Sexe entre amis 2

Partie 2: La pression monte.

Après cette nuit torride, la journée commença par une matinée à la piscine. Voir ces corps en bikini m'obligea à rester dans l'eau, tant mon envie de les prendre sur le champ avait gonflée mon sexe. Au moment de se changer pour aller manger, j'ai d'ailleurs entendu un bruit de succion venant de la cabine de Jeanne et Tony. Ce coquin avait eu la même envie que moi mais avait la chance de pouvoir fourrer son sexe bandant dans la gorge de sa salope de copine.

Le soir venu, je me dis que je ne pouvais passer une nuit de plus sans voir ces salopes se faire défoncer. Au moment du coucher, je prétextais une ballade pour quitter le logement. En les laissant seuls, j'espérais qu'ils en profiteraient pour se lâcher. Je vis les deux couples regagner leur chambre respective et j'attendais fébrilement le moment opportun pour entrer, ma bite en frémissant d'excitation à l'avance.

Soudain, j'entendais enfin des gémissements, ceux de Jeanne, bientôt rejoints par ceux de Sophie. Une manifestation bruyante de la baise torride qui s'annonçait.

Je cherchais le moyen de pouvoir jouer les voyeurs lorsque je constatais que les rideaux de la chambre de Jeanne et Tony n'étaient pas fermés. Le sexe tendant toujours mon short au maximum, je parvins à me hisser au niveau du carreau et pu assister au spectacle. Le couple était en plein 69. Jeanne prodiguait à son compagnon une fellation magnifique. Le gland luisait de toute la salive qu'elle y déposait, léchant une fois sa hampe, une fois ses boules, tout en faisant aller ses doigts le long de cette bite de taille plus que correcte. Tony, de son côté, fouillait avec deux doigts la chatte inondée de sa moitié, tout en appliquant sa langue sur son petit bouton et ses lèvres pleines de mouille, ce qui provoquait chez elle ces gémissements sonores. Jeanne commençait à avaler le sexe quasiment en entier, ce qui incita son partenaire à mettre un troisième doigt et à accélérer le mouvement. L'effet fut immédiat et elle se cambra en gémissant encore plus fort. C’est à ce moment qu'il introduisit, tout en laissant les trois doigts au chaud, un petit doigt dans l'anus, après l'avoir enduit de la cyprine qui coulait abondamment de la chatte de sa compagne de jeu. Cette dernière semblait habituée à ce traitement et n'en fut pas surprise, ondulant même du bassin pour sentir un peu plus ces doigt la pénétrer, tout en continuant d'avaler ce membre durcit. J'avais déjà pris mon sexe en main et me branlais devant ce spectacle jouissif. Un moment, Jeanne tourna la tête vers la fenêtre et je tardai à me cacher. Elle s'arrêta de sucer et Tony lui demanda ce qui n'allait pas. Je m'en voulais d'avance d'avoir mis fin à cette baise qui promettait d'être hard et de me faire juter rapidement. Elle ne dit rien et j'entendis les bruits que produisaient sa bite dans sa gorge reprendre. Je décidais de ne pas risquer d'être découvert et tentais ma chance vers l'autre chambre, toujours le sexe en main plus que tendu.

Sophie, la grande blonde aux gros seins, était devenue silencieuse. J'avais peur d'arriver trop tard et fut déçu de voir que les rideaux étaient tirés. Je rentrais donc en catimini dans le logement, prévoyant d'aller me finir dans ma chambre en écoutant Jeanne et imaginant baiser ces deux salopes. Au moment où j'entrais dans ma chambre, Sophie se remit à gémir doucement. J'entendis un "aie", puis un "prends-moi doucement petit salaud" repris par "avec plaisir grosse pute". Mon sexe, qui avait perdu de sa vigueur, se redressa aussitôt en entendant ces mots et mon imagination s'emballa. Je n'osais imaginer dans quelle position il allait culbuter cette salope, qui apparemment ne demandait que ça.

C'est alors que j'aperçus quelque chose de formidable. Sur le mur séparant les deux chambres, une grille d'aération permettait de voir sans être vu, les affaires reprenaient. Je me mis donc debout sur mon lit et, désormais nue en train de me branler, j'observais la scène. Sophie était sur le dos, les jambes écartées, et Eric entre ses cuisses lui prodiguait un cunni visiblement efficace. Si le plaisir se lisait sur son visage, Sophie essayait visiblement de ne pas être bruyante. Je voyais la langue courir sur sa vulve, jouant sur ses lèvres, rentrant dans sa chatte. Il titillait son clito et se délectait du jus ainsi obtenu. Il alternait les coups de langue puissants avec l'introduction de deux doigts dans la chatte inondée, qui arrachait à Sophie un gémissement incontrôlable et peu discret. Après ce traitement qui l'avait chauffée à blanc, elle se redressa et se dirigea vers la bite de son partenaire. Celui-ci s'écarta et lui ordonna de se mettre à quatre pattes, ce qu'elle fit. Il se plaça derrière elle et commença à lui bouffer, il n'y a pas d'autre mot, la chatte en enfouissant son visage entre ses cuisses. Il remontait ensuite sur la rondelle pour l'humecter aussi avec sa langue et ouvrir ce petit trou. Il doigta la chatte de cette salope avec deux doigts comme si sa vie en dépendait, avant de cracher sur son anus et d'y introduire deux doigts également, sans plus de précaution.

Cette fois, elle cria, sans pouvoir faire autrement. Tout cela me fit gicler prématurément une première fois, sur le mur, moi qui pensais pouvoir me contrôler. Mais je restais tendu, tant le spectacle était excitant. Eric se redressa, posa sa bite contre le sexe trempée de sa copine et s'y enfonça jusqu'à la garde. Elle réprima cette fois un gémissement en s'agrippant aux oreillers. Il la pilonna avec vigueur, la remplissant de tout son gourdin qui était de belle taille. Tenant fermement ces hanches, il accéléra ses coups de reins et ses bourses claquaient contre les cuisses de sa pute. Elle gémissait trop fort pour que la literie puisse retenir le bruit. Je m'astiquais vivement devant ce spectacle trop bandant. Lorsqu'Éric se retira, je crus la séance terminée. Mais il fit mettre Sophie au bord du lit, à genou et sa grosse poitrine ramenée sur ses genoux. Il empoigna alors ses épaules et positionna sa bite à l'entrée de sa rondelle. Puis d'un coup et sans prévenir, il l'encula profondément. Le cri de sa proie était un mélange de surprise, elle s'attendait surement à plus de douceur, et douleur. Le dialogue qui suivit m'excita encore plus, si cela était possible.
S: tu m'a fait mal là!
E: Et alors tu aimes ça d'habitude
S: Oui mais là on est pas seul et tu m'a..hou oui...oui...hoo défonce moi comme une chienne c'est trop bon
E: Alors tu vois...
S: oui allez houuu

Ayant alors le consentement de cette salope offerte à lui, Éric lui défonça littéralement la rondelle. Elle ne se retenait plus et ses cris résonnaient dans tous le mobil...
Est-ce par fierté ou coïncidence, les gémissements de Jeanne reprirent de plus belle. Et je constatais avec bonheur que la même grille d'aération était fixée sur le mur mitoyen de leur chambre. Je changeais donc de côté, pour voir la suite de leurs ébats, ayant une préférence pour le corps bandissime de Jeanne. Et je ne fus pas déçu. Elle était assise sur la bite de Tony, la chatte entièrement rempli de son gourdin, se déhanchant au rythme de ses gémissements. Lui, de son côté, lui assénait des claques qui faisaient rougir son cul de salope. Il pinçait également ces tétons par moment. Elle semblait transportée de plaisir et bougeait de plus en plus vite pour bien sentir cette bite remplir sa vulve. J'entendis alors les cris redoublés du côté de Sophie. Je changeais de poste d'observation pour voir le couple dans la chevauchée ultime, lui toujours en train de lui démonter le cul et émettant des râles de plaisir. Je n'y tenais plus et allait bientôt de nouveau jouir. A ce moment, il se retira et fit mettre sa partenaire assise sur le bord du lit, face à lui. Lui tirant les cheveux d'une main, il se branlait de l'autre et finit par gicler toute sa sauce. Cette éjaculation faciale inonda le visage de cette salope. Celle-ci, loin de s'en formaliser, s'en lécha le visage et ramena à sa bouche le sperme avec ses doigts. Ils sourirent tous deux et s'allongèrent. Au bord de l'éjaculation, je retournais du côté de Jeanne, pensant avoir raté leur final. Heureusement, ils étaient plus endurants que moi. Jeanne était de nouveau entre les cuisses de Tony et le suçait comme une affamée. Elle avalait entièrement sa bite tout en lui caressant les couilles. Au bout de quelques instants, elle ne bougea plus et je pus voir au visage de Tony qu'il était en train de décharger. Elle se retira, tira la langue pour montrer ce sperme sur sa langue, avant d'avaler en souriant et d'ouvrir la bouche pour montrer qu'elle avalait bien son sperme. Son homme l'a gratifia d'un "c'est bien salope", auquel elle ne répondit pas. Quelles salopes ces deux-là!!! J'avais jouis depuis un moment. Jamais je n'aurais le plaisir de faire tout ça avec Christine, elle qui accepte tout juste le levrette.
Le sommeil vint ensuite tous nous emporter.

Le lendemain matin, je surpris des regards de Jeanne à mon intention que j'avais du mal à interpréter. Elle se dirigea vers moi et me dis:
T'as bien dormi?...
Heu oui, dis-je hésitant
Bien parce que on part tous les quatre pour la journée (sortie prévue de longue date), mais on se voit ce soir, coquin.

Elle m'adressa un clin d'oeil et passa sa main sur mon entre jambe, qui réagit aussitôt. J'avais donc été découvert, sans que cela ne la dérange. J'étais perplexe. Et que penser de ce geste?? vivement ce soir....