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Baby-sitter

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Lue : 19446 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/11/2012

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Avec les études qui coûtent de plus en plus cher, on n’a pas d’autre choix, à un moment donné, de se trouver un petit boulot pour freiner l’expansion de la marge de crédit. Imitant nombre de mes amis, je décidai alors de me mettre à la recherche d’un emploi qui ne requiert que quelques heures de travail par semaine. En payant mon chewing-gum à la caisse du dépanneur, j’aperçus une annonce où quelqu’un cherchait un baby-sitter.
J’ai 19 ans, je mesure 5pi10, j’ai plutôt fière allure et je suis célibataire. Que fait un beau gars de 19 ans seul? Bah c’est qu’ il est gay!
J’arrachai un bout de papier sur lequel était affiché le numéro de téléphone puis en sortant du dépanneur, je pris mon cellulaire et téléphonai.
- Robert Ford à l’appareil, répondit-il à l’autre bout.
- Oui! Bonsoir, monsieur Ford! Julien à l’appareil! Annonçai-je sur un ton joyeux. J’appelle pour l’annonce de baby-sitter! Voyez-vous j’ai 19 ans, je suis étudiant et je cherche un petit boulot. J’ai plusieurs fois gardé mes petites sœurs dans le passé, donc j’ai un peu d’expérience!
- D’accord Julien! Êtes-vous disponible à partir de 15h? J’aurais besoin de quelqu’un dès maintenant!
- Oui, tout-à-fait! Je suis libre!

Une heure plus tard, je sonnais à la résidence de la famille Ford. Une belle et grande résidence, une famille aisée. M. Ford vint m’ouvrir. Fin trentaine, il était très séduisant. Le cheveu brun foncé avec quelques brins gris, un début de barde de deux jours, des yeux verts et une allure décontractée. Il me serra la main et m’entraîna dans une rapide visite de la maison.
- Ma femme est partie à Tokyo pour deux semaines, raisons d’affaires, et je travaille à l’hôpital de soir. Nous avons 2 enfants : Martine, 3 ans, et Rebecca, 4 ans. Elles sont charmantes, vous allez bien vous entendre. Leur autobus devrait les amener ici vers 15h30 …

Pendant que je l’écoutais m’expliquer le fonctionnement de la maison et l’horaire de la famille, je ne pouvais m’empêcher de lui mater les fesses lorsqu’il marchait devant moi. Il avait l’air bien en forme, sportif et enjoué. Tel que promis, les enfants arrivèrent à 15h30, quelques instants juste après que leur père ait quitté pour le travail. Nous passâmes une agréable soirée. C’est vrai qu’elles étaient absolument charmantes!
Je ne sais trop combien d’heures plus tard, je me réveillai. J’étais étendu sur le divan du salon des Ford. Je regardai l’heure sur ma montre et il était minuit. Quelques minutes plus tard, Robert arriva. Il me salua et vint s’asseoir à côté de moi. En réalité, s’asseoir n’est pas le bon mot. Il s’est tout simplement laissé tomber sur le divan. Nous parlâmes des enfants pendant un très long moment, puis je lui dis que je devais rentrer chez moi pour être en forme demain matin à mon cours. S’excusant du temps qu’il avait pris, il me proposa de dormir chez lui et d’aller me porter chez moi demain avant mon cours. J’étais tellement épuisé que j’acceptai et m’endormis presque aussitôt sur le divan.
Le lendemain matin, je me réveillai en sursaut en entendant du bruit dans la cuisine. Robert s’y affairait à préparer le lunch des petites. Me proposant pour lui donnai un coup de main, qu’il accepta avec plaisir, je remarquai trop tard qu’il ne portait que de simples boxers. Ils étaient jaunes, moulants et mettaient ses fesses bien fermes en valeur. Lorsqu’il se retourna, je jetai un coup d’œil rapide à son entrejambes. Je faillis m’étouffer avec ma propre salive lorsque je vis sa queue parfaitement moulée dans le tissu, en début d’érection. Gêné, je détournai aussitôt le regard.
Après avoir salué les filles qui étaient montées dans l’autobus, Robert me fit signe de prendre place dans sa Mercedes et vint me reconduire à mon appartement. Lui promettant qu’il ne me faudrait que quelques minutes pour me changer, je partis à la course, incapable de m’enlever de l’esprit la vision de la queue de Robert dans la cuisine. Un instant plus tard, alors que je terminais d’enfiler mon jeans, Robert fit irruption dans ma chambre, tout sourire.
- Ton appart est beau! dit-il en hochant la tête.
- Merci! lui répondis-je, embêté qu’il se tienne au milieu de ma chambre.
- Beau drapeau! lança-t-il en désignant du menton mon drapeau arc-en-ciel suspendu au-dessus de mon lit.
Sans trop savoir quoi répondre, je me contentai de lui sourire. Il me fixait, souriant mystérieusement.
- Je n’ai rien contre les gays, tu sais! Continua-t-il en fourrant ses mains dans les poches de son jeans. Vous êtes comme les autres gars! Des maudits bons jacks! Mais vous êtes un peu comme des femmes aussi! En moins princesses et plus compréhensifs!
- On fait de notre mieux! Haha! rigolai-je pour me détendre.
- Alors, Julien, tu les aimes comment les hommes? demanda-t-il en m’invitant à m’asseoir sur mon lit. J’ai quelques amis gays à qui je pourrais te présenter si j’en reconnais un dans tes critères!
J’allai m’asseoir sur mon lit, mimant de réfléchir sur quel type de gars j’aimerais tomber.
- Hum, vite comme ça, je te dirais un homme plus vieux que moi. Un gars qui a un bon job, qui a une tête sur les épaules, qui sait où il s’en va dans la vie. Physiquement, bien c’est certain que j’aime les mecs en forme, les mecs minces qui s’entraînent. Des beaux gars, là!
- Ok! Ok! dit-il en se grattant le menton sur un air de réflexion. Mes amis ne sont pas vraiment comme ça. Dommage!
- Oui! Dommage!
Il y eut un petit moment de silence où immobiles, on se fixait du regard, à bonne distance. Puis, il reprit la parole.
- Ah! Euh! Désolé pour ce matin!
- Je ne comprends pas?
- Bah pour ce que tu as vu …
- Écoute, je ne vois pas de quoi tu parles!
- J’étais en boxers dans la cuisine …
- Ah! Oui! Ne t’en fais pas! Ça ne fait rien! Tu n’es pas le premier homme que je vois en sous-vêtements!
- En fait, ce n’est pas que j’étais en sous-vêtements qui me gêne, c’est que j’étais bandé …
- Oh! Euh … je n’avais rien remarqué!
- Tu n’avais pas vu que ma queue était dure?
- Honnêtement, non!
- Petit menteur! J’ai vu que tu avais regardé mon paquet!
- Euh … je … euh …
- Chaque matin, ma femme avait l’habitude de me faire une pipe avant de partir à son bureau, mais là ça fait une semaine …
- Haha! Ok! Ça ne doit pas être facile!
- Non! Merde! Ma queue est habituée de se faire sucer tous les matins et là bien ça fait une semaine que je ne me suis pas vidé les couilles!
Il se pogna le paquet d’un geste presque enragé en prononçant ces mots.
- Je bande à rien et j’ai le goût d’enfoncer ma bite dans la bouche de la première petite pute venue!
- Je crois qu’être séparé de ta femme, ça ne te va pas très bien, toi!
- Je ne suis pas séparé de ma femme, je suis en manque de sexe, fait chier!
- Je ne sais pas quoi te dire! Haha!
- Dis-moi que t’as envie de me sucer, putain!
Bouche-bée, je le fixai du regard, abasourdi. Il respirait comme s’il venait de courir un marathon et avait l’air d’un prédateur prêt à sauter sur sa proie. Avais-je alors le goût de sucer Robert? Oui. Sans l’ombre d’un doute. Mais je doutais que ce fusse moralement acceptable. Robert était marié et avait des enfants.
- Robert, tu es marié et tu as deux enfants.
- Je sais, mais sérieusement là, j’ai besoin de sexe. Ma femme n’est pas là et j’ai le pénis qui chauffe tellement je suis bandé.
- Tu es bandé, là? dis-je en jetant un œil à son pantalon.
Se poser la question était comme y répondre. Robert disait la vérité. Il était bel et bien bandé et d’après ce qu’il me disait il voulait se faire pomper d’urgence.
Je me levai de mon lit d’un seul mouvement et m’avançai lentement vers lui, sur mes gardes. Doucement, je déposai une main sur son entrejambe et toucha son pénis. Il était tellement dur. Je m’agenouillai devant Robert, déboutonnai son jeans, défit sa fermeture éclair et descendit son jean à mi-cuisses.
- C’est bien parce que tu es en situation d’extrême urgence que je fais ça, d’accord?
- S’il-te-plaît, fais-le …. dit-il d’une voix étouffée, suppliant.
Je descendis ses boxers jaunes et libérai son pénis. Je pris son sexe dans ma bouche et lui fis ce que je savais faire de mieux : je le suçai longuement jusqu’à ce qu’il me prenne la tête entre ses deux mains et me remplisse la bouche de son sperme.
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