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Repas champetre

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Lue : 7763 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 05/04/2016

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Sur la route des vacances, à une époque ou on pouvait encore rouler, en passant dans le Périgord, nous visitons les environs, c'est un coin qu'on aime bien, de plus, à peu de détour prés, il est sur la route, et prés d'amis qui s'y sont installés, alors en même temps, nous leur rendons des visites, évitant ainsi des kilomètres supplémentaires pour y venir spécialement.

Un dimanche midi, cherchant pour se restaurer, nous avions quitté la nationale, dans un village, nous demandons à un passant, s'il connaît un petit resto dans le coin, il nous dit : "les plus près sont fermés, à moins d'aller sur la grande ville".

Nous l'avions déjà passée et ne voulions pas retourner sur nos pas, on lui demande donc, s'il n’y a pas un camion à frites ou autre, il nous dit « que si c'est pour déjeuner, il y a un repas champêtre, organisé par la commune, réservé aux gens du village, mais vu le peu de monde, ça arrangera le comité des fêtes, si des personnes extérieures venaient».

Il nous indique comment s'y rendre, c'était à la sortie du village, sur un petit chemin, une pâture servait de parking pour ceux à l'extérieur du bourg, nous trouvons facilement.

On se gare, et nous voyons arriver notre passant, nous le recontactons pour qu'il demande pour nous, si nous pouvons nous restaurer. Ils acceptent, car beaucoup n'étaient pas venus, le temps n'était pas terrible, du vent frais et le soleil plus que timide, voire caché.

Les tables : des tréteaux avec des planches dessus, alignées bout à bout, pour s'abriter, des tubes comme sur les marchés avec une bâche plastic qui se déplie en roulant sur les côtés, des bâches transparentes pour couper le vent qui, sans être violent, était frais.

Cinq tables sur dix étaient mises et seulement quatre étaient remplies, ce qui fait 40 + 2 personnes déjà installées sur la cinquième table, le passant et nous, nous étions 45 en tout, des bancs étaient autour des tables, inconnus de tous, on nous regarde avec curiosité.

Petite précision pour ceux n'ayant pas lue mes premiers récits, on me dit très belle avec de très belles jambes, mais cela n'est pas à moi de le dire, je m'habille également très court et sexy sans non plus être vulgaire.

Passant derrière les bancs, les hommes qui le peuvent matent mes cuisses, les femmes matent mon allure, les hommes "bavent", certaines femmes critiquent en sourdine, la plupart nous souries, il y a tous les âges, mais majoritairement des retraités.

Dernier arrivés, nous allons à la suite, je m'installe au fond, à ma gauche, mon mari et face à lui, le passant, à ma droite, la toile qui descendait sur la table pour couper le vent venant de côté.

Un petit apéritif est servi, je dis non, mon mari, qui s'entend avec tout le monde, discute avec le passant, qui est face à lui et avec le type à sa gauche, le repas commence, il est vrai qu'il ne fait pas bien chaud, mais ça va encore, je sens un peu de courant d'air sur mes jambes.

Les bâches ne sont pas très hermétiques, à un moment donné, j'ai même senti une rafale plus forte qui m'a fait froid aux jambes.

J’étais en robe assez courte et jambes nues, suffisant pour la saison, mais un peu juste pour le temps qu'il faisait.

Après l'entrée, le plat arrive et on se sert tous, on me laisse me servir la première, ce que je fais en me levant du banc.

Les autres font pareil, mon mari me bouscule un peu et je me tache la bouche.

Je fouille dans mon sac laissé derrière, je prends un mouchoir pour m'essuyer, je me penche donc en arrière, côté droit.

Je prends le mouchoir et en me remettant droite, il m'a semblé apercevoir quelque chose ou quelqu'un, dessous la table, intriguée, je jette un coup d'œil sur les gens des autres tables.

Je ne vois personne qui manque, toutes les places sont occupées, à part ceux qui servent, mais ceux-là, je les ai en visuel, ils sont debout.

Je reprends un mouchoir dans mon sac, et en me redressant, je fais plus attention…effectivement, alors que je m’essuyais la bouche, je vois une main posée à terre, ainsi que le début d’une manche de chemise.

Je n'ai pas fait de geste brusque ni lancé de cri, je contrôle encore les places, mais personne n'a l'air de manquer.

Je regarde ceux de ma table qui discutent entre eux et mon mari avec son voisin de gauche, ils parlent de tracteur, ce qui ne m'intéresse pas du tout, je me demande ce que fait ce type là-dessous. Quand je dis, « je me demande », c'est une façon de parler, car je me doute.

Je reprends un autre mouchoir sauf que là, je le fais tomber à terre à côté du sac, ce qui m'oblige à me baisser plus et je découvre donc plus aussi, le type était assis à terre, les jambes vers le bout de table, là ou il n'y a personne et avec sa main, il tenait l’équilibre.

Quand je dis, je le voyais, j'aurais dû dire qu'au vu de son bras et de ses genoux, il était facile d'imaginer sa position, je me rappelle du courant d'air dessous, il devait avoir soulevé la bâche pour passer et c’est à ce moment-là que j'ai senti l'air frais.

Je me dis que ce type est gonflé, mes jambes et cuisses étaient serrées, quand je revenais de prendre les mouchoirs, mais être là, manger en sachant un type dessous, je n'ai pas envie de me ridiculiser en criant « y a quelqu'un dessous ! », surtout que je déteste me faire remarquer, déjà qu'ont étaient tolérés et étant étrangers, on nous regardait par curiosité.

Je mange comme si de rien n’était, mais à force, quand on sait que quelqu'un prend un risque et qu'il a sa tête à quelques cm de son intimité, un effet commence à se faire sentir, j'ai beau résister, mais chassez le naturel, il revient au galop !

Bien sûr, petit à petit, mes genoux se desserrent, ensuite, mes jambes qui étaient dessous le banc viennent à être droites, me mentant à moi-même je me dis: « voilà, ça suffit, il en a assez à voir ! ».

Mais à force, l'envie revient plus forte, et ce que j'ai l'habitude de faire dans ces cas-là, je me lève pour attraper une bouteille d'eau en levant le bras, je me dis, je ne suis pas censée savoir qu’il y a quelqu’un dessous.

En me rassoyant sur le banc, ma robe remonte plus haut, le temps passe et petit à petit, mes cuisses se sont de plus en plus écartées, je fais celle qui se détend les jambes, en les mettant droites complètement et mettant aussi ma jambe droite à droite, par moment, je me recule un peu et vois sa main plus vers moi, il s’est mis ainsi pour mieux voir.

Je fais attention à ne pas lui marcher dessus, ni à le frôler, mes gestes sont lents pour qu’il ait le temps de se pousser, je suis tout excitée, toute mouillée aussi d'être matée intimement, je reste comme ça un moment et remet mes jambes sous le banc afin de faire celle qui ne se rend compte de rien et aussi pour me détendre réellement.

Le plateau de fromages arrive vers nous, peu de choix, mais à volonté et en quantité. Notre passant me le passe, je le prends en me penchant en avant, mais le poids me déséquilibre un peu et pour me rattraper, prestement, je mets un pied plus en avant, et évidement, je marche sur la main du type sous la table.

Par réflexe, je retire mon pied de dessus sa main en même temps que je ramène le plateau vers moi, je serre les jambes et je me rends compte de ma boulette, le type se dit à raison : "elle me marche sur la main et ne crie pas, donc elle sait que je suis dessous, elle n'est pas surprise, donc elle le sait depuis un moment".

Mon cerveau travaille à toute vitesse, si je crie maintenant, en plus du ridicule, le type dira : « Elle sait depuis le début puisqu'elle m'a marché dessus, elle avait donc les jambes écartées exprès ».

Mon mari lui saurait que le type a sûrement raison, mais pour sauver la face, il devra l'esquinter, en lui tapant dessus.

Pas de solution miracle du fait que ma réaction était trop tardive, si je criais à ce moment-là, et puis la honte, honte d’être en spectacle et honte si le type parle, je fais donc l'autruche en espérant qu'il se dise : « Elle m’a découvert, il faut que je m’en aille ».

Enfin, on peut rêver, car comme je m'y attendais, le type n'en reste pas là. Fort de ce qu'il sait, il m'attrape une jambe, j'essaie de la reprendre, mais, ne voulant pas qu'on me voie gesticuler et le découvre, je capitule vite fait, opposant une résistance insignifiante pour ne pas avoir des gestes repérables.

Il caresse, mais sans exagérer, je me dis, si ce n'est que cela, ça va, mais je rêve encore, il m'attrape les chevilles, s'appuie sur celle de gauche et m'écarte de toutes ses forces celle de droite, la soulevant de terre.

Si je veux forcer, il faudrait que je me tienne à la table, ce qui se verrait de tous, j’ai les chevilles écartées et je sens des baisers sur mes genoux qui se touchent encore, il ne fait rien de plus, mais il n'arrête pas non plus, il me caresse les jambes jusqu'aux genoux.

Au bout d'un moment, l'excitation reprend le dessus, ma pression des genoux diminuent, le type avait gagné.

Je les écarte de plus en plus, il passe sa main entre mes genoux. Par réflexe, je les resserre et les desserre aussitôt, un frisson me parcoure, je lui offre mon intimité, il me caresse les cuisses jusqu'au moment où, en bougeant de sur le banc, petit à petit, je viens me mettre au bord.

J’écarte encore plus qu'au début, la cuisse droite, je sens qu'il vient plus prés, lui donner ce qu'il cherche, en fera mon complice, il gardera cela pour lui.

Mais il ne fait que caresser mes cuisses, ce qui m'excite de plus en plus, j'ai envie qu'il abuse, je fais des jeux de jambes pour lui indiquer qu'il peut oser, mais rien, alors je mets ma main droite dessous pour le guider.

Mais il me l'attrape, la retenant, il est juste devant moi, il a attrapé ma main droite dessous la table et avec l'autre, il m'attrape mon string en faisant des gestes qui signifie qu’il veut le retirer.

Je regarde la tablée, personne ne s'occupe de moi, mais ne pouvant pas mettre mes deux mains dessous, sa main attrape mon string, je dus lever ma fesse gauche pour que ça glisse, puis la droite et ainsi de suite.

Voyant que je laisse faire, il me lâche, je remets aussitôt ma main sur la table et prends une fourchette. Il continue à baisser mon string, de temps à autre, on me pose une question ; j’y réponds évasivement par oui ou non, c'est tout.

À sentir baisser mon string, j'ai eu une montée d'excitation, quand j'ai écarté mes genoux, j'appartenais déjà à ce type, ensuite, je n’attendais plus que ses caresses.

Peu importe qu’il m’ait retiré mon string, j'en ai toujours un de rechange dans mon sac, en cas d'incident, alors qu'il le garde si ça lui chante !

Ses mains enfin me caressent l’intérieur des cuisses, et arrivent enfin là où c'est l'extase. J'inonde d'entrée ses mains, si bien que son doigt glisse tout seul en moi, afin de ne pas me trahir, je reprends du fromage afin d'avoir la bouche pleine pour ne pas la bouger sans raison.

Je jouis presque aussitôt qu'il m'a enfilée le doigt, ensuite, il me masturbe le bouton, l'excitation revient, il le sent à mes jambes qui l’enserrent, je suis au bord du banc, au maxi, il ne peut pas mettre sa langue… Hélas.

Il tente de me mettre un doigt dans l'anus, mais il ne peut que le frôler, restant ainsi, il revient à me masturber le clito, je repars encore une fois, il a ressenti mes orgasmes, il m'attrape les pieds, retire mes chaussures.

Je me laisse faire, et entre mes deux pieds, je sens son sexe, il se masturbe avec.

Excité lui aussi, cela a été très vite, il m'a éjaculé dessus, j'ai laissé tomber à terre mes mouchoirs que j’avais utilisés pour m’essuyer la bouche.

Il m'a essuyé les pieds avec, il les a ensuite embrassés, il a voulu me remettre le string.

Mais je lui ai fait comprendre que non, il me l'a mis sur les genoux, je l'ai pris et mis dans mon sac, j'ai essayé de voir plus.

Mais sans succès, il m'a embrassé les jambes tendrement et est parti, je l'ai senti au courant d'air, je n'ai pas pu courir après, sans risquer de me découvrir.

J’ai ensuite surveillé ceux qui arriveraient, mais rien, personne, parmi les personnes présentes, aucune avait de chemise verte comme le type de dessous la table.

Quand j'ai raconté cela à mon mari, il m'a dit : "je comprends mieux maintenant, tu ne mangeais pas, tu t'empiffrais au fromage, je me suis dit, il doit être drôlement bon".

Nous avons patrouillé dans le village et aux alentours, mais personne avec cette chemise verte.

Nous avons ensuite trouvé un chemin tranquille, et mon mari a fini ce que le type avait commencé.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Repas champetre

Le 06/05/2024 - 07:33 par dallas
Histoire excitante...
Le 28/07/2022 - 14:22 par albatros
Très jolie histoire très excitante grâce aux descriptions parfaites.

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