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Vengeance heureuse d'un cocu 11

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Lue : 1373 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/07/2015

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La courte semaine se passe, le jour de l'an, on était invité chez Annie avec d'autres amis que je connaissais déjà, nous étions dix, je tripotais fortement et discrètement Annie, son mari comme les autres tripotaient discrètement Marie, toutes les femmes étaient jolies, la soirée était prévue comme ça, la lumière était très tamisée, je me risquais à tripoter les autres amies, qui se laissaient faire; en dansant avec Marie, je lui dis que toutes se laissent un peu tripoter et qu'elle ne soit pas farouche.

Annie et Marie étaient les plus convoitées, il y avait un boute en train qui organisait des jeux, les hommes et les femmes et les hommes ensuite, devaient les yeux bandés reconnaître leur conjoint en touchant trois d'entre elles dont la leur, avec interdiction des seins et du sexe ainsi que le visage; tous et moi également, on caressait les cuisses, les femmes ne devaient pas parler, tous les hommes ont reconnu leurs femmes, mais une des femmes n'a pas reconnu son homme, en dansant, j'ai demandé à Annie si elle n'avait pas besoin de massage de la nuque, elle a répondu bientôt, on a passé un bon réveillon ainsi que le lendemain ; pour les restes où nous n'étions que six.

Le mercredi, Annie m'appelle pour le lendemain, cela ne m'arrangeait pas, mais on ne refuse pas à Annie, Marie reprenait ses cours de danse particulière, j'aurais voulu être là ; le jeudi, j'arrive chez Annie, elle était en peignoir et sortait de la douche, elle s'en va mettre une culotte puis revient les seins a l'air en me disant que comme j'ai été sérieux la dernière fois, elle m'offre sa poitrine à ma vue et me laisse les caresser, les embrasser, ensuite elle s'allonge sur le canapé et me laisse la caresser partout sauf là où est sa culotte.

Je fais tout pour la faire frémir, pour l'exciter, elle est un régal, je sens bien qu'elle est gorgée d'excitation, elle me dit « allez, à toi », je me mets nu complètement, le sexe tendu, elle le regarde, je m'allonge sur le canapé, elle me demande de mettre mon sexe entre ses cuisses et sans pénétration, elle me branle entre ses cuisses et masturbe ses lèvres intimes sur mon sexe à travers le fin tissu, elle explose avant moi, elle jouit sans pouvoir se retenir complètement, je l'encourage à se laisser aller ; voyant que je sais, elle se laisse aller en criant et me serrant.

Ce plaisir est plus intense que tous ceux que j'ai eu avec celles de passage, une fois remise, elle me demande comment je veux me finir, je lui dis, sur le côté, mon sexe entre ses cuisses encore, le canapé n'étant pas pratique, elle m'emmène dans une chambre d'ami, je la caresse, l'embrasse, pince ses tétons, je la prépare à un nouveau voyage, elle me paraissait réticente au début, je ne comprenais pas pourquoi, mais finalement, j'arrive à la mettre sur le chemin du plaisir.

Moins gênée que la fois d'avant, elle bouge son bassin, elle souffle, ne se retient plus et me dit "on fait ensemble", comment dire non à sa proposition, je dis oui, elle s'active, me dit qu'elle est prête, je le suis également, elle balance encore plus et contre toute attente, elle me branle le bout du sexe avec ses doigts, on a crié tous les deux, j'avais envie de l'embrasser, mais je me suis abstenu afin de ne pas lui faire de suçon, à sa demande, j'ai tout mis dans une serviette qu'elle avait préparée exprès.

Ce genre de situation était comme une purge, où on ne recherchait que notre propre plaisir sans avoir à se retenir, on se repose un peu puis elle me dit que je devrais partir, qu'elle préfère, que même si on est habillés, si quelqu'un vient, il vaut mieux l'éviter, ce que je comprenais parfaitement et cela m'arrange, je peux aller à la danse, triste de quitter Annie, mais content d'aller voir Marie, si un génie me disait, tu as droit a un vœu, celui-ci serait d'être bigame avec Annie et Marie, l'une m'appartenait déjà et j'avais l'usufruit trop rare et restreint de l'autre.

J'arrive à la maison, je contrôle dans la voiture de Marie que sa tenue n'y est plus et je la rejoins "déguisé", un petit contrôle que l'effleureur ne soit pas là, puis je vais mater ; est-ce que c'est parce que j'ai souvenir d'un samedi ou avec les autres présents, il est plus réservé, Marie a une jambe le long de la barre, et l'autre tendue a 90° de l'autre côté de la barre, le buste horizontal, la tête relevée pour regarder devant elle, sa chatte est collé a la barre, et lui, il tient sa jambe tendue, elle a les bras en arrière sans se tenir.

C'est lui qui lui fait tenir l'équilibre, par contre, il ne fait pas que tenir sa jambe, il la lui tire aussi en arrière, écrasant son sexe sur cette barre, donnant du mou à sa jambe puis retirant dessus, la pauvre Marie que je vois de côté, résiste, je vois sa bouche qui fait des "haaa" en silence, cela l'excite, mais l'heure se passe bien, il ne fait que mettre ses mains partout et je sais que Marie adore, le soir, je rentre comme habituellement, Marie me cajole, si je ne l'avais pas suivie, je me dirais qu'elle a quelque chose à se faire pardonner.

J'aime quand elle est comme cela, sinon je dirais qu'elle est collante ; même à nos premières années, elle n'était pas aussi amoureuse, Annie me dit que c'est parce que je la laissais s'épanouir sexuellement, elle m'aimait de lui offrir cela, mais à ce moment-là, je n'avais personne à qui le demander, j'avais une crainte, qu'elle me quitte pour un autre ou me quitte tout court, et ses marques d'affection étaient pour moi, une difficulté de me l'annoncer,
Préférant être dans la certitude, je lui ai demandé si elle n'en avait pas marre de moi, elle me jura que non, qu'elle m'aimait et qu'elle aussi avait peur que je la quitte, je la rassurais en disant que Lucien était oublié et n'interviendrait plus jamais, ce qui était faux, Lucien était toujours au-dessus de nous, mais avec une autre tête, je craignais qu'un autre beau parleur avec des pectoraux et une belle gueule me la prenne, on se serra l'un contre l'autre pour s'embrasser.

Le vendredi, elle me demande si on va chez l'effleureur après manger, je lui dis d'appeler voir s'il est là, que je vais prendre une douche ; c'était occupé, je vais à la douche puis me dit que je n'ai pas regardé si elle a le plug ; sans bruit, je vais dans la chambre, elle l'avait en elle, je retourne à la salle de bains et j'entend Marie au téléphone avec l'effleureur, « tu es sûr que je ne le connais pas, il a quel âge, il habite où dis-tu, si, j'ai envie de venir, oui, mais j'ai un peu peur, oui, oui, je ferais tout ce que tu voudras ».

Elle va rapporter le combiné et je file dans la douche, je me mouille les cheveux pour dire que si je suis long, c'est parce que je me suis lavé la tête, en sortant, elle prend ma place en disant, c'est bon pour mon cours de billard, elle sait que je sais ce qu'elle fait, mais elle et lui croient que je pense qu'ils ne font que des tripotages, ils savent que je dois me douter qu'ils font plus, je leur ai dit que je ne veux rien savoir.

Le soir, on arrive, il n'y a qu'eux deux, je pense avoir mal compris quand elle téléphonait, sur place, Marie croit que je regarde la télé avec sa femme en sachant que je ne descendrai pas, l'effleureur croit que j'entretiens mon vélo et sait que je ne descendrai pas, une fois qu'ils sont en bas, avec elle, nous allons à l'ordi, elle me laisse seul quelques instants, comme d'habitude, rien ne change, Marie se soumet a lui.

Mon sexe est prêt, la femme de l'effleureur arrive, elle s'est mise comme j'avais demandé, porte jarretelles, bas, petit soutif, bien sûr, par rapport a Marie, ça n'a rien à voir, mais elle avait une belle peau qui était douce, elle me dit, tu ne lui diras jamais, je réponds que c'est réciproque, elle me suce aussitôt, l'effleureur baise Marie, la sodomise, il alterne entre les trous, je commence à être excité par Marie et la femme de l'effleureur, elle le sent également, voyant cela, je lui dis de se mettre pareil sur le bureau de l'ordi et je la baise.

Elle était toute trempée à me sucer, je lui dis que je vais lui faire comme il fait à Marie, je lui pince les seins, mais elle dit que je lui fais mal, elle n'est pas très maso, contrairement à Marie et Annie, je dis, « ha, c'est par le cul maintenant qu'il la prend », elle dit non, mais en restant comme elle est, elle dit, "pas par là Henri, non", je ne l'écoute pas, j'humecte sa rondelle et rentre doucement, c'est très étroit, j'en suis étonné, je pousse lentement, à fond et commence à limer.

Elle continue de dire non en soufflant, mais sans esquisser un seul mouvement pour s'en aller, je lime de plus en plus fort, elle souffle encore, je me dis que peut-être, j'ai été trop rapide, mais je suis rassuré quand je la sens donner du bassin, je continue à la bourrer, je lui dis, « regarde, il va la prendre encore », et là, elle me dit "oui continue encore", je lime en regardant Marie se faire prendre et quand je vois qu'ils vont jouir, elle jouit la première et je la remplis aussi, quand ils ont fini, on est rhabillés, on les attend puis on s'en va.

Le mardi, le chef de Marie me dit qu'elle prend son mercredi après midi, ce jour là, je la suis, elle mange avec ses copines puis à 13h30, elle est chez l'effleureur, quand c'est là qu'elle va, cela me rassure, je me mets en place, je suis prêt, à l'écran, je vois Marie se mettre en tenue, l'effleureur la regarde, lui fait faire quelques pas, je pense qu'on sonne à sa porte, il lui donne un masque où elle peut voir, puis va ouvrir, deux types approchent, la soixantaine, 1,60 m pour sûrement 75 kg mais pas horribles de tête et parlant correctement.

Les deux hommes mettent 2000 francs sur le buffet en 2 tas, il explique les règles que je n'ai pas bien entendues, mais à force de voir jouer, j'ai compris que celui qui gagne 2 coups d'affilée, prends soit un billet ou fait retirer un vêtement à Marie, elle doit se déplacer autour du billard en tortillant du cul devant eux, en se laissant tripoter et en se mettant assez proche, comme elle ne sait pas bien jouer, elle perd souvent, elle peut soit reprendre un vêtement soit un billet, Marie perd, un bas, puis un autre.

Elle perd le PJ, elle perd sa jupe, elle arrive à avoir un doublé, elle prend un billet dans chaque tas, elle perd sa veste, son chemisier, j'ai mon pantalon en bas des jambes sans mon boxer, Marie perd son soutif, elle gagne encore une fois, elle perd cette fois-ci son string, elle est nue, le type gagne, comme elle n'a plus rien, il touche sa chatte, elle rejoue et perd, l'effleureur joue et gagne, il caresse ses seins, le jeu continue, le type gagne plusieurs fois, tantôt il prend 1 billet et le met dans une boite à côté, tantôt il la caresse, le jeu continue, le type met les billets dans la boite à côté puis les compte et les fois d'après, il la tripote, quand il gagne l'effleureur lui demande de se masturber devant eux.

Le type qui gagne la tripote, la fouille, elle regagne et prend les billets dans les 2 tas, plus tard elle regagne deux fois de suite et regagne un peu plus tard, il n'y a plus de billets, la partie est finie, je n'entend pas bien ce qu'ils disent, mais je le comprends, un drap est mis sur le billard, et l'effleureur dit à Marie qui est allongée, c'est quitte ou double, il donne 50 de plus pour te demander de rendre la moitié ou alors tu subis jusqu'au bout et tu gardes tout, elle n'a pas le temps de répondre.

L'effleureur lui dit, « donne 50 », le type sort le fric, l'effleureur allume une bougie et dit à Marie, « si tu dis stop, c'est 20 coups de martinet », elle est brûlée avec la cire sur les endroits que le type demande, on lui a mis un bâillon boule pour que les cris ne s'entendent pas, il y a un bâton qui sert de pige pour la distance que le type ne doit pas être en dessous, Marie hurle quand le type lui envoie la cire sur le sexe, téton, anus, si elle dit stop, il récupère sa mise pour moitié.

Mais Marie tient bon, il la secoue pour faire tomber la cire, le type se paie sur elle, il lui embrasse les seins, la doigte puis n'y tenant plus, lui dit de tendre sa chatte, quand un type parle, l'effleureur fait accélérer Marie avec le martinet, elle est debout en appui sur le billard, après avoir limé Marie, le type se retire pour la sodomiser, le type a joui dans sa capote, l'autre type se sert aussi de la même manière.

Marie n'a pas joui, mais elle prenait plaisir, l'effleureur la prend à son tour, il la fait jouir, il continue pendant que les autres la caressent, elle jouit à nouveau, il la sodomise et après avoir limé encore, il jouit moins d'une minute après ; j'ai joui aussi en entendant Marie jouir, elle se change pendant que les types repartent, je regarde et écoute, l'effleureur donne à Marie l'argent, qu'elle prend sous ses ordres, car elle ne voulait pas, comme à chaque fois, ils remontent, Marie se sauve, le soir, elle ne m'a pas parlé de l'argent, mais cela était à ma demande de ne jamais me dire..

Le jeudi est habituel, le WE passe, on a été se promener à pied, Marie a été à son cours, je n'y ai pas été, car trop de monde, et ils ne font que des exercices, quand ils dansent, c'est toutes en même temps, le jeudi suivant, je me retrouve coincé avec un type au moment où ils sortaient, Marie et l'effleureur m'ont sûrement vu de dos discuter avec le type, mais avec mon jogging et ma serviette, ils ne m'ont pas reconnu, je dis au type de m'excuser et rentre dans l'autre salle de danse et je fais celui qui cherche quelqu'un.

Je ne les entends pas discuter dans le couloir, ils font comme s'ils ne se connaissaient pas, ils s'en vont enfin, je ressors avant qu'on me demande ce que je fais là ; comme ils sont partis, je vais à la douche et quand le prof s'en va, je le suis ; dès qu'il sort dehors, je rentre dans la salle de danse érotique, dans un angle je vois un cheval d'arçon modulable, dans ma tête, je me dis non, non, j'imagine la honte si je me faisais surprendre à l'intérieur, je retire le haut et essaie de me glisser dedans.

Le module du haut est plus petit que celui dessous et ainsi de suite, j'ai vu plus dans l'angle, un étage supplémentaire, je défais tout puis remonte sur l'étage en plus, j'essaie à nouveau et en effet, je suis plus à l'aise, le peu de centimètres gagné y fait, il n'y a que les cotés qui se touchent, le bas de chaque module fait 3 cm de moins pour attraper le module afin d'y passer les doigts.

Comme je suis dans l'ombre, on ne me verra pas à l'intérieur, je me dis que si quelqu'un rentre au même moment, j'aurai vraiment l'air con, j'arrive à sortir sans encombre de la salle le cœur battant, il y a plus de 2 ans, j'aurais été incapable d'une chose pareille, avec une olive, j'aurais tiré 10 litres d'huile en la pressant avec mes fesses.

La semaine se passe, le WE aussi, le lundi, mon client préféré m'appelle en disant qu'il doit venir mercredi ou jeudi, je lui demande s'il ne préfère pas venir vendredi, s'il veut passer le WE, sa chambre est prête, disant qu'il ne veut pas nous déranger, je lui parle sans le ménager en disant, c'est quand vous ne voulez pas déranger que vous dérangez, si je vous le propose, c'est que Marie est d'accord et moi aussi.

Il dit que le jeudi est le seul jour où il peut aller à son rendez-vous, je lui dis, et le vendredi, vous ne pouvez pas déplacer une date et profiter de votre présence à Paris, il dit, oui, mais à ma boite, en effet, le premier projet est presque terminé, je dis que je rentre jamais avant 19 h, il dit, alors je vous invite au resto, je dis ok, j'annonce a Marie qu'il sera là de jeudi a dimanche, et que le soir, on mange au resto, elle n'aura pas le dîner à faire.

Le jeudi arrive, j'ai le palpitant au taquet, j'arrive 1/4 d'heure avant, les derniers retardataires partaient, je me glisse dans le cheval, que je tourne pour avoir pleine vue, j'ai pris des mouchoirs, au cas où j'éternuerais ; afin de me couvrir, je me fais un mot à la machine où dessus, je mets, "si tu veux savoir ce que ta femme fait, va à cette adresse, dans la salle à droite avant les douches, rentre quand personne n'est là et mets toi dans le cheval d'arçon, c'est comme ça que j'ai eu la preuve que j'étais cocu", ça me couvrira au moins aux yeux de Marie et de ridicule aux yeux du type.

Je suis en place, je n'attends pas longtemps, il arrive, Marie arrive 5 mn après, ils font des échauffements pendant 1/4 d'heure, ce qui est normal, la barre ensuite où il lui fait mettre des poses imposées normales pour le style de danse, je crois que la fille avant elle, a arrêté, car elle n'était pas dupe ; avec Marie, c'est différent, elle le fait pour l'effleureur et sait ce que son prof fait.

La demi-heure se passe sans trop de gestes dépassant le cadre de la danse érotique, je commence à être un peu engourdi et regrette d'être là, les choses plus intéressantes commencent, je vois de plus prés, 6 mètres au lieu de presque 18 mètres et sans la vitre de la porte qui est en fait un plexiglas sale et rayé, en plus, j'ai le son en direct, Marie est à la barre, le corps vertical et les jambes tendues vers lui, il lui tripote les jambes sous prétexte de lui faire sentir ses muscles qui se tendent.

Il lui demande d'onduler du bassin alors qu'elle a la chatte sur la barre, le salopard bande, on ne voit que ça, et il ne s'en cache pas, quand il la lâche pour aller vers elle pour changer de position, il lui dit qu'il ne peut pas être aussi cru avec le cours public, mais qu'ici, c'est différent, il lui dit, il faut faire comme si la barre était votre amant, comme si c'était l'homme de votre vie que vous voulez rendre fou de désir.

À la tête de Marie, je devine qu'elle pense "cause toujours", ma Marie est aguerrie au baratin de ce genre, mes leçons ont été enregistrées, je lui ai toujours dit, qu'un homme, c'est le renard et la femme le corbeau, que son fromage, c'est son cul, il fera tout pour avoir ton cul et une fois qu'il l'aura eu, il attendra d'avoir ses bourses pleines pour revenir se vider.

Les poses s'enchaînent, elle est touchée, frôlée, masturbée quand il lui prend les jambes, il lui fait faire les mouvements qui lui frottent le sexe sur la barre, je vois bien qu'elle se laisse plus facilement faire qu'avant, sans rien dire, c'est quand il est fatigué de la manipuler qu'il arrête, attendant sûrement le moment où elle perdra le contrôle et jouira pour en profiter, sur une autre pose similaire, ou il la soulève et relâche, là aussi elle prend plaisir, quand il l'a lâché, elle a continué à se frotter.

L'autre pose, elle est mains au sol, sexe sur la barre, il se met à genoux et il lui maintient par en dessous, les jambes avec ses épaules, vue directe sur l'endroit où il verrait son sexe sans son short, d'où je suis, je ne vois pas s'il y a une auréole indiquant qu'elle mouille, il se lève, lui attrape les jambes comme s'il voulait la sodomiser, il lui demande de fléchir ses bras et de remonter en se frottant sur la barre, il l'aide en lui tenant les jambes.

Elle est au 3/4 vers moi, je la vois se retenir au plaisir, voulant garder celui qu'elle ressent, mais ne voulant pas aller plus loin afin de ne pas perdre pied, je suis content d'être là, si cela dérape, je me manifesterai, je ne lui en voudrai pas de succomber, je pense à un moyen de faire cesser ces cours particuliers qui ne sont que prétexte à l'avoir dans son lit, mais elle résiste, le cours se termine, il doit se dire qu'il a progressé, encore quelques cours et elle tombera comme un fruit mûr.

Ils quittent la salle, lui en dernier, j'attends qu'elle s'habille et sorte dehors, lui, il est sous la douche encore, je la suis, elle pose son sac dans la voiture, dès qu'elle s'éloigne suffisamment, je fouille le sac et en effet, son vêtement est tout trempé au niveau de son sexe, bien trempé même, je n'ose imaginer son string.

J'attends l'heure pour rentrer, j'arrive peu avant notre client, quand il arrive, il a sa valise avec un grand sac, je lui dis que j'espère que ce n'est pas comme à Noël, il me jure qu'il n'a pas acheté de bijoux pour Marie ni de bouteilles pour moi, il s'installe, on va à la douche chacun son tour, il tripote Marie quand je suis à la douche, on passe a l'apéro, on préfère le prendre chez nous, dans les restos, c'est du bas de gamme ou alors la dose est pour nouveau-né.

Assis sur le canapé, après la première gorgée, il se lève et revient de sa chambre avec 2 cartons, en disant qu'il a quelque chose à se faire pardonner, il demande à Marie d'ouvrir et voit une de ses robes dans le premier carton, Marie ne comprend pas, elle se demandait où elle avait pu mettre cette robe du soir, un ticket de pressing perdu pensa-t-elle à ce moment-là, elle ne m'en a pas parlé de peur que je l'interprète mal, je comprends qu'elle disait faire du rangement dans son armoire le WE dernier.

Elle ouvre le deuxième carton et là, une robe de soirée qu'il avait acheté, en la faisant mettre à sa taille d'après la robe dérobée, il se confond en excuses pour la robe prise, ne pensant pas que ça causerait préjudice, Marie regardait la robe, du St Laurent, ses yeux brillaient, moi sur le fauteuil, lui sur le canapé, je lui dis ma gêne, il répond que ce n'est pas pour moi ni pour elle, mais pour lui cette robe, avec humour, je lui dis que dedans, il aura l'air aussi tarte qu'avec un écumoire sur la tête, il répond, "là, je suis accord avec vous, mais Marie là-dedans, elle va rayonner de tous ses feux".

« Regardez-la, elle transpire la joie, elle plane là, il est là mon plaisir, et si en plus, elle acceptait de la porter ce soir, pour moi, et aussi pour elle et vous, alors là, ça sera comme un feu d'artifice », Marie me regarde, elle attend mon approbation, elle serait tellement déçue si je disais non, je lui ferais du mal gratuitement, je gâcherais la soirée de tout le monde et la mienne aussi, il me dit, « si vous ne voulez pas qu'elle sorte avec, permettez qu'elle l'essaye ».

Je fais un signe favorable, et lui dis, « quand tu reviens, surpasse-toi », c'est pendant ce temps que je lui ai dit de se mettre à notre place, qu'on n'est pas profiteur, et Marie pas vénale, il me dit que c'est pour ça qu'il se fait plaisir, qu'il a eu le coup de foudre, que son bonheur ( à Marie) c'est moi et qu'il fera tout pour que je lui en donne, que son argent, il ne l'emportera pas dans sa tombe, qu'il n'est pas un concurrent pour moi.

Que pour voir les yeux de Marie quand elle a ouvert le paquet, il donnerait bien plus encore, disant qu'il est amoureux d'elle platoniquement et qu'il m'a à la bonne, que je suis celui qui donne de l'amour à Marie, et lui, il me poussera à l'aimer encore plus ; il me dit aussi que je considère que les projets futurs sont acquis, je lui dis que bien sûr, cela serait super pour moi, mais je préfère que ce soit le travail de mon équipe qui fasse la différence et que je ne veux pas non plus que ma boite en profite pour gonfler les prix en profitant de notre relation privilégiée, à coût égal, je veux bien la préférence, mais pas qu'on le vole.

Plus d'1/4 d'heure après, elle revient habillée complètement, bas avec porte jarretelles, maquillée légèrement, au prix qu'il a dû payer, le tissu est de qualité et la coupe aussi, comme à chaque fois, j'ai un coup de cafard, je pense au film, la belle et la bête, la bête, c'est moi, ça ne fait pas plaisir, surtout quand c'est soit même qui le pense, Marie est sublime, le mot est faible, en plus elle joue les vamps en mettant sa jambe dans la position où elle se retrouve dénudée, cambrant ses reins faisant sortir son fessier , ses seins en avant, et nous regardant de façon suggestive, merci à son prof de danse.

Le décolleté sans être ouvert est plongeant, elle n'a donc pas de soutif, le dos est raisonnablement dénudé, il me regarde et dit, « alors ?», je fais "no comment, vous avez bon goût, je m'incline", je dis, « on y va », Marie dit « attends, je vais m'habiller », je dis, « tu l'es déjà », elle me saute au cou en comprenant qu'elle reste comme ça, elle passe juste un manteau, on prend un taxi, elle se laisse tripoter pendant le trajet, je suis devant, à côté du chauffeur, au resto, elle a fait de l'effet, je devais en faire aussi, passant pour le fils du père friqué qui sort un mannequin.

Quand j'ai parlé de cette soirée à Annie, elle m'a redit ce qu'elle m'avait déjà dit à un moment où je broyais du noir, disant "tu lui souhaites quoi, qu'elle trouve un beau mâle qui va l'aimer le temps de se lasser d'elle, qui va lui faire connaitre la drogue ou l'alcool qu'elle prendra quand il la larguera pour une autre plus ou moins belle, mais avec nouvelle tête, tombant dans la dépendance et se détruisant la santé, c'est ça que tu lui souhaites", Annie sait trouver les mots, vu sous cet angle.

Avec moi, elle sera aimée à vie, perdante sur l'esthétique à court terme, mais gagnante en qualité sur le long terme, mais ce soir-là, je prends sur moi et me dis que c'est moi qui mène le bal, c'est moi qui suis "celui à suivre", bonnes gens, le plus riche ici, c'est moi, j'ai une femme qui m'aime pour moi et pas pour mon fric, et la femme qui m'accompagne, elle est sublime et pas retouchée façon magasine, ici tous les mâles m'envient, moi, je n'envie aucun d'eux, sauf peut être leur compte en banque, mais entre ça et Marie, je prends Marie sans hésitation.

Mon client, me fait remarquer les yeux avides des clients, et me dit, « prenez-lui la main, ils vont vouloir vous la prendre », le repas se passe bien, le serveur réagit au quart de tour, lorgne dans son décolleté à chaque fois qu'il peut, qui lui en voudrait d'ailleurs ; à un moment, elle est allée aux toilettes, si les yeux de ceux présents étaient des aiguilles sur ses fesses, elle serait percée de partout, tous les deux, on profitait de discuter d'elle, il disait, c'est une beauté, et une femme de cœur, ne la faites pas souffrir en l'empêchant d'être heureuse.

Vous avez vu comme elle est heureuse ici dans cette robe avec ce collier, ainsi sont les femmes, elle est heureuse, je le suis aussi, je sais que vous auriez préféré être le responsable de son bonheur en lui payant cela, mais vous l'êtes quand même en acceptant qu'elle les porte, vous avez vu comme elle vous a sauté au cou quand elle a eu votre accord pour rester ainsi, vous l'aimez, elle vous aime, mes cadeaux la rendent heureuse, elle vous rend ce bonheur, son bonheur me rend heureux et vous rend heureux aussi, alors où est le mal ?

Vous rendez votre femme heureuse et vous redonnez de la joie de vivre à un vieillard qui se morfondait dans son travail, il m'avançait plein d'arguments inattaquables, il était sincère, en disant qu'il était fou amoureux d'elle, mais qu'il n'était en rien une menace à notre couple, qu'elle était pour lui un plaisir des yeux, (en moi-même, je me disais et des mains aussi, mais il ne pouvait pas me le dire), ce fut pareil au retour quand Marie revenait, les regards se tournaient à son passage, je remarquais aussi que Marie avait acquis de la classe dans sa démarche, elle marchait le corps et la tête droite d'un pas très sensuel sans être top sophistiqué, merci à son prof de danse encore.

Ce sont les cours du samedi ça, ceux du mercredi, elle me les prodigue au lit, nous remercions celui à qui on doit d'être ici et sortons ; comme à l'aller, au retour Marie monte du bon côté dans le taxi, laissant sa cuisse découverte, si la première fois, c'est lui qui faisait le guide, cette fois-ci, c'est Marie qui lui demandait quel était tel bâtiment ou tel autre, comme cela, il se rapprochait d'elle pour la tripoter, Marie se faisant tripoter par lui ne me gênait pas du tout, cela m'excitait, comme avec l'effleureur, alors qu'avec son prof de danse, qu'il la touche passe, mais je ne voulais pas que se soit intimement ; dans l'ascenseur, il tripotait Marie en passant sa main sur ses fesses et elle se laissait faire.

On discutait en buvant une bouteille de champagne à trois, avec Marie on avait bu plus que lui au resto, son âge ne lui permet plus trop d'excès, il dit excusez moi, va à sa chambre et dit qu'il a oublié quelque chose dans sa boite à gants, un médicament, je voulus y aller pour les laisser ensemble mais il ne savait pas si c'était dans la boite a gant ou ailleurs, quand il s'en va, une idée me vient, on se connait assez pour savoir que je ne suis pas un con et lui non plus, on sait tous les deux que Marie se laisse faire avec ma complaisance.

Je dis à Marie qu'on va ne pas être d'accord sur un sujet, disant que je suis jaloux etc..., et pour montrer qu'elle a raison, s'asseoir sur ses genoux et comme je ne dirais rien, le provoquer et me provoquer de plus en plus, quand il revient, il nous entend être en désaccord, on continue de se chamailler gentiment, il prend une gorgée et repose son verre.

Marie dit, « tu veux que je te le prouve », je dis chiche, elle s'assoie sur ses genoux sur le coté, il dit, « mais que .... », je lui dis « non laissez la faire, si cela ne vous dérange pas », répondant "non bien sur mais je ne voudrais pas .....", « laissez faire » dis je à nouveau, souriant, Marie prend sa main et lui pose sur le bas de sa robe et la remonte, Marie me connait bien, l'excitation me prend, il veut retomber son pan de robe et je dis « non, faites comme elle demande ».

Elle se met face a moi en restant sur ses genoux et lui dit de remonter l'autre côté, moi souriant toujours, faisant un signe de tête approuvant cela, il s'exécute, il me regarde pour voir ma réaction, la vision me fait bander, Marie joue très bien son rôle de provocatrice, elle se relève, remonte toute sa robe et se rassoie, je souris toujours, elle dit, « et si je lui demande de mettre sa main sur un sein par exemple ».

Il me regarde et prenant la parole il dit, "il laissera faire, regardez le", il passe sa main sous la robe où se trouve le sein, disant « votre mari vous aime Marie, il est comme ce roi, Candaule (le terme candoliste" n'était pas très usuel a l'époque), il aime vous voir regardée surtout si cela est discret et ne sortira jamais d'ici, laissez vous faire Marie », je me dis que mon stratagème n'a pas marché mais qu'il a couru.

Il continue à lui caresser un sein puis les deux, il poursuit en disant qu'il ne sait pas lequel des trois a le plus de plaisir en cet instant, « regardez votre mari, il sait que je ne suis pas une menace, mais celui qui va vous propulser dans ses bras, regardez, un jaloux m'aurait déjà éjecté, lui, il savoure, il vous savoure, il vous aime, alors vous voir prendre du plaisir le comble de joie et l'excite », Marie sait déjà tout cela.

Lui, il m'en persuade au cas où je ne serais pas encore certain, Marie se laisse faire en prenant le plaisir qu'elle reçoit de lui et aussi celui de me voir la regarder en prendre, il défait sa robe par les épaules dégageant ses seins et dit, « montrons lui d'autres mains que les siennes découvrir vos merveilles », je bande tellement que j'ai envie de lui sauter dessus.

Marie me regarde pour savoir si elle continue ou arrête, je lui fais le signe que c'est elle qui décide et fixe la limite, il tripote ses seins, les pinces, Marie gémit en se mettant en arrière contre lui, lui indiquant qu'elle se donne a lui, il me regarde toujours, je sais qu'il a tout compris, il sait qu'il peut tout se permettre maintenant, il dira plus tard qu'à ce moment là, il deviendrait coutumier chez nous ou alors avec un petit risque d'être indésirable.

il prit donc le risque, après avoir trituré ses seins tout en commentant ce qui se passe, il dit à Marie de se mettre debout, Marie ne se pose plus aucune question, le plaisir l'a pris, elle obéit a celui qui lui donne ce plaisir qu'elle ressent, si je lui demandais d'arrêter, elle ne m'obéirait difficilement, elle est debout, il tombe la robe à ses pieds, il lui baisse son string, il ne me regarde même plus, que de temps à autre, il lui fait lever la jambe pour retirer la robe et le string, elle est nue devant nous.

il ne reste que ses bas et PJ, je bande a mort, il lui dit d'écarter les jambes, et quand il met sa main sur son sexe trempé, elle a un énorme gémissement, il ne bouge pas sa main, c'est elle qui comme sur la barre, se frotte dessus, elle me regarde et elle voit que j'adore cela, elle ne se retient plus, elle se comporte comme une salope avide de sexe, il me regarde pour me jauger, se doutant de ce que je ressens, il finit par mettre ses doigts à l'intérieur et les fait venir de plus en plus vite.

Il lui demande de se pencher sur la petite table, elle s'exécute en me regardant pour savoir s'il elle peut continuer, lui, il commente à nouveau, afin de savoir si je suis toujours d'accord sur ce qu'il va faire, me laissant le temps de refuser si c'était le cas, il dit et fait en même temps, je vais m'occuper de son petit œillet qui demande aussi la caresse, il tourne son doigt autour, avec son autre main et dit, "n'est ce pas Marie que vous voulez que je vous l'enfonce" , en me regardant, Marie dit "oui".

Il répète, « dites a votre mari ce que vous désirez, dites le lui, il veut vous l'entendre dire », elle me regarde en me suppliant pour qu'il continue, puis elle dit, « oui je veux qu'il m'encu ....... haaaa oui », il ne lui a pas laissé le temps de finir sa phrase qu'il la pénètre avec son doigt, il s'active dans sa chatte aussi , puis Marie qui me regardait, ferme les yeux et elle jouit en le criant, pour le faire savoir à tout le monde.
La situation l'a tellement excitée, "je jouis, je jouis, je jouis » crie-t-elle, "c'est bon ho oui encore, ha, ha, han, han, je veux qu'on me baise, je veux être baisée", là, il me regarde et me dit, "maintenant, c'est à vous de jouer", je lui dis, "à vous l'honneur" et là, il répond," hélas, je vous l'avais bien dit que je n'étais pas un conçurent", je ne comprends qu'à moitié.

Je prends sa place sur le canapé et me l'assois pour qu'elle s'empale directement, je rentre comme dans du beurre, lui, il a pris place devant elle, de l'autre côté de la petite table et la regarde jouir en lui tripotant les seins, me disant, "vous voyez Henri, là, je suis le plus heureux des hommes, je n'échangerais cet instant pour rien au monde", l'excitation de Marie se communiquait à moi, je ne pus me retenir de jouir à mon tour en augmentant la cadence, car je savais être foutu ; une fois dessoudé, Marie se retourna et me remercia de ces instants en me dévorant la bouche et la langue.

J'avais mal au sexe d'avoir bandé aussi longtemps sans me toucher, Marie a été se doucher et moi me rincer au lavabo, elle me demande si cela m'a plu, je dis oui, je suis revenu avant elle, nous avons discuté, il me demande s'il reste chez nous ou s'il doit partir, je lui dis que rien n’a changé pour nous, que vous n'avez plus à vous cacher lorsque nous serons que tous les trois ; content, il répond, c'est d'accord et à savoir aussi qu'en public, je saurai me tenir, cela va de soi.

Il me dit qu'il l'avait un peu compris à Noël que j'étais comme cela, aucun homme avec une femme aussi belle ne laisse un autre danser avec elle dans le noir, à ma question, de pourquoi, il n'a pas voulu la baiser, il m'a demandé de pouvoir garder cela secret, disant seulement que cela n'était plus possible hélas, on l'apprit avec Marie à sa mort (cancer prostate).

À mon tour, je lui dis, on se met d'accord, voilà mes exigences, des cadeaux à Marie, ok, mais aucun à moi, sauf éventuellement à mon anniversaire ou Noël, mais ce n'est pas obligatoire, pas de favoritisme dans le travail, on est plus compétitif, ok, on est BCP trop cher, vous prenez ailleurs ou négociez sans vous occuper des conséquences pour moi, si on est au même tarif, bon là, je veux bien avoir le privilège.

"Ensuite, vous êtes seul avec elle, si elle veut, vous faites, si elle ne veut pas vous ne la forcez pas", il dit que cela tombe sous le sens et qu'il ne voyait pas cela autrement, je dis, "de toute manière quoi qu'il en soit, c'est Marie qui prime", il dit, "je suis entièrement d'accord avec vous, c'est notre reine, la rendre heureuse est ma joie".

Marie arrive à ce moment-là en négligé de soie, sans être de la ouate, elle plie sa nouvelle robe et revient, elle est super sexy, il est le premier qui la voit ainsi, nous sommes assis, on lui laisse la place au milieu, mais elle dit qu'on reste ainsi et s'allonge en travers sur nous, la tête sur moi et les jambes sur lui, sans lui avoir demandé, il lui caresse les jambes en disant, si vous ne voulez pas, vous le dites.

Elle répond, « je l'aurais demandé, dites-lui quel mari formidable il est », il répond, "formidable, je ne sais pas, sûrement oui, mais amoureux, sans aucun doute, je vous aime Marie, je vous adore, mais je suis battu", Marie m'embrasse les mains, je la caresse, puis je dis," si on allait se coucher", je prend ma douche, lui, il fait de même ensuite, en passant devant notre porte qu'on ne ferme jamais.

En pyjama, il nous dit bonsoir, je lui demande s'il ne veut pas venir discuter encore un peu, si vous insistez dit-il, Marie lui laisse une place en se mettant au milieu, il dit à Marie, "je peux", elle lui dit, pas besoin de me demander, vous faites si vous avez envie, je dis "oui tout ce que vous avez envie, Marie aime les hommes entreprenants".

Cette invitation ne se refusait pas, embrassant Marie partout, elle colla sa tête sur moi en disant ce qu'il lui fait et ce qu'elle ressent, j'embrassais Marie, je bandais de la voir réagir aux caresses, elle continuait à commenter en parlant a voix basse, "le salaud, il me suce le clito, et il fait ça bien", sous le plaisir, Marie m'abandonne pour se consacrer à son maître de joie.

Continuant de raconter ce qu'on lui fait" oui, il bouffe ma chatte, son doigt, il me frôle le cul, ouiii, il me l'a enfoncé dans mon cul et j'adore ça", Marie perd complètement le contrôle d'elle-même, elle gémit en disant, "oui dis lui que je suis une putain, qu'il me traite comme une salope, je suis votre pute à tous les deux, je suis, je, je, haaaaaa ouiiiiii".

Marie jouit comme une hystérique, elle l'étouffait en lui pressant la tête contre sa chatte, j'entendais cela à sa respiration qu'il devait reprendre, elle continuait à frotter sa chatte contre sa bouche jusqu'à ce qu'elle me dise de la baiser, se tournant vers moi, je la baise jusqu'à son orgasme, puis ensuite, je la sodomise en étant sur le côté, je dis à mon complice, je l'encule, elle a un orifice devant à boucher.

Il se met en place, il a sa tête sur ses seins qu'il embrasse et suce pendant qu'il lui doigte le clito, je commençais à peiner, je l'accélère en lui disant les mots qu'elle aime, "je vais te remplir le cul salope, montre lui la morue jouisseuse que tu es", le cul bourré, le clito agacé, les mots qui l'excitent, le contexte à trois, Marie s'envole à nouveau pendant que je la remplis en le lui faisant savoir.

Vidés, épuisés, on se remet droit dans le lit, il nous laisse ensuite, le matin, on se lève de bonne heure et nous partons travailler comme si de rien était, Marie est partie après nous, on est arrivé au boulot à quelques minutes d'intervalles, on s'est serré la main comme si on ne s'était pas vu avant, on a parlé boulot toute la matinée, le premier projet qu'il avait donné était presque fini, j'ai fait mon rôle de professionnel, sans mensonge, le deuxième projet n'était pas encore assez avancé, mon chef était content de notre dialogue, client content, client revenant.

Il dit sans me consulter, devant mon chef, "c'est dommage que je n'y aie pas pensé avant, sinon je vous aurais demandé un rendez-vous pour cet après-midi, un autre projet chez un client et ami que j'aurais aimé vous présenter", mon chef, aussitôt, me dit, "tu n'as rien d'urgent, tu peux aller voir avec Mr...., ca lui évitera du trajet inutile", le client disant, « si cela est possible, c'est parfait, et pour le dérangement, je vous invite ce soir avec votre charmante épouse, si vous n'avez rien de prévu bien sûr, comme cela on parlera de ce que nous avions déjà abordé la première fois ensemble », mon chef me fait signe en douce derrière son dos "oui oui oui".

Je dis, finalement oui, et regardant mon chef, je dis « qu'en pensez-vous », il me dit, « allez y, je m'occupe de ce qui est en cours », le client dit, « finissons alors et puis nous irons déjeuner », à 11 heures 30, je vais voir mon chef, qui me dit "merde", ça porte chance ; près des voitures, il me dit, "on va faire un deal ensemble, vous m'en avez proposé un plus que raisonnable avec Marie, je vous en propose un professionnel, qualité travail, même sans Marie, vous auriez eu la suite, alors je vous propose le projet et vous faites le prix raisonnable, sans vous voler, sans me voler", je lui dis que ce ne sera pas facile d'être juge et partie, je vais réfléchir a cela.

On arrive au boulot de Marie, lui fait des appels de phares, je lui dis qu'on passe la journée ensemble, elle sourit joyeusement, je lui dis qu'elle laisse sa voiture là, que je l'emmènerai lundi, son sourire devient forcé et je me fais des idées noires pendant quelques secondes, je n'ai pas réfléchi sur le coup, mais demain Marie a cours de danse, c'est pour ça qu'elle est contrariée de laisser sa voiture et non pour un amant comme je me mets toujours à croire, je me rattrape en disant, « ha, mais non, lundi, je vais à l'opposé, zut, tant pis, il faut que tu prennes ta voiture ».

J'avais mon après-midi avec Marie, je n'ai pas dit au client que si j'avais voulu le prendre, je n'avais même pas besoin de le demander, mais il a voulu me faire plaisir, il savait que Marie ne travaillait pas, il aurait pu ne rien dire et passer l'après-midi seul avec elle, mais cela, c'est moi qui lui offre, je dis que j'ai un client à voir, que j'avais oublié, je n'en ai pour pas longtemps, afin de faire passer la pilule, je dis à Marie d'aller s'acheter des chaussures qui vont avec la robe et en lui disant à lui, en sortant ma CB, elle paie avec ça et j'exigerai le reçu.

En fait, il m'a blousé, il a dit à la vendeuse, en allant voir des chaussons, la dame là, la paire de chaussures qu'elle va prendre, peu importe le prix, pour elle ca sera 200 francs, sans lui dire, je paierai la différence en payant ces chaussons, la chef ou patronne qui était là a jaugé la situation et a fait ok, il m'a blousé, mais Marie l'a blousé aussi, elle sait le prix qu'on peut mettre en chaussures, elle a prit trois paires qui lui plaisaient, mais de voir Marie contente de faire des affaires, ca lui faisait plaisir, à la maison, quand j'ai vu les chaussures que fièrement elle m'a montrées, j'ai de suite vu qu'il y avait un non sens dans le prix.

Marie m'a juré qu'elle a bien payé ce prix, pendant qu'ils avaient fait les boutiques, j'avais été chez les Chinois, pour acheter du matériel bon marché et performant, un lecteur télécommandé, j'enregistre plusieurs messages, et avec la télécommande, j'appuie sur l'un d'eux et ça se met en route, genre "hé les deux là-bas aux barres, tout le monde vous regarde, allez faire vos saloperies ailleurs" ou "bravo Marie, j'en ai assez vu, on en parlera à la maison" ou "hé les mecs, venez voir, il se tape encore une pute le prof de danse", ce genre de message, ça casse une ambiance, s'il découvre le lecteur, ils se demanderont qui est-ce qui a pu le déposer là, sans qu'ils le voient, alors que si je rouspète de ma cachette, je suis découvert, j'avoue aussi que s'il découvre le lecteur et que Marie se relaisse faire, je serai fixé.

Je passe l'épisode chaussures, j'avais rangé mon matériel dans mon bureau, Marie adore faire le mannequin, essayer des robes, qu'il y a longtemps qu'elle n'a pas mis, elle adore le regard des hommes sur elle, aussi pour passer le temps, elle en essaie quelques unes, allant dans une armoire, s'habiller et va lui montrer, l'aguichant quelque fois, avec lui, elle a un public ravi, j'aime des fois moi aussi, mais j'y suis habitué, mais lui qui découvre visuellement et aussi en touchant le tissu et ce qui est contre, finalement, il lui dit ce qu'elle doit mettre.

Un tailleur pour changer, un qu'elle lui a montré, dans le taxi, Marie dit qu'elle se met au milieu pour voir la route, en fait, elle se met là pour qu'il la tripote, on a pris un resto moyen, et c'est moi qui payait, il n'a pas voulu mais j'ai dit que c'est sur le compte de la boite et que Marie sera rémunérée en repas d'affaires, « ha d'accord », dit-il étonné, je dis « non, vous êtes le seul qui a des privilèges, les autres, c'est de faire du charme et de sourire ».

Il dit, « je les comprends, la première fois chez vous, vous m'auriez fait faire un chèque pour acompte de l'achat de la tour Eiffel », Marie détend l'atmosphère et doit aussi faire tendre les pantalons au niveau de la ceinture, juste en dessous, au resto, il sait se tenir, rester à sa place, dans le taxi, il tripote en douce, sur le retour, Marie a dit, on se fait une toile, je lui dis, " pourquoi pas".

On dit au taxi d'aller à Montparnasse, on regarde les affiches, rien ne lui plaît, on va aux Gobelins, on descend de voiture, il a payé les places, et quelques friandises, Marie a été tripotée par nous deux, le film était moyen, l'occupation pendant le film était au goût de notre hôte, nous avons repris un taxi pour rentrer, prit un petit digestif pendant que Marie se douchait puis est venue sur nous deux comme la veille.

Marie était dans un déshabillé qui ne cachait pas grand chose, il embrassait Marie sur toute sa peau, ses pieds, ses jambes, ses cuisses, et fatalement, au bout de 10 mn, elle commence à ressentir les effets des caresses, pour le plus grand plaisir du "caresseur" ; avec mon accord, elle sait qu'avec l'effleureur et lui maintenant, elle a tout pouvoir pour ses envies, je lui ai dit, « eux, c'est comme moi sauf ça (embrasser sur la bouche) ».

Elle se lève et se met à genoux sur le canapé, un genou entre les siens et il la doigte, je dis que je vais me doucher, eux, ils continuent, seul, il est plus vaillant avec elle, peur de me contrarier, elle, peur que si elle se lâche trop, que je sois mécontent, ils n'ont pas encore la vraie certitude de ma complicité, et moi-même, la présence d'un autre me bloque un peu, j'ai eu raison, une fois la douche finie, j'ai ouvert la porte et ai entendu Marie couiner et jouir.

Je suis revenu peu après, j'ai dit, je vous remplace, il a été à la douche et je l'ai baisée, elle était déjà toute trempée, lui demandant si elle a aimé et elle me racontait, il a dû faire pareil, il n'est arrivé que quand nous avons joui, elle est retournée à la douche, pendant qu'on a été se coucher chacun dans sa chambre, quand elle revient, elle me demande si elle pourra aller se faire câliner par lui, le temps que je recharge, une idée me vient, je lui dis, « attends, je vais tâter le terrain, comme j'ai un truc sur le boulot, je vais lui demander indirectement ».

Je vais au bureau et prends mon émetteur micro et oreillette, je vais voir le client et dit tout fort en parlant boulot, je m'approche de lui en me tenant à la tête de lit et lui demande tout bas, « est-ce que Marie peut venir dans votre lit 30 mn ou 1 heure », il dit, « cela ne se demande pas, mais je suis nu », je dis « justement, c'est ce qu'elle aimerait », une fois mon micro collé, rien ne me retient et je lui dis qu'elle va arriver.

Elle lui demande de la prendre dans ses bras, qu'il peut tout lui faire sauf l'embrasser sur la bouche, réservée à mon chéri, il l'a caressé, embrassé tout son corps, en la complimentant, tu es très belle, très désirable, une peau douce, puis les caresses se faisant ressentir, elle commence à gémir demandant de continuer.

Il continue, son but, lui donner le plus de plaisir, nous sommes en phase là dessus, il s'active, puis je crois qu'il descend la sucer, excitée, elle lui dit, « oui enculez moi avec votre doigt, comme ça oui haaaa oui encore », il lui suçait la chatte, jamais je n'ai entendu Marie comme ça, demander cela de cette façon, aussi directe.

Il arrête de la sucer, et dit, « c'est vrai, je peux tout te faire, mets-toi à genou, en levrette », elle s'exécute apparemment, il dit, « voyons voir si deux doigts rentrent, mais oui, ça rentre bien et trois, mais oui, il doit souvent t'enculer petite cochonne », gémissant, elle dit « oui, mais qu'il ne faut pas en parler ».

Je comprends pourquoi, c'est le plug qui lui agrandit l'anus, mais elle ne peut pas lui dire, comme elle ne peut pas le laisser m'en parler, gémissant toujours, lui, il devine ce que Marie attend, j'entends juste ce qu'il faut, il ne parle pas fort, de derrière la porte, je n'aurais rien entendu.

Le jour, elle l'emmène par le bout du nez, mais là maintenant, il est le maître, c'est comme cela que Lucien l'a eu, excitée, elle devient soumise, il lui dit, "tu aimes ça te faire défoncer le cul, petite cochonne", elle dit, " oui continue, parle-moi comme ça, traite moi de tout", il n'y a plus de vouvoiement, ils se tutoient, il lui dit, "regardez-moi ce trou de salope, tout rentrerait la dedans, un garage à bite ça".

« Hein salope », "ha oui encore tes doigts dans mon cul, ha oui mon clito aussi comme ça, oui oui oui haaaa oui, je viens haaaaaa, ha ha ha encoreeeee", lui, il continuait à la traiter, puis elle explose en se mordant la main, je ne suis pas jaloux de leur complicité, Marie ne cherche qu'à me ménager, elle a compris ce que je voulais dire au niveau du jardin secret, maintenant, je crois qu'il l'embrasse partout.

Une fois remis, ils se mettent à discuter, c'est le moment que je préfère, elle lui demande comment il a osé la tripoter, il dit, quand il mettait sa main sur la sienne, tenait son bras ou lui prenait le genou, qu'elle frémissait un peu, dans le taxi, il y a été doucement et qu'elle ne disait rien, ensuite, il dit qu'une femme qui donne ne serait-ce qu'un tout petit peu, donnera de plus en plus.

Il raconte ce que je sais déjà, ce qu'il ne savait pas quand elle s'est assise sur ses genoux, c'est où moi, j'étais prêt a aller, voyant que je bandais et souriais, il a joué le tout pour le tout, Marie dit, " serrez-moi fort dans vos bras", il dit, "à vos ordres, mais pour en revenir a tout à l'heure, je peux vraiment tout faire", Marie répond, "absolument tout", il rajoute même .........., Marie l'interrompt en disant "inutile d'énoncer, c'est tout sauf de m'embrasser sur la bouche et de me saigner", il dit, " ca jamais, si je peux tout faire ca sera pour vous faire hurler mais que de plaisir".

Il demande si elle va me le dire ce qui vient de se passer, elle répond, " il m'a dit d'avoir un jardin secret avec vous si je voulais, je dirais juste que vous m'avez sucée et que j'ai joui", il dit, " dommage que vous ne pouvez pas crier, j'aime entendre une femme crier et l'insulter", il demande si elle reviendra le voir demain soir, elle dit "oui", bien dit-il, "je vous ferais des choses vicieuses comme je peux tout vous faire", elle fait, " hummmm".

Elle se lève et dit, " je vais retrouver mon chéri", il dit, "il vous aime", elle répond, "c'est l'homme de ma vie", la porte s'ouvre, je vire mes oreillettes, elle arrive et me demande si elle se lave ou vient déjà humide, je lui dis viens, je demande, raconte, elle me dit qu'il l'a caressée, doigtée et sucée, ce qui est vrai aussi, je l'ai embrassé, baisé et sodomisé en disant que son cul était de plus en plus accueillant à force que je m'en occupais plus.

Le matin petit déj avec croissant, Marie repasse, fait les lits, même le sien, il est gêné, mais je lui dis que c'est pour tout le monde qui vient chez nous, je lui dis que je vais faire un billard l'après-midi, car j'avais promis, elle lui a surement donné une excuse pour qu'il reste seul et ne pas me le dire, en tout cas, elle est sortie seule sans lui, car j'ai attendu pour voir, il est sorti cinq minutes après, mais dans une autre direction et il a pris le métro, Marie a été à la danse, j'ai passe 1 heure à la maison pour vider et ranger le placard du couloir afin que je puisse m'y cacher.

Ensuite, je suis retourné à la salle de danse, l'ai regardé un peu puis quand tous sont sortis, j'ai été voir où je pouvais installer mon lecteur, et j'ai fait un essai de télécommande, sauf que je me suis enregistré en toussant, j'ai mis le lecteur à un bout de la pièce et à l'opposé, je l'ai testé, ça fonctionne à 30 mètres ou plus, ça fonctionnera à moins de 20 mètres, il y a une armoire à pharmacie derrière la porte, on n'y fait pas attention quand on ouvre, mais au-dessus, c'est parfait, juste à poser et pas visible, je repars aussitôt après un autre essai.

Je rentre ensuite, Marie était déjà là et douchée, notre hôte est arrivé une heure plus tard, Annie nous appelle, elle est seule, je lui dis de venir, nos projets sont perturbés, mais Annie, c'est Annie, quand il arrive, on lui dit qu'on a une amie qui vient, il dit, "pas de soucis, vous voulez que je vous laisse", je dis, " pas question, on ne change rien à notre soirée", je rappelle Annie en lui demandant de mettre une robe de soirée à faire traîner les langues par terre, qu'on sort au resto.

Quand Annie arrive à la maison, notre hôte, un peu déçu de ne pas être que nous trois, change d'avis, me demandant comment je fais pour m'entourer de créatures de rêve, Marie aussi est habillée, les deux femmes sont sublimes comme il dit (elle ne veut pas que j'en rajoute), notre hôte nous appelle un taxi, je lui dis que je monte derrière, lui justifiant en douce que je suis le mari, et vis à vis d'Annie, qu'il ne se permette pas de gestes déplacés avec elle, disant que ce n'est pas Marie, il dit qu'il le comprend parfaitement.

Dans le taxi, je suis au milieu et mes mains ne sont pas inactives, Annie en est la plus bénéficiaire, rareté oblige, je remonte ma main le plus haut possible, mais avant le string, elle serre les cuisses, je redescends ma main, et elle les desserre, je caresse sa peau si douce, notre hôte est très galant, comme la dernière fois, Marie est le centre d'intérêt, qu'elle partage avec Annie cette fois-ci, nous avons le même serveur qui se rince l'œil quel que soit le coté qu'il est.

J'avais demandé à Annie de mettre une robe "chaude" ; assise, Marie a une cuisse complètement dénudée, Annie a les deux, je vois des clients attablés qui regardent le plafond, la déco et au passage, l'une des femmes, notre hôte savoure et le fait savoir, « dîner avec une femme merveilleuse est un véritable plaisir, mais avec deux, serais-je déjà au paradis », ce soir-là, on a eu un pouilly bouchonné, il le signale au serveur qui appelle le sommelier, il ne discute pas et va pour changer la bouteille, Annie lui dit, « nous préférons que vous le goûtiez pour avoir un avis », le maître d'hôtel arrive et il lui dit la requête, il prend un verre a coté et nous donne raison.

La nouvelle bouteille n'a pas été comptée, le maître d'hôtel se confondait en excuses, Annie lui a dit, qu'elle n'aime pas passer pour une emmerdeuse, ce que s'est défendu le maître d'hôtel, mais elle lui a dit qu'il devait sûrement y en avoir, galant, il a dit que si les emmerdeuses étaient comme vous mesdames, on refuserait celles qui n'y sont pas, il est reparti en disant que s'il y avait quoi que se soit, qu'on n'hésite pas, notre hôte me regarde et me dit, tu vois Henri, la magie d'être avec des beautés.

Leur robe a été taillée pour des mannequins faisant du B en taille de seins, Annie et Marie font entres C et D, leurs poitrines ressortent plus que ce que la robe a prévue, nous sommes entre les deux femmes et face à face, comme à ma demande, Annie a mise une robe plus hot, en se penchant un peu, notre hôte se rince l'œil plus fréquemment et à un moment Annie ne peut pas faire autrement que de le surprendre, il s'en aperçoit et s'excuse, Annie lui dit, « tant que c'est avec les yeux », devant sa gène, je le défends en disant, ne faites pas attention, si vous agissiez autrement, elle aurait été vexée et moi, je me poserais des questions en refermant mon col de chemise.

Connaissant notre humour, il est rassuré, il dit qu'il préfère ces charmantes dames toute habillées que moi tout nu, Annie savait que c'était un client puisque je lui avais dit en arrivant, mais elle ne savait pas la vraie nature de nos relations, sans lui dire, je l'informe quand même que nous sommes devenus amis, Annie dit, « ha d'accord, bon rincez vous l'œil alors, je ferais celle qui ne voit rien », il répond en disant qu'il va quand même essayer de rester un gentleman.

Annie demande à Marie si elle n'a pas le nez à se repoudrer (en clair uriner) elle dit oui et elles se lèvent, Annie me regarde et me dit, on défile, je souris un oui et les femmes rejoignent les toilettes que Marie connaît déjà, elles marchent comme au ralenti et au pas, côte a côte, en se déhanchant que très légèrement pour être classe sans être vulgaire, le spectacle est dans la salle, notre hôte regarde et jubile en disant, quand je pense qu'elles sont à notre table, en moi-même, je me dis, quand je pense que je jouis avec elles, car même si je ne baise pas Annie, j'ai droit à 90 % de son corps.

Pendant ce temps, les serveurs arrêtent de servir, les clients mâles se font un torticolis ou ont les yeux foudroyants de celles qui les accompagnent, des hommes les saluent et elles répondent, mon hôte me demande, vous en avez d'autres comme cela, je réponds non hélas, il dit un corps de rêve, la tête qui va avec et bien remplie et en plus avec de l'humour, il me demande comment est son mari, je lui dis comme moi physiquement avec 20 kg de muscle en plus.

Lui disant aussi que s'il met sa main dans son soutien-gorge en présence de son mari, il n'aura qu'une gifle d'elle, mais s'il veut lui rendre la gifle, il se retrouvera baigné dans du plâtre pour que ses os se ressoudent, il me dit, une main sur son sein et juste une gifle, c'est tentant, il continue en disant qu'il préfère jouir de sa présence plutôt que de son courroux.

Les femmes reviennent en faisant le même effet, Marie a vraiment appris à se tenir, à marcher, à être sensuelle, avant elle était timide, cachait sa féminité, maintenant elle s'affirme, elle sait son charme, avant de s'asseoir, elles viennent autour de moi pour m'embrasser sur la bouche pour Marie et Annie fait presque semblant, car si nous ne mélangeons pas nos langues, je sens ses lèvres brûlantes.

Quand des clients partent, les hommes matent "mes femmes" en me jetant un coup d'œil vite fait, leurs femmes me sourient et je leur réponds en souriant aussi en disant bonne soirée, mais je n'échangerais aucune d'elles contre Marie ou Annie, même si certaines se laissent regarder.

Au moment de l'addition, Annie veut payer, moi, je veux payer, notre hôte veut payer, il a le dernier mot, disant que ce serait lui faire affront qu'on paie, Annie peut se faire rembourser, moi aussi, lui, c'est lui le patron, une fois fait, il nous demande, si on aimerait aller danser, il nous emmène dans un endroit sélect que je ne connaissais pas, je danse avec Annie et lui avec Marie, il effleure discrètement Marie, on échange de partenaire puis on reprend les mêmes à la danse suivante.

Annie que j'effleure de façon plus nette me dit, « il a les mains baladeuses ton client », je lui demande s'il l'a touché, elle me dit « moi non hélas, mais ta femme, il ne se gêne pas, je ne le vois pas faire, mais je le devine à la tête de Marie, il est très sympa, va lui dire qu'il peut se permettre quelques gestes déplacés discrets, dis-le-lui de façon qu'il sache que cela ne vienne pas de moi », je lui réponds ok, que je vais lui dire qu'il te frôle et que tu lui feras comprendre la limite, elle me dit, « ne dis pas que c'est moi qui le demande surtout ».

Je dis au client qu'il peut de façon plus discrète se permettre quelques attouchements paraissant involontaires, que si personne ne le remarque, il ne risquera pas de gifle, qu'elle donnera juste la limite, il me re demande, je dis oui, les femmes aiment être caressées mais ne veulent jamais l'admettre, alors l'être sans le laisser croire, ça les arrangent, on alterne nos partenaires, elles refusent les autres, en dansant, Marie me demande si ce soir, elle peut aller le rejoindre même s'il est tard, je lui dis oui, en disant aimer qu'elle me le demande, que ça m'excite.

Avec Marie, je suis collé à elle et on s'embrasse, notre hôte non, il danse moins collé que moi avec Annie, avec un petit vide entre eux, ce soir-là, elle aurait voulu que le client soit plus entreprenant, mais il n'a pas osé, on s'est approché du bar et avons pris un demi et les femmes un Gini, nous sommes partis ensuite, car elles n'arrêtaient pas d'être sollicitées pour une danse par des types n'étant pas toujours content de leur refus, le mari d'Annie manque, ainsi que l'effleureur, mais lui ne serait pas venu dans cet endroit, il a été overdosé des boites disait-il.

On a laissé Annie à sa voiture, 1/2 heure après elle donnait une sonnerie de téléphone indiquant qu'elle était bien rentrée, pendant que Marie prenait sa douche la première, il me disait sa joie de cette soirée, disant que si cela se renouvelle, même qu'un dîner, il fait le voyage en laissant tout en plan, quant au resto, il me voyait avec les deux femmes tenues par les hanches pendant qu'elles m'embrassaient, il pensait le veinard, les types devaient vous maudire, je dis, c'est le but, je me venge et leur fais mal où eux ou leurs pareils m'appuyaient aussi, je comprends, dit-il.

Je prends ma douche avant lui, pour être là quand ils se retrouveront, en sortant, ils sont sur le canapé, Marie sur ses genoux en train de se faire tripoter, il retire ses mains par réflexe, je lui dis, " continuez", il fait signe de la tête qu'il a eu un réflexe idiot, puis part à la douche, je lui serre la main en disant que je serais déjà couché, je dis à Marie que j'ai oublié de lui dire que demain matin, j'ai un billard avec coucou et 2 autres que je ne vois jamais.

Marie me dit, "je vais rester avec lui alors" je réponds, « tu vas pouvoir patienter avec », Marie voit là le moyen d'être avec lui pendant 2 heures et demi, elle me sourit en me remerciant et je lui dis de l'attendre dans son lit, je l'accompagne pour l'embrasser et en profiter un peu, en fait, je refixe le micro retiré le matin afin qu'en faisant le lit, elle ne le fasse pas tomber ou se demande ce que c'est.

Ceci fait, je la laisse en lui souhaitant de passer un bon moment et lui montre mon sexe dressé afin de lui faire savoir que la situation m'excite, lui enlevant quelques restants de craintes qu'elle puisse avoir, je l'entends passer dans le couloir, il dit, bonsoir les tourtereaux à travers la porte fermée, je réponds, il éteint le couloir, car il voit un chevet allumé de sa chambre allumée, moi, je suis prêt.

Voyant Marie, il dit, "l'agréable surprise", elle lui dit, "voilà, je suis entièrement à ta disposition", c'est vrai ça dit-il, voyons voir, tends-moi ton cul salope, voilà comme ça, elle est à qui cette belle rondelle, Marie dit, "à toi" et il la suce, Marie dit, oui vas y, je suis ta putain, sois vicieux.

À ses gémissements, je pense qu'il lui doigte le clito aussi, il dit, « ferme les yeux et devine ce que j'ai pour toi », Marie fait « ho ouiii, ho doucement, là, oui, là vas y appuie , ha voilà, c'est passé, oui, c'est bon », « allez l'autre coté, tourne-toi salope », je devine qu'il lui a mis un plug, j'entend ensuite, "en voilà un et puis l'autre, je commence doucement", Marie gémit, et dit, « oui suce mon clito ».

Il répond « après salope, tu aimes être prise dans le cul », « oui » dit elle, « tiens un peu plus de sauce », Marie gémit de plus belle, disant, oui, il vibre bien, il augmente à nouveau puis il dit, mets tes pieds par terre, voilà, tiens prends ça, et gode toi, j'en déduit qu'elle a un plug dans le cul, des boules vibrantes et la vibration entendue est celle d'un gode, il lui dit, « tu aimes ça qu'on te regarde te goder », elle répond « oui, j'adore, regarde comme je mouille, non pas tes doigts, haaa oui tes doigts, non moins fort les boules, non, non, haaaaaaaaaaa je jouis, je jouis, oui, suce moi haaaa, oui oui oui oui, haaa c'est bon ».

Il dit, « joui sale pute, tu aimes ça salope, tu mériterais d'être fouettée », elle répond qu'elle le mérite, il retire les boules, caresse Marie, elle doit essayer de lui attraper le sexe, car il dit, « hélas, mes mains et ma bouche seront les seules choses qui te donneront du plaisir », elle insiste en disant, « ça ne fait rien, je veux toucher », elle insiste, il bande, mais très mou, elle dit, tant pis, et elle le suce.

Il dit de faire attention, car il peut quand même jouir, elle bouge et je pense qu'elle se met en 69, elle lui dit, tu fais dans ma bouche, mais je n'avale pas, après du silence rompu par des bruits de succion, j'entends, oui Marie, oui, vas-y, oui attention, là, haa, tu es bonne haaa, elle s'active et il jouis, je l'entends ensuite recracher dans une serviette et elle le nettoie pendant qu'il la refait jouir à nouveau.

Ils se déplacent dans le lit, ils se tiennent dans les bras, il lui dit qu'elle peut retirer le plug si elle veut, elle dit non, il dit dommage que je n'ai pas droit à tes lèvres, elle dit « non, ça, c'est pour lui, mais tu as droit à tout le reste sans exception », il demande, « tu as dit de mériter d'être fouettée, tu aimerais », je n'entends rien, mais je me doute de l'air approuvant qu'elle doit faire, il dit, « tu aimes un peu, un peu plus, plus, beaucoup plus, jusqu'aux marques ?» s'étonne-t-il, elle dit :

« Oui, mais qui disparaissent dans l'heure », « on va s'amuser alors, j'ai connu une femme aimant cela et je l'ai comblée, si je te demande de rester avec le plug que tu as quand on sort sans risque qu'il te mette la main, tu le garderais », elle dit, « uniquement si tu me le mets », elle expose ensuite la matinée de demain où je vais faire un billard et qu'il reste avec elle, il lui dit que ça l'embête de ne rien me dire, mais elle lui dit que c'est ce que je souhaite.

Marie me rejoint ensuite après être passée à la salle de bains, je lui fais l'amour et elle apprécie, Marie est comme un homme, elle ne peut pas mimer, quand elle n'apprécie pas, elle ne mouille pas, là, elle est inondée, je lui donne trois orgasmes et je jouis dans son cul, Marie me dit que depuis qu'elle est tripotée par le client, que je suis plus excité et elle rajoute qu'elle aussi, je dis, c'est pour ça que je te laisse profiter de ses caresses, nous nous endormons enlacés, le matin, petit déj et croissant, ensuite pendant qu'il était à la douche, Marie faisait notre lit et une fois que c'est presque fini, je lui dis que j'y vais.

J'avais déjà ouvert le placard pour gagner du temps et du bruit, je vais lui faire un bisou et lui dis à toute à l'heure, j'avais déjà enfilé mon manteau pour montrer que je sors, je claque la porte, et vais direct dans le placard qui sert de débarras et où elle ne va jamais, je mets une oreillette pour entendre de partout.

Je l'entends sortir de la salle de bains, tripoter Marie qui lui dit, « attends, je m'avance », pendant 20 minutes, je poireaute, il lui demande si elle préfère être traitée pendant ou même maintenant, elle répond, non uniquement quand je commence à être excitée, j'entends mal, car ils sont dans la cuisine, elle s'avance dans la préparation du repas, elle met en machine à laver, lui, il l'aide dans ce qu'il peut, une fois tout en ordre.

Elle demande, « je me mets comment, nue, habillée », il dit « bas et PJ string et soutif, c'est tout », elle va à la douche et revient comme il a demandé, il dit magnifique, il se frotte à elle quand elle vient mettre la clef dans la serrure, empêchant d'ouvrir de l'extérieur, il demande pourquoi elle ferme puisque je sais ce qui va se passer, elle répond qu'elle se sentirait mal d'être découverte.

« Le soir ça va, il est là, mais tout à l'heure, je ne sais pas, et puis, de faire sans qu'il sache en détail, c'est plus excitant même s'il sait, il ne sait pas tout ce que tu vas me faire », il demande pourquoi je ne lui donne pas ce genre de plaisir, elle dit que ce n'est pas mon truc et qu'on s'aiment de trop, que si je la fouettais, elle aurait l'impression que je l'aime moins et serait malheureuse.

Excité, il lui claque une main à la fesse disant « ho pardon », elle dit, « non, c'est bon maintenant, je suis à toi », il re claque et elle court dans sa chambre en riant, il la rattrape, il va pour fermer la porte, mais elle dit « non laisse pour entendre si on sonne », je sors de ma cachette, je débranche la sonnette, je n'ai pas envie qu'ils déboulent dans le couloir avant que j'aie le temps de me planquer, quelle honte si je me faisais prendre, je retire mes chaussures et m'approche, le son est plus net avec le mur du couloir en moins à traverser.

J'ai tout prévu pour le son, mais pas l'image, alors je pense au miroir dans le tiroir de la salle de bains pour se regarder derrière, je mets une minute à ouvrir la porte sans bruit et je ne la referme pas, le couloir est sombre, la chambre bien éclairée, j'ouvre aussi le bureau au cas où un repli serait nécessaire.

Le miroir est normal d'un coté et grossissant de l'autre, je le vois la doigter pour qu'elle mouille et lui enfoncer un plug de bonne taille, identique au plus gros que l'on a, Marie a passé à la taille supérieur, cela ne m'étonne pas, quand je la sodomise, je rentre sans difficulté, rassurée quand je lui dis que c'est moi à force de lui faire cela qu'elle s'élargit.

Une fois le plug mis, elle souffle quand il rentre et quand elle l'a accepté en elle, il lui demande si ça va, elle répond oui, quelques secondes après, il la met sur elle, string baissé mi-cuisse, la fessée commence, il tape de plus en plus fort, il arrête à un moment la force des coups, mais elle dit plus fort encore et lui dit quand cela lui convient, les fesses de Marie dégustent, il arrête, retire le string, lui met les boules, et en se levant, il dit attends, je vais chercher quelque chose que j'ai vu dans la salle de bains et la cuisine.

Aussitôt, je file dans le bureau, il revient de la salle de bains et de la cuisine avec du sparadrap et du scotch gris très solide, cela pour attacher la commande des boules derrière sa cuisse, ensuite, il lui attache les bras croisés dans le dos avec le scotch, Marie se laisse faire, je me dis qu'heureusement que je suis là, prêt à intervenir si c'était un malade, même si je l'ai jugé autrement.

Il met direct à fond la vibration, elle sursaute, il avait préparé un martinet, il fouette Marie qui donne le coup suivant, une autre partie de sa peau, il dit ça va comme ça, oui plus fort dit elle, elle se tord de plaisir par les boules, lui, il fouette pour qu'elle ne se mette pas dans la position où elle pourrait laisser l'orgasme arriver.

Il la fouette à nouveau, il lui demande de ne pas bouger, mais elle ne peut pas et il fouette, les coups la cinglent bien et elle finit par obéir, elle crie et se tord en se retenant puis il la bascule sur le lit et la suce, n'y tenant plus elle jouit en secouant son bassin, disant, « bouffe ma chatte, bouffe, là, oui comme ça, haaa », Marie est très vulgaire, bien plus qu'avec moi, elle me dit "oui suce moi, oui, c'est bon" alors que là, c'est « bouffe moi la chatte », je me dis que voilà ce que Lucien avait de plus que moi, il se relève, je me re planque au cas où et j'ai bien fait, il ramène un couteau, mais pour couper le sparadrap.

Il la laisse attachée, lui met le gode puis le string et lui attache les pieds écartés sur le pied de lit, il tourne le gode à fond, Marie se tord de plaisir, mais elle est limitée dans ses possibilités de mouvement, elle hurle, tente de serrer ses genoux, mais le martinet la frappe, ainsi que ses seins, son ventre, je ne vois pas en détail, le miroir n'est pas un bon écran, il la traite en même temps, elle dit, « mon clito, touche mon clito, touche le, touche le », il le fait et elle part dans un orgasme aussi violent que le premier, aussi violent que ceux que je lui donne, peut être même plus, je ne m'en rend pas compte.

Par contre, je vois bien que niveau plaisir, je ne satisfais pas Marie suivant son besoin, si j'étais riche, je dirais qu'elle est avec moi pour le fric, mais là ce n'est pas le cas, le loyer de l'appart me bouffe avec les charges de gaz et électricité, voiture, assurances et impôt locatif, les 3/4 de ma paie, elle a sa voiture et la nourriture comme dépenses et s'habiller, bien sûr, nous ne nous privons pas non plus, on se nourrit sainement, privilégiant les produits de qualités supérieurs à l'industriel, Marie a bien compris que ce genre de séance, ce n'est pas mon truc, elle me l'avait peut-être fait comprendre, je ne m'en rappelle plus.

Je me pose une question, qu'est-ce qui fait le plus mal, qu'on reste ensemble parce qu'on s'aime et le sexe n'est que secondaire, ou qu'elle resterait avec moi sans m'aimer parce que je serais une bête de sexe, de toute manière, cette deuxième solution, je peux la rayer de la liste, mon choix est restreint voir inexistant, je repense a ce qu'Annie m'avait dit, un amant nous fait jouir plus fort qu'un mari, mais juste les premiers temps, après il devient un routinier, je repense à l'exemple de l'amant coureur de 100 mètres et du mari marathonien.

Mais je me reprends encore une fois, Marie n'est pas responsable de ma nullité, le gode toujours en route, il la suce encore, je la vois à nouveau onduler, il l'embrasse partout sur les cuisses le corps, les seins, elle dit, j'en veux encore, fais moi jouir, il lui tend son sexe, il a l'air de bonne taille, mais il indique juste qu'il est 8 heures et non 11 heures ou midi, il lui met dans la bouche, Marie le pompe avidement, moi, je bande à nouveau.

Je suis content pour Marie qui prend du plaisir, elle se trémousse par la vibration du gode, il se positionne en 69, il me semble qu'il bande légèrement, mais peut être est-ce parce qu'il est sexe en bas, Marie ne peut pas branler son sexe, elle le maintient en bouche, elle se remet à crier, mais le sexe l'en empêche.

Annie me dit, qu'être attachée sans pouvoir se soulager augmente le degré d'excitation, on dépasse ainsi le seuil de tolérance, celui qui oblige à se toucher, là comme ce n'est pas possible, on dépasse ce seuil.

Marie lance des cris étouffés, puis longtemps après, elle jouit à nouveau en recrachant le sexe et criant son plaisir qui dure, car il suce encore jusqu'au bout, elle m'avait dit qu'il suce très bien, il défait le gode et la détache, je me prépare a partir, mais il lui dit, va-y finis moi, Marie le suce avec plaisir, comme elle me le fait des fois, pour un mari, c'est dur a voir, ce n'est pas ma bite que Marie aime, mais la bite.

Peu importe à qui elle est, quand elle est excitée, et veut sucer, la bite la plus proche est la bonne, lui, il la regarde faire en l'insultant, je vois qu'il a une infime érection, mais c'est insuffisant pour une pénétration, enfin, il jouit, elle lui met tout sur le ventre, c'est liquide le sperme coule, mais n'est pas éjecté, il me fait de la peine, je suis content de lui donner Marie.

Je comprends de mieux en mieux son terme, qu'il n'est pas un concurrent, après cela, il câline, j'entends mieux avec les oreillettes, je vais donc dans la salle, il discute sur quoi me dire, elle lui dit, je dirais que tu m'as caressé quand je prenais ma douche, que tu m'as savonnée et sucée, il dit bonne idée, viens, je vais te laver, ils vont à la salle de bains se laver ensemble, le téléphone sonne à ce moment-là, je me précipite dans le couloir, c'est Olga, je comprends qu'elle n'est plus avec son mec, Marie après avoir hésité, lui dit qu'elle peut venir.

Elle dit à notre hôte, de se dépêcher, elle sera là dans 1/2 heure, qu'il faut qu'il fasse sa valise, qu'il passera pour un invité à midi et non pour quelqu'un qui a couché là, il comprend et une fois douché, il fait sa valise qu'il va mettre dans son coffre, il viendra après 12 heures, Marie se dépêche de ranger et faire le lit, le déjeuner, d'effacer toute trace de quelqu'un chez nous, notre hôte part dix minutes avant qu'Olga puisse arriver, je reste, je rentrerai après Olga, et avant notre hôte, Olga n'a pas trainé, elle a mis 40 mn, le temps de s'habiller sûrement.

J'entends que son type est parti avec une autre, ou plutôt qu'elle avait des doutes sur sa fidélité, engueulade et bye, résultat, maintenant elle est seule, je regarde l'heure et quand je sens le moment venu, je sors de ma cachette avec mon manteau sur le dos, j'ouvre et referme la porte, retire mes chaussures que je n'avais pas attachées, Marie vient vers moi me faire chut, je dis salut Olga, Marie me dit de ne pas poser de questions et lui dit qu'on a du monde à midi et qu'elle reste manger aussi.

À midi, il arrive en disant qu'il a trouvé une place du premier coup, justifiant d'arriver a midi juste, il a un bouquet de fleurs à la main, afin d'éviter les mensonges qui à force deviennent grossiers, je dis que c'est un client avec qui on a sympathisé, le repas passé, aucun geste déplacé de notre hôte, qui en milieu d'après-midi nous quitte.

Le soir, je dis à Olga de rester dormir, Marie est contrariée, le soir au lit, je lui dis que c'est mon tour d'aller câliné, Marie ne dit rien, mais je la sens très contrariée, je rentre dans la chambre d'Olga, celle là même, qui était occupée ce matin, bien sûr sans le micro que j'avais retiré, elle chuchote, qu'est-ce que tu fais, je lui dis chut, il faut que je te parle, je me mets dans le lit et lui dis que Marie va mieux depuis la dernière fois, qu'on a bien fait ce qu'il fallait.

Je la caresse au sein, elle dit, " arrête", je dis, " laisse-moi juste ça et après je la rejoins", j'insiste et après plusieurs refus, elle me laisse faire, Olga est une bonne salope, elle ne demande que ça, je touche ses seins, je pince ses tétons et dis, attend par en dessous la chemise de nuit, ma main passe dessous et je frôle ses cuisses et son pubis, elle a un geste de recul, mais l'envie naît, elle fait non quand j'attrape ses seins, mais ne fait rien quand je redescend sur son ventre puis ses cuisses fermées.

Je reste à la caresser au même endroit et peu à peu, je sens qu'elle entrouvre ses cuisses, je n'en profite pas plus, mais à force, elle écarte bien plus et je lui touche le sexe qui est déjà bien humide, elle se laisse faire et me dit "si elle vient", je réponds qu'en ce moment, elle dort mal, et qu'elle a pris un somnifère, je l'ai baisée, enculée, elle m'a sucé pour finir, je l'ai fait hurler en sourdine, mais Marie l'a entendu quand même, au bout d'une heure, j'ai rejoint Marie où j'ai dit que hélas, je ne suis pas à répétition, qu'on verra demain matin, elle n'a pas insisté, le matin, j'avais repris des forces, Olga n'est pas restée le soir, Marie lui a surement dit ce qu'il faut pour qu'elle rentre.

Le lundi soir, j'ai eu un peu la tête, mais on a baisé quand même, le mardi aussi et le mercredi soir ça a failli, on s'est disputé un peu et après j'ai dit à Marie, "'Olga, c'est pour l'hygiène, comme elle avec le client, qu'un nouveau partenaire, fait jouir bien plus que celui qu'on connaît bien", je lui dis, "avec lui, il te donne bien des orgasmes plus forts que moi", elle ne répond pas et je lui repose la question en disant, "si tu ne réponds pas, c'est que j'ai raison".

Elle me dit, " ce n'est pas pareil", je dis, "réponds sans mentir, jouis-tu plus avec lui ou moins", elle ne répond pas et je lui dis, "si je lui dis de venir loger chez nous un mois et que tu le rejoignes tous les soirs, au bout d'une semaine, tu jouiras pareil qu'avec moi et au bout d'un mois, je ne suis pas sûr que tu auras 2 orgasmes de suite", "qu'est-ce que tu en sais" dit elle

Je lui dis, "Marie, je te connais, tu as beau avoir sûrement pris une douche dimanche, mais j'ai vu à ta tête que tu avais joui au moins deux fois, voire trois, si avec Lucien, à l'époque, je ne déchiffrais pas ton attitude, c'était parce que je pensais que tu étais fidèle, je te faisais confiance, maintenant, quand je vois ton visage identique à l'époque de Lucien, je sais pourquoi"

Je lui dis aussi, "dimanche quand je suis rentré dans le lit, si tu n'avais pas su, en me voyant tout mou, tu te serais douté que j'ai baisé, moi, c'est pareil, je connais ma femme, quand on baise, je sais si je suis le premier ou pas", elle me dit, "tu as dit que je pouvais avec lui", je lui réponds, "oui, et s'il revient, je te dirai de faire comme tu veux, mais que même si je rentrais du boulot et que tu ne me dises rien, je le saurais à ta tête et à ton comportement"

Je lui dis, "tu as joui avec lui plus violemment qu'avec moi, et j'en suis content parce que je le sais et l'ai autorisé", Marie me serre dans ses bras en me disant qu'elle m'aime, je n'ai pas voulu lui faire l'amour pour la raison de la laisser en manque de sexe pour le lendemain, je lui dis, "qu'as-tu ressenti quand j'allais baiser Olga", elle répond que ça lui a fait mal, je lui dis, "avec Lucien, j'ai eu mille fois plus mal, comme j'aurais mal si tu recommences ne serait-ce qu'une fois avec un autre", elle dit, "ça n'arrivera plus jamais".

Je lui dis, "j'espère, car plus jamais je ne pourrais lui faire confiance après et que ça me mettrait en situation d'homme incapable de satisfaire sa femme, être la risée de tous, non, je ne supporterais pas", disant tout cela, je la mets en garde de façon détournée contre son prof, je l'arme contre lui, on s'endort et le jeudi, je suis à la salle, je place comme prévu le matériel que j'ai testé a nouveau.

Marie m'a fait peur, elle est arrivée cinq minutes en retard, échauffement d'une demi-heure et ça commence, les exercices à la barre, comme les autres fois, il l'excite avec le frottement, les positions s'enchaînent, Marie qui était de face, après de dos, après de côté, a maintenant dans chaque pose différente, la tête vers la porte, les positions se succèdent, puis vient celle où avec ses cuisses, elle serre la barre avec ses bras au sol, elle est sur le côté, lui vers ses pieds, je ne suis pas spécialiste de ce genre de spectacle, mais je n'ai jamais vu ces positions sur le peu vu dans des films.

Il disait que de faire la même position pendant 2 minutes, le faire pendant 5 secondes pendant la danse deviendrait de la rigolade, c'est cette position-là où j'ai vu Marie la tète en arrière, la bouche ouverte et les yeux fermés, lui, il lui tenait fermement les cuisses à la même hauteur pour ne pas qu'elle glisse, comme elle glissait quand même, il la remontait de quelque centimètre en lui frottant le sexe sur la barre, nul doute qu'il savait ce qu'il faisait, je n'ai pas vu si elle a joui mais elle en était très proche.

La suite, ce fut les mouvements, où il était derrière à se frotter pour montrer les gestes en lui prenant les mains, quand il revenait vers moi, je la voyais prendre plaisir à ce contact, contrairement à tous, lui, il ne la draguait pas, ne la baratinait pas, il lui faisait juste naitre une envie qui l'aurait fait se jeter sur lui, ce jour là, il ne s'est rien passé, sauf que quand je l'ai suivie, elle a donné sa tenue au pressing, ce n'est pas celui où on va habituellement, elle ne veut pas mélanger les affaires, ou qu'on me dise, tenez, il y a ça aussi ce que votre femme a déposé.

La semaine se passe, le client a voulu revenir, mais j'ai prétexté du monde, en fait, je ne voudrais pas que Marie se lasse en overdosant les relations particulières trop souvent, la semaine et le WE se passent, le samedi, il n'y a rien d'inhabituel, je dirais même qu'il est moins sur elle, plus il avance avec elle dans les cours particuliers, moins il se fait remarquer dans ceux collectifs, ne voulant pas passer mes jeudi enfermés dans ma cachette, je décide de simuler une panne sexuelle pour mettre Marie en état de manque sexuel pour accélérer les choses.

Car chaque semaine, je vois l'évolution, le lundi, c'est facile, l'effleureur rentre tard, il a un client régulier en entretien hebdo, sa femme me pompe, elle adore cela, je lui demande une deuxième tournée 1/4 d'heure après, je lui raconte un bobard inavouable ici, pour arriver à jouir à nouveau, je me remémore Marie jouissant ou non sur la barre, le soir, je me fais violence pour ne pas bander dur, je prétexte une bêtise dans le boulot qui me bloque.

Les deux jours suivants, c'est mon poignet qui me dépanne, Marie a toujours le plug en journée, je ne sais pas si elle se masturbe au boulot pour se soulager, en tout cas, je ne la vois pas faire à la maison, Marie est triste pour moi, devinant ce qu'elle peut demander, je lui dis que l'effleureur ne peut pas nous recevoir pour un billard, car il a plein de boulot en ce moment.

Le jeudi arrive enfin, je me dis que je suis salaud, je la pousse à la faute, les choses ne sont pas simples, si un mari voit sa femme rejoindre son amant, de se mettre sur son chemin en lui disant, qu'est-ce que tu fais dans le coin, viens, je te ramène à la maison, elle y retournera le lendemain ou les jours suivants en faisant plus attention, l'adultère, c'est comme l'eau, on peut la dévier, la retenir un peu, mais à la longue, elle rejoindra la mer en débordant de tous les barrages ou obstacles, l'adultère n'est pas une maladie, mais un résultat d'une situation plus en amont.

Chez l'homme, c'est une pulsion sexuelle, une femme l'excite et il a envie de la baiser, certains se retiennent un temps, mais succombent plus tard, ceux qui n'aboutissent pas, c'est parce qu'ils arrivent trop tard ou ont une libido inexistante, chez la femme, c'est un manque le plus souvent, manque d'affection, manque d'innovation, manque sexuel aussi, manque de considération, manque d'attention, sur ce sujet, Annie est entièrement d'accord avec moi, une femme pour attirer un homme, a juste à lui faire voir ses cuisses en ayant l'air de ne pas le faire exprès.

Pour avoir une femme, la baratiner, lui dire qu'elle est intelligente, être attentionné avec, la considérer, la flatter sur sa façon de se coiffer, de s'habiller, la flatter sur tout sauf sur son physique, sauf au moment de porter l'estocade, au moment ou dans sa tête, elle se dit, que cet homme-là est parfait, et si elle pense cela en étant en manque sexuel et qu'en plus, une envie naît en elle, elle est foutue, cela, on le savait déjà, nous avons un ami qui n'a rien d'attirant pour une femme, Annie dit comme moi, elle ne l'aime pas, aucune des amies ou épouses d'amies ne l'aiment.

Et bien ce type, il baise à tout va, c'est une machine à fabriquer les cocus, entre mecs, quand on discute, il nous raconte ses frasques, ses méthodes et ce que je viens de citer plus haut, à notre premier contact, quand je l'entendais parler, je me disais, quel baratineur ce type, mais en disant cela à d'autres copains, ils me disent, non, ce qu'il dit, c'est la vérité, on l’a tous vu, qu'il ne faut pas le chercher entre midi et 14 h ni entre 17 h et 18h30, et pas plus le samedi matin, ses relations ne duraient jamais plus de 2 semaines, il ou elle se lassait vite.

il en avait entre 3 et 4 en même temps, (pas dans le même lit), toutes mariées, il leur disait qu'il était marié aussi en nous disant que si on leur dit cela, qu'elle se dirait que je n'ai pas intérêt à le chanter sur les toits non plus, en me souvenant de ce qu'il disait à l'époque, à ce moment précis, je me disais que j'étais un de ses clients probables au moment de Lucien, même s'il disait qu'il ne touchait pas la femme des copains, c'est facile à dire et resterait à voir.

A suivre.
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Histoire de annizette

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