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Agence de mannequinat

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Lue : 3392 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/10/2014

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A tout hasard je me présente dans une agence de mannequin. Je profite de l'ouverture d'ici un mois du salon de l'auto. On me promène pour finalement me faire passer des épreuves.

Le jour dit je suis pile à l'heure. L'hôtesse me fait entrer dans l'antre de la boite. La dirlo me regarde dans tous les sens. Elle me fait tourner sur moi-même plusieurs fois.
-Vous me plaisez. Enfilez cette robe, sans rien d'autre et revenez me voir.

Je peux profiter d'une pièce pour me mettre en tenue. Zut, il fut que je me change à nouveau pour enlever mes sous-vêtements. Pourquoi ?

Enfin je suis présentable. Cette fois, je plais à la dirlo. Je tourne encore deux ou trois fois.
Elle m'engage à cause de mes yeux bleus.
Je suis un stage de formation accéléré de deux jours avec d’autres filles aussi effrayées que moi. On nous montre comment se tenir près d'une voiture, sourire toujours, ne pas se laisser draguer. Le plus dur, rester plusieurs heures sans presque bouger. En cas d'urgence, style pipi il faut tenir, prendre ses précautions avant. Un enfer se prépare. J'ai besoin de sous alors je suis les consignes : je suis engagée. Pour 250 euros par jour, je me laisse faire.

Le vendredi soir avant le salon la dirlo me téléphone, elle a besoin urgent de moi dans la soirée. Ce sera payé. Parait.
L'ennui est qu'il faut que je fasse 50 kilomètres pour la rejoindre. C'est l'avant-propos de mon futur job provisoire.
J'arrive vers 22 heures sans mettre tromper dans la circulation. Nous sommes outre la patronne deux autre filles comme moi.

Je dois tenir compagnie à deux hommes importants, des hommes d'affaire étrangers en plus. Je parle couramment l'allemand, moins bien l'anglais et l'espagnol. Quant à l'Italien : niente, capiche ! Le seul avantage que je leur trouve est la politesse comme le sont souvent les allemands.
Ils demandent de visiter le Paris chaud ! Ah, voilà autre chose. Je connais très mal Pigalle, tout juste la place Blanche. Je demanderais sur place.

Je pensais m'en sortir en leur montrant des vitrines, des prostituées, des sex-shops. Ils veulent voir ça, ils veulent visiter des boites de nuit. Je passe la moitié de ma nuit à entrer et sortir de boui-boui plus ou moins miteux, bien loin des mêmes lieux de saint Pauli à Hambourg. Ils sont un peu déçus. L'un deux me demande si je ne serais pas d'accord pour lui faire les spécialités de Paris.

Allez savoir qu'elles sont les spécialités locales ?
Ils ne veulent pas monter avec des prostitués, fille ou garçon. Ils veulent visiter un sex-shop. Bon entrons. Ils regardent tout en détail, depuis les DVD jusqu'au godes. Un des deux me demande si j'ai un gode. Là, je rougis. Bien sûr que j'en ai un, même deux pour les contacts que je peux avoir (hélas pas souvent avec des jeunes femmes).
Il me propose d'en acheter un nouveau : il est du style Rabbit. Je mouille de désir d'avoir enfin un bon gode perfectionné.

Il le fait envelopper, le prend dans sa poche de manteau. Zut, je pensais qu'il me le destinait. Tant pis. En sortant du magasin il me donne le paquet, je peux m'en servir pendant que nous sommes dans un café.

Nous sommes assis au fond d'un bistro, il tient absolument à ce que j'enlève mon string. Je comprends son achat et mon déshabillage partiel. Il désire que je me masturbe devant lui. Sans trop me faire remarquer, j'arrive à ôter mon sous vêtement. Je le lui montre. Il se penche sous la table pour voir ma chatte. Il me donne envie de me masturber, là devant lui. Sans pudeur je prends le gode, j'ouvre les jambes. Il se penche encore pour vérifier que je vais bien me branler.

Maintenant je pose le bout du gode dans ma chatte, je ne force même pas pour me baiser. Je suis bien appuyée au dossier, ma main seule me suffit pour me faire du bien. Son regard m'excite encore plus, même s'il ne regarde que mon visage. Je ne tiens pas longtemps : je soupire fortement en ayant cet orgasme imprévu. Je dois prendre le paquet pour me souvenir d'eux qui rentrent à leur hôtel
Et moi je dois être au salon de l'auto dès le début de matinée.
Chez moi, il me faut un cours instant pour être présentable.

Je suis à mon poste, le gode encore dans le sac. Je ne fais que pense aux plaisirs que je vais me donner. Dès la première pose, je vais aux toilettes, je sors le gode qui sent encore ma cyprine. Tant pis, je le mets en moi. Je me masturbe à fond deux fois.

Je revois rapidement les deux filas qui étaient avec moi chez la directrice. Elles aussi ont servi d'appas pour de visiteurs de marques, sauf qu’elles ne se sont pas séparées. C'est à deux qu'elles ont baiser leur « client » en gardant un souvenir émues leur relations saphiques. Elles sont prêtes à me montrer leurs nouvelles façons de jouir entre fille.

J'ai rendez-vous la semaine prochaine avec les deux nanas. Je sens que je vais passer une soirée spécialement chaude.
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Histoire de fabrissa

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