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Vengeance heureuse d'un cocu 8

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Lue : 1485 fois - Commentaire(s) : 8 - Histoire postée le 05/07/2015

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Revenons à la semaine d'avant, ou plutôt du vendredi, comme je l'espérais, j'étais au maximum éloigné de leur maison, l'effleureur et sa femme arrivent, j'attends peut-être 1/4 d'heure et je vois une voiture s'arrêter 30 mètres avant leur maison, une femme en sort, c'est Annie, la voiture redémarre et vient dans ma direction, je baisse la tête et en se croisant, je reconnais le mari d'Annie qui heureusement ne m'a pas vu, décidément, nous avons tous les quatre, beaucoup de points communs en ce qui concerne la sexualité, il emmène sa femme a l'effleureur, nul doute qu'il sait ce qui s'y passe, il l'a déposé avant chez eux, là ou il n'est pas vu, cela signifie que l'effleureur ne sais pas que son mari sait ce pourquoi elle vient

(c'est avec beaucoup de compromis que je raconte ce qui suit et qu'Annie l'écrive fidèlement), je sors de ma voiture et rejoins mon vélo, heureusement qu'il n'y a pas de voisin avec vu sur le derrière de la maison, car en passant devant la fenêtre de la seule pièce qui donne derrière, je suis a quatre pattes, pour passer en dessous de cette fenêtre, au cas où la porte serait ouverte et qu'on me voit, j'entre et allume mon ordi, tout est noir, ils ne sont pas encore là, je n'attend pas longtemps, je le vois arriver avec un sac qu'il pose, je vois Annie qui arrive aussi, tenue quelconque mais sexy quand même, l'effleureur remonte, Annie déballe toutes les affaires qui sont dans le sac sur le billard et met ceux-ci, je me régale du déshabillage

Elle change même ses bas et en met genre filet de pêche avec porte jarretelle, un string, un sg et un petit déshabillé transparent, ainsi que des chaussures a talons aiguille, elle s'habille en pute, elle est super bandante là dedans, elle met ses affaires sur une chaise pour ne pas les froisser, lui, il revient, sort une planche sur le côté, je ne savais pas a quoi ça servait, je l'avais vu cette grande planche, mais sans savoir son utilité, il met un drap sur le tapis, il met la planche dans le billard, il y a aussi des planches en travers pour que cela arrive à la hauteur du billard, il y a de la moquette rase sur la planche, collé dessus

Une fois installé, il l'a fait marcher en tortillant du cul, Annie a de la classe même a cet instant, il a une cravache qu'il a sorti du meuble que la planche empêchait d'ouvrir, je pense à sa femme qui doit comme moi être a l'ordi aussi, il est évident que dans cette tenue, elle n'en jetterait pas autant qu'Annie, la cravache s'abat sur ses fesses, je monte le son, je peste, car j'ai oublié d'acheter des oreillettes, je me sens mal d'épier ainsi, mais je ne résiste pas au spectacle d'Annie ainsi que de Marie dans les pattes d'un autre, Annie tortille du cul, mais prend des coups aussi, elle s'applique tant qu'elle peut, il l'a fait monter ensuite en l'aidant sur le billard

Il l'a fait danser avec une musique qu'il met en fond, puis il prend une grande barre le long du mur, Annie la prend et la met au plafond que je ne vois pas et l'effleureur visse cette barre sur la planche, j'ai vu plus tard qu'il y avait un endroit exprès, ensuite Annie danse, bien sûr, rien à voir avec les professionnelles, mais je suis stupéfait

Je n'ai pas entendu, mais le devine, on sonne à la porte, tous les deux, ils remontent, je dis, zut, un casse pied, j'attends une bonne minute et je le vois avec trois types descendre et s'installer, sans Annie, ma première réaction, ce sont des copains a lui qui viennent jouer, ils vont se demander ce que c'est que cette installation, deux minutes après, même réaction de l'effleureur quand ça sonne, l'un montre avec l'index en disant, "ha la voilà", Annie revient avec un manteau et un masque sur le visage, je ne la reconnais pas, sauf quand elle le retire (son manteau), l'effleureur lui fait faire deux tours de table, tripotée, pincée, claquée sur les fesses, ils la touchent tous

Ensuite, elle remonte et elle danse, une danse sensuelle, provocante, les types sont loin d'être des sexes symboles, ils doivent avoir la soixantaine mal conservée, en clair, ils sont moches, mais vraiment moches, l'effleureur est beau en comparaison, elle danse pour eux, se trémousse, les provoquent

Ils se sont levés et entourent le billard, l'effleureur avec la cravache la "stimule" à être plus sexy, tortiller plus du cul, du genre, cambre-toi plus salope, aller montre la pute que tu es, si je n'avais pas déjà vu Annie ici, si je ne l'avais pas vu venir d'elle-même, je serais presque intervenu, pas par la force, mais la ruse bien sûr, en dansant, suivant le côté qu'elle est de la barre, des mains la tripotent, je suis très surpris de la voir danser aussi bien, j'avais pensé à ce moment-là, qu'elle avait été stripteaseuse plus jeune et qu'elle avait un petit peu perdu de ne plus pratiquer

Elle danse, ils la tripotent vite fait puis elle est menottée des mains autour de la barre par l'effleureur, puis ensuite les chevilles sur les pieds du billard, jambes écartées, montant sur le billard, il lui lève les bras au maxi, les attachant sur la barre qui a un crochet servant a accrocher une cordelette, il sort plein de gode, martinet, Plug, pince, puis s'en va en disant, elle est a vous, pendant 2 heures, prenez en pour votre fric, je me posais plein de questions à l'époque, mais il faut savoir qu'il avait deviné qu'Annie aimerait se faire violer, sans risquer de tomber sur un dingue

J'entends Annie crier, non, reste là, non reste, je ne savais pas quoi faire, c'était la première fois pour Annie, ce genre de chose, mais j'avais confiance dans l'effleureur, il surveillait avec sa femme l'éventuel malade, Annie ne le savait pas, pour elle, il les laissait deux heures seuls, je connaissais les liens d'amitié entre eux, jamais il n'aurait fait ou laisser faire de mal à Annie

Une fois là-haut, Annie crie, rouspète, demande a ce qu'on la détache, qu'on arrête, mais les types, lui arrachent le sg, le string, la fouettent, prennent le gode et la vibre, elle doit bien dire non, cinq fois, mais ils continuent, elle ne dit plus rien, puis commence à gémir, pour enfin dire oui, encore plus vite, elle est fouillée tripotée, je l'entend jouir, je bande

L'un, ensuite, la suce, elle le guide pour son plaisir, "oui comme ça, encore, oui, oui, encore le clito, la oui, haaa", il arrête, un autre lui enfonce un Plug, le suceur revient, les deux autres lui tripotent les seins, puis a un moment, on lui met une pince aux tétons, l'autre fait pareil, elle prend des coups sur le ventre, les seins, elle réclame plus fort, on la contente puis elle repart à jouir

Après elle est détaché, on lui met une fessée, on la tripote, la suce, le temps passe, ensuite elle suce l'un d'eux avec capote, pendant qu'un autre la baise avec capote aussi, une fois qu'il a jouis, le troisième retire le Plug et il la sodomise avec capote, les deux premiers ont été vite, ce dernier tarde pour le plaisir d'Annie, qui arrive à jouir encore une fois, une fois soulagé, elle s'allonge sur le billard pour souffler et ils lui parlent, elle a toujours son masque, les types discutent, posent des questions, j'entends qu'a moitié, ils ne parlent pas fort et les micros ne sont pas top, c'est surtout qu'il parle ensemble, quand un seul parle, j'entends suffisamment, elle dit avoir adoré, peur au début, mais vite rassurée, allongée sur le billard, elle se laisse tripoter, embrasser (sauf la bouche), fouillée par les types vidés(comme Annie écrit avec moi ici, elle donne directement dans le paragraphe suivant l'explication de ce que j'avais découvert à l'époque)

(comme Annie écrit avec moi ici, elle donne directement dans le paragraphe suivant l'explication de ce que j'avais découvert à l'époque)

Je parle là au nom de celles qui ont ce fantasme bien évidemment, pas pour les autres, si on élimine cette peur d'être tué dans un viol ainsi que les conséquences ensuite, on peut atteindre l'orgasme malgré soi, dans le cas présent avec les trois types, je ne savais pas ce qui allait se passer, je devais juste danser et me laisser tripotée et c'est tout, l'effleureur devait me faire jouir devant ces voyeurs, obéir a l'effleureur était excitant pour moi, cette excitation était décuplée par mon exhibition ainsi que par l'humiliation ressentie devant ces inconnus.

Être vu par eux, être touchée furtivement par eux, jouir devant eux, cela était ce que j'étais venue chercher et que j'avais acceptée, mais quand il m'a laissée seule entre leur pattes a ces types hideux, j'ai paniquée comme dans un viol, mais j'avais confiance en l'effleureur, je savais que je ne risquais pas ma vie ni d'être torturée, être a la merci de ses types, je voulais tout sauf ça, si je n'avais pas été attachée, je me serais sauvée, même nue dans la rue pour leur échapper

Le plaisir dans tout ça, c'est que ne voulant pas jouir avec ces types, quand malgré moi l'excitation est montée, le plaisir a été décuplé d'autant qu'il a été retenu, c'est un peu comme avec un arc, plus on ramène la flèche en arrière et plus la flèche va loin devant, leur main sur moi, je reculais et quand le plaisir est arrivé, il a été projeté, (j'espère que vous comprendrez mon explication plus vite qu'Henri à qui j'ai du m'y prendre à plusieurs reprises) voila je re écris au nom d'Henri pour la suite.

Annie discute avec les types pendant qu'ils la caressent, elle est détendue, elle répond à leur question, elle est très gentille avec eux, après l'avoir embrassé sur les seins, ils la remercies et rejoignent l'effleureur, je me dis que c'est fini, je me préparais a éteindre, attendant qu'elle se rhabille, enlève son masque, mais peu après, c'est l'effleureur qui arrive, en entendant ses pas, elle se met debout en se remettant bien malgré que tout soit déchiré, le son est meilleurs, il parle plus fort disant, mais tu as vu comment tu est fringué salope puis lui cravache la fesse, monte la dessus morue, elle monte avec un autre coup pour accélérer, il l'a rattache les bras en l'air a la barre puis du tiroir sort et lui enfile une culotte, une culotte vibrante, une fois enfilée, il passe d'autres menottes au pieds autour de la barre, il retend encore un peu ses bras plus haut, limite sur la pointe des pieds

Du tiroir a jouet, il sort une sorte de martinet, un manche normal, mais avec les lanières 3 fois plus longues, il lui dit, bon salope, qu'est ce que j'avais dit, vlan un coup cingle, alors répond, vlan, je ne me rappelle plus Mr, vlan, ici, je ne veux pas t'entendre, tu es une pute, les clients se servent et tu dois dire merci, vlan, oui Mr, bien, combien tu mérite de coups pouffiasse, a vous de voir Mr, une série de 2 fois 5, qu'est ce que tu en pense, bien Mr, tu compte, oui Mr, en même temps qu'il lui frotte le cul avec le martinet mais sans frapper

Il augmente la vibration, Annie se tord sur la barre, vlan, 1 ; vlan 2, vlan 3, vlan 4, le 5 eme ne vient pas de suite, il frotte le manche sur son dos, elle, elle est crispée, avec la camera en face, je vois son visage, attendant le coup, serrer les dents, il augmente la vibration, elle se tord sur la barre, ondule du bassin à la recherche de la meilleure position pour jouir, vlan, le coup arrive alors qu'elle ne s'y attendait pas, elle dit quand même 5

derrière mon écran, j'avais mal pour Annie, elle est une femme qu'on aime, qu'on a envie de chérir, de l'aimer, de lui faire plaisir, on donnerait sa vie pour elle, de leur couple, on dit d'eux, lui il fait sauter les dents, et elle, les boutons de brayettes, la seule différence, c'est que les dents qu'il fait sauter, c'est volontaire et mérité, mais elle, elle fait sauter les boutons involontairement, si je n'avais pas vu le mari d'Annie l'emmener, je serais sorti pour l'appeler en lui disant ce qui se passe, en sachant que si ces deux-là devaient se battre, ça ferait mal et je ne m'y risquerais pas de les séparer

Il augmente la vibration, Annie se tord sur la barre, vlan, 1 ;10, plus fort encore, encore, ha, ha, l'image n'étant pas vraiment net, mais je distingue bien des marques sur son dos, les coups n'étaient pas de toutes ses forces mais étaient quand même bien appuyés

Annie continu de bouger son bassin, il monte sur le billard, baisse après avoir éteint la culotte, et par la camera du côté, je vois qu'il sort sa bite et l'a pénètre, Annie hurle de plaisir, des oui, c'est bon, haaaa, encore, oui, plus fort, plus vite, puis elle agrippe la barre plus fermement, et son plaisir la submerge, elle hurle son orgasme, lui, il l'accompagne à chaque soubresaut, après cela, il la détache des pieds, des bras puis lui dit, va te mettre en position, Annie, descend et se met en appuie sur le bord du billard, jambe écartées, cul tendu, quand il l'a détachée, j'ai vu sa bite, rien qui ne m'a impressionné, normale, j'avais eu une dimension peu de temps après, car il est vrai que la camera ne donne pas une échelle de dimensions 5x20, ce qui était raisonnable mais plus que moi (sic)

Annie attendait le cul tendu, je l'avais sur mon écran, je me mis à bander encore plus, et bien sûr, depuis le début, je la regardais avec le sexe à la main, j'ai joui avant qu'elle se fasse sodomiser, quand il l'a pénétrée, il l'a pilonnée puis elle a joui encore une fois, lui, il lui a joui dans le cul quelques secondes plus tard pendant qu'elle était encore en train de savourer son plaisir, je me suis remis a bander, mais j'ai voulu garder mon jus pour plus tard

j'en déduis que leur couple sait tout, Annie n'a jamais su pour la camera, je lui en apprends pas mal avec ce récit, me disant que si elle avait su, cela n'aurait rien changé, Annie s'essuie, se rhabille, une fois les ébats finis, l'effleureur redevient attentionné avec elle, quand je vois qu'elle est prête a remonter, je coupe et file a ma voiture, en sortant, elle a disparu dans une rue a coté, je n'ai pas voulue la suivre pour ne pas être repéré par l'effleureur, ni par son mari

Pendant le retour, dans ma tête, tout était clair, Annie avec l'accord de son mari venait se détendre chez l'effleureur dans une séance de domination, les deux couples savaient cela et étaient tous consentant, je pensais à l'époque, que le couple ne savait pas que le mari d'Annie savait et Annie ne savait pas que la femme de l'effleureur savait, l'effleureur disait à Annie qu'elle était aux soldes ou autre magasin de femme, ou encore chez une copine et qu'il va la rechercher a l'heure prévue, j'étais très bien placé pour comprendre son mari, je ressentais pareil, ce jour là, malgré tout, j'ai ressenti quelque chose qui m'a fait drôle, autant que Marie avec l'effleureur, cela ne me faisait rien, autant avec Annie, je ressentais une petite pointe de jalousie

En moi-même, je me disais, "ha Marie si tu m'avais seulement dit, voilà, je veux goûter une autre bite et j'ai sous la main un gugusse qui me baratine pour me sauter, me donnes-tu ta permission pour qu'il me baise", mais cela est illusoire, car si aujourd'hui, je lui dirais oui, à l'époque, j'aurais probablement dit non.

En moi-même je me disais, "ha Marie si tu m'avais seulement dit, voilà, je veux goûter une autre bite et j'ai sous la main un gugusse qui me baratine pour me sauter, me donne-tu ta permission pour qu'il me baise", mais cela est illusoire, car si aujourd'hui, je lui dirais oui, à l'époque, j'aurais probablement dit non.

Comme j'avais réussi à obtenir un stage pour la fille d'amis d'Annie, un midi elle m'appelle pour qu'on mange ensemble, je lui dis moi seul ou avec Marie, repas soft me dit elle, je lui redemande si la présence de Marie ne dérange pas, elle me dit que non. Dans l'environnement du couple d'Annie, ça fonctionne comme cela, tu rends service ou fais un acte de bravoure pour sauver un des membres de ce groupe

L'acte de bravoure en question, je le rappelle, c'est d'avoir en serrant les fesses, voulu défendre Annie, et pris une baffe qui m'a mis à terre, son mari me dit, "oui, mais faisant cela, les types se sont dit en voyant les autres arriver, qu'ils vont intervenir a leur tour, et s'ils se sont barrés, c'est pour cette raison", avec les couards, s'il y en a un qui montre l'exemple, ils peuvent se stimuler et intervenir ensemble, faisant fuir les malfrats

Le preux chevalier que je suis, est donc rentré dans cet environnement par la grande porte, je suis malheureux, ils me consolent, on me rackette, ils cassent les racketteurs, on me fait du mal, ils m'aident a ma vengeance, j'étais devenu un des leur, il y avait les gros bras, les têtes, les débrouillards, chacun avait sa spécialité, sa compétence, même minime comme moi, en ayant obtenu le stage, elle m'a remercié bien au de là, Annie me laisse le choix du resto et je ne sais pourquoi, je dis l'île st louis

On se donne rendez-vous à la boite de Marie et on prend sa voiture, pour cause de taille pour stationner, je conduis, on prend une table, je sens Marie inquiète que j'en reparle, mais je ne vais pas rabâcher cela toute ma vie, j'ai dit mes pensées, c'est fini, sauf rebondissement, Marie et Annie sont en tailleur jupe courte, la beauté, la sensualité (suite censurée par Annie), elles ont du succès, il est vrai que là bas, la plupart, c'est plus le jean basket, la fille masculine, le repousse mec

Puis je pense à une chose, je me dis que c'est ici que j'ai souffert, cette île a vue ma honte, je dis alors aux femmes, "vous avez vu ces types qui passent et vous reluquent, on les faire baver, si bien sûr, tu le veux bien Annie, elles me demandent comment et je leur dis, être mes deux maitresses, le leur faire croire du moins, Annie comprend et dit oui, Marie n'a même pas à répondre, j'en profitais pour peloter un petit peu Annie, et Marie aussi, je leur tenais la main, les embrassais par moment, Annie jouait bien son rôle, elle comprenait la raison à cela

Ne me la disant pas vis a vis de Marie, on a parlé avec Annie, mais de chose perso qu'on ne dévoilera pas ici, par moment, elle me disait mamours, Marie disait Chéri, elle me faisait plein de gestes d'affection, sans les regarder, certains qui passaient devaient se dire que je suis blindé de fric ou que je suis surdimensionné en dessous la ceinture, s'ils savaient que dans les deux cas, j'étais fauché

Le plus beau a été quand Annie a pris la note et a payé, le serveur m'a regardé et j'ai dit, "vous ne croyez quand même pas que c'est moi qui vais payer", en quittant la table, elles m'ont embrassées, en même temps, et j'ai dit, "ha non, pas maintenant, on verra ce soir, j'aurais repris des forces", les embrassant l'une après l'autre, comme je devais tourner la tête, je voyais que ça jasait, presque à entendre les commentaires du genre, le veinard, le friqué, qu'est qu'elles foutent avec ça

Mais qu'importe les quolibets, tous mâles auraient donnés cher pour être à ma place, en s'éloignant, en m'attrapant la taille, les filles ont légèrement tortillées du cul, j'avais Annie dans mon bras, le bonheur ultime, nous sommes restés comme cela jusqu'à la voiture, je regrettais de ne pas avoir stationné a plusieurs kilomètres

(dans sa pseudo-dépression)

Peut-être deux semaines après notre sortie tous les trois a l'île st louis, un mardi, son chef m'appelle disant que la veille a midi, elle est resté travailler, ce qui signifie qu'elle compte prendre une demi-journée en plus, en effet, le mercredi après midi, elle demande son jeudi, ou plutôt, elle prévient qu'elle sera absente, a moi, elle ne m'a rien dit, nous sommes pourtant amoureux, elle me câline avec affection, nous avons des repas d'affaires habituels ou rien ne se passe en ce moment, elle est souriante, elle a repris de l'assurance

Ce jeudi, je la suis, elle mange avec ses collègues, je poireaute dans la voiture pendant une bonne heure, elle rentre ensuite à la maison, je l'avais perdu, mais comme elle avait prit la direction de la maison, j'ai pu l'apercevoir se garer prés de chez nous, puis rentré à la maison, j'attends 45 minutes, j'allais monter pour voir, j'aurais fait celui passant prés d'ici et voulant passer aux toilettes, le temps de garer ma voiture plus loin, je descends et la vois sortir de chez nous, dans une tenue bien plus sexy et tenant un sac

Mes vieux démons me hantent à nouveau, j'ai voulu m'arrêter a coté d'elle en voiture et lui dire, "reviens a la maison faire tes valises, ce qui m'a fait attendre, c'est que je n'ai pas voulu avoir la honte de l'avoir suivie, et que malgré tout, j'étais étonné qu'elle recommence, je la suis toujours et elle arrive prés de chez l'effleureur, je suis soulagé, et je comprends mieux nos discussions le soir au lit

Avant je lui disais qu'avec lui, c'était son jardin secret et pouvais faire tout ce qu'elle voulait sans m'informer, et ces deux dernières semaines, quand j'évoquais l'effleureur, elle me parlait beaucoup de lui et de ce que je lui proposais, disant, non mais tu me vois débarquer chez lui sans te le dire ou encore, quand je lui répétais, elle disait, un jour, je le ferais comme ça, juste passer pour voir la tête que tu ferais, je la rassurais en disant, un mot sur la table et cela t'absout de scène de ménage

Elle répond, si je mets un mot, autant te le dire, je dis non, car si je rentre après que tu sois revenue, tu vires le mot, des petits détails encore, insignifiant sur le moment, mais compréhensible a cet instant, une fois rentré chez lui, je file dans le petit appentis, toujours en passant sous la fenêtre, je rentre et m'enferme, j'allume l'ordi, c'est noir, j'attends, je me dis, j'espère qu'elle n'est pas repartie, qu'elle n'a fait que passer pour venir chercher un document ou en déposer un

Je me dis, que fais-je, je sors voir si sa voiture est encore là où j'attends, seule la peur de me trouver nez a nez avec elle m'a fait rester, et j'ai bien fait, j'ai su bien après, qu'en semaine, quand il a un rendez-vous de ce genre, il commence son boulot de bonne heure le matin, fini à 13 heures, rentre, manger et prend une douche, il ne devait pas être passé à la douche, alors elle a attendu, la lumière s'allume, puis les néons, cette fois-ci, j'avais acheté mes oreillettes, je mets le son a fond

J'entends bien leur conversation, celle-ci me paraissait conviviale dans les escaliers, puis elle dit, je ........, je sais pas si j'ai bien fait de venir, il ne sait rien et ......., il dit attend, je vais t'expliquer quelque chose, il attrape une cravache pendant qu'il lui dit de regarder a la dernière marche de l'escalier, elle ne voit pas la cravache ni ce qu'il veut lui montrer, il répète, "tu vois le bas de la marche, elle regarde en se penchant un peu et elle prend un grand coup de cravache sur la fesse et il dit, quand tu viens avec Henri, ici en bas, tu peux décider, mais si tu viens ici seule de ton plein gré, tu n'est plus rien qu'une pute que je vais me servir pendant une heure ou deux, un autre coup et il dit, c'est clair, ne répondant pas dans la seconde, un autre coup lui fait dire oui Mr

Voir est excitant, mais avec le son, c'est encore plus excitant, il dit, les putains ici, ferment leur gueule, vlan, bien Mr, allonge-toi là et fait moi sentir ton cul, vlan, vite, Marie monte sur le billard à genou, fesses en l'air, tête sur le tapis, string baissé et jupe remontée sur le dos, il lui renifle comme un chien et dit, ça pue la merde, tu aurait pu te laver avant de venir, elle va pour répondre et vlan, avec la cravache

Il caresse sa chatte, elle gémit, il dit, en allant chercher le martinet à longue lanière, voilà, je t'en mets cinq pour commencer, il caresse sa vulve puis vlan sur le cul, caresse à nouveau et vlan, il lui met les cinq, a la fin, il lui dit, je monte boire un coup, soit tu en profite pour foutre le camp, je ne te retiendrais pas

Soit tu restes dans cette position et quand je reviens, je t'en remets 5 autres plus forts et après je me servirais de toi comme une pute que tu es, je me servirais de toi comme j'ai envie, si j'ai des invites, tu obéiras à mes ordres, tu ne les connaîtra pas, et eux ne te reconnaîtront pas non plus, tu mettras ça, il sort le masque qu'Annie avait, par contre si tu remonte, ça sera fini entre nous, on ne changera rien a nos habitudes quand nos moitiés seront là, je te frôlerais devant ton mari et s'il ne descend pas, on ne jouera qu'au billard

Je me dis, zut, pas de spectacle aujourd'hui, il remonte, j'attends que Marie s'éclipse, mais elle reste comme elle est, sauf que je devine sa main sur son Clio, elle se caresse, elle ondule du cul, je vois son visage également, elle est excitée, elle ne se sauve pas, il revient et dit, bien, tu reste, oui Mr, tu as bien compris ce que j'ai dit, répète le, je serais votre pute Mr

Bien, on commence, il lui met les cinq bons coups comme promis, son visage se déforme par la douleur, il tape vraiment fort cette fois-ci, en sueur, elle se passe la main sur le front, il lui répète que quand elle est dans la salle de billard, elle doit lui obéir sans condition, oui Mr, bien, suce-moi, Marie se met accroupie et le déboutonne puis le suce, mieux que ça salope, elle s'applique, il la complimente en l'insultant

Après cela, il la baise, c'est la première fois que je vois marie se faire prendre par un autre, pendant un instant, j'ai une petite pointe de jalousie, mais cela ne dure pas, elle est là avec ma bénédiction, avec mon accord, presque a ma demande et ce n'est pas pire qu'avec Lucien où c'était dans mon dos, ou l'amant se disait, "il l'entretien financièrement et moi je la baise, a lui les corvées, a moi le plaisir"

Marie est excitée, elle ne met pas longtemps avant de gémir, avant qu'elle parte sur le chemin de l'orgasme, il sort d'elle et dit, mets-toi a poil maintenant, elle s'exécute pendant qu'il sort des cordelettes et l'attache au billard, elle est dans le sens de la largeur, la chatte vers l'escalier, je ne la vois donc pas de face, mais des côté

Elle est fixée bras sur le côté du billard, opposé a l'escalier, et les pieds, cote escalier, un a chaque pied du billard, les pieds posant sur le bord, il lui attache pareillement les genoux pour qu'il soit écarté au maximum, il lui met d'autre cordelette au pied qu'il attache avec les pieds de l'autre côté, cela fait 5 minutes déjà qu'il ficelle son rosbif, je suis intrigué et excité de la voir si soumise

Une fois immobilisé, il sort un masque assez large, mais sans trous pour les yeux, il lui met, elle ne voit rien du tout, il sort ensuite un Walkman et lui met les écouteurs, je suis de plus en plus intrigué, il met un petit tabouret rembourré très bas devant elle, lorsque je vois arrivé sa femme dans l'escalier, je me doute de tout ça, elle se jette sur elle et la suce, elle a attaché ses cheveux, surement pour ne pas qu'ils glissent sur les cuisses de Marie


Marie ondule du bassin et gémit de plus en plus, après s'être jeté sur son sexe avec avidité, maintenant qu'elle s'est abreuvée, elle l' embrasse partout, sur l'intérieur des cuisses, elle embrasse et caresse, l'effleureur a quant a lui prit un martinet normal, et quand il peut, il fouette Marie, il donne ensuite un gode a sa femme, qui pendant qu'elle lui suce les seins, pénètre marie jusqu'à la faire jouir, Marie jouit comme une folle, je bande de plus en plus du spectacle

Elle se dévêt ensuite, bien sûr comparée à Marie, il y a un contraste, mais elle n'est pas vilaine, elle manque de forme, mais si elle s'habillait avec goût, elle serait regardable, elle caresse partout, la fouille, elle retourne a son entre-jambe et la suce a nouveau, elle a le cul en l'air, l'effleureur arrive derrière elle et la prend aussitôt, pendant la pénétration, elle a arrêtée de sucer, mais elle a repris ensuite, plus il pilonne, plus elle suce, plus Marie gémit, l'auto excitation faisant son œuvre, la femme de l'effleureur étouffe un orgasme, ne s'autorisant que des petits gémissements pour ne pas être entendue, une fois le coup de chaud passé, elle retourna bouffer la chatte a Marie

l'effleureur se retira et amena Plug et un gode, sa femme enfila le Plug a marie, puis lui vibrait le clito, des gémissements se firent entendre, elle ondulait du bassin, tendait sa chatte vers le gode pour avoir plus de contact, la femme de l'effleureur manipulait le gode avec dextérité, touchant par ci par la, reculant le gode si elle tendait son bassin, elle hurlait d'être pénétrée, disant " baisez moi Mr, baisez votre salope, je ferais tout ce que vous voudrez mais baisez moi, bourrez moi"

14 ans de vie de couple, et je venais de découvrir ma femme, je venais d'apprendre quelque chose, quand je fais l'amour à une femme, je lui donne le plaisir, l'effleureur lui, l'excite et la prive de l'orgasme, l'a maintenant prés du plaisir, mais ne le lui donnant pas, Marie ondule violemment du bassin, elle souffle, crie, hurle, quand elle a jugé qu'il était temps, elle lui enfonce le gode et le bouge a toute vitesse

J'entends Marie jouir violemment en disant, "oui haaaaa, ha je joui, je joui, oui je joui haaaaaa", elle continu de manier le gode, Marie à peine fini son premier orgasme qu'un autre arrive aussitôt, moins violent, mais valant largement ceux que je lui donne, après le deuxième orgasme, comme elle continue de la goder, Marie en redemande, elle ondule son bassin au rythme du gode en gémissant et disant des "c'est bon qu'est ce que c'est bon"

Une fois terminé, sa femme retourne sucer Marie, lui va derrière elle et il la baise à nouveau, elle s'appuie sur le billard, elle regarde la chatte a Marie pendant qu'il l'a lime, elle la touche la caresse, la suce encore puis je vois a l'expression de son visage, qu'elle est prête a jouir, elle lui dit, va-y, va-y, je viens, haaaa oui, elle jouit puis lui également dans la foulée, elle se met debout tourne la tête et l'embrasse amoureusement, il se retire, elle se penche pour embrasser Marie sur les cuisses et elle s'habille pendant qu'il donne quelque coups de martinet a Marie

Une fois sa femme remontée, il lui retire les écouteurs et le masque puis il la détache, elle reste sur le billard, il l'a tripote, la fouille, il retire le Plug, elle se met à quatre pattes, il lui suce l'anus, Marie a pas mal donné, elle apprécie la caresse, mais n'a plus l'excitation suffisante pour jouir, après quelques minute a la sucer, il lui dit, "allez salope, de t'entendre hurler comme une truie, j'ai tout lâché, (c'est dans sa femme qu'il a tout lâché), démerde-toi pour me redonner du tonus

Marie descend, ouvre sa brayette et le suce avec passion, comme elle sait me faire aussi, a ce moment, j'aimerais que se soit moi qu'elle suce, l'effleureur retrouve de la vigueur, dés qu'il se sent prêt, il l'a fait retourner et la sodomise, je ne le vois pas vraiment, mais il dit "tu la sens ma queue dans ton cul salope", oui Mr, tu aime que je t'encule, oui Mr

Il l'a limé pendant presque 10 minutes ou Marie haletait, disait des encore des plus forts, des plus vite, des oui encore, puis il a joui en grognant, sans se retirer, je n'ai pas eu de crainte, car lors de discussion sans aucun rapport avec ce qui se passe, on avait tous dit avoir passé un test, Marie était devenue intransigeante là-dessus depuis la fois ou je lui avais fait croire que j'étais atteint

l'effleureur s'essuie puis s'assoit sur une chaise, Marie s'essuie aussi, s'habille et vient sur ses genoux, ils ne s'embrassent pas, j'aime autant, sa femme surement aussi, quand j'avais entendu Marie jouir, bien sûr, je l'ai moi aussi accompagné, je n'ai craché qu'une fois, je garde des forces pour ce soir à la maison, je repense à la violence de l'orgasme de Marie, devant les copains, on peut dire "tu verrais celle-là avec moi, elle s'évanouirait de plaisir"

Mais là, je suis tout seul, et j'ai bien vu que je ne lui ai jamais donné un orgasme aussi violent, j'éprouve un sentiment d'infériorité, de médiocrité, je me sens nul de ne pas être capable de lui donner pareil, je me sens con d'être la a regarder un type baiser ma femme pendant que je me branle en le regardant faire, je reste néanmoins encore, ils discutent, il n'y a plus de salope ni de Mr, ils sont redevenus copains, Marie dit qu'elle a un peu honte

Ils la rassure en disant "tu as bien dit que je pouvais aller jusqu'à là ou tu voulais", Marie dit "oui et me disant que je n'ai pas besoin de le lui dire, juste de dire ou j'étais sur un mot a la maison, mais ça m'embête, j'ai l'impression de le tromper", il répond, non, tu ne le trompe pas puisqu'il te le demande, il t'aime ton mari, il veut ton bonheur, il veut que tu aille la ou tu aura du plaisir, il a bien vu que tu aimais être tripotée au début

Il me l'a dit, après il m'a dit qu'avec toi, j'avais carte blanche tant que tu voulais, elle dit, oui bien sûr, je sais qu'il m'aime, me reprendre avec ce que je lui........." Elle vient de se trahir, l'effleureur dit, tu peux me le dire, je m'en doute, je l'ai su la première fois où tu es venu te faire tripoter ici, Marie est étonnée, car elle ne le savait pas elle-même que je savais, les photocopies ne sont arrivée qu'après

En plaisantant, il lui dit, tu peux m'en parler, un plombier, c'est comme un curé, je ne répéterais à personne, et si on m'en parlait, j'aurais la vraie version, Marie hésite puis se confesse, elle dit ce que je sais déjà, que Lucien lui a fait miroiter un emploi plus rémunérateur, plus plaisant, l'attrape conne dit elle et elle a plongée dedans, lui disant, le midi, j'allais dans des supers resto avec des clients a lui, je n'avais juste qu'a sourire

Elle raconte tout puis vient la première fois, ou elle avait pris l'habitude de se dévêtir avec lui dans la pièce a coté et que cette fois-là, elle avait trop bu, jusque-là, je connaissais l'histoire, bourrée, elle s'est laissé faire puis est restée deux semaines sans revenir, il l'a relancé à son boulot en disant qu'il regrettait, la confiance est revenue, elle ne s'est plus méfiée, elle ne buvait plus, elle se déshabillait pas loin de lui puisque les vêtements pour le resto étaient plus chics que les siens, au retour pareil, elle remettait ses affaires, on devenait familier

La première fois, il m'a mis une claque aux fesses en disant aller va vite te changer, elle n'a pas fait d'histoire pour si peu puisqu'il ne tentait rien d'autre, la fois d'après, c'était avant de me changer, et après en revenant, c'était devenu habituel, de plus j'aimais bien, une autre fois en arrivant, il y avait une bombe, des bottes et une cravache, il disait faire du cheval, mais c'était à son associé, au retour, il prend la cravache, et me fouette les fesses en disant aller va te changer, on prenait ça en plaisanterie, moi du moins

Mais là ou cela a vraiment changé, c'est la semaine suivante, il m'avait parlé d'un client très important, qu'il fallait que je sois en forme, un coup de cravache pour aller m'habiller, une fois fait, assis sur la chaise, il me dit, vient me montrer, je viens devant lui, avec la cravache, il me touche pour me faire tourner d'un coté puis de l'autre, disant oui pas mal, il dit met toi droite, sur le côté, amusée, je fais ce qu'il dit, avec la cravache, il me frôle la pointe de seins, j'ai eu un frisson que j'ai essayée de dissimuler

je fais comme si de rien, le jeu m'amusait, il n'y avait pas matière a ce que je refuse, j'avais un porte jarretelle, il me dit tourne toi, que je vois si cela ne fait pas trop vulgaire, que ça ne se voit pas, il me fait encore tourner, je suis devant lui, il me fait lever les bras, puis retourner, je le sens soulever ma jupe, je fais "hé, stop la, ca ne m'amuse plus", et la, il me donne un bon coup de cravache, je rouspète, mais il m'attrape et me met une fessée, je me suis débattue les trois premiers coups puis de moins en moins, il m'a mis la main sur le string, j'étais trempée, il a relevé ma jupe puis baissé le string, je ne me débattais plus du tout, il a repris la fessée et je lui disais plus fort, continu et on a rebaisé

je n'ai plus voulu y retourner, mais la semaine suivante, en venant me voir un midi, il me dit de juste venir voir, qu'il restait dans la voiture, je dis voir quoi, il lève sa veste qui était a coté et je vois qu'il a acheté du matériel pour moi, martinet, Plug, pince, pendant que je regardais, il m'attrape le poignet en me disant "regarde salope ce que j'ai pour toi, je n'ai pas voulu me débattre pour ne pas attirer l'attention, j'ai eu une soudaine envie, et j'ai dit que je rentrerais plus tard, un souci de famille, au début, j'aimais, j'étais presque accroc, j'en avais besoin, mais lui ça n'était pas son truc, il a juste deviné mes goûts et en a profité

A la fin, je venais par habitude, j'étais presque contente quand un détective privé est apparu pour faire des photos, ce connard a payer une pellicule les yeux de la tête et le type a quand même vendu les photos a sa femme et hélas à mon mari, l'effleureur lui dit qu'il a deviné sa déviance le soir ou Marie s'est laissée tripoté au billard, elle ne se laissait pas tripoter pour me faire plaisir mais par plaisir d'être forcée d'accepter

Je ne lui en veux pas à Marie de m'avoir menti sur mon cocufiage, elle a succombé par pulsion et non pour lui, il avait deviné en deux mois son point faible, que moi, je n'ai pas trouvé en plus de 10 ans, je repense a l'effleureur qui m'avait dit qu'un mari ne remplacera jamais un amant et vice-versa, un mari aime sa femme, un amant aime son cul, en fait il y a le même nombre de lettres au mot mari et le mot cocu, j'ai du reconnaitre aussi que l'amour que j'avais pour Marie m'empêchait de lui faire du mal

L'adage du "il y a les femmes que l'on aime et celles que l'on baise" était omniprésent, j'aimais Marie, je devais la baiser très mal, les femmes que je rencontrais furtivement le temps d'une baise ou plus, m'acceptait surement parce qu'elles n'avaient rien de mieux sur le moment, il faut dire qu'une fois baisées, elles ne me donnaient peu envie d'y retourner, je baisais par vengeance, pas par réelle envie, ni par amour

beaucoup d'hommes changent de partenaire parce qu'ils ne savent pas changer de position, quand j'entends parler certains, j'entends sans écouter, ils disent tous la même chose, je plains les femmes qui sont avec ce genre de routinier, ça me fait remonter dans mon estime, mais là actuellement, avec ce à quoi je viens d'assister cet après-midi, je me dis que niveau baise, j'ai tout a revoir, cela me mine, l'effleureur tout en lui tripotant les seins a ensuite chanté mes louanges auprès de Marie, que je l'aime, que je suis un type bien, qu'elle ne trouvera jamais un type aussi amoureux

En moi-même, je me disais "aussi con plutôt", plutôt qu'être un type bien, je préférerais le titre de bon baiseur, il lui dit, "bon, ce n'est pas tout, essaie de rentrer avant lui, il a raison en ce qui concerne ton jardin secret, au moins ici, tu ne risqueras pas de te faire avoir par un autre connard, s'il n'a pas vu ton mot, jette le", il lui fait la bise chastement comme s'ils étaient en public, avant qu'ils ne remontent, j'ai quitté mon poste d'observation et au lieu de rentrer a la maison, je pars au boulot

Comme je ne suis pas rentré comme d'habitude, elle m'appelle à mon travail, je lui dis de ne pas m'attendre, elle demande si j'en ai pour long, qu'elle m'aime, que je lui manque, mes réponses se font avec gentillesse, elle n'est pas responsable de ma nullité sexuelle, je rentre vers minuit, je n'ai pas mangé et n'ai pas faim, je ne lui pose aucune question, je n'ai rien a lui reprocher, elle m'enlace au lit, se fait chatte

Mais je n'ai pas le moral ni le courage de lui faire l'amour afin de ne pas passer pour le baiseur d'entrée de gamme, j'invoque la fatigue, elle fait la moue, disant qu'elle a super envie, je me force à lui faire la bise en disant qu'on se rattrapera demain, je me tourne aussitôt, et fais celui qui dort, je repense à ces dernières années, à Lucien, à l'effleureur, à Annie, Lucien n'était plus celui qui a attiré Marie par sa personne, mais par un coup de chance d'avoir découvert son penchant

L'effleureur lui, l'avait découvert dés ses premiers toucher sérieux, quant à Annie, mon fantasme, celle qui, si elle avait voulue, m'aurait fait quitter Marie et que j'aurais suivi n' importe où, je me suis dit a moi-même, "qu'est-ce que tu crois, qu'une femme comme elle, puisse avoir d'un con comme toi", je me réponds, "rien, je n'ai rien de bien qu'elle mérite"

Pendant deux semaines, j'ai dû baiser Marie cinq fois et mal, plus mal que d'habitude en tout cas, le chef de Marie ne m'a pas appelé, donc pas de sortie, de toute façon, je n'avais pas goût a aller mater, je disais que le boulot me prenait la tête, j'étais affectueux avec Marie, je ne voulais pas qu'elle pense qu'elle était responsable de ma mauvaise humeur, un samedi soir, sans prévenir, Marie mettait la table, on sonne, Annie et l'effleureur était là avec leur moitié, le mari d'Annie dit "aller range ça, on va bouffer au resto"

Je leur dis non, mais Annie dit "pour me faire plaisir", dire non à Annie m'était impossible, je me suis rendu compte que probablement, Marie leur avait dis que je n'étais pas bien, j'étais trop dorloté, je ne sais plus ce qu'était leur véhicule emprunté a un copain, ils étaient trois devant et moi derrière, au milieu avec Marie à gauche et Annie a droite, Annie qui était collée a moi autant que Marie, je ne l'ai même pas chahutée

Elle s'en est aperçu, entre là où on avait garé la voiture et le resto, ils nous ont laissés seuls derrière, j'ai menti bêtement à Annie qui m'a dit que si je veux lui parler, qu'elle était là, comment pourrais-je lui dire que je suis un nul en lui expliquant ce qui me fait dire cela

Au resto, Annie me fait du pied, je me laisse faire, mais ne prend pas d'initiative, je parle, répond, je m'efforce de sourire, mais je ne suis pas un joyeux drille, l'effleureur a acheté quelque chose, un truc ancien, je crois, en banlieue ou le type rentrait tard, Annie leur dit qu'elle n'a pas envie de sortir de la voiture pour aller chez le type et me demande de rester pour ne pas attendre seule, disant comme ça qu'il faut qu'on discute d'un projet, les quatre autres partent comme surement ils avaient convenus

Annie ment aussi mal que moi, je me doute que Marie lui a parlé, elle commence par me demander si j'ai des soucis, je dis, que c'est le boulot, elle me demande si ce n'est pas plutôt Marie, je réponds que non, a ses questions, je pensais qu'il croyait que j'avais téléphoné au boulot de Marie ce fameux jeudi après midi, ce qui était normal puisque c'est le soir même que j'avais changé de comportement, elle me dit que Marie m'aime, que je peux être certain qu'elle a comprit la leçon et s'en veut pour ça, je lui ai assuré que Marie n'a rien a se reprocher et que je ne lui reproche rien non plus

pendant qu'on discutait, on se tenait la main, et elle me répétait, je vois bien que ca ne va pas, je dis non, elle dit si, tu ne me tripote même plus, elle avait raison et je lui dis que je n'avais pas a lui faire subir cela, prenant ma main et la mettant sur son sein, elle me dit dommage, j'aimais bien, j'ai eu une érection malgré moi, mais mon cœur n'y était pas, n'en profitant pas, elle me dit que ça doit être grave

Elle me demandant encore si Marie n'y est pas indirectement concerné, je réponds qu'il y a bien des fois où je me dis que si je l'avais mise à la porte, je lui aurais rendu un grand service, là maintenant, elle m'aurait oublié dans les bras d'un autre bien mieux que moi, elle me réconforte en disant mieux que toi, oui un connard qui picole et la frappe, ou un type qui la laissera tomber plus tard pour foutre le camp avec une plus jeune

Ou alors un parasite qui vivrait a ses crochets, le mec bien, elle vit avec en ce moment, elle t'aime vraiment et je ne dis pas ça pour te faire plaisir, je lui dis que je le sais, qu'elle me l'a prouvée, ne voulant pas pleurer sur moi-même, je change de sujet, au loin, je vois qu'ils reviennent, ils m'ont laissé 3/4 d'heure avec Annie avant de revenir avec ce que l'effleureur a mit dans le coffre, nous sommes rentrés ensuite, j'ai proposé un digestif pour faire bonne figure, mais ils ont dit non, un autre jour

Nous sommes ressorties encore deux fois comme cela, Marie n'était toujours pas retournée au billard, on avait eu un repas au resto avec un client entre-temps, heureusement que Marie a meublé la discussion, elle souriait au type et me regardait d'un air triste par moment, j'essayais de sourire aussi, mais j'étais plus un clown triste, un autre samedi, ils me forcent encore a sortir, comme je sais qu'il est inutile de dire non, je joue l'enthousiaste

Je suis toujours derrière entre Marie et Annie, a force de jouer le joyeux, je deviens meilleur menteur, une connaissance a son mari a acheté une voiture très ancienne et l'a retapé, on décide d'aller voir, c'est une Citroën, année 30, beau travail, moteur tournant, on reste bien 90 minutes puis en repartant, comme on était sur une hauteur, on décide d'aller voir un point de vue, on arrive, il y avait déjà du monde, 5 jeunes de banlieue, on regarde, on discute, et puis un des types commence à demander à une femme si elle ne pouvait pas lui rendre un service

Les deux autres avaient compris sauf moi, le mari d'Annie dit, qu'il peut rendre service lui, mais avec les dents, une bagarre s'ensuit, deux vont sur l'effleureur, deux sur son mari et un autre sur moi, il faisait deux tètes de plus, je tente une négociation, et je prends un coup-de-poing qui me met à terre, quand je me relève, le type embêtait Marie, Annie veut la défendre et prend une grosse gifle d'un revers, elle tombe aussi

De colère, ne voulant pas renouveler ma première intervention honteuse devant les trois femmes, je me jette de façon suicidaire sur le type, le bousculant, celui-ci m'attrape au col, me mettant à terre encore, a force d'entendre l'effleureur parler bagarre et me dire comment faire, je me remémore ses conseils, et avant de prendre un nouveau coup de poing, j'arrive à lui attraper le petit doigt de sa main qui me tient et je lui tord très violemment a l'opposé des autre doigt faisant cela d'un coup sec, je lui casse probablement, il hurle de douleur, me lâche et se tient le doigt

La rage en moi, je le frappe avec mon doigt dans l'œil, le type gémit de douleur, Marie relève Annie qui se plaint en se tenant le visage, je prends mes clefs de maison dans ma poche, les serres dans ma main et le frappe a la tempe, le type tombe a terre, je lui mets plusieurs coups de pied au visage, qu'il prend sans se défendre tellement il est sonné, la colère m'emporte, je vois le mari d'Annie en mauvaise posture avec ses deux assaillants dont l'un a un couteau, je fonce sur l'autre type de dos et l'éloigne en l'emportant avec mon élan, 5 mètres plus loin

Celui avec le couteau, détourne son attention, et seul contre le mari d'Annie, il ne fait pas long feu, il le met à terre et lui retourne violemment le bras, venant s'occuper de celui que j'ai détourné qui commençait a vouloir me taper, le mari d'Annie, d'un coup de pied dans la figure le fini, il va aider l'effleureur ensuite, qui lui aussi avait un adversaire armé

Pendant ce temps, grisé par la bagarre, je ne laisse pas le temps à ceux à terre de se relever, je leur mets des coups de pied, je tape l'un, je passe à l'autre, je ne ménage personne, mes maîtres de combat (le mari d'Annie et l'effleureur) me disaient, sur un ring, il ne faut jamais taper un adversaire a terre, dans un combat de rue, il ne faut jamais le laisser se relever, je regarde celui qui m'a tapé au début

Il arrive vers moi, mais l'effleureur s'en occupe avant, il lui attrape le bras aussi en le lui retournant dans le dos, je lui dis de me le laisser, il me le tient et je lui met un coup-de-poing, puis un autre, je tape à répétition, le mari d'Annie continu a savater les quatre autres qui n'arrivent plus a se relever, Marie me crie d'arrêter en pleurant, moi, je continue, Annie me dit "ça suffit", elle le répète plusieurs fois et me retient le bras en disant s'il te plaît, l'effleureur lâche le type qui s'éloigne un peu et s'écroule a terre, le visage et surtout la bouche en sang

Il va ensuite stopper le mari d'Annie qui continuait a savater même ceux qui ne bougeaient plus, l'effleureur a dit," on se barre", nous sommes partie en allongeant le pas, dans la voiture, ma main me faisait de plus en plus mal, j'ai dit, "c'est mon baptême du feu, un digestif à la maison", ils ont dit oui, j'avais la lèvre coupé, mal a la mâchoire, la main en sang, des écorchures aux coudes et aux genoux, ma chemise avait la manche toute rouge, à la maison, ils m'ont fait un gant avec des glaçons pour ma main, ensuite les femmes essuyait le sang de leur homme

On a reparlé de ce qui venait de se passer, ils me félicitaient, Marie me serrait dans ses bras, Annie, aussi en disant, notre sauveur, l'effleureur disait à Marie, "tu as vu, ton mec, avec ses petits kilos, comment il s'est jeté sur le tas de viande", Annie dit, quand je vous le disais qu'il en avait, j'avais lavé le mauvais souvenir de la première rencontre avec Annie où je me suis retrouvé a terre dés la première seconde, je tremblais, j'avais mal partout, mais psychiquement, j'étais heureux, une fois la soirée fini, ils repartent, Annie la dernière, après la bise, elle me dit avant de partir "un mec mieux que toi, pfuitttt, ou ça, sur mars".

Je suis allé aux urgences le lendemain, disant que j'ai chuté a vélo, je n'avais pas de fracture, le lundi, j'ai été au boulot juste pour donner des directives, ma main était non opérationnelle, Annie m'appelle pour savoir si j'allais bien, je lui dis mon incapacité et que je ne travaille pas, elle me demande si je veux venir manger chez elle et rester cet après-midi, car elle aussi est en arrêt, je dis ok, quand j'arrive, je la vois avec des lunettes de soleil, dehors passe encore, mais dans la maison

Elle les retire et je vois son œil au beurre noir et le jaune de sa joue, je m'exclame "le salaud, tu n'aurais pas dû m'arrêter", elle me dit que le type va manger de la soupe avec une paille pendant plusieurs jours grâce a moi et que les autres ne vont pas être mieux, l'effleureur avait parlé qu'avec les coups de pied reçus, les côtes et dents cassées, c'était le minimum, ils ne vont plus emmerder le monde pendant un certain temps

On mange, elle coupe ma viande, épluche mon fruit, elle me dit qu'en rentrant l'autre soir, avec l'effleureur, ils n'ont pas arrêté de me faire des éloges, disant que sans moi, ils auraient été très mal, les types étaient de la même corpulence qu'eux et habitués aussi des bagarres de ce genre

Annie me demande d'être franc, à savoir, si c'est pour elle ou pour Marie que j'ai bondi pour les défendre, j'ai dit toutes les trois, mais quand j'ai vu cette ordure te frapper, j'ai vu rouge, j'ai préféré prendre les coups plutôt que te voir en prendre, elle allait me dire que j'ai été courageux, je l'arrête en disant, non, ce soir-là, j'étais suicidaire

Je lui pose une question à mon tour en lui demandant d'être franche aussi, si depuis nos dernières sorties, elle le fait exprès de s'habiller moins sexy en demandant à Marie de l'être plus, elle répond "je croyais que les hommes ne remarquaient jamais cela", comprenant la raison, je lui réponds et lui jure que Marie n'a rien à se reprocher

Ne pouvant pas lui dire la vraie vérité, je lui dis la même chose que l'autre fois, elle me dit qu'il y a autre chose, je lui dis non, l'effleureur et sa femme vont ensembles, il gagne bien, il est capable de la défendre, mais moi avec Marie, je fais tache, on ne va pas du tout ensemble, je gagne ma vie, mais cela s'arrête là, l'autre soir, même avec un seul de ces types, elle se faisait violer, physiquement, autant ne pas en parler, sans être nul sexuellement, au lit, je ne suis pas vraiment une affaire, moi, je dois vivre avec ça, mais elle n'a pas à gâcher sa vie pour moi

Annie en colère me dit, "mais qu'il est con, mais qu'il est con, tu crois que j'aime mon mari parce qu'il sait cogner, parce qu'il est démerdard, qui te dit que je n'aimerais pas un dandy, un gentleman, un beau gosse, j'aimerais qu'il soit tous ça, mais je l'aime pour ce qu'il est, je l'aime lui, ce qu'il ne me donne pas, je le trouve ailleurs, en moi-même, je me dis, "elle ne va quand même pas m'avouer ses parties de billard"

Mais non, elle enchaîne, "au boulot, j'ai des gentlemen bien habillés et des fois beaux gosses qui m'invitent a déjeuner le midi, ils me courtisent bien souvent, je les laisse faire, quand ils auront compris qu'ils perdent leur temps, d'autre les remplaceront et ainsi de suite, j'avais aussi, il y a quelque temps, un type qui ne se gênait pas, qui me tripotait en disant qu'il le faisait pour moi, pour me faire plaisir", comprenant l'allusion, je dis, "oui et je m'en excuse, mais je n'étais pas le seul, l'effleureur aussi"

Elle répond oui, mais lui, c'est naturel, il ne le ferait pas, on l'emmènerait aux urgences, elle dit aussi qu'elle ne déteste pas qu'on la taquine comme cela, ça prouve qu'elle a du charme, je lui dis, si toi, tu n'a pas de charme, les autres qu'est-ce que ça doit être

Je lui dis que si je ne sais pas si je suis prêt à me remarier avec Marie ou même une autre, avec elle, c'est sans hésitation, elle me redit que Marie m'aime, je lui redis que je sais, mais que je ne peux pas lui donner ce qu'elle aimerait, qu'elle a des manques que je ne peux satisfaire, bloqué parce que je ne peux pas avouer, je lui dis, tient, demande lui si les plus forts orgasmes qu'elle a eu depuis qu'on se connaît, si c'est moi qui lui ai donné, dit-lui de te le jurer sur la tête de ses parents, si elle te dit que c'est moi

rajoutant, mais tu vois, je ne lui en veux pas pour ça, je ne lui reproche pas d'avoir plus joui en dehors de notre couple, je me reproche a moi de ne pas pouvoir lui faire pareil et de savoir que si on lui demandait d'écrire les noms, de ceux qui lui ont le plus donné de plaisir sexuel par ordre décroissant, que mon nom ne soit pas le premier, ca me bouffe, et si je sais que je ne suis pas le premier, je ne sais même pas si je ne suis pas dans les derniers, et l'empêcher de vivre ses plus belles années, ça me bouffe aussi

Je sens Annie qui voudrait me dire que cela n'est pas que mon cas, mais elle ne sait pas que je sais, elle me dit "tu sais un gode, ça dure le temps des piles, c'est dur tout le temps et tu peux choisir la taille qui te plaît le mieux, personne ne peut lutter contre une machine, je lui dis que je ne parle pas de toys, de cela, je ne suis pas jaloux, de plus, je n'y suis pas jaloux, puisque c'est contre moi que je suis furieux.

Annie a beau me remonter le moral en reparlant de mon comportement a la bagarre, je lui dis que j'ai eu de la chance, si je n'avais pas tordu son doigt à temps, il m'envoyait dans le coma, si dans 15 jours, avec ce type, on se recroise, ça sera lui qui me courra après et non l'inverse, je la rassure a nouveau sur le fait que Marie n'est en rien responsable de ma déprime, que je lui indique passagère, afin de ne pas communiquer ma tristesse, je change de sujet et me force a un sourire en lui mettant ma main sur un sein

Elle se laisse faire, je fais pareil a l'autre, elle laisse faire, après avoir bien soupesé les deux, je lui dis, tu me laisses faire sans réagir, elle me dit, oui, tu n'es pas à ce que tu fais, je lui dis avec un jeu de mots "on ne peut vraiment pas te baiser", elle dit non, alors dit moi ce que tu as, çà fait des années que je te vois baver en me matant, là, je te laisse faire et plus rien, serais-je devenu moche a ce point", je lui dit le contraire, la complimente et elle me dit qu'au lieu de dire des bêtises, je ferais mieux de lui masser la nuque, la grosse gifle du sale type lui a fait mal

Sur le canapé, elle me dit de me mettre au fond et vient se mettre au bord entre mes jambes, je masse d'une seule main, avec son chemisier, c'est peu pratique, elle me dit attend, 3 minutes après, elle revient en maillot de bain deux pièces de couleur rouge, je fais wouaaaa, je l'avais déjà vu à la plage dans cette tenue, (et également au billard), mais là, chez elle et devant moi, et que tous les 2, elle se remet entre mes jambes, le fessier bien en arrière et elle se penche en avant pour que je la masse

J'étends ma zone par rapport à la première fois, allant jusqu'aux épaules, je lui dis "ça va mieux", elle répond "toi aussi", bien sûr, elle sent bien que le masseur succombe, je m'excuse en tentant de me reculer, elle me dit non reste comme ça, continu, si tu sais te tenir, je continue a masser, a bander, je m'excuse a nouveau, elle me dit qu'elle déprimerait si elle ne sentait pas mon érection

Du cou, je suis passé aux épaules puis au dos, elle avait baissé ses bretelles de sg sur ses bras pour dégager ses épaules, je masse ou plutôt je caresse la nuque, les épaules, les bras, le dos, comme je m'étends, forcement les bretelles des bras et l'attache du dos roulent sous ma main

Après plusieurs passages sur ces bouts de tissus, elle me dit "es-tu capable, de ne pas profiter de la situation si je défais mon haut", je lui dis, "non, mais je vais tout faire pour essayer", Annie n'a jamais eu froid aux yeux, elle me dit, "comme tu es sérieux, dégrafe le quand même", la gorge nouée, je dégrafe et le lâche, son sg tombe au sol, je lui dis dommage qu'il n'y a pas de miroir, elle répond continu a masser, je masse à nouveau en m'étendant de plus en plus, en fait, je caresse bien plus que je masse

J'arrive à sa hanche, tout le dos, le devant des épaules, je contourne le sein, je tente un petit bisou sur son dos, en disant que je n'ai pas résisté, elle ne dit rien, j'en retente un autre plus appuyé, sans réaction négative, j'embrasse chastement son dos à plusieurs reprises, je ne me cache plus a lui faire sentir mon sexe dur, j'en suis a me frotter, je lui dis pardon, mais je......, y'a pas de mal dit-elle, je lui dis, tu as vu, je suis sérieux, elle dit "oui, ..........., " un oui incertain

Depuis que je suis cocu, j'ai eu des filles pour l'hygiène et surtout pour rendre la pareille, mais ces filles-là, même si elles étaient gentilles, que je les respectais, je me jetais dessus pour leur cul, Annie, c'est une femme que je respectais et aimais (même, encore maintenant), après le dos, j'embrasse son cou, sa réaction est très positive, je lui dis est-ce que je profite de trop en faisant cela, elle dit non

Contre toute attente, elle me dit, "tu as quelque chose qui te gêne là (elle donne un coup de fessier pour m'indiquer l'endroit), je dis oui, je vais essayer de me calmer sinon je risque de........, elle me dit" chiche", je lui dis si tu m'encourage, je te préviens que je ne vais pas résister, elle répond, si tu me dis ce qui se passe, je te laisse faire

Je dis, "Annie, je te l'ai dit déjà", elle reprend en disant jure moi que Marie n'est pas concernée, je lui dis, elle est forcement concernée, mais n'est pas responsable, je n'ai rien à lui reprocher, enfin a part ce que tu sais, mais cela est de l'histoire ancienne, j'ai fais un trait la dessus, je ne lui ai pas pardonné, mais je ne remets plus ça sur le tapis, d'ailleurs pour ce qui s'est passé, je suis autant responsable qu'elle, notre couple s'endormait, elle, au lieu de me réveiller en me secouant l'épaule, elle m'a réveillé avec un grand coup de marteau sur la tête

Marie m'a trompé parce que je n'étais pas a la hauteur de ses attentes, elle a été cherchée ailleurs ce que j'étais incapable de lui donner, même si elle a parié sur un tocard, les faits sont là, et je ne peux que le constater, elle m'aime, je le sais, mais je ne lui donne pas satisfaction sexuellement, elle est trop exigeante pour mes capacités, elle n'y est pour rien, et moi, je suis incapable de plus, je n'y peux rien non plus, et c'est parce que je l'aime aussi, que je me pose la question de lui rendre sa liberté pour avoir mieux que moi

En colère, elle remet son haut sur ses seins, se lève en se retournant en disant, "mais qu'il est con, tu es vraiment bête, tu sais", j'admire Annie pendant qu'elle m'engueule, et je découvre son bas de maillot, complètement taché entre les cuisses, elle voit que je l'ai vu, elle me dit, qu'est-ce que tu crois, puis va se changer, en revenant en jogging, elle s'excuse de s'être emportée, je lui dis qu'elle a eu raison

En disant ensuite, tu as vu ce que le nul que tu es, a réussi à me faire faire, hé bien, je peux te dire que si mon mari était venu me faire les mêmes gestes que toi, je ne serais pas allé me changer, et ça veut dire quoi, que tu es plus performant que mon mari, je dis que cela m'étonnerait beaucoup, et bien, tu vois dit elle, un mari, c'est un coureur de marathon, les autres hommes sont des coureurs de 100 mètres, ha bien sûr, s'il démarre en même temps, le coureur de 100 mètres en jette, il est beau, il a fière allure, mais on sait qu'au terme de ces 100 mètres, on va trouver quelqu'un de poussif

Le marathonien, lui continuera, la vie, ce n'est pas un 100 mètres, c'est un très grand marathon et si on aime celui-ci, il est vrai qu'on peut avoir envie des fois de s'amuser sur une centaine de mètres, c'est vrai aussi que sur le dos du coureur de 100 mètres, elle a été plus grisée que sur le marathonien, mais est-ce que cela fait du marathonien un nul pour autant, non, car après ces 100 mètres, elle voit quoi, une loque qui aura du mal à refaire la même chose ?

Je lui dis, je le sais tout ça Annie, c'est valable dans les deux sens, c'est pareil pour nous, mais ma détresse, c'est que je prive Marie de plusieurs coureurs de 100 mètres et que je ne peux pas le lui accorder, car je n'ai pas envie qu'en prenant le départ, le coureur de 100 mètres, termine sa course avec elle a alors que moi, il me reste 50 mètres à parcourir pour les rejoindre et qu'une fois a sa hauteur, elle reprenne un autre coureur qui me met encore 50 mètres dans la vue et ainsi de suite

Ça ne m'intéresse pas d'avoir la carotte devant moi tout le temps de la course en sachant qu'a l'arrivée, ils me l'auront mise dans le cul, je préfère devenir un extra pour Marie, même si ce n'est qu'un ridicule extra et que tous les 6 mois, qu'être le mari qui lui fourni le minimum tous les jours

Je veux bien être le coureur de 100 mètres, mais pas le marathonien, Annie me dit, nous le seul que l'on aime, c'est le marathonien, je dis oui, je sais, mais le plaisir supérieur, c'est le coureur de 100 mètres qui vous le donne, Annie ne sait plus quoi dire, elle s'est calmée et se rassoit à côté de moi

Je lui dis qu'il est dur pour un homme qui aime sa femme, de se dire que je ne suis que celui qui ne lui donne qu'un plaisir dérisoire alors que d'autres lui en donnent des plus intenses, Annie me dit attends, je reviens, elle s'est changée à nouveau, elle revient avec un nouveau maillot, bleu ciel cette fois, on reprend dit-elle, tu veux, je lui dis, tu proposes la vue à un aveugle, je recommence a la masser, je l'embrasse directement, j'ai la même réaction érectile, elle le sent, elle me demande de retirer son haut, je m'exécute et une fois qu'il est a terre, elle me dit, voilà, on en était la tout a l'heure

Je dis oui, tout en l'embrassant, elle me dit, voilà, on court un 100 mètres, mais dans cette même position, je t'interdis juste le tissu que je porte et mes lèvres, je lui dis que dans le pantalon, ça m'oppresse, elle se lève en disant " je ne me retourne pas, met-toi a ton aise", je retire mon pantalon et baisse mon boxer, elle se rassoit en disant, c'est mieux comme ça, je l'embrasse sur les épaules, le cou, je regrette d'avoir une main inutile, je passe la gauche par dessus son épaule gauche, je lui dis, il n'y a qu'en bas qu'il y en a du tissus, elle répond oui

Je lui attrape un sein, elle gémit en disant, oui continu, je lui dis que je risque de tacher son bas de maillot, elle répond, si tu ne le fais pas, ça me vexera, je me masturbe sans me toucher, juste en faisant rouler mon gland entre mon ventre et son dos, j'embrasse Annie dans le cou, sur la joue prés de lèvres, je lui tripote le sein a même la peau et en même temps, je me masturbe sur sa peau du dos, elle me dit, ne me fait pas de suçon surtout, connaissant un peu ses goûts, je lui pince fermement un téton, elle retient un gémissement, je pince l'autre pareillement et lui dis que Marie aime cela aussi, je recommence et je la sens qui bouge son bassin

J'ai envie de la traiter comme j'ai entendu chez l'effleureur, mais je ne veux pas qu'elle se doute de quoi que se soit, je n'en reviens pas, Annie là avec moi, dans mes bras, ou plutôt dans mon bras, en train de l'embrasser, de la peloter, de surement la faire mouiller encore, je lui dis que je ne vais pas tarder à me lâcher, ne voulant pas "grogner à son oreille, je met ma tête derrière elle, mais elle me dit, en penchant sa tête sur le côté, "reste, je veux t'entendre"

Ses désirs sont des ordres, je l'embrasse et je lui dis que ça y est, que je viens, elle donne des coups de bassin et je jouis en le lui disant, on balance en cœur nos bassins, après cette frénésie, on se calme pour se reposer un peu, puis vient le temps de se remettre en tenue décente, elle se lève, se tourne vers moi, je vois ses seins, même si je les ai déjà vus à la plage, ici, ils sont pour moi seul

J'admire son corps et vois que son maillot est encore plus trempé que l'autre, elle a joui aussi me dis-je, ou alors elle a été super excitée, elle me dit d'aller à la salle de bains, pendant qu'elle va à la deuxième, j'ai taché un peu mon boxer, j'ai le ventre plein de sperme, je me nettoie avec un gant de toilette, j'entends Annie se doucher

De retour sur le canapé, je réalise ma chance d'avoir réalisé la moitie de mon rêve, elle me rejoint ensuite et me dit, voilà, nous avons fait un 100 mètres, j'aime toujours autant mon mari, s'il avait été à ta place en me faisant exactement ce que tu m'as fait, je n'aurais pas mouillé mon maillot, te sens-tu supérieur a lui parce que tu m'as fait mouiller d'une façon ou lui en aurait été incapable en faisant pareil

Je réponds bien sur que non, elle continue en disant, avec Marie, aurais-tu eu autant de plaisir à lui faire la même chose, je réponds que je n'aurais pas voulu faire comme cela, j'aurais voulue autrement, plus hard, elle me dit "hé bien tire en les leçons", ce soir, quand mon mari va me baiser, je n'aurais pas avec lui une excitation aussi forte, mais comme je l'aime, cela compensera au de là du simple plaisir sexuel, Marie est quelqu'un de bien, qui t'aime, ne la fait pas souffrir en croyant que tu n'en es pas capable

Si tu lui demandais, qu'elle choisisse entre l'amour pour toi ou des orgasmes torrides avec d'autres, elle te choisira, et si tu la laisses avoir des plaisirs de coureur de 100 mètres, elle t'aimera davantage, sache que je vais dire a mon mari qu'on a pris du plaisir ensemble, quand elle me dit ça, je me vois déjà à la morgue, elle rajoute, "t'inquiète, je ne lui donne jamais de détail, et il ne te dira rien"

Si on recommence, je ne le lui dirais plus, par contre, jamais un mot la dessus, sauf si lui, il en parle, maintenant, tu vas rentrer, accueille là quant elle arrive chez vous, ça lui fera plaisir plus qu'un cadeau, la bise avant de partir et elle me dit, "la prochaine fois que je viendrais, j'espère que je serais taquinée, j'adore me débattre

Je suis ses conseils, j'ai compris le message, même si je ne l'accepte pas, je suis celui qui ne la fait grimper que sur une chaise et c'est un autre qui l'a fait grimper sur une table, là, il s'agit d'un billard, j'ai vu ce qui excite Marie comme Annie, mais ce n'est pas mon truc, les frapper, maltraiter, ce n'est pas ma déviance, l'effleureur me disait que la soumission ne fonctionne pas dans un couple, pour Marie, c'est donc inutile

Je pourrais me forcer pour avoir Annie, mais je ne serais qu'un mauvais acteur, ajoutant ainsi une ligne supplémentaire au CV de mes médiocrités, en ce qui me concerne, j'ai du plaisir avec les filles rencontrées par-ci par-là, mais j'en ai bien plus avec Marie, Annie quant à elle, je ne la compte pas , être une heure en sa présence a ne faire que de discuter sans rien de sexuel, me plaît bien plus qu'une journée de baise avec une de ces filles éphémères qui comptent leur amant au kilomètre de bites

Marie sait ce qu'Annie représente pour moi, elle n'en est pas jalouse, elle m'a dit cette femme est super amoureuse de son mari comme elle, l'est de moi, ce dont je doutais à l'époque, a ce moment-là, je me disais, comment peut-elle être amoureuse de moi, et s'envoyer en l'air avec un autre, aujourd'hui, je me dis, comment peut-elle être amoureuse de moi, alors que c'est un autre qui lui donne le plus de plaisir, j'aime Marie maintenant, a un point que si elle me quittait pour un autre, je lui souhaiterais bonne chance

Mais si Annie, m'avait dit qu'elle m'aime et voulait vivre avec moi, il fut un temps, j'aurais peut-être quitté Marie, mais plus maintenant, je l'aime trop pour l'obliger à me supporter, un des premiers copains, dans les 6 premiers mois où je côtoyais Annie, que je ne citerais pas ici, disait, Annie, tu verras, quand elle te demandera quelque chose, de lui dire non, te fera plus de mal, que si son mari te tabasse, j'avais entendu des récits de ses exploits à la bagarre, j'avais répondu "heu, quand même pas" hé bien si, a cette époque, j'aurais risqué d'être tabassé, si elle me disait vouloir vivre avec moi

Et pourtant, le mari d'Annie, ce n'est pas un tendre (sauf avec Annie)quand on le cherche, il ne compte pas le nombre d'adversaires, il tape plus fort les premiers pour entamer le décompte comme il dit, quand on cherche l'effleureur, on lui met une claque, il en rend 2 ou 3, quand on met une claque au mari d'Annie, il rend au centuple, et si son adversaire est un type qui a frappé Annie, même quand le type ne bouge plus, il frappe encore, même elle, à du mal à l'arrêter

Une fois un type, presque une armoire a glace, dans un bal de campagne avait dansé avec Annie, puis avec d'autres, mais plus tard, ce premier avait viré un de ces autres qui l'avait invité, elle dit non, et refuse de danser avec le malotru, il insiste, elle se pousse, il lui attrape violemment le bras puis avec l'autre, elle le gifle, le mufle surpris la lâche et Annie s'éloigne, le type la poursuit, la rattrape et commence a lever sa main pour la frapper, son mari qui de loin avait vu la scène arrive au même moment avec une bouteille de bière et lui enfonce dans la bouche coté cul, sans s'occuper si sa bouche était ouverte


Il lui a pété toute la devanture comme disait le copain qui les accompagnait, bien sûr une fois que la bouteille avait fait le boulot, il la ressort et cogne le type sur la tempe, le front, a la manière d'un poignard, le copain les accompagnant et Annie ont eu du mal à le stopper, ce type était connu pour un emmerdeur, profitant de sa force pour foutre le bordel dans les bals, la femme du copain a entendue, "bien fait pour lui"

Lors de sortie, j'avais vu Annie danser avec des types, qui ne se gênaient pas, ils la tripotaient discrètement, et elle ne disait rien, en dansant avec, je la tripotais aussi discrètement en disant "tu n'as pas peur qu'il défonce les types" elle m'avoua, il le sait, c'est juste de me taper ou me forcer qu'ils n'ont pas le droit, en disant être rassuré d'avoir ce privilège, je lui dis que pour la frapper, même pas en cauchemar, cela ne m'est venu à l'esprit

Le mari d'Annie, c'est l'image même de l'extrême, on peut lui dire ce qu'on veut, il ne se fâche pas facilement, on peut plaisanter sur tout, même se moquer de lui, toujours a plaisanter, rarement sérieux, si on le cherche, il fait mal, mais si on frappe Annie, là, le type, c'est comme s'il avait craqué une allumette dans une citerne d'essence

Son mari connaissait mes sentiments pour Annie, lors de son anniversaire, j'étais celui qui lui faisait le plus beau cadeau, c'était démesuré dit-elle, je ne dirais pas le prix ici pour ne pas qu'elle le sache, même Marie n'avait pas autant avant qu'elle me trompe, mais elle en avait plus souvent, par contre, depuis que je savais avoir été cocu, ni noël, ni anniversaire, je lui disais, ce sont les amants qui font les cadeaux, pas les maris

Au deuxième cadeau, son mari m'avait pris à part et m'avait dit, je sais tes sentiments pour Annie, je les comprends, mais reste dans la moyenne de tout le monde, moi ça me gêne, elle, ça la gêne aussi, depuis, je m'étais raisonné, ça ne m'empêchait lorsque nous y étions invités, d'arriver chez eux avec un bouquet de fleurs aussi beau que ce que Lucien offrait a Marie

À suivre
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Vengeance heureuse d'un cocu 8

Le 22/07/2015 - 16:08 par bill_99
J'ai bien reçu les 2 vôtres dans mon mail. Il faudrait me donner votre mail dans un message privé pour que nous puissions échanger des fichiers.
Le 22/07/2015 - 13:29 par annizette
pour bill_99, non je n'ai pas recu votre message dans ma boite mail, je vous en ai envoyé un également, apparement ça ne fonctionne pas, je vais retenter
Le 22/07/2015 - 10:47 par bill_99
D'accord, je vous ai envoyé un message privé...l'avez vous reçu ?
Le 17/07/2015 - 12:30 par annizette
merci aussi a bill_99, l'histoire est celle d'Henri, mais l'écriture est de moi, ainsi que les fautes hélas, même passées aux correcteurs, comme je pense l'avoir déjà dit, Henri lit aussi les commentaires, je ne peux donc pas dire du mal sur lui (je plaisante),Henri est un type bien, et je suis fière d'être son amie. Pardonnez a l'amatrice que je suis, le manque d'aération du texte, pourtant déjà aéré, et aussi la ponctuation et l'orthographe, vous devez vous doutez du nombre d'heures passé a écrire ce qu'il me raconte, la relecture ensuite, la mise en texte, la reconstruction des phrases, l'insertion d'anecdotes oubliées, nos discussions sur l'ordre ou les choses se sont passé, et aussi nos désaccords pour raconter certains passages qui ne sont pas agréable a lire mais indispensable pour être dans le contexte. Je serais d'accord pour vous donnez le prochain chapitre a corriger (le 10 car le 9 est déjà en attente), regardez si vous pouvez me contacter sur ma boite mail, en me rappelant la raison, car j'ai beaucoup de spam
Le 17/07/2015 - 12:13 par annizette
merci a Arsènne d'être fan, en effet, chaque mot a son importance, car même si cela ne se sent pas, j'ai condensé, les précisions tiennent du fait qu'on se rappelle a deux des scènes, Henri dit que je booste sa mémoire, le rappel d'une chose, fait se souvenir d'une autre et ainsi de suite, sans donner la suite, je dirais juste qu'en ce qui concerne nos deux couples, a ce jour, tout va bien pour nous. Comme disait De Funès de Bourville dans le corniaud, "alors moi,il m'épate, il m'épate", lorsqu'Henri avec courage, m'a raconté ses indiscrétions me concernant, il m'a mise mal a l'aise au début, et m'a raconté ses débuts, les parties dont je ne savais que la partie visible de l'iceberg, apprenant tout cela, j'ai proposé d'écrire son histoire, je reconnais que je l'ai un peu forcé au départ mais maintenant il me dit que j'ai eu raison, nous apprenons l'un sur l'autre certaines choses que nous n'avions pas su ou vu a l'epoque
Le 17/07/2015 - 10:46 par arsenne
Je poste à nouveau. Je suis également accroc de cette histoire. Je prends du temps pour l'aménager. Chaque mot a son importance et nous intègre au sein de ce couple dont on a l'impatience de connaitre le devenir. Ne nous laissez pas dans l'attente trop longtemps.A
Le 16/07/2015 - 20:51 par bill_99
Bravo Annie ou Annizette, quelle histoire haletante et bien écrite (je parle des huit chapitres publiés à ce jour) ! j'ai un peu de mal à croire qu'il s'agit d'une histoire vraie tant elle se lit comme un roman, mais peu importe, bravo à Henri aussi. L'amour, l'amitié et le sexe s'entremêlent, continuez comme cela, j'espère qu'il y a une suite. Certaines scènes sont vraiment très bien écrites et très touchantes (Henri qui s'agenouille pour pardonner à Marie) ou très excitantes (le trio avec Madame ... entre autres). Je suis donc un lecteur admirateur. Une remarque : la lecture est redue parfois difficile par l'orthographe et la ponctuation chancelantes. Pour me faciliter la (re) lecture, j'ai repris les 8 chapitres et ai un peu aéré et corrigé ce que je pouvais ... je peux vous envoyer le fichier Word si cela vous intéresse. En tous cas, je suis à votre disposition pour correction. Mais quel style !

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