Bal compagnard 1

Charlène, 64 ans, habite depuis plusieurs mois, dans une bourgade ou les gens, n'aiment pas les étrangers. Lorsqu'elle salue, on la toise de haut en faisant la moue, sans lui répondre. Les mois passent, les mentalités ne changent pas. C'est l'été, Comme chaque année, à la même date, un bal organisé par la municipalité y est donné sur la place. Quitte à affronter les regards méchants et les sourires narquois, elle décide de s'y rendre. Pour l'occasion, elle enfile une jupe légère, et un corsage à fleurs, très échancré. Malgré qu'elle ne soit pas là bien venue, elle se rend sur place.

Toutes les tables sont occupées, mais contre toute attente, un homme taillé comme un bucheron, l'invite à sa table, elle s'assoit et salue l'homme généreux. Il lui propose un verre de champagne, Charlène accepte. La conversation s'engage, les deux semblent s'entendre, malgré son air bourru l'homme est sympathique. La musique bat son plein, la piste est envahie de danseur. Au fil des verres, elle apprend que l'homme au nom de Franc et un cultivateur de 55 ans qui possède une ferme assez importante à la sortie du village, il emploie un couple de métayers depuis de nombreuses années. Charlène aussi se dévoile un peu, elle lui dit qu'elle est divorcée d'un mari volage depuis 4 ans est qu'elle est venue habiter le village pour être loin de la ville.

Franc l'invite à danser, il ne sait d'ailleurs que danser que le slow. Il enlace Charlène, les deux sont fusillés du regard par quelques envieux ou envieuses. Mais Franc tout comme Charlène s'en moquent éperdument. Les deux évoluent sur la piste, Franc serre Charlène dans ses bras, les bassins se frottent, la tension monte doucement. Le coquin s'emballe et pose sa main sur le bas des reins de Charlène, et la plaque le plus possible contre lui. Elle sent le membre en semi-érection contre son bas ventre. Impressionnée par la verge qui augmente encore de volume, elle se crispe. Elle sent le souffle chaud de Franc sur son cou, le coquin hasard un petit bisou sur la joue de Charlène qui soupire. La main de Franc, caresse avec douceur la hanche de Charlène, qui ne réagit pas. Le gredin s'enhardit, la lumière est basse pour le slow, sa main glisse sur une fesse de Charlène, les quelques pressions qu'il fait sur le lobe charnu, font cabrer légèrement Charlène. Malheureusement la danse prend fin. Franc saisit la main de Charlène, et la reconduit à la table. Le duo entend les critiques des mauvaises langues. Franc sourit, Charlène et un peu gênée. La lumière devient plus intense, Franc s'assied à côté de Charlène, il lui serre un verre et trinque avec elle en épiant du coin de l'œil les envieux.

Les danses se suivent, les étreintes de franc sont plus intenses, il lui donne de nombreux baisers sur le cou et la joue, il tente de s'approcher de ses lèvres, mais Charlène détourne la tête. Les bas ventres se frottent continuellement, Franc bande de plus en plus. Charlène ne peut ignorer la verge tendue qui appuie contre son bas-ventre. Elle ondule du bassin en soupirant fortement. Franc lui murmure à l'oreille :

-Charlène, tu me rends fou, je te veux !

Charlène le regarde droit dans les yeux et répond :

-Franc, tu ne crois pas que c'est un peu rapide, nous nous connaissant à peine !

Il pousse un gros soupir et réplique :

-J'ai envie de toi, c'est la première fois qu'une femme me fait autant d'effet !

Charlène lui fait un gros sourire, et réplique :

-Toi aussi, tu ne me laisses pas indifférente, mais je ne suis pas encore prête !

Franc pose sa main sur la cuisse de la femme dont il a envie, et la caresse doucement, il la glisse sous la jupe, mais Charlène veille au grain, elle pose sa main sur celle de l'homme un peu trop cavalier, et la stoppe. Franc, déçu, retire sa main, lui relève le menton avec deux doigts, et dépose un baiser brulant sur les lèvres de la femme récalcitrante. Il lui prend la main et l'entraine sur la piste. Il l'enlace et la serre fortement, il se plaque contre elle, il agite lentement son bassin pour faire sentir à Charlène sa verge tendue. Le bougre se frotte contre elle sans faire une pause. Le membre qui appuie contre son bas ventre, la fait défaillir, elle commence à chauffer. Cela fait un bail qu'elle n'a pas fait l'amour, les rares moments de plaisirs ce sont ses doigts qu'ils lui ont procurés. Plus la danse dure, plus Charlène s'échauffe, sa vulve se met à suinter, sa culotte s'humidifie.



Franc plaque ses mains sur les fesses de sa proie et tire fermement, comme s'il vouler l'embrocher avec son pieu enserré dans son pantalon. Charlène se cabre et lui dit faiblement en passant ses bras autour de son cou :

-Tu es incorrigible Franc !

Elle le devisage un long moment, leurs yeux brillent de mille feux. Il pose ses lèvres sur les siennes, le baiser ne dure pas longtemps, il bien est trop rapide au gout de Franc, qui repart à la charge. Charlène cède, Les langues se nouent comme deux reptiles qui cherchent à s'accouplés. Les souffles sont bruyants. Une voix féminine se fait entendre :

-L'étrangère a trouvé chaussure à son pied, elle sait choisir le bon parti la salope !

Franc veut réagir, mais Charlène l'en empêche. Une fois à table, ils prennent un ultime verre et partent de la place. Franc invite Charlène chez lui, elle refuse, déçu, il la reprend dans ses bras et les deux échangent un baiser d'enfer. Il lui propose de se revoir le jour même puisque c'est déjà l'aube. Ils échangent leurs coordonnées, Franc promet de lui téléphoner. Les deux se séparent, en s'embrassant une dernière fois.

Une fois chez elle, Charlène se jette sur son lit, elle pense à Franc, elle sent encore contre son bas-ventre la verge dure du coquin. Fébrilement, elle passe sa main sous sa jupe, caresse sa fente à travers sa culotte, elle s'imagine être prise avec force par Franc. Rapidement, elle jouit, elle reste étendue sur sa couche en rêvant. Elle s'endord sans se dévêtir.