Le prêt de camescope

Je suis un grand fana de VTT. Avec deux amis nous avions convenus d'aller passer un WE complet en montagne afin de profiter du relief pour nous offrir de bonnes descentes et nous permettre de progresser techniquement dans notre sport favori.

De manière à pouvoir juger notre niveau individuel, nous avions décidés de nous filmer lors des passages bien engagés (sauts, virages etc.).

Aucun d'entre nous n'ayant de caméscope, j'avais emprunté celui d'un collègue de travail avec qui je m’entends très bien. L'appareil était assez récent, du style qui tient dans la main. L'idéal pour l'emploi visé.

La veille du départ (tout moi ça...) je décidais de jeter un coup d’œil au caméscope, histoire de savoir m'en servir le moment venu. Mon collègue, que l'on appellera Yves, m'avait également prêté le mode d'emploi, genre d'annuaire téléphonique en 32 langages. Pas engageant ce truc.

Étant plutôt du genre pratique, je laissais rapidement le manuel de coté.
-Bouton marche : OK
-Bouton d'enregistrement : OK
-Bouton arrêt : OK

Finalement, assez simple d'emploi son bazar!

Après quelques grimaces de ma part devant l'objectif, je branche la caméra sur le port usb du pc. Je désirais voir s'il était aisé d'éditer la vidéo. Je pourrais ainsi faire une vidéo souvenir du WE pour les copains, ils seraient épatés!

Je ne savais pas ce qui m'attendait!

Tient donc, deux fichiers vidéos!

La curiosité m'aiguillant, je lance le fichier vidéo le plus vieux, datant de quelques jours. Assez lourd ce fichier...

Ça y est, la vidéo commence. Et là!

Tout d'abord je reconnais une prise de vue du salon d’Yves et Julie, sa femme (pas son vrai nom). La caméra est ensuite posée sur un meuble et je peux enfin voir qui la manipule : Julie. Celle-ci est penchée en avant, son visage au niveau de l'objectif.

Visiblement, elle se regarde sur l'écran de l'appareil.

Elle fait la moue typique de la nana en train de vérifier son rouge à lèvre. Puis elle se relève, fait quelque pas vers le milieu du salon et se retourne pour faire un sourire au petit oiseau.

Je sens un resserrement dans la poitrine. Mais que fait-elle donc? Mon intérêt pour la scène monte d'un cran. La vidéo dure quasi une heure (chouette!).
Alors qu'elle se tient là debout, je peux la voir entièrement.

Julie est une belle femme, en tout cas bien mon genre. Elle est de taille moyenne, peut-être 1,65m. Pas très mince, mais avec les bonnes formes là où il faut (désolé pour les clichés). Sa poitrine est de taille respectable et ses fesses doivent en faire se retourner plus d'un!

Elle à l'air de rentrer du travail, elle porte un tailleur sombre qui sied très bien avec ses cheveux de brunette. La jupe étroite arrive juste au-dessus du genou. La veste est quand même très ouverte je trouve, surtout que le décolleté de son chemisier rose pâle est très révélateur.

Le resserrement dans ma poitrine se fait plus intense, je lâche un sifflement de surprise devant les courbes de ses seins ainsi mises en évidence. "Plutôt osée Julie. J'espère pour Yves qu'elle se pointe pas au boulot comme cela tous les jours".

Sa tenue est complétée par une paire de sandales à talon haut.

"wouaou" Je me rapproche légèrement de l'écran (réflexe de mâle).

Finalement elle poursuit son chemin jusqu'à la fenêtre, à l'opposé de la pièce, en tordant son derrière à chaque pas. Elle fait ensuite descendre le store, puis visiblement pas satisfaite de la pénombre ainsi obtenue, le remonte aussitôt.

Visiblement elle ne tient pas en place, quelque chose la travaille. Après quelques pas en long et en large, elle va s’asseoir sur le fauteuil qui est en ligne de mire.

Elle commence à tortiller des fesses de côté puis d'avant en arrière...

Là mon cœur fait un bond et je commence à sentir un léger fourmillement dans le bas ventre.

Ses mouvements se font plus accentués, on dirait qu'elle cherche à creuser dans l'assise de ce pauvre fauteuil avec son siège (;-)). Après une dizaine de secondes de ce manège et de croisements-décroisements de jambes appuyés elle se remet debout et, va chercher ce qui vraisemblablement la démange sous cette jupe. Après quelques trémoussements, je la voie qui fait descendre le long de ses jambes, avec quelques difficultés, un string en dentelle noire!

Un tsunami d'adrénaline m’envahit. Une séduisante jeune femme vient de retirer ses dessous sous mes yeux de voyeur ébahi! Les barrières morales qui me retenaient (pas très fort je l’admets) sont complètement mises de cotées. Je connais bien Yves et un peu Julie, certes! Mais là, devant la tournure des événements! Mes testicules sont comme prisent dans un étau!

Puis elle roule son dessous, vraisemblablement bien humide, en boule et le glisse sous les coussins du canapé. Ensuite, elle se tourne face à la caméra et jette un œil coquin dans sa direction (la mienne, diantre!) et réajuste son soutien-gorge en poussant bien ses seins vers le haut tout en se mordant la lèvre inférieure d'un air lascif. Après un bref regard circulaire sur le salon, elle s'en va et disparaît de mon champ de vision... enfin, de celui du caméscope!

Une dizaine de minutes où il ne se passe rien et où je n'entends rien. Cela laisse un peu de repos à mon entrejambe et lui permet de redescendre en température. Cependant, j'ai toujours les méninges qui tournent à deux cent à l'heure et mon cœur qui bat avec de fortes amplitudes!

Enfin je vois Julie revenir! Elle a un petit sourire en coin en lançant un regard par en-dessous en direction de l'objectif.

J'entends un bruit de porte suivi de l'arrivée d'Yves en short et t-shirt. Celui-ci lâche son sac de sport d'un air nonchalant en entrant dans la pièce. Yves est amateur de squash, et je sais que plusieurs fois par semaine il va faire une partie avant de rentrer à la maison. C'est un assez grand gaillard, environ 1,85m, 80kg avec des cheveux blonds raides coupés courts.

Le match à dû être difficile, ses cheveux sont encore trempés de transpiration. Julie, elle, n'en a cure. Elle se précipite vers son mari bien-aimé, l’attrape par les épaules et l'embrasse langoureusement sur les lèvres. Celui-ci lui rend la pareil tout en lui prenant les fesses ce à quoi Julie répond par de lents mouvements de pression de son pelvis sur le sien, ou plutôt sur le haut de ses jambes étant donné la différence de taille.

Après quelques instants de cette embrassade, Julie s'écarte d'Yves. Puis, tout en le regardant droit dans les yeux, descend lentement le long de son torse. Puis de son ventre. Et arrive sur sa ceinture...

Le serrement de l'étau refait surface.

Mes oreilles commencent à siffler.

Je dégluti bruyamment.

Là Julie marque une pause.

Toujours en fixant Yves, elle lui sourit d'un air coquin. Et, reprenant son mouvement descendant, emmène jusqu'à mi-cuisse le short et le boxer de son homme.

A ce moment, je n'ai plus aucun doute sur ce qui va s'ensuivre. On n'est naïf qu'à un certain point!
Le bourdonnement dans mes oreilles s’accentue et l'étau prend un tour...

Bien que les deux amants soient à quelques mètres de la caméra, je distingue très bien la scène (bon matos, merci Yves!). Le pénis à demi raide d'Yves émerge dessous son t-shirt. Son membre est peu poilu et ses contours sont largement visibles. Taille raisonnable, quand même un peu jaloux... Le sourire aux lèvres, Julie s'en empare et l'enfourne délicatement dans sa bouche.

Devant mon écran je sens la température de la pièce s'envoler. J'ai chaud. Très chaud. SI CHAAUUUUUD!

Sous ses airs aguicheurs et avec ses lèvres pulpeuses, je soupçonnais Julie d'être une bonne suceuse. La voir ainsi à l’œuvre avec la verge de son mari, je n'en ai plus. Ses mouvements sont amples et doux et elle prend grand plaisir. Le sexe de mon collègue disparaît et réparait au rythme des allers et retours de sa charmante épouse. Yves a maintenant renversé sa tête en arrière et savoure son plaisir.
Julie déguste le membre aimé. Ses lèvres englobent le gland et elle le lèche d'un air gourmand tour à tour. Elle a l'air d'en avoir tant envie! Sa main libre se porte sur un sein et elle le malaxe.

Tout à coup, elle marque un arrêt très bref comme si elle se souvenait de quelque chose, puis elle reprend sa besogne en tournant légèrement le visage en direction de la caméra. Sa bouche esquisse un nouveau sourire comme elle suce goulûment cette belle verge. Son regard ne quitte pas l'objectif, et elle semble prendre une réelle satisfaction à jouer avec celui-ci.

De mon côté, un incendie s'est déclaré dans mon caleçon. Une véritable fournaise. Mon jean devient diablement étroit. Soit il va falloir que j'arrête la vidéo, soit il va falloir qu'à mon tour je sorte mon vit de son emprisonnement. En attendant j’entame de lent mouvement en touchant mon membre raide comme une batte de baseball à travers le tissu de mon pantalon. Étonnamment on en distingue très bien la forme même à travers l'étoffe!

Mes yeux suivent chaque mouvement de ces lèvres qui dégustent la tige fièrement dressée. Les testicules d'Yves ne pendent plus du tout maintenant. Julie prend de courtes pauses pendant lesquelles elle observe avec attention cette bite luisante de salive qui palpite de désir. A chaque fois elle ne peut s'empêcher de fixer le caméscope tout en reprenant son travail d'une manière exagérément suggestive. Ce regard de salope m'excite au plus haut point. Yves alterne les soupirs et les gémissements. Sa petite femme est une vraie déesse de la fellation. Quel veinard!

Cela fait maintenant quelques minutes que la scène dure. Je ne sais pas si Yves va pouvoir tenir encore longtemps.

Je le vois qui se ressaisit enfin. Il remet Julie debout et l'embrasse avec effusion. Ses mains parcourent le corps de sa douce, s'arrêtent sur le seul bouton de la veste du tailleur et le font tomber à terre. Puis il entrouvre le chemisier pour mieux caresser la poitrine gonflée de désir. Le soutien-gorge de dentelle noir est à peine transparent cela me permet d'entre-apercevoir les auréoles des tétons. Ils ne demandent qu'à être léchés. Yves a une autre idée en tête, il est en train de faire remonter lentement l'étroite jupe. Le galbe de cuisses de Julie se révèle au fur et à mesure de la progression du vêtement sur ses jambes.

Ma bouche est franchement sèche à présent et mon pénis me tire terriblement. Qu'est-ce qu’ils sont beaux tous les deux à s'aimer ainsi!

Yves est parvenu à relever complètement l'habit. Julie est à peine de profil et la vue est extrêmement bandante; son chemisier entre-ouvert sur son soutien-gorge qui ne cache plus grand-chose et ses belles jambes qui convergent sur le triangle de son sexe. Elle a dû prendre soin de son minou en anticipation de ce moment, sa toison brune est taillée court en un large ticket de métro.

La vision de cet abricot charnu m'arrache un soupir, je crois que je vais céder.

Tout occupé à embrasser sa compagne, Yves ramène maintenant une main vers la vulve de celle-ci pendant qu'il tient une fesse de l'autre. Au contact de ses doigts sur le sexe nu de Julie, il réagit comme s'il avait reçu un électrochoc! :
- "Espèce de petite cochonne! Tu t'es encore baladée comme ça toute la journée!", s'exclame-t-il.

Julie se contente de lui sourire. Cela semble l'exciter au plus haut point! Il en devient bestial.
- "Tu vas voir", lui fait-il.

Sur ce, il la pousse en arrière et l'allonge à demi sur le canapé. D'un geste rapide, il lui attrape les jambes et les repousses contre les seins de sa femme. Ceux-ci sont écrasés sous l'effort. Il la maintien fermement dans cette position.

Cette vue atrocement érotique de Julie acculée contre le dossier du sofa, les pieds en l'air (toujours chaussés de ses talons!) et la chatte offerte, en est beaucoup trop pour moi! Ce corps à corps sexuel a raison de ma résolution et je défait mon jean afin de laisser respirer librement mon pénis.

Leurs échanges m'ont énormément troublé. J'ai le gland tellement gorgé de sang qu'il en est écarlate! J'entame donc un mouvement agréable en faisant rouler d'avant en arrière mon prépuce. La bave qui s'écoule de mon méat lubrifie le geste et un plaisir exquis me gagne.

Yves n'a pas perdu de temps non plus.

Il est à genou devant le fruit pleinement exposé de son épouse, et a démarré de lents mouvements avec sa langue. Il la fait délicatement courir le long de la fente de Julie. Chaque lapement arrache un gémissement à sa femme. Mon collègue continue avec un rythme imperturbable. Seul sa bite fièrement dressée m'indique qu'il est tout sauf indifférent!

Ses mouvement de langue se font plus rapides et s'attardent sur le clitoris. Les gémissements de Julie se font plus rapprochés. Elle est prise de tremblements avant de lâcher un cri à peine contenu.

Lui laissant à peine le temps de reprendre dont souffle, Yves se redresse et lui fait signe de s'agenouiller sur le canapé et de s'appuyer contre le dossier: il va la prendre en levrette! Julie s'exécute sans un mot et lui présente sa croupe.

Yves retire alors son t-shirt. Son torse est luisant de sueur alors que leur étreinte commence juste! Saisissant son dard, il s'introduit avec un "han" dans le vagin humide. La soudaine pénétration arrache un cri de surprise à sa femme qui reprend rapidement ses esprits.
- "tu la sens bien, hein!"
- "oh oui, c'est bon!"

Tout en s'activant à coup de reins, il saisit le soutien-gorge de Julie pour en libérer les seins. Ceux-ci se mettent à ballotter au gré de ses assauts. De temps à autre il les presse avec ses mains.

A présent je me masturbe pleinement: une main monte et descend le long de ma bite et l'autre caresse mes bourses fraîchement rasées. Je dois tempérer mon geste pour ne pas jouir trop vite. C'est si bon!

Je vois Julie tourner à nouveau son regard vers la caméra. Elle est en train de reprendre son jeu de chienne en chaleur; elle se mord la lèvre inférieure et se cambre en arrière pour mieux montrer sa lourde poitrine.

Je sens la sève monter. J'essaie de respirer lentement pour me calmer.

Ils continuent ainsi leurs ébats rythmés de soupirs, de gémissements et de "oh oui"
Voulant visiblement reprendre le contrôle de la situation, Julie se relève :
- "allonges-toi par terre, je veux être au-dessus", lui demande-t-elle.

Yves est maintenant sur le dos, le sexe pointé vers le ciel. Julie l'enjambe et, magnifique, s’accroupit en guidant le pénis de son mari dans sa chatte. Elle reste ainsi en s'aidant de la table basse pour diriger la pénétration. Yves a une vue directe sur leurs sexes qui se mêlent. Et moi aussi.

La voir ainsi les jambes écartées me fait perdre mon contrôle et un orgasme me submerge. J'éjacule violemment, il y a du sperme de partout! Clavier, vêtement...Ce fut si soudain que je ne l'avait pas senti venir! La bite encore raide, je continu à me palucher, l'excitation n'est pas encore complètement retombée!

Julie accélère son mouvement et Yves se raidit. Il ne va pas tarder lui non plus...

Il enfonce vivement son membre au plus profond du vagin et lâche sa semence en un grand "han" final. Julie est prise de tremblements juste après et se met à inspirer-expirer bruyamment. Son deuxième orgasme semble plus fort.

Comme elle est sexy à haleter de cette manière! N'en pouvant plus, elle se laisse aller contre son homme qui la serre passionnément dans ses bras.

Quelques minutes après ils se lèvent et sortent de la pièce (pour prendre une douche j'imagine). Julie revient un instant plus tard pour éteindre le caméscope avec un large sourire et un dernier baisé à l'objectif. Le film s'arrête là.

La queue toujours raide, je m'accorde une dernière masturbation devant leurs ébats. La testostérone concentrée ayant enfin libéré mes neurones, je profite ce moment de clairvoyance pour effacer la vidéo compromettante. Seule solution raisonnable. La carte mémoire fait un petit tour de quelques secondes dans le micro-onde de manière à l'endommager discrètement mais irrémédiablement. En lui rendant la caméra, je dis à Yves que j'ai dû mettre ma propre carte SD dedans, la sienne étant morte (d'ailleurs la voici!)...

Je pense que Julie voulait lui faire un cadeau pour quand elle part en déplacement. Je suis sûr qu'elle aura l'occasion de lui refaire un film! (chanceux, va!).

Je repars bientôt faire du VTT avec mes potes, vous n’auriez pas un caméscope à me prêter par hasard ? lol