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Vengeance heureuse d'un cocu 16

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Lue : 9208 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 08/10/2015

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Timidement, après une bonne partie où elle a eu deux orgasmes et moi un, Marie en s'y prenant en plusieurs fois, m'indique que la pipe que j'avais eue, c'était lui qui me l'avait faite, bien évidemment, j'ai pensé de suite à une plaisanterie, je contrariais ses réponses, elle argumentait contre, puis sur certains détails, j'ai commencé à douté pour me rappeler que quand je l'ai embrassé ensuite, elle n'avait pas le goût de sperme, elle m'avait sucé différemment, dans le feu de l'action, je ne pensais qu'à mon plaisir.

En parlant, elle avait sa main sur mon sexe ramollo, puis quand je me rendis compte qu'elle disait la vérité, que c'est lui qui m'avait sucé, involontairement, je me mis à bander un peu, je me redresse afin de cacher cela, j'ai voulu rouspéter, faire la tête, mais je n'avais aucun argument pour, j'avais joui et le sachant, j'avais bandé, je me suis tourné et lui ai dis, je dors.

Marie était triste dans mon dos, elle ne pleurait pas, mais elle s'en voulait d'avoir agi de la sorte ou de me l'avoir avoué, je n'ai presque pas dormi, en l'imaginant, je le voyais me sucer en me mettant son doigt dans l'anus, ça me dégoutait, mais ce qui m'agaçait le plus, c'était que ça me faisait bander, dans la nuit, je me suis aperçu que Marie ne dormait pas non plus, je lui demande si elle dort, elle répond non, et demande si je lui en veux, je lui dis un peu.

Je lui demande de ne surtout pas lui dire que je sais, de faire comme si elle ne m'avait rien dit, disant que l'idée n'était pas de lui, mais d'elle, et puis il a une bonne mentalité, bonne compagnie, bon amant, il m'a sucé, c'est lui l'homo, dans ma tête, je me disais que la prochaine fois, on ne m'aura pas.

La semaine et celle qui suit, nous nous sommes disputés en silence, j'avais dit à Marie, qu'il ne reviendrait plus seul, elle le défendait en disant que c'est sa faute à elle, qu'il n'y est pour rien, je disais peut-être, mais que j'étais humilié, ces deux semaines ont été mornes sexuellement, nous faisions du sexe juste pour l'hygiène, je n'ai invité aucun client à la maison

Ces deux semaines passées, il y a eu une séance avec Steed, et la semaine suivante, Marie l'a appelé, il est venu, je ne voulais plus, mais je n'ai pas voulu qu'il sache que je savais, alors j'ai laissé Marie le rejoindre ce soir là et le lendemain, j'avais prétexté être souffrant, le premier soir, elle n'a rien fait avec de ce qu'elle m'a dit, le lendemain, j'ai posé le micro et en effet, elle lui avait dit que je n'avais pas apprécié sa prestation et Marie s'en voulait, elle lui a juste tenu compagnie.

Trois semaines plus tard, ils sont encore venus le WE, à une semaine d'intervalle, mon amertume était passée, le soir à la maison, steed mettait un gros plug à Marie et des boules, il aimait la mettre mal à l'aise en ma présence et la baiser remplis de mon foutre, il lui avait demandé de ne pas fermer la porte pendant nos ébats, et ensuite, il la prenait dans le couloir à coté de notre porte, pensant que je dormais comme elle lui avait dit, pour l'obliger à jouir en silence.

Nous continuons à nous faire un peu la tête, moi du moins, mais à force la colère s'estampait, je ne lui en voulais plus, est ce l'abstinence que l'on s'infligeait, mais toujours est-il que de repenser à sa pipe, je bandais à chaque fois, il faut dire que j'avais eu un super orgasme, pendant que je la baise, elle m'en reparle, cela a pour effet de m'exciter davantage et comme on discute sur le pourquoi du comment, que j'ai aimé, mais que je ne veux pas, à plusieurs reprises, elle me redemande de renouveler, je lui redis non à chaque fois.

Le WE d'après, le soumis arrive le vendredi soir après son boulot, Marie me connaît très bien, le soir, pendant qu'il est à la douche, elle me redemande si je veux renouveler l'expérience, me disant cela, comme elle avait sa main sur mon sexe, celui-ci bande aussitôt, je dis non plusieurs fois, puis au moment de se coucher, elle m'excite volontairement au plus haut point, sans me laisser la caresser, me reposant la question plusieurs fois à nouveau, à la fin, elle me dit," si tu débandes, je lui dis de partir et je continue".

Elle me dit "il te caresse, te tripote, si tu bandes, il suce si tu ne bandes pas, il s'en va", en fait, j'avais envie, mais je ne voulais pas l'avouer, quelle honte, le voir ne m'inspirait pas, mais les yeux bandés, c'était autre chose, je finis par accepter, elle m'attache, mais pas dans le dos, sur les côtés sur les bords de tête de lit, elle m'attache aussi les chevilles de chaque côté du pied de lit, j'ai les cuisses dans le vide, seuls mes fesses sont sur le bord du pied du lit.

La garce me dis-je, elle avait tout préparé depuis longtemps, je ne savais même plus ou était rangé ce matériel que l'on a peu souvent utilisé, malgré moi, je suis excité d'avoir encore une pipe impériale, car je dois admettre qu'il suce divinement du début jusqu'à pendant l'orgasme lui-même, Marie ne se rend pas compte, elle m'écarte les jambes comme si j'étais une femme.

Je transpose à nouveau sur Annie, pour donner le change, elle m'a mis un autre bandeau qui cette fois ci, ne cache qu'à moitié, comme je sais, inutile de camoufler, l'important, est que lui, il le croit, en regardant tout en bas, je devine son ombre dans la pénombre éclairée par l'extérieur, je ne suis pas adepte S/M, mais je suis plus soumis que dominant, être attaché et à sa merci m'excite.

Il ne bouge pas, Marie fait du bruit dans la salle de bains, pour justifier qu'elle a été le chercher, elle lui avait dit qu'elle m'a dit avoir été uriné, quand elle revient, elle me fait entendre qu'elle ferme la porte, elle me parle en me disant, aller penses que c'est Annie qui est là, voyant mon érection, elle sait que je suis demandeur.

Je refais hummm a son premier toucher, comme il connaît Annie, il n'a aucun mal à imaginer ce que je ressens, il me caresse le torse, en fait, il se fait plaisir, Marie lui fait la même chose qu'il me fait à mesure.

Après m'avoir caressé le torse, les tétons, il descend sur le bas-ventre, mais ne me touche pas le sexe, qui lui ne demande que ça, il me caresse l'intérieur des cuisses, remonte, redescend, remonte à nouveau, je suis complètement à sa merci, jusqu'au moment où il m'attrape mon sexe gonflé, j'ai honte vis-à-vis de Marie, mais je suis tellement excité, que je ne pense qu'au plaisir.

Je tressaille au moment où il me l'attrape, Marie se met à genoux à coté de lui, il lui caresse le clito, elle mouille, sa main toute mouillée, il me caresse l'anus, délaisse mon sexe, ne me masturbant que de deux doigts qu'il ne bouge pas, il remue à peine celui dans mon anus, j'ai tellement envie, que je bouge mon bassin pour que ses doigts me masturbent, faisant ainsi glisser ma rondelle sur son doigt.

Le salopard se doute qu'excité comme je suis, je ne demande qu'a ce que sa main glisse sur mon phallus, je suis tellement excité que son doigt rentrant dans mon anus, me fait du bien, ensuite, il me passe sa langue dessous les couilles, de sa main, il me caresse que très peu, juste ce qu'il faut pour entretenir mon excitation qui me laisse continuer à me laisser faire.

Elle me dit attend, lui, il se recule, ne me touchant plus, elle prend un petit gode dans son tiroir, elle l'allume, j'entends le bruit, elle lui donne, je lui dis non, elle me dit, "tu es sur", disant cela, il fait tout pour m'exciter encore plus, après plusieurs demandes, je dis, oui, continu, c'est la première fois qu'un homme m'encule, avec elle, on a déjà essayé cela, mais le moment ne s'y prêtait pas.

En faisant abstraction de mon orgueil de mâle, bien excité, se faire sodomiser est excitant, je devine qu'il est en train de faire comprendre à Marie, que je commence à perdre un peu de sperme et que je ne vais pas pouvoir tenir encore longtemps, elle me dit, "la prochaine fois, je te mettrais le gros, hein, tu voudras que je te l'enfile.

Je sais que ma réponse fera qu'il va me satisfaire, je dis oui, tout ce que tu voudras, mais pompe, elle fait un geste pour qu'il me fasse jouir, j'ai éjaculé dans un râle de plaisir très intense, ou chacun de ses gestes, succion, accentuait encore le plaisir, j'ai failli me trahir en disant, qu'est-ce que tu suce bien soumis.

Marie l'étreignait dans ses bras pendant que je jouissais et que lui, apparemment, se régalait, il m'a avalé, je ne l'avais pas vu la première fois et elle ne m'en avait pas parlé, mais là, je l'ai vu et elle me l'a confirmé, beurk, j'ai jouis très intensément, il m'a sucé jusqu'au bout de mon plaisir, sans en perdre une miette.

Quand je m'écroule, complètement lessivé, il s'en va, laissant Marie faire celle qui avait fait le boulot, elle me retire le gode et me détache, Marie était toute trempée et elle allait le rejoindre, attendant mon signe disant qu'elle peut y aller, la jouissance chassant l'excitation, la honte de ce qui c'est passé me revient, le souvenir du plaisir intense également.

Intérieurement, il y a une bataille, le plaisir et l'honneur d'un homme, mais qui a dit que ceci, c'est bien, et que cela s'est mal, si on écoute les conneries religieuses, on ne devrait baiser que pour procréer, sodomiser, c'est mal, faire du sexe en dehors du couple, c'est mal, qu'est-ce qu'on doit se faire chier au paradis, avec des préceptes pareil, ils font fuir les volontaires, ne récupérant que les irrécupérables.

Je décide donc de n'écouter que mon envie, et celle-ci est que s'il est d'accord, il recommencera, pour le moment, j'entends Marie qui y est au paradis, le vrai, celui qu'on voudrait que ça dure longtemps et que les heures sembles des secondes, Marie est gêné de jouir autant avec un autre, mais je lui redis ce qu'Annie me disait, il fut un temps, le coureur de 100 mètres qu'il est et le marathonien que je suis.

De plus, il est bon amant, endurant comme elle aime, depuis quelque temps, je n'allais plus écouter, mais là, j'y ai été et je me suis aperçu, qu'avec un gode ceinture aux deux extrémités, elle le sodomisait, en fait, elle lui donnait ce qu'il aimait, de cette façon, il revenait, son sexe était de la taille que Marie appréciait, en fait, c'est le genre d'homme qu'elle aurait aimé avoir, même si elle me dit le contraire.

Je ne la reconnaissais plus, je l'entends dire, "alors pédale, tu aimes ça sucer de la bite, hein, tu aime ça aussi te faire enculer", elle répétait du Steed, et lui, il disait, "oui, j'aime ça le sucer, tu as vu, je te l'avais dit que je le rendrais fou, tu as senti comme il a joui", après cela, elle s'allonge, il la suce, lui donnant un orgasme, il l'a baise ensuite, alternant avec une sodomie.

Il donne son jus trop vite, elle a tout juste eu le temps d'avoir son orgasme, une fois sur le dos tous les deux, il se justifie avec ma pipe, disant que ça l'avait pas mal excité, elle répond, je m'en suis douté, déjà la dernière fois que c'était pareil, après cinq minutes de repos, elle dit qu'elle va me rejoindre, en partant il dit, s'il en veut une autre, je suis là.

Je rejoins ma chambre pour ne pas être surpris à écouter, Marie sait que je n'écoute plus à la porte, sa proposition d'une autre pipe n'était pas pour me déplaire, mais je ne voulais pas montrer que j'en avais envie, de plus, j'avais envie de Marie, de lui faire l'amour, purgé par lui, j'ai pu tenir plus qu'honorablement, après le passage dans sa chambre, elle est de braise, bien plus réceptive à mes caresses.

Je ressens une petite gène au niveau de l'anus, mais ça va, ce n'est pas douloureux, ça m'excite même, quand j'y repense, quand je suis dans Marie, le lendemain matin, on discute tous les trois de la relation qu'il a avec elle avec mon consentement.

Je ne sais pas si c'est une impression, ou dû au fait que je sais, mais certaines phrases stoppées de sa part, et aussi de Marie dans la semaine qui a suivi me laissent penser qu'il sait que je sais que c'est lui qui me fait du bien, cela me gêne au plus haut point, elle me dit non, mais je n'ose pas la brusquer de peur que justement, elle ne me le propose plus.

Steed a passé son tour, donnant une excuse bidon pour ne pas venir, j'avais vu qu'il baissait dans sa prestation, Marie me l'avait dit aussi, il ne venait plus en semaine, mais uniquement le WE pour du cheval, en profitant pour le travail aussi qu'il ne manquait pas de nous faire avoir, il ne parlait jamais de son soumis et nous ne lui demandions jamais rien.

Ce qui fait que comme il ne venait pas, elle me demande, une pipe te tente, j'ai encore envie de te voir être sucé, et puis tu aimes, Marie était devenu insatiable sexuellement, j'aimais la voir comme cela aussi, je savais que c'est de lui dont elle avait envie aussi, elle ne me le cachait pas, elle me disait qu'une fois la semaine, elle aimerait, lui, il m'avait dit, que pour une femme comme elle, les km ne comptent pas.

Avant, le trio ne m'intéressait que modestement, sentir un sexe d'homme même séparé par les parois de Marie, me coupait un peu l'envie, mais maintenant, c'était le contraire, quand je sodomisais Marie pendant qu'il était dans son vagin, c'est sur son sexe que j'essayais de sentir la caresse.

Un vendredi soir il arrive, baise Marie, et le samedi, elle me demande si je veux encore une douceur, je dis oui, en justifiant qu'après, elle est bouillante, mais cette fois-ci, j'avais prévu mon coup, micro dans la chambre du soumis, déjà quand Marie va dans sa chambre, elle lui dit, viens lui faire une pipe, cela peut être pris sous la plaisanterie d'une routine.

Je ne savais pas si elle savait que je me laissais faire par goût ou pour lui faire plaisir, même si elle savait que j'appréciais, ce samedi, elle m'attache les bras, mais en travers, du lit, le cul au bord du lit, cette fois-ci, ce sont mes genoux qui sont attachés, l'un a la tête de lit et l'autre au pied de lit, même rituel sauf qu'elle ne fait pas son passage à la salle de bains.

Placé comme je suis, j'ai les pattes écartées donnant une vue directe sur celui qui entre, accentuant mon excitation, j'entends la porte se fermer et je vois deux corps arriver, il me lèche l'intérieur des cuisses, me branle de façon très lente le haut du sexe, mon mouvement du bassin et mon sexe qui durcit, lui indique mon plaisir.

Il me lâche, Marie va au tiroir, elle lui donne le plug numéro trois, le gros, avec de la vaseline, comme je suis sensé ne rien voir, j'attends qu'il commence à me le mettre pour dire non, il m'insère le doigt, je bouge mes fesses pour sentir sa main qui ne me branle plus, je devine qu'il dit à Marie quoi dire, elle me dit, laisse toi faire, en même temps, elle le masturbe un peu, en même temps qu'il essaie de m'enfoncer le plug, il me branle bien en m'approchant du plaisir.

Je dis non, il arrête le plug et la masturbation, je dis, "non pas ta main", Marie est en train de me pousser, elle est sa complice plus que la mienne, le type sait y faire, il me met proche du plaisir puis arrête, Marie me dit, "demande moi de te le mettre", je dis non en même temps qu'il me branle, au bout d'un moment, après m'avoir redemandé pareil, excité aussi à l'idée, mais plus craintif de la douleur.

L'excitation l'emportant, je dis, encule-moi, mais continu, elle ne dit rien, c'est lui qui obéit et me le met, je fais un "haaa", le souffle coupé quelques secondes, occupé à ce qu'il me faisait, je n'ai pas vu Marie se mettre le gode ceinture, il me caresse partout, m'attrapant les couilles, j'apprécie fortement la caresse, et je dois dire, le plug aussi, j'appartiens complètement à ce soumis, je lui dis des, " oui continue".

Cela s'adresse à lui, mais peut être à elle aussi puisque je suis censé pas le savoir, elle me dit, je te détache, garde le bandeau et tourne toi, elle sait que je ne le retirerais pas, je suis attaché à nouveau, mais à genou sur le lit, toujours genoux écartés, il retire le plug et me fait une feuille de rose suivant le terme, en même temps, il prend mes couilles dans une de ses mains et de l'autre me branle pour entretenir l'excitation.

J'oublie complètement qui me fait cela, je ne suis plus qu'un zombie qui n'attend que de jouir, pendant mes gémissements avec la tête en l'air, je voyais l'heure au réveil, ça faisait plus d'une ½ heure qu'il me manipulait, je ne pouvais plus ne pas savoir que ce n'était pas Marie, je sentais ses bras sur mes cuisses, sa peau moins douce qu'elle, il m'écartait les fesses, il pénétrait de sa langue, il me reprenait les couilles et le sexe.

J'avais plaisir à être son jouet, s'il m'avait sodomisé à cet instant, je me laissais faire, à un moment donné, je l'ai senti se stopper, Marie me l'a confirmé, il lui a joui dans sa main, c'est ce moment-là, qu'elle m'a demande de me retourner après avoir défait les attaches de mes genoux, il m'embrasse le torse, le ventre, mon sexe viens cogner sa joue puis m'englobe, c'est tellement bon, que je l'enserre de mes jambes par en dessous de ses bras et je me délivre dans sa bouche en criant ma jouissance.

Il continue à me décalotter et avaler jusqu'à la dernière goutte, petit à petit, je me rends compte de ma position, je desserre mes jambes et je remets mes pieds à terre, Marie pour donner le change, dés qu'il se retire, prend sa place et me suce un peu en disant, "ça t'a plu, je lui dis, "super", il regagne sa chambre pendant ce moment, une fois parti, elle me dit, "ne dit pas que tu n'a pas aimé", je réponds, "ça serait mentir", nous nous enlaçons amoureusement, je dis à Marie d'y aller, elle est tellement excitée de l'avoir tripoté et regardé sans rien avoir en retour.

Arrivé dans sa chambre, ils s'entreprennent immédiatement, il la bouffe, il lui donne un premier orgasme avec sa langue, tous les deux sont super excités, le deuxième orgasme de Marie lui est fatal, après plus d'une demi heure, il jouit à son tour, en se justifiant que la pipe qu'il m'a faite l'avait trop excité, c'est bien la première fois que j'excite de cette manière.

Par contre de les entendre m'a excité aussi, mais vient le moment où ils discutent, le moment que j'attendais aussi, comme je me doutais, ils sont complices à mes dépens, je ne m'en offusque pas, si Marie ne lui avait pas dit que je voulais cela, il n'aurait pas pris le risque, il lui dit que le fait que je l'ai enserré, c'est que je le sais, que je veux le plaisir, mais pas la honte qu'il vienne d'un homme, disant aussi, "tu vas voir, je vais le rendre accro, je vais briser ses dernières barrières, quand je lui suçais l'anus, je n'avais qu'une envie, l'enculer", Marie fait, "le pied que ça serait".

Marie revient ensuite après être passé à la douche, nous faisons l'amour fougueusement, étant purgé, je tiens la distance, le lendemain matin, je me sens mal à l'aise devant lui, lui qui a vu mon anus, ma position humiliante, je fais tout pour garder un sourire en évitant de croiser son regard, il a la correction de ne rien me dire ou faire de sous-entendu.

En le voyant, je me dis, comment ai-je pu faire cela avec lui, un homme ne me donne aucune envie, il ne m'inspire rien du tout, à part du dégoût de ce qu'il m'a fait, (sexuellement parlant), étrange raisonnement, je sais que j'ai joui très intensément, que j'étais demandeur et à sa merci, et puis là, les mêmes choses me dégoûtent, l'excitation tombent les barrières et la magie de l'obscurité aussi me dis-je.

Le vendredi, trio, le samedi pipe, mais ce dimanche, il a dû partir en milieu d'après-midi pour un rendez-vous de bonne heure le lendemain plus loin, les semaines passent, nous avons quelques clients mateurs, mais rien d'intéressant, même si des fois, ils y en avaient qui se risquaient à passer la main furtivement.

Mais quand ça devait être son tour de venir, il appelle à l'heure habituel et dit qu'il ne viendra pas, disant qu'il a peur de faire une bêtise (avec moi), qu'il n'est pas en bois non plus, disant que mon petit cul lui fait de l'effet, je fais signe à Marie que non avec les mains, il discute d'autre chose disant qu'il voit pour la semaine d'après.

La semaine suivante, il arrive un samedi à onze heures, de retour d'un déplacement ou il a passé la nuit sur place à l'hôtel, nous mangeons ensemble, nous nous promenons, en rentrant, nous voyons la voiture de Steed, il devait venir, mais la veille, il nous dit avoir une activité cheval, de ce fait, nous avons dit au soumis qu'il pouvait passer, il avait récemment changé de voiture, Steed ne l'a pas reconnu.

On le pousse dans la grange juste à temps, on ne savait pas la réaction de Steed et on ne voulait pas le perdre comme client, il nous dit passer là à tout hasard, son activité avait été annulée et on ne répondait pas au téléphone, on ne peut que lui dire de rester, on était gêné vis-à-vis du soumis, mais il comprenait la situation, il a passé la fin de soirée devant la télé dans une chambre, pendant qu'on mangeait avec Steed, nous avons été se coucher de bonne heure.

Quand Steed était à la douche, le soumis a été dans notre chambre, nous sommes partis nous coucher, Steed demandant à Marie si elle revenait, elle dit oui, pour ne pas qu'il vienne à notre porte, en attendant, avec le soumis, on l'a caressé, nous lui avons donné un orgasme, elle a été ensuite le rejoindre, nous laissant en pleine excitation tous les deux.

Nous avons discuté pendant un bon ¼ d'heure très prés et à voix basse, à force nos genoux se sont touchés, je n'ai rien fait pour me pousser et il ne s'est pas poussé non plus, il a commencé à se gratter le genou en laissant ensuite sa main sur le mien, dans ma tête, je me remémorais la dernière fois, de façon très progressive, sa main est remontée tout en discutant et de manière plus appuyée.

Encouragé par mon laxisme, en discutant toujours, sa main remonte encore et m'attrape le sexe, il me masturbe, nous ne parlons plus, il vire les draps, descend sa tête au niveau de mon sexe et le happe, le plaisir est super, il me suce, entretenant mon excitation, puis a un moment donné, il veut se mettre en 69, j'ai son sexe à la hauteur des yeux.

J'admire la taille, mais je me focalise sur ce qu'il me demande, mon sexe dégonfle à vue d'œil, dans sa bouche, il n'a plus qu'un sexe tout mou, j'avais commencé à lui attraper son sexe, mais ma débandade empire, je cherche quoi dire pour ne pas le vexer, c'est lui qui arrête de me sucer, se remet à ma hauteur et me dit, "tant pis pour moi, j'ai mal interprété".

Honteux des pipes eues, je ne dis rien, à part que je ne suis pas homo, ni bi dit-il, il essaie à nouveau de me masturber, mais rien ne monte et ça me dérange, je le fais arrêter, il me dit même ça, dommage, je dis être désolé, il dit comprendre, que mon centre d'intérêt, c'est Marie, nous discutons encore, il regrette de ne pas pouvoir me tripoter, car il aimait bien, je ne réponds pas.

On ne s'avoue pas qu'on sait que les pipes, c'est lui, on entend l'eau couler, elle va bientôt nous rejoindre, elle se met entre nous, nos mains la parcoures, nous rebandons à nouveau, à un moment, Marie à genoux en levrette, moi également pour un cunni et analingus, de sa main droite, il caresse les seins de Marie, je suis super excité, il fais celui qui se tient et de sa main libre, il me la mets sur mes fesses, je le laisse faire.

Il me les caresses en pensant que c'est sa maigre consolation, puis timidement, il s'enhardit entre mes cuisses que j'écarte, voyant que je laisse le passage, il m'attrape les couilles, puis le sexe ensuite, puis j'ai droit au même traitement que Marie, j'aime cela et je lui fais savoir en bougeant mes fesses. Marie gémit et ondule, j'ondule, j'ai plaisir à ce que je fais et à ce qu'il me fait.

Marie ne tient plus et se tourne pour que je me mette sur le dos, elle s'empale l'anus sur moi, il la suce, la doigte, d'une main et me met son doigt de l'autre main dans mon anus, je contracte mon anus, puis le relâche et recontacte, cela lui indique que j'apprécie.

Il pénètre Marie ensuite, nous lui donnons un orgasme, elle se met sur le dos, je la baise en missionnaire, lui, il me doigte le cul, elle revient vers le plaisir, je me remets à sa demande sur le dos pour la double pénétration et il me dit tout bas, "rentre dans sa chatte", je le fais, c'est tout gras, je rentre comme dans une église, et là, il la pénètre aussi, le morceau est de taille, il y va doucement, Marie souffle, mais ne dit pas stop, mais plutôt "houuu, doucement, là, oui, encore un peu, hou, attend, là oui va y", etc.

Je sens son sexe qui rentre, rentre, rentre, dépasse le mien, quand elle a accepté nos sexes en elle, elle commence à bouger, ses chairs se détendent, elle me dit qu'est-ce que c'est bon, défoncez-moi", nos phallus se frottent en elle, comme c'est serré, nous ressentons très bien, étant dessous, je ne peux pas bouger, c'est lui qui donne le rythme.

Marie devient folle de plaisir, elle déconnecte, je suis obligé de lui mettre ma main sur la bouche pour que Steed n'entende pas, il accélère le mouvement, il sent Marie prête à jouir, il le lui dit et elle dit remplissez moi tous les deux, rien que de me le demander, cela m'excite, nous nous attrapons le bras (le soumis et moi), puis il accélère la cadence, on entend ensuite Marie bâillonnée faire ""huuu, huuu", nous, "honn, honn", nous jouissons de concert.

Nous nous sommes allongés, Marie au milieu, puis après avoir discuté cinq minutes, nous nous sommes endormis, peut être une heure après, je me réveille et je les sens en train de baiser en prenant soin de ne pas me réveiller ou de me le cacher, je me mets à bander un peu, mais pas suffisamment pour être présentable, j'ai donc passé la main et ai laissé faire, je ne leur en ai jamais parlé et elle ne me l'a jamais dit.

Une fois fini, après s'être un peu remise, elle vient se blottir dans mon dos en me prenant dans son bras, (Annie m'explique que même quand le conjoint est d'accord, de faire en cachette, ça pimente), je me suis rendormi, le matin, il a dû partir avant que Steed se lève.

Pendant trois semaines, j'avais été contrarié que Marie ne m'ait rien dit, pour leur baise pendant mon sommeil, et puis un mercredi, il arrive sur les coups de 16 heures, j'étais en rendez-vous et je suis rentré peu avant 19 heures, j'avais appelé Marie pour l'informer qu'il n'y avait pas d'invitation, je fus surpris de le voir là et dans ma tête, je me suis dit, ça y est, ils ont dû en profité, et elle ne me le dit pas.

En mon absence, les cameras tournent et enregistrent sans que Marie le sache, je passe à grande vitesse jusqu'au moment où il arrive, il s'embrasse sur la joue, et mes craintes son balayées, il ne s'est rien passé, j'ai repassé quelques scènes où ils étaient proches, à un moment, il lui tient les hanches en se frottant un peu, et j'ai entendu qu'il lui a demandé d'en profiter, et elle a dit, "non, tant qu'il ne sera pas revenu, on ne fera rien, je crois qu'il n'aimerait pas", il n'a pas insisté en disant, "je respecte".

Il y a eu des légers attouchements ensuite, mais rien qui ne me dérange, je comprends qu'on ait envie de toucher Marie, c'est plus qu'humain, de plus elle sait que cela ne me dérange pas, il avait demandé de dormir à la maison pour partir le lendemain, j'ai dit oui.

J'avais répété à Marie notre tentative pendant qu'elle était avec Steed, il le lui avait dit aussi, le soir, je suis sur le dos, au bord du lit, Marie à califourchon sur mon torse, j'ai la vue de ses seins que je caresse, et lui, il me lèche, branle, suce, m'enfonçant le gros plug, une fois celui-ci rentré, il a fait durer le plaisir, m'approchant de l'orgasme, s'arrêtant, reprenant ensuite, Marie se délectait de me voir ainsi "malmené", quand il en a eu assez, il m'a fait jouir, ce fut intense, avec Marie que je tripotais en même temps.

Je leur ai dis d'aller dans la chambre d'ami ensuite, le temps que je reprenne du jus, le micro était déjà en place, mais il n'y a rien eu que je ne savais déjà, gode ceinture pour lui, langue pour elle, alternance baise et sodo, puis estocade finale ou chacun d'eux s'est mis un gode dans l'anus pour elle et un œuf vibrant pour lui.

Ils se sont reposés dix minutes puis ils sont revenus, Marie passait par la douche, je n'étais pas encore vaillant, nous avons discutés tout en la caressant, elle était chaude, elle est vite repartie dans l'excitation, elle, à genoux en levrette, moi dans la même position pour lui faire une langue et lui derrière moi, il savait qu'il ne m'excitait pas, mais que j'étais d'accord pour qu'il me touche, si tu me laisses user de ton corps, ça me suffit disait-il, en moi-même, je me disais qu'il se contente de peu.

Il me faisait une langue pendant que son bras massait entre mes cuisses pour m'attraper le sexe qui gonflait sous sa caresse, autant cela me révulsait avec Marie absente, autant ça m'excitait en sa présence, mais pas contre, le toucher, je ne pouvais pas, il a tout de mieux que moi, le corps plus musclé, juste ce qu'il faut pour ne pas être déformé, le sexe, je préfère ne pas en parler, plus long et plus gros avec chargeur plus rapide, mais bon, cela c'est l'âge, car en plus, il est jeune, apparemment, il a une bonne situation aussi, il gagne bien sa vie, il est d'agréable compagnie, si Marie me quittait pour lui, je n'aurais aucun argument en ma faveur.

Marie avait pris goût à la double pénétration, et nous aimions la contenter, surtout que pour cela, il faut un autre homme, alors quand il est là, on en profite, je ne me suis pas réveillé dans la nuit, je ne sais donc pas s'ils ont fait quelque chose, mais cela m'était égal, avec lui, je n'avais pas de jalousie sexuelle, tout comme elle n'en avait pas, quand j'étais en face, avec la copine à Annie.

Le lendemain, il partait de bonne heure, un vendredi, il revient comme à chaque fois, et Annie me dit que la copine en face à le blues, elle venait soit disant se faire encore larguer, cette fois-ci, elle m'avait l'air très affecté, Marie me dit qu'elle va la consoler, et devant notre soumis, elle dit qu'elle va faire des comptes et nous demande de l'attendre tous les deux dans le lit.

Le jeudi soir, donc la veille, elle m'avait dit, "ce soir, pas de sexe, j'ai envie d'être très salope demain", cela arrivait des fois, surtout quand on avait un client coquin au repas d'affaires, on se met sur le canapé devant la télé et il dit, "attend, j'ai un film à regarder, il va a sa voiture et revient avec un CD de lesbiennes.

Je suis en peignoir, lui en pyjama, au bout d'un moment, je bande, il le voit, me pose la main sur le sexe, je lui dis non mais en bandant plus, il en profite, car je me laisse faire, on va se coucher dit, il en me masturbant, je suis tiraillé par le fait qu'il ne m'attire pas et le fait que je suis excité, regarde tu en meures d'envie dit il encore.

Il a raison et après plusieurs tentatives pour me convaincre en me masturbant, je dis ok, mais rien de plus, nous nous retrouvons donc dans le lit tous les deux, autant sur le canapé, a la lumière du film, j'étais mal à l'aise, autant, je me sentais mieux dans le noir, de plus, cela faisait 2 jours que je n'avais pas jouis, j'étais donc super excité, et j'étais entre des mains expertes qui savait y faire.

Au moment de rentrer dans lit, les cinq premières minutes, je disais, "pourvu qu'elle ne tarde pas (Marie)", ensuite, c'était, '"pourvu qu'elle n'arrive pas maintenant", il entretient mon excitation, toujours en me masturbant lentement, il vient m'embrasser le torse, sucer les tétons, il me demande si j'aime la branlette, je dis oui, je sens son sexe sur ma cuisse, mais cela ne me "révulse" pas.

Mets-toi à quatre pattes dit-il, j'attendais qu'il me le demande, il me suce le cul ensuite avec les couilles, il me fait dire que j'aime, que c'est lui qui commande, qu'il peut tout me faire, je suis tellement excité, que je suis prêt à tout pour qu'il me fasse jouir, il se met sur le côté, me branle et me doigte, je suis au bord de l'explosion, mais il contrôle, je le laisse maître de mon corps.

Il retourne derrière moi, me suce à nouveau, puis lui aussi, pris par l'excitation, il décide de me sodomiser, je ne fais rien pour l'en empêcher, mais pour ce faire, il me lâche le sexe, ma dépendance prés de l'orgasme disparaît, il me frotte son sexe sur l'anus, mais chaque seconde qui passe, mon envie disparaît, le plaisir devient dégout et je lui dis non en me poussant, il a essayé de me branler, mais rien n'y a fait.

En fait, j'ai découvert que Marie n'était pas chez la copine, mais à mon bureau, à regarder un film pour passer le temps, j'ai su, car la copine n'était pas au courant, le siège de mon bureau était réglé pour elle, et l'historique à montré un film dont elle aime le genre, son prétexte pour aller aux toilettes, elle est juste arrivée à ce moment-là, sans appel d'air de la porte qu'il y aurait du y avoir si elle venait de dehors.

Marie avait le fantasme de me voir avec un autre homme, le soumis était un peu efféminé, pas de poil sur le corps, une peau douce pour un homme, il n'avait aucune marque dégradant son corps comme un tatouage ou piercing, c'est ce qui plaisait à Marie d'ailleurs, mais je ne pouvais pas, quand il me tenait prés à jouir, j'aurais tout accepté, mais de me faire retomber l'excitation, ça a tout stoppé.

Quand Marie est arrivé, nous avons repris nos jeux à trois, il m'a tripoté, fouillé, branlé, sucé, pendant que je la suçais, peut être était-il vexé de ne pas pu m'avoir sodomisé, comme a chaque fois, il arrêtait avant l'orgasme, cette fois-là, il m'a fait jouir en me branlant et avec sa langue dans l'anus, ce fut très jouissif, il a été avec Marie ensuite seuls tous les deux dans la chambre, je ne lui en ai pas voulu.

Il n'a jamais pu me sodomiser et je n'ai jamais pu non plus, je débandais, j'ai même essayé de le branler, mais ça me dégoûtait aussi, je pense que s'il y avait eu un autre homme, lui me branlant pour me garder en "transe "et l'autre me sodomisant, j'aurais perdu ma pastille de garantie, nous nous voyons régulièrement tous les quinze jours, soit en milieu de semaine, soit le WE, ou ça se passe de la même manière.

L'année suivante, Steed prend sa retraite, Marie me disait que sa libido avait beaucoup baissé, il a continué de venir pendant trois mois, puis de plus en plus espacé, jusqu'au jour ou appelant Marie, il lui dit qu'il se sent nul et ne viendra plus, son remplaçant nous a fait travailler sans venir à la maison, le soumis est venu en vacances avec nous deux semaines, Marie l'a mis sur les genoux, car si moi, je donnais qu'un seul coup, avec lui, elle en voulait deux ou trois comme il était jeune.

Il n'a juste eu, qu'une journée de répit, à cause de fruit de mer qu'elle aurait mal digéré, la cohabitation journalière, même sur une courte période a ses limites, après quelque petit heurt sur des broutilles, après la reprise du boulot, il est venu deux mois après, Marie a été vexé, elle n'a rien voulu avec et le lendemain, il est parti sans jamais revenir.

Il a envoyé un courrier en nous prévenant qu'il ne viendrait plus, nous souhaitant bonne chance et qu'il ne regrette pas le bon temps passé avec nous, il nous souhaitait les vœux chaque année, pendant trois ans, sans nous donner son adresse puis ce fut le silence, la routine des clients continuait, il n'y avait plus l'extra.

Pendant qu'on avait ces extras, on avait aussi les clients habituels, il y avait les clients "cuisses" et les clients "seins", avec ces derniers, moins "dangereux", Marie me faisait un signe, et je lui demandais d'aller montrer au client sur l'ordi, nos réalisations qui ont vu le jour et qui ne sont plus protégées, elle faisait celle bien embêtée de devoir y aller, elle était devant l'écran, assise, lui, derrière sur une autre chaise, et bien sûr, il continuait, passant sa main autour d'elle, sur ses seins a travers le tissu, elle disait "arrêter, arrêtez" a voix très basse.

Une fois, l'un a mis sa main par-dessus son épaule et dans sa robe échancrée, lui disant, regarder comme il est tout dur (son téton), l'énergie employée pour se dégager était inexistante, moi, j'arrivais au mot, "ha, je crois qu'il revient", je claquais la porte de la salle et 5 secondes après, je rentrais dans le bureau, au contrat suivant, lorsqu'il revenait une deuxième fois, Marie refaisait celle qui ne voulait pas retourner à l'ordi.

Mais moi, j'insistais, elle lui disait en douce, "sage alors", il disait oui, mais heureusement, il n'y était pas, Marie se laissait faire plus longtemps en se débattant moins, au troisième contrat, elle y allait sans que j'insiste, une fois assise, elle se laissait presque faire, disant juste, "vous ne changerez jamais".

Marie savait choisir ceux qui respectaient une limite, quand il y avait une quatrième fois, elle ne mettait pas de soutif, lui disant, "au moins, vous ne me le détendrez pas" quand il lui en faisait la remarque, le client ne cherchait pas plus, il me savait pas loin et arrivant bientôt, j'arrivais des que Marie se sentait foutue.

Je pense que beaucoup avaient dans l'espoir qu'elle les rappelle, la plupart lui disaient en douce, "vous savez ou me joindre", mais comme elle ne rappelait pas, ils se contentaient de ce qu'ils pouvaient.

Les clients" cuisses", étaient les plus durs à tenir, surtout l'un d'eux dont je raconterais après, le client "cuisse" cherchait à remonter sa main plus haute, Marie devait être plus prudente, car comme elle disait, elle aurait eu tôt fait de succomber, assis à côté d'elle, une fois qu'il avait compris qu'elle ne dirait rien au mari

Insistant, il disait en mettant ses mains " justes les jambes", elle disait "bon d'accord, mais rien d'autre", il se penchait et lui caressait les jambes, remontait aux genoux, elle faisait "non", il redescendait sa main puis la remontait après avoir caressé ses jambes, Marie le repoussait à nouveau et ainsi de suite.

Certains plus téméraires, ont mis leur main sur le haut des bas, elle baissait sa garde quand elle disait le mot pour que j'arrive, furtivement, il en profitait, car elle ne le retenait plus, nous n'avons jamais retrouvé de complice comme notre client coquin, peut être avons-nous été trop exigeant, ou simplement voulue avoir complètement l'identique.

Les clients joueurs étaient tous âgés, Marie me disait que les plus jeunes, eux arrivaient directement avec la bite à la main en se prenant pour les preux chevaliers, qui venaient pour apprendre à jouir, à la pauvre demoiselle, prisonnière du couvent marital, ils devaient penser qu'eux seuls avait un phallus, ceux-là, étaient rares, et ne revenaient plus à la maison, mais les autres, en règle générale, ils étaient tous taquins et ne cherchaient qu'a promener leurs mains.

Avec les clients, ça se passe comme ça, pour un projet, ils viennent au bureau d'étude, et on remplit un cahier des charges, une fois que le projet est chiffré, ils reviennent pour signer lors d'un repas d'affaires ou en principe, on se met d'accord sur les modifications apportées

Une fois, comme je le disais, un client "cuisses", ça faisait la troisième fois qu'il venait, les fois précédente, il avait déjà remonté assez haut sur les cuisses de Marie, il était sympathique, avec de l'humour, souriant.

Quand ils venaient au bureau d'étude, ils la saluaient ou alors elle venait leur dire bonjour, ce client-là, après avoir tripoté une première fois sur un contrat, au deuxième, il ne s'est pas démonté, il a donné une enveloppe à Marie ou dedans, il y avait un mot avec des bas en lycra, le mot disait.

Mettez ces bas pour quand je reviens, appelez-moi à ce numéro pour me dire que vous êtes d'accord, PS : si je suis absent, laissez le message au répondeur, je suis seul à l'écouter, ou dites simplement, Sté ….. C'est d'accord pour un rendez-vous, je reconnaîtrais votre voix, j'appellerais ensuite votre mari pour venir signer.

Le client avait le devis dans les quinze jours, il réfléchissait en moyenne quinze autres jours, puis rappelait, s'il ne le faisait pas, c'est moi qui rappelais, celui-ci me dit, qu'il n'avait pas encore eu le temps, j'attends encore une semaine et comprenant la raison, je dis à Marie de l'appeler, deux jours après, il me rappelait en demandant qu'on se rencontre, je lui dis "voulez-vous qu'on se voie autour d'une table, dans un resto cette fois.

Il répond, "je dois vous avouer que je préfère la cuisine de votre femme, quand je sors de chez vous, je n'ai jamais eu d'aigreur comme dans les restaurants, (en moi-même, je me dis, qu'il est bon le mec), je lui dis, "je vous avoue que moi également, je suis fragile, alors elle ne me fait pas de plat chimique", il répond, "confidence pour confidence, votre femme est bonne cuisinière et je me régale à chaque fois".

Après ces petits compliments de sa part, même si je savais qu'il pensait ce qu'il disait et ne disait pas tout ce qu'il pensait, RDV est pris pour le vendredi soir, il faisait partie de ceux qui arrivaient avec un bouquet de fleurs, ce soir-là, il arrive avec un bouquet plus important que d'habitude, et plus impressionnant que ceux des autres.

Marie va lui ouvrir et lui dit, " il ne fallait pas", il répond a voix basse en la voyant, attrapant sa hanche, "si, vous êtes magnifique, vos jambes m'ont manquée, vous ne vouliez pas m'appeler", elle lui dit comme on avait convenu, qu'elle a eu une grippe et qu'elle ne va mieux que depuis le WE dernier, à table, je glisse la même chose dans la conversation.

À l'apéritif, je vais souvent en cuisine pour soit des glaçons que j'ai oubliés exprès, soit une cuillère pour les prendre, je restais plus qu'il ne fallait, je savais qu'il profitait pour passer sa main, bien souvent, je continuais de lui parler, cette fois-là, il sort un string de sa poche, neuf, avec encore l'étiquette (sans le prix), il lui demande d'aller le mettre, qu'elle a mis ses bas, qu'elle pouvait mettre ça aussi.

Comme il brandit le string, elle le cache, quand je reviens, elle me le cache en sa présence et en allant en cuisine, elle me demande, " tu as touché au four", je dis, "non", et vais voir, elle me demande en chuchotant ce qu'elle doit faire en me le montrant, je hoche la tête signifiant un oui, elle était contente d'aller le mettre, car ça voulait dire qu'il va lui demander de voir.

Le repas se passe, il fait du pied comme d'habitude où elle se laisse faire à moitié, puis au café, comme à chaque fois, je fais celui ayant oublié un document dans la voiture, pendant ce temps, il tripote les jambes et cuisses de Marie qui se repousse à peine, puis quand il entend la porte extérieure, il se lève du canapé, regardant à l'extérieur, et lui dit.

On dirait votre mari là-bas, elle se lève, pour regarder comme lui, elle a les jambes contre le canapé et se tient au dossier pour regarder à l'extérieur, à ce moment-là, il passe sa main sous sa robe en lui maintenant le déséquilibre, l'obligeant à se maintenir sur le dossier du canapé, il lui a fait rouler le clito sous ses doigts, impuissante à se dégager du fait de son déséquilibre, elle a fini par céder en écartant les cuisses pour le laisser œuvrer, il n'a rien tenté d'autre.

Elle n'a pas eu suffisamment de temps pour jouir, il a arrêté dés que j'allais ouvrir la porte de dehors, j'ai laissé suffisamment de temps pour du tripotage, mais pas pour plus, quand il a arrêté, il a demandé s'il pouvait avoir son string en partant, elle lui a rendu en disant bonsoir, Marie me raconte tout, sans me mentir, elle sait que je ne suis pas jaloux du plaisir qu'elle prend avec un autre, ce soir-là, elle était prête à jouir sous ses doigts.

Ce qui venait de se passer ne me gênait pas, mais c'est la suite qui peut amener des désagréments, mais ce client n'est pas venu la relancer, l'année suivante, j'ai appris qu'il a été victime d'un dégraissage et le service recherche n'existait plus, ce qui a été dommage, mais avec Marie, nous n'avions pas pris de décision le concernant, devait-elle continuer, arrêter, on avait remis à plus tard notre décision.

Mais tous les clients n'étaient pas là que pour ça, car les contrats pouvaient se régler hors repas, bien souvent, ils venaient uniquement pour la compagnie de Marie, juste pour discuter avec elle, à ceux-là, je justifiais un empêchement de dernière minute, je les laissais seuls avec, ne revenant que deux ou trois heures après, pour parler boulot sur des détails que Marie ne pouvait pas répondre, bien souvent, je rejoignais la copine.

Méfiant depuis Lucien, j'enregistrais la vidéo de leur soirée ou rien ne s'était passé, le client aidait Marie à débarrasser la table, je ne voyais que la salle et le salon en vidéo, mais le peu de temps hors du champ des cameras, était trop court pour qu'il puisse y avoir eu quelque chose, et s'il y avait eu, ils auraient continué au salon, il arrivait souvent qu'en arrivant de mon faux rendez-vous, le contrat était déjà signé, le client disait, "nous avons travaillé pendant votre absence".

Il arrivait qu'avec ces clients, d'inviter également Annie ou la copine ou bien les deux, tout le monde étaient ravies, car en m'excusant de les avoir invités et laissés en plan, ils disaient, qu'ils ne pouvaient pas être en meilleures compagnies, ou alors disant, "sans vouloir vous offenser Mr Henri, j'ai largement été gagnant au change".

Une fois, Annie avait en discutant, avait donné une marche à suivre à un client pour son affaire personnel, il a pu se démêler d'une fâcheuse histoire, et m'a envoyez une gerbe de fleurs à son intention.

Pour conclure, depuis qu'on a écrit mes aventures, j'ai appris qu'Annie, sa copine et Marie faisaient des trios ensembles, la copine en faisait avec Annie et son mari comme elle en faisait avec Marie et moi, ensuite, j'ai eu droit de les avoir toutes les trois dans mon lit, mais je me sentais tenant un cierge, les gêner plutôt qu'autre chose, alors quand cela arrive, elles font comme si je n'étais pas là, je fais le voyeur aux mains baladeuses, m'occupant de la plus délaissée.

Toutes les trois sont inséparables et complices, la copine ne cherche plus de copains, elle dit aux deux autres que leur mari et elles lui suffisent, aux vacances, j'ai toujours Helene qui passe, j'ai Olga quand elle vient, je me dis toujours que c'est dommage qu'elles ne soient pas bi, nous voyons toujours les copains, coucou, l'effleureur, nous faisons souvent (le mari d'Annie et moi), des fêtes où on invite tout le monde

Le mari d'Annie fabrique toujours des cocus, moi, je ne cherche plus à avoir mon quota de 100 femmes, mon boulot, ça roule, même si ce n'est pas comme à la belle époque, avec Annie, on s'était souvent demandé si nous n'allons pas mettre sa copine dans la confidence de ce récit, c'est chose faites depuis.

Annie aimerait remplacer Marie à certains repas d'affaires avec des nouveaux clients, on a donné notre accord, cela se fera dés qu'on pourra, elle passera pour sa sœur, à ce jour, je n'avais encore jamais pénétré Annie, et son mari n'avait pas pénétré Marie, mais depuis le retour de vacances, après concertation, nous avons décidé à l'unanimité de s'échanger nos femmes.

Le lendemain, nous regrettions tous, de ne pas l'avoir fait avant, dorénavant, je vais chez Annie, son mari vient chez nous, ou c'est Annie qui vient et Marie va chez eux, des fois, on dort chez eux ou ils dorment chez nous, d'autres fois, j'ai Annie et Marie dans mon lit, son mari est avec la copine, d'autres fois, j'ai la copine et son mari a les deux autres, cela va se calmer, là, on rattrape le temps perdu.

Par contre, on n'est jamais tous les deux ensembles, il est arrivé aussi que l'un de nous ait les deux femmes, il s'en occupe et quand il a fini, les femmes vont se laver et viennent avec l'autre, il a été décidé qu'a l'anniversaire de l'un de nous, les 3 femmes s'occuperont de l'un de nous, mais uniquement a notre plaisir égoïste, sans spécialement leur en donner, Annie me dit, tu te rappelles, je l'avais dit qu'il ne fallait pas dépasser les 5 km, c'est même trop loin, en fait, par le chemin, il n'y en a que 2 km, on avait pensé l'empierrer, mais on s'est dit qu'après, ça risque de favoriser les passages.

On est tous conscient que d'ici un mois ou deux, on espacera nos échanges, mais comme son mari dit, "que le sperme coule à flot", lui et moi, on a boosté notre libido, on ne sait pas ce que cela durera, mais pour le moment, on en profite, les affres de l'âge nous guettent, nous vidons nos derniers chargeurs dit il, surtout lui qui est plus vieux, les femmes sont encore plus que bandantes, entre elles, elles se poussent à s'entretenir, elles se concurrencent, elles savent que dans 5 ou 10 ans, elles ne seront plus désirables.

Ou beaucoup moins, nous, on aura peut-être plus de pêche là ou il faut, notre vie sexuelle se résumera à des souvenirs, ainsi va la vie, tout le monde y passe, ce que je voudrais dire à ceux qui me lisent, qu'il faut pardonner ce qui est pardonnable, ne jamais laisser son orgueil agir sur un coup de tête, si Annie, ne m'avait pas bousculé, qui sait la vie médiocre que j'aurais eue

Pour info, il parait que mon rivale Lucien, d'après Hélène qui le sait par ses enfants, vie dans un taudis avec une femme qui n'est pas prés de le faire cocu, Olga et Helene, vieillissent normalement, elles envient Annie et Marie pour leur physique naturel.

Voici la fin de mon histoire, je coule maintenant des jours heureux avec une femme que j'aime et qui m'aime, entouré de très bons amis et amies coquines ou non, tout avait mal commencé, j'avais pris une grosse baffe très douloureuse pour "secourir" une très belle femme, et ensuite une autre très belle femme qui était ma femme, m'a fait souffrir bien plus encore, elle s'est rattrapée depuis.

Je pense que sans la baffe prise, et si je n'avais pas été cocu, j'aurais eu une vie très fade et sans intérêt, une vie de fonctionnaire s'emmerdant dans son HLM, qui attend sans s'en faire, que l'heure de la retraite sonne, en mangeant du poulet aux hormones.

Pour ceux qui vont poser la question : est-ce que quand Annie venait pour écrire le récit que je racontais, nous ne faisions qu'écrire, la réponse est NON, bien souvent, on faisait une pause crapuleuse au bout d'une demi-heure, Annie était bien plus raisonnable que moi qui voulais déjà au bout de 5 minutes ?

FIN.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Vengeance heureuse d'un cocu 16

Le 23/01/2019 - 20:05 par annizette
merci, le cocu "proxénète" n'est pas le mot, jamais elle n'a fait pour de l'argent ni un quelconque avantage matériel, seul les plaisir des 2 comptait, joindre l'utile a l'agréable, quand un projet était soumis a une partie de jambe en l'air, elle le disait à Henri et avec mon mari, on s'arrangeait pour "baiser" l'indélicat
Le 23/01/2019 - 19:08 par mangouste
Une très longue histoire, je suis tombé sur un candauliste malgré le titre « vengeance – cocu ». Début un « cocu vengeur » un « cocu dominateur » (peut-être), un « cocu proxénète », mais pour finir surtout un « cocu content », une femme « soumise » tendance S-M et un groupe d’amis très libertins. Mais j’ai dévoré du premier au dernier chapitre, tout en me réjouissant des orgasmes à répétitions de MARIE. ANNIZETTE MERCI ….j’ai passé deux bons après-midi.

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