit qu'avec le repas d'hier soir, manger léger a midi ne sera pas du luxe, on a marché dans le quartier, puis le midi, il dit, vous restez sur le canapé, c'est moi qui prépare le repas, il restait trois douzaines d'huîtres, qu'il avait ouvertes

Marie préparait une tarte aux pommes, de la cuisine, en me parlant, il regardait si j'étais installé sur le canapé, je lisais, il retournait vers Marie pour l'embrasser, sans lui caresser le corps à cause des huîtres

Il ne voulait pas la mettre dans l'embarras en l'excitant, il lui a fait du pied a table, elle s'est laissé faire, il est devenu moins collant a elle, très prévenant, mais avec moins de gestes comme mettre sa main sur son genou pour parler, il se sentait en faute et ne voulait pas que je le sache, mais des qu'ils étaient tranquille, ses mains s'emparaient d'elles

Marie me disait qu'elle l'appréciait, quant il la regardait, on aurait dit un affamé devant un steak, on lui a proposé le WE ensemble, il a accepté dés qu'elle lui a dit "pour me faire plaisir", la situation n'a pas pu être aussi chaude, juste quelques caresses par ci par là

Il est parti le dimanche après midi, nous remerciant en disant que c'est les meilleures fêtes qu'il a passé depuis bien longtemps, il avait les yeux brillants, comme je le raccompagnais à sa voiture, je suis descendu le premier avec sa valise

Il a repoussé la porte et a embrassé Marie sur les seins, elle l'a remercié pour son cadeau en lui disant, "j'espère que vous reviendrez" il lui a répondu que si ça ne tenait qu'à lui, il serait là tous les jours, il m'a rappelé le lundi pour me remercier encore de notre hospitalité, j'ai répondu que Marie le remercie aussi

À suivre.
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Histoire de annizette

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