ACCUEIL > Divers > Récit : Vengeance heureuse d'un cocu 7

Vengeance heureuse d'un cocu 7

+105

Lue : 1232 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/07/2015

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Suite

Avec l'effleureur, j'ai été reconnaissant au début, copain de jeu ensuite et finalement ami, puis grâce aux privilèges avec Marie, on est devenu très bon ami, jusqu'à me donner le code de sa maison pour rentrer et qu'il me dise "si tu a besoin d'un peu de liquide, c'est le coffre là, avec le même code plus l'année de naissance de ma femme ", il y avait une belle somme, si au début, l'amitié avec son mari n'était pas vraiment réciproque avec elle, depuis que cocu, j'ai offert Marie à son mari, elle l'est devenu progressivement, la prendre a notre service en étant très bien rémunéré et complice muette

Elle m'adorait, pareillement avec Marie, connaissant nos secrets d'alcôves, un jour, elle me demande a moi seul en secret, d'installer une camera de surveillance miniature, elle me montre un article vu dans une revue, mais je connaissais déjà cela, là ou elle eut du mal à me dire, c'est qu'elle voulait être la seule a savoir cela, me disant qu'elle n'osera jamais regarder a coté d'eux, je comprenais cela, un voyeur n'est pas un spectateur, l'effleureur m'avait dit une fois, ma femme, c'est comme si c'était moi, tu t'attaque à elle, tu t'attaque a moi, tu lui fais plaisir, c'est a moi que tu fais plaisir, même si elle te demandait de la conduire chez son amant, si elle en avait un, tu la conduit chez son amant

Donc cette fois-ci, sa femme me demande cela a son insu, hors de question de dire non, surtout qu'il n'y avait rien à cacher, elle-même me demandait de lui offrir Marie, donc pas de risque de découverte comme j'ai eu, a la boite, je n'étais plus du tout soumis a un travail, je pouvais prendre une semaine non déclaré comme vacances, on ne me disait rien, sauf si j'avais un repas d'affaires, le directeur me demandait souvent des comptes-rendus de ces repas, il avait peur que ça tourne en débauche, je disais non, ça drague, des fois leur pied s'égarent, mais pas plus, je prends donc, soit une matinée, soit un après-midi, suivant consultation des rendez-vous boulot de son mari

Le midi, je mange avec elle, le vendredi, je lui dis que demain samedi, je viendrais finir, la mise en route, elle me dit, non qu'elle n'est pas là, qu'elle va je ne sais où avec son mari et qu'ils vont rentrer tard le samedi après midi, je réponds, et bien ca sera lundi, de retour a la maison, je me dis, suis-je bête, j'ai les codes, la permission de rentrer quand ils ne sont pas là, et comme justement, ils ne sont pas là, je vais pouvoir faire les réglages, ça lui fera une surprise, j'amènerais Marie dimanche comme ça, j'avais pris l'habitude de me garer une rue avant pour ne pas qu'il reconnaisse ma voiture et la machinalement, j'ai fait pareil

Je finissais mes réglages, quand j'entends une voiture se garer, j'étais dans la pièce où il y avait l'ordi, je me sentais mal d'être chez eu sans qu'il le sache, même avec autorisation, je me dis que dés qu'ils s'éloigneront de la cuisine et couloir, j'irai à la porte, sonner pour dire que je viens rendre visite en passant vite fait, mais ils restent dans le couloir, dix minutes après, quelqu'un sonne, je me sens très mal, il ouvre, et je vois Annie (j'autorise de raconter), bien sûr, dés qu'elle rentre, en même temps que la bise, ses mains se baladent, a ce moment, je me dis que c'est plus que ce que je voyais lors des rassemblements comme anniversaire ou autre, j'admire Annie toujours impeccablement sexy, la femme de l'effleureur est en cuisine, elle ne vient pas la saluer, Annie contre l'huisserie de porte de cette cuisine et l'effleureur derrière et sur le cote

Contre toute attente, je vois l'effleureur passer sa main sous sa robe, et Annie écartant même les jambes, j'avais toujours vu l'effleureur n'effleurer qu'a peine toutes les fois, mais là, il pelotait, caressait, après quelques minutes, j'entend qu'il dit, aller au billard, j'allume le PC que j'avais éteint à leur arrivée, le temps qu'il soit opérationnel, quand j'ouvre les cameras, je vois Annie qui joue avec l'effleureur qui la tripote, puis ensuite, il lui retire sa robe sans ménagement, pareil pour ses dessous, je vois Annie la bourge BCBG, autant que la Madame, celle qu'on écoute et ou on se tait dés qu'elle parle, celle qui dit une chose et à qui on obéit sans se poser de question

Je vois à l'écran, la belle et la bête, la Femme fantasme et le rustre, celui-ci la malmène comme si c'était une pute, aussitôt une déception me donne une boule dans le ventre, mon ami, fait chanter la femme que j'aime d'amour platonique a défaut d'autre chose, j'ai voulu intervenir comme la fois à Notre-Dame, le même résultat serait arrivé me dis-je, je ne peux pas mettre le son puisque je me ferais repérer par sa femme, je regarde impuissant, cherchant un moyen, je bande malgré moi

Puis je le vois qui la suce, et faisant gros plan sur le visage d'Annie, je vois son consentement, je suis rassuré d'un coup, Annie s'exhibe à sa demande devant lui, il dit, et elle fait, elle est complètement a ses ordres de vicieux pervers, je raconterais plus loin, ce qui se passe sous mes yeux, je comprends donc la situation, son sourire, tout indique qu'elle vient d'elle-même, je suis soulagé d'apprendre cela et en même temps content

Leur première rencontre, ils se sont connu au cinéma, voisin de fauteuil, l'effleureur effleurait, insistait, et cela, de plus en plus, pour finir par ce qu'elle se laisse faire, de peur que si elle se défend de trop, que son mari intervienne, l'effleureur n'étant pas gringalet, son mari non plus, il y aurait eu du dégât, finalement, elle ne regrette pas sur le coup et y prend plaisir, ils se sont quittés sans rien dire

Quelques mois après, a son boulot, dans l'ascenseur, elle descend, la porte s'ouvre et il apparaît avec d'autres collègues à elle, allant dépanner, Annie est écarlate, au RDC, il la laisse sortir en premier et plus loin dit " bonsoir madame", il rejoint sa fourgonnette, elle apparaît derrière lui en disant, "Mr, je....., il....., je voulais, comment dire, je......." et il répond, mais Mme, laissez-moi, je ne vous ai jamais vu, d'ailleurs, je ne vois jamais rien……. avec les mains

Elle dit merci, il rajoute, la prochaine fois, dans la même situation, seuls (disant cela, il tournoie ses mains), quelques mois après, au détour d'un couloir, Annie le voit pénétrer dans l'ascenseur, elle presse le pas, monte dans l'ascenseur, lui tourne le dos après l'avoir juste regardé, et là, il lui a mis une main sous la jupe en chuchotant, la maintenant, je me souviens, elle chuchotait aussi, "mais vous êtes fou, arrêtez"

Elle se débattait très légèrement par principe, arrivé au RDC tout était redevenu normal, elle le précédait devant et nota son téléphone qui était sur sa camionnette, son mari l'a appelé pour un dépannage un soir, en arrivant, elle fait celle surprise, mais l'effleureur n'était pas dupe, surtout en voyant que la fuite venait d'un "sabotage volontaire ", quand son mari était dans une autre pièce, elle disait non à ses mains baladeuses sans se pousser, a ce moment-là, il avait deviné la complicité de son mari sans en être certain.

Reprenons ou j'étais planqué dans la petite pièce servant de bureau au-dessus du billard, j'éteins l'ordi, j'entends sa femme rentrer dans les toilettes, je sors de la maison et m'en vais, je rejoins Marie, le dimanche, nous allons chez eux, je dis a l'effleureur, que Marie veut un billard, ce qui était vrai, elle m'a dit "je pourrais faire un billard", je lui ai répété, pour un billard, tu n'a pas besoin de me demander, elle dit qu'elle préfère

Ca faisait plusieurs fois que je ne matais plus, l'effleureur le savais par sa femme et aussi par moi, Marie le savait aussi, car si je ne lui avait pas dit au début, plus tard, je lui avais avoué, puis avoué aussi que maintenant, je les laissais dans l'intimité, et qu'elle n'avait plus besoin de me dire ce qui se passait, que je lui accordais avec lui un jardin secret, j'avais dit "no limit" et que je ne voulais plus rien savoir, qu'elle avait besoin d'intimité et que lui était le seul avec qui je pouvais laisser tout faire

Tout, m'avait-elle dit, j'ai dit tout sans aucune exception, toi seule fixe les limites, en rentrant j'avais dis que pendant que vous aller au billard, que je vais regarder ton ordi qui deconne, en fait, c'était pour justifier le boulot de la veille, je fais les réglages et met le son faible, comme elle sait ma présence, je n'ai pas a me cacher comme la veille

je regarde en habitué, le début se passe normalement, il tripote, puis j'entend, tu aimes ça salope, oui dit elle, là, je suis étonné, j'augmente légèrement le son, il l'a traitait comme une salope, elle était son esclave sexuel, dans un vieux meuble dans le fond, il avait pris un Plug, un gode et un martinet, tend ton cul putain, elle disait oui Mr, le cul en l'air, il rentra le Plug après avoir frotté sur le sexe qui dégoulinait, elle prenait de coups de martinets, elle disait plus fort mais il dit non, ca se verra sinon

Avec le gode ensuite, il la fit jouir, je bandais, je n'avais aucune jalousie, je me demandais pourquoi elle ne me l'avait pas dit, je me rappelai de ce que je lui avais dit, de ne rien dire, de la laisser libre de tout, j'avais dit pareil a l'effleureur, ma femme est entièrement a toi dés qu'elle rentre ici, mais je n'étais pas jaloux, là j'étais juste surpris, car j'avais loupé des "séances" il humiliait Marie, il faisait avec toutes ses perversions

Après avoir joui, il lui dit, tend ton cul bien en l'air salope, il retira le Plug et lui mit la queue de billard, et la faisait ramper sur les genoux, à quatre pattes sur le billard, il lui mettait des coups de martinet léger, en fait, il la soumettait et elle, elle se soumettait a lui, je bandais, j'entendis sa femme venir, je coupais tout, puis rentrais dans le programme en disant, que je n'y arrive pas, que je n'ai pas ce qu'il faut, elle repartit, car je cherchais pour elle

En remettant la vidéo, je vois Marie lui faire une fellation, surpris encore, mais j'avais donné l'autorisation, sa femme revient et me dit qu'ils ne vont pas tarder, alors je ferme tout et j'arrive, 5 minutes plus tard, ils arrivent, j'ai su a force qu'il était chronométré par sa femme, elle devait lui dire, tu as 15 ou 20 minutes, je ne dis rien à Marie, qui a la maison, me donnait des marques d'affection, parfois, elle me disait, si tu me le demande, je te dirais tout, mais je lui redis à nouveau, non, avec lui, vous pouvez faire tout ce que vous avez envie et je ne veux pas le savoir, pas parce que je suis jaloux mais parce que je veux que tu ai un jardin secret, tu me cache tout avec lui, et tu ne me cache rien en dehors

Elle m'enlace en disant " ce temps-là est bien révolue, même avec lui déjà, ça m'ennui un peu", je lui dis qu'il ne faut pas, ce qui est excitant pour vous deux, c'est que je ne sache pas, de plus, aucun risque d'être découvert, puisque je le sais, je lui dis "si tu va boire un verre avec un collègue sans me le dire, je ne serais pas content, mais si tu passe chez l'effleureur faire un billard, je ne dirais rien"

Je la conforte dans ce qu'elle me fait en douce, je lui dis même que si un jour, elle veut aller le voir en pleine journée, quand il est là, qu'elle a juste à écrire un mot me disant, "je suis au billard", cela afin que je ne m'inquiète pas et que je ne me fasse pas de mauvaises pensée, elle m'enlace en disant que jamais il n'y en aura un autre dont j'ignorerais, l'effleureur et c'est tout

Un soir vers 18 heures, je vais voir l'effleureur seul, pour faire un vrai billard comme cela arrivait souvent, on discute en même temps et en jouant, j'emmène le sujet sur Marie, elle lui a dit que je ne sais rien et qu'a ma demande, je ne veux pas le savoir, elle explique le jardin secret, a un moment, il me demande en sous-entendu, si je veux qu'il arrête, je dis surtout pas, j'ai dit à Marie, qu'elle était libre de tout, comme je t'ai dis a toi

Je lui dis, qu'elle en a besoin, que je préfère la donner a quelqu'un que je connais, plutôt que se soit un autre que je ne connais pas, qui me la prenne et la jette ensuite, Je profite du sujet en demandant, tu en as beaucoup qui viennent, il dit non, son ton est fuyard, je dis, tu sais, ce qui me rentre dans une oreille, ça ne ressort pas, il me dit, je sais, mais tu n'aimerais pas que je dise a d'autres que j'ai ta femme au billard

Je dis, non, mais si l'autre le sait déjà, il marque un temps d'arrêt, tire et loupe son coup, je lui dis plusieurs prénoms autres qu'Annie et il dit non, qu'il ne le dira pas, il me dit, tu sais, je sais que tout le monde se doute que j'ai les mains baladeuses, la plupart sont comme toi, ils aiment que leur femme soit un peu tripotée

La plupart de leur femme, même si elles font celles qui se faufilent pour éviter cela, elles le font faussement, tu fais le même geste sans qu'elle ne soit vu, et elles se défendent moins, si tu fais pareil avec du monde, elles te gifleraient presque, beaucoup de femmes aiment avoir une main qui se ballade sur elles, si personne ne les voient, elles me disent d'arrêter mais la fois d'après, elle reviennent volontairement se mettre dans les mêmes pièges, à force, je les sens celles comme ca

Je ne sais pas si toutes aiment cela, il dit, " toutes, non, j'ai dit la plupart et tu serais surpris", je me doute, je lui dis-je, il me dit, si une femme était ici comme la tienne, elle serait le genre à se laisser faire si tu la pelotes en douce, mais surtout pas de façon visible par d'autres, sinon là, c'est la claque, elles peuvent se laisser toucher le minou furtivement en jouant, celles qui ne veulent pas, si c'est en douce, par contre si on peut te voir faire a ne lui toucher que le pied, vlan, tu en prends une

Je le laisse parler, car je sais de qui il s'agit, il me dit tout, les prénoms au hasard sortis, lui indique que je ne sais rien, je lui dis, donc si une femme que tu tripotes a la maison, dans la cuisine où on ne peut pas la voir, elle va se contorsionner pour que tu arrêtes, pour que tu ne touches pas, du moins pour que tu le croies, mais qu'elle va revenir d'elle-même pour que tu recommences, et là, il m'explique certains trucs où j'ai peiné a bien comprendre, il me dit

Elle est seule chez elle, avec toi, tu fais ca, elle te claque, il y a du monde autour de vous, tu fais ca, elle te claque encore plus, mais si quelqu'un est dans la maison, son mari par exemple, caché par une cloison, ou un mur, qu'elle passe devant toi, si tu lui fais ca, comme une main furtive aux fesses ou aux seins, elle va te faire une mimique avec les yeux ou la bouche ou murmurer, "hé, ca va pas", toi, tu reste au même endroit, tu continu a parler avec son mari qui est dans la pièce a coté, elle va repasser a cote de toi, tu refais pareil, tu ne bouge toujours pas, elle repassera encore en disant la même chose, faisant celle qui te dit d'arrêter

Je ne veux pas lui dire que je sais, je dis que j'ai une bourge en ce moment comme maîtresse, il me dit, c'est les plus salopes, dans la vie de tous les jours, elle joue les saintes, et dans le lit, elles veulent être prisent pour des putes et qu'on agisse comme des salauds, je lui dis, a ton avis, Marie est une bourge ou pas, il me dit, tu veux quoi, savoir, ou pas savoir, je lui dis, écoute, pour moi, Marie aime venir ici, c'est tout ce qui compte, que tu la traite comme une reine ou comme une pute, si elle vient et redemande à venir, c'est qu'elle aime, donc pour moi ça me suffit

De toute façon, je vois ce que tu veux dire, j'ai été une fois à une démonstration de sado maso, il y avait des femmes et aussi des hommes attachés, fouettés, maltraités et ils ou elles en redemandaient (encore un mensonge pour avoir le vrai), je dis, si Marie aimait ça, elle me l'aurait déjà demandé, et là, il me dit, non, détrompe-toi, ta bourge par exemple, (il détourne le sujet), hé bien, tu pourrais faire cela si c'est son trip

Mais son mari, lui, il ne pourrait pas, je dis, il ne pourrait pas la fouetter, il dit si, mais elle ne ressentirait pas l'excitation du geste, cela ne fonctionne pas entre époux ou alors ce n'est que cinéma, celui ou celle qui domine doit être étranger au couple, en moi-même, je me dis que j'ai appuyé sur le bon bouton, il parle de ce qu'il connaît en tant que pratiquant, je me dis, le veinard, il a Marie, Annie et peut être encore d'autres

On continue a parler et au fil de la conversation et de la partie, il me dit, après une demande détournée, "n'insiste pas, je ne dirais rien, de toute façon, si j'en avais une autre, en plus de ta femme, ça serait le maximum, une, c'est bien, deux, ça va encore, après ce n'est plus gérable, ou alors ne faire que ça de la journée et prendre du fortifiant, après la partie, je rentre à la maison

Je repensais à ce qu'avait dit l'effleureur, mais timide, je n'ose pas, le temps passe, l'automne était revenue, j'ai de temps à autre des coups de fil de Madame, qui me dit ne pas nous oublier, qu'elle n'a pas de temps, des soucis sans importance, etc., je n'y croyais pas a ce moment, mais c'était vrai, un soir, j'avais arrosé une affaire au boulot, j'ai bu plus que raisonnablement, Marie, sans le savoir, avait préparé un apéritif, j'en prend un seul, comme je ne compte pas ressortir

Ce soir-là, Annie vient nous voir, superbe, son mari en déplacement, je lui dis qu'elle mange avec nous, je nous ressers l'apéritif, j'en prends juste un pour trinquer, Marie est en cuisine, a préparer le repas, Annie me demande, si a ma boite, je peux prendre quelqu'un pour un stage, je dis, je ne sais pas, mais je vais faire tout pour pouvoir te dire oui, elle me dit que c'est très important qu'elle ait son stage, elle me dit, je te demande ça comme un grand service, je lui explique le fonctionnement chez nous, je sais que des fois, on a des jeunes qui viennent, mais je ne m'en occupais pas

Pendant que je lui parlais, le cœur battant, l'alcool aidant, je mets ma main sur le genou d'Annie, elle ne réagit pas, j'emploie la même méthode que Madame, deux minutes après, elle se lève et quand elle se rassoit, me demande comment va notre couple, je dis que ça va, mais j'ai été fort, alors, je dois marcher sur des œufs maintenant, (mensonge encore), remettant ma main sur son genou en disant, figure toit que .........., Marie arrive, elle pousse ma main pendant que je la retirais aussi, Marie repart, je continue de parler, je pose encore ma main sur son genou, deux ou trois bonnes minutes se passent, et elle commence seulement bouger pour que je me pousse

Parlant toujours, je recommence, et elle me dit a voix basse, "ta main" je dis ha oui, elle est bien là et je pousse plus entre ses genoux, elle me chuchote, retire ta main, je chuchote, tu n'aimes pas, mais ce n'est pas ça dit-elle en me la retirant, je la remet un peu plus tard, elle me la retire, car Marie arrive et se met a cote d'elle sur le canapé a sa gauche, mais plus enfoncée dedans, Annie a pris un chips, le porte a sa bouche et je lui frôle le téton du revers des doigts, le chips tombe sur elle, en le ramassant elle me fait les gros yeux, mais se remet a la même place

En moi-même je jubile, merci l'effleureur, alcoolisé, je recommence, elle me laisse un peu faire en se protégeant avec le bras, mais je suis par dessous et mes doigts sur son sein, elle me serre la main avec son dessous de bras pour ne pas que je caresse, restant droite, elle parle à Marie et quand elle se lève pour retourner en cuisine, elle desserre son bras pour que je retire ma main, tu es chiant me chuchote-t-elle souriante, je lui dis, laisse ma main-là et je ne le refais plus, elle dit non, je lui prend le sein et le genou de l'autre main, arrête dit elle sans me pousser, je dis, tu aime ça puisque tu reste

Elle se lève et je dis, non reste et je ne te touche plus le sein, elle se rassoit, je touche son genou, qu'est-ce que j'ai dit dit-elle, je dis, j'ai dis le sein, ce n'est pas le sein, c'est le genou là, de la cuisine, Marie dit, on va pouvoir passer a table, Annie se lève, je la retiens et passe ma main sous sa jupe, elle se déhanche, mais je tiens sa cuisse prés du genoux, elle dit, lâche moi, je dis, si tu me laisse te faire du pied à table, elle dit, et puis quoi encore dit-elle, joignant le geste a la parole, je lui dis, ma main remonte alors, a mi-cuisse, elle dit non arrête, en se déhanchant, elle m'échappe et va s'asseoir

Elle est à la même place que madame la fois où elle est venue, sauf que c'est moi qui lui fera du pied cette fois, quand Marie est à table, je fais du pied a Annie, et remonte sur sa jambe, elle serre les jambes, avec mes deux pieds, je les enserre, elle les met sous la chaise, je mets un pied sur son genou, elle me pince le pied, je tape avec sur la table en sursautant, quand Marie est en cuisine, je lui attrape un sein, elle se débat toujours souriante, je lui dis donne ta jambe, elle dit, mais qu'est-ce que tu as ce soir, je dis, tu aimes ça, ça se voit, aller, arrête dit elle, non dis-je

Marie revient, Annie et Marie sont en chaussures avec petit talon, quand elles marchent, on entend sur le carrelage de la cuisine, je sais donc ou se trouve Marie rien qu'au bruit qu'elle fait, bien sûr quand elle revient, je me fais discret, je remets mon pied sur Annie, elle serre les jambes, je force sur elle, elle me fusille des yeux quand elle regarde vers moi, mais son sourire la trahit, je lui fais signe dés que Marie est dans son assiette, je me lève et en passant, je lui frôle un sein, je vais à la fenêtre justifiant un bruit, quand je reviens, je recommence

Marie se lève à nouveau et en la suivant, je retouche un sein en passant, je redemande sa jambe, un refus a nouveau, je remets mon pied et levant les yeux, elle accède a ma demande, jamais je n'aurais osé cela si je ne l'avais pas vu chez l'effleureur et s'il ne m'en avait pas involontairement parlé, même un peu éméché comme j'étais. Marie et Annie, sont pareilles, elles partagent les mêmes "déviances" sauf que dans la vie, l'une est plus timide et l'autre autoritaire, je caresse du dessus du pied, la jambe d'Annie puis je la serre de mes deux pieds

Marie se lève à nouveau, je libère Annie, quand Marie revient, de mon pied, je tapote Annie pour qu'elle remette sa jambe, elle la remet aussitôt, je la caresse à nouveau, je caresse doucement, délicatement, au début comme elle me donnait sa jambe droite, en la caressant de son genou a sa cheville, a chaque fois que j'étais a son genou avec mon dessus de pied, du bout de mon même pied, je sentais son autre genou, mais cette fois-ci, je ne le sentais plus vraiment, après trois autres caresses, je ne sentais plus du tout son autre genou

M'avançant sur la chaise sans que cela se remarque, gagnant peut être quatre ou cinq centimètres, mon début de caresse commençait avec le bas de mon tibia, et mon pied ne trouva pas son autre genou, je continue un peu à caresser puis avec mon pied, je remonte sa jambe vers le haut, pendant ce temps, on discutait tous, une fois sa jambe a la hauteur de mon genou, par de rapide aller de ma main dessous la table, je caresse sa cheville, Marie retourne en cuisine pour ramener le dessert et les fruits

Elle me dit, tu en as quoi de plus, je dis "pareille que toi", se faisant, j'ai attrapé son pied de la main droite et me penchant, je caresse sa jambe de la gauche, elle se tient à la table, car quand elle veut se reculer, je la lui lève plus, en même temps, je lui dis, quand on sera sur le canapé, tu remonteras à mi-cuisse, elle refuse et je dis, je te pince un téton sinon, souriante toujours, elle me dit que je suis tombé sur la tête

Marie allait revenir, je lâche Annie, on finit le repas avec des caresses sur sa jambe que j'ai redemandé et qu'elle a donnée, Marie nous dit de passer au salon, mais Annie l'a rejoint dans la cuisine, je la suis et la taquine en la touchant, voyant que c'est plus risqué, elle va au salon, je lui rappelle ma demande, elle dit non, je pince son téton, elle se débat mais je sens que c'est moins virgulant comme défense, avant que Marie n'arrive, elle me dit, bon arrête, la t'es content, je met ma main sur sa cuisse et comme elle me pousse, je lui montre ma bosse au pantalon, elle me dit cache ça, je dis, je cache mais tu ne me repousse pas, Marie arrive et je dis a Annie, discrètement, tu me pousse et je me lève

Marie s'assoit, du revers de ma main, je caresse le téton d'Annie a travers son corsage, elle va pour me donner du coude, je fais celui qui va se lever et elle relève un peu son bras, je lui ai caressé le sein pendant plus de 5 minutes, Marie se relève pour débarrasser, je retire bien sur ma main, et quand elle part, j'attrape la cuisse, elle me dit d'arrêter, que je suis pire que l'effleureur, je lui dis oui, mais avec lui, tu te laisse faire

Quoi dit-elle, je dis, je vous ai vu une fois, tu ne le repoussais pas beaucoup, quand ça dit-elle, je dis, tu vois, tu ne dis pas le contraire, tu demandes juste quand, je dis, attend, Marie n'en sait rien, on va en parler quand elle sera là, prit de court, elle dit non, je dis alors tu me laisses pareil qu'a lui, je lui tripote les seins, elle se débat à peine, elle dit, il ne touche pas, il frôle lui, je dis de la façon que je vous ai vue, je pense qu'a d'autres moments, il devait frôler pas mal ?

À ce moment-là, Annie dans sa tête cherchait à quel moment, j'avais pu les surprendre, ils faisaient toujours attention, surement une fois ou deux où on a trop risqué, elle se demandait quel geste j'avais bien pu voir et me le demande, je lui réponds que je ne le lui dis pas, mais que je peux le lui montrer sur elle, et qu'elle risque de frissonner, quand Marie revient, on discute encore, je caresse encore puis quand elle part, je lui dis que je la raccompagne a sa voiture, elle monte et me demande encore quand je l'ai découvert

Sans répondre, je lui dis que je viendrais lui dire pour le stage, mais je ne dirais pas quand, et aussi, que ce que j'ai vu, jamais je ne le dirais à personne, c'est dans ma tête et n'en sortira jamais quoi qu'il arrive, je lui dis aussi, n'en dit a personne non plus, ni a l'effleureur, on serait gênés tout les deux. Annie me faisait confiance la dessus, tout le trajet, elle se demandait à quel moment, puisqu'il ne faisait jamais rien en dehors du billard, mais il est vrai que des fois, étant certain de pas être vu, l'effleureur lui attrapait furtivement un sein ou passait sa main sous sa jupe sans l'en empêcher, regardant juste si personne n'arrivait

Bien sûr dans ma tête, une idée germait, je demandais à mon chef comme un service, si une stagiaire pouvait l'intéresser, il en parlait au directeur, je pense qu'il l'a plus fait pour me rendre service, dans la semaine, j'avais la réponse positive. Entre-temps, la femme de l'effleureur me tannait pour pouvoir visionner, je ne savais pas comment faire, car elle pensait qu'il tripotait seulement, et je l'ai vu se faire sucer, je me sentais mal, d'un cote, je le trahissais lui et si je ne le faisais pas, je lui refusais un service, je lui tirais les vers du nez quand je venais, pour ne rien faire

Je lui dis, tu n'as pas peur que ca dérape plus a force, elle répond que ça sera à moi qu'il ferait le plus de peine, je lui dis, non, j'ai dit à Marie qu'au billard, tout lui est permis, elle dit, même s'il la pénétrait, j'ai dis tout sans exception, j'ai confiance en elle et en lui, il ne me la prendra pas il ne te quittera pas et elle ne me quittera pas non plus, elle me dit, elle a de la chance, elle préfère qu'il fasse cela ici, qu'ailleurs en me le cachant, je lui ai donné l'autorisation de faire ce qu'il veut avec, moi aussi pas de limite mais ici seulement, c'est pour ça que je veux voir sans être dérangé, et en plus, après j'en profite

dans la semaine, un collègue se plaint qu'on lui a crevé son vélo et volé ses chaussures dans sa cave, et la une, idée me vient, je pense a mon vélo, que je n'ai pas sorti depuis que je suis avec Marie, le soir, je vais a la cave, comme je n'ai plus la clef depuis le temps, j'achète une scie a métaux, je coupe le cadenas le lendemain, mon vélo est une épave, oxydé, pneus craquelés, le samedi, je m'en débarrasse sur un trottoir plus loin pour qu'il soit volé et je vais voir l'effleureur

Je lui dis que comme je m'empatte un peu, j'avais repris le vélo depuis quelques temps sans le dire à Marie, et en montrant le cadenas, je dis, plus de vélo, il me demande si je sais qui s'est, pour aller s'en occuper, je dis que je ne sais pas, il faudrait que je trouve un box, mais pas par chez-moi, il dit, pour un vélo, met le ici, je dis non, Marie va le voir d'une part et je ne veux pas t'encombrer, et la comme prévu il m'emmène dans sa cour, dans un débarras jouxtant la petite pièce de visionnage

Il doit y avoir 5 ou 6 mètres carré, plein de vieillerie bonne a la décharge, il me dit, ça te suffit, je lui dis, et tes affaires, il répond, ça, justement, ça fera une occasion de les virer a la décharge, je vois la petite porte donnant sur la rue qui n'a pas servit depuis longtemps

Je lui dis, c'est vrai que tu peux charger de par ici, je lui dis, ça ne te dérangerait pas de me louer ce local alors, il me regarde de coté en disant, tu n'a pas d'autres conneries à me sortir, je lui dis que j'ai un ordi que j'ai récupéré, je peux l'entreposé aussi avec, il dit "tu mettras ce que tu veux, tu as vu ce qu'il y avait"

Un lundi, Annie m'appelle au boulot, c'est très rare, elle me demande si on peut parler, je dis non (car j'ai un collègue dans mon bureau), je lui dis, je peux te rappeler, elle me propose de manger ensemble, je dis bien sur, et le midi, elle me redemande, en me disant qu'elle est très contrariée, je m'aperçois qu'en effet, cela la préoccupe beaucoup et je m'en excuse encore aujourd'hui auprès d'elle, de n'avoir pas réfléchi a cela, rassurant, je lui dis, "Annie, on se connaît depuis plus de 10 ans maintenant, je t'ai raconté mes galères, tu n'es pas qu'une très bonne amie, tu es bien plus encore

Si demain, un médecin m'appelle en me disant que tu as besoin d'une greffe de foie ou autre et que je suis compatible, je ne réfléchis pas, je dis, j'arrive (et c'est encore vrai aujourd'hui), te faire quelque chose qui te porterait préjudice, j'en serais incapable, autant, j'aime Marie malgré ce qu'elle m'a fait, autant, je t'aime toi, même si entre nous, ce n'est que platonique, dis moi quant et ou alors dit-elle, je te dis, Annie, je ne peux te promettre qu'une chose, il n'y a que moi qui t'ai vu ce jour-là et personne d'autre n'aurait pu te voir, si tu me tuais maintenant, il n'y aurait plus de témoins

Rassurée, après plusieurs promesses que personne ne le sait, que même l'effleureur, je ne le lui dirais pas et lui redisant aussi que j'aimerais que cela reste entre nous deux et que jamais je ne ferais quelque chose pour lui nuire, elle me demande pourquoi je ne l'ai pas dit avant et pourquoi je ne lui dis que maintenant, je répond "tu vois que je ne cherche pas a te mettre mal a l'aise, pourquoi je ne l'ai pas dit avant, c'est parce que cela ne me regardais pas, pas plus que maintenant et pourquoi maintenant, c'est parce que j'ai envie de te chahuter, comme ça, sans raison, avant je t'aimais beaucoup, maintenant, je t'aime encore plus, comme amie s'entend, amie complice

Regarde, là, tu es avec moi et comme il y a du monde, je ne bouge pas, elle me dit qu'elle va se sentir mal vis a vis de Marie, je lui dis, et avec la femme de l'effleureur alors, Annie s'est un peu vendu sans le savoir, elle change de sujet et je ne m'étend pas dessus, voulant que les choses soit claire, Annie me dit, tu me vend ton silence alors, je dis, pas du tout, je ne te vend rien, tu ne me dois rien, elle dit ne pas comprendre ce que je veux, je lui répond, "rien, je te vois, dans un recoin, je te chahute, je te vois avec du monde, je reste normal, libre a toi de me laisser un peu faire ou pas, elle dit, alors je ne me laisserais pas faire

Je réponds, je t'obligerais comme l'autre soir, Annie a un sourire, elle me dit non aujourd'hui, mais je crois que cette fois-là, elle avait eu peur d'un chantage et je lui avais dit, "si nous devions faire cela ensemble, ça serait avec grand plaisir mais sous conditions, d'abord que ce soit toi qui le décide et le veuille et avoir l'accord de ton mari, mais jamais je ne t'obligerais

Te chahuter est une chose, mais cela, jamais de la vie, Annie retrouve son beau sourire, en ayant l'air de plaisanter, je lui dis, le chahutage, je t'oblige un peu, mais c'est uniquement parce que je sais que tu aime cela et que tu n'osera jamais le dire, elle s'en défend, mais dans ma tête, je sais avoir raison

Je la raccompagne à sa voiture, une fois dedans, elle me dit, en tout cas merci, disant que c'est ma boite qui paie le resto, elle dit, oui merci aussi pour le resto, mais surtout pour ne pas avoir abusé, je lui réponds, hors de question de s'afficher, je me rattraperais quand tu reviendras a la maison ou nous chez toi, elle fait "mais oui bon, je te laisse", en disant cela, j'ai remarqué son petit sourire

Le WE l'effleureur et coucou, débarrasse ce petit appentis, leurs femmes nettoient et profitent aussi pour virer des vieilleries, me rendant compte de mon oubli, pour alimenter la pièce, je dis, il n'y a pas le courant, pour la batterie interne de l'ordi, coucou va voir derrière et en revenant dit, il y a une prise, je pourrais percer un trou sans faire de dégât au mur, comme il n'a pas de forêt assez long, je dis que je vais voir (un copain commun) j'emprunterais où il viendra le faire, cela étant entendu, j'emprunte un foret avec la grosse perceuse plus une chute de gaine qu'il avait, je perce le lundi soir, met la gaine et coucou revient sous les deux jours en passant dans le coin pour poser la prise et brancher

Sa femme me presse pour terminer, je lui dis, que les cameras sont défectueuses, qu'ils me les changent sous garanti, en fait, j'en mets trois autres en plus, de meilleure qualité, chère à l'époque, je fais les branchements quand je sais que personnes n'est là, je dis a l'effleureur de me poser un verrou pour le nouveau vélo que je vais acheter, je garde la clef et lui en donne une autre d'un autre verrou comme double, s'il me dit que la clef ne fonctionne pas, je saurais qu'il vient voir, mais comme la porte de derrière est toujours fermé, jamais ils ne viennent

Je piège la femme de l'effleureur en disant que je viendrais soit vendredi ou samedi là, ou ceux d'après, elle me dit que vendredi d'après, elle ne peut pas, qu'il ne seront pas là, elle me sort une excuse bidon, je dis que je viendrais donc celui là, je préfère que vous soyez là quand je viens avec Marie dis-je (en lui faisant un clin d'œil), j'en déduit que c'est parce qu'Annie sera là, le samedi d'après, pour faire plaisir à sa femme et a moi-même, mais elle ne le sait pas, je m'active a mettre tout en place, je viens donc en semaine où il est en dépannage loin

Je replace les mini cameras, j'en mets une troisième, j'ai 3 câbles en plus à passer, les autres y sont déjà, rien ne se voit, c'est coucou qui a fait l'électricité avec de la récup d'usine, les néons et les câbles électrique sont dans ce qu'il appelle des chemins de câble, sorte de grosse cornière pleine de trou, je peine juste a passer les câbles par le trou de chauffage, mais sa femme m'aide a cela, coucou était revenu brancher et fixer les prises de courant

Je démonte ce qu'il a fait pour passer mes câbles de la petite pièce a l'appentis, sans l'aide de sa femme, car elle ne sait pas, comme tout est derrière le petit bureau, on ne voit pas mes câbles et la prise qui ne colle pas contre le mur puisque mes câbles y sont, coté appentis, j'avais mis un petit bureau et une chaise aussi, acheté une poignée de cerises à Emmaüs, je me suis équipé, cycliste, mais sans ce qu'on appelle le moule bite, les gants, bonnet, pinces

Le vendredi soir arrive, j'emmène Marie après dîner, il lui propose un billard, moi je dis non, allez-y , je dis à sa femme, que je vais m'occuper de mon vélo pendant que Marie est occupée, que cette semaine, je n'ai pas eu BCP de temps, je lui avais dit que j'attendait un CD d'installation et que je ne l'ai pas encore eu, elle était déçue mais je lui ai dis, que lundi, ça serait bon, les cameras ne se voit pas, elles sont mini, j'ai viré la diode indiquant qu'elle est en fonction, et ensuite, les néons éblouissant, les dissimule, les chemins de câble étant de la récup, j'ai fait des trous plus gros pour la vision, sa femme a la vison a droite après l'escalier et du cote de l'escalier, moi, j'ai pareil avec en plus, l'autre coté de l'escalier

Comme toutes les fois, Marie prend une queue (de billard) et tire quelque coups, je fais mes réglages lumière et son, je me dis que j'aurais dû prendre des écouteurs, quand j'ai l'image nette, appuyé sur le billard, Marie est jambes écartées, lui est derrière avec la main dessous, je note que je devrais baisser un peu la camera derrière eux, il lui attrape un sein pendant qu'il la doigte, les images sont plus nettes que ceux dans la petite pièce, il faut dire que j'ai payé le triple par camera, le son est bon, j'entends Marie qui commencer à gémir et lui qui la traite, je réalise la situation, ma femme avec un autre et je bande de les voir

Ils ignorent que je sais tout, a ma demande certes, les salopes fusent, monte là dessus putain, Marie monte sur le billard, il la suce, j'ai l'image de son cul se faisant lécher la chatte et de l'autre côté, j'ai le visage de Marie qui savoure ce qu'il lui fait, mieux qu'au cinéma, et ce n'est pas du cinéma, et ce soir, je me ferais l'actrice

Je mate son cul, je mate sa tête, puis mate son cul à nouveau, quand je vois bouger un peu dans l'angle de l'escalier, sa femme ferme la porte à clef lorsqu'il y a "billard", la dernière fois, j'ai dû tourner la serrure, ce qui fait que comme il n'y a qu'elle dans la maison, je la devine a nouveau, je ne vois pas vraiment, car c'est sombre et que le néon d'en face éblouit, mais je me doute d'une présence, après l'avoir sucé, il va chercher un gode et bourre Marie avec, je lui fais tout ça moi aussi, mais c'est surement mieux avec un autre

Il attrape autre chose et lui dit de mettre sa tête sur le tapis (du billard)et là, il lui met un Plug de bonne dimension, j'avais remarqué depuis quelques mois, que lors des sodo, je rentrais plus facilement et qu'elle n'avait plus le petit souffle qui indiquait une petite douleur, je ne connais pas la taille du Plug, mais il n'a pas l'air petit, Marie s'écarte les fesses, il le rentre à fond, lubrifiant toujours avec sa mouille

Marie ouvre la bouche en grand, il lui gode le clito, il bouge à peine, c'est Marie qui se frotte dessus, écartant encore plus les genoux pour sentir mieux le gode, Marie est toujours habillée, seul son string est enlevée, il lui donne le gode, il l'a fait mettre le cul visible de l'escalier, je comprend mieux maintenant, sa femme ne ferme pas les yeux, elle les ouvre, Marie lui tournant le dos, lui, il se met sur le côté et avec le martinet, il la frappe, et elle aime ça, puisqu'elle dit des oui encore Mr et des plus fort Mr

Elle réclame plus fort, mais il dit non pour les traces, elle dit, encore plus fort et qu'elle s'arrangera pour reste dans le noir ce soir, il demande si elle est sur, elle dit oui Mr, comme elle se retourne quant elle réclame, il lui dit, regarde devant toi salope, tu ne dois pas voir le coup arriver, (belle excuse) sa femme est, on ne peut plus visible maintenant, elle a la main sur son sexe et se caresse, je vois aussi son visage, Marie quant à elle, a des soubresauts de plaisir a chaque coup, son visage est expressif, l'effleureur monte d'un cran dans la force des coups

Marie dit, oui, comme ça, encore, elle ne parle pas fort pour ne pas que cela s'entende de là haut, elle sait et est habituée a ce que je ne vienne pas et que sa femme ne vient jamais non plus, sauf quand elle a prévenue à l'avance, l'effleureur lui, sait que je ne viendrais pas, il parle juste plus doucement pour donner le change à Marie qui elle a juste peur que sa femme descende, mais comme il l'a rassurée, elle lui fait confiance

Les coups de martinet, fort, mais retenue continu, les insultes aussi, jusqu'a temps que Marie jouisse, son plaisir est beau a voir, cette fois là, elle jouit comme avec moi, ni plus ni moins, seul le chemin menant a son orgasme est différent, cela ne dure pas longtemps, car ils ont un temps donné, celui ou nous en principe, la haut, ont leur demanderaient ce qu'il font, qu'il ne vont pas jouer toute la nuit

Sa femme remonte, lui, il lui tripote les seins, puis va regarder dans l'angle de l'escalier, disant, alors, quand viens tu en journée, elle dit, je ne sais pas, ça m'embête de venir sans lui dire, lui, il répond, tu m'a dit qu'il t'avait dit que si tu voulais, tu pouvais, oui, je t'assure, il m'a dit qu'avec toi, je n'avais pas besoin de le lui dire, juste prévenir ou je suis, un mot avec "billard" suffit a-t-il dit, alors tu vois

Je t'appelle la veille dit-elle, car il m'a dit, que s'il est là, il vient, mais que s'il n'est pas la et que je veuille venir, je peux, elle se lève et dit, je me remets et on y va, moi, j'éteins l'ordi, rentre mon vélo que j'avais mis dehors au cas où sa femme regarderait dehors, j'arrive juste quelques secondes avant eux, faisant celui qui a bricolé leur ordi, Marie est rouge, personne ne lui en fait la remarque

Le soir, elle s'arrange pour qu'on fasse l'amour dans le noir, comme bien souvent, mais là, c'est du début à la fin, j'ai pétri ses fesses sans me rappeler, elle a eu un petit pincement de dents, elle me redemande si je veux savoir ce qu'il lui a fait, je dis non, c'est ton jardin secret, je le devine ce que vous faites, mais je veux que se soit ton secret a toi seule, quand tu es avec lui, c'est comme si le temps s'arrêtait, tout ce que vous faites, n'a pas d'importance pour moi, tu fais tout ce que tu veux, tu es libre, après cela, on s'enlace

Le WE passe, le lundi comme promis, je fais semblant d'installer le logiciel des cameras , je règle celle que je trouvais trop haute, je contrôle aussi où il y a mon vélo, je fais monter sa femme sur le billard, je sens une légère imperceptible pensée dans son regard, je me détourne aussitôt mon comportement pour aller régler, je règle la sienne et la mienne, sa femme ne m'attire pas vraiment

Pour donner un chiffre sur 10 comme j'avais fait, Marie et Annie 9, Lucette et Helene 8, pour Madame 7, mais sa femme, elle a 4 ou 5, pas de forme, mal habillée, pas de démarche ni de gestuel sensuel, son visage n'est pas laid, mais elle n'a rien de féminin, petits seins, petites fesses, les jambes, je ne sais pas, les mocassins ne sont pas sexy, ses jupes lui arrivent en dessous les genoux

Ses atouts sont sa gentillesse et sa serviabilité ainsi que ses talents de cuisinière, certains copains disent que pour une pipe, ça irait, dans ceux que l'on a en commun avec Annie, les plus belles ont 7, d'autres 5, bien sûr, je ne parle que de celles ayant moins de 50 ans, mais certains ont une femme qui est comme celle de l'effleureur, étant injuste que seules les femmes soit jugé, Annie donne des notes aussi, j'ai fait une moyenne avec ce que j'ai demandé a Marie, le mari d'Annie et moi, on a 5, Lucien 6, coucou et l'effleureur 3, les autres n'ont pas d'histoires dans ce récit mais certains sont beau mec et d'autres non

Comme un gamin a qui on donne un nouveau jouet, le mardi, Annie arrive à la maison, peu avant 19 heures, elle est reçue par Marie, les deux femmes s'apprécies maintenant, Marie devenue fidèle et aimante plaît a Annie, et Marie sachant qu'elle est celle qui m'a poussée a lui redonner une chance, lui est reconnaissante

Quand j'arrive a la maison, quinze minutes après, Marie cuisine et Annie est sur le canapé a lire une revue, elle discute d'ailleurs sur un sujet qu'elle lit, je fais la bise et lui mets la main sur un sein, dans le sens ou si Marie regardait vers nous, mon corps cache ma main, Annie m'attrape la main, puis me la laisse en me souriant, je sors un petit apéro léger et je m'installe comme la semaine dernière, fort des conseils avisés de l'effleureur, je met en pratique ceux-ci

Comme il est dommage qu'à l'époque, je ne savais pas ce que j'apprends en écrivant ce récit avec elle, une fois assis, je pose ma main sur ses genoux, elle est en tailleur jupe courte, la tenue de secrétaire très sexy, ce qui est d'ailleurs son job a cette période (secrétaire), je ne vais pas rappeler que je bande, puisque je bandais rien que de savoir qu'elle serait la ce soir, le bruit de pas de Marie qui vient avec nous, je retire ma main, Marie s'assoie et je pince délicatement le téton d'Annie, sauf que là, je fais cela sans appréhension en sachant qu'elle ne dira rien, quel plaisir quand je l'ai senti se durcir

Elle ne bougeait pas, ni me repoussait, elle était 1/4 tournée vers Marie, j'alternais entre pincer le téton et empoigner son sein, quand Marie retournait à la cuisine, je prenais un chips, pour me pencher et cacher mon érection, je remettais ma main sur son genou puis sa cuisse, elle me dit, en parlant du tripotage de sein, "t'es content comme ça" je fais oui en lui montrant le dessous de ma ceinture

Elle regarda furtivement en faisant celle qui ne veut pas savoir, ni voir, après m'avoir trois fois poussé ma main de sa cuisse, elle finit par me la laisser, Marie revient, je retourne toucher son sein, la première fois, j'avais frayé un chemin à ma main entre son bras et dessous de bras, là, elle a son bras un peu plus levé, elle me facilite légèrement mon geste

Marie repart, et je lui demande de remonter un petit peu, elle refuse et je dis, même si je vais en face sur le fauteuil, pour te rassurer, je n'attends pas et y vais, elle fait cela a ma deuxième demande, je dis plus, à plusieurs reprises, j'insiste jusqu' a temps que je découvre qu'elle a un porte-jarretelle, je le lui dis, elle me dit non, je dis, on parie, soit tu me le montres ou si tu me montres que tu n'en as pas, je te laisse toute la soirée, reste ou tu es alors dit elle, puis elle me le montre, que c'est beau, elle se rassoie et je retourne a coté d'elle, je met ma main sur sa cuisse, elle ne dit rien, je la retire quand Marie arrive

On discute et j'attrape son sein, je ne rencontre aucune résistance, je la caresse, elle parle à Marie et aussi a moi, ce qui fait qu'elle est tantôt tournée vers Marie, tantôt vers moi, quand elle est tournée vers moi, je lui touche l'autre sein, Annie me regarde, rien que son regard me fait bander, moi, je suis déjà au maxi, si elle voulait me donner la honte, il lui suffirait de me toucher la bosse de mon pantalon pour que j'éjacule aussitôt, comme m'avait dit l'effleureur, mes touchers ne sont pas sans effet, Annie a le visage qui a changé

On entend Marie qui est vers le four, loin par rapport a la porte, Annie est à ma gauche, on est sur le canapé, assis droit, avec ma main gauche, je passe devant son cou et plonge ma main dans son corsage ou deux boutons sont ouverts, ma main passe sous le haut du soutif, lui attrapant le sein gauche, elle me retient, mais ne peut pas me repousser, sinon elle risque de craquer son chemiser, mon autre main va à sa cuisse, elle chuchote non, non en maintenant mon bras gauche et ma main droite, mais je continue et je m'aperçois que ses genoux ne sont plus aussi serrés et que sa résistance s'amenuise

Marie revient, je retire mes mains, Annie est rouge, pour masquer son trouble, elle fait celle qui a bu de travers, on discute, je tripote, Marie repart en cuisine, elle me sermonne, je dis, tu as aimé quand même, je mets ma main sur ses cuisses en lui disant, écarte, je la mets entre seulement, on se fixe dans les yeux, je lui dis, tient, je te donne ma parole, que je te demande tout ce que je fais avant, c'est valable tout le temps de l'apéro, je lui promets sur la tête à Marie, après plusieurs demandes

Elle me fait comprendre que j'ai intérêt à tenir ma parole, elle écarte ses genoux, je lui dis encore et caresse à la même hauteur, on se regarde toujours, je retourne sur sa cuisse et dis, " on continue", elle écarte aussitôt, je caresse et lui dis, "je remonte un peu ma main, cinq cm", elle dit, " pas plus", faisant non, je remonte, je ne suis pas dupe, et au moment où je raconte en ce moment ce passage, elle m'avoue n'avoir eu qu'une envie, c'est que je ne tienne pas parole

Pendant que je la caresse, on discute de choses et d'autres pour que Marie entende qu'on parle, après encore quelques secondes de caresse des cuisses, je lui dis, maintenant, je monte ma main au-dessus des bas, elle dit non en serrant ses cuisses, je dis, pas plus haut, que le dessus des bas, là ou ta peau est nue, elle dit non, j'insiste en disant, je promets pas plus haut, regarde, j'ai tenu ses cuisses qui se sont détendues

Ma main remonte un peu, continuant de rassurer et parlant en même temps, ses cuisses s'écartent et je la touche sur sa peau, je ne touche que sa cuisse droite, je savais que si j'avais voulu, je pouvais plus, Annie me confirme encore qu'a cette époque, elle était super excité de ce moment, que si Marie n'avait pas été là, elle aurait fait une bêtise comme elle dit, mais elle ne m'aurait pas laissé la pénétrer, cela ne dure pas, Marie revient et nous dit qu'on peut passer a table

Elle retourne en cuisine ensuite, Annie se lève, je me lève aussi et je lui attrape les seins en étant derrière elle, je lui fais sentir comme je bande, elle dit non en posant ses mains sur les miennes pour faire celle qui veut me les retirer, je ne force pas beaucoup pour continuer, je lui vole un baiser sur la nuque puis la lâche en m'excusant, je me dis quel con, et m'excuse, mais elle me sourit et va s'asseoir

Quand marie est assise, je lui fais du pied et elle m'amène sa jambe vers moi, ce contact m'excite, c'a l'excite aussi, quand Marie est en cuisine, je lui tiens sa main qu'elle me donne, elle me dit que je ne me fasse pas d'illusion, qu'elle accepte nos petits jeux, mais pas plus, je lui dis, c'est comme ca que je l'entend aussi, Annie faire l'amour avec moi, avant que je la vois chez l'effleureur, je me serais dit, que j'avais plus de chance de gagner 10 fois de suite le pactole du loto, mais depuis ce jour, l'espoir est légèrement revenu

À table, je lui caresse les jambes et rien d'autre, a la fin du repas, Marie débarrasse, Annie l'aide et quand Marie s'occupe du thé et café, Annie vient pour s'asseoir, je lui dis de rester debout, et que je promets de ne rien toucher d'humide, elle me dit, tu rêves, je dis, " reste debout alors, je promet", je met ma main sous sa jupe, je vais au-dessus des bas, je caresse des deux mains

Annie était super excitée, autant que moi, au moment ou ce passage est écrit, je me traitais de tous les noms, au café et thé, il y eut encore quelques tripotages, puis je la raccompagnais a sa voiture avec une bise sur le coin des lèvres qu'elle ne repoussa pas.

Après cette soirée, je pensais encore a ce que me disait l'effleureur, les bourges aiment être maltraitées, les femmes aiment les hommes qui osent et ne les écoutent pas, elles aiment être légèrement forcée quant elles sont excitée, ça leur donne un sentiment où elles ne sont pas responsable de ce qui arrive, et quand je repense a tout ca, je me rappelle aussi du passage où il dit

Des fois, certaines aiment aussi qu'on leur fasse un petit chantage sur quelque chose d'anodin, ou celle qui ne veulent pas, diront tant pis, a ces mots, je repense à Marie, avec le client qui signait a condition qu'elle se laissait toucher, je ne l'avais pas trouvé très réticente, juste le petit non de complaisance

Il m'explique que c'est un moyen de faire quelque chose en se disant qu'elles font parce qu'on les oblige, il dit que le chantage doit être léger et leur plaire aussi, que si on leur dit (aux femmes) fait moi une pipe où je dis a ton mari que tu as mangé un croissant alors que tu fais régime, là, tu as une claque

L'effleureur ne le sait pas, mais le mari d'Annie, qui m'a toujours eu en sympathie depuis qu'il sait que je me suis porté au secours d'Annie, me disait que niveau fille, l'effleureur n'a pas chômé, des salopes la plupart du temps mais pas des moches, j'avais voulu parler de sa femme, mais il m'a juste dit, elle, tu ne la touche pas, sauf si elle veut mais ça m'étonnerait, je lui répond que physiquement, cela ne me tente pas

Il me dit, qu'il ne parle pas de ça, il disait, "a lui, tu lui étale de la vaseline après lui avoir baissé le froc, tu risquera moins que si tu met une petite gifle a sa femme", rajoutant, évite de lui baisser le froc si tu tient a ta peau quand même, poète et toujours dans des exemples démesurés le mari d'Annie

Ce qui fait que quand l'effleureur, qui m'a aussi à la bonne, me parle nana, je tend l'oreille attentive, il m'explique donc qu'une fois, la femme d'un voisin, en rentrant dans son garage, après avoir fait une soirée tard entre filles, car son mari était en déplacement, celle-ci éméchée sans être bourrée, arrache 2 tuyaux qui courraient sur le mur

Sachant qu'il était de la partie, elle vient le réveiller en pleine nuit, elle n'a pas pensé à couper au compteur, j'arrive, je coupe l'eau, son mari rentrait le lendemain soir, lui, il avait ses clients la journée, alors il a travaillé pendant la nuit, il a fait une réparation provisoire pour utilisation de l'eau

En disant de ne rien dire à son mari, elle a essuyé et a caché la réparation avec du fouillis, il a vu avec elle pour une date pour venir faire le travail comme il se doit, elle a choisi un jour de réunion où il rentre plus tard, l'effleureur répare et elle lui demande si elle peut payer en plusieurs fois et merci de ne rien dire

Là, il a dit, je veux bien ne rien dire et échelonner, mais, il faut me donner une petite récompense, il dit aussitôt, pas coucher bien sûr, vous voulez quoi dit-elle, comme elle est en jupe, il demande de voir ses cuisses jupe plus relevée, elle le fait en faisant la tête, il dit, voilà, ce n'est pas difficile, je reviendrais des que je peux

Deux jours après, il revient, disant pour le paiement, elle dit qu'elle ne peut pas encore payer, il dit, ce n'est pas grave, montrez-moi vos cuisses, elle fait celle qui dit non, pas encore, mais le fait quand il lui redemande, il repart et dit a demain, je viendrais tous les jours jusqu'au paiement, le lendemain pareil, sauf qu'elle lui montre sans discuter, pareil le lendemain, elle rentrait vers 17h30 et lui 18h45, sauf les jours de réunion où il rentrait plus tard, il la laissait 1/4 d'heure le temps d'arriver

Une fois, l'effleureur était déjà rentré, il la voit arriver en voiture dans une tenue de couleur rouge, et quant il va la voir, elle est en bleu plus sexy, a chaque fois, il complimentait et plus ça allait, plus elle faisait cela comme si c'était normal, elle s'habillait exprès pour lui, plus il venait, plus il demandait, il demandait la couleur du string, après il l'a faisait tourne sur elle-même

Quand c'était osé, elle disait non, et lui, sur un ton gêné, disait qu'il allait être obligé de le dire a son mari, elle répondait non, ne faites pas ça, et elle s'exécutait, il en était arrivé ou il n'avait plus à lui demander, elle donnait avant, et a force, elle lui donnait plus qu'il ne demandait

Racontant aussi qu'un fois, mais me faisant juré de ne rien dire a personne, la femme d'une connaissance, se fait surprendre a la sortie d'un hôtel qu'il venait de réparer, elle le voit et fait triste mine, elle va le voir, chez lui le soir même avant de rentrer chez elle, et lui dit, ok, mais, je laisse mes mains se promener, elle lui dit, tu es fou, il dit bon, a demain si tu change d'avis, je ne vois pas ton mari avant samedi, elle est repartie et le lendemain, elle est revenu aussi sexy, elle regardait en l'air mais je sentais qu'elle aimait, une fois fait, j'ai dis a demain, elle est revenue, aussi sexy

Il a recommence puis ensuite, il lui a dit, a lundi, mais je mettrais mes mains sur ta peau, pas que sur les vêtements, elle a dit, ha non, il n'a pas répondu, mais lundi, elle était là, elle a juste fait le "non" de principe, elle restait 5 à 6 minutes seulement, il voyait bien qu'à force, elle s'habillait pour venir ou le recevoir, disant ensuite, je voyais bien qu'elle réagissait a mes caresses, je ne montrais pas que je m'en rendais compte

Mais a force, elles se retenaient de moins en moins, jusqu'au jour ou succombant, quand je leur ai demandé qu'elle me suce, elles disaient non en même temps qu'elles se mettaient à genoux, au bout d'une semaine, si je leur avais dit que si j'arrêtais, elles auraient fait la tête, disant qu'il n'a jamais été payé de sa plomberie chez la voisine, mais que cela a duré longtemps avec elle

Mais pour le moment, j'ai d'autre truc en tête, le samedi qui arrivait, en principe, Annie sera probablement entre les pattes de l'effleureur, je crois que c'est cette semaine là que Marie est arrivé un soir, les yeux larmoyant, elle m'a dit que ca allait, mais j'ai bien vu que non, comme elle avait renoué avec Olga, je me permets de l'appeler, nous étions devenu intimes

Ne voulant pas trop me le dire, je lui dis que je serais discret, que j'aviserais suivant ce que j'apprendrais sans régler le problème de façon directe, Marie étant devenue plus gradée que certaines, les jalousies se réveillent, des photocopies de Marie avec Lucien circulent, qu'est-ce que je regrette d'avoir agi ainsi, mais j'étais tellement malheureux et en colère

À ma demande, Annie avait détruit les négatifs et photos d'adultère, mais moi, j'avais gardé ces photocopies dont j'avais fait des doubles a ses collègues, Annie me prend celle où on voit le cul de Lucien tête tourné vers l'objectif et me dit qu'elle s'occupe de tout
Dans la semaine, un copain que je ne connais pas, féru de photo mitraille les collègues femmes et hommes de Marie au téléobjectif, la semaine suivante, des enveloppes avec des photocopies étaient envoyé a Marie, Olga ainsi que ses collègues que j'avais déjà envoyé, Lucien était remplacé par un des collègues qui n'appréciait pas Marie a cause du fait qu'elle leur avait refusé ses avances, et marie remplacée par plusieurs collègues féminin

Effervescence dans les bureaux, tous viennent voir Marie qui elle aussi montre les photos qu'elle a reçu, ainsi qu'Olga, Marie ne sait rien de cela, mais Olga si, je lui ai dit que c'était ce que j'avais reçu qui m'apprenait mes cornes, Olga joue son rôle, Marie pleure, Olga leurs dis qu'elle et son mari a reçu les mêmes il y a plus d'un an, même les deux hommes en photo paniquent, ils sont mariés, Olga leur dit que si elles ou ils ont un souci, de venir voir Marie, pour expliquer le montage de ces photos à leur époux, je n'ai jamais eu de demande en ce sens et Olga m'a dit qu'elles sont plus cool avec elle, Olga a dit, montre ses photos a ton mari, elle ne voulait pas, mais elle a réussi a la convaincre

Deux jours après les avoir reçu, elle me les montre en pleurant et jurant qu'elle n'a rien à voir avec ces photos, je regarde, les prend et déchire en la prenant dans mes bras, cela m'a permis de discuter avec elle sur le sujet, je lui ai dit, avant, tu ne m'aimais pas, a la vue de ces photos, cela me l'a confirmé, depuis cette mauvaise période, je te sens aimante, on pourra me montrer n'importe quelle photo qui te compromettrait, je ne le croirais pas

Elle me dit ensuite, mais tu te rends compte, si tu reçois une photo de moi au cinéma ou de l'effleureur quand il m'accompagne à la voiture en me touchant un peu, je dis au ciné, il n'y aura pas de flash et je suis avec toi, chez l'effleureur, tu a toutes libertés avec lui, je te vois avec l'effleureur, direct poubelle toutes photos, en plus, je dois t'avouer que quand tu reviens d'un billard, tu es super excitée et chaude, fais tu ça pour me faire plaisir ou aussi parce que tu aimes, elle répond, non, j'aime ça, mais j'ai peur que tu devienne jaloux, je dis, si c'étais le cas, je ne te le demanderais pas

À suivre
105 vote(s)


Histoire de annizette

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Vengeance heureuse d'un cocu 7


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :