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Vengeance heureuse d'un cocu 2

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Lue : 3522 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/05/2015

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Suite

Quand je sonne, elle m'ouvre, elle est magnifique, elle c'est mise sur son 31 comme on dit, sexy sans être vulgaire, je fais un discret wouaaa qu'elle apprécie d'un sourire, nous sortons et je l'emmène la ou nous n'allons jamais avec marie, la journée se passe, et en fin de soirée, je lui dis "Lucette, je vais être honnête avec toi, a part la beauté, tu n'a rien de comparable avec ta copine Marie, elle me dit, camarade d'école s'il te plaît, il y a du monde autour, voyant que je parle de façon entre coupés, elle me dit "toi, tu veux me demander quelque chose et tu n'ose pas", je lui dis, c'est un peu ça, si je n'étais pas marié, je te demanderais en mariage, mais hélas, je le suis marié, je poursuis en disant "non, je ne veux rien te demander, juste me rabaisser peut-être a tes yeux, ça ne me sera pas glorifiant, mais ne rien te dire, t'avoir menti, j'ai l'impression de te salir, je me tourne pour voir si on est pas entendu et elle me dit, tu veux qu'on en parle chez moi, je lui dis si ca ne te dérange pas, elle répond avec humour, "comme tu m'a assuré de ne pas me demander en mariage", je lui répond sur le même ton, 't'inquiète pas, moi je n'attrape que des s.....Garce, holà me dit-elle, vient, rentrons, ça m'a l'air grave, je m'en doutais déjà depuis l'autre fois.

Arrivé chez elle, elle me sert a boire, un alcool blanc, puis je lui dis, que ça m'embête de l'ennuyer avec mes soucis, elle répond, quand j'ai eu les miens, j'ai trouvé quelqu'un qui m'a écouté et cela m'a bien aidé, elle me relate plus détaillé son " largage" et une fois fini, elle me dit, tu vois, ca ne peut pas être pire, je me lance, et je dis, dans un adultère, il y a au minimum, un amant, une amante et un ou 2 cocus et moi je ne suis pas l'amant, elle tente de me rassurer en disant que si je ne l'ai pas vu de mes yeux, etc, etc, je dis, je n'ai pas vu l'acte sexuel, mais j'ai vu les petites délicatesses et baisers sur la bouche, la dessus elle ne dit plus rien, elle est si belle devant moi, si soignée, je lui dis, tu vois, je devrais être en train de te draguer, de me pendre a ton cou, de te prendre les mains, et au lieu de ca, je suis une loque, elle me répond, "je me doute de ce que tu ressens, tu le connais", et la, je me jette a l'eau et lui dis tout, que c'est un type qui a fait un an a l'école et est parti, que ma femme c'est marie, elle a un mouvement de recul et dit merde, ho pardon, quelle conne mais quelle conne se dit-elle, je lui dis non, tu ne m'a rien appris, tu as juste avancé ce que j'aurais appris plus tard et je t'en remercie

Je lui indique aussi que cela fait plus de 6 mois que petit à petit, les détails s'additionnent, le puzzle commence a être reconnaissable, je lui parle des draps, des bijoux, disant que grâce a elle, j'ai économisé une bague que j'aurais jeté a la poubelle, ses sorties, ses mensonges, sa méchanceté a mon égard en ayant mis sa collègue dans la combine, qui l'a surement fait savoir a toute la boite, je devais avoir une super réputation quand ses collègues me voyaient, pareil pour elle

elle me demande ce que je compte faire, je dis, déjà divorcer puisqu'on ne s'aime plus, mais avant, je vais lui apprendre ce qu'est la souffrance mentale, je vais frapper avec les mêmes armes, le mensonge et l'humiliation, cela ne me rendra pas plus heureux mais atténuera ma souffrance, il n'y a pas de raison que se soit les mêmes qui souffrent, je ne suis pas un loup, mais je ne suis pas non plus un mouton qu'on peu tondre et jeter ensuite

Je lui dis, que je ne voudrais pas déranger plus longtemps avec mes jérémiades, j'ai senti qu'elle voulait me dire de rester, mais elle n'a pas osé et je n'étais pas en état psychologique non plus, je prends congé, je lui donne mon téléphone du boulot et aussi le mien en lui disant de ne pas appeler, arrivé a la maison, marie est dans tous ses états, elle me dit qu'elle était inquiète, comme j'ai pris de l'alcool, ça se sent, je lui dis que je suis fatigué et vais me coucher sans prendre ma douche, j'évite ainsi son contact, elle me demande qui m'a fait boire, car elle sait que je ne bois jamais plus que de raison, elle insulte mes copains en disant que j'aurais pu avoir un accident grave a conduire, je reste en boxer et m'affale sur le lit, et je fais celui qui s'endort, elle reste la soirée devant la télé, si son amant était libre, elle aurait probablement été le rejoindre

Le matin, je me lève de bonnes heure, la nuit, une idée machiavélique m'était venue, une idée qui m'aurait vengé, et justifié de ne plus avoir de rapport, pendant qu'elle regardait la télé, je m'étais levé en douce et la regardais sur le canapé, en petite tenue, elle était trop belle pour moi me dis-je, ma boule au ventre me revient ainsi que les années de bonheur a ses côtés, j'ai l'espoir qu'avant ces 6 derniers mois, j'étais le seul dans son cœur et aussi dans son lit

Au petit matin, on déjeune en silence quand elle me dit, alors, tu m'expliques pour hier soir, je lui réponds " quoi, tu veux que je dise comme Steph, ce copain misogyne que tu n'aimes pas, si un homme boit, c'est parce que sa femme lui a donné une raison de le faire", un silence puis elle dit, soit sérieux, je réponds, le sérieux ne va pas être joyeux, je voulais t'épargner, mais je ne peux pas te le cacher, j'ai été au médecin, j'ai fait des examens et ils ne sont pas bons, voilà l'explication des mauvaises semaines passées, l'air grave, elle me demande ce que j'ai, je réponds, que ce n'est pas facile a annoncer,

Elle insiste en me plaignant et je lui dis, et bien voilà, mais avant toute chose, je dois te jurer sur la tête de mes parents et sur celle des enfants que nous n'aurons jamais, que depuis qu'on est ensemble, a aucun moment, je ne t'ai trompé avec une autre," je le sais mon chéri, j'ai une absolue confiance en toi, mais dis moi, qu'est-ce que tu as", l'air grave, en faisant ressortir ma peine sur ce qu'elle m'a fait, mes yeux se mettent à briller et je lui dis, "j'ai le sida", elle se lève en disant mon dieu, elle fait les 100 pas dans la maison, elle ne sait plus quoi dire, je lui redis, je te jure, que jamais je n'ai eu d'autres femmes depuis toi, elle ne m'écoute plus, elle réfléchit, puis elle pleure, elle se trahit en ne me faisant aucun reproche, elle tourne, elle tourne, pleure, se ronge les ongles, je n'ai aucun plaisir a son désarroi, je me sens moins con, c'est tout, le cornard vous baise que je leur dis en moi-même, ils vont passer plusieurs nuits blanches comme ils m'ont donné


je vais au toilette pour voir sa réaction, elle ne cherche même pas a lui téléphoner, elle n'a probablement pas le téléphone de sa maison, les putes n'ont droit qu'a celui de la garçonnière, je profite d'un instant d'apaisement pour lui dire, "si je n'avais pas confiance en toi, je penserais que tu as un baiseur professionnel qui trempe sa bite dans tous les trous qu'il trouve, il parait qu'un porteur du sida peut ne pas le savoir, rester longtemps sans le savoir, mais contaminer d'autres personnes qui elles deviennent vite malades (j'invente tout cela), mais cela ne peut pas venir de toi, et de moi non plus", elle vient sur moi, je la recueille 5 secondes puis lui dis, je vais repasser un examen pour confirmation, alors jusqu'a la pas de rapport, car s'il n'y a que moi qui suis contaminé, inutile que tu le sois aussi

il y a un arc en ciel dans mon cœur, je l'aime d'un coté et la déteste de l'autre, en moins de 6 mois, elle a balayé, enterré, enfouis, détruis plus de 9 ans de bonheur, la journée se passe, la plus mauvaise de sa vie surement, la mienne c'était quand Lucette m'a dit l'avoir vue avec Lucien, les jours suivant n'ont pas été mieux, j'imagine quant elle l'appellera a son boulot pour le lui annoncer car même s'ils se sont protégé, ils se diront que la capote a du se percer. J'ai l'espoir qu'elle me dise la vérité, cela ne changera rien pour nous, je n'en veux plus de toute manière, elle a cassé une chose qui ne se répare pas.

je m'en moque complètement du plaisir qu'elle a prise avec lui, quoi que j'aurais préféré qu'elle me demande de coucher avec 10 inconnus qu'avec quelqu'un dont il sait qui je suis, même si je n'étais pas ami avec lui, mais si je pardonnais, la vie serait impossible pour tous les 2, pour une minute de retard en rentrant de course, de son travail ou toute autre sortie sans moi, je penserais qu'elle a repris un amant, si un soir elle aurait vraiment une migraine, je penserais qu'elle a un amant au boulot, au restaurant, elle n'aurait qu'a dire que le serveur est mignon, j'aurais dans la tête qu'elle retournerait le voir dans mon dos, pardonner ca reviendrait a échanger sa Mercedes neuve contre une Simca usée, rouillée et en panne

le lundi, je me lève avant l'heure, j'ai dormi un peu, elle, elle a pleuré tout le temps , je lui dis que je pars tôt afin de me changer les idées, être a fond dans le boulot, je serais d'ailleurs chez un fournisseur (afin qu'elle ne m'appelle pas), je lui dis qu'elle devrait se reposer, prendre des jours, moi je file chercher le scoot chez le copain et je pars chez son amant, j'attend au loin, c'est lui qui emmène ses enfants a l'école, je le suis, il va a son travail ensuite, je patiente a peine une demi heure, il court a sa voiture, je le suis encore et je constate qu'elle l'a appelé car il va a un laboratoire, quant il sort, sa mine est grave, je jubile, je regrette même que se soit une fable. il revient travailler, je retourne chez lui ensuite, je regarde un nom de rue plus loin, je sonne, sa femme vient me voir a la petite porte, "bonjour madame, je viens voir votre mari , il est parti dit elle, ce salaud a une belle femme aussi, plus jeune, elle a l'air gentille, sympathique, après avoir dit que son mari devait m'attendre, afin de ne pas être lourd a répéter, les mêmes choses, je dis, je ne suis pas fou quand même, 10 rue des roses, et la elle me dit, ha je comprend, vous vous êtes trompé de rue, c'est celle d'après, je réponds, "j'aurais du m'en douter, vous êtes bien trop jolie pour celui que je viens voir, comme je repartais, elle a eu un sourire, je la remercie et pars a la maison, après avoir rendu le scoot

je ne savais pas si elle était partie, mais elle est là, ses beaux yeux sont brillant et hagard, elle est négligée, pas habillée, je la remue un peu, je prend le téléphone qui affiche les 5 derniers numéros composés, mais celui que j'ai fais ce matin n'est plus, je peste après le téléphone qui ne garde pas en mémoire, inquiète elle me demande ce qu'il y a, je lui dis que le téléphone ne fonctionne plus, il perd les numéros, je rajoute que j'ai demandé la facture détaillée et que je vais contrôler les numéros appelé car je crois que télécom nous vole, son air la trahit, elle dit, "tu crois qu'on a pas des problèmes plus important que ca, on s'en fout de la facture, je dis oui tu as raison, mais comme on ne peut plus s'aimer, ca me passera le temps, l'après midi, je vais travailler et rentre tard pour récupérer, a part pour son test, elle est resté a la maison et personne n'est venu, je suis rentré a 22 heures, j'ai fais ma journée, le lendemain, je pars travailler, je m'avance dans le boulot, pour les jours ou je n'y viendrais pas, elle pleure, elle se met sur mon épaule devant la télé, je la repousse en disant, non, c'est déjà dur sexuellement, inutile de raviver la flamme


Elle a été au docteur se mettre en arrêt maladie, justifiant vu son état d'une dépression, je lui avais dit de ne rien dire, le vendredi, je lui dis que je passerais peut-être si je peux en matinée car je ne serai pas loin, contrairement a l'après-midi où j'aurais de la route a faire, elle est tellement effrayée qu'elle ne réalise pas que je ne vais que très rarement en déplacement, le vendredi a 11 heures, j'emprunte encore le scoot et attend qu'elle sorte, il y a de l'eau dans le gaz car elle reste a la maison, a 16 heures, j'ai attendu pour rien, je rend le scoot et téléphone a Lucette pour passe la soirée avec, elle me dit d'accord si c'est elle qui m'invite, elle me dit de venir quand je veux, je lui dis, ne dit pas cela, sinon j'arrive maintenant, elle répond, laisse-moi une heure quand même

je passe a la maison, me changer, me laver, je dis de ne pas m'attendre, que je suis sur un gros contrat, elle gobe tout, alors que je ne m'occupe jamais de ça, en partant, je lui dis, si j'arrive a l'empocher, ca sera la plus belle chose de ma vie, le mois dernier, c'était elle la plus belle chose de ma vie, j'arrive chez Lucette avec un bouquet de la taille que Marie recevais de son pied nickelé, le pauvre type me fait pitié, et je n'ai pas fini avec lui, lundi je porterais l'estocade

J'arrive chez Lucette, elle me reçoit dans une tenue des plus sexy, elle me dit, "j'essai de te rendre moins triste", ce soir tu réussi, je lui raconte les derniers événements, "ho les pauvres fait elle" je dis oui, les pauvres, ce type risque de voir sa famille partir et elle, elle a jeté au panier un homme qui l'aimait comme un fou et pas que pour son cul

Après avoir parlé d'eux, on change de sujet, nous nous occupons de nous, de nos projets personnels, de notre passé, de nos retrouvailles, j'ai retrouvé le sourire, elle sourit depuis toujours, je retrouve en elle, ma marie des premiers jours, je ne le lui dis pas afin de ne pas la comparer, Lucette n'est pas aussi jolie, sur une note allant a 10, si je donne 9 a marie, Lucette a 8, de la regarder, voilà que je me mets à bander, c'est bon signe, par moment nos regards se parlent, je n'ose faire le premier pas et surement que pour elle, c'est la même chose, je lui dis que dans une semaine encore, la situation se sera décanté

Le samedi, Lucette sera absente, elle a promis d'aller chez ses parents, elle me dit, tu veux m'accompagner, je saute sur l'occasion, elle part le samedi matin, je préviens mari le samedi juste avant de partir, ne me laisse pas seule dit-elle, je réponds, avec ce que j'ai, je dois revoir une dernière fois certaine personnes, elle pleure de plus belle, elle a transformé mon cœur en pierre, je pars sans lui dire a demain, le samedi, son amant est en famille, elle sera toute seule

Ma voiture étant plus confortable, on la prend, je passe le WC avec Lucette, je re vie, Marie s'éloigne de plus en plus dans ma tête, a un moment, je me dis qu'elle pourrait se suicider, de m'avoir trompé et d'en être punie, même si je ne le souhaite pas, ce cas de figure ne me dérange même pas, le WE de mes tortionnaires va être le plus morbide de leur vie

Même si je passe d'agréable moment avec Lucette, l'image de Marie avant l'adultère, la marie amoureuse de moi, ma Marie, est toujours là, là bas, je retrouve certains copains restés, Lucette visite les siens, si elle n'hésite pas a raconter sa vie foirée, moi, je n'ose pas parler de la mienne, j'évite ou détourne le sujet en demandant ce qu'untel est devenu, tantôt chez une amie de Lucette, tantôt chez un copain a moi, nous leur disons que nous sommes venus ensemble pour partager le trajet, bien sûr mes copains souries et ses copines également, les parents de Lucette sont très gentil, nous marchons beaucoup avec Lucette, je n'ai plus aucun doute maintenant, Lucette me regarde de plus en plus différemment qu'au début, mais je m'interdit de la faire souffrir

Le soir, donc, en se promenant, je lui dis qu'elle ne me laisse pas indifférente, qu'elle me plaît même beaucoup, qu'en ce moment, mon cœur saigne, que je ne suis pas moi-même, que je ne voudrais pas la faire souffrir du fait que je ne suis pas sur de mes sentiments pour elle, je lui dis que physiquement, elle m'attire beaucoup, qu'elle est très belle, très désirable, de très bonne compagnie, que j'éprouve des sentiments pour elle, mais qu'intérieurement, je souffre même si j'ai définitivement perdu Marie, je ne l'aime plus, mais je l'ai aimé, je lui dis qu'en ce moment, je serais un bien piètre amant, certains gestes, certains mots, certaines situations, certains endroits me rappelle marie

je ne suis pas un saint ni un morceau de bois, au boulot, je côtoyais certaines femmes aussi belles, elles me donnaient des érections, des envies de coucher avec, mais l'amour que j'avais pour Marie, était bien plus fort, bien sur j,'aurais pu succomber, mais une fois, par accident, il n'y aurait pas eu de 2eme fois, j'aurais tout fait pour fuir une même situation, je ne lui aurais peut être pas avouer pour ne pas la faire souffrir, mais jamais je n'aurais laissé une autre se mettre entre nous comme elle l'a fait, jamais je n'aurais pu l'humilier de la sorte

On s'arrête de marcher, se faisant face et je lui dis, tu comprends ce que je veux dire, elle ne répond pas et sans que je m'y attende, m'embrasse fougueusement, je réponds à son baiser que j'attendais malgré moi, on reprend notre souffle, elle s'excuse, cette fois-ci, c'est moi qui l'embrasse, par envie bien sûr et aussi pour lui montrer que moi aussi, je l'aime, cette fois-ci, mes mains s'emparent de son corps, je la presse contre moi, on reprend notre souffle

Je lui dis "écoute Lucette, je ne t'ai pas menti, tu connais tout de moi, tu sais ce que je pense, tu sais que je ne te mens pas, tu sais où tu vas avec moi, moi, je ne le sais pas encore, j'ai envie de toi, je n'ai plus d'amour ni d'envie pour elle, mais elle est encore dans mon souvenir, je ne sais pas le temps que cela va durer, je n'ai aucune expérience la dessus, mais j'ai envie de toi, je suis bien avec toi, je suis heureux quand je suis avec toi, je suis heureux quand je vais te rejoindre, je suis triste quand je te quitte


J'avais scrupule de la tromper en sachant qu'elle ne se gênait pas, j'ai aussi peur d'être mauvais partenaire, depuis ce baiser, je n'en suis plus certain, j'ai envie de toi, tu me plais depuis toujours, a l'école, comme Marie, pour moi, tu étais inaccessible" elle me dit "on est idiote à l'adolescence, on ne voit que ce qui brille, on ne voit que le mince verni, la vie nous apprend a le gratter, sauf pour certaines qui n'évoluent pas", oui comme Marie dis-je, je suis un idiot même a mon âge, je n'ai pas vu en elle la vipère, elle me dit ensuite, que la fois où l'on s'est rencontré au médecin, qu'elle m'appréciait déjà, elle ne disait rien, car elle ne savait pas si cela était réciproque et quand elle m'a demandé si j'avais une copine, comme j'avais dit oui, elle a renoncé

Je lui réponds que j'étais le roi des imbéciles cette fois-là, je n'avais aucune copine, je me la suis inventé pour ne pas passer devant toi pour ce que j'étais en fait, un idiot, cette prétendue copine a perpète était dans mon imagination peu réfléchie, elle me répond qu'elle a été aussi idiote que moi en inventant également un prétendant, voilà ou le mensonge mène de toute façon, nous méritons presque notre malheur

Je lui dis, "on a été des imbéciles tous les deux, mais on n'est pas obligés d'y rester, j'ai envie de toi, mais la semaine qui viens, je vais faire quelque chose qui risque de déplaire, de te déplaire, pas de bêtises dit elle, non ne t'inquiète pas, rien de répréhensible, ni de violent, ça sera même le contraire, mais bon, rien n'est sur pour le moment, ca m'ennuie de le faire mais si je ne le fais pas, ou que je n'arrive pas a le faire, j'en aurais des complexes , dit moi tout dit elle, je lui dis, il a couché avec ma femme, je coucherais avec la sienne, dans notre rivalité, il aura plus de point sur le nombre de fois, moi j'en aurais pour avoir eu la mère de ses enfants et que cela ne m'aura rien couté du tout contrairement a lui, j'aurais eu son épouse, lui aura eu une pute.

Lucette ne sourit pas a ce que je viens de dire, elle ne dit rien, je poursuis en disant, que c'est du sexe sans amour, du plaisir brut, comme surement marie avec moi depuis 6 mois, je lui dis, comprend que si je ne le fais pas, ce type sera toujours un obstacle, je l'entendrait toujours me dire dans ma tête," je suis meilleurs que toi, j'ai baisé ta pute, et même si tu m'a emmerdé, il me reste mon épouse qui elle est clean", la loi du talion, la seule loi juste et efficace en ce bas monde, a ce sale type, je pourrais le ruiner, lui casser la figure, je pourrais lui faire n'importe quoi en laissant sa femme, il serait encore le grand gagnant

Je suis mal de la faire souffrir, mais je lui dis qu'en ce moment, il n'y a rien entre nous encore, nous ne sommes pas encore amant, nous avons une attirance, nous sommes comme marie et juliens avant qu'ils aient consommés, chacun savait qu'en rentrant chez lui, il copulera avec un ou une autre, je ne sais pas si ces deux-là s'aiment ou aiment juste baiser ensemble, il lui fait des cadeaux, mais il a les moyens, peut être que ca lui revient moins cher qu'une pute de la madeleine, avec en plus, l'amour de celle ci, il l'a séduite pour qu'elle vienne régulièrement, ensuite, pourquoi que le vendredi, est ce parce que c'est sa seule demi journée de libre et que lui le WE est en famille, ils ne font pas que baiser, ils sortent au resto déjà, je ne sais pas ce qu'ils ont pu faire avant ce jours ou je les ai surpris, il y a deux enfants chez Lucien, est ce les siens, je saurais cela bientôt

Pour cela, je dis qu'avant de faire quoi que se soit, il me faut des preuves pour divorcé a son désavantage, je ne veux pas lui devoir une pension, ça serait un comble, j'ai déjà fait quelques photos, ils se tenaient par le bras, mais ce n'est pas assez compromettant, il faudrait les surprendre sur le fait, mais comment rentrer chez eux, Lucette me dit qu'il faudrait que je lui pique ses clefs, je lui dis que c'est un digicode, elle dit oui la porte de l'immeuble mais chez eux, elle m'apprend que marie a surement les clefs, en plus, elle a le code, elle m'avoue aussi avoir eu une relation de ce genre a une époque et la première chose que son amant a faites, c'est surement de lui donner les clefs, je ne la vois pas poireauter dehors si lui a un retard dit elle, je n'ai jamais fouillé dans son sac a ce point

Lucette sans vouloir remuer le couteau dans la plaie, parle d'elle, mais en l'écoutant, je me doute qu'elle parle de Marie, elle me dit qu'a l'époque, elle s'ennuyait avec celui avec qui elle était, elle ne l'aimait pas, elle était avec pour ne pas être seule, et puis un beau parleur est passé, il m'a écouté, il m'a fait rire, je me suis confiée a lui, il m'offrait ce que mon compagnon ne m'offrait plus, fatalement, on est devenue amant un jour où j'étais le plus mal, quand après avoir baisé, j'ai dis qu'il fallait que je rentre, qu'on n'aurait pas du, il m'a tendu un double de ses clefs en me disant, si ça ne va pas, tu viens quand tu veux, j'allais repartir et puis je me suis jeté dans ses bras pour l'embrasser en lui disant que je reviendrais, mon compagnon de l'époque n'en a jamais rien su, pour cause, il me trompait de son côté, je l'ai su qu'après, j'avais avec l'amant, ce que je n'avais plus chez moi, du moins je croyais l'avoir, car en fait, il voulait un gibier a son tableau de chasse, il n'était pas marié mais il en avait d'autre comme moi, les premières semaines, on se voyait un jour sur deux, et puis au fil du temps, c'a s'espaçait de plus en plus, pendant 3 mois, j'ai attendu qu'il me propose de vivre ensemble, comme cela ne venait pas, je me suis détachée petit a petit, je suis sur que si je lui avais demandé des le début, il m'aurait trouvé une excuse pour que je patiente, Lucette me dit donc que si marie a le digicode, elle a aussi les clefs de l'appartement, quelle femme adultère attendrait devant la porte de l'amant, a la vue des locataires de l'immeuble

le WE se passe bien, nous ne nous embrasons plus sur la bouche, mais nous sommes collés l'un a l'autre, nous nous touchons les mains, souvent on s'embrasse sur la joue, nous rentrons, je sent Lucette triste et ça me désole, je la regarde et lui dit que je suis en train de tomber amoureux, si cela n'est déjà fait, je lui demande si le mois prochain, elle aimerait venir vivre avec moi, l'appartement est resté a mon seul nom, et avec ce que je compte faire, elle ne pourra pas y rester vu qu'elle est en faute, de plus, ses moyens ne lui permettront pas, son amant se débrouillera avec elle, elle verra sa bêtise, marie est belle, mais sa femme est belle aussi, s'il n'a qu'elle comme maitresse il l'installera dans son studio, s'il en a d'autres, elle ne viendra que son jour du vendredi, si elle a les clefs, je pense qu'il n'a qu'elle, il est marié quand même

Arrivé a la maison, marie me saute au cou, je lui redemande de ne pas rendre plus difficile notre attente, je fouille son sac en douce, et en effet, tout au fond d'une pochette, je vois 2 clefs que je ne connais pas, ses clefs de maison sont a part et dessus, il y a 2 autres clefs aussi, mais je sais qu'elle a les clefs de son bureau, j'opte donc pour les clefs cachées, j'allais les lui prendre, mais je me suis dit que si elle allait là bas pendant que je suis au boulot et qu'elle ne les trouve pas, elle se douterait de quelque chose, je les lui laisse donc et le lendemain, je demande à Lucette de passer dans la rue et les prendre pour aller faire un double dans une grande surface ouverte tard et les rameners a la voiture, ainsi, je fais celui qui va a ma voiture prendre un dossier pour donner les clefs a Lucette ainsi que mes doubles de voiture pour qu'elle les remette dedans, on synchronise le rendez-vous a la voiture et d'une cabine, elle me fait sonner le téléphone pour me dire qu'elle a déposé les clefs, j'attend un peu puis prétexte qu'une feuille a du tomber sous le siège, comme je ne reste pas longtemps, marie ne pense pas que je ment

Je descends à ma voiture et Lucette m'attendait, alors que je lui avais dis de juste les laisser, je lui dis non, si on nous voit, c'est foutu, je lui indique une rue derrière au cas ou on nous verrait, comme elle est la, je lui demande de donner 2 coups de téléphone, sans parler, des que je dis, allo, elle raccroche, on synchronise l'heure, je remonte, trouve le moment pour remettre les clefs, peu après, le téléphone sonne, je décroche et raccroche peu après, elle me demande qui est ce, je dis que je ne sais pas, des que je dis allo, ca raccroche, 5 mn après, c'est pareil, je lui dis, ha qui c'est qui appelle, si ca sonne a nouveau, tu dira allo, j'écouterais, aussitôt je vais au toilette, mon stratagème fonctionne, marie appelle la garçonnière, ca sonne mais comme il est chez lui, ca ne réponds pas, je sors au moment ou elle allait raccrocher, je me précité pour prendre le combiné pour dire, en criant, "ca vous amuse", marie se dit que je crois que le téléphone a sonné et qu'elle a décroché, cela l'arrange que je crois cela, je classe dans mon faux dossier, elle va a la télé car elle ne peut justifier sa présence au téléphone, je sens qu'elle me surveille voir si je consulte le dernier numéro appelé

Au bout de 20 minutes, je prends le téléphone, marie me regarde en coin, je note sans qu'elle s'en doute le numéro inscrit, celui de la garçonnière, et j'appelle un copain que mari n'aime pas, je lui demande si samedi, il est chez lui, que j'ai besoin d'un renseignement électrique, je discute un peu avec le copain puis raccroche et vais au WC, en revenant, marie dit qu'elle va se coucher, je lui dis que je finis ce que je fais et que j'arrive bientôt, dés qu'elle est dans la chambre, je recontrole les numéros appelés, il n'y a plus aucun numéro, le , j'appelle'appelle du boulot mon copain pour annuler ma visite, disant que j'ai trouvé le renseignement

le lendemain soir, dés que Lucien est parti, Lucette est a la porte de sa garçonnière, son but, avoir le code, je lui ai donné un carnet avec un numéro effacé par de l'eau, pour dire qu'elle ne l'a plus a celui qui va vouloir entrer, elle n'a pas osé au départ mais a put voir les 2 premiers numéros, ce qui fait qu'au prochain locataire, elle a put leur demander les 2 derniers, souriant, le type lui a dit en tapant le code, c'était celui a qui j'ai eu a faire, comme elle avait les clefs, elle a du rentrer chez lui, le type la regardait, heureusement que Lucien n'était pas là

Le jeudi, les résultats de Lucien sont là, il téléphone surement a marie pour lui annoncer la nouvelle, car le soir, elle est très joyeuse, elle veut se coller a moi, je la repousse en disant que je ne veux pas la contaminer, ne pouvant pas dire qu'elle n'a rien, elle doit s'exécuter, marie est rayonnante, elle ne pleure plus, elle est joyeuse, si cette joie était pour moi, elle m'aurait contaminé, mais hélas, c'est pour l'autre salopard




Le vendredi, marie va chercher ses résultats qui lui confirme qu'elle n'a rien, le midi, muni d'un appareil photo espion, celui où on vise devant soi, mais c'est sur le côté que ça prend, en prenant la rue, en fait, je prends les façades, en l'occurrence, quant a midi 30, Lucien et marie, joyeux, se tenant par le bras comme des amoureux, je les mitraille autant du regard qu'avec mon appareil, je suis habillée en motard, avec le casque, donc méconnaissable, je les prend ensuite au restaurant, a la sortie du restaurant et de retour au baisodrome, je ne sais plus si c'est de les voir se tenant le bras ou de les savoir au lit qui me fait le plus mal, je suis dans un cauchemar

Le soir, marie, heureuse me dit qu'elle n'a rien et veut qu'on fasse l'amour, je lui dis non à nouveau, car moi, je n'ai pas mes 2 eme examens, elle insiste en disant que si elle n'a rien, pour moi, c'est pareil, j'invente encore une excuse, je subis son câlin, je ne peux m'y soustraire pour ne pas éveiller de soupçon, je lui dis que mes autres examens son plus approfondi, donc plus long a avoir les résultats

Je passe le WE avec Lucette, marie fait la moue en disant que je vais encore la laisser seule, elle est vraiment sincère, je n'y comprends rien, je prétexte encore un client et le fait que c'est dur de ne pas lui faire l'amour en étant prés d'elle, je suis avec Lucette la journée, je rentre le soir tard et je retourne la voir le dimanche et rentre tard aussi

Le lundi, avec les bijoux, les photos, je retourne voir sa femme, me reconnaissant quand elle ouvre, elle me dit, vous voulez quoi cette fois-ci, je lui dis que cette fois, je suis à la bonne adresse, elle approche, elle demande ce que je veux, je lui dis que je voudrais m'entretenir avec elle, même si c'est sur la table de salon que je vois, la ou tout le monde peut nous voir, que je ne serais pas long, je lui dis que c'est juste entre moi et son mari et que tous les 2, nous avons un point commun dont on se passerait bien, intriguée, elle me fait rentrer pour aller a cette table de jardin, je vous écoute dit-elle, et la sans détour, je lui annonce notre cocufiage, surprise, je ne lui laisse pas le temps de se poser des questions, je dis, ne vous méprenez pas, je ne suis pas un opportuniste qui vient vous dire des mensonges pour vous dire, vengeons-nous de lui, même si cela ne me dérangerait pas bien au contraire

Une fois remise de sa surprise, elle me demande, je suppose que vous avez des preuves, je dis, un début de preuve, un témoin que ça dure presque 6 mois, je lui demande s'ils ont d'autre biens autre qu'ici, elle dit a la campagne et a la mer et c'est tout, je lui dis qu'il a passé un test HIV suite au mensonge que j'ai dis a ma femme que j'étais porteur, regardez, la ils se tiennent par le bras, ils sortent d'un immeuble, je montre les bijoux, en disant que ma femme m'a dit que c'était du toc, mais que le bijoutier m'a certifié leur authenticité et valeur approximative, je raconte comment ma femme m'a mis la puce a l'oreille, les draps, les fleurs, les bijoux, ses sorties du vendredi après midi, mon témoin qui me l'a dit sans savoir que c'était ma femme, j'indique aussi qu'ils ont été dans la même école, je suis clair, précis, je suis victime, je donne plein de détails, je vois ses yeux briller, je m'excuse auprès d'elle en disant que le cocu que je suis préfère savoir qu'être ridiculisé, je lui dis mon intention de divorcer, et que je ne sais pas si Lucien compte le faire, ce genre d'individu promette a bon compte

Elle me demande comment est ma femme, je réponds qu'elle est aussi belle qu'elle, que j'étais un homme heureux avec elle, avant d'être cocu, je dis que je l'aimais, mais qu'avoir été trompé de la sorte et aussi longtemps, l'amour que j'avais n'existe plus, je pouvais pardonner une erreur, mais la, le stade baise est dépassé, elle pleure et me demande si je veux rentrer, je lui redis que c'est comme elle souhaite, elle me dit de venir, je la suis, qu'est-ce qu'on peut faire me dit-elle, je réponds que moi, dés que j'ai les preuves de l'adultère, c'est le divorce, après un silence triste, je vais réfléchir dit-elle, je lui dis que dans l'état où elle est, il va de suite voir qu'il y a quelque chose, elle dit, c'est exact, étant devenu presque un pro de ce genre de situation, je lui dis, dites-lui que vous venez d'apprendre la mort de quelqu'un que vous aimez et que lui non, nous échangeons nos téléphones, je donne le boulot et maison, elle n'est pas pressée de me voir partir, je sais très bien que ce n'est pas le moment de lui proposez la botte, je veux bien lui servir de vengeance, mais pas sur un coup de colère ni de désespoir, je ne veux pas qu'elle face quelque chose qu'elle regrettera après coup et ou qu'elle se forcerait a faire



D'un coup, elle se laisse aller a pleurer, je laisse faire, se reprenant un peu, elle s'excuse, je lui dis, qu'elle n'a pas à s'excuser, quand j'ai appris cela, je n'étais pas beau a voir non plus, elle continue a pleurer, je la console sans arrière-pensée, je sais ce qu'elle ressent, le monde s'écroule, son monde, elle me dis, je vous dérange peut-être, je dis non, en ce moment, j'ai prévenu de mes difficulté familiales sans préciser quoi, je fais des heures pour en rattraper le maximum, ce soir par exemple, je vais travailler jusqu'a minuit passé, je ne peux plus coucher avec elle, pour moi, elle était un mets raffiné de qualité, maintenant, c'est un reste périmé, j'aurais pardonné un écart avec un inconnu, mais pas un amant régulier, je pense que dans sa tête, elle a dans l'idée de me quitter, votre mari a dû lui promettre de vous quitter, quand les enfants seront grands, le pense-t-il ou lui fait-il croire, ça je ne le sais pas, en tout cas, il est généreux avec, d'ailleurs, ces bijoux, je vais les revendre pour payer notre divorce, elle croit que je les ai donné a un clochard en pensant que c'était de la quincaille

a la vue des bijoux, elle pleure a nouveau, je lui dis, allez-y, plus vous pleurerez et moins vous serez triste, ils n'en valent pas la peine en plus, je me sens ridicule dit-elle, humiliée, rabaissée, il rentre, il n'a plus qu'a mettre les pieds sous la table, au lieu de rentrer plus tôt pour être avec les enfants, ce salaud se tape une salope, ho pardon, je dis non, le mot est juste, votre salaud se tape ma salope, votre mari sait qu'elle est mariée et ma femme sait qu'il est marié, les 2 sont fautifs a 100%, elle me dit que jamais elle ne l'a trompé avec personne, j'ai répondu, pareil pour moi, en disant qu'au boulot, ce ne sont pas les occasions qui manquaient, disant qu'elle ne manque de rien, et c'est pour cela qu'elle acceptait qu'il travaille beaucoup, pour avoir une belle vie, de belles vacances, ne manquer de rien

Cela faisait plus de 2 heures que je la consolais, elle se remettait doucement, ces pleurs devenaient moins fréquents, moins forts et moins longs, après la peine, la haine, je lui dis que si je commence a l'ennuyer, je ne me vexerais pas d'avoir a partir, restez SVP, ne partez pas encore, je dis, c'est comme vous souhaitez, j'ai tout mon temps, je ne suis pas une joyeuse drille dit elle, je réponds, je ne dois pas être mieux, nous avons été poignardés dans le dos, elle se rend compte qu'elle ne m'a rien proposé a boire, je lui dis de ne pas s'en faire, la situation nous perturbe, elle me propose, mais je réponds qu'a cette heure, je ne prends pas de café, elle me dit que lundi, elle avait compris que la rue que je cherchais était bidon, et que ce matin, elle voulait me virer, se demandant ou l'on c'est rencontré pour vouloir me séduire, je lui demande pourquoi elle ne m'a pas viré, elle répond que mon regard n'était pas celui d'un homme qui ne cherche qu'a draguer, que les clients de son mari, quand il a un rendez vous d'affaire et qu'elle doive y aller, ses clients ne se gênent pas de lui faire du pied et lui lancer des regards, je lui répond que ses clients ont bon gouts

Je lui dis que marie, est aussi belle qu'elle, imaginez que je vous ai comme femme, vous me croyez assez idiot pour aller voir ailleurs, prendre le risque d'être vu, dénoncé par jalousie ou autre, risquer de vous perdre pour un coup de B..., une femme comme elle ou comme vous, on fait tout pour qu'elle nous aime, je lui sort une photo de marie de mon porte feuille et je me ridiculise en ayant une larme, elle pleure a son tour et dit, on est pas aidé avec nos moities, je dis non, votre mari est un idiot en plus d'être un salaud, elle répond votre femme ne se rend pas compte de ce qu'elle a perdu, je dis oui, je peux vous assurer que je l'aimais comme un malade, j'ai un bon boulot, elle ne manquait de rien non plus, même si je n'ai pas vos moyens, elle a voulu continuer a travailler, je ne disais rien, en vacance, je savais qu'elle préférait tel endroit, même si je préférais aller ailleurs, je disais vouloir aller la ou elle préférait, personnellement, je pense qu'elle m'a vraiment aimé, jusqu'au jour ou votre mari l'a embobiné

Le temps passe, elle me demande si elle peut encore abuser de ma compagnie, aucun souci dis-je, il est 11h30, le téléphone sonne, c'est Lucien qui appelle, comme très souvent, il appelle pour dire qu'il ne vient pas manger, qu'il a un repas avec un client, je lui dis, ca fait longtemps qu'il vous appelle a cette heure ci, elle réfléchit et me dit qu'avant, non, que ca doit faire que 3 ou 6 mois, je lui dis, en téléphonant a cette heure, il vous est impossible de rejoindre son bureaç a l'heure de déjeuner, le salaud qu'elle redit, elle me demande si je veux bien prendre l'air, je dis tout ce que vous voulez, elle appelle sa mère pour qu'elle s'occupe de ses enfants pour manger, ce qui ne pose aucun problème

Dehors, d'une cabine, j'appelle, marie à la maison, comme elle est encore en arrêt, elle ne répond pas, mais comme sachant qu'elle n'a rien, je me dis qu'elle a peut-être repris le travail, j'appelle a son boulot, Olga me dit qu'elle est en arrêt, je lui dis non, elle m'a dit qu'elle reprenait, sans réfléchir, elle me dit, ha, attends, en effet, elle est là, elle me la passe, je lui dis que je suis à coté de la maison, et comme ça ne répondait pas, je me suis dit que tu était peut-être là, elle dit, oui, j'avais le cafard, tant pis dis-je, a ce soir

Nous marchons avec Helene, nous discutons encore, nous nous ouvrons, a 12h30, je lui propose de déjeuner, elle n'a pas faim, mais je lui dis, qu'il ne faut pas se laisser abattre, il faut faire face, elle me dit qu'elle n'est pas habillée, qu'elle va me faire honte, je lui que cela ne risque pas, qu'elle est parfaite, désirable, belle, malgré son air triste, votre salaud ne vous mérite pas, on continue notre conversation, le repas se passe, elle me cite des petites choses qu'elle comprend mieux, sa fatigue des fois, sa présence plus rare a son bureau, moins de rentrée d'argent, il se plaignait parfois, la crise disait-il, je dis qu'en effet, le studio ne doit pas être donné en location là ou c'est situé, plus les bijoux

On retourne chez elle, elle me demande ce qu'elle doit faire, de la conseiller, je lui dis que là, ma compétence n'est pas de mise, que c'est a elle de le savoir, vous sentez vous capable de lui pardonner, croyez-vous qu'il va arrêter, le fauve a goûté la viande cru, va-t-il arrêter, accepteriez-vous qu'il vous trompe plus discrètement, il peut vous faire croire qu'il a compris faire amende honorable et pendant ce temps, mettre ses affaires hors de portée d'un divorce, moi a sa place, c'est ce que je ferais, je lui indique ma situation maritale ou marie ne possède rien, qu'on est marié sous contrat sur insistance de mes parents et amis, mais depuis que je sais, j'ai modifié mon assurance-vie, et j'ai fait mon testament, voilà Helene, je suis cru, mais je ne voudrais pas qu'il vous fasse plus de mal encore, vous m'êtes une amie d'infortune et lui c'est mon ennemi, si je peux vous donner un conseil, c'est celui de vous préserver, demandez le divorce, avec l'adultère prouvé, un bon avocat lui fera cracher une bonne pension pour vous et pour les enfants, une fois cela acquit, rien ne vous empêchera de continuer a vivre avec lui s'il change, et s'il continu, au moindre faux pas, vous pourrez le virer sans ménagement puisque toutes les démarches auront été faites, il risque de vous jouez le couplet du bonheur des enfants, qu'il vous aime, je suis un homme, je sais que nous sommes faible, une paire de fesses nous fait tourner la tête, mais une fois que nous reprenons nos esprits, si on aime sa femme, on fait le nécessaire pour que cela s'arrête, votre mari, qu'a t'il fait, il a loué un baisodrome, il dépense son argent avec une autre en sorties et bijoux, il n'a pas succombé, il a prémédité

Je lui indique aussi que ma femme est autant coupable, moins fortunée, mais elle prenait des après-midi pour lui, au détriment de nos WE, elle m'avait dit que si c'était peu souvent, elle pouvait prendre des vendredi après midi pour partir en WE, par contre, pour retrouver votre mari, c'est tous les vendredis qu'elle peut, nous avons affaire non pas a un salaud et une victime, mais a un couple de salauds, vous êtes encore très belle, vous méritez mieux qu'un égoïste comme lui, comme je pense qu'elle ne me mérite pas non plus, même si elle est trop belle pour un type comme moi, elle me répond que je ne suis pas désagréable physiquement non plus, je dis, oui, je ne fais pas peur, mais je n'attire pas non plus, m'attrapant les mains, elle me dit, ne vous sous-évaluez pas, elle souffle et me remercie d'être resté, qu'elle va beaucoup mieux

On se regarde et je vois dans ses yeux, la même lueur que Lucette avait, je lui dis, que si elle continue a me regarder ainsi, je vais lui sauter dessus, ça sera bien fait qu'elle répond, je lui dis, ca serait avec grand plaisir, mais je ne veux pas abuser de votre état de faiblesse, il y a un temps pour encaisser, un temps pour se venger, et un temps pour punir, aujourd'hui, je ne veux pas abuser de votre chagrin dont pour le moment je suis le responsable involontaire, si vous le souhaitez, demain, je veux bien revenir, pour ce que vous voudrez, vous tenir compagnie, vous consolez, vous conseillez, ou être l'instrument de votre vengeance, de notre vengeance, vous aurez eu le temps d'y réfléchir, je ne serais plus le premier venu mais un homme blessé comme vous, vous dire cela me coute énormément, refuser a une femme comme vous, demande un effort surhumain, vous êtes une femme a qui on fait l'amour, et non une femme qu'on baise et je ne veux pas vous baisez, j'ai de l'estime pour vous, si je le faisais aujourd'hui, vous me mépriseriez demain

L'heure de la sortie d'école approchante, je lui dis, voilà, a vous de jouer maintenant, jouer l'amie en deuil pour masquer votre tristesse, je vous appelle demain mardi après qu'il les ai emmené a l'école, je ferais sonner votre téléphone, je parlerais de façon incohérente, puisque j'aurais ma femme dans les parages, si vous ne décrochez pas, je ne viens pas, si vous décrochez, dites simplement, venez, ou non, ne venez pas, si je viens, je ne demanderai rien dont vous ne voudrez pas, parler vous fait du bien, il en est de même pour moi, je vous demande juste de le mettre a la diète sexuelle jusqu'au WE

A suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Vengeance heureuse d'un cocu 2

Le 27/01/2023 - 17:54 par Balista
Cela commence à prendre forme. Pauvres cocufieurs je sens qu'ils vont souffrir.

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