ACCUEIL > Voyeurisme > Récit : Courrier pas si anonyme 2

Courrier pas si anonyme 2

+107

Lue : 2924 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 14/11/2015

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Je le devinais me mater, j'en mouillais, il devait voir mon porte-jarretelle, le début du moins, nous discutions de son école, et de ses éventuelles copines qu'il n'avait pas disait-il, les études d'abords, en moi-même, je me disais à d'autre, l'heure arrivant, je me lève disant, allez boulot demain, je file à la douche, ce soir, il n'y aura pas besoin de me bercer, contrairement à mon habitude, j'avais gardé mon string toute la journée et soirée.


Je ne ferme pas la porte, juste poussé à fond, mais je ne l'ai pas vu bouger, je mets ma lingerie sur le dessus de la panière (qui a un couvercle), quand je reviens dans la salle, je dis, aller à ton tour, je vais me coucher, en fait, je vais écouter à la porte de la salle de bains, sans bruit

J'attends, il ne tarde pas à aller chercher mon dessous, une fois sa douche finie, je retourne au lit, quand j'entends ou plutôt devine sa porte se refermer, je retourne l'écouter et le peu que j'entends ne laisse aucun doute sur ce qu'il fait, j'en profite aussi pour me caresser un peu, mais il est bien plus rapide, je retourne dans ma chambre (nos chambres sont séparées par le bureau), j'attends presque 15 minutes pour qu'il rapporte mon string.

La salle de bains est presque face à ma chambre, j'ai plus de facilité que lui, j'y vais ensuite et me fais un petit plaisir sous les draps avec un gode en étalant son sperme tout frais sur mon sexe, j'ai toujours à cote de moi une serviette pour m'essuyer afin de ne pas tacher les draps, ainsi qu'un gant de toilette pour mordre dedans afin de ne pas pousser de gémissements, s'il savait qu'a ce moment-là, que s'il faisait irruption dans ma chambre, je serais incapable de lui refuser quoi que ce soit.

L'orgasme passé, je me dis que je suis folle, que le jeu doit s'arrêter, que je risque des ennuis avec ses parents dans le sens d'être fâché, car il est majeur, mais l'envie est la plus forte, et en me levant le matin, je ne pense qu'a ce qu'il m'a préparé en ouvrant son enveloppe, comme il achetait les enveloppes par petite quantité, j'en ai ramené plein du boulot que j'ai mis partout dans le bureau en disant, qu'on a changé de fournisseur, qu'on les prend avec entête maintenant et qu'ils allaient jeter celle-là.

Me félicitant dans sa lettre, disant que j'étais sublime et que j'avais respecté sa demande, il me demande également si j'ai aimé, si cela m'a excitée, et si je suis prête à continuer sur la même voie, mettez un foulard rouge vif, si c'est oui pour les trois, un beige pour si j'ai juste aimée, un bleu si j'ai aimée et été excitée, je prend donc un foulard rouge et le soir, je m'arrange pour qu'il le voit quand j'arrive.

Certains WE, il rentrait voir ses parents, il partait le samedi matin de bonne heure et rentrait le dimanche tard, il emmenait avec lui ses revues, il était prudent, bien sur mon mari était au courant de tout cela, nous sommes libertins et très complices, cela m'excitait, et cela l'excitait lui, les WE seuls, on en profitait pour aller voir nos amis.

En plus de ses revues à 80 % photos et le reste en pub et texte, il a aussi des livres érotiques à lire, avec très peu d'illustration, petit à petit, j'avais de l'audace et lui empruntais sans lui dire, un de ses livres, que je remettais le matin, pendant qu'il se douchait, dans son courrier, je retrouvais quelques passages de ces livres.

Le message du lundi matin, me demande d'aller au boulot sans string, bien sûr ma position ne le permet pas, je suis consciente que beaucoup d'hommes m'épient en douce et il suffirait que je glisse ou me raccroche, si on voit que je n'ai rien, ils ne vont pas se retenir et penser que je cherche, je mets donc un string au travail, mais le soir dans l'ascenseur chez moi, je le retire et le mets dans mon sac.

Le soir, mon string est dans mon sac, il n'y a rien dans la panière, cela ne l'arrange pas, mais comme son courrier est déjà préparé, c'est le surlendemain qu'il m'en fait remettre un, un jour, un collègue fête une naissance, mon directeur était là aussi, et même en me raisonnant à prendre des demi-coupes, en deux heures, j'ai dû en vider 3 ou 4, ce qui est peu pour certains, mais beaucoup pour moi qui ne dépasse jamais deux.

Le soir, sans être bourrée, mais d'humeur joyeuse, au lieu de venir en peignoir, je viens en nuisette, je le vois troublé et rougir et lui dis "oui, je sais, c'est un peu osé, mais quand je suis seule avec mon mari, je me mets à l'aise, et puis à la plage, on est plus dénudée que ça", je lui avais dit que j'avais un peu bu.

Se reprenant, il me dit que c'est vrai, je lui dis que si ça le gène, je peux me remettre en peignoir", non, non, pas du tout, répond t'il en regardant ailleurs comme si cela ne l'intéressait pas, on regarde la télé, moi du moins, la nuisette me cache les seins et j'ai mon string, car debout, elle ne m'arrive qu'a mi-cuisse alors assise sur le canapé, ca remonte encore plus, assise sur mes pieds, mes genoux dirigés à droite, lui a ma gauche, je le sens me mater.

Les films bon marché que la télé passent, sont pour la plupart tellement captivant, que sans m'en rendre compte, je me suis endormie, je me suis retrouvé allongée sur le canapé et lui assis par terre à la hauteur de mes genoux, bien évidement, je n'ai rien vu, mais cela se devine

Par courrier le lendemain, il me fait sortir sans soutif, mais en me laissant le choix de mettre ce qui va avec, afin d'être décente, comme pour le string, je me montre sans, avant qu'il ne parte et le soir, je le retire dans l'ascenseur, il ne se doute pas que cela se voie une femme sans soutif, a moins d'être Jane Birkin.

Le WE arrive, il sort seul, mais ne rentre jamais tard, il ne boit pas, ne fume pas et n'est jamais dans les vaps, il est poli, correct, prévenant même, et sait rester à sa place, principalement en public où il n'y a rien à redire, nous, nous profitons d'aller chez des copains ou de la famille.


Un lundi suivant, le courrier indique, en plus de ma tenue du lendemain, voudriez-vous que mon audace soit sans limite, dans le respect et la discrétion, que j'ose tout de vous, voulez vous obéir aveuglément à mes attentes les plus coquines, mettez votre foulard rouge, soit aujourd'hui ou demain, ça y est les revues lui donne des idées me dis je.

Le cœur battant, je me dis qu'il n'a pas froid aux yeux, mais que je ne peux pas faire cela, je regrette de lui avoir mis ces idées la en tête, ça s'est la BCBG qui parle, la femme coincée dont je donne l'image à mon entourage, professionnel surtout, mais la coquine et joueuse que je suis, se triture l'esprit et se dis qu'elle a été conne de ne pas prendre son foulard rouge.

Mais qu'a cela ne tienne, je quitte plus tôt et fais un petit détour pour passer dans une boutique qui vend ce genre de chose, j'en choisis un rouge, je suis toute excité quant à sa signification, il voit mon foulard en rentrant, on mange, et comme d'habitude, après le voyeurisme à la télé, on se masturbe à tour de rôle, sans qu'il le sache.

Le mardi, ce n'est pas qu'une lettre qu'il y a, mais un petit emballage collé dessus, dedans un petit Plug, la lettre indique, ne pouvant vérifier, mettez votre foulard vert si vous l'avez mis, et gardez le jusqu'au coucher, le WE, il avait surement été faire cet achat, je suis autant estomaquée, choquée, qu'excitée par son audace.

Très surprise, je ne crois pas ce que je vois, encore une fois, la coincée s'énerve toute seule, mais il croit quoi ce petit con, il me prend pour qui, je suis d'autant plus en colère que je sais qu'il me connaît, il sait que je ne suis pas le genre de femme à ça, c'est en colère et un peu vexée que je me rend au boulot après avoir mis le plug dans mon sac, bien au fond, je passe la matinée à honorer mon statut de femme pas commode.

Mais pendant le repas, ainsi que l'après-midi, je me remémore les instants excitants, ses revues, la colère s'estompe pour faire place à l'excitation, je reconnais son audace, sa lecture, ce qui n'est pas pour me déplaire non plus, et puis, qu'est ce que je croyais en mettant ce foulard, qu'il allait me faire le catéchisme, le soir, je quitte plus tôt, et à la maison, je me l'insère et je mets une culotte au lieu du string, plus efficace pour empêcher qu'il tombe au mauvais moment, j'ai l'impression que cela se voit en moi.

Le mouvement de la marche me le fait bien sentir, quand il ouvre la porte de la maison, je mouille aussitôt, il découvre mon foulard, que je retire pour faire croire que je viens d'arriver, lui-même rougit un peu, et fait celui qui va chercher à boire pour ne pas que je le remarque, mon cœur bat à toute vitesse, je décide de pousser un peu le jeu en marchant inhabituellement, il me le fait remarquer et je réponds que je me suis cogné la hanche au bureau.

Pendant la soirée, je m'assois un tout petit peu plus doucement que d'habitude, que se soit à table ou sur le canapé, avoir ce Plug en moi avec lui à côté m'excite de plus en plus malgré la gène que j'ai, je remue par moment de façon très discrète, mais visible quand même, il ne dit rien, à la douche, avant de me mouiller, je me suis masturbée en inondant ma culotte.

Au fil des jours, comme je me douche avant lui, avant d'aller au lit, j'avais vu que ma culotte était pleine de sperme, suivant mes envies, je me douchais avant la télé ou après, avant je mettais toujours un vêtement sur le dessus du linge sale, soit ma jupe ou mon chemisier pour cacher mes dessous pour quand il ouvrait la panière, mais depuis notre sortie, je les laisse peu à peu sur le dessus, il me plaît qu'il les découvre, ce petit vicelard m'avait sans le savoir, complètement à sa merci dans son jeu, je faisais malgré moi, mais avec plaisir, ses caprices perverses.

Un soir, rentrant plus tôt, je regarde dans sa chambre s'il n'avait pas acheté d'autres jouets ou revues, pas de jouets, mais des revues nouvelles, je feuillette et j'ai à peine le temps de remettre tout en place que j'entends la clef dans la serrure, je vais dans ma chambre, lui dans la sienne, il me demande si je suis là, je réponds oui et il va au bureau, peu après, comme je préparais le repas, je lui demande s'il ne veut pas aller au pressing me chercher mes tailleurs et en même temps de porter ceux dans la panière, il est très serviable et le fait de suite, il met mes vêtements dans un sac et va au pressing, ce qui me laisse vingt bonnes minutes tranquille.

J'en profite pour aller au bureau et en bougeant sa souris, l'écran s'affiche, il a une cession autre utilisateur, je regarde les films qu'il a, qui sont pareils que les revues, il y en a cinq, je ne découvre hélas rien qui me concerne ni le courrier qu'il me fait, je remets son ordi à la page qu'il était, et je ferme ce que j'ai ouvert en effaçant l'historique, souhaitant que l'ordi s'éteigne avant qu'il ne revienne, ce qu'il s'est passé d'ailleurs, l'extinction était programmée sur deux minutes.

Le lendemain, j'attends qu'il parte le premier et quand je sais que s'il avait oublié quelque chose, il serait déjà revenu, je vais sur son ordi et parcours les films X qu'il a, ce n'est pas une surprise, pour il y en a trois conventionnels, un juste érotique, et le dernier, c'est celui où il puise probablement son inspiration aussi, car son attitude est loin d'être celui de son âge.

Je zappe les parties de jambes en l'air, et ne regarde que ce qui concerne le jeune homme avec sa tante dans le film, ou celle-ci est victime complaisante de son chantage parce qu'il l'avait surprise avec un amant, au début du film, la tante ne se faisait pas baiser par son neveu, mais par son amant, car elle disait préférer que son mari l'apprenne plutôt qu'elle se fasse prendre par lui, acceptant juste de s'habiller comme il demandait, commençant petit au début puis de plus en plus osé, en fait, c'est ce qui se passait entre nous, le chantage en moins, par contre à la fin, il baisait la tante.

Le WE, il doit réfléchir à de nouveaux jeux, le lundi dans la boite à lettres, avec l'enveloppe un paquet contenant des boules de geisha, me demandant de les mettre avec le Plug, mais que chez moi dés que je rentre, pas au boulot, car il sait que cela doit être éprouvant toute une journée (il doit drôlement savoir ça lui).

Petit à petit, ses souhaits sont devenus des ordres, dés que je rentre après lui, il vient me voir aussitôt en faisant celui qui va boire un coup, après un bonsoir ça va, je file aux toilettes, je m'assoie sur la lunette, car j'avais également envie d'uriner et sans entendre de bruit, je vois comme une très légère ombre bougée sous la porte, me signifiant qu'il était derrière à m'écouter.

J'avais plaisir à lui obéir, j'eus l'idée en m'insérant les boules d'émettre un petit gémissement, discret mais suffisamment audible pour lui, je tire la chasse pour lui signifier que je vais sortir, quand je reviens dans la salle où il fait celui qui lit le programme télé, je marche différemment et il me dit," encore cogné ", je dis non, une sciatique", je le sens qu'il me regarde en douce et cela m'excite.

Ce n'est pas mon mari qui va me dire d'arrêter, vu que quand il rentre, je suis un volcan parait-il, de plus, je n'en ai aucune envie d'arrêter, il arrive des fois qu'il n'ait pas eu le temps d'écrire et cela m'ennuie, alors j'adapte mon temps de façon à ce que lui, il l'ait le temps, de me laisser le courrier.

Des fois, je me dis que je suis folle, je devrais tout faire pour que cela cesse, mais cela m'ennuierait autant que lui, je n'en suis non pas à me dire, que faudrait-il que je fasse pour qu'il se lasse, mais plutôt à balayer devant sa roue pour ne pas qu'il s'arrête.

On sent le manque d'expérience, car ses demandes ne conviendraient pas à un inconnu, un homme a besoin de savoir si vraiment on obéit à ce qu'il demande, lui, il peut s'en rendre compte, car on cohabite, il serait un voisin ou autre, il ne verrait rien, car si des fois, il demande à ce que je mette un foulard de telle couleur pour lui confirmer, bien souvent, il ne le demande pas, et ce, de moins en moins.

Un matin, avec les compliments pour la veille, il me demande entre dix-huit et dix-huit heures trente, de faire plusieurs passages devant la fenêtre de la salle (celle donnant coté rue et aussi celle où il y a la télé) et avec le Plug, de mettre une tenue qu'il m'a soit disant, déjà vu avec il y a quelque temps, un tailleur jupe rouge, avec, bas noir, un chemisier avec 4 boutons ouvert.

C'est une tenue que je n'ai mise qu'une seule fois pour aller travailler, elle est très courte, la retoucheuse s'était trompée dans la mesure et comme je ne l'ai essayé que 3 mois après, il était trop tard pour réclamer, il n'y avait plus suffisamment de tissus pour la rallonger, j'avais eu l'audace de la mettre au boulot où j'ai failli créer une émeute, je ne la mettais ensuite que pour recevoir un copain ou en sortie chez certains copains, cette demande de sa part, me démontrait qu'il fouillait dans ma chambre.

Un petit peu fâchée au début, mais j'ai vite compris qu'il ne pouvait pas faire autrement, son intention était de me demander ce qui était possible et ensuite, il a voulu me mettre sur une piste qui le mettait hors de cause du fait que jamais il ne m'a vue avec cette jupe, afin que je pense que l'auteur du courrier est quelqu'un antérieur à sa présence.

Le fait de demander cela, c'était pour me mater pendant qu'il était à la télé en me faisant croire que c'était pour quelqu'un qui était dehors, bien joué, il ne manque pas d'imagination, j'attendais de rentrer pour faire ce qu'il demandait, les journées me paraissaient longues quand je devais attendre le soir pour le contenter, mais ça me permettait de réfléchir à une excuse a lui dire pour mon attitude, en rentrant donc, vers les dix-sept heures trente, je lui demande s'il peut aller au pressing porter mes affaires, en disant cela, je lui dis au moment où il va partir, d'attendre, qu'il prenne aussi ce que je porte et que je vais mettre des affaires que je ne mets plus en attendant.

Je mets donc ce tailleur rouge et lui donne celui porté, il va au pressing, je finis de m'habiller, avec les bas, le chemisier, je me pomponne, mais que très légèrement pour ne pas que ça se voit, quand il revient, je suis au bureau, il me dit que ça y est, je regarde l'heure, pas encore dix-huit heures, il allume la télé, moi à cette heure, je le rejoins dans la salle en disant que ça sent le renfermé et j'ouvre la porte-fenêtre donnant sur le balcon.

Le temps n'est pas ensoleillé, mais il ne fait pas froid non plus, je passe et repasse donc de la salle au balcon avec un bloc à la main, et un crayon pour faire genre celle qui réfléchit en faisant les cent pas en prenant des notes.

Par deux fois, je fais tomber mon crayon en lui tournant le dos, à un moment donné, voulant me mettre dans l'embarras à nouveau, il me demande si j'attends quelqu'un, je lui dis, "non, je réfléchis et en même temps, je regarde les gens dehors" en disant cela, je lui démontre aussi que je fais ce que le courrier demande et que je le fais pour quelqu'un que je crois à l'extérieur.

Autant, il fait celui qui ne regarde pas quand je suis face à lui, autant, il mate quand je tourne le dos, il se débrouille tout le temps pour que jamais je ne vois la bosse à son pantalon, à dix-huit heures trente-cinq, je referme la fenêtre en disant, voilà, c'est plus respirable, j'avais gardé ma culotte et j'avais pas mal shunté dedans en me pavanant devant lui, je prépare le repas, on mange et je passe à la douche, comme toujours, par habitude, je surveille toujours s'il arrive, jusqu'à maintenant, jamais je ne l'ai vraiment surpris, mais cette fois-là, j'ai entendu la télécommande de la télé posée bruyamment sur la petite table, elle lui surement glissé des mains, j'ai tendu l'oreille en même temps que je surveillais le bout du couloir.

Voyant bouger une ombre, j'ai deviné qu'il arrivait, ses bruits imperceptibles de pas très feutrés me le confirmaient, cela accentuait mon excitation, j'ai fermé la porte, mais pas à clef, de savoir qu'il pouvait me surprendre à tous moment, je me suis masturbée dans ma culotte de façon a ce qu'il m'entende jouir en silence.

Je me suis douché et en le rejoignant, je lui ai dit que la salle de bains était libre, il y a été, mais je n'ai pas osé faire comme lui, je sais qu'il s'est masturbé, car en allant aux toilettes l'heure suivante, j'ai contrôlé dans la panière, ma culotte était en dessous et remplie de sa semence.

J'avais honte de ce qu'il s'était passé, je me sentais très mal de savoir qu'il m'avait entendu, j'essayais de faire bonne figure, mon mari me manquait sexuellement, ces moments étaient excitants et me calmaient un peu, ou plutôt me permettait de jouir plus fort, laissant place à cette honte qui s'estompait rapidement après que l'envie revenait.

Nous avons regardé un film pas trop mal ensuite (c'est rare), il me matait toujours autant et discrètement, le lendemain, j'avais les compliments pour ma prestation à la fenêtre et il me dit" je suis sûr que vous prenez plaisir à vous exhiber pour moi et que vous devez vous caresser en y pensant le soir, mettez votre foulard rouge si j'ai raison".

Bien évidemment, j'ai mis ce foulard en m'arrangeant pour que le soir, malgré qu'il soit rentré après moi, il le voit avec mes affaires avant que je ne les range, la semaine se passe de la même manière, le WE, il reste à la maison, et le lundi avec les mêmes genres de demande qui me soulage de réfléchir à ce que je vais pouvoir me mettre le lendemain, un mot de lui m'indique que je vais recevoir un colis, en fait, je le reçois le mercredi, la poste étant fermé, je lui demande s'il peut aller me le retirer avec une procuration pour le jeudi, il répond bien sûr.

Le WE, on reçoit la visite d'une connaissance, un copain à mon mari, copain qu'il fréquente tout seul, mon mari allait des fois le retrouver le samedi ou dimanche matin, copain peu fréquentable, bagarreur et violent, pas un bandit, mais pas un saint non plus, mon mari sait que je n'en veux pas à la maison, mais là, il m'avait mise au pied du mur en me disant, qu'il avait besoin de mes connaissances pour remplir des documents administratifs, celui qui venait n'était pas le pire, mis au chômage, il voulait se mettre à son compte, rien de malhonnête donc, je lui donne tous les renseignements et je m'occupe aussi de certains documents dans la semaine.

Ce lundi donc, je passe à la douche avant de souper et j'écoute s'il vient mater, ou plutôt m'écouter me masturber dans ma culotte, car j'avais le Plug à sa demande, sans crier plus qu'il ne faut, je ne me retiens pas le sachant derrière écouter, je regrette de ne pas pouvoir laisser la porte entrebâillé, mais là ça serait carrément l'inviter, dommage aussi que ce ne soit pas une clef qui ferme la porte, il aurait pu regarder par le trou.

Ensuite vient son tour où il fait pareil dans ma culotte, sauf que je n'ai toujours pas le courage d'aller l'écouter, le soir, nous regardons la télé, ou il me mate pareillement, le mardi se ressemble, il m'indique juste les tenues à me mettre, il est même très doué, car il fait tourner ma garde-robe.

Le jeudi arrive et il me ramène le colis, je rentre en faisant comme une fois, celle qui a bu 3 coupes de champagne, je lui invente une excuse, il pousse le vice de me demander ce que c'est comme appareil ménager, je réponds que se sont des sous-vêtements que j'achète par correspondance.

Je vais donc dans ma chambre, je déballe et dedans, je trouve un gode de bonne taille avec les piles fournies et déjà à l'intérieur, je mets le carton prés à descendre à la poubelle et lui dis, comme tous les soirs, mais cette fois là, en faisant celle joyeuse par la boisson, "je prends ma douche", c'est devenu une habitude de le prévenir, l'info est double, il peut prendre cela comme si je lui disais que je vais à la douche pour qu'il ne vienne pas me déranger, mais en fait, je le préviens pour qu'il vienne écouter, je n'avais plus du tout honte de cela, ça m'était devenu normale et autant excitant.

En rentrant dans la salle de bains, je contrôle qu'il vienne bien et quand je le devine toute oreille, je mets le gode en route et me masturbe de façon plus bruyante que la première fois, il se fait cela ensuite, car je fais une déchirure au sopalin, car il prend 5 feuilles et éjacule dedans, qu'il met hélas ensuite dans les WC, au risque de les boucher.

Nous regardons la télé après souper, au toilette, je contrôle toujours si ma culotte a été souillée, au début, il mettait en dessous mes sous vêtements souillés, maintenant, comme moi, il les remettait sur le dessus comme si cela ne se voyait pas, nous en sommes venues à une habitude immuable.

Assis sur le canapé tous les deux, je fais celle qui s'endors à nouveau, une fois "endormie", j'attends un peu et m'étale, prenant toute la place pour mettre mes jambes, c'est à ce moment là qu'il se met au sol, je me doute qu'il doit me regarder le visage, comme je suis allongée sur le coté droit, j'attends un peu et je bouge en me mettant sur le ventre, les mains sur le visage, ce qui me permet d'ouvrir les yeux même si je ne vois rien.

J'attends un temps assez court, et je sens qu'il remonte ma nuisette, je suis en string, j'ai les fesses à l'air, je le sens mater et j'attends qu'il me touche, me préparant au contact afin de ne pas tressaillir et me dévoiler, c'est sur ma cheville qu'il pose sa main en premier, surveillant surement ma réaction, un certain temps passe, sa main remonte.

Dans ma tête, toutes sortes de questions se posent, jusqu'ou va-t-il aller, vais-je laisser, comme réagir pour me "réveiller", sa main sur ma cheville m'avait électrisée, il remonte et caresse ma jambe, pendant qu'il me caresse, je respire fort pour montrer que je dors, il caresse mes cuisses ensuite, pour l'instant, il doit être assis à terre et tourné vers moi, je ne sens qu'une seule main, ensuite, il remonte jusqu'aux fesses, je ne peux pas retenir un gémissement, ce qui m'oblige à faire celle qui se réveille lentement, il se rassoit et fait celui absorbé par le film, je remet ma nuisette en place et je dis, "je me suis encore endormi".

Je ne pense pas qu'il sache que je sais, il continue à justifier qu'il est occupé quand je dois faire quelque chose pour mon correspondant, le vendredi matin, mon mari arrive à l'improviste et je n'ai pas de courrier, mais le lundi, il recommence et demande une sortie pour mardi, accompagné comme l'autre fois avec une tenue correcte, mais 4 boutons défaits a mon chemisier, il me laisse choisir le restaurant en disant qu'il me suivra discrètement, le mardi, je lui dis que j'ai envie de sortir un peu, et que j'aimerais qu'il m'accompagne pour ne pas être seule, il répond oui, je lui dis, file prendre ta douche pendant que je prépare mes vêtements.


Quand c'est mon tour et pendant que je suis sous l'eau, j'avais mis une espèce de peluche grosse comme le poing derrière la porte, peluche qui pend sur les rétroviseurs intérieurs, de sorte que celui qui rentre, le pousse, quand je suis rentre dans ma chambre, j'ai vu que la peluche était poussée plus loin que ce que j'ai ouvert la porte, il est donc venu voir ce que je vais mettre.

J'avais étalé sur le lit façon mannequin, mes vêtements, le gode qu'il m'a envoyé, je le mets dans ma table de nuit, j'avais à un autre moment coincé une autre peluche entre le fond du tiroir et le meuble, de façon a ce que celui qui tire le tiroir, décoince la peluche qui tombe dessous et il avait constaté que son gode était dans mon tiroir, cela ne me dérangeait plus et m'excitait de savoir qu'il fouillait mon intimité.

Arrivé au restaurant, comme la fois d'avant, je fais celle qui regarde partout comme pour découvrir mon correspondant, il me demande si j'attends quelqu'un, je lui dis non, au milieu du repas, il me dit que j'ai des boutons défaits et que le serveur lorgne quand il passe à côté, je fais, " ho oui et je n'en remets qu'un, puis quelques minutes plus tard, discrètement, je le redéfais, je me dis que je justifierais qu'il fait chaud ou qu'il ne tient pas s'il m'en reparlait, mais il ne l'a pas fait, le repas se passe sans histoire, faisant celle qui regarde partout autour, puis nous rentrons.

Depuis quelques jours, je ne me masturbe plus dans la salle de bains, s'en rendant compte, il est venu voir si je ne pratiquais pas dans la chambre, ce qui fait qu'une fois couchée, tendant l'oreille, j'écoute le moment qu'il quitte sa chambre, il passe à la salle de bains, sans bruit, et vient derrière ma porte, je le sais au temps qu'il y a entre le moment ou il sort de la salle de bains et celui où il referme sa porte de chambre, faisant un déplacement d'air sur ma porte.

Ensuite de concert, sans qu'il le sache, nous nous masturbons chacun de notre côté de la porte, nos chambres sont séparées par le bureau, cela justifie que je peux faire un peu de bruit, je n'ai moins à me retenir, c'est ce qu'il doit penser et que je souhaite qu'il pense.

Le surlendemain, le message me dit, heureux celui qui vous a accompagné au restaurant, trop jeune pour être votre mari, je ne vous connais pas de fils, est-ce un neveu, ou un voisin qui vous sert de chaperon, indiquez-moi qui il est, fils foulard bleu, neveu foulard clair, voisin foulard rouge.

Ça y est, nous passons à l'étape suivante, le dialogue après le monologue, je mets mon foulard clair disant neveu", le soir même dans la boite, j'ai un autre message, lui qui rentre en principe avant moi, est rentré après pour justifier que ça ne peut pas être lui, ce message dit, mais c'est parfait cela, il doit se régaler de vous voir, donnez lui en plus.

Il arrive des fois qu'un voisin ou mon mari, n'ayant pas pris ses clefs, prenne le courrier avec une vielle lame de couteau qui est sous le paillasson, la femme de ménage le sait et elle la laisse à cet endroit, sachant cela, il me demande, savez vous s'il vous mate en douce et si oui, que ressentez-vous, merci de me mettre votre réponse dans votre boite a lettre, j'ai vu comment un voisin s'y prenait sans ses clefs.

Le lendemain, j'écris en dessous, "oui, j'aime", je n'ai pas voulu trop m'avancer, rester vague, encourager sans accélérer, mais le soir, sa joie se lisait sur son visage, il ne m'avait pas écrit, surprit, je pense de ma réponse, qui n'était pas assez encourageante mais suffisamment explicite, le lendemain, le mot dit "vous aimez qu'il vous mate, alors continuez à faire ce qu'il faut".

Le weekend arrive, il doit rentrer chez lui, alors que je pensais qu'il restait du fait que mon mari travaillait le samedi, j'avais mis un short et un tee short large (tenue pour le ménage), qui laissait voir mes seins quand je me penchais, il a maté en partant, mais il devait y aller car il partait avec un autre copain, de mon coté, j'avais oublié le copain à mon mari qui revient comme convenu, à son regard, j'ai vu que cela ne lui déplaisait pas, ne pouvant pas me changer, il a plus été a me mater que suivre mes explications.

Je classe et remplis les documents rapportés, il a même ramené des factures à taper ou je lui ai dit d'attendre son numéro de SIRET, les administrations ne vivant que du racket de ceux qui travaillent, ils ne comprennent pas que le petit privé à besoin d'encaisser rapidement leur travail fait, alors le temps qu'ils fassent le nécessaire, il faut déjà que l'information atteigne leur cerveau déjà pas mal pris par le calcul de leurs congés ou RTT.

En fin de compte, ce copain qui ne me plaisait pas il y a vingt ans, est devenu plus sérieux, il n'a sortie aucune vanne graveleuse et me matait discrètement, il me plaît d'aider ceux qui cherchent à s'en sortir, même si je sais qu'être artisan, c'est beaucoup d'heures, beaucoup de charges et très peu, voire pas de bénéfice.

Quand je remplissais un formulaire, il était debout derrière moi, j'étais assise sur une chaise, il matait à coup sur mes seins, je sentais presque son souffle derrière moi, ça faisait trois jours que je n'avais pas senti de mains d'homme sur moi (un copain), si celui-ci derrière moi, m'avait attrapé les seins, j'étais foutue, j'en avais peur et j'en étais excitée, je me suis reprise, en disant, je vais m'habillée j'attend une voisine.

Heureusement que ce copain n'a rien tenté, ce n'est surement pas l'envie qui l'a démangé, mais plutôt la peur d'avoir mon mari à affronter par la suite, quoi qu'il en soit, j'ai continué ses comptes dans une tenu sexy mais raisonnable, comme j'avais un progiciel maison créé à partir d'EXCEL, j'ai rentrée ses coordonnées pour qu'il puisse s'en servir par la suite.

Comme j'étais seule et trop tard pour aller me faire inviter chez quelqu'un, je lui demande ce qu'il fait à midi, et comme il répond qu'il n'a rien de prévue, je lui demande d'aller chercher des pizzas à un endroit ou ils sont très bonne, en scoot, il n'en a pas pour longtemps

J'avais fini quand il est revenu et nous avons mangé ensemble sur la table basse ou il a pu encore se rincer l'œil, mais cela ne m'a pas dérangé, j'avais pris confiance en lui, c'est là que nous avons discutés de ses anciens copains qui ne me plaisait pas, après cela il est parti en me remerciant, mon mari est arrivé deux heures après


Le lundi, le message indique, mettez les boules à la maison, jusqu'au soir et laissez le vous matez, mettez des tenues sexy même osées, faites-lui plaisir, ca lui fera des bons souvenirs de jeunesse, et puis je suis sûr que vous vous branlez avec mes objets, que ça vous excite de le savoir dans la maison, répondez-moi.

Le lendemain, j'ai mis un oui, le soir, un message dit, vous êtes formidable madame, faites comme j'ai dit, mettez des tenues sexy dans la maison et racontez moi, à mon retour, il voulait me faire croire qu'il partait, mais je jouais le jeu de celle qui se doute de rien, le soir même, je m'habillais comme le samedi avec rien dessous.

J'avais prétexté que de prendre une douche longtemps avant d'aller au lit, n'était pas très propre, car on transpire, alors je m'habille décontractée en attendant, je lui dis que s'il voulait, il pouvait y aller, il dit non, que pour lui, ça n'avait pas d'importance, en moi-même, je savais que c'était ma culotte qui l'intéressait.

A suivre
107 vote(s)


Histoire de annizette

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Courrier pas si anonyme 2

Le 23/09/2023 - 10:43 par valeriane
J'aime

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :