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Courrier pas si anonyme 3

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Lue : 2280 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 19/11/2015

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Ce faisant, je me mettais des fois devant la porte-fenêtre du balcon pour lui faire croire que c'est pour le type du courrier que je le faisais, le lendemain, le courrier dit, dites-moi, avez-vous fait ce que j'ai demandé, je met un oui sur la réponse, le soir un courrier disant continuez comme ça, je dois m'absenter quelques jours, à mon retour, j'espère trouver un moyen de vous lire en restant un mystère, habillez-vous comme vous voulez, mais restez sexy et toujours avec le plug à la maison, souvent, il me fait mettre le plug, mais les boules, il m'en parle moins.

En arrivant, je me dis, tiens, il rentre chez lui, il ne m'en avait pas parlé, ne pouvant le questionner, j'attends qu'il m'en parle, mais rien, pour le forcer, je lui demande si le mardi qui arrive, il veut bien m'accompagner au restaurant, il dit oui, en fait, il ne partait pas du tout, je pense qu'il a dû vouloir me faire croire qu'il n'était pas ce neveu.

Je m'étais même dit qu'il en avait marre d'écrire et qu'avec moi, il avait mieux, mais en fait non, il ne m'écrivait plus, mais il restait à la maison, je continuais à regarder la télé en tenue très légère, sauf quand mon mari était là, non pas pour lui, mais pour ne pas montrer à ce jeune que mon mari savait.

Le soir, je jouissais sans retenue avec le gode, sachant qu'il était derrière la porte à faire pareil dans ma culotte, nous avons été au restaurant où je me suis habillée sexy mais sans défaire quatre boutons, juste trois, le soir après m'être bien soulagée, je me disais que je devrais arrêter, que ce n'est pas raisonnable, que cela était allé bien trop loin, le coté moralité revenait, mais le matin, je me disais au diable ce carcan moraliste, je me sentais bien à faire ce que je faisais, arrêter m'aurait rendu malheureuse, et puis, je ne fais de mal à personne, nous sommes majeur tous les deux, même si j'ai l'âge de sa mère, moi ça m'excite, lui aussi, alors tout va bien.

Le lendemain du restau, les courriers reprennent, il me demande de m'habiller comme il a envie, il me donne tous les détails, et me questionne

1 - Comment se comporte mon neveu.

2 - Comment suis-je vêtue.

3 - Est ce que je me sers du gode et à quel moment.

Il me demande aussi une liste de ce que j'ai comme tenue sexy pour le soir, ma réponse imprimée le lendemain est, 1/ je sens qu'il mate en douce, 2/ j'étais en nuisette courte, et oui, je m'en sers le soir.

Dés que je me couche, en même temps que ses questions, il m'indique aussi la tenue du lendemain ainsi que celle que j'ai pour le soir afin de me dire laquelle mettre, il me demande aussi de passer une fois ou deux devant la porte-fenêtre afin dis t'il, qu'il puisse aussi en profiter.

Le lendemain, ses questions sont plus personnelles, on sent le novice, 1/ aimez vous faire ce que je demande, 2/ est ce que ca vous excite, 3/est ce que ça vous excite de vous montrez en petite tenue devant votre neveu, 4/ vous utilisez le gode sous les draps pour que ca ne s'entende pas ou sur le lit.

Mes réponses : oui, oui, oui, dessus, car c'est bien isolé niveau bruit, je n'ai pas à chuchoter, il ne peut pas entendre, le soir, il est tout joyeux, je lis le contentement sur lui, je suis toujours en nuisette devant la télé avec une culotte.

Un matin, il me demande de trébucher sur le neveu, pour voir s'il me tripote un peu, mais le soir, je ne le fais pas, je lui dis que c'est osé, le lendemain, il me dit, vous ne voulez plus m'obéir, peut être, en avec vous assez que je vous écrive, le matin de peur qu'il n'arrête, je lui indique, "non, continuez à m'écrire, j'aime faire ce que vous me demandez, j'aime vos messages, mais, j'aie peur de sa réaction.

Mais non répond-il, vous ne risquez rien, c'est juste pour voir, faites ce que je demande, ce n'est pas difficile de trébucher sur lui, ça reste une chose normale qui peut arriver, et vous me raconterez, il m'annonce sans le savoir que je ne risque rien, donc c'est bon pour moi.

Pendant la télé, en revenant des toilettes, en retirant mes chaussons tout en regardant la télé, je fais celle qui bute, j'atterrit sur lui, mes seins sur son visage, il a posé une main sur ma cuisse à l'intérieur, je m'excuse et lui demande si je ne lui ai pas fait mal, un peu rouge, il répond non, on continue de regarder le film.

Le soir, me remémorant sa main sur l'intérieur de ma cuisse, on se masturbe chacun d'un côté de la porte, comme quand je me faisais cela sans personne dans la maison, je ne faisais pas moins de bruit, j'agis comme s'il n'était pas là, seule, j'avais mis le gode sur le lit et fermé la porte pour écouter du couloir, le jour, ça s'entend très légèrement, la nuit ça doit être encore plus audible.

Le matin, je lui raconte comment ça s'est passé dans la lettre que je mets dans la boite, j'indique que je suis tombé sur lui, qu'il m'a semblé qu'il m'a frôlé la cuisse, mais que je n'en suis pas certaine, le soir, il m'indique la tenue à mettre pour le lendemain ainsi que celle pour ce soir, qui est très courte également en demandant que je fasse des passages devant la porte-fenêtre.

Le soir, je porte ce qu'il me demande, si au début, j'étais un peu réticente, pour me vêtir de cette façon, je ne le suis plus du tout, je serais même à le souhaiter, à l'heure habituelle, je fais des passages devant la porte-fenêtre, faisant celle qui cherche à voir quelqu'un, cela est symbolique, car de la rue, on ne voit pas la pièce, on peut voir des ombres passer entre les barreaux de la rambarde, mais on ne saurait pas, si je suis nue ou habillée, le passage devant le balcon sert, pour lui, à me faire croire que c'est un autre qui m'écrit et moi de le faire, je le conforte dans cette pensée.

Pendant le WE, il avait des vacances, mais il est resté ici disant à ses parents que c'est pour réviser avec des copains, il leur raconte qu'il finit une heure plus tard qu'en réalité, quand je les ai au téléphone, je dis comme lui et les rassure aussi, car sitôt sortie de l'école, il ne traine pas, il est à la maison, il ne picole pas, et quand il n'est pas à ses messages, il travaille, je crois savoir qu'il continuera l'année prochaine que s'il réussit ses examens, autre le fait de notre jeu, il est content d'être sortie du cocon familiale.

Le lundi, il me dit en plus de l'habituelle tenue à mettre pour le lendemain, celle du soir à la télé, il m'indique aussi qu'il a vu sur mon balcon les deux pots de fleurs suspendus à la rambarde, pour avoir la réponse plus rapidement, le code est que, si le pot à gauche vue de la rue est éloigné du mur, ça signifie que je vais faire ce qu'il me demande, si le pot est collé au mur, ça signifiera que non ou que je ne peux ou ne veux pas.

J'ai l'impression d'être une ado avec tous ces mystères, ces codes secrets, le soir, le message me dit en plus de la tenue sexy et légère de ne pas mettre de culotte, sans le plug, mettez le pot comme prévue, en rentrant, il est sur son ordi, il travaille, moi, j'en fais de même, nos bureaux sont trop prés pour qu'il puisse voir en dessous, chacun sur son ordi, on s'écrit en sachant ce que l'autre fait, mais en faisant celui qui l'ignore.

Une fois fait, je prépare le repas sans culotte et je mets le pot de fleurs pour l'indiquer, je le vois faire mine de rien et regarder cela sur le balcon, je le sens même à se mettre dans des positions ou endroit comme faire celui qui contrôle si la prise d'un abat-jour est bien mise, disant que quand il est rentré, ça a clignoté, excuse bidon comme le fait de faire tomber le programme télé, je fais celle qui ne se doute de rien et qui est ailleurs.

La soirée se passe comme tous les soirs, le lendemain matin son message disant, avez-vous été excitée, très excitée ou pas excitée d'être sans culotte, il me demande aussi un plan détaillée de la pièce principale, griffonné à la main, mais en indiquant ce qu'il y a dans les tiroirs ou étagères, genre vaisselle, linge, bouquin, sur le coup, je n'ai pas bien saisi, j'ai donc fait ce plan au boulot, mais sur ordi.

Le soir, tenue conseillé et sans culotte encore et ça sera toujours sans dorénavant quand vous serez que tous les deux, écrit-il, si oui, laissez le pot éloigné du mur, je fais ce qu'il dit, d'ailleurs, maintenant, il est hors de question pour moi de désobéir, faire ses volontés me plaît de trop, ajouté à cela la curiosité de son but, la soirée se passe comme tous les soirs, la journée aussi et je me demande toujours ce qu'il me réserve.

Le lendemain soir, le mot m'indique, faites celle qui cherche des papiers, montez sur un escabeau, pas de culotte, j'ai vu le pot, laissez le éloigné si c'est oui, mais le soir, j'ai mis le pot à "non" et suis juste restée sans culotte, j'ai décelé une petite déception pendant le film, mais il a gardé une attitude normale.

Le lundi, pas de message, le mardi, j'ai laissé le mien en expliquant qu'il aurait vu mes fesses, le soir, son mot dit, tant pis, si vous ne voulez pas, je ne vous oblige pas, le mercredi, j'écris, que je peux encore faire une chute sur le canapé ou alors monter à l'escabeau, mais avec culotte.

Il répond, non, le jeu n'est valable que si de loin, je peux compter sur votre complicité intégrale, si vous ne faites que ce que vous décidez, je ne sers à rien, de plus, je sais que vous en avez envie, mais si vous ne voulez pas, je respecte votre choix et vous laisse, si vous voulez me recontacter, mettez les 2 pots cote à cote, ça m'indiquera que vous êtes prête à continuez, ne laissez plus de messages, je ne les prends plus.
Le reste de la semaine, pas de message, son attitude me fait penser a son film de la tante et du neveu ou a un moment elle dit non et ou c'est elle qui le supplie presque qu'il continue, je l'aguiche un petit peu plus que d'habitude, mais sans rien montrer d'autre que de la tristesse, mais pas de courrier pour autant, je me dis que lundi, il va recommencer, mais rien.

Je continue à m'habiller sexy à la télé et je me masturbe sans retenue, alors qu'il est derrière la porte, tous se passe comme si ce n'était pas lui le correspondant, le lendemain, je me dis que je vais la faire a l'envers, plus de tenue sexy le soir, pour aller travailler, ça ne change que peu, je mets les tailleurs les moins sexy.

Un soir, pour m'asticoter, il me dit, vous avez des soucis, je réponds que non sur le vif, il dit, vous n'êtes pas comme d'habitude depuis huit jours, je lui dis évasivement, je me suis fâchée avec quelqu'un au boulot, mais ce n'est pas grave, et je file à la cuisine, rien n'a changé à la maison, il se branle dans mes culottes, il m'écoute me masturber avec le gode, sauf qu'il ne demande plus rien par messages

Je réfléchis, je pense, je pèse le pour, je pèse le contre, et je suis obligée de me rendre à l'évidence que ses messages me manquent, surtout ce qu'ils disent, ses demandes de tenues pour le boulot, ses demandes de tenues pour lui le soir, ce même soir, je renouvelle la chute sur lui en pestant sur mes chaussons, je reste trois petites secondes de plus que la dernière fois, m'excuse encore, il me met sa main sur une fesse, mais cette fois-ci, il a été surpris.

Le lendemain rien, cela fait une semaine que je n'ai plus de nouvelles et que je ne peux pas faire ce qu'on me dit puisqu'il sait qu'il ne m'écrit plus, j'avais le soir envie de me mettre sur l'escabeau devant lui, mais ça aurait été avouer que je savais que c'était lui, il était évident que j'avais envie de faire ce qu'il me demandait, mais je n'étais pas prête à plus.

Le lundi suivant quand mon mari est parti, je mets les pots cote à cote pendant qu'il est là de façon a ce qu'il les voit, je n'ai pas de courrier le matin, mais le soir, il écrit, bien, vous avez réfléchi, vous êtes prête à faire tout ce que je demande sans discuter, mais attention, ma seule limite, c'est que vous ne soyez pas découverte et que ça ne change rien de votre vie habituelle, alors si vous êtes prête, écrivez-le-moi demain matin de façon à me convaincre, et aussi, ce que vous avez fait pendant tout ce temps, avez-vous continuée ou tout arrêtée.

Le petit con, il ne doute de rien, je suis surprise par ce que je lis, surprise, mais excitée aussi, il veut faire plus alors qu'on est déjà au de là, de la relation copain copine des parents, pendant le repas, il me dit que je suis pensive, et demande si c'est le collègue qui me tourmente toujours, je marque un temps de réflexion, car surprise et ne sachant quoi répondre puis lui dis, ça me tourmente plus, on s'est réconcilié en quelque sorte.

Ont n'étaient pas vraiment fâchés, il voulait que je fasse certains boulots assez difficiles, nous n'étions pas d'accord là dessus, c'est tout, il me demande si je n'aimais pas le boulot à faire, je dis si, mais c'est quand même pointu, il me redemande, car je crois qu'il a compris que je transposais le collègue sur le correspondant, c'est-à-dire lui.

Je lui dis, mais bon, c'est lui qui avait raison, il me dit, alors ou est le problème, je dis, il n'y en a plus, détournant la discussion, je lui demande si l'école ça va, il répond que ça baigne.

Après le repas et avant de s'installer devant la télé, je lui écris, "Mr ….., je regrette de ne pas vous avoir contenté, mais comprenez ma position, mais vous avez compris que j'en suis à regretter vos absences, vous avez par ce biais une emprise sur moi, depuis vos premiers messages, j'ai pu m'apercevoir au fil des semaines que vous êtes quelqu'un de correct, j'ai donc décidée de dire oui à vos désirs, je vous demande juste de faire en sorte que mon neveu ne doute jamais que je le fais sous vos ordres, je vous fais donc confiance et m'en remets à vous, je rajoute, pendant ces soirées, j'ai continué un peu avec lui, j'ai même refait le coup de trébucher sur lui, ou il a refait le même geste,.

Je mets le courrier et le soir, il répond, bien, alors reprenons là ou on en était, mettez telle tenue sans culotte et cherchez des papiers sur l'escabeau quand il sera installé, vous me raconterez demain, en lisant cela, mon cœur bat à toute vitesse, j'ai envie de le faire et je ne veux pas le faire, mais je ne veux pas qu'il arrête le jeu non plus, pas question de ne pas le faire et d'écrire que je l'ai fait, le climat de confiance disparaîtrait puisqu'ils ne sont qu'un.

Le soir, je fais ce qu'il demande, et même plus, je me penche pour que le gilet s'échancre, une fois couchée comme tous les soirs, je me suis masturbé, sauf que là, je guette plus précisément le moment où il arrive et je commence, je jouis sans me retenir, le matin, sur ma feuille, je mets, vous avez raison, hier soir, j'ai voulu en avoir le cœur net et j'ai écouté les bruits, je me suis dite que ce n'est surement pas la première fois, de plus, comme j'étais encore plus excitée, je me suis soulagée pareillement, qu'il m'entende une fois de plus n'aurait rien changé.

j'étais rassurée dans le sens ou le neveu et le correspondant étaient la même personne, au début, je faisais celle qui cherche des papiers sur le bas du meuble haut, et puis au bout d'un moment, j'ai cherché sur l'étagère située vingt centimètres plus hauts, m'obligeant à lever les bras et ma nuisette par la même occasion, je pense qu'il a dû voir mon sexe, espérant qu'il n'ait pas remarqué son humidité, le manège a durée quelques minutes puis je suis reparti au bureau.

Après une dizaine de minutes, je suis revenue à la télé sans rien dire, lui non plus, le matin, je raconte cela, que ça m'a plu, que j'étais excitée, ne voulant pas prendre le risque que mon mari rentre et lise son courrier, il m'a écrit le lundi matin, disant, voyez, ce n'était pas difficile et vous avez aimé, c'est d'ailleurs le but rechercher, que vous aimiez.

Je voudrais vous demander, le soir, quand vous vous branlez, vous disiez que c'était isolé et qu'il ne pouvait rien entendre, mais s'il se levait pour aller aux toilettes, êtes-vous certaine de l'entendre dans le feu de l'action, donnez-moi la réponse demain, et aussi, que feriez-vous si vous vous en apercevez, pour ce soir, mettez votre gilet beige sans fermer les quatre premiers boutons, pas besoin de mettre le pot pour me dire votre approbation, je sais que vous le ferez.

Le soir, je fais ce qu'il demande, et même plus, je me penche pour que le gilet s'échancre, une fois couchée comme tous les soirs, je me suis masturbé, sauf que là, je guette plus précisément le moment où il arrive et je commence, je jouis sans me retenir, le matin, sur ma feuille, je mets, vous avez raison, hier soir, j'ai voulu en avoir le cœur net et j'ai écouté les bruits, je me suis dite que ce n'est surement pas la première fois, de plus, comme j'étais encore plus excitée, je me suis soulagée pareillement, qu'il m'entende une fois de plus n'aurait rien changé.

Le soir, il répond, voilà que les choses bougent, et cela se passe bien, je pense qu'il devait faire cela avant que je vous guide, j'ai été un accélérateur et non pas un déclencheur, alors, ne changez rien à vos habitudes, faites comme si vous ne saviez rien, comme vous devez le pensez, il ne fait rien de mal et en plus, vous aimez vous aussi, si vous changez vos habitudes, il se doutera de quelque chose, alors laissez le faire, je vais même plus loin, non seulement ne le découragez pas, mais encouragez le, de façon discrète s'entend, s'il sait que vous vous branlez avec un gode, il a dû aller le voir là où vous le rangez et il a surement vu le plug, alors inutile de les cacher, ce soir, ça sera sans culotte et avec plug , c'est un ordre.

Je me doutais qu'il m'encourage à ne rien arrêter, et de tout faire pour le contenter, j'ai bien aimé sa dernière phrase, mon petit homme m'ordonne, ce qui n'est pas déplaisant et m'excite aussi, tous les jours, j'attends le soir, savoir quel défi je vais devoir affronter, à la télé, j'ai le Plug en plus de ma nuisette très courte.

Avant de manger, juste avant qu'il revienne de la douche, ses parents m'appellent, on discute ensemble un peu, je le vois revenir et se mettre face à moi sur le canapé, moi sur un fauteuil, je dis à ses parents que je suis très contente de lui, qu'il est très poli et serviable, qu'il est de bonne compagnie, car mon mari est des fois absent et que ça me permet de cuisiner pour quelqu'un, car si j'étais toute seule, ça serait souvent du congelé, ils savent que mon mari fait des déplacements, mais pas continuellement, tout en discutant, je regarde ailleurs, en prenant des poses peu convenable qui ne lui déplaise pas, sans me soucier s'il peut ou non voir si j'ai le Plug.

Je lui passe ses parents ensuite ou il leur donne des nouvelles, que je suis gentille, bonne cuisinière, et il leur fait comprendre que mon mari est rarement absent, une fois raccroché, nous passons a table et nous discutons de choses anodines, de son école.

Après le film, on va se coucher, il passe dans la salle de bains inhabituellement, j'y vais à mon tour et je remarque que ma culotte n'y est plus, j'en ai un peu marre de mettre des culottes, car ça sert à lui faire croire que c'est pour le Plug, je me couche et dans les trois minutes qui suivent, je n'ai pas besoin de tendre l'oreille, je l'entend se lever et venir directement derrière ma porte de chambre.

Il avait déjà pris ma culotte, sans faire plus de bruit qu'il ne faut, mais sans le camoufler plus que ça non plus, je me suis masturbée en sachant qu'il savait que je savais être écoutée, nous étions dans le contexte ou nous savions tous les deux que l'autre savait ce qu'il faisait, mais sans se le dire, il savait que je savais qu'il m'écoutait, ce n'était pas déplaisant non plus, j'en ai profité pour inclure entre mes gémissements, les prémices de mon orgasme ainsi que l'explosion de celui-ci.

Le matin, je lui rappelle avant qu'il parte à l'école, qu'il reste à manger dans le frigo, car le soir, j'ai un dîner commercial, que je rentrerais juste me changer, dans le courrier, j'ai prévenu également que je ne serais pas à la maison ce soir et raconté que j'ai mis le Plug sans culotte sous ma nuisette et mes positions en téléphonant, je lui ai dit à lundi en lui demandant le silence des messages jusqu'à là.

Le soir, pas de courrier, il est là, je me douche, et vais pour me changer, je me regarde puis fais la moue, il me demande ce qui ne va pas, je lui réponds que je ne sais pas quoi mettre, et je ne veux pas ressembler à quelqu'un qui est négligée, il répond, là dessus, aucun souci à me faire, il me demande, si je veux qu'il me conseille, je lui dis, tu t'y connais toi en vêtement, il répond non, mais je suis un garçon et je pense que j'ai du gour, je lui dis en souriant, et bien voyons ça.

Il me demande hypocritement, vous avez quoi en vêtement, je lui dis de venir dans la chambre et j'ouvre l'armoire, il me suit encore et dans une autre chambre, une autre armoire avec d'autres vêtements, il pose des questions, quel genre de dîner, quel genre de personne, quel genre de restaurant, quelle impression dois-je donner, je lui dis, mais oui, tu as l'air de t'y connaître, je lui donne les renseignements et il me dit les genres de robes à mettre, j'en prend trois dans l'armoire de réserve et trois autres dans l'armoire de ma chambre, plus deux chemisiers, il me dit d'attendre de savoir ce que je mets pour les chaussures.

Il me demande hypocritement, vous avez quoi en vêtement, je lui dis de venir dans la chambre et j'ouvre l'armoire, il me suit encore et dans une autre chambre, une autre armoire avec d'autres vêtements, il pose des questions, quel genre de dîner, quel genre de personne, quel genre de restaurant, quelle impression dois-je donner, je lui dis, mais oui, tu as l'air de t'y connaître, je lui donne les renseignements et il me dit les genres de robes à mettre, j'en prend trois dans l'armoire de réserve et trois autres dans l'armoire de ma chambre, plus deux chemisiers, il me dit d'attendre de savoir ce que je mets pour les chaussures.

Je mets l'autre robe, il me regarde sans perdre une miette, je ne le fixe pas, mais sur le côté, je le vois, il opte pour une robe fendue sur le côté, je la remets et il me dit oui, celle-là conviendra très bien, disant, attendez, je vais chercher la paire de chaussures qui va avec, en si peu de temps, il savait quelle paire allait aller, preuve qu'il a fouillé, je vais dans la salle, sur le canapé et je les mets, je me relève, je me regarde dans le miroir du couloir et je dis "oui, ça va".

Il dit "oui et non", la robe est noire et votre euh... (soutif) est clair, je dis exprès, on ne le voit, pas, il dit, si, des fois suivant votre position, on le voit un peu, je retire le haut de la robe, et il me dit, je vous le choisis, je dis évasivement comme si je n'avais pas bien compris, "oui", il va directement au tiroir où ils se trouvent et m'en sort rapporte un noir.

Je vais pour l'enlever en passant mes mains dans le dos, lui, il continue à me regarder, je m'arrête et en souriant, je lui fais signe demi-tour, il répond ho pardon, je passe le soutien-gorge sans vraiment m'occuper s'il est bien retourné, une fois bien mise, je lui dis, et là, ça va mieux, il se retourne, me regarde de bas en haut et dit, parfait en regardant bien dans le décolleté pour être sûr qu'on ne voit rien.

Je dis, bien, adjugé, je mettrais celle-là, puis je la retire, il ne comprend pas et me dit, vous ne la gardez pas, je dis non, on vient me chercher dans 90 mn environ, je la remettrais quand on me téléphonera qu'on arrive pour me prendre, je mets une nuisette comme pour le soir et je vais à l'ordi, lui aussi, quand on me téléphone, je m'habille et au coup de klaxon discret, je descends en lui disant à ce soir.

Vers deux heures, je rentre, il se lève en disant vous voilà, je dis, tu ne dors pas, il répond non, précisant qu'il n'était pas vraiment inquiet, mais rassuré que je sois là, je lui dis merci, je passe à la douche, je ressors en peignoir, il était encore dans le couloir, sortant des WC et demande, vous vous levez tard demain, je pense, je dis, je ne sais pas, je verrais, sinon, c'est comme d'habitude, il dit bonne nuit et va dans la salle de bains pour se laver les mains, en fait, il prend mon string bien "parfumé".

Après le repas d'affaires, nous avons été danser avec les clients, ceux-ci ont été corrects, mais eux comme d'autres danseurs, ont eu les mains, un peu baladeuses pour les clients et plus pour les autres danseurs, en abstinence sexuelle, les contacts m'ont émoustillé, au retour, quand on m'a raccompagné, comme je descendais la première, j'étais à l'arrière à droite, mon directeur à l'avant, le client au milieu derrière et son assistant à gauche.

Le contrat était très important, à un moment donné, le client, un vieux monsieur, paternellement, pose sa main sur ma cuisse, au-dessus du genou pendant qu'il discute en me complimentant sur les explications que j'ai données lors du repas, j'ai commencé à vouloir le repousser, mais l'enjeu m'en a empêché, je me duis dit, que s'il ne va pas plus loin, je laisse, j'ai serré les genoux.

Pendant le bon quart d'heure pour rentrer, sa main est restée là, sauf que mon genou droit serrait sa main au début puis qu'au bout de cinq minutes, j'ai desserré mon étreinte, espérant inconsciemment qu'il remonte sa main que j'aurais arrêtée plus haut, enfin, j'espère, mais il a été sérieux et n'en à pas profité, c'est toute excitée que je rentre à la maison.

Je l'entends ressortir de la salle de bains, il n'est pas vraiment bruyant, mais il ne fait rien pour être ultra silencieux, je fais moi-même du bruit avec le tiroir et le gode qui roule dedans, sauf que ce soir, je m'allonge sur la moquette, mes jambes dirigées vers la porte et nous nous masturbons comme tous les soirs, chacun de son côté, je fantasme sur le fait qu'il va ouvrir la porte d'un coup et me découvrir ainsi, j'ai joui rapidement, excitée par la soirée et la main du client sage.

Comme je ne suis pas une dormeuse, je me lève à la même heure le matin, il me demande si ma soirée s'est bien passée, je réponds que oui, qu'il m'a très bien conseillé sur ce que je devais mettre, il me dit, je vous l'avais dit, ça vous plairait que je vous conseille les matins, je sais que bien souvent, les femmes à force ne savent pas comment s'habiller, et puis moi, j'ai mon regard masculin.

Je lui réponds, je ne sais pas, il faut voir, il dit, dommage, je n'ai pas dit non que je lui réponds, il réplique que le "il faut voir", c'est comme dans le "on vous écrira" pour du travail, je lui dis, mais non, je veux réfléchir, c'est tout, tient, je te donne ma réponse au plus tard mardi, et pour te faire patienter, va me choisir celle pour maintenant.

Il vient de se rendre compte que je ne pouvais pas lui dire oui avant d'avoir demandé à mon correspondant, en allant dans ma chambre, il dit, je conseille ou je choisis, je dis, choisis, mais sache que c'est pour travailler, je finis le petit-déjeuner et passe à la douche, je vais dans ma chambre ou sur le lit, un tailleur avec chemisier, les bas, le string et soutif sont disposés, il arrive avec les chaussures qui vont avec le reste.

Je lui dis, avec un petit sourire, on avait juste parlé des vêtements, pas des sous-vêtements, il dit, "oups, pardon, j'avais cru que, je suis désolé, je m'excuse, je ne voulais pas être incorrect", je dis, ne t'inquiète pas, ce n'est pas grave, ça me fait ça de moins à faire, je lui montre la porte pour qu'il me laisse m'habiller, je la pousse juste comme ça, sans la clancher.

Rien qu'a ce moment-là, j'ai dans l'idée de le pousser à me mater en douce les fois ou la porte sera plus entrebâillée, je ressors, habillée et je le félicite de son choix, il me dit, ça va, vous n'êtes plus fâchée, je dis non, je ne l'ai pas été, mais tu comprends bien que les sous-vêtements, c'est personnel, et je le quitte pour aller au boulot en lui lançant un sourire.

Le matin, mon mari m'appelle pour me dire qu'il travaille samedi matin et que les parents du neveu nous invitent ce WE, comme mon mari se trouve dans les environs et qu'il va être prés de chez eux la semaine suivante, je dois venir avec leur fils qui ne le sait pas encore, à midi, comme je connais son emploi du temps, je l'attends à sa sortie pour déjeuner, de loin, je lui fais signe, il me demande ce qu'il y a.

Je lui dis que ses parents nous invitent et qu'on va faire la route ensemble, il me dit qu'il a un cours tard, je réponds que ce n'est pas grave, car on peut partir demain matin, que mon mari travaille de toute façon, il esquisse un petit sourire de contentement ou il se reprend aussitôt en disant que c'est dommage, je lui demande à quelle heure il reprend, et comme il a le temps, on mange ensemble.

Le soir, je suis rentré avant lui, je fouille ses revues, il en achète une toutes les 2 semaines, le même genre, de femme mature, la chose étonnante, c'est que les pages ne sont pas collées, j'en déduis qu'il n'y a que mes culottes qui sont sollicitées, je lis quelques paragraphes et une bande dessinée ou une femme est attachée, insultée ainsi que sodomisée, je m'étonne aussi, car il a plutôt l'air gentleman avec moi, serviable, gentil, peut être est ce son fantasme, je range tout ça dans le même ordre, je vais ensuite à l'ordi préparer mon courrier pour lundi, car s'il me laisse une lettre, je pourrai laisser mon message aussi.

J'indique dans ma lettre, j'en suis arrivé avec mon neveu, à ce qu'il me choisisse comme vous, mes tenues de la journée, alors si cela ne vous dérange pas, vous décidez de mes tenues du soir et lui de celles de la journée, je raconte en même temps le retour de soirée et son choix du matin en me sortant aussi mes sous-vêtements, disant que je l'ai un peu mis mal à l'aise, mais qu'en fin de compte, ça m'avait plut, j'entends qu'il arrive, je sauvegarde et descends faire celle qui est là depuis peu.

A suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Courrier pas si anonyme 3

Le 23/09/2023 - 10:44 par valeriane
Une suite serai géniale
Le 26/11/2015 - 20:07 par Veilleur
revoir la ponctuation

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