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Au bon goût d'animâle

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Lue : 10319 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/11/2009

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Depuis ce fameux After à quatre orchestré par Tanguy, nous n’avons pas cessé de nous voir, en cachette de mon petit ami, pour franchement nous envoyer en l’air. Parfois il nous arrive d’être à quatre ou même trois, mais le plus souvent Tanguy et moi nous retrouvons à deux. Nous prenons tous beaucoup de plaisir à jouir ensemble. Je ne sais jamais à l’avance combien nous serons. Nous nous voyons toujours à la demande de Tanguy qui me sollicite à raison d’une à trois fois par semaine. Je vois seulement son prénom s’afficher sur mon portable et un frisson de désir me parcoure tout le corps, mes seins pointent, je me sens humide et ma chatte remue comme la bouche d’un affamé sous le coup de l’excitation. Il sait qu’il me tient par le bas du ventre. Il en joue. Il me raconte parfois ces coïts avec d’autres. Il sait le double effet que ça a sur moi. Je suis excitée d’une part, et je veux absolument lui démontrer que je vaux largement ces autres filles. Alors je me soumets complètement à ses désirs.

Comme tous les week-ends nous avions rendez vous à la boite de nuit où nous nous sommes rencontrés. Ce samedi là, mon petit ami voyait d’un mauvais œil que je sorte encore et surtout dans des tenues de plus en plus sensuelles. Je lui répondis simplement : « danser pour moi c’est un besoin, et si je m’habille légèrement c’est pour être à l’aise dans mes mouvements »… Il n’y croyait pas, moi non plus. Des vêtements aussi serrés que mon bustier, en coton et dentelles noirs menaçant de craquer sous la pression de ma poitrine volumineuse n’apprêtait pas à l’aisance. Quant à ma jupe fluide en voile noire, elle, n’était mise à l’amende que par sa quasi transparence et par le fait quelle épousait mes courbes à merveille. Elle ne drapait ma cambrure et la ligne de mes fesses que pour mieux les révéler. « Ce n’est pas plutôt pour chauffer les mecs ?! » rétorqua-t-il réprobateur.
- J’aime être sexy, aguicher, me sentir désirable comme toutes les femmes… mais je reste toujours avec mes amies, de plus, la boite n’est fréquentée que par des habitués ! Je ne vois vraiment pas pourquoi tu te poses tant de questions. Essayai-je maladroitement de me justifier.

- Reste avec moi… me souffla-t-il en essayant de m’avoir par les sentiments. Il passa ses bras autour de ma taille, posa des mains de conquérant, de fier propriétaire… sur mes fesses, qu’il maintint fermement. Il ne me regardait pas. Il passait lentement ses yeux de mes seins à ma bouche. Caressait ma chatte l’air de rien de son entre jambe, dont je n’arrivais plus à me contenter… Il m’adressa finalement un regard rempli de désir : reste, je vais te baiser tellement fort que le voisinage t’entendra hurler de plaisir…
- Non, je vais danser. Je me défaisais de ton étreinte sans ménagement. Le samedi c’était à moi ! Je continuai : tu m’as connu je dansais déjà et je ne t’ai jamais donné de raison de douter de moi. Je fis mine de ne pas voir sa déception, je ne le regardais plus. Je l’embrassai fugacement en lui disant je t’aime et me retrouvai déjà dehors.

Je calmerais ses reproches au petit matin avec une fellation et un bon petit déjeuner. C’est notre rituel dominical. Je suce sa queue avec l’énergie de la culpabilité et je me soulage la conscience en lui procurant un plaisir constant. En effet, je consens à faire l’amour avec lui à chaque fois qu’il le demande, et j’aime toujours autant, sinon plus. Seulement, j’aime aussi me faire prendre par Tanguy et ses deux acolytes. J’adore leurs grosses queues, et la rudesse avec laquelle ils s’occupent de bombarder mes orifices. Leurs queues et le peu de manière dont ils font état ont un effet hypnotique sur moi. C’est comme une drogue. Quand je n’ai pas eu ma dose je suis irritable, j’atteins un degré de frustration maximal. Dans ces moments là je me jette comme une déjantée du cul sur mon petit ami Guillaume et j’insiste pour qu’il me sodomise pour être sure de la sentir passer. Sans compter que c’est Guillaume qui m’a fait adorer la pénétration anale dès les débuts de notre relation. Il me lèche longuement l’anus, me doigte, me lubrifie et passe d’abord son gland. Il explore véritablement mon anus avec son gland, puis introduit sa queue par à coups. Quand enfin elle est complètement en moi, il m’oppose un va-et-vient plus énergique, plus profond, plus intense. Tout simplement jouissif. Il est un très bon amant, caressant, attentionné et sûr qui compense ses « manquements » par une infinie tendresse, et une connaissance précise de mes zones érogènes.

Avec Guillaume j’ai une relation complice et fiable, et avec Tanguy c’est une relation surprenante et ô combien torride qui tend vers ma soumission à tous ses désirs comme à ceux de ses acolytes. Je peux dire que j’ai trouvé un certain équilibre dans ces deux modèles de relations. Je ne suis pas en mesure aujourd’hui de me suffire uniquement d’un de ces modèles. Je suis véritablement amoureuse de Guillaume, j’aime faire l’amour avec lui, on se donne l’un à l’autre, j’aime le sentir venir ce qui n’est pas possible avec un trop gros membre, où il n’y a pas ou peu de partage possible, on joui chacun à son tour (encore que je constate ce manque de partage sans compter qu’avec Tanguy on a toujours fait que baiser. Mais si je faisais l’amour avec lui j’aurais l’impression de tromper Guillaume et ce n’est pas mon envie. Pas plus que Tanguy n’a montré d’envie de me faire l’amour.), et puis avec Guillaume quelque soit la position on peut y aller à fond : quand je suis couchée sur le coté, que Guillaume se tient sur ses genoux face à ma grotte avide et qu’il me pénètre énergiquement en me maintenant la jambe du haut en l’air les sensations sont prodigieuses ; et, j’aime le sexe avec Tanguy et les deux autres, j’aime l’ascendant qu’il a sur moi, j’aime sentir un gros pénis me pénétrer, me remplir, m’élargir, enfin, j’aime me voir dans tous ces miroirs du studio de Tanguy être empalée de partout… je pense alors : toutes ces queues si grosses qui feraient des jalouses rien que pour moi ! Pour mon plaisir !

Arrivée seule à la boite comme c’est plus fréquemment le cas, mais pouvant toujours compter sur la couverture de mes amies, je balayai la foule du regard, à la recherche de mon bel amant. Il était dans le carré VIP. Il serrait une rousse d’un mettre soixante dix au moins. Il la tenait par derrière comme il le faisait avec moi quand nous dansions le soir de notre rencontre. Elle était cambrée au maximum, elle lui enlaçait le cou de son long bras squelettique. Elle a des jambes interminables écartées en signe d’invite. Tels des siamois ils remuaient érotiquement en cadence. On eut pu dire qu’il la prenait là dans l’ombre du carré VIP. Je m’approchai timidement, et jalouse il faut le dire, je montai les trois petites marches qui me permettaient de me retrouver à leur niveau. Elle est plus grande que moi, elle semble avoir un cul presque aussi diabolique que le mien, et, même si j’ai des seins plus gros, elle était arrivée vraisemblablement avant moi !

Tanguy salua mon arrivée d’un large sourire. Il tendit son bras vers moi, en émir d’un harem, plaça une main derrière ma nuque et ramena mon visage près du sien, je me laissai faire et mon corps alla naturellement à lui, il posa des lèvres voraces et chaudes sur les miennes pulpeuses et glossées et il glissa sa langue au plus profond de ma bouche. Il relâcha son étreinte pour mesurer l’effet de son baiser, m’observait alanguie et désireuse de prolonger la mise en bouche : « bonsoir ma jolie princesse » me dit-il en s’arrachant à mes mains qui s’étaient déjà agrippés instinctivement à son bras. Il me détaillait longuement semblant approuver ma tenue. Il me caressa les fesses à travers le tissu léger de ma jupe, il descendit sa main le long de mes cuisses, souleva ma jupe, me caressa les cuisses, remonta jusqu’à la raie de mes fesses d’où s’engouffrait déjà deux doigts, il écarta mon string, se fraya un chemin jusqu’à ma douce intimité, il titilla mon clitoris de son index et son majeur, récupéra ma cyprine avec son pouce qu’il logea directement au fond de mon anus, simultanément il enfonça son index et son majeur dans mon vagin, faisant balancer sa main il remuait ses doigts en moi, ce qui m’arrachait des gémissements de félicité, il arrêta son mouvement exquis, pétri mes fesses avant de reposer sa main sur les hanches de sa rousse. Il s’enquit sadique face à la plainte contenu dans mon dernier gémissement, de le voir s’arrêter là : « humm toujours aussi bandante et chaude… laisse moi la finir et on s’en va ». Je compris l’expression « laisse-moi la finir » en baissant les yeux.

Elle avait la jupe relevée, lui la braguette ouverte et je voyais très distinctement son énorme engin sortir et disparaitre en elle. Et c’est vrai que de plus près on n’a pas le moindre doute. Il la baisait et l’autre salope rousse semblait à son aise sans se soucier de ma présence ni de celles des autres qui pouvaient, comme moi, s’apercevoir du spectacle pornographique qu’ils offraient. Il souri devant ma stupéfaction et mon air il faut l’avouer… dé-pi-té ! Il ne délaissait plus mon regard, ne se souciait plus du rythme de la musique, à l’attitude qu’il avait je devinai qu’il la baisait brusquement si fort, et au risque d’être repéré, pour son plaisir à lui et elle et parce que j’étais là… probablement, pour me donner de quoi mater et être en appétit. Comme si j’en avais besoin ! Il avait une spectatrice de choix alors il y allait franchement. Elle ne gémissait plus, sûrement de peur de hurler car elle se mordait les lèvres, laissait sortir des sons étouffés de sa gorge, elle salissait de son jus la capote qui enveloppait le membre de Tanguy, elle se payait incontestablement un orgasme là sous mon nez ! Il la pénétrait de plus en plus vite, de plus en plus profondément et sa jupe se soulevait, laissant entrevoir les fesses rebondies et ferme. Ses hanches et ses fesses étaient secoués par les assauts abrupts de Tanguy. Il ne la ménageait pas.

Tanguy est un baiseur… quand il tient une fille, il la ramone avec puissance et vigueur. Il vit pour baiser et il baise pour vivre. J’ai compris un jour en nous observant dans le miroir : j’étais à quatre pattes devant lui sur le grand lit du studio, que dis-je… de son baisodrome comme il l’appelle lui-même ; il ne me baisait pas ce jour là, il me défonçait ; j’étais extrêmement extasiée ; il faisait aller et venir sa queue en moi avec une amplitude je voulais absolument le regarder faire ! Je compris comme une évidence que sa queue le fait exister. Je ne peux rien partager avec cet homme. Il est concentré dans l’introduction de son pénis dans un orifice. Il avait son terrible chibre qui me fendait littéralement et moi j’étais fascinée par l’image qu’il m’offrait de lui, de moi en victime offerte en holocauste à cette bête de cul. Il glisse sa queue en vous, il vous pénètre de son être. J’adore sentir sa queue me posséder mais je me dis qu’avec une queue pareille on l’imaginerait difficilement l’amant d’une seule personne… oui, Tanguy baise aussi des hommes. Son charme exotique, son physique imposant et naturellement musclé, son assurance, son style chic décontracté plaisent incontestablement, et pas exclusivement à la gente féminine. Il m’a dit le nombre d’hommes qui le paient des sommes toujours plus scandaleuses juste pour le sucer et se faire enculer.

Tanguy fait aussi payer les femmes mûres. Celles qui l’attirent, comme moi, ne paient pas. Du reste Tanguy pourrait parfaitement vivre de son salaire de gérant d’une boîte de Telecom, mais il a appris à vivre en incluant ces à-côtés à son train de vie et son goût prononcé pour le faste et la luxure.

La rousse ne desséchait pas sous les coups de butoirs vigoureux de Tanguy, au contraire, sa mouille perlait le long de ses cuisses, de ses jambes. Je me surprenais, en tant qu’hétéro sûre, à ressentir l’envie soudaine de m’accroupir et de boire son jus, de la sucer sur la tige de Tanguy, de me caresser… d’être à sa place, même si la fougue de Tanguy avait alertée quelques curieux… quel délice ce serait d’être ainsi observée subrepticement par des personnes extérieures à cette charge animaleresque. La rousse présentait un visage crispé, déformé par la jouissance et par l’envie de se laisser aller à la vague voluptueuse à laquelle elle goûtait et de hurler tout simplement. Je reconnais cet état à force de le vivre quand je suis au bord de l’extase. L’envie de hurler véritablement, comme si hurler pouvait nous sauver de ce plaisir fulgurant, inquiétant même, toujours trop grand qui tonne dans vos reins, et fait le sang battre à vos tempes. Cette impression qu’on a d’exploser. Elle soufflait hoquetant de contentement et de souffrance, aussi, de ne pouvoir crier plus fort : « c’est trop bon, c’est trop bon, t’arrête pas… ».

Et Tanguy ne décélérait pas, il la pilonnait encore jusqu’à ce qu’elle ait un autre orgasme et il se contracta, il était sur le point de jouir à son tour. Il sorti d’elle, elle dû comprendre qu’il fallait qu’elle le suce car elle s’accroupi devant cette bête majestueusement mâle. La virilité, la puissance masculine dans la domination sexuelle me fascinera toujours autant. Elle l’emboutissait goulûment, elle l’aspirait bien jusqu’à le mettre au fond de sa gorge, et branlait d’une main le reste de la tige, qui aurait eut bien du mal à tenir entièrement dans une bouche, de l’autre lui malaxait les couilles. Sa mâchoire démesurément déformée opérait une savante succion le long de cette épaisse verge, insistait sur le gland qu’elle léchait comme s’il s’était agit d’une sucette. Elle suçait extraordinairement. Tanguy grognait plus bestialement que quand je l’ai dans la bouche. Je ne saurais dire du pénis ou de la bouche des deux amants lequel m’apparaissait plus délicieux, mais j’avais envie des deux… La tête rousse bougeait à une cadence furieuse, sa langue sortait de sa bouche, d’où disparaissait une bonne partie de la queue de Tanguy, pour le lécher en même temps. Elle suçait, branlait et malaxait tant et si bien qu’il remua, se contracta, eut des soubresauts qui m’indiquaient qu’il était en train de jouir à l’intérieur de sa bouche. Elle le suça encore béate pour n’en laisser aucune goutte. Il sorti son pénis de sa cavité buccale, elle se pourlécha le coin des lèvres comme une chienne pour récupérer le sperme qui s’en écoulait.

Ils se regardaient pendant que Tanguy remettait son boxer et sa braguette en place. La pouf rousse semblait effectivement finie, elle se leva chancelante, aidée de l’animale, manifestement ravie de cet état de faiblesse, au sourire qu’elle esquissait. Si elle pouvait encore se faire limer après ça c’était une sacrée gourmande… elle se retourna et offrit à Tanguy un baiser visiblement reconnaissant : « à la prochaine mon cœur » lui dit-elle en jetant des yeux narquois dans les miens. Je détournai la tête agacée, frustrée… de n’avoir participé et peu désireuse d’entrer dans une joute oculaire. Tanguy la renvoya soucieux, en vrai coq, de mettre de l’ordre entre ses poules… Il posa ses mains sur ma taille, comme s’il ne venait pas juste à l’instant de se vider les bourses en culbutant une pétasse rousse juste sous mes yeux ! Scrutant ma tenue, mes courbes à travers le tissu il susurra au creux de mon oreille : « Mon dieu ma cochonne tu es trop bandante ! Cette tenue c’est quelque chose ! » Il me retourna un instant pour me voir de dos : « et c’est quoi ce cul ?! Putain !!! Ça donne envie d’y mettre la queue ! Humm des cuissardes à talons hauts ma chérie… tu as fait tout ça pour moi ? ». Je me tournai vers lui et l’enlaçai : « oui, tout ça c’est pour toi… ». Il grogna de désir : « rhummm, viens on va au studio, je veux te faire ça bien ».
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