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Le guérisseur

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Lue : 2165 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/08/2014

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Ma femme semble de moins en moins chaude. Pourtant je lui donne toutes les caresses possibles. En dernier recours je fais venir un guérisseur célèbre pour ses résultats.

Il fait coucher mon épouse nue sur le lit. Elle doit rester sur le dos sans bouger. Je me demande si ce type saura la dégeler. Il se met nu aussi : beau corps, belle bite au repos. Il commence son œuvre en faisant des passes avec les mains à 20 centimètres de son corps. Je remarque que sa bite prend de l'ampleur en bandant.

Il pose une main sur un sein, ne bouge pas, va sur l'autre sein, descend vers le ventre puis le pubis. Il bande presque en entier.
Je me demande où il veut en venir, ce que je vois est qu'il pelote ma femme et qu'il bande dur maintenant, au point que son gland sort de sa protection. Il voudrait baiser ma femme que ça ne m'étonnerais pas.

Une main descend jusqu'aux pieds. Il caresse le pied deux secondes avant de passer sur les mollets. Ma femme répond à sa façon en plaçant une main sur son sexe. Elle me fait bander aussi. Les mains montent sans cesse pour caresser les cuisses, d'abord dessus puis entre les deux. Elle fait des mouvements qu'elle ne faisait plus depuis longtemps. Elle passe l'index sur sa fente, comme avant. La main du guérisseur passe à 10 cm de la chatte. Ma femme commence à refaire ce qu'elle ne fait plus depuis longtemps : elle se caresse le clitoris en le regardant lui puis moi. Nous bandons tous les deux.
Je me pose la question : et si elle a envie des deux sexes ?

Il faut reconnaître que le sien est plus long que le mien, et par contre le mien est plus épais. Si c'est son vœux ? Pourquoi ne pas la satisfaire. Elle continue sa masturbation jusqu'au bout. Au moment le plus important, sa jouissance, elle soulève son ventre, se tend vers le plaisir. Elle se met deux doigts dans le vagin, elle se doigte tout le temps, long, de son orgasme.

Elle ne se repose pas du tout : elle prend les deux bites à sa portée. Elle commence par me branler le premier, puis lui. J'aurais voulu qu'elle me suce. Je n'ai pas cette faveur, elle prend la bite de l'autre dans ses lèvres. Elle la fait entrer doucement dans sa bouche. Je vois la pine entrer presque totalement : elle le lèche doucement, avec égard. Et lui se laisse faire en lui tenant la tête.

Puis elle l'abandonne pour me prendre à mon tour. Qu'elle suce bien. Sa langue lèche le gland comme si elle ne savait faire que cette chose. Je me tends en attendant l'orgasme qui va être grandiose, je le sens venir. Elle continue à caresser les couilles de l'autre, même à passer sa main vers l'autre cul. Elle ne me fait ça que dans les grandes circonstances.

Quand elle se tourne vers moi c'est pour ouvrir ses fesses à l'autre. Elle demande une sodomie. L'autre ne refuse pas ce cadeau. Il passe sa queue dans la raie des fesses. Elle prend cette queue pour la guider vers elle. Je vois qu'il lui caresse le cl avec la queue : elle en bave, enfin il doit entrer à voir son visage radieux.

Elle accompagne les a et vient dans son cul, puis tout en continuant la sodomie, elle prend ma bite, me guide vers elle. Elle lève une cuisse, découvrant sa chatte.
Baises moi.

Sans rien, sans autres exigences particulière. Elle a une bite dans le cul, elle en veut une autre dans le con. J'entre avec méfiance : je sens son con s'ouvrir puis une fois dedans, je sens l'autre bite presque contre la mienne. Je prends un panard pas possible. Elle gémit plus fort que quand je la baise seul.

Je craignais de jouir trop vite. Pour une fois ma pine comprend qu'elle doit attendre. Nous sommes deux sexes en elle. Elle nous contente tous les deux.
J'aimerais une autre queue dans la bouche.
Il n'y a pas d'autre hommes ici.
Donne-moi le gode, mets le dans le con et donne-moi ta bite dans la bouche.

Je fais ce qu'elle demande, qu'elle exige. Je suis sur elle, avec une vue sur celui qui l'encule. Sa queue grossit sans arrêt. Elle doit la sentir quand elle la touche avec sa main. Je pose ma bite sur ses lèvres, elle la prend avec sa langue pour la bien mettre dans sa bouche. Quand elle me bouffe je lui mets le gode au fond dans son sexe mouillé.
Le « guérisseur nous regarde en continuant sa sodomie :

Il y a longtemps que je n'ai pas vu une femme se faire mettre comme elle. Est-ce qu'elle baise aussi bien avec les femme,, la mienne serait heureuse avec sa langue et la vôtre dans le cul.
Elle me lâche le temps de répondre :
- Qu'elle vienne ici demain après-midi, je la baiserai. Mon mari me permet de faire ce que je veux l'après-midi.

C'est vrai, mais ne venez pas, laissez votre femme venir se faire caresser par la mienne.
C'est ce qui arrive pour le plus grand bonheur de la femme du guérisseur, puisqu'elle revient souvent à la maison.
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Histoire de fabrissa

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