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Vengeance heureuse d'un cocu 6

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Lue : 1813 fois - Commentaire(s) : 5 - Histoire postée le 16/06/2015

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Le rendez-vous avec le client de l'expo a été convenu pour vendredi midi, je n'ai pas eu d'appel pour "robe 1", et bien sûr comme je m'en doutais en arrivant a 13 h au restaurant, il nous dit que sa femme s'est réveillée ce matin avec une terrible douleur au ventre, hypocritement, on a dû dire, "quel dommage, j'espère que ce n'est rien" et comme il ne veut pas nous ennuyer avec cela, il enchaîne sur notre projet

Mon chef était au courant de ce déjeuner, il savait aussi la raison que c'était moi et pas lui qu'il voulait voir, il me mit en garde contre ce collectionneur de cul, il parle moitié boulot et moitié du boulot de Marie en sous-entendu parfois, disant qu'il a du mal a trouver des comptables efficaces, Marie lui a dit qu'elle avait été promue dernièrement, a ma demande, elle avait mis une tenue très simple, rien de sexy, même si elle n'a pas besoin de cela pour y être

On a pratiquement tout dit sur le projet, son accord de principe était acquit, il me le dit quand Marie est partie aux toilettes, il le lui dit lorsqu'elle revient, elle est contente pour moi et nous sourit, elle se retrouve dans ce qu'elle aimait avec Lucien, je pars aux toilettes et à mon retour, Marie est moins souriante, je jubile un peu, ce changement de sourire de Marie m'annonce des ennuis professionnels, mais une prise de conscience de Marie

Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, elle garde néanmoins un sourire jusqu'au bout, a 15h30, je lui dis que je mets une proposition en route pour lundi et qu'il aura cela en fin de semaine, je justifie de devoir repasser à la boite pour nous en aller, il sait a peu prêt ou nous habitons, ma boite étant presque a l'opposé

Il se propose de la déposer, comme il passe prêt de chez nous, je le remercie, mais je lui dis qu'on est invité ensuite a Melun, c'est sur notre route, et en même temps, on rend visite à une amie, tant pis dit il, on se quitte, il lui fait la bise en lui disant qu'il n'a pas vu le temps passé, et que j'ai une femme charmante autant qu'intelligente

Je repasse vraiment à la boite, j'avais quelque chose a faire, mettre mon chef au courant, il dit bonjour a Marie en me disant a demi-mot qu'il comprend aussi le client, ce qu'il ne me dit pas, c'est qu'il ne comprend pas ce qu'elle fait avec moi, l'amour est aveugle doit-il se dire, et je pense comme lui, après cela nous rentrons a la maison, quand on a un repas le midi, on ne mange pas le soir

Je la sens qui veut me parler, mais elle n'ose pas, elle sait que je tiens a mon boulot, je lui tend une perche en disant que j'ai apprécié sa présence et compagnie au repas, elle me sourit, et je lui dis, mais tu sais, mon boulot, mes amis, je les aime bien, je les aime beaucoup, mais il y a une chose que j'aime bien plus encore, bien plus que tout ca réuni, comme elle s'était levée, elle m'enlace par derrière, je lui dis pour la taquiner, "c'est Hélène".

Son étreinte se desserre et elle va s'asseoir, triste, je lui dis, Marie, comment peux-tu douter que c'est de toi que je parlais, j'aime bien Hélène, mais comme j'aime bien mes copains, je leur prouve différemment, c'est sur, mais c'est toi que j'aime, te rend tu compte de ce que j'ai accepté pour toi, et ce que tu accepte pour moi, elle se relève et me prend dans ses bras

Elle débarrasse la table, ce qui est vite fait, je me mets sur le canapé, elle finit de débarrasser et me rejoint, au bout de cinq minutes, elle me dit, si je devais te dire quelque chose qui risque de te rendre malheureux, tu préférerais quoi, je lui dis, la vérité quoi qu'il arrive, tu m'aurais dit avoir couché avec Lucien, je t'aurais pardonné dans la semaine, tu m'aurais dit l'avoir fait plusieurs fois, je t'aurais pardonné dans le mois, là, je l'ai découvert, ça veut dire que c'est comme si tu allait me quitter

Dire la vérité ne t'amènera jamais de déboire, et là, elle me dit que quand, je suis partie au WC, il lui a fait une proposition d'emploi, que ce n'est pas encore sur, mais que ca risque de se décanter dans les prochaines semaines, je lui dis, ça ne te rappelle rien, elle dit si, on ne m'aura pas deux fois, il m'a dit plusieurs fois que la signature est presque acquise, il m'a donné un papier avec juste un numéro de téléphone et la lettre de son prénom

Elle va le chercher et je reconnais le numéro professionnel de ce client, je lui dis que je suis content qu'elle ait retenu la leçon, ce n'est pas toi la fautive, c'est lui, elle me dit que ce n'est pas fini, je lui dis de continuer en l'enlaçant, quand tu es revenu des toilettes, avant que tu n'attrapes la chaise, il m'a fait du pied, je me suis poussé, mais ne voulant pas que la situation te fâche et le fâche, je me suis un peu laissé faire, pour qu'il garde le sourire, je lui dis, ha pourquoi tu n'as pas eu ce comportement l'année passée, rien ne serait arrivé

Il lui a dit, que dés qu'elle l'appellera, elle lui remettra le contrat signé, comme cela, elle aura le plaisir de me faire la surprise, tu m'en veux de m'être laissé faire, je dis non au contraire, comme cela, tu vois celui qui t'aime tout de toi et celui qui t'aime que pour ton cul, le dimanche, je demande à Annie si nous pouvons passer, elle nous dit qu'ils sont absents et ne peuvent être là qu'en soirée, on leur dit de rester, disant oui, mais repas très très léger, quand ils sont la, on explique la situation, son mari qui d'habitude ne connaît que la méthode du marteau et du clou, échafaude une action en mode douce

j'informe mon chef de la situation, il me dit, le contrat est perdu de toute façon, si on l'obtient quand même ça sera ça de gagner, si vous et votre femme êtes d'accord, la proposition est vite établie, Marie lui téléphone en lui demandant pourquoi il doit la rappeler, il lui rappelle la surprise du contrat signé comme cadeau pour moi, elle dit qu'elle ne pourra que mercredi prochain, il dit parfait, le jour d'avant je l'appelle en demandant s'il a pris connaissance du contrat, il dit qu'il me dit que ça passe a la signature demain ou après demain, je le remercie

Le mercredi, il prend Marie devant la porte de la maison et l'emmène au restaurant, le mari d'Annie prend son scoot perso et m'appelle a la boite dés qu'ils s'installent au resto, juste avant, j'ai eu un appel de ce client qui me dit qu'il devait me demander quelque chose, mais qu'il ne trouve plus ses notes, qu'il me rappellera, nous les rejoignons avec mon chef, là ou il m'a indiqué, la table avait été retenue pour eux

Marie était repassée à la maison, elle s'est habillée sexy sans vulgarité, quand elle arrive, il jubile, elle s'est faites belle pour lui pense t'il, ils prennent un léger apéritif, dans la discussion, au milieu du repas, elle demande si le contrat est sur lui, il lui fait du pied, elle laisse faire, en même temps, elle lui fait savoir que je ne sais pas qu'elle a accepté un rendez-vous avec lui, elle lui demande de ne jamais en parler, je dirais que c'est votre secrétaire qui me l'a donné, car je vous l'avais demandé

Marie récite exactement le piège d'Annie et de son mari, le client sort le contrat et le lui montre signé pour la rendre plus cool, le repas se poursuit, puis a la fin, après le baratin classe de base, avec mon chef, je rentre dans le restaurant, on s'aperçoit tous en même temps, j'ai l'air mécontent, le client, ne sait plus ou se mettre, je demande à Marie ce qu'elle fait là, elle me dit, jouant celle en mauvaise posture, "justement, j'ai demandé au client, s'il voulait bien que je te fasse la surprise

Attend regarde, elle demande au client de montrer le contrat, piégé, il ne peut que répondre en montrant le contrat, il me dit être gêné de la situation équivoque, je ne réponds pas de suite et dis que je suis surpris, pendant ce temps, mon chef qui a le contrat en main, le consulte, disant a la fin, que cela lui semble parfait, il fait un signe dans son dos et un homme rentre

Comme prévu, c'est le beau-frère de mon chef qui arrive en tenue d'homme d'affaires, mon chef dit, voilà notre client, je lui dis que je ne vais pas pouvoir rester, que je reste avec le client, celui-ci, gêné de la situation, dit, " je suis vraiment désolé, mais j'allais partir quand vous êtes arrivé, voyez, nous avions fini", mon chef me dit, "votre femme peut se joindre a nous"

Marie faisant comme prévue, celle prise en défaut, dit qu'elle ne sait pas, qu'elle ne veut pas déranger, le faux client qui voit Marie pour la première fois, lui dit du fait qu'il savait son rôle," madame, vous serez loin de déranger, vous égayerez notre table", il rajoute en me regardant, "n'est-ce pas Mr Henri, dites-lui de nous rejoindre, de toute façon, a part quelque menu détail sans importance, l'affaire est déjà entendu"

Marie, bonne comédienne fait celle qui accepte, de façon n'ayant pas d'autre choix, disant qu'elle a déjà déjeuné, le faux client dit, vous reprendrez un thé ou ce que vous voudrez, le client malheureux fait un signe pour l'addition, il paie et prend congé avec un sourire commercial

Mon chef, avec le contrat en main, demande une table pour deux, ils ne déjeuneront que tous les deux, il me dit que je n'ais pas besoin de venir cet après-midi et comme Marie non plus. On surveillait que le client partait bien, et quand ce fut vérifié, nous sommes partis pour rentrer chez nous

On avait à peine fait 500 mètres, je vois un hôtel, sans rien dire a Marie, qui étonnée se demande pourquoi je m'arrête là, je lui dis, "j'ai décidé de ne rien changer a ton après-midi", quand je lui ai demandé de payer la chambre avant d'être devant l'accueil, le réceptionniste en plus d'être surpris a eu un air de jalousie, il nous a suivi du regard jusqu'a l'ascenseur, du moins c'est la croupe de Marie qui était son centre d'intérêt

Une fois dans la chambre, on s'est embrassés fougueusement comme d'habitude, elle me dit, "cela m'excite de faire ça ici, mais si je te dis qu'il y a eu aussi ses petits attouchements, est-ce que…", je l'embrasse encore une fois pour lui signifier que je ne lui en veux pas du tout pour ça

Pendant qu'on baise, elle me raconte ce que je n'ai pas pu voir, ses petits touchés des genoux au volant où elle ne repoussait que quand cela allait trop loin, comme remonter sa robe, sa main sur les hanches pour rentrer dans le resto, et son pied sous la table où elle devait laisser faire pour ne pas compromettre la suite

Elle a compris que cela nous excite, nous avons fait l'amour comme ce que pensait le réceptionniste, comme des amants, il nous a souhaité une bonne journée quand on est repartis quatre-vingt-dix minutes après

Elle lui a téléphoné le vendredi de la maison, avant qu'il ne quitte son bureau, disant qu'elle a été folle, que maintenant, je la surveille, qu'en principe, elle ne prends qu'une demi-heure pour déjeuner, alors je l'appelle à midi et midi 30 ainsi qu'en journée, je regrette, mais il vaut mieux que nous en restions là, dites-vous qu'on allait peut-être faire une bêtise, il a voulu parler mais elle a raccroché aussitôt.

Ensuite, elle me dit, moi aussi, je me venge, on s'enlace, je l'embrasse et lui dis que je l'aime tellement, comme la femme "robe1" n'a pas appelée, je me dis que c'est foutu, j'avais décidé d'attendre le jour d'après pour lui dire, mais Marie m'avait tellement rendu fière d'elle, que je décide de le lui dire le soir même, je quitte de bonne heure, je passe chez Annie et le soir quand Marie met la table

Je descends à ma voiture et remonte avec un bouquet de rose, je rentre sans qu'elle ne me voit avec, je le cache sur le balcon, je prends deux bougies et décors la table, elle me dit, "un dîner aux chandelles", je dis oui, on mange léger, et je lui dis de se laisser faire, je lui bande les yeux avec un bandeau exprès, vestige de nos jeux d'avant Lucien, dis après avoir été chercher le bouquet

Je suis à genoux, retire ton bandeau dis-je, elle découvre le bouquet, le prend, pleure, mais de joie, se sont les seules larmes que je supporte d'elle, elle laisse tomber le bouquet et me serre dans ses bras, nous sommes tout les deux à genoux a terre, je fais celui qui va étouffer en me dégageant, on se lève

Je l'entraîne sur le canapé et je lui redonne son alliance, celle qu'elle croyait que j'avais revendu avec les bijoux de Lucien pour divorcer et que j'avais donnée en garde a Annie, elle pleure de plus belle en disant de façon incompréhensible, "comment ai-je pu être assez conne pour te faire souffrir comme j'ai fait"

Elle pleure encore, elle me serre à m'étouffer et quand elle peut reformuler une phrase compréhensible, elle me dit, pourras-tu me pardonner un jour, elle m'embrasse aussitôt, une fois le baiser terminé, je lui dis, oui, je te pardonnerais un jour, elle m'embrasse encore et après ce nouveau baiser, je lui dis, ce jour est arrivé, c'est à partir de maintenant, pleurs et baisers se mélangent

Ensuite, je lui dis, fini l'éventualité de la chambre d'ami, même si elle n'y a presque jamais été a part au début, fini de faire la bonniche, elle dit que ce n'est pas arrivé souvent, fini de me payer faire un chèque tous les mois, elle dit, c'était normal, fini les maitresses, elle me dit que ce n'est pas la peine d'énumérer, elle n'a jamais été punit comme elle le méritait

Il n'y a que la nuit avec Hélène qui lui avait fait mal, mais elle disait l'avoir méritée, je continue en disant, je te libère de tout ce que j'ai dit quand nous avons divorcé, elle pleure un peu et avec un grand sourire par en dessous, elle me dit, que je ne suis pas obligé de lever la deuxiéme partie de sa punition (la punition sexuelle), je lui répond, en effet, tu as raison, celle-là, il faut continuer pour bien apprendre ta leçon

On a fait l'amour aussitôt sur le canapé, en moi-même, je me disais, merci Lucien, notre couple s'endormait, toi, tu nous l'as réveillé, je retrouve ma Marie comme au premier jour, je crois qu'elle m'aime davantage, Annie me le confirme, Marie me dit que si je veux continuer avec Hélène, je peux, qu'elle a bien le droit d'aller avec l'effleureur, ainsi qu'au cinéma, elle me dit " je n'ai aucune raison d'être jalouse d'elle"

Marie a remis son alliance, Olga (sa copine au travail)l'a vu et était contente pour elle, au boulot, tout roulait pour tout le monde, Marie avait son chef dans sa poche sans coucher, moi, j'avais le mien dans la poche aussi, ainsi que la direction qui savait comment j'avais obtenu ce boulot, je travaillais sur le projet du client

J'évitais de l'appeler pour des détails, mon chef le faisait à ma place, il y avait plus de six mois d'études, au terme de ce travail, on savait qu'on ne l'aurait plus comme client, mais contre toute attente, deux mois après, il recontacte la boite pour un nouveau projet.

Après ce bon coup avec ce client, j'ai aussi eu une promotion, celle-ci sous condition d'une autre charge de travail, dans le bureau, il y avait, le directeur, le grand chef, mon chef, le directeur en m'annonçant ma promo me dit que le grand chef va me dire exactement de quoi il s'agit, et celui-ci demande à mon chef ensuite, mon chef me connaissant mieux, me dit voilà, tu vas a des rendez-vous pour discuter de certains contrats, et .........., tu y va avec ta femme

Rajoutant aussitôt, "attention", les deux autres disent oui, soyons bien d'accord, vous y allez avec votre femme pour détendre l'atmosphère, pas pour autre chose, sinon on prendrait une call-girl si c'était ce que vous pourriez penser, d'ou la géne de vous proposer cela, il faut savoir que si on prend une call-girl, le client est pris pour un con, alors qu'une épouse, il se dit que celui qui a une si jolie femme, doit avoir des capacités professionnelles également, la réussite colle à ceux qui ont déjà réussi

Je dis, hé bien, s'il ne faut pas coucher, moi, je ne suis pas contre, je vais lui posez la question en essayant de ne pas prendre une gifle avant qu'elle ait bien compris ce que vous venez de me dire, mon chef, malin me dit en prenant à témoin le directeur, son travail sera récompensé pécuniairement, nous avons pensé à un forfait équivalent a deux jours de son salaire par rendez-vous plus une prime a la signature

J'en parle à Marie, qui bien sûr accepte, sous condition que je sois d'accord à 100 %, avoir plus de temps avec elle, me satisfait également, même si je sais que nous risquons de nous retrouver en situation comme précédemment, mais je préfère affronter un lion avec elle, que la laisser à la merci d'un mouton à la laine soyeuse, de plus elle adore ce genre de boulot, être entourée d'attention, être le centre d'intérêt, elle me l'a avouée déjà, j'en parle au chef de Marie qui me dit oui sans discuter, qu'il la laissera aménager ses heures

J'ai négocié pour elle auprès de mon directeur la prime à la signature, sans être mirobolante au regard des sommes en jeu, si Marie en a deux par mois, elle doublera quand même sa paie principale, elle est heureuse comme tout, quand le soir, je lui dis que c'est entendu, je partage sa joie

Nous avons au lit, parlé de la subtilité de son rôle, donner a celui qui veut la sauter, l'illusion que cela pourrait se faire, repousser timidement les petits attouchements de façons a dire non sans brusquer, ni froisser, laisser croire qu'elle ne veut pas parce qu'elle est fidèle et honnête et qu'elle a peur des conséquences

Ne surtout pas lui faire comprendre qu'avec sa tête de cul, qu'il va se payer une pute vierge aux frais de sa boite, je lui dis, s'il te touche, ce n'est rien, ne te laisses pas toucher facilement c'est tout, tu peux te laisser toucher en laissant croire que tu te laisses faire pour ne pas créer un scandale, mais tu ne dois pas lui laissez croire que tu le demandes, que tu le veux, elle me dit qu'elle a très bien compris la notice, les règles du jeu

Nous avons réussi des projets ensembles, un beau taux de réussite, malgré qu'on nous donnait ceux qui n'étaient pas du tout acquit, Marie était très à son aise à force, dans l'ensemble, beaucoup restaient très professionnel, ils appréciaient la présence d'une femme, de ma femme sans rien chercher d'autres que de pouvoir discuter avec elle, pas de geste déplacés, ni d'allusions, que des compliments, le troisième mois, avec un client "sérieux" nous l'avons reçu a la maison

J'avais vu cela avec la femme de l'effleureur, elle venait cuisiner et faire la bonne "je n'ai pas honte de faire la bonniche" avait-elle dit, bien sûr, on la payait bien en cas de dépassement du temps de la compta de son mari, du moins c'est l'effleureur qui établissait une facture de travaux que ma boite payait

J'avais dit que certains clients pensaient que ce n'était pas ma femme, mais une professionnel, mon directeur était plutôt content que cela se passe a la maison, par la suite, les fois ou lui ou des cadres allaient au resto à leurs frais, ils demandaient une facture et la libellaient sur un projet

Marie avait son salaire déclaré chez nous comme hôtesse , nous étions soit chez nous, soit au resto, suivant le vouloir du client, les attouchements étaient dérisoires, il y a eu des petits forcings, des petits chantages sans conséquences, chantages auxquelles, si elle n'avait pas cédée, ils n'auraient rien dit non plus

Il y a eu des profiteurs, l'un a mis sa main sur le milieu de sa cuisse, elle ne pouvait pas l'en empêcher sans faire un geste qui aurait été flagrant et ou j'aurais été obligé de voir, elle m'avait dit avoir frissonné lors de ce genre d'attouchement

Je lui avais dit que finalement, cela ne me dérangeait pas qu'elle se laisse "toucher", elle faisait celle qui l'empêchait de remonter sa main, mais ne faisait rien pour qu'il l'a retire, profitant ensuite que j'ai le dos tourné ou parti cherché un document dans mon bureau, pour se lever en disant a voix basse, "arrêtez, sinon je dis tout et je m'en vais", sachant très bien qu'en disant cela, ça signifiait qu'elle ne le dira jamais

Ce qui fait que par la suite, elle ne subissait plus ces attouchements, elle les recherchait avec ma bénédiction, une fois, la femme de l'effleureur qui savait ce qui se passait, n'avait pas pu faire autrement que de le surprendre, quand elle a fini son service, le client lui a dit, le repas était excellent, attendez, il lui a donné un bon billet en mettant son doigt sur sa bouche pour lui dire qu'elle n'a rien vu, elle a pris le billet, a fermé les yeux, mis une main sur son oreille et ensuite sur sa bouche, lui, il lui a redit, vraiment délicieux

Marie a eu comme j'ai dit, une main sur la cuisse, du pied furtif, du pied appuyé où elle faisait celle qui tentait de se mettre sur le côté, elle regardait le type en faisant les gros yeux, mais celui-ci n'arrêtait pas de me parler, je jouais le mari qui ne voyait rien

Aucun d'eux ne savait qu'elle était employée, elle m'accompagnait, c'est tout, des fois, je disais qu'avec certains clients, c'est préférable, car leur sujet de conversation est vulgaire, avec une femme a table, ils se retiennent, parfois, c'est d'eux que je parlais en laissant croire qu'il s'agissait d'autres

Avec Marie, on avait un code, sa main en l'air, je devais la laisser seule ou ne pas intervenir, elle a eu comme petit chantage, avec l'un qui était plus entreprenant, il lui avait dit lorsque notre cuisinière était partie, comme a chaque fois, j'allais à mon bureau pour rien, juste les laisser seuls, il lui disait, aller laissez vous faire, elle se débattait mollement et il lui a dit "vous me laissez toucher vos seins et je signe", elle a dit non, et comme je lui ai appris, elle a tiré la corde de l'orgueil masculin, de toute façon, vous n'êtes même pas capable de revenir avec la signature, ce n'est pas vous qui décidez

Il dit non, mais c'est moi qui pousse dans le sens que je décide, il refait plusieurs fois sa proposition, elle dit des non qui ne sont pas convainquant, puis rajoute, vous seriez bien embêté si je vous prenais au mot, sautant sur l'occasion, il dit, topons là, si vous me donner votre parole, pensez à votre mari, a sa commission qui quelque part vous reviendra aussi, Marie hésite et dit, bof, de toute façon, je ne risque rien, si votre boite avait décidé de signer, ça serait déjà fait.

Il lui redemande s'il a sa parole, elle dit, je n'ai pas une parole de hum hum", il dit quand je reviens, je demanderais à venir encore ici, vous me ferez une quiche pour me dire que vous payerez votre dette, en nous quittant, il dit, j'espère qu'on se reverra, Marie lui dit, si a tout hasard, vous revenez, mon mari me le dira et je vous ferais une quiche, une fois le client a sa voiture, elle m'a expliqué ce qu'était la quiche

Comme j'avais dit, beaucoup de projets qu'on nous donnait étaient incertains, celui ci a mis plus de trois semaines avant de rappeler, j'ai proposé un restaurant pour faire celui qui n'était pas au courant, mais il me dit," si cela ne vous dérange pas, on sera plus tranquille chez vous, ça sera plus conviviale et calme", je dis, "bien, c'est comme vous voulez"

Il me dit, "et puis j'avoue, qu'avec votre femme, on avait discuté cuisine, et elle m'a dit qu'elle me ferait une quiche si je revenais, je lui avais dit que j'étais gourmand", j'ai répondu que je lui dirais et lui ai proposé le vendredi soir, disant qu'elle aura plus de temps pour préparer le repas, étant célibataire, il a accepté aussitôt

Ce fameux vendredi, il arrive, j'avais tout prévu, sans rien dire a personne, je mets mon micro, celui que j'avais acheté pour confondre Lucien, j'ai mon écouteur oreillette dans ma poche, on reçoit ce client comme la fois précédente, il est venu avec un bouquet plus que raisonnable, Marie lui montre un visage de femme surprise qui doit payer une dette, il lui demande, vous voyez, (en tapant sur sa mallette) je vous l'avais dit que je l'aurais ma quiche, du moins vous avez eu le temps, j'espère

Marie lui dit, "je, enfin vous, c'est-à-dire, je" elle faisait celle bien embêtée, il lui dit, "vous aviez dit que vous n'aviez pas une parole de…" Elle dit, je vous l'ai promis, je tiens mes promesses, je reviens du bureau, elle lui fait comprendre par signe, l'air résigné, que ça sera quand notre aide sera partie, il baisse ses yeux pour répondre oui, qu'il comprend

Aguerrie à ces situations, a l'apéritif, Marie boit du champomi que l'on a mis dans une bouteille de champagne rosé, le client lui préfère le brut de marque, on mange au champagne, elle aussi, mais au champomi, elle a bu de l'eau aussi, mais a vidé une bouteille et demi, du moins c'est ce qu'il croit, car par moment, elle vide son verre dans une plante exprès au moment de l'apéro, ou dans l'évier quand elle va a la cuisine, en réalité, elle n'a bu que la moitié

De cette manière, il se dira, elle est pompette, je vais en profiter plus, elle sera moins réticente, il aura raison, elle sera dans le même état qu'avec Lucien la première fois, ensuite, il arrive qu'en fin de soirée, certains veulent qu'on sorte danser, étant étourdie, elle peut dire, "non, je reste, je ne me sens pas bien du tout, tout tourne"

Au dessert, la cuisinière en cuisine, moi aux toilettes par complaisance, il lui dit, "n'oubliez pas votre parole", elle répond qu'il l'a bien eu, et qu'elle l'a donné, elle tiendra, nous nous installons sur le canapé, café et thé sont servies, Marie dit a cuisinière," vous pouvez rentrer chez vous maintenant, je me débrouillerais", on vide nos tasses

Après chaque situation coquine avec un client, on repoussait les limites fixées au départ, au début, c'était laisser le client la mater, puis lui toucher les jambes, puis lui laisser toucher les genoux, puis les cuisses, et ainsi de suite, plus le client osait, plus ça nous excitaient

J'accaparais le client avec mes explications dont apparemment il se moquait, ce qui fait que dix minutes après, tous les trois, en voulant montrer un document manquant, je demande a Marie si elle a vu un dossier bleu, elle dit, "je crois avoir vu ca dans la voiture"

Je dis au client, que je ne suis pas garé loin, j'en ai pas pour longtemps et dit a Marie de servir un café a Mr...., je sors, mais en fait je reste sur le palier, prêt a descendre si quelqu'un venait, j'ai mon oreillette, Marie, qui fait celle embrumée par l'alcool, ne sait pas que j'entend ce qui suis

Même si j'ai décidé de la garder, je n'ai plus une confiance aveugle en elle, chaque situation de ce genre, j'ai besoin d'avoir une preuve de sa bonne foi, cette fois encore, ce que j'ai entendu correspond parfaitement a ce qu'elle m'a dit, il lui dit, "c'est le moment de tenir votre parole"

Elle dit, "vite alors, qu'est ce qu'il fait chaud", le type lui passe sa robe sur les épaules, elle lui dit, "on n'avait pas dit ça", il dit," si, vous l'aviez promis", elle lui tient les épaule et dit, " bon aller, ca y est", il dit," pas encore", il remonte son soutif par dessus les seins, elle dit, "non, arrêtez", mais ne fait pas de geste pour l'en empêcher

elle se met la main au front, justifiant son état, lui, il en profite pour lui sucer les tétons, et embrassé ses seins, elle dit toujours, " non arrêtez" une main au front et l'autre se tenant a son épaule, il suce un téton, caresse l'autre et de son autre main passe entre ses cuisses, elle dit, " non, arrêtez, pas ça, ho qu'est ce qu'il m'arrive, ma tête tourne, non, non, haaa, oui",

Elle le laisse faire, entendant Marie qui a du mal a lutter, je frappe à la porte, elle va à la salle de bain se remettre en lui disant d'aller ouvrir, il vient m'ouvrir, je lui dis, "j'avais oublié mes clefs, heureusement que quelqu'un sortait"

je demande ou est ma femme, il dit, "je crois qu'elle est partie se rafraîchir, elle a un petit coup de chaud", je lui dis, "oui, et en plus elle boit rarement, je ne l'ai jamais vu comme ça, je m'excuse, j'ai été long, mais je n'ai pas trouvé mon dossier", il me dit, "ça ne fait rien, vous me l'enverrez, votre femme est fatigué, je vais vous laissez, voila le contrat signé pour avancer", le pauvre avait du mal a cacher la déformation de son pantalon

Marie revient, on se sert la main, il dit, laissez-moi vous faire la bise pour la quiche, elle était délicieuse, avec la bise, il a mis sa main sur un sein, Marie a laissé faire, une fois partis, j'ai pris Marie sur le canapé lumière éteinte pour que de la rue, il ne voit pas d'ombre, super excitée, elle m'a raconté exactement ce qui c'est passé, sans rien me cacher

Le lundi matin, à ma demande, elle lui a téléphoné a son bureau en s'excusant de son attitude, qu'elle a bu plus qu'il ne fallait, lui disant, "je me souviens vaguement que j'ai tenu parole, car après je ne me revois que dans la salle de bain avec un gant sur le front", il a dit, "oui, j'ai eu la quiche promise", pour la quiche, il a dû être sincère et à vraiment aimé, car il en a repris

La fois où j'ai dit à Marie que je la reprenais, que je retirais la punition, lui redonnais sa bague, car je n'avais pas de nouvelle de la femme vu a l'expo, (robe1), deux semaines après ce jour, elle m'appelle, je me dis qu'heureusement que Marie n'a pas voulu que je lève la punition sexuelle, elle me dit "bonjour, je suis bien avec Mr robin", je dis qu'il n'y a pas de Mr robin, elle dit lui avoir donné sa carte a l'expo

Je fais, "ha, vous êtes la femme si classe et élégante, madame robe numéro un", voilà dit-elle, vous m'avez déjà oublié, je ne vous pensais pas intéressée dis-je, elle dit, je n'ai pas dit que j'y étais, pas pour le moment du moins, je dis, comment voyez-vous la chose et elle me dit, non, vous dites moi, mais avant, comment avez-vous su, je lui dis que j'ai entendu des imbéciles vous débiner, intéressé par l'info et la personne, je vous ai jaugé et contacté

vous m'avez l'air d'être ouvert jeune homme, je lui dis, je ne sais pas, mais de grâce, ne me mettez pas dans le même sac que ces homo-erectus, n'ayez crainte dit elle, je vous ai appelé, c'est un signe, mais dites moi maintenant que vous me connaissez plus intimement, comment vous voyez la suite, je lui dis, voila, j'aimerais qu'elle découvre certains plaisirs qu'elle ignore de ce que je sais, a part comme elle m'a avouée, quelques petites découvertes a l'adolescence

Demandant plus de précision, je dis après, c'est vous qui décidez, je reste ou pas, je reste passif ou pas, seule exigence, je reste dans la pièce a coté, que vous pouvez fermer si vous le souhaitez, qu'attendez-vous de cela me dit-elle, je réponds "et bien dans l'ordre, avant tout son plaisir, le vôtre ensuite, la chance peut être que vous acceptiez ma présence passive par la suite et bien sûr plus encore si vous le souhaitez, en tout cas rien que vous n'auriez pas envie

Ça me parait très raisonnable dit-elle, mais comment savoir si vous n'allez pas filmer, je lui dis qu'on a trois chambres, vous prendrez celle que vous déciderez a la dernière seconde, ou même rester dans la salle ou même la cuisine

Comment cela commencera, car l'autre soir, elle ne me paraissait pas être dans cette attente, je dis en effet, c'est pour ça que vous m'avez plu, vous n'avez pas l'air d'une crevarde qui va se jeter dessus pour vous satisfaire, n'ayant pas pratiquée, je compte lui bander les yeux et vous laissez faire, au début, elle croira que c'est moi et une fois excitée, elle se donnera a vous sans condition, en plus comme se sera avec ma bénédiction, vous jouerez sur du velours, vous n'aurez aucune peine

Elle a un corps fait pour le plaisir, au premier frisson, elle tombera comme un fruit mur, elle me dit que venir à 21 h et a 21h01 passé a l'acte n'est pas très motivant, je dis que je le comprends tout a fait, que je ne suis pas homme a fréquenter les cabanes de chantier, que j'aime découvrir, alors que pensez-vous d'une invitation a dîner chez nous, si après le repas vous êtes intéressée, vous restez et je met en place ce dont je vous ai indiqué, si vous n'avez pas de motivation, ça peut arriver, vous partez avec mon sourire, je préféré quelqu'un de volontaire qui en a envie, que quelqu'un qui se sent obligé

Elle me dit, vous m'avez paru quelqu'un de bien quand je vous ai vu la première fois, et là, vous m'épatez, je réponds, alors épatez moi en retour, faites-la se trémousser, faites la hurler, faite la grimacer de plaisir, rendez la folle, dépendante, et vous partez ensuite en me la laissant sur l'oreille pour la fumer plus tard, cela n'est pas important, elle récupère vite, j'aurais le deuxième service

Elle dit, "bien, je réfléchis et vous rappelle vite pour qu'on trouve un soir, quelle que soit ma décision, je vous rappellerais ne serait-ce que par correction", je lui donne mon numéro de domicile au cas où je serais en extérieur

Elle fut de parole, deux jours après, elle me rappelle au bureau, je lui indique le vendredi de préférence, elle comprend et préfère aussi, je lui demande lequel, elle me dit cette semaine, je dis ok, je demande ses gouts et a part les plats en sauce ou gras, elle aime tout, on se met d'accord sur du poisson

Le vendredi soir arrive, j'avais quitté plus tôt, elle appelle pour confirmer qu'on l'attend, Marie l'avait vu à l'expo et je l'avais présentée comme une cliente, je lui avais dit que son mari venait avec elle, elle se rappelait a peine d'elle, je lui dis que c'est un contrat important, quand elle arrive seule, elle raconte ce qu'on a mis au point

Qu'il a loupé l'avion, mais qu'elle est compétente à signer, a l'apéro très léger, en parlant de l'expo, elle a les mêmes manières que l'effleureur, tout en parlant, elle met sa main sur le genou de Marie, le tapote par moment pour accompagner ce qu'elle dit

Quand cette femme me regarde, Marie avec ses yeux me montre sa main sur son genou, et quand elle regarde Marie, je fais signe de laisser, à force sa main va sur sa cuisse, elle parle doucement, d'une voix calme et des mots bien ponctués, a force, Marie son pan de robe tombe et sa cuisse est nue, marie me regarde et je fais signe de laisser, le signe, c'est de me gratter l'oreille furtivement

A un moment, elle dit "attendez, je ne vous ai pas dit" ce faisant, elle lâche la cuisse de Marie pour mettre sa main a la hauteur de son sexe (pas dessus, a la hauteur seulement), Marie rougie et frissonne, (elle me l'a raconté après), Marie se lève pour qu'on passe a table, et quand elle est seule en cuisine, elle me dit, je ne crois pas qu'il y ait besoin de lui bander les yeux, elle est très réceptive, je dis, je vous laisse seule maitresse a bord

On convient d'un geste de sa part pour me dire l'évolution positive, c'est de faire un O avec son pouce et index, elle me dit aussi qu'un clin d'œil de sa part, et je devrais la laisser seule avec, je la rejoins en cuisine et lui dit, je crois que c'est bon pour le contrat, on marche sur des œufs maintenant, il y a juste a dire oui madame, elle veut me dire quelque chose, mais je retourne auprès de ma cliente

Marie est en robe de soirée comme a chaque fois qu'on est chez nous avec un client, string et soutif, jambes nues, la cliente est venue en tailleur jupe cognac, jupe dessus les genoux, très classe et élégante, chemisier noir avec transparence des bras, elle est tout en noir dessous avec porte jarretelle et bas noir

Pendant le repas, elle frôle le bras ou les mains de Marie, puis lui touche le pied avec le sien, son regard me l'indique et en regardant Marie, je dis "oui madame", et rajoute, je vous sers en tenant la bouteille, Marie a comprit ce que j'ai dit dans la cuisine, avec le "oui Madame", j'ai les signes que cela va comme veut Madame, son pied était sur sa cuisse, elle se laissait caresser, avant de se lever, Marie disait, j'apporte la suite, pour lui signifier qu'elle retire son pied

Au deuxième repas d'affaires à la maison, on avait acheté une table ronde, pas trop grande non plus, une colonne centrale et 4 pieds au sol, les pieds de table ne gênaient pas pour faire du pied, les plats étaient sur une desserte comme dans les hôtels, mais en bois, comme cela la table n'était pas encombrée, de son pied sur la cuisse, avant que marie ne retourne en cuisine ainsi que quand elle revenait, Madame remettait son pied directement, sur ses jambes d'abord, puis entre ses jambes, jusqu'aux genoux ensuite, puis les lui écartaient

Je ne savais pas exactement ce moment là, mais je voyais Marie, je déchiffrais en elle ce qu'elle ressentait, elle était troublée, me regardait, elle parlait peu contrairement a d'habitude avec les hommes, elle me voyait la main me gratter l'oreille furtivement (signe de laisser faire), moi je voyais la main de Madame faire le O, (signe que ca se passe bien), quand Marie disait, je ramène la suite, je devinais bouger Madame qui me dit une fois seuls que cela se passe a merveille

Quand marie revient, elle nous sert et se rassoit, Madame pose son pied directement sur ses genoux qui s'écartent sans forcer, Madame a ce moment là me fait plusieurs O de suite, signifiant que c'était gagné, Marie repart en cuisine, elle me dit en parlant boulot, "le client est d'accord, mais maintenant, il faut qu'il le demande", le message était clair, Marie voulait bien, mais madame voulait que se soit-elle qui le demande

Marie a hésitée longtemps, mais avant de quitter la table, elle a caressé sa cheville et serré son pied entre ses genoux, cette femme était très discrète, je savais ce qui se passait parce que j'étais dans la confidence, sinon je n'aurais remarqué que le comportement de Marie, en se levant, Madame ne retrouvait plus sa chaussure, elle demanda si elle pouvait marcher pied nus, Marie lui dit oui et qu'elle va faire pareille

Elle nous apporte le thé et café et au moment où elle veut s'asseoir, elle dit a Marie, mettez-vous plutôt ici, entre votre époux et moi, passant devant elle, elle lui met la main aux fesses, Marie me regarde furtivement et s'assoit, elle me dira qu'elle avait honte a ce moment-là, c'est pour cela qu'elle a évité mon regard

On finit notre thé et café, j'ai le signe, le clin d'œil, je m'absente au WC, je reste longtemps, pendant ce temps, elle a pris la cuisse de Marie à pleine main, ses doigts entrent, puis Marie les a écartées, en fermant les yeux, plongeant sa main sur son sexe, Marie a fait un "haaa", elle lui a attrapée les seins, Marie savait que j'étais d'accord, se forçant au début (apéro), elle a vite pris goût ( à table)

Quand je suis arrivé, elles s'embrassaient, Marie me regarde et comme je souris, elle s'abandonne, Madame se déshabille, elle retire son tailleur, proprement, disant qu'elle devra repartir avec, elle reste en sous vêtement, me disant, "vous regardez et c'est tout", je fais "aucun soucis, elle vous appartient"

Elle parcourt le corps de Marie qui se trémousse, elle veut caresser Madame, mais elle lui dit "après, ne pense qu'a toi pour le moment", Marie gémit sous ses doigts experts, Madame me dit, regarde la souffrir du manque, en effet, c'est Marie qui de son corps cherche la caresse, elle ondule, par moment, elle me regarde, ses yeux me disent qu'elle a envie de jouir, Madame me dit, "retirez mon soutif", elle ne le dit qu'une fois

Elle suce Marie, mais sans la faire jouir, s'arrêtant avant, une vraie pro, je suis content de mon choix, de plus, elle est très bandante, comme je suis sur le côté et que je me touche, elle me dit que je peux me mettre nu, je m'exécute, Marie souffre sous ses caresses, elle gémit, Madame aussi est très excitée, son bassin remue, elle me prend ma main et me la met sur un sein, elle gémit aussi sur ma caresse, je lui demande si je peux embrasser son corps, elle dit oui de la tête, sa peau est douce, je la couvre de baiser

Elle ondule, elle me dit de retirer son string, sans lui toucher le sexe, elle a un frémissement, je la tripote du ventre aux seins, elle bouffe littéralement Marie, elle alterne avec sa bouche et ses doigts

quand elle peut parler, elle me dit, maintenant, tu peux me toucher partout, mais pas de pénétration avec ton sexe, je dis, quand vous dites partout, elle répond absolument partout, allez, vite, je la caresse encore sur les seins d'une main et l'autre va sur sa chatte, elle a un gémissement violent, elle bouffe Marie de plus belle, mes doigts s'activent, et d'un coup, Marie hurle son plaisir, Madame joui aussi, mais sans crier, en restant immobile, faisant juste des" huuuuuu, huuuu"

Après cela, elle prend la place à Marie, je lui demande si elle ne préfère pas la chambre, je lui jure sur Marie qu'il n'y a pas de camera ou autre appareil photo, elle me regarde et me dit ok, Marie la suce a son tour, madame lui dit, oui comme ça, la oui, voilà, tourmente mon clito, voilà, c'est bien, moi, j'ai pris Marie en levrette, et bien sûr, je n'ai rien pu me retenir, je me suis retiré et j'ai joui dans mes mains, que j'ai été lavé, Madame m'a dit merci

Je suis revenu et je n'ai pas tardé à rebander, Madame jouissait quand je suis revenu, les femmes se sont embrassées, enlacée, caressée, je les caressais aussi là ou leurs mains n'allaient pas, Madame me dit d'aller chercher son sac plastic d'une marque de vêtements, dedans, il y avait un gode ceinture, elle se le met et baise Marie, moi derrière elle, je la doigte, elle ondule du bassin sous mes caresses, répercutant sur Marie qui jouit à nouveau

Madame lui donne le gode ceinture qu'elle met, et Marie la baise en missionnaire, elle a sa tête sur son épaule, moi derrière, sans bouger, Marie baise et se fait baiser, c'est elle qui donne le rythme, je me tiens sur mes bras pour ne pas écraser Madame avec nos deux poids, les deux femmes gémissent

Je fixe Madame, qui par moment ferme les yeux, et a un moment, elle me dit, tu aimes dire des mots cru, je dis, genre salope, elle dit va y ne te gène pas, tout me va, je l'ai insulté ainsi que Marie, espèces de putes, vous êtes des morues, des vrais salopes, des brouteuses de minou, des gouinasses, l'effet accélérateur, mais même pour moi, Marie a jouit, la femme ensuite et de les voir et entendre jouir, cela m'a fait partir a mon tour, je m'en voulais, de n'avoir pu me retenir, j'ai encore joui en dehors de Marie pour ne pas la souiller pour Madame

Les femmes étaient en sueur, collées, elles ne voulaient pas se quitter, elles s'embrassaient, elles se mirent à se caresser encore, moi, je les caressais aussi, j'avais donné tout mon jus, Marie me regarde en me montrant le tiroir de la table de nuit, je sors son gode puis un autre dans l'armoire, elles se sont godées en 69 et ont eu un autre orgasme, j'avais rebandé un peu, mais pas suffisamment présentable

Chacune a été se doucher ensuite, Marie m'a demandé si ça allait, je lui ai dis qu'avec une femme, je n'ai aucun sentiment de jalousie, quand Marie a été a son tour a la douche, Madame voulait partir pour nous laisser, je lui ai proposé de rester la nuit, seule avec Marie, étonnée, elle me dit, chiche

Je le lui répète, disant qu'elle va demander a Marie si elle le veut, Marie me regarde, souriant, je dis, toi, en as-tu envie, elle ne répond pas, mais fait son air de "j'ose pas", je regarde Madame et dit, ça veut dire oui, elle l'attrape par la taille et Marie l'enlace

Je leur dis, une douche, je viens vous border et je vais au lit, en revenant, pas par jalousie, je pose le micro derrière la tête de lit en embrasant Marie, j'approche ma bouche de Madame qui allait me tendre sa joue, elle me regarde, puis me tend ses lèvres, et me dit en prenant Marie à parti, que je suis un type bien

Elles ont entendu la porte de ma chambre se fermer, puis ma fenêtre, pour elles, je suis bien dans ma chambre, j'ai les oreillettes, je suis content de ce que j'entends, reprenant des forces, elles discutent, elles se font des compliments

Madame lui répète que je suis un type bien et lui dis de me garder, Marie se confie, elle lui dit qu'elle m'a fréquenté parce que j'étais gentil et que je la traitais bien, puis rapidement, elle m'a aimé, qu'elle a connu une routine, qu'elle a fait une bêtise avec un porc, qu'elle a failli me perdre et c'est là qu'elle a compris à quel point elle m'aimait,

Madame lui dit que beaucoup d'hommes n'auraient pas acceptés la chambre d'ami pour nous laisser seules, tu l'aimes, mais lui aussi, il t'aime et ça ne fait aucun doute, puis ce fut le silence, j'ai entendu des bruits de tendresse seulement, puis petit a petit, de plus en plus de gémissements, reconnaissant a peine de qui ils étaient, j'ai aussitôt bandé de les savoir se gouiner

Autant je ressentais une légère jalousie avec un autre homme que là, je n'en avais aucune, ce qui me faisait accepter un autre était le fait que, de voir Marie heureuse, prendre du plaisir, surpassait ma petite pointe de jalousie, je n'ai pas dormi beaucoup, elles eurent un autre orgasme moins violent, puis elles finirent par s'endormir

Je retirais mes oreillettes pour les cacher au cas où, je m'endormis sur le matin et fus réveillé par des bruits de plaisir, ma porte de chambre était ouverte et la leur aussi, comprenant l'invitation, je me joins a elles, Madame était entièrement nue, à genoux, sans bas et en travers du lit, elle se faisait baiser par Marie en levrette

Elle me regarda avec les mêmes yeux que la veille, je me mis à la traiter de vieille pute, de lui faire dire que c'était une salope, en même temps, je tripotais ses seins sans qu'elle me le demande, elle se laissait faire, je tirais sur les bouts, je la traitais en même temps, disant, " tu aimes salope", ho oui oui qu'elle dit tout fort puis tout bas me dit, fais-moi tout ce que tu veux

Je lui dis à l'oreille, je vais me retirer de Marie et te baiser à sa place, elle dit, " ho non ho non", les "non" peu crédibles des femmes, je tente le tout pour le tout, toujours en la traitant, je lui dis ce qui va lui arriver, je dis a Marie de me laisser la place et mets mon sexe sur le sien, elle fait, "noooonnnn", mais reste en place en tendant sa croupe, tellement lubrifié que je suis rentré a fond sans peine

Je dis a Marie d'aller lui faire sucer son gode ceinture, en disant, aller suce salope, elle s'exécuta, j'étais vexé de la veille d'avoir joui trop vite, je me dis que cette fois, il faut que je sois a la hauteur, je dis à Marie de se mettre devant elle, et a Madame de lui sucer le cul

Au bout de deux coups de langue, Madame s'est envolée, son air bourgeois était bien loin, traitée, elle répétait qu'elle était notre salope, respectant son souhait premier, je n'ai pas joui en elle, par moment, je regardais Marie, elle n'avait pas l'air jalouse, elle était contente même, était-ce parce qu'elle avait vu avec Helene, que de l'avoir baisé, mon amour pour elle n'avait pas cessé

Après que madame ait joui, je dis, a Marie maintenant, je me mets sur le dos, elle s'empale sur moi et s'allonge, pendant que Marie se baise sur ma bite, madame attrape un gode et l'a sodomise avec, moi, je ne bouge pas, la vibration me branle de l'intérieur, Marie s'active

Je sens que ça vient sans que je ne fasse rien, je me crispe, j'essaie de penser a autre chose, mais Madame se "venge" de ce que je lui ai dit, elle dit, "aller ma belle, fait le cracher en toi, allez salope, branle le avec ta chatte", je réalisais seulement l'étrangeté des mots employés en contradiction avec la Madame en dehors des ébat

Notre baise, plus le gode, fini par avoir raison de nous, je ne sais plus si c'est Marie ou moi qui suis parti le premier, les femmes avait déjà eu leur ration pendant que je dormais, Madame s'est lavée la première, seule, on a discuté, elle me dit que c'est très rare qu'elle accepte un trio, et encore plus rare avec l'homme actif, je l'ai remercié

Puis le temps des au revoir est venu, on l'a embrassé sur la bouche, c'est elle qui m'a tendu ses lèvres, je lui demande, "c'est un adieu ou un au revoir", elle n'a pas répondu, a ce moment-là, elle ne le savait pas, mais dans ses yeux, j'ai cru voir une gène, un sourire forcé



À suivre
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Vengeance heureuse d'un cocu 6

Le 30/06/2015 - 22:51 par annizette
réponse à nouveau à cocuforever: en principe un mari cocu ou mari trompé, c'est pareil, un mari consentant, c'est un mari libertin, ne dit on pas, le cocu est le dernier informé, une fois celui ci informé, il n'est plus cocu, soit il quitte l'autre, soit il accepte sous conditions, il dit alors, "elle me trompait ou me cocufiait", ou encore, "elle m'a fait cocu ou elle m'a trompée"
Le 30/06/2015 - 22:01 par Cocuforever
mari trompé est un mari qui ignore et qui donc on trompe en cachant quelque chose. Mari cocu est un mari "au courant" consentant ou non, mais qui par ce fait n'est trompé
Le 27/06/2015 - 20:34 par annizette
merci pour votre commentaire cocuforever, mais je ne comprend pas votre phrase, mari cocu ou mari trompé, cela désigne la même chose, vous avez surement voulu dire, de mari trompé a mari coquin
Le 27/06/2015 - 18:27 par Cocuforever
J'adore ce récit et j'attends avec impatience la suite. J'aime l'idée de mari trompé à mari cocu.

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