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Courrier pas si anonyme 12

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Lue : 2745 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/02/2016

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Au moment du repas, il a voulu payer sa part en disant qu'il est gêné, après que la serveuse soit partie, je lui dis, tu me rembourseras en nature, nous allons à l'hôtel ensuite, pas au Hilton, mais pas au formule 1 non plus, j'avais prévue un sac de voyage, avec un déshabillée sexy, puis des jouets sexuels de toutes sortes, une fois dans la chambre, je me déshabille dans la salle de bains et je revient en déshabillée, il me dit, "qu'est-ce que vous êtes belle", ce ne sont pas ses paroles qui m'excitent, mais son regard sur moi.

Je lui dis, hé bien cette nuit, je t'appartiens intégralement, tu peux me faire tout ce que tu as envie, tu peux tout me demander, il répète, "je peux tout faire et tout vous demander", je lui répond, oui, c'est toi le maître, et tu peux me tutoyer, je n'oserais pas dit-il, je le force à le faire, vas-y tutoie moi, après avoir hésité, il me dit, approchez, approche, je m'approche vers lui, il me met sa main sur la cuisse.

Je frissonne, et je lui dis, voilà, tu peux tout me faire et demander, sauf de me demander de ne rien ressentir, je ne saurais pas, sa main remonte, je frissonne de plus en plus et quand il atteint presque mon sexe, il dit, je peux aussi là, je réponds partout sans aucune restriction et sans besoin de le demander, comme dans la voiture, tu ne demandais pas en voiture, hé bien là, c'est encore mieux, je suis entièrement à toi tout seul.

Il pose sa main sur mon sexe, cela m'électrise, je gémis, il me demande si j'aime, je lui réponds que tout ce qu'il voudra me faire, j'aimerais, il répond qu'il a peur de passer pour un pervers, qu'il préfère que je demande, j'en profite pour lui dire, alors je vais te donner ta première leçon.

En public, une femme aime qu'un homme soit gentleman, polie, à l'écoute, réservé sur les discutions sexe, dans l'intimité, la plupart du temps, comme maintenant, c'est toute l'opposée, le contraire, il me dit, "vous voulez que je sois comme dans la voiture, il m'avait dit que vous étiez une bourge qui faisait la ………..pute pour payer une dette ou quelque chose comme ça.

Sa naïveté m'excite, je lui dis, c'était une façon pour que justement, vous me considériez comme telle, disant, alors si je vous dis, montre moi ton cul, vous le faites, excusez, c'était pour donner un exemple, je dis, oui, tu ordonne et j'obéit, je lui montre mon cul aussitôt, en relevant mon déshabillé, il dit, écartez vos jambes, je dis non, tutoie-moi, il le fait et j'écarte, je suis plus excité de me donner à un novice que par ses demandes.

Comprenant que je ne plaisantais pas en lui disant que je lui appartiens, assis sur le lit, il me dit, "venez….., viens t'assoir, je m'assois entre ses jambes et il m'attrape les seins qu'il prend à pleine main, le geste et l'initiative me font faire un "humm" encourageant, il m'embrasse la nuque, une de ses mains descend, glisse sur mon ventre et vient entre mes cuisses que j'écarte.

Son excitante maladresse, m'indique que je suis la première femme qu'il a dans ses mains (il me l'avouera à notre deuxième rendez vous), comme il ne touche pas là ou il faut, je lui dis, "attend", je m'allonge sur le lit, cuisses grandes ouvertes, je lui attrape la main, et avec son doigt, je lui fais découvrir le clito avec son doigt, en lui disant, "tu vois ce que tu sens avec ton doigt, c'est par cet endroit, que tu prendras le pouvoir sur une femme.

Il met sa tête entre mes genoux et découvrant un nouveau jouet, il s'apprend à bien le sentir, en me titillant et en voyant l'effet que cela me fait, je lui dis de continuer, mais comme je l'arrête par moment comme l'effet ressentit est intense, il ne comprend pas que j'aime et ne supporte pas l'intensité.

Quand on a un nouveau partenaire, on reste basique avec, caresse, cunni, baise, sauf si celui-ci est entreprenant et nous sodomise en n'écoutant pas lorsqu'on lui dit non, mais avec ce jeune, je n'ai pas de "timidité" avec lui, je me donne complètement, je lui dis, fouille dans mon sac de voyage, il y a ce qu'il faut pour pas que je me débatte, il y va et découvre les godes, plug, boules, ainsi que des fixes poignets, il y a également un martinet, si j'avais dit cela à mon mari, sortir avec un inconnu et me laisser attacher, il m'aurait engueulé à juste raison, mais ce jeune m'inspirait confiance.

Je tends mes bras dans le dos, il me fixe les poignets, on se remet en position, il me roule le clito sans être arrêté, il me demande en même temps, "c'est pour quoi les objets dans le sac", je lui dis que c'est pour s'il veut me torturer avec, il demande lesquels, qu'il peut se servir, je lui dis tous, séparément ou en même temps, comme bon lui semble.

Par expérience des films porno, il prend un plug, il va pour me le mettre, je lui dis de l'enduire de ma mouille pour qu'il rentre sans me faire mal, après cela, maladroitement au début, puis à force, il y arrive, comme j'ouvre la bouche, il me demande si ça va, je lui dis, "trop bien même, continu", il attrape un gode, le met en route puis me pénètre avec, l'orgasme me prend aussitôt, il continue à me baiser avec, une fois un peu calmé, je lui demande de se mettre nu.

Réticent au début, il finit par se déshabiller, je lui dis complètement nu et montre moi, ce que je vois, n'est pas pour me déplaire, plus gros et plus long que celui du neveu, à peu près de la taille de son père, j'ai une envie folle de le sucer, mais par respect pour mon mari, le neveu, son père et le copain, coquin que je vois la semaine, je m'abstiens, je lui redemande un orgasme, curieux et encouragé par le plaisir qu'il m'a donné, il me met les boules vibrantes et me vibre le clito.

Je hurle d'excitation, il a compris que mes "non", sont les prémices d'un plaisir intense, il ne s'en occupe pas et fatalement, j'ai un autre orgasme. Il m'embrasse sur tout le corps ensuite, je lui demande de me détacher, puis à mon tour, je l'attache pareillement, je mets ma tête de façon à avoir son sexe sous les yeux, je lui soupèse les couilles et le branle très doucement.

Il bouge son bassin pour aller au-devant de la caresse, mais je fais tout pour qu'elle soit prodiguée de façon à ce qu'il ne jouisse pas comme l'autre fois, je reste à trois coups de poignet en dessous de l'éjaculation, il souffre, il souffle, je lui demande s'il aime, il souffle un oui, quand je juge qu'il a assez "souffert", je lui dis, "prêt", j'accélère la cadence en malaxant ses couilles, le sperme jaillit aussitôt, tout atterrit sur son ventre, il accompagne son plaisir pour continuer à se vider complètement

Après s'être lavé, il revient, il me tripote les seins, il me dit, "vous…. Tu es vraiment très belle", il est encore timide et j'aime bien être dominé, mais je n'aime pas demander cela, j'aimerais que ça vienne de lui-même, il me dit, "pou…. Peux-tu te mettre sur le ventre", je le reprends en disant, "non, il faut dire, mets-toi sur le ventre, je lui là pour satisfaire tous tes caprices les plus vicieux et perverses, et je dois t'obéir au doigt et à l' œil".

Tourne-toi dit-il, il me retire le plug, il m'embrasse les jambes, les cuisses, les fesses, le dos, il recommence, puis en me caressant les fesses, il m'écarte de plus en plus l'anus, il me l'écarte comme s'il voulait voir l'intérieur, pendant plus d'1/4 d'heure, il joue avec, alternant entre embrasser mes fesses et écarter mon anus, le plaisir me reprend, j'écarte encore plus les jambes.

Je ne vois pas ce qu'il fait, mais j'entends un bruit de capote, je me dis, 'l'avantage de la jeunesse", je fais ce que je veux dit-il, je dis oui, il se met sur moi et me pénètre le sexe, je me remets à mouiller, il sort son sexe et me le met sur ma rondelle, puis une fois au bord, il pousse et rentre à fond, je le sens bien, il commence à limer, mais je sens qu'il va dépasser son point de non-retour, je lui dis, "dés que tu vois que le plaisir va prendre le dessus, tu stoppes, tu attends et tu recommences, et ainsi de suite.

C'est ce qu'il fait, mais il est au bord de l'explosion, il me lime cinq coups, il stoppe le temps d'en donner 20, puis recommence, le même manège doit bien durer un bon ¼ d'heure aussi, il m'excite, mais ne me soulage pas, je passe à main en dessous de moi et je me masturbe, il est allongé sur moi et me tient fermement les seins, quand je suis prête à jouir, je lui demande s'il veut qu'on jouisse en même temps.

Il dit oui, je l'active et quand je suis à mon point de non-retour, je lui dis, va-y, bourre moi sans t'arrêter, défonce moi, donne des grands coups, il ne s'est pas fait prier, il a joui aussitôt, dommage qu'il n'arrive pas à se retenir, car il a une bonne dimension, il me caresse ensuite, me suce et embrasse les seins, nous discutons un peu, puis moins d'une heure après il reprend ses fouilles, puis fouille dans le sac.

Il en sort une culotte vibrante, puis le martinet, il cherche pour voir s'il est électrique, car le manche représente un phallus, il me demande à quoi ça sert, je lui réponds, "au cas où je n'obéirais pas ou pas assez vite", en moi-même, je me dis qu'il va utiliser tout ça, mais hélas, il n'a pas osé, nous continuons de discuter et il me pose des questions.

Disant qu'il ne me comprend pas, que j'ai les moyens et comment se fait-il que je fasse cela avec lui alors que je pourrais avoir mieux, je réponds que son mieux à lui n'est pas forcement mon mieux pour moi, je pourrais avoir des hommes à mes pieds dit il encore, je lui réponds que les larbins ne sont pas ce que je préfère, en fait avec ses questions, il apporte de l'eau à mon moulin.

Il me dit que le neveu avait dit que j'étais une bourge avec des dettes et que dans la voiture, c'était pour me faire du fric, mais ce n'était pas mon style de voiture contrairement à celle que j'ai pour venir ici, que ce n'est pas celle du neveu non plus, qu'au moment de la note, je n'ai pas eu la tête de quelqu'un de gêner pour payer et que pour la chambre d'hôtel non plus.

Il poursuit en disant, alors plutôt qu'avoir les hommes à vos pieds, vous préférez que je fasse tout ce que moi, je veux, je lui dis, voilà, tu as tout compris, la bourge veut endosser le costume de soubrette en étant complètement à ton service quand on se voit, nous discutons sur le même sujet puis sa forme revient un peu.

Il m'embrasse les seins, les tète, les pince avec les dents, il me demande de me mettre le plug moi-même pour regarder, j'obéis, il prend le gode, il me le manipule sur le clito, me l'enfonce et me baise avec, quand je suis a point, il essaie de mettre une capote, mais n'y arrive pas, je le sens vexé, mais je le rassure en disant qu'il a déjà donné deux fois en peu de temps.

Finalement, il continue à me baiser avec le gode jusqu'à temps que je jouisse, ensuite, je l'ai masturbé en 69 mon sexe à sa vue, il bandait, mais pas suffisamment dur pour une pénétration, nous allons nous doucher ensuite ensemble puis nous quittons l'hôtel, dans la voiture, je lui parle du test HIV qui permettra de se passer de capote, étonné que je veuille le revoir, je lui explique la démarche et il me promet de le faire, je lui donne le coût du test qu'il refuse, mais accepte en insistant.

Il me demande, s'il peut me toucher les seins, je lui dis que dés qu'il monte en voiture, quand je viens le chercher, jusqu'à ce qu'il soit descendu, quand je le ramène, que c'est lui qui commande, il me tripote les seins, le sexe aussi, puis il me donne son numéro de portable avant de descendre, je lui rappelle notre secret, que le neveu ne sache rien.

Je suis rentré à la maison pour dormir seule, le WE se passe avec mon mari qui en profite, excité par mes aventures, avant de partir le lundi matin, mon mari me baise, je vais me rincer, ensuite ¼ d'heure après qu'il soit parti, le neveu vient dans mon lit et me baise aussi, pendant qu'il me baise, c'est avec son père que je suis.

Le copain qui me dominait me manque, le neveu, n'est pas à la hauteur de mon attente, manque d'expérience, son copain d'école également, trop timide pour le moment, je cherchais un moyen pour faire revenir ses parents, mais sans que se soit moi qui le demande.

En attendant, tous les vendredis, j'appelais le copain du neveu d'une cabine, pour lui dire que je pensais à lui, il m'a demandé si pour la soubrette, ça marchait toujours, disant oui, il me demande si j'ai ce genre de tenue, je dis ok, je lui dis aussi de se renseigner sur le bdsm, de prendre des infos, c'est trois semaines après que je le rappelle pour un rendez-vous, profitant que le neveu parte le vendredi en disant que mon mari arrive le vendredi de bonne heure.

Ne voulant pas m'afficher dans les restaus, je lui donne rendez-vous au même que la dernière fois, après m'avoir dit que c'est ok pour le test, il me demande s'il peut conseiller ma tenue, je réponds oui, en fait, il veut juste que j'ai un décolleté très plongeant, sous mon manteau, je mets une robe du soir bien décolletée, sans soutif, comme la première fois, nous mangeons en "amoureux", le serveur se rince l'œil, je suis la plus jeune des femmes avec ma quarantaine, les autres dépassent allégrement la cinquantaine.

Nos mains s'enlacent, nos genoux se touchent, il me demande si je veux voir le test, je dis qu'on verra ça au moment voulu, il me dit que depuis trois semaines, il n'attend que ce moment, après cela, nous prenons ma voiture pour rejoindre l'hôtel, il me tripote en demandant s'il peut, je dis qu'il fasse comme il veut, nous retournons à l'hôtel, ça tombe bien, ce n'est pas le même réceptionniste qui est à l'accueil, comme la fois d'avant, je dis comme cela pour justifier, "mon mari devrait arriver dans deux heures", avec la robe que j'avais, il a dû se dire que je le prenais pour un con.

Le jeune a mon sac de bagage (à jouets) à la main, en entrant dans la chambre, il le pose, on retire nos manteaux et il se jette sur moi me faisant tomber sur le lit, il m'avouera que si je ne lui avais pas téléphoné toutes les semaines, il se serait dit que je ne reviendrais plus.

Arrivé dans la chambre, il oublie toute réserve, derrière moi, il me fait sentir son sexe en m'agrippant les seins, je laisse faire et lui demande son test, je veux montrer le mien, il dit inutile, que si j'étais positive, je ne lui en aurais pas demandé, je lui dis de toujours le demander quand même, j'ai voulu aller me laver, mais me demandant, quand est-ce que j'ai pris ma douche, et répondant que je l'ai prise avant d'arriver au restau, il me demande de rester comme je suis, avec mon odeur de femme dit il, ayant été uriner au restau, je lui demande de faire au mini ma toilette intime.

Il passe le premier, il se douche complètement, j'y vais ensuite, je ressors avec ma tenue de soubrette, ses yeux trahissent sa satisfaction, et je frissonne également en voyant qu'il a la cravache à la main, rentrant direct dans l'ambiance, je dis voilà, je suis entièrement à votre service, il me dit mettez-vous là, je lui dis, non, le maître, c'est toi, tu me tutoie, moi la soubrette, je vouvoie, met-toi-la dit-il, je m'exécute, en me mettant de dos en appuis sur la petite table comme il demande.

Il me caresse avec, en me frottant le dos et les fesses, puis me met un coup qui ferait juste peur a une mouche, je ne bouge pas, je fais celle qui n'a rien senti, la suivante est plus forte, mais faible, je ne bouge pas, il m'en met encore trois autres, il a compris à la dernière où j'ai fait, "hum, oui comme ça".

Il m'en remet cinq autres et je lui dis, "assez, assez, je ferais tout ce que vous voudrez", retirez, retire ta culotte, je la défais, il vient derrière moi et d'une main, m'empoigne les seins, je fais, "hoo, oui", bien évidemment, je ne suis pas aussi réceptive, mais cela l'encourage dans son rôle, il me dit, "tu aimes ça salope", je lui réponds oui, je sens son sexe qu'il me fait sentir derrière.

Tourne-toi et suce moi dit-il, je me mets à genou, je défais son pantalon et le suce, cela ne m'a pas pris longtemps, au bout de vingt secondes, il me dit d'arrêter, je devine la raison et obtempère, il me caresse ensuite, les seins, les fessent, il passe sa main entre mes cuisses, me frotte le sexe, je mouille et gémis, il me fait mettre à genoux, en levrette au bord du lit, il remonte ma jupette et m'écarte les fesses pour voir mon anus.

Il me les pétrit, me fait apparaitre la rondelle à sa vue, il me met sa main sur la chatte ensuite, je mouille et gémie sous la caresse, il attrape un Plug et me le met après l'avoir lubrifié avec mon liquide, j'adore me sentir à la merci de ce jeune, les meilleurs moments ne sont pas ceux de la baise, mais de ce qui se passe avant.

Il s'allonge sur le lit, et en me donnant un gode, me demande de me masturber en étant debout, les pieds de chaque cote de lui et sa tête dessous, il me caressait les cuisses en même temps et j'ai joui pendant qu'il m'encourageait en me traitant.

Me déshabillant lui-même ensuite, pour me mettre complètement nue, il m'a caressé partout, je frémissais sous ses caresses, jusqu'au moment où celles-ci devenaient plus ciblées, j'avais toujours le plug, il me caressait le sexe, puis, après quelques secondes, il commençait à me titiller le bouton, me faisant faire des soubresauts de plaisir, dans mon sac à jouet, il attrape les attaches poignets qu'il me fixe dans le dos, je sens sa peur quand il me fait cela, devant ma docilité, il continue et me fixe les chevilles aussi et passe une sangle sous le lit.

Je me félicite de lui avoir conseillé une certaine lecture, il me reprend les poignets et passe une sangle petite sangle qu'il fixe sur un collier qu'il me met, je dois reconnaitre, que ce jour-là, j'ai eu un soupçon d'appréhension, j'étais quand même attaché dans une chambre, seule avec quelqu'un que je ne connaissais pas vraiment.

Comme je me trémoussais, lorsque cela devenait trop excitant, levant mon bassin pour échapper temporairement au gode, il m'enfourche à genoux, de dos, assis sur mon ventre sans y mettre son poids, il me masturbe, il se contorsionne, m'attrape un sein d'une main et me gode de l'autre, tu aimes ça salope dit-il, dit le que tu aimes ça.

Ses paroles disent une chose, mais sa voix n'est pas en phase avec ses propos, je ne lui fais pas sentir, je rentre dans son jeu, en lui disant, "ho oui, j'aime ça, continu, ne t'arrête pas, si l'intonation manquait de crédibilité, le geste lui, était bien ressenti, à bout d'excitation, je lui supplie la pénétration libératrice, ce qu'il me donne aussitôt et je jouis en tentant de donner des coups de bassin, lui faisant faire presque du rodéo.

Après cela, il m'insère des boules vibrantes, il me défait ensuite les pieds pour me mettre la culotte vibrante et me refixe aussitôt, ses mains parcourent mon corps, il bande comme un âne, mais il sait que pour durer, il ne doit s'occuper que de moi, l'excitation me revient par ses caresses, dés que j'ai repris le chemin du plaisir, il met la vibration des boules et de la culotte en route.

À mi régime au départ, il me tripote les seins de façon ferme, j'ondule, je me contorsionne, il est inutile que je résiste, je suis perdue d'avance, j'ondule mon bassin pour arriver a un autre orgasme, il me triture les seins, me suce les bouts ensuite, il passe à la vitesse supérieure, je peine dans mes contorsions, à trouver le moyen d'arriver à jouir, je souffle, je gémis, mais ne parviens pas à me soulager.

Au bout d'un moment, il coupe la culotte, me la baisse, il coupe les boules et me les retire, il me détache un pied et retire la culotte, il me met sur le côté et lui derrière dans le même sens et me baise en se cramponnant aux seins, après plusieurs coups de reins, je jouis en criant mon plaisir, ce qui l'excite davantage et il jouit à son tour, je l'encourage à me remplir.

Ce n'est pas l'apothéose, mais ce n'est pas si mal non plus, j'ai pu avoir un orgasme complètement accompli, j'ai pu lui dire, "pas de suçon", avant qu'il ne soit trop tard, cela ne m'aurait pas dérangée, mais inutile d'avoir des marques, nous nous sommes reposé un peu après qu'il m'a détachée les mains et ou j'ai pu l'enlacer tout en tripotant son corps juvénile pendant qu'il en faisait de même.

On pourrait croire que j'ai une préférence pour les jeunes, mais ce n'est pas le cas, chaque âge a ses avantages et inconvénients, avec lui comme avec mon neveu, ça me change de mon mari, ma recherche est la nouveauté, avoir contre moi, un nouveau corps, il est évident qu'avec lui le coté BDSM a été plus que soft, mais quand on veut de la pratique, on ne demande pas cela a un débutant, il avait fait un effort et c'est cela qui comptait.

Pendant que nos mains parcourraient nos corps, nous avons discuté de lui, il s'est confié sans pudeur sur son manque d'expérience en ce domaine, sans le vexer, j'ai été honnête avec lui en expliquant qu'on ne naît pas avec de l'expérience, que seul le temps et la pratique lui en donneront, je lui dis qu'il est trop rapide à jouir et c'est là qu'il faut qu'il travaille à se retenir plus longuement.

Il me dit que je suis trop belle, je lui réponds, "et si je me crève un œil, tu tiendrais plus longtemps, après une bonne heure de dialogue, je lui fais une fellation pour qu'il durcisse plus et m'empale dessus, retiens-toi, lui dis-je, je me baise sur son sexe, pour s'aider, il regarde ailleurs, pense, a autre chose, j'attrape le gode et me vibre le clito pendant que je me baise.

Quand je suis sur la pente qui mène inexorablement à l'orgasme, je lâche le gode et profite de son sexe, quand je sens que je suis sur le point de jouir, je le sors de ses pensées et lui dis, ça y est, je suis à point, donne des coups de reins, je vais jouir, plus besoin de te retenir, il me pilonne et je jouis quelques secondes avant lui.

Nous nous sommes un peu reposés un peu puis sommes rentrés chez nous, j'ai revu plusieurs fois ce jeune, il s'est un peu amélioré sexuellement, mais niveau BDSM, ce n'était pas son truc, il était plus dans la récitation que dans son monde, à la maison, mon mari s'est occupé de moi

Avec le neveu, nous étions tombés dans la routine, sauf que de temps à autre, nous en sortions, avec nos sorties coquines, je ne trouvais pas de prétexte pour faire venir ses parents, le mois de juin passe normalement, le 14 juillet étant un vendredi, comme mon mari fait le pont, je leur dis de venir, en envoyant des billets de train.

La mère du fiston sait que son mari me baise, elle sait bien sur, que mon mari la baise, elle sait que je sais et sais aussi que mon mari sait que son mari me baise, ce que je ne sais pas, c'est si son mari sait, et s'il sait, sait-il tout ou seulement une partie, elle agit comme si, il ne savait rien, et elle me dit qu'il ne sait rien.

Le fiston va chercher ses parents à la gare, ils ont pris le train dont l'horaire coïncidait à sa sortie du boulot, ils arrivent pour se mettre les pieds sous la table, nous n'attendons pas mon mari qui sans être loin, n'est pas prêt d'arriver, le père me fait discrètement du pied sous la table, tout comme il m'avait attrapé le sein en me disant bonjour.

Après que le fiston soit douché et parti dans sa chambre, je prends ma douche, elle y va à son tour, le père dés qu'il entend la porte de salle de bains se fermer, il se met à mes pieds, me tire les fesses au bord du canapé et me suce en me tripotant les seins, je tends l'oreille au cas où le fiston arriverait, du moins au , car ensuite ensuite, j'avais la tête ailleurs, je ne tarde pas à jouir, me sentant venir, il m'avait attrapé les poignets pour que je ne puisse pas me dégager, prolongeant mon orgasme.

Il se remet à côté de moi et me tripote en me disant qu'il était temps qu'il revienne à ce qu'il voie, il se remet à sa place avant que sa femme revienne de sa douche et il y va à son tour, mon mari arrive pendant ce temps, nous n'avons pas trainé à discuter, nous avions les lits à faire grincer.

Quand ses parents sont là, leur fiston ne reste pas, il rejoint ses copains dit-il, comme cela, je dis, que je ne le vois qu'en semaine, le samedi les hommes sont invite à une partie de billard (pour les vicieux qui penseraient à autre chose, là, c'est une vraie partie avec une très longue queue et trois boules).

Lors d'un moment seul, il me demande, si on ne pouvait pas retourner à mon bureau, je lui dis qu'il exagère, il répond, "menteuse, tu n'attends que ça", la-dessus, il a entièrement raison, les jours d'après, ou nous y avions été, je revoyais ces moments, mon mari n'est pas aussi empressé avec sa femme, mais comme il dit, quand il est chez eux, il est bien content d'être épongé, et comme c'est rare, l'envie est présente.

Le soir, nous proposons le cinéma et comme la fois d'avant, tout le monde est ok pour aller voir ce que chacun aime, je me retrouve avec lui, et elle, avec mon mari, comme chacun sait qu'il ment, personne ne demande des précisions à l'autre, de peur d'avoir à en donner aussi.

Je mets une robe ordinaire, rien de vraiment sexy, quand j'ai su qu'ils venaient, le vendredi matin, j'étais arrivé de bonne heure, pour éviter de croiser beaucoup de monde, j'avais déjà emmené le matériel et ma tenue, j'ai rarement un sac de ce genre avec moi, quand je marchais dans le parking et dans les couloirs, j'avais une peur bleue que le sac tombe en éclatant par terre, dévoilant tout ce qu'il y a dedans.

Ce qui est complètement ridicule, le sac est suffisamment robuste, je craignais aussi qu'on me le vole la nuit en forçant mon placard, j'avais l'impression que mon sac était transparent et que tous ceux que je croisais voyaient son contenu, ma raison l'emportant sur la paranoïa, j'ai pu tout préparer, ma tenue, était une jupe très courte, le genre où je ne viens pas travailler avec, mon mari appelle cette jupe, la tenue de l'employée responsable au remplissage du bac à papier de la photocopieuse, qui veut devenir secrétaire de direction.


Chacun part dans sa direction ou nous nous donnons rendez-vous au même endroit que la dernière fois, arrivée a la boite, nous rentrons, les alarmes ont été modernisées, en plus de celles d'effraction, il y en a d'autres détectant les présences à l'intérieur, une fois rentré, je les désactive et réactive celle d'effraction, il faut savoir aussi que chaque personne autorisée a son code personnel, afin de savoir qui aurait oublié de repartir sans réactiver le système, afin de ne pas attirer l'attention à l'extérieur, je n'allume pas, les veilleuses suffisent.

Je suis tiraillée entre la peur de me faire surprendre et l'excitation de ce qu'il va m'arriver dans ce lieu, j'avais l'intention d'aller dans la salle de réunion, là ou je forme du personnel, mais lui, je pense qu'il préfère que je devienne cette Dupond, secrétaire "sexypouffiasse", alors comme la fois d'avant, je le fais attendre dans le couloir pendant que je m'habille à son goût.

Afin de ne pas laisser de trace, je retire tous les petits objets persos qui sont sur nos bureaux, je me prépare, je me coiffe un peu comme cette Dupond, sa femme m'a donné quelques détails, je sors le matériel et je vais le chercher en disant, "ha oui encore vous, bon aller, venez" quand il rentre, "aller vous asseoir Mr l'ouvrier, alors, encore à nous emmerder Mr, avec vous, il n'y a jamais rien qui va, mauvais matériel, mauvais outils".

" Mais vous, êtes-vous bon au moins, je n'en ai pas l'impression, s'il ne tenait qu'à moi, je vous foutrais à la porte, mais comme je suis trop bonne, voilà ce que je vous propose, vous achetez l'outillage de votre poche, on vous garde au même salaire, mais bien sûr, on vous retire toutes les primes et on augmente les cadences, que dites vous de ma proposition très avantageuse".

"Cela permettra en plus à la direction de s'augmenter leur salaire, et par là même, peut-être aurez-vous de leur part quelques félicitations méritées pour avoir donné l'exemple du salarié modèle compatissant aux difficultés de l'entreprise", pendant que je lui dis cela, il est dans l'ambiance de ce que pense ses employeurs, il hoche la tête l'air de dire, "bien sûr".

Il est à fond dans le contexte, je ne suis plus Annie, je suis Dupont, comme je marchais sur le côté en racontant tout ça, et en tortillant du cul, il m'attrape en me mettant sur ses genoux en me disant, "mais elle va la fermer sa gueule, la salope là, hein, tu vas la fermer", ce faisant, il me met une dizaine de claques sur les fesses, en ne mégotant pas sur la force des coups, m'obligeant à l'implorer pour qu'il arrête en lui promettant de tout faire pour.

Quand il stoppe, je respire, il m'a néanmoins mise en condition, je suis toute trempée, il relève ma jupe, baisse mon string et passe sa main en me disant, "mais elle mouille cette pute", aller saque toi de là salope, tu vas me faire une pipe, et fait ça bien, sinon je t'en remets d'autres", obtempérant en disant des "oui monsieur", je le déboutonne et le prends en bouche, il est dans son monde où je suis sa Dupond, moi, je suis dans le mien, où il est mon secrétaire.

Qui est-ce qui ne fantasme pas sur son, ou sa secrétaire, le mien n'est ni beau, ni vilain garçon, il est gentil, serviable, il a de l'éducation, de la conversation, il sait me mater discrètement, un copain, (Henri) disait, "il y a les hommes jambes, les hommes seins, les hommes fesses", lui c'est un homme jambes, et j'avoue que je ne fais rien pour l'en empêcher, être un homme jambes, n'empêche pas de regarder dans mon décolleté.

Quand il est debout devant mon bureau, ni surement de me mater les fesses, lorsque je lui tourne le dos.
Je savais qu'en acceptant ce poste et que mon mari allait faire des déplacements, qu'on aurait une activité sexuelle en dessous le ralenti, ils nous arrivaient d'êtres séparés pendant une semaine, mais cela était occasionnel, là, cela dure depuis plusieurs mois, et ce, pour deux années, même s'il revient tous les WE, à partir du mercredi, je commence à ne plus être très étanche.

Même si à côté de ça, j'ai des "coupe-faims", avec des copains, avec mon neveu, ceux, là attisant plutôt le feu en moi, je ne peux m'en prendre qu'à moi, car les copains sont tout disposés à me donner satisfaction, quant à mes jeunes, même s'ils me rendent bien service, ils n'éteignent pas ce feu en moi, alors oui, les heures de la journée, ou je ne suis pas avec ceux que je forme, et ou je suis dans le bureau avec mon secrétaire, je m'imagine des choses, du même genre que me fait en ce moment, celui avec moi.

Je suce le sexe d'un homme, qui va se servir de moi de façon perverse, me traitant comme la pire des traînées, et ce, dans un endroit accentuant mon excitation, il me complimente en me traitant, puis il dit, "attend morue", il se lève et s'assoit à ma place, il baisse le fauteuil, je doit lui faire une pipe en étant sous le bureau, peu pratique, je n'ai pas la place pour mettre ma tête comme il faut.

Une fois contenté, il me fait mettre sur le dos, sur mon bureau, il fouille dans le sac, prend les attaches poignets et il me fixe aux deux pieds du bureau, il m'attache les chevilles qu'il m'attache aux cuisses et les relie aux poignets, une autre sangle me ceinture le ventre en passant sous la table du bureau, j'ai les fesses à ras du bord du côté de mon bureau.

Il attrape la cravache d'une main, et me fait une langue, la lumière de la ville et des immeubles en face, éclairent suffisamment le bureau, a chaque fois que j'essaie d'échapper à son coup de langue dont le plaisir est trop fort, il me met un grand coup de cravache sur le ventre ou les seins, en moi-même, je pense à la honte que j'aurais, si un directeur arrivait sans qu'on l'entende, si comme nous, il n'allumait pas et venait dans son bureau pas loin.

Venant avec une maîtresse, réalisant un fantasme aussi d'une partie de sexe dans son bureau, il passerait devant mon bureau, et le bruit le rendrait curieux, bien évidemment, j'ai fermé la porte, mais rien ne l'empêche d'attendre et d'écouter, il m'aurait à la sortie, il peut encore aller au coffre et prendre un badge de secours, j'en serais informé le lundi, mais s'il rentre et me voit ainsi, il sait que je ne lui en demanderais aucun.

Ce scénario m'effraie et hélas, m'excite en même temps, les deux directeurs ici, ne sont pas mes copains, en plus de les avoir envoyé balader quand ils me draguaient, j'ai ridiculisé l'un d'eux devant ses collaborateurs, il me regarde avec des yeux de mitraillettes maintenant, s'il découvrait cela, son silence m'en coûterait des stages sous son bureau, rien que d'y penser, l'excitation s'accélère, et pourtant, l'un comme l'autre ne sont, ni des jeunes premiers, ni des tops modèles, ils trouveraient plus facilement une place dans le train fantôme que dans un spectacle de Chippendale.

Pour le moment, cette éventualité est loin d'être ma crainte, profité au maximum des coups de lange et de bouche sur mon clito sont ma seule préoccupation, il m'emmène aux portes du plaisir, mais sans que je puisse la franchir, après plusieurs tentatives infructueuses, il se lève et prend un plug qu'il m'insère, je suis tellement trempée, qu'il rentre cela sans aucune difficulté.

Prenant le gode ensuite, il me vibre le clito, me faisant maronner, il me demande si je veux jouir, m'approchant au plus prés de l'orgasme et arrêtant avant qu'il explose, sa main gauche manipule l'engin de plaisir, et sa main droite la cravache, fouettant tantôt mes fesses, tantôt mes cuisses, cela devient de plus en plus insupportable, il alterne le plaisir intense et la douleur, tout cela en me traitant sans retenue, ni dans les mots, ni dans la voix.

Coutumière du fait, dans ces moments-là, je ne suis jamais avec celui avec lequel je suis, j'imagine le directeur ennemi faire éruption, me découvrant dans cette posture humiliante, et en profitant à son tour, cela a pour effet de me faire jouir, malgré qu'il avait arrêté de me vibrer, je hurle pour qu'il me baise avec le gode, mais il n'en fait rien, continuant ses insultes sur sa Dupond.

Je râle tant que je peux de ne pouvoir accomplir pleinement mon orgasme, il me détache des pieds du bureau, laissant quand même mes mains liées, il me dit, "suce-moi sale pute, si tu veux que je te baise", j'obtempère immédiatement, je suis à genoux et droite du fait que mes jambes sont attachées, après sa pipe, il me penche et me pénètre, je prends appui par terre pour ne pas tomber, il me retient fermement par les cheveux et me bourre.

Pendant qu'il me lime, mon esprit divague à nouveau avec ce directeur, je m'imagine le sucer en même temps, et me revoilà repartie au paradis, je hurle mon plaisir, me moquant si quelqu'un pourrait entendre, je jouis et il continue de me bourrer et de me traiter, je me trémousse encore de plaisir, qu'il retire le plug et me sodomise, il me bourre encore peut être deux ou trois minutes et lui aussi s'envole en me disant qu'il est bon mon cul.

Il se vide complètement, on se met sur le côté encore emmanchés, pour rependre notre souffle, il se retire quand son sexe ne ressemble plus a rien, un bout de peau pendouillant, après peut être cinq minutes, il me détache complètement et me caresse partout en m'embrassant les seins, je ne suis plus sa Dupond, je suis revenue Annie, son fantasme.

N'ayant pas le temps de recharger ses batteries, et voulant montrer qu'il est capable de me donner un orgasme en plus, il me remet le plug ainsi que des boules vibrantes, puis me suce à nouveau jusqu'à l'orgasme, à bout de forces, et lui a bout de souffle, on se met sur le dos cote à cote pour se reposer, une fois les esprits clairs, on se lève, range le matériel, on se remet bien et commençons à se diriger vers la sortie, on rejoint la voiture et l'endroit de rendez vous.

A suivre.
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Histoire de annizette

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