Fille qui arrive à ses fins

Ludivine et Charles ont une fille, Christelle de 18 ans, qui doit avoir une idée derrière la tête, car elle devient vulgaire, mal poli, surtout avec sa maman. La vicieuse à un gros projet en tête, qui a un rapport avec son papa. Ludivine en a assez, des agressions verbales de sa fille, qu'elle finit par en parler à son mari. Lui décide de mettre la halte-là. Il monte dans la chambre de sa fille. Elle est étendue sur son lit avec des écouteurs sur les oreilles. Elle porte un short de nuit qui bâille fortement au niveau des cuisses. Elle porte aussi un t-shirt bien trop large.

Charles s'assied en face d'elle et, ne la sermonne pas trop quand même. La coquine sait que son papa est un papa poule. Elle joue la comédie, rue, elle arrache ses écouteurs, tout en accusant sa maman d'exagérer, elle fait mine de fondre en larmes, elle plonge sa tête dans l'oreiller en gémissant. Prise de pitié, Charles tente d'arrondir les angles, mais Christelle, bonne comédienne, joue la provocation, elle agite son bassin, elle sait que son papa à une vue imprenable. Involontairement, il aperçoit, par l'échancrure du short, la fine toison, ses yeux se braquent sur les fines lèvres qui bordent la fente, La coquine sais jouer du bassin, Les mouvements qu'elle fait, font que les lèvres se frottent l'une contre l'autre. Charles ne les quitte pas du regard. Soudain, sans comprendre pourquoi, il passe sa main par l'ouverture et arrive rapidement sur la jeune vulve, ses doigts montent et descendent sur la fente plusieurs fois. Sans s'en rendre compte, il appuie sur la petite bosse qui surplombe le fruit.


Vicieusement, Christelle ouvre, encore plus les cuisses, en simulant, des larmes. Un doigt pèse sur la fente, et la première phalange disparait dans le puits. Charles réagit, il comprend qu'il vient de faire une énormité, rapidement, il retire sa main du short. Il redresse sa fille qui simule toujours. Il la serre très fort contre lui et dit honteusement :

-Excuse-moi ma chérie, je ne sais pas ce qui m'a pris, sûrement une pulsion !

Elle relève la tête vers lui et lui répond :

-Tu es un cochon, je vais le dire à maman !

Charles sursaute et répond avec angoisse !

-Non, non, Christelle ne dit rien à maman, elle partirai de la maison, je t'en prie ne lui dis rien !

La coquine sait qu'elle tiens son papa comme on dit par les couilles. Elle le toise de Haut et dit :

-Si je me tais, tu feras ce que je veux ?

Charles ravale sa salive, il n'a pas le choix :

-Oui, tout ce que tu veux !

Elle fronce les sourcils et dit :

-Bien tout ce que je veux, promets !

Charles en soupirant répond :

-Oui, promis, juré !

Elle le toise de haut et en rajoute une couche :

-N'empêche que tu es un cochon !


Le lendemain, matin, Christelle descend, l'escalier quatre à quatre en chantonnant, toujours en short de nuit, ses parents aussi sont en tenue de nuit. Ils sont attablés pour le petit déjeuner. Christelle les embrasse comme chaque jour et s'assied à côté de son papa, de temps en temps, elle lui jette du coin de l'œil des regards qui en disent longs. Ludivine, regarde sa fille, étonnée par son nouveau comportement, elle pense que le serment de son mari a rendu la raison à Christelle. Pendant le petit déjeuner, Christelle pose sa main sur la cuisse de son papa qui sursaute, il se raidit sans trop se faire remarquer. Il ne veut pas que sa femme s'aperçoive de quelque chose.

La coquine de Christelle devient plus audacieuse, elle place sa main sur la partie un peu renflée du pyjama de son papa, et presse plusieurs fois la verge molle. Elle lui jette des regards provocateurs intenses, en souriant vicieusement. La petite salope enserre le membre au repos et commence à le branler à travers le fin tissu du pyjama. Ludivine, trop occupée à se restaurer, ne remarque pas le visage de son mari qui blêmit de plus en plus.
La petite salope accélère le branlage. Charles serre les dents, il bande comme un poney en rut. Il saute sur l'occasion, que sa femme se rend à la cuisine, pour retirer la main de sa fille, se lever d'un bond et de se rendre à la salle de bain. Il baisse son pyjama, sa queue est secouée de nombreux soubresauts qu'il ne peut pas contrôler. Il enserre fortement sa queue et la branle avec rage jusqu'à l'apaisante éjaculation. Il jouit si fort que ses doigts sont englués, et sur le sol s'étale une petite flaque visqueuse. Il prend soin d'essuyer les dégâts et ressort de la salle de bain dans le couloir, il croise sa fille qui lui sourit à pleines dents. Elle en profite pour se frotter contre lui.

Charles monte dans sa chambre, sa femme est deja prête pour partir faire ses courses. Elle dit en souriant :

-À tout à l'heure, j'espère ne pas être trop longue !

Christelle n'attendait que ce moment pour parfaire son plan, elle monte dans la chambre de ses parents, son papa et assit sur le bord du lit complètement désarçonné. Christelle s'approche, le regard et lui dit :

-C'est le moment de tenir ta promesse papa !

Il la regard désabusé, il attend les exigences de sa fille. Elle lui demande sans se démonter :

-Baise-moi papa, baise-moi !

Charles reste un moment sans voix puis répond :


-Mais tu n'as pas ton copain pour ça ?

-Oui, mais je veux une vraie bite, et la tienne doit être performante, les gémissements de maman le prouvent lorsque tu la sautes !

-Mon copain, il baise comme un lapin, je veux un vrai mec, tu comprends !